Bal de Noël !

Invité

Anne discutait toujours avec Cloé lorsqu'il lui demanda si lle lui accordait une petite dance. Elle acceptat d'un léger signe de tête, faisant le bonheur du préfet. Elle salua ses amis, et lui prit la main. ce contact le rendait fou, pourquoi ne pouvaient ils pas continuer a s'aimer, sans encombre ? Il n'y pouvait rien, elle avait fait son choix, et il savait qu'il ne pouvait rien faire contre. Il l'entrainat sur la piste de danse, et l'attirat contre lui. Elle posa sa tête sur son épaule, et il fermat les yeux, se laissant aller a ce moment de bonheur, certainement le dernier.

Ils se balancaient au rythme de cette musique douce. Chad faisait abstraction de toute chose autour d'eux, ne ressentant que la pression du corps de Anne sur le sien. Comme il aurait aimé pouvoir rester ainsi éternellement, mais la musique allait bientôt se terminer, et il ne pouvait pas menacer le chanteur pour que cela continue. Il se laissat aller a poser sa tête a son tour sur son épaule, les larmes lui montant aux yeux.

Soudain, la musique changeat, et le rytmhe devint beaucoup plus rapide, mais Anne ne semblait pas l'avoir remarqué, et il ne la lachat pas tout de suite, profitant de se dernier moment de tendresse. Ils devaient avoir l'air de deux idiots a rester là, enlacé au milieu d'une foule qui recommencée a se déchainer. Il releva la tête, et dit:

Anne, c'est fini.

Il plongeat son regard bleu dans les yeux de Anne, l sourit et dit:

Tu va me manquer.

Il l'attrapat par le menton, et déposa un tendre baisé sur ses lèvres.

C'est un baiser d'adieu, ne t'inquiète pas.

Il la prit par la main, et l'entrainat a nouveau vers le bar. Il était triste, mais resterai digne jusqu'a la fin.

Eh bien. La soirée allait s'annoncer calme... comme il le craignait. Mais c'était pas plus mal. Pour une fois. Il ne restait à Kaitz que réussir à faire abstraction de ce S-A-L-A-U-D de Shima pour que ça ne soit pas un vrai fiasco. Pour se faire, il fallait qu'il se concentre sur une seule personne. Et cette personne était Andrea, sa cavalière pour la soirée. Il n'allait plus la délaisser, à moins que Mikomi ne demande une danse. What a Face

Il laisse donc Shima gagner cette partie, mais qu'il ne chante pas victoire trop rapidement, c'était que partie remise. Kaitz n'avait pas dit son dernier mot, et il ne le dirait pas avant que la liaison Less/Shima soit de l'histoire ancienne. C'était impossible ce truc... mais pour ce soir... erf, il préférait ne pas y penser.

Kaitz quitte donc les abords de la piste de danse pour revenir retrouver Andrea qui ne semble pas avoir bougé depuis qu'il l'avait quitté. Il lui adresse un charmant sourire et la rejoint rapidement.

- Merci. Merci beaucoup. Vous voulez autre chose à boire ? J'ai franchement besoin de quelque chose de nettement plus fort...

[Théoriquement je vais pas reposter avant le 29 juillet... donc... c'est ça...]

Andrea venait de répondre à Harkaitz en lui disant que rien n’était plus beau qu’un homme et une femme amoureux. Elle le savait pour en avoir eu l’expérience une fois, étant encore à Poudlard. Andrea ne savait pas vraiment ce qui avait poussé Harkaitz à l’inviter à ce Bal. Enfin, elle n’en était pas malheureuse non plus, rester dans l’Infirmerie un soir comme ça n’était pas commode du tout. Elle posa alors son regard sur les couples présents dans la Salle. A peu près tous les élèves de Poudlard devaient être présents, c’était bondé. Andrea reconnaissait quelques têtes dans les élèves, chez les Professeurs et Directeurs aussi mais ça, c’était normal. Elle était toujours étonnée que presque tous les élèves de Poudlard tenaient dans une simple salle. Même si c’était la Grande Salle, cela restait quelque chose d’incroyable pour elle. Elle reposa son regard sur Harkaitz, se sentant observée. Il avait l’air d’être heureux, content de danser avec elle. Du moins, ça se lisait dans son regard. Andrea découvrait une autre facette d’Harkaitz, elle le savait romantique mais pas aussi démonstratif dans ce qu’il « ressentait » sur le moment. Andrea lui sourit et continua à danser. La chanson touchait à sa fin. Dés que la musique s’était arrêtée, Harkaitz invita Andrea à l’accompagner à la table des professeurs. Elle prend le verre qu’il lui tend et il semble hésiter pour dire quelque chose. Les mots sortant enfin de la bouche d’Harkaitz, Andrea fit un sourire et lui dit.

