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 Sur un air de piano.... [ LIBRE ]

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Barty A. Mullet

Barty A. Mullet


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MessageSujet: Sur un air de piano.... [ LIBRE ]   Sur un air de piano.... [ LIBRE ] EmptyVen 4 Jan 2008 - 18:18



Sur un air de piano.... [ LIBRE ] Rose_rosee


La petite Barty ne savait vraiment que faire. Elle parcourait les étages sans se presser à la recherche de quelque chose qu'elle pourrait bien faire. Travailler ces vacances serait difficile pour elle et s'amuser sous cette grisaille n'était pas très plaisant. Depuis neuf heures, elle était levée, habillée, toute prête mais ses copines elle préféraient rester au lit. Barty, jamais ! Elle faisait une tonne d'exercices dès le matin après son petit déjeuner : courir, sauter... Dès son levé, elle était en pleine forme. Mais les élèves, de leur côté, préféraient rester bien au chaud sous leur couette bien chaude. Les couloirs étaient donc desepérément vides.

A présent, il était dix heures trente minutes, sur sa montre. Elle montait les escaliers du cinquième étage vers le sixième étage. Elle avait croisé plus bas quelques élèves sans intérêt ou qu'elle connaissait peu. Elle se balada dans les couloirs et tomba face à face avec la porte de la salle de répétition. Au début, elle continua son chemin sans y prêter grande attention. mais son envie de jouer du piano était trop forte... Après avoir tourné en rond quelques instants, elle abaissa la poignée de la porte. Une large salle apparut devant elle. Elle était remplie d'instrument de toutes sortes. La jeune fille s'avança et referma délicatement la porte derrière elle. A vrai dire, Barty était quelqu'un de discret mais ce n'est pas le plus important en ce moment. A cet instant, un large sourire s'affiche sur son visage. Ses yeux son rivés sur le piano à queue laqué noir. Elle en fait le tour... Il est exactement pareil que celui de la maison... Ce n'est pas la première fois que Barty vient par ici mais elle n'aime pas trop être seule dans une grande pièce. Par conséquent elle se rue dans les endroits bondés plutôt que tranquilles. Chacun ses choix... La Rouge et Or s'assit sur le petit tabouret recouvert de velour rouge bordeau, à la maison c'est un simple tabouret en bois alors que celui-ci paraît appartenir à un virtuose. Elle ne devait pas perdre l'occasion d'être tranquille pour s'exercer. Voyons qu'allait-elle donc pouvoir bien jouer... ? Excellente question. Puis un morceau calme et relativement simple à jouer lui vint à l'esprit. Elle l'avait appris il y a deux ou trois ans, elle ne savait plus exactement. Elle fit quelques games afin d'être sûre que le bel instrument soit correctement accordé. Puis, elle laissa aller ses longs doigts fins sur les touches glacées...

Elle jouait un magnifique morceau appelé "My love, so sweet". Son professeur avait été fier qu'elle sache le jouer aussi bien. Et elle était fière d'elle. Les notes sonnaient parfaitement à son oreille et elle ressentait la même sensation que d'habitude : celle de s'évader. Elle sortait enfin de cette prison, de cette solitude. Elle rentrait dans le monde magique qu'elle s'était créé autour de la musique. Là, elle pénétrait dans sa forêt au mille notes de musique... Magnifique. Sublime. Extraordinaire. Il n'y avait pas d'autres mots. Alors qu'elle était à peu près à la moitié du morceau, Barty entendit loin, très loin, une porte s'ouvrir et des pas qui résonnait près d'elle. Mais la petite rose ne s'arrêta pas pour autant. Elle redoubla de force et de conviction dans sa musique, elle courait à toute vitesse au coeur de sa forêt, fermait les yeux... Mais tout à une fin même les plus belle choses. Son rêve s'acheva sur les trois dernières notes qui retentirent et elle rouvrit les yeux... Alors qu'elle reprenait son souffle après son fabuleux périple, elle entendit derrière elle une voix dire :


The Voice - " C'était très beau."
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MessageSujet: Re: Sur un air de piano.... [ LIBRE ]   Sur un air de piano.... [ LIBRE ] EmptySam 5 Jan 2008 - 13:58

