18 Des Orblancs, Bruxelles, Belgique...

Le conducteur de l'autre voiture... enfin, de la jeep s'approche d'Arweiller. Ann plisse les yeux. Elle l'a déjà vu quelque part.

- Oh...C'est moins terrible que je le croyais...Et vous ça va...?
- Non, ça va pas ! Mon phare !
- Nan, le phare de ton père, nuance.
- La ferme Milford.
- Hé, Ho ! Sois poli, sinon je rentre avec Donoline !
- Qui ?
- Lui, dit-elle en pointant Théo.

Gracieusement, elle sort par la fenêtre de la voiture et pose les pieds sur le sol. Elle replace sa mini-jupe de cuir et les rejoint sur ses talons aiguilles. Pour Théodore qui l'a vu pieds nu, en jeans et col roulé, ça frappe. Et en plus, elle arrive à se déhancher merveilleusement sans avoir l'air de chercher son équilibre.

- Ah, tu le connais Milford ?
- Ouais.
- Je vais payer pour les dégats, promet l'avocat, trop heureux de pouvoir proposer de payer plutôt que de faire le dit constat à l'amiable. Un constat, même à l'amiable, c'est jamais bien vu pour un avocat. Même que, si tu veux, j'te fais entrer au Placard. Ça ouvre ce soir. V.I.P.
- Ah, oui, excellente idée ! J'aurai une escorte parfaite ! Allz, viens avec nous, Donoline. Arweiller a des tas d'avantages

Elle se colle à Théodore, le regard luisant de "pas à jeun". Les derniers mots chuchotés à l'oreille provoquent habituellement les frissons qui donnent le coup de fouet pour considérer la proposition sérieusement.

- J'attends quelqu'un vois-tu et il est un peu fatigué...J'vais pas le laisser tout seul non plus. C'est plutôt chiant pour lui si je le laisse en plan.
- J'ai de quoi le réveiller, ronronne-t-elle en fermant à demi les yeux sous les caresse. Un peu comme une chatte qu'on gratte derrière les oreilles.

- Au fait...Merci de payer...On viens juste de me voler mon porte monnaie et j'avais pas un sous sur moi...
- T'as vraiment pas de chance, dis-donc. Allez, je t'invite... Donoline, c'est ça ? On a qu'à attendre ton ami. Il peut venir avec nous, je m'arrangerai pour le faire entrer aussi, je connais le proprio.

Arweiller sourit. La capsule comment à faire effet et la voiture n'a plus autant d'importance. D'ailleurs, une autre voiture quitte les lieux.

- Attendez, je reviens.

Et Simon va garer la ferrari dans l'espace libre, de manière presque cavalière, manquant de peu une autre voiture stationnée. La question est de savoir comment le condusteur arrivera à entrer dans sa voiture. Pendant ce temps, Ann tente de convaincre Donoline.

- Allez, viens, il va payer pour tout. Il a du fric à ne plus savoir quoi en faire. Qui c'est ton ami ?

Après une discussion... enflammée... avec le pickpocket qui n'a plus la configuration de doigts nécessaire pour voler qui que ce soit.

Le porte feuille à la main plus un montant substantiel en poche(ben quoi, tant qu'à reprendre ce qu'il a volé, aussi bien tout reprendre) Requinqué par cet interlude, il revient rapidement cers Théodore, gardant l,oeil ouvert au cas ou qu'il le chercherait.

Mais non, il voit la rousse devant lui. Cette silhouette, il n'y en a qu'une. Il s'en branle, les femelles, il en a soupé. L'autre est parti garer la ferrari alors il ne le voit pas. mais els éclats de plastique au sol le laisse deviner ce qui s'est passé.

- Allez, viens, il va payer pour tout. Il a du fric à ne plus savoir quoi en faire. Qui c'est ton ami ?

C'est moi son ami... Ton portefeuille...

Il tend le porte feuille à Théodore, une ébauche de sourire aux lèvres. Evite Ann...

- Ben...

Théodore hésite, mais elle n'a pas grand chose à faire pour le faire céder. Une toute petite promesse suave. elle l'embrasse délicatement sur la joue.

- C'est moi son ami... Ton portefeuille...

La voix la saisit. Elle la connaît bien. Oh non, pas lui... Elle se retourne vers Halewyn, la mine un peu plus sombre.

- Merci... Comme tu peux voir Hale...Le hasard fait de drôles de choses et bon...T'aurais envie d'aller faire un petit tour? Pour te changer les idées? Ça te ferais du bien non?
- Salut Coeurd'Acier, dit-elle avec une pointe de mauvaise humeur, esquissant une moue boudeuse.

Elle observe le manège de Théodore. Ça la fait sourire. L'euphorie disparue quelques secondes revient aussitôt. Sourire suave, démarche féline, regard de braise, un rien de dilaté, elle s'approche d'Halewyn et vient glisser des doigts dans ses cheveux.