« Non, ça ne me dérange pas du tout. »

Il pris alors la main d’Andrea, y déposant ses lèvres et en lui promettant de revenir. Andrea acquiesça d’un signe de tête et le regarda s’éloigner. A présent, Aurel’ chantait un slow très langoureux, très doux. Andrea vit Harkaitz emmener Lareless sur la Piste de Danse, malgré elle. Quant à elle-même, il faudrait qu’elle trouve quelque chose à faire en attendant. Elle venait de terminer son verre et elle connaissait la chanson qui passait, c’était une chanson fort longue. Pourquoi ne pas en profiter pour aller jeter un coup d’œil à l’Infirmerie ? Elle ne pouvait s’empêcher de ne pas aller voir comme ça se passait, surtout si son mécanisme pour « détecter » un problème avait eu un problème ou ne fonctionnait plus.

Elle se dirigea alors vers les bords de la Grande Salle, se faufilant entre les couples qui dansaient tout en essayant de ne bousculer personne. Peu à peu, elle arrive enfin près des Portes de la Grande Salle, pouvant enfin sortir. Se dirigeant ensuite vers l’Infirmerie, – ce qui est pratique vu que c’est juste un étage au-dessus – Andrea accélère un peu l’allure, de façon à être sûre de ne pas faire attendre Harkaitz lorsque la chanson serait finie. Elle était longue, certes, mais elle n’était pas interminable. Ce serait presque chose impossible de toute façon. Elle arrive enfin devant les portes de l’Infirmerie. Déverrouillant la porte, Andrea entre dans l’Infirmerie et jète un regard à tous les élèves présents. Elle passe près des lits, chacun à leur tour. Tout semble être bon et aucun problème à l’horizon.

*On peut dire que j’ai de la chance… Bon, retour à la Grande Salle.*

Ne prenant même pas le temps de voir si elle était toujours comme au début du Bal, Andrea se dirige vers la Grande Salle. Plus elle descend les escaliers, plus elle entend la musique et les rires provenant de la Grande Salle. Après quelques escaliers descendus aux pas pressés, Andrea arrive enfin. La musique semble s’être terminée, Andrea retourne se rasseoir pour qu’Harkaitz puisse la retrouver sans problème. Et en effet, après quelques minutes durant lesquelles Andrea s’était empressée de rejoindre la table des Professeurs, Harkaitz revint près d’elle. Elle n’avait pas suivi ce qu’il s’était passé mais elle avait entendu des rumeurs en passant ainsi entre tous les couples. Lareless s’était fait mal à la cheville et Artemis avait voulu l’aider. Une petite « dispute » s’en était suivie à cause d’Hiro Shima. Encore lui. Andrea se força à ne pas soupirer en pensant à tout ça et sourit en voyant Harkaitz venir vers elle. Il lui demanda si elle voulait encore un verre, de l’eau peut-être, cette course l’avait quelque peu essoufflée. Elle lui répondit.

« Je veux bien un verre d’eau… Et, ne pensez plus à ce qu’il vient de se passer. Ca ne servirait à rien.

Il semblait un peu déconcerté par ce qu’elle venait de dire, elle s’empressa d’ajouter alors, un sourire amusé au coin des lèvres.