    Il était inhabituel que les frères Avery se disputent ou ne traînent pas ensemble dans les couloirs de Poudlard. Pourtant ce jour-là, Grayson marchait seul, les yeux fixés sur le sol en pierres, les mains enfoncées dans les poches de sa cape dont les pans tombaient avec souplesse le long de son dos. Il déambulait à travers les couloirs et affichait un air contrarié. Il avait de quoi être contrarié puisqu'il venait de sortir d'une heure de colle matinale en compagnie du charmant concierge Eoghan Fowl. L'espace d'un instant, Grayson se demanda ce que la belle Ora Limantainen, professeur de divination, pouvait bien trouver à ce type. Grayson avait mal aux mains. Il avait l'impression que ses phalanges avaient été brûlées à l'aide d'un fer à lisser. Ses mains étaient rouges vives, sa peau était irritée. Pendant deux heures, le jeune homme avait dû frotter sans relâche des chaudrons en étain salis par une potion visqueuse et verte qui devait dater de la révolution des Gobelins vu à quel point elle était sèche et s'accrochait aux rebords du chaudron. Grayson avait dû frotter à mains nues, munis d'une vieilles éponge impibés d'un produit décapant qui avait aussi bien décapé sa peau que le chaudron. Neuf chaudrons l'attendaient quand il avait pénétré chez Fowl. En plus, il faisait un froid glacial dans son bureau. Comme si le concierge vivait à l'âge de pierre et ne connaissait pas le feu ! Vous vous interrogez sûrement sur le pourquoi du comment Grayson Avery avait été puni ? Eh bien c'est très simple...

    La veille - Grayson s'installa à la table des Gryffondors à l'heure du dîner. La nouvelle directrice de Poudlard, Amy Swann, et ses collègues dînaient tranquillement au centre de la pièce. La plafond magique affichait un ciel sombre et nuageux dans lequel tonnaient de nomreux éclairs. En s'asseyant, Grayson poussa son frère Peers afin qu'il lui fasse un peu de place et se servit une part de tarte à la citrouille. Il mourrait de faim. Quelques tables plus loin, chez les Serpentards, une jeune fille à la longue chevelure d'un noir de jais se leva, l'oeil méchant. D'un mouvement discret, elle saisit sa baguette, se déplaça le long des tables des maisons et gagna celle des Gryffondors où elle accosta Grayson.

    Gwen - "Alors Avery, toujours en vie ?"
    Gray - "Ouai, comme tu peux le voir... 'Fin chais pas si t'y vois grand chose avec les culs de bouteille qui te servent de lunettes ?"

    A ce moment-là, la vert et argent prit la mouche. D'un geste, elle sortit sa baguette, entrouvrit les lèvres mais Grayson avait anticipé son mouvement et lancé avant elle le sortilège "Aguamenti" si bien qu'en quelques secondes, la fille se retrouva trempées de la tête aux pieds. Ses longs cheveux noirs mouillés collaient le long de son visage et lui donnait l'air d'une chauve-souris qui aurait malencontreusement rencontré une serpillère. Mais ce fut à ce moment précis que le concierge passa.

    Concierge - "AVERY ! Je vous y prends enfin ! Demain vous aurez deux heures de colle !! Et Dix points en moins pour Gryffondor !!"

    Voilà pourquoi ce matin-là, alors qu'il aurait très bien pu rester sous sa couette à rêver qu'il déplumait une dinde de Serpentard, le jeune Avery se retrouva seul à errer dans les couloirs. Soudain, son attention fut captée par une douce mélodie sembla venir de la salle de répétition. Intrigué, le rouge et or accèléra le pas et sans faire un bruit, il poussa la porte de la salle pour découvrir une fille de sa maison en train de jouer. C'était une cinquième année, toute discrète, qu'il avait aperçu à plusieurs reprises. Mince, son prénom lui échappait : Mary ? Harry ? Larry ? Quand elle eut fini, il frappa dans ses mains et dit :

    Grayson - " C'était très beau. Tu es très douée !"
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Barty A. Mullet

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MessageSujet: Re: Sur un air de piano.... [ LIBRE ]   Sur un air de piano.... [ LIBRE ] EmptyDim 20 Jan 2008 - 18:13

HJ : Je m'excuse pour cette absence et énorme retard, j'ai eu pas mal de problémes informatiques. Donc pour me faire mardonner, j'ai fait une réponse où j'ai donnée le meilleure de moi même, en esperant que ça te plaise !


Sur un air de piano.... [ LIBRE ] 544427604_2a90317274

Précipitamment, elle se retourna au son de la voix et des clappements. Peut-être un peu trop vite étant donné qu’elle avait le cu par terre. Honteuse et rougissante, elle se releva pour faire face à l’intrus. Grand, brun, elle le reconnaissait, c’était un des deux jumeaux. De toute façon qui ne les connaissait pas….peut être le binocle à lunettes, très intello qui ne voyait rien a part ses livres. En gros, tout le contraire des jumeaux : bruyants, farceurs et populaires.

Heureuse que le morceau lui ait plu, elle lui dit :

- Merci et oui, je suis douée.