- C'est nouveau la couleur ? Allez viens, t'auras pas souvent la chance d'une ouverture V.I.P. Tu ne le regrettera pas, ronronne-t-elle tout près de l'oreille d'Halewyn, comme elle a fait à Théodore quelque minutes plus tôt.

Simon arrive et voit le trio très près. Il sourit de toute ses dents de jeunes premier. L'ami de Donoline lui dit vaguement quelque chose. Mais il n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Il fronce les sourcils au-dessus de ses pupilles partiellement dilatées et pointe Halewyn, souriant et pensif.

- On s'est déjà vu tous les deux. Arweiller.

Il tend la main à Halewyn, puis réfléchit encore. Un lien se forme dans sa tête. Milford connaît des tas de gens, mais ceux qu'elle connaît habituellement dans les sphères qu'ils fréquentens tous les deux, il les connaûit aussi, puisque souvent, c'est lui qui lui a présenté. Il pointe Théodore et Halewyn.

- Vous êtes... sorciers ?

Le dernier mot est dit à mi-voix, mais dans le bruit de la foule, même en parlant à voix normale, personne n'aurait entendu.

- Ouais.
- Aaah, bien, très bien. Mais euh... pas moi. Allez, venez, faudrait entrer avant que ça ferme ou que la fête décolle.

Malaise... Il le voit bien. PLus chez Théo et Ann qu'ailleur d'ailleur. Lui, ca le fait mien marrer, les doigts coupés l'ont mis de bonne humeur. Théo lui touche le bras en le suppliant, manifestement il en a envie.

...Comme tu peux voir Hale...Le hasard fait de drôles de choses et bon...T'aurais envie d'aller faire un petit tour? Pour te changer les idées? Ça te ferais du bien non?

Tout sourire... Son sourire baveux se dessinant un peu plus sur les lèvres, il attends le disouidisouidisouij'ten priiiie que toute neuf lui aurait sortie. Ah? Mais non. Il ricane plutôt et se redresse, rougissant. Une voix boudeuse attire son attention. Tiens, elle a décidé de lui parler celle là?

Salut Coeurd'Acier

Milford...

Elle s'approche de lui, les pupilles dilatées et regard de braises, sourire suave. Quand elle lui passe la main dans les cheveux, il se raidit comme un I majuscule, la regardant faire de haut.

C'est nouveau la couleur ? Allez viens, t'auras pas souvent la chance d'une ouverture V.I.P. Tu ne le regrettera pas

La laissant murmurer à son oreille, il fixe Théodore qui semble vraiment vouloir y aller. Ann, elle, a plus l'air d'avoir envie de se frotter. Voilà alors la 4e roue du carosse. Si Arweller ne le reconnait pas, lui il le reconnait tout de suite.

Au sourire d'acceuil, il se compose une mine intéressée et polie. Ils n'ont pas l'air à jeun ces deux là.

- On s'est déjà vu tous les deux. Arweiller.

Van Houtte.

Il prends la main de l'avocat en se dégageant de la liane qu'est devenue Ann.

- Vous êtes... sorciers ?

Nouveau coup d'oeil à Théodore. Mais Ann prends le relais en se refrottant de plus belle.

- Ouais.
- Aaah, bien, très bien. Mais euh... pas moi. Allez, venez, faudrait entrer avant que ça ferme ou que la fête décolle.

Milford, tu pourrais décoller juste un peu que j,ai au moins de l'espace pour marcher? Je sais pas ce que ta pris, mais tu devrais en prendre plus souvent. On y va...

Dit il à Renard avec air entendu.

Plutôt huppé ? C'est beaucoup plus que ça. Du moins ce soir. Le tapis rouge est déroulé et les invités, ou plutôt les V.I.P. défilent et saluent leurs connaissances. Pour ceux qui connaissent le moindrement le monde du spectacle moldu, des tas de vedettes circulent et envoie la main à leurs fans. À l'entrée une tout petit homme tout noir, la quarantaine, peut-être devient tout sourire.

- ARWEILLER ! MILFORD ! rugit-il en ouvrant grand les bras. Comment allez-vous ? (en français)
- Durand ! J'suis content de te voir.
- Et ton père, il va bien ?
- Que des grandes causes ! Durand, j'peux te demander un truc ?

Durand accepte, donc Arweiller se penche à son oreille et lui dit quelque mots. Le regard de Durand s'éclaire.

- Ah, oui, bien sûr ! Pas de problème. Hé, toi, viens ici ! Donne-moi ça. Allez, tenez-vous deux ! Il tend deux pass à Donoline et à Coeurd'Acier. Allez, entrer, j'viendrai vous voir plus tard.

Et il les laisse en plan, allant s'occuper de prochains V.I.P. à entrer.

[HJ : pas le temps de terminer, même pas le temps de mettre les couleurs. J'arrangerait tout en revenant, mais vous pouvez poster si vous voulez.]