« Non non, je n’ai rien vu. J’étais à l’Infirmerie et en revenant, j’ai entendu des élèves parler du petit problème avec Lareless. Monsieur Shima n’en vaut pas la peine, n’y prêtez pas attention. »

Yuki restait silencieuse, face a toutes ses révélations qu’ils s’étaient fait mutuellement, elle en avait eu assez pour son compte ce soir, et souhaitait a présent retourner dans la grande salle et profité encore du bal, s’il n’étais pas terminé. Elle sentit le bras de Dakota lui saisir les hanches, et tout deux côte a côte, ils sortirent alors de cette pièce dans laquelle le Serpentard avait entrainer la Serdaigle, pour se diriger vers la Grande salle. Un sourire sur le bout de ses lèvres, Yuki se sentait rassurée, même si elle se doutait que Dakota, pour lui ça ne devait pas être facile, il fallait bien qu’elle lui avoue et malheureusement, elle n’avais jamais eu le courage de le faire jusqu'à ce soir. Silence. Ou plutot une musique assez douce. { J’entend pas celle d’Aurel donc bon xD }, elle l’entraina alors presque immédiatement sur la piste de danse, et mit ses deux mains dans sa nuque, jouant avec ses cheveux, elle avait sa tête posée avec douceur sur son torse. Elle restait la, esquissant quelques pas de danse…Elle se mordilla la lèvre inférieure, avant de repenser a tout ce qu’ils avaient pu se dire. Alors il l’aimait… Pour de vrai ? Mais si c’était le cas, pourquoi est ce qu’il était allée voir Key. Sa meilleure amie. Silence. Yuki sortit toutes ses pensées de sa tête, et la releva pour que son regard gris plonge dans le ténébreux du Serpentard. Elle se mit sur la pointe des pieds, et posa ses lèvres sur les siennes. Un baiser. Elle lui adressa un sourire, avant de reposer sa tête sur son torse, mettant sa main droite non loin de son visage, et laissant sa main gauche dans sa nuque, elle aurait souhaiter que ce moment ne se termine jamais, elle l’appreciait beaucoup trop. Silence. Puis, elle lui murmura quelques paroles.

Apple – Je serais toujours la pour toi…

Cette phrase. Yuki ne changeait pas, elle disait toujours la même et a de rares personnes comme ses sœurs, Key et James. Et la, elle l’avait dit a Dakota, parce qu’elle savait a présent, qu’elle devrait veiller sur lui et sur James. Silence. Son côté protectrice sûrement qui ressurgissait. Elle replongea son regard gris dans celui du Serpentard, ils étaient si different. Yuki n’était pas du tout comme Dakota ou encore Sae, et les rares fois ou elle faisait pareil, c’était seulement parce qu’elle ne voyait aucune autre facon de blesser la personne qu’elle voulait, comme Artemis Fowl par exemple. Les menaces, les mots ça ne marchait pas avec lui, et pour l’atteindre, elle avait du avoir une relation avec son frère. Cela avait couter une belle gifle a Yuki d’ailleurs quand le directeur de sa maison avait enfin compris les allusions de la Serdaigle. Bref, elle posa son menton sur l’épaule de Dakota en se mettant sur la pointe des pieds, pour reprendre la paroles. Ses lèvres a quelques millimètres de son oreille.

Apple – Je vais en parler a Mikomi… Je ne veux plus qu’il soit cacher comme ça… C’est dur a vivre, je… Bref. C’est dur.

Invité

- Anne - Cloe tu es splendide, cette robe te va à ravir. Bonjour Nathan.

Nathan lança un petit regard discret à sa cavalière accompagné d'un charman petit sourire comme il savait si bien les faire depuis qu'il avait rencontré Cloé.

- Cloé - Anne , merci beaucoup , tu es ravissante toi aussi.

- Anne - Merci du compliment.

- Wolf - Enchanté de te rencontrer Anne. Cloé m'a beaucoup parlé de toi.

Le Serdaigle affiche un sourire amicale. C'était la première fois qu'il discutait avec autant de monde en si peu de temps. S'il avait su que cela lui ferait autant de bien il n'aurait pas attendu toutes ces années. Quel imbécile je vous jure ah la la. Nathan passa derrière Cloé et l'entoura de ses bras protecteurs tandis qu'il posa sa tête sur l'une de ses épaules après avoir déposé un baiser sur sa joue.