Gênée, elle l’était. Après tout, elle n’avait pas l’habitude de parler un inconnu aussi charmant soit-il. Il faut bien l’avouer, les jumeaux la fascinaient, ils étaient sûr d’eux, toujours à l’aise quelle que soit la situation et le sourire aux lèvres.

Elle se rendit comte qu’il ne savait même pas son nom :

Au fait, je m’appelle Barty. Barty Mullet pour être précise.
Calmement, elle s’assit sur le petit tabouret face à le jeune homme. Elle n’avait aucune idée de quoi parler. Mais peut être qu’il ne voulait pas parler. Et aussi peut être qu’il voulait la salle sur Demande.

* Qu’il est beau…. *



Atravers les fenetres, le soleil darda l’un de ses rayons sur le visage enjôleur de la jeune femme assise gracieusement dans le tabouret de la salle sur Demande où elle avait décidé d’élire domicile depuis que elle errait sans but. La jeune femme en question, bougea malicieusement son nez alors que le rayon de chaleur parcourait chacune des courbes de son corps sans la moindre pudeur. Le rayon du soleil s’arrêta sur son ventre totalement plat, jouant avec sa peau, s’enroulant autour du nombril de la jeune fille, caressant une jeune fille au réveil comme un amant passionné.

Il commençait a faire chaud sur ce tabouret, les rayons du soleil n’arrangeaient pas les choses, et Barty fit alors ce que toute personne sensée aurait fait alors, elle se leva et ouvrit la petite fenêtre d’un mouvement unique du poignet.


Tout le monde ici savait qu’elle faisait du sport ou du moins qu'elle cachait bien son jeu, néanmoins, mis a part quelques privilégiés qui étaient moins idiots que la moyenne, personne ne savait réellement qui elle était.

Elle… descendante d’une des familles les plus recherchée, elle, espionne refoulée, non, personne ne savait vraiment qui elle était, même si certain s’en doutais fortement… elle savait ce cacher. Elle savait faire beaucoup de chose. Bien sur les choses basiques tel que lire et écrire… se nourrir et d’autre chose, mais elle savait aussi grimper sur un mur sans aucune autre prise que ses pieds, descendre d’un toit de trois mètre de hauteur sans la moindre égratignure ni la moindre corde, mais il y avait une chose qu’elle ne savait pas faire: aimer.

En effet, cette demoiselle qui faisait plus d’une tête… elle ne savait pas éprouver un autre sentiment que celui de l’indifférence pure et simple.

Comment ne pas la fuir? S’était simple, elle ne laissait à personne le devoir de la fuir, parce qu’elle-même fuyait. Toujours tapie dans l’ombre, elle observait et jamais personne ne la voyait. Dans l’ombre aussi bien que dans la lumière, elle savait ce cachée, elle était transparente sans l’être véritablement.

Barty était déjà tombée sur des personnes douées qui avaient entendu sa présence, sa respiration, son souffle infime. Qui avait vu ses longs cheveux d’un doux brun… qui avait vu ses longues jambes s’accrochées dans un rideau avant qu’elle n’y disparais ce par une quelconque magie… et le fait d’être piégée la poussait à s’améliorée. A présent, elle dépassait de loin le niveau des membres entraîné comme elle de sa famille. Oui, elle était la meilleure… mais elle ne voulait pas de sa famille. Elle ne voulait pas de cela… elle ne voulait qu’une chose, être en paix. Non, elle ne savait pas ce qu’elle voulait.

Un peu déconcertée, elle se laissa lentement glissée le long du tabouret, toujours dans ses pensées. Ses joues se teintèrent de rose sous le changement de température, presque haletante, elle colla ses deux mains au la surface réfléchissante du piano, comme si du plus profond de son être elle désirait aspirer toute la fraîcheur qu’il lui restait de cette journée de solitude comme toutes celles qu’elle avait vécue.

Après plusieurs minutes, elle se rendit compte de la situation et se releva avec toute la grâce dont elle pouvait faire preuve malgré ce semblant de détresse qu’elle éprouvait.
Se jetant un regard critique dans le paroi du piano, elle ne put que sourire hypocritement lorsque ses mains dessinèrent son corps. Un corps qu’elle savait que personne ne toucherait.


Se dirigeant d’une démarche plus que féline vers le piano installé et dépoussiéré dans un coin de la pièce qu’elle avait entièrement réaménagée d’un coup de baguette magique, elle s’y installa, croisant les jambes délicatement, les faisant presque glissée l’une contre l’autre, comme une caresse.