Des célébrités moldues... Un beau terrain de chasse... ou du moins de reconnaissance.

Sortant quelque chose de sa poche, Halewyn se emt des bouchons aux oreilles. Magiquement trafiquées pour qu'elles diminuent cette musique sans diminuer les voix humaines. ca évite des pétages de cables.

Il regarde partout, analysant tout, du tapis rouge à Vanilla Ice, le chanteur rap, qui vient d'arriver avec une lolita au bras. Un pass V.I.P. se balance alors devant ses yeux.

Merci.

Dit il, emboitant le pas. Il sait qu'il détonne un peu dans ce décor branché. Mais pas tant que ca, le look punk est à la mode. Mais il y a des fautes impardonnables de goût dont le fameux jumelé rose fluo et noir.

A l'intérieur, il sourit. Il adore ce genre de boites. Une mezzanine plus haut permettant de prendre un verre tranquille tout en reluquant la faune déchainée. des cubes de danse stratégiquement répartis autour de la dite piste. dans un genre d'aquarium, le DJ met l'ambiance... Les lumières stroboscopiques permettent des zones d'ombres dont il est friand.

Les fenêtres sont opacifiées, mais permettent un échappatoire rapide en cas de besoin... Oui, c'est extra cette boite. Même la musique n'est pas trop pourrie.

Bref... C'est super... Si ca ne serait pas de ce vestiaire qui demande à ce qu'on leur laisse les manteaux.

Simon vient galamment prendre le manteau d'Ann et dépose un baiser sur l'épaule dénudée. Ils s'échangent un sourire complice tandis qu'elle glisse un doigt sur ses lèvres. Un contact loin d'être innocent. Simon s'éloigne pour aller porter son manteau et celui d'Ann en même temps. Milford reste seule avec les deux sorciers.

Elle leur adresse un sourire avant d'attrapper trois verres qui pasent à sa porté, sans vraiment se soucier de ce qu'ils contiennent. Elle leur en tend chacun un.

- Le truc c'est de se donner une chance d'être un peu engourdie avant de se rendre compte que c'est très ennuyant.

Très joli corsage, qu'elle porte, révélant beaucoup de peau, mais rien de choquant vu sa silhouette filiforme, retenu avec très peu de ficelles. Simon revient et vole le verre d'Ann et en prend une longue lampée.

- T'aurais pu m'en prendre un.
- On va dire qu'il était pour toi.

Il lui attrappe un verre, à la teinte beaucoup plus rouge, plus fruité... plus cocktail de fille quoi.

- Un échange ?
- Oh non, le coffre à bijoux à 4h...
- Merde...

Ils ont l'air terrifié quelques secondes, puis pouffent de rire.

- Arweiller !
- Milford !
- Aaaaah, Rubis ! Quel plaisir !
- Saphir ! Ça fait longtemps !

En faisant l'accolade à la dénomée Saphir de bleue vêtue, Ann lance une oeillade à Halewyn et Théo en grimaçant.

- Rocstone n'est pas là ?
- Malheureusement, Ambre, il n'a pas pu venir.
- Vous savez ce que c'est quand il fixe sur une.

Ann grimace.

- Fixe est un bien grand mot, vous connaissez Rocstone.
- Nan, il fixe, j'vous jure.

Le coffre à bijoux grimace et semble très désappointé par la nouvelle. Simon reprend le tout à son avantage.

- Vous en faites pas, j'vous laisserai pas tomber. Et en plus j'vous apporte de la chair fraîche. Donoline et... euh... Van Houtte.
- Comme le café ?
- T'es toujours aussi perspicace, Rubis.

La pierre précieuse glousse, visiblement ravie du compliment.

Pendant que Simon enlève galamment le manteau de Ann, Halewyn bataille pour garder le sien. Une chance, dans la pénombre, le manteau de cuir peut se métamorphoser en veste du même cuir sans trop attirer l'attention. Le préposé au manteau n'en crois pas ses yeux... Se les frotte avant de bafouiller une excuse.

Ca va... Ca peut arriver à tout le monde de se tromper.

Lui répond il en lui refilant un pourboire pareil. Sujet clos. Se tournant vers Ann, il sait apprécier son corp filiforme, sans artifices. Ca change.... Il a soudain le gout de couper une ou deux ficelles, juste pour se marrer. Mais bon, tiens toi Halewyn, on n'est pas n'importe ou.

- Le truc c'est de se donner une chance d'être un peu engourdie avant de se rendre compte que c'est très ennuyant.

Pourquoi tu viens perdre ton temp ici si c'est ennuyant?

Simon revient, chipe le verre et boit dedans. Hale regarde le sien et renifle moqueusement. Un bloody mary... Il n'aime pas l'alcool à part un whiskey de temp en temp... Donc, le verre reste intouché.

- T'aurais pu m'en prendre un.
- On va dire qu'il était pour toi.
- Un échange ?
- Oh non, le coffre à bijoux à 4h...
- Merde...