Puis, elle posa ses doigt incroyablement fin sur les touches nacrées et comme tout les matins, un son d’une incroyable pureté en sortit.
Jouant la « lettre à Élise » , elle se rappela ce fameux jour, celui où IL était entré dans le grenier, lorsqu’il l’avait trouvée, jouant de ce même instrument et qu’ils s’étaient mis à jouer ensemble… délice interdit.
Il l’avait ensuite surpris, il l’avait allongé sur le piano et il avait commencer à lui prodigué des caresses qu’elle n’avait jamais soupçonner pouvoir exister autrement que dans les rêves qu’elle avait parfois fait sans être le personnage Principal.


Et, lorsqu’elle avait rouvert les yeux, il n’était plus là, il ne lui avait rien fait, du moins, elle le pensait, parce qu’elle ne se sentait pas différente… elle avait fermer les yeux et il n’était plus revenu. Depuis, elle ne l’avait plus revu. Et qui ne pouvait dire qu’elle l’avait chercher partout, mais non, il avait bel et bien quitter l’école. Pour un temps, du moins, l’espérait elle. Oui, elle l’espérait bel et bien son retour. Juste pour rejouer une fois de plus en compagnie de ses mains sur ce piano nacré.

La mélodie s’acheva lentement, la tirant de ses pensées tristes, elle referma amoureusement le couvercle du piano avant de caresser celui-ci du bout des doigt, comme chaque matin, comme un rituel qu’elle accomplissait pour remercier l’instrument de bien vouloir lui accordé sa musique. Enfin, toujours de sa démarche gracieuse, elle se dirigea vers une chaise tout à l’opposé du piano. Sur celle-ci se trouvait une robe d’une blancheur immaculée, à demi transparente et toujours aussi vaporeuses que les autres, une fois enfilée, elle laissait voir toute les formes de Barty en transparence.

D’ailleurs, barty se dirigea machinalement vers le miroir, la robe toujours en main et sourit a elle-même. Pourquoi mettait t’elle d’aussi jolies robes? Pourquoi se faisait elle aussi jolie chaque jour alors qu’il ne devait pas y avoir plus de deux personnes qui la regarderait? Tout simplement parce que sa beauté était le seul signe extérieur qui lui prouvait qu’elle vivait. D’un mouvement gracile, elle fit passer la robe au dessus de sa tête, levant les bras, elle laissa le tissus glissé sur sa peau satinée aussi sensuellement que si elle était en train de se dévêtir au lieu du contraire.

Puis, elle prit une brosse incrustée de pierreries qui était le seul signe qu’elle appartenait à une ancienne famille richissime et brossa délicatement, presque avec amour sa longue chevelure d’ébène. Une fois cela fait, elle se chaussa d’escarpins doté de haut talon aiguilles si fin que si cela n’avait pas été Barty qui les portaient, le simple fait d’y appuyer le poids d’un corps aurait brisé le talon en deux.

D’une démarche altière et féline, elle se leva de son tabouret et descendit la petite échelle qu’elle aurait pu franchir les yeux fermés tellement son corps lui répondait parfaitement. Ses pas la menèrent bien évidement vers la cuisine. L’un des endroits que la salle avait crée a partir de ses pensées.


Mais, ce jour là, lorsqu’elle entra doucement dans la cuisine… il y régnait un fouillis énorme. Elle écarquilla les yeux incrédule… des dizaines de casseroles gisaient sur le sol… elle allait dire quelque chose, lorsqu’elle eut le souffle coupé. Quelqu’un venait tout simplement de lui entré directement dedans… ou plutôt il venait de fourrer son visage directement dans la poitrine de la jeune femme après s’être particulièrement bien rattrapé d’une chute. Elle se souvint du jeune homme. Elle le pensait parti et elle était pourtant sûre d’avoir entendu la porte se refermer.

Il recula vivement, avant de chuter et de finir sa course entre des casseroles… sur le sol.

Un ange passa… il se releva rapidement et demanda d’une voix précipitée à barty si elle allait bien.

Barty fut elle-même surprise de son rire, elle dut s’accrocher à une table pour ne pas tomber sur le sol avec son fou rire surprenant.
Barty était belle, s’était indéniable, cela se voyait lorsqu’elle se mouvait entre les élèves pour ne pas les effleurer, mais a présent, alors qu’elle riait à en pleuré, elle ne ressemblait même plus à une créature humaine… plutôt à un ange. Voila… elle cheveux qui voltigeaient dans tout les sens, elle avait les joues rosies par l’hilarité et de fines larmes perlaient à ses yeux.


Lorsqu’elle se rendit enfin compte de la situation, son rire cessa brusquement et elle se redressa avant de prendre place sur le petit bar.


Elle portait un sourire charmant sur ses fines lèvres qui brillaient avec le sucre. Reversant sa tête en arrière, elle eut un air surpris en se rendant compte que le jeune homme était toujours là… a la fixée stoïquement.

« Tiens? Tu es toujours là? »


Elle avait sourit.
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