Levant la tête, il apercoit le dit coffre à bijoux. 5.... femmes? filles? Elles ont l'air de gamines, propablements mineures, ou tout du moins des filles de riches blasées. C,est quoi cette thématique des couleurs? Ca donne mal aux yeux.

- Arweiller !
- Milford !
- Aaaaah, Rubis ! Quel plaisir !
- Saphir ! Ça fait longtemps !

Hypocrisie bourgeoise. Il a connu... Ca lui pue au nez. Un oeil à Théo, puis il reluque le menu. Une rouge, une bleue que Ann acceuille avec la grimace. Une argentée, une émeraude et... Une ambrée. Ah Merde! Il fait un pas de côté pour éviter que cette dernière ne le touche.

- Rocstone n'est pas là ?
- Malheureusement, Ambre, il n'a pas pu venir.
- Vous savez ce que c'est quand il fixe sur une.
- Fixe est un bien grand mot, vous connaissez Rocstone.
- Nan, il fixe, j'vous jure.

Les 5 costumées grimacent... Manifestement, ce Rocstone a la cote. Le verre à la main, il contemple ce qui s'offre à lui. Il n'a pas le goût de baiser de femelles ce soir. Mais un petit flirt n'a jamais tué personne. Il ne s'en fait pas pour Théo.

- Vous en faites pas, j'vous laisserai pas tomber. Et en plus j'vous apporte de la chair fraîche. Donoline et... euh... Van Houtte.
- Comme le café ?
- T'es toujours aussi perspicace, Rubis.

Le rubis et le saphir se tourne vers lui, le matent de haut en bas, de bas en haut et sur le travers. Par chance, l'émeraude, l'argentée et l'ambrée semblent trouver la bouille sympathique et gênée de Donoline plus de leur goût. Il se sent comme un steak à l'étal du boucher.

Prenant les devant, il s'incline devant ces moldues, leur fait un baise main. Dans un francais impeccable à l'accent british.

Oui, comme le café mesdemoiselles... Que des bijoux tel que vous se cache dans le sombre écrin de cette discothèque est un outrage à votre beauté.

La Rubis devient écarlate, la saphir devient mauve de gêne... Pas habitué à la galanterie hein? La première est la jumelle identique de la seconde, si ce n'est leur couleurs. Une a les levres, maquillages de yeux, cheveux, ongles, habit de cuirette se voulant futuriste d'un rouge outrageant, la seconde, identique mais en bleu. Un bleu électrique. Il jette un oeil à Théo et ricane un peu, il est carrément pris à l'abordage le chasseur.

Charmées( leur faut pas grand chose), le rubis et le saphir se collent à lui comme des sangsues. Ann peut voir l'irritation de son regard. Il est évident pour l'apothicaire qu'il lui faut un truc pour se détendre, et aussi qu'il n'acceptera rien d'elle.

PNJ AMBRE, EMERAUDE ET ARGENT

Ambre - Donoline ! Charmant, simplement charmant

Elle fait une ravissante moue boudeuse. La verte l'assaille de l'autre côté, Passe un doigt dans une boucle sombre et joue avec. collant son jeune corp contre celui du Chasseur. C'est la loi immuable dirait Halewyn, ancré dans les gènes. La bouille sympathique de Théodore attire plus que l'air neutre et distant de l'assassin, c'est certain. Elle lui murmure, enjouée

Emeraude - Voyons, ce n'est pas du jeu.... Mais tu est tellement mignon! On va t'accorder cette manche, N'est ce pas Silver?

La dite silver est occupée à passer ses mains sur la veste, derrière Théodore. Elle aussi se plaque sur lui, le caresse Une de ses tresses argentées est brièvement visible pour l'homme.

Silver- Oh, moi je suis prête à le laisser gagner toutes les manches qu'il désire.

Manifestement, c'est une tactique de drague soigneusement élaborée. Les trois disent en coeur en le trainant vers la piste de danse.

les 3-Oh oui... T'es trop notre style de mec! Viens danser, c'est la fête!!!

Ambre - Donoline ! Charmant, simplement charmant

Elles se collent contre lui et lui...doit avouer qu'il ne sait plus trop comment réagir à cet assaut. Sourire charmeur aux lèvres, il passe un bras doucement autour des épaules de la rouquine...Puis la verte joue dans ses cheveux avec amusement...

Emeraude - Voyons, ce n'est pas du jeu.... Mais tu est tellement mignon! On va t'accorder cette manche, N'est ce pas Silver?

Silver- Oh, moi je suis prête à le laisser gagner toutes les manches qu'il désire.

Toutes les trois contre lui, elles ne le laissent pas de glace évidement. Le tirant par les bras, il se rend avec elles, un dernier regard mi exaspéré, mi fou de joie à Hale avant qu'elles ne s'écrient en coeur

les 3 - Oh oui... T'es trop notre style de mec! Viens danser, c'est la fête!!!

Il ne bronchera pas bien sûr, se rendant là bas avec elles, il n'est pas un danseur extraordinaire mais avec son trio, il attire les regards malgré une certaine timidité...

----------- PNJ RUBIS ET SAPHIR-------------------------------------------

Collées à l'assassin les deux pierres soupirent de bonheur. Un mystérieux. Juste ce qu'elles appréciaient. Remerciant du coin de l'oeil Arweiller et Milford pour ce beau morceau de viande, elles passent chacune de leur côté les mains sur les épaules de Hale...Des chattes...Elles y sont comparables à se frotter comme ça...

Rubis - Dites nous monsieur Van Houtte... Vous...savez sûrement danser...?

Saphir - Vous n'allez quand même pas nous priver de vous voir vous déhancher n'est-ce pas ?

Disent-elles presque d'une même voix, presque pareille à une intonation près, c'est comme si c'était la même phrase qui se suivait de deux bouches différentes...Elles font les beaux yeux, battent allègrement des cils et tout comme les précieuses pierres dont elles portent le nom, elles brillent d'un éclat sans fin sous les lumières de la discothèque.

Milford et Arweiller regardent le coffre à bijoux faire son numéro. Simon se retient pour ne pas éclater de rire tandis que Ann fait semblant de regarder ailleurs. Si elles savaient ce qu'elles ont sous la main, elles feraient peut-être attention. Mais voit Halewyn se déhancher sur une piste de danse intéresse Ann au plus haut point. Elle n'a jamais vu Halweyn s'amuser. Même avec elle, ça ne l'amuse pas, c'est animal. Ça ne déplaît pas à la pétillante rousse, mais le voir amusé serait un phénomène intéressant à observer.

Arweiller passe derrière Milford et l'enlace par la taille et vient enfouir son visage dans ses cheveux. Il lui murmure à l'oreille.

- C'est puissant ton truc, c'est quoi ?
- Tu t'y connais en plantes ?
- Pas du tout.
- Alors c'est inutile que tu le saches.
- Van Houtte, ça ne lui tentait pas, hein ?
- Il voudrait être à des miliers de km d'ici.
- Il fait de gros efforts... et les bijoux vont tout foutre en l'air.
- Faudrait le détendre.
- Comment ?

Le regard de Milford s'illumine, comme s'il venait de lui murmurer quelque chose de particulièrement osé à l'oreille. Elle se retourne et l'embrasse délicatement puis lui tapote la joue.

- Fais-moi confiance.

Avec le pique, elle farfouille dans son cocktail à la recherche de la cerise, puis approche lentement d'Halewyn aux prises avec le duo précieux. Il vient tout juste de proposer aller chercher quelque chose. Elle l'arrête et se plante devant lui, jouant avec la cerise dans son verre.

- Arweiller peut aller les chercher les verres. Tu veux bien Arweiller ?
- J'suis pas ton esclave.
- Fais-pas ton chiche, Arweiller.
- Ramène-moi un RedDevil.
- Et moi un BlueAngel.
- Comme d'habitude, Arweiller, dit Ann, sans quitter Halewyn du regard.

Simon grogne quelques mot impossible à déchiffrer et va chercher les verres. Pendant ce temps, Ann regarde le rubis et le saphir et secoue la tête.

- Vous n'y êtes pas du tout, les filles. C'est un mythe.
- Un mythe ?
- Ne me dis pas que tu... oh...

Le sourire d'Ann est sans équivoque et provoque une légère frustration chez les deux pierres précieuses. Ann reste à distance respectable d'Halewyn, lui laissant une vue imprenable sur son corsage.

- Si vous lui forcez la main, vous n'aurez rien. Il faut lui proposer.

Elle hausse les épaules et vide son verre de cocktail, plante le pique dans la cerise. Et vient la porter à ses lèvres. Juste avant d'avoir une parfaite feinte de "oh, j'ai une idée". Au bout du pique, elle tend la cerise à Halewyn et lui adresse un sourire et une oeillade à faire craquer une gargouille de pierre.

Ce type de musique ne colle pas tellement au style de Théo...Ça c'est certain... De plus on ne peux pas vraiment dire qu'il a eu le temps d'être réchauffé avant de monter sur la piste...Avec une certaine timidité, il danse avec les trois pierres précieuses qui ne mettent pas beaucoup de temps à changer leur innofensifs déhanchements en véritables avances...Elles se trémoussent et se frottent ardament contre lui...Qui toujours reste plutôt coincé...Il n'est que rarement sorti en boite et c'était habituellement avec des gens plus sages...Coincé entre les trois chattes qui ronronnent contre lui, il hésite à entâmer des mouvements plus ancrés dans le thème du laisser-aller.

Léger déhanchement plutôt bloqué, limité, il sourit, mal à l'aise. Il aurait besoin d'un remontant et son verre a peine entamé est resté sur un comptoir près du plancher de danse, mieux valait ne pas y retoucher, c'est pas très prudent dans un bar de laisser son verre à tout va...Plus ça va, plus elles sont aguichantes les triplées précieuses...Se mordant les lèvres en tentant difficilement de retenir ses instincts...Il est trop coincé Le Chasseur...

[HRP - tipost...]

Arweiller peut aller les chercher les verres. Tu veux bien Arweiller ?
- J'suis pas ton esclave.
- Fais-pas ton chiche, Arweiller.
- Ramène-moi un RedDevil.
- Et moi un BlueAngel.
- Comme d'habitude, Arweiller

Elle a le moldu à sa main, c'est indiscutable. Le regard rivé sur celui hétérocromique de l'apothicaire, il se demande ce qu'elle va faire comme entourloupe.

- Vous n'y êtes pas du tout, les filles. C'est un mythe.
- Un mythe ?
- Ne me dis pas que tu... oh...

La frustration des jumelles est palpable. Désolé mesdames, mais la viande n'est pas aussi fraîche que vous pensiez. Elles pensaient quoi, qu,il était puceau avec ca?

Il baisse la tête pour suivre la rousse, elle s'arrête juste à distance respectable.Il a une vue imprenable qui va jusqu'au nombril.Sourire en coin, les yeux d'acier se baissent sur la liane, matant le spectacle offert.

- Si vous lui forcez la main, vous n'aurez rien. Il faut lui proposer.

Elle fait quoi là? Lui offre la cerise de son verre? Le regard s'Assombrit une fraction de seconde. Bon, elle a bu de son verre, donc le liquide n'est pas empoisonné. La cerise trempait dans le fond du dit verre et, en plus, elle l'a touché de ses lèvres avant de lui offrir. Et en plus, ca va donner un indice du type de femme que les deux rapaces autour de lui sont. Provocation pure et simple.

Les yeux dans ceux de Ann, son sourire baveux aux lèvres, il lâche la rouge à dessein, prends le pic à cerise. Le pose sur la bouche de Ann, sur ses lèvres closes. Si elle vient pour croquer dedans, il retirera le fruit simplement pour le reposer sur les lèvres closes, provocateur.

Il se penche vers elle, va chercher la cerise en même temp que les lèvres de la rousse. Puis il se redresse, croquant dans celui ci, c'est juteux pas mal... devait faire longtemp qu'il a mariné dans un pichet.

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Le trio du Mc Do ( AMBRE- EMERAUDE ET SILVER)

La gêne de Théodore les amusent, mais elles commencent à le trouver pas mal coincé du string. Un bref regard de concertation et les trois damoiselles montent à l'assaut une fois de plus.

Tu n'a jamais dansé?

Si c'est mignon!

Une main passe de nouveau dans les boucles de Théodore. Par une éclaircie dans la foule, il peut voir la passe de la cerise plus bas. Hale non plus ne s'ennuit pas semble t il.

Un corp chaud et ferme se plaque au sien sans vergogne, le ramenant à des préoccupations plus immédiates. Deux, non, quatres mains fines se posent sur ses hanches pour les faire balancer plus en rythme. La 5e et 6e mains... On ne dira pas ou elles se posent, fort brièvement.

Laisse toi aller! Nous allons te montrer. Si on te gêne, ne t'en fais pas, nous avons toujours TOUT fait ensemble.

Le tout est explicite. La silver fait un mouvement, se retrouve devant lui l'ambrée. L'adoration se lit dans ses yeux.

Le stratagème a fonctionné à merveille. Et puis son but n'était pas de le tuer, loin de là. Elle y avait pensé quelques semaines plus tôt, mais ce soir, elle n'en avait pas envie. Elle était plutôt d'humeur festive. Probablement à cause de ce qu'elle s'était elle-même administré comme cocktail de capsules.

Elle a le regard d'une chate satisfaite, fermant les yeux à moitié, puis elle jette un regard provocateur aux deux bijoux.

- Vous voyez, les filles, faut le laisser prendre, pas l'obliger à prendre.

Elle sursaute et se fige, inspirant brusquement. Elle se retrourne d'un coup et de retrouve face à face avec Simon, qui la regarde, rapace. Il vient de lui coller son verre glacé dans le bas du dos et semble très satisfait de la réaction produite.

- Le verre de mademoiselle est servi.
- J'ai failli attendre.
- T'étais beaucoup trop occupée, réplique-t-il, avec un léger ton de reproche.
- La fête peut vraiment commencé maintenant.
- Alors allons en profiter. BlueAngel pour Saphir, RedDevil pour Rubis.
- Avec bonus en prime.

Et elle montre subtilement aux deux bijoux une capsule entre ses doigts. Le regard de Rubis et de Saphir se fait avide et elle prennent verre et capsule sans hésitation et les avalent sans plus de cérémonies. Milford en donne une à Simon, puis en prend également une, puis jette un oeil à Halewyn.

- Toi t'en veux pas je suppose, hein ? Je m'en doutais. J'vais aller approvisionner les filles.

Et Ann s'éloigne, attrappe le verre de Théo, roulant des hanches, vers le groupe formé de Théo sous une marée de bijoux. Ambre est devant Théo, alors elle lui tapote délicatement sur l'épaule.

- Ambre ? T'en veux ?

Durant quelques secondes, les bijoux oublient Théo pour se tourner vers Ann, aussi avides que les deux autres. Elle leur donne la leur, puis en propose une à Théo.

- Ça va te détendre. Faut pas t'en faire, c'est moi qui les ai fait. Faut que tu t'amuses pleinement, comme lui, non ?

Plus loin, Simon détaille Halewyn un moment, puis lui tend un des verres qu'il a ramené.

- Je savais pas ce que tu voulais, alors j't'ai prit comme moi. Un Whiskey. Bon, c'est pas du pur feu, mais bon.

Ambre - Tu n'a jamais dansé?

Emeraude - Si c'est mignon!

Il rougit...Il est coincé et il le sait...Il devrait boire plus, ça détends...Ambre se trouve devant lui, elles sont terriblement agaces ces trois là. Prenant un profonde inspiration, il tente de les suivre et quelque part ça a une certaine classe...Si il se force un peu, il arrive pratiquement à avoir l'air sexy...Posant les lèvres sur celles des trois bijoux autour de lui, une à une, il sourit...déjà les mouvements de Théo se font un peu moins serrés. Puis la scène de la cerise plus loin le fait oublier pendant quelque secondes son buffet de bijoux...

Bien sûr avant qu'elles ne le reprennent d'assault...Il a du mal à les suivre...Il n'a presque rien bu est est déjà grisé! Mais c'est sans doute du au flot d'hormones...Puis alors que les mains se font baladeuses, et non seulement celles des filles d'ailleurs, Milford se pointe derrière Ambre...

Milford - Ambre ? T'en veux ?

Le groupe se retirant lentement du plancher de danse, les trois filles semblent avides, de vrais vautours...Elle se pressent autour de l'apoticaire...Il sait que c'est sans doute le même truc qui rendait les yeux de la rousse si humides quelques minutes auparavant...Les trois d'ailleurs semblent avoir oublié Le chasseur mais lui aussi d'ailleurs par curiosité semble avoir perdu son attention pour elles. Elle en donne à chacune puis se tourne vers Théo...

Milford - Ça va te détendre. Faut pas t'en faire, c'est moi qui les ai fait. Faut que tu t'amuses pleinement, comme lui, non ?

Le regard se tourne vers Hale plus loin qui semble se complaire avec ses jumelles...Il ne compte pas le déranger d'ailleurs...C'est étrange de voir l'assassin comme ça..C'est rare qu'il se laisse tenter au laisser-aller...Le chasseur attrape une capsule à son tour puis l'avale sans se demander ce qu'elle peux contenir...C'est pas le moment de se poser des questions, fait confiance à celle qui s'y connaît...se dit-il alors que la petite pillule fait son chemin dans sa gorge pour se rendre à son estomac...Il prends son verre des mains de Milford avec un sourire en coin avant de le vider en quelques secondes...Hmph...L'effet n'est pas long avant qu'il ne se sente légèrement étourdi d'avoir avalé un verre de rhum aussi vite.

Attrapant ses triplées par les épaules, son bras n'est pas assez long pour atteindre l'autre bout de l'épaule de Silver mais peu importe. Il les raporte sur le plancher de danse, bien décidé cette fois que rien ne l'empêcherais d'être direct...autant qu'elles si possible.

---------------- PNJ RUBIS ET SAPHIR--------------------------------------

Leurs verres à la main, leur pupille se dilatent lentement alors qu'elles prennent de longues gorgées de leur verres...calmes et sereines, elles s'approchent de l'assassin. Rubis lève vers l'assassin un regard plein de sous entendus...

Rubis - Alors...On est plus tenté de venir faire un tour sur le plancher de danse maintenant ?

La bleue s'approche pour passer une main sur le torse du beau noir, levant vers lui des yeux presque supliants...

Saphir - On a assez attendu non? Allez vous vous êtes assez laissé désirer...

Rubis - En plus cette chanson est bien!

Et sans lui laisser le temps de prendre le verre que lui propose Arweiller, elles l'entraînent vers la marrée dansante sous les lumières brillantes...Danse semblable à celle des triplées de Théo, aguichante, langoureuse, déhanchements et caresses du bout des doigts, elle tentent leur chanse, prennent le risque auprès de l'assassin...Mêmes rires que Milford quelques minutes plus tôt...Ce n'est pas un rire sobre...

Wow, effet boeuf et immédiat. Il n'a même pas le temp de la traiter de sale garce.

La musique diminue d'intensité, les couleurs se font plus vibrantes. Tout vibre en lui, l'air, la lumière stroboscopique, les sons. Il peut goûter les sons et et voir les odeurs. Il se sent comme dans un nuage. Plus de calculs à faire, plus besoin d'être sur le fil du rasoir pour survivre.

Il n'a pas plané comme ca en fait depuis le jour ou il a avalé un truc que son mentor lui a refilé pour fêter sa majorité. Génial. En lui, Phoenix aussi plane solide...Mais son trip à son alter ego est indescriptible. Un peu plus et des fleurs pousseraient sous ses ailes.

Le sourire sarcastique devient franchement appréciateur tandis qu'il la regarde rouler des hanches parmis un kaléidoscopes de fumée multicolore. Dans son trip, il enlève ses bouchons... Une douce euphorie s'empare de ses sens, les engourdis légèrement, lui rendant les contacts physiques agréables.

Fermant les yeux, il inspire doucement une deux et trois fois, se grisant encore plus sous cette déferlante de sensations. Il pose ensuite des prunelles d'un saphir étonnant sur Saphir et Rubis. Il tend la main pour prendre le whiskey de justesse et y arrive. Les deux bijoux l'entrainent sur la piste. Il est moins raide, plus coulant, comme un tissus fin mais extrêmement résistants.

Croisant Ann, il pose un regard sur elle, surprenant le changement opéré. Il est une tout autre personne. La main de l'assassin descend de chaque côté dans le creux des reins des deux bijoux. Croisant le quatuor, il plonge le regard dans les prunelles noisettes de Théodore. Sans le filtre devant ses yeux, il est encore plus séduisant, son charisme décuplé par l'air affable qu'il affiche. Un sourire ... joyeux? Ouioui!!! Sur sa gueule.

Envoie les en l'air toutes les trois.

Un clin d'oeil et il va avec les jumelles un peu plus loin. Pendant les heures qui suivent, alcool, drogue et dansent marquent les points saillants de cette soirée. L'assassin se révèle un excellent danseur, jouant carrément avec ses cavalières de manière presque indécente. Ann prenant soin d'entretenir l'état euphorique d'Halewyn cela va de soi.

Il fait même danser un rock and roll d'enfer à Ann.

Parfois, les bijoux s'interchangent, L'émeraude, Rubis et la silver passant de l'un à l'autre homme. Mais Saphir a jeté son dévolu sur un et, par chance, l'ambre semble totalement folle de Théo.

A 3 hres du matin, le Dj annonce le dernier slow... Il n'y a presque plus personne... Non, il n'y a plus personne sauf le groupe de joyeux fêtards

Quand la musique prend fin, Durand saute littéralement sur Milford et Arweiller, les larmes aux yeux.

- *en français dans le texte* De fut prodigieux ! Splendide ! Wonderful comme vous dites, vous les anglais ! C'est pour ça que vous êtes toujours les bienvenues !
- Oui, c'est vrai. Arf, Durand, ne fait pas allumer les lumières maintenant.... on peut sortir avant ?
- Oh, ous ne restez pas prendre un dernier verre ? vant de partir ?
- Nan. Quand la fête est terminée, Milford s'en va fêter ailleurs. J'vous invite chez-moi !
- Vous étiez pas à l'hôtel ?
- C'est ça. Ce soit, chez moi, c'est l'hôtel.
- Vous venez avec nous les bijoux ? Vous venez aussi Van houtte et Donoline ?
- Avec l'air qu'ils ont, si Donoline conduit, ce sera tragique.

Langoureuse, le regard à peine vague, Ann se glisse contre Théodore et lui fait les poches, question de le délester de ses clés qu'elle lance... aux pieds de Durand. Elle éclate de rire et les bijoux l'imitent.

Arweiller, lui, tend ses clés à Durand, le sourire figé des fins de veillées.

- J'vous les envoie à la première heure demain.
- Tu fais attention, c'est la voirture de mon père.

Ann éclate de rire à nouveau et Simon rigole mollement.

- Allez, on s'en va. Allez, Durand, ce fut un plaisir ! Tu me rappelel quand tu veux. Ah non. Enfin, t'appelle à mon bureau, parce que je serai presque jamais là. Enfin, utilise le courrier, ce sera plus simple. Je serai en déplacement constant pour la prochaine année, donc... bref... qui m'aime me suive !

Le trajet pour se rendre à l'hôtel est presque silencieux, chacun à son tirp personnel se concentre pour mettre un peid devant l'autre sans s'affaler. Les bijoux ont beaucoup bu, mais elles sont encore en forme. Tant mieux.

Ann et Simon devant, ils se bousculent de temps en temps et rigolent, puis ils se retournent et leur fon signe de ne plus faire de bruit. Dans l'hôtel le plus chic de Bruxelle, fallait faire un minimum attention aux autres.

Ann leur donne une dernière capsule et l'ascension dans l'ascenseur se fait très langoureusement. Plus tard, ils se souviendront à peine du trajet entre le Placard et l'hôtel.