- Cloé - Chad n’est pas avec toi ?

Affichant un sourire des plus resplendissant, Cloé complètement la main de Nathan et la colla contre la sienne, ce qui ne deplaisait pas au jeune homme. Celui ci jetta un bref regard circulaire autour de lui pour appercevoir Chad. Mais il s'arreta assez rapidement lorsqu'il se rendit compte qu'il ne connaissait pas Chad et qu'il ne savait même pas à quoi il ressemblait.

- Anne - Il n'est pas loin regarde, il discute avec un cinquième année. Je dois vous laisser, à tout à l'heure.

- Wolf - A tout à l'heure.

Nathan dessera son etreinte de la jeune Gryffondor et se dirigea vers le bar pour aller chercher à boire. Il prit deux verres de jus de fruits et en tendit un à sa compagne.

- Wolf - Content de voir que ça c'est arrangé avec ton amie.

Henri envisageait son reflet dans le miroir de son appartement d’un drole d’air, le regard mauvais et suspicieux. Un smoking, il avait revetu un satane smoking ; et il ne fallait pas penser qu’il s’en été arreter la : non, non rien ne lui avait été épargné, pas même le port de la cravate. Il n’était pas le genre a aller aux réceptions ou autres blabla mondain, son propre mariage avait été tout un chemin de croix a partir du moment ou il lui avait fallu s’habiller ; pourtant il avait une certaine elegance, voire prestance, naturelle : on ne lui aurait pas jeté des pierres si il sortait dans la rue, seulement voila il n’était pas un accroc de l’habillement et des qu’il s’agissait d’aller dans un endroit a « tenue correcte exigee » il perdait legerement ses moyens.
De nouveau il s’observa dans le miroir : un jeune homme plutôt grand, fringue d’une chemise blanche et d‘une veste grise lui faisait face ; pas trop mal finalement, sa chevelure blonde contrastait avec la coupe de son habit, et la cravate bleue revelait la couleur de ses yeux. En fin de compte ca lui semblait convenir, mais il avait un mal epouvantable a s’auto-critiquer avec pertinence. Esperons qu’il ne fasse pas trop pale figure à sa cavaliere….

Sa cavaliere justement, il était peut-etre temps d’y penser ! Khâlina Liimatainen, le professeur de botanique c’est-a-dire la matiere dans laquelle Henri incarnait le cancre dans toute sa catastrophe : on n’aurait guère pu dire qu’ils avaient des affinités a ce sujet. Pourtant quand il s’était mis en recherche d’une cavaliere pour le bal de noel il avait bien vite pense a elle ; il n’était pas vraiment celibataire certes, mais sa moitie etant « indisponible » ca aurait été bizarre qu’il se presente seul au bal. D’un autre cote il ne pouvait decemment inviter un professeur celibataire, ca aurait laissé imaginer des hypotheses pour lesquelles il n’était pas prêt. Bref, il cherchait donc la perle rare et c’est alors qu’il était « tombe » sur Khalina.
Elle était parfaite, a tout point de vue : d’abord elle était jolie et gracieuse, ensuite elle avait un enfant en bas âge, et enfin son conjoint/fiance était « indisponible » lui aussi. C’était l’ideal : ni lui ni elle ne songerait a autre chose, ne donnerait a songer a autre chose meme, qu’a un « couple » de deux adultes qui venaient en « amis » au bal de l’ecole ou ils enseignaient. Henri lui avait fait sa « demande » en lui presentant les choses sous ce point de vue, et a son soulagement elle avait accepte.

Henri se presenta respectueusement a la porte de Khalina, pas tout a fait a l’aise dans son accoutrement mais se preparant a faire bonne figure. Il avait hesite quelques temps sur le fait qu’il eut apporté un present a la professeuse : elle aurait pu mal le prendre et croire qu’il s’attachait a vouloir la seduire. Cela dit, il aurait trouve honteusement goujat de ne pas prévoir un petit quelque chose…. ; il avait fini par se decider par un cadeau simple : un joli petit bouquet de rose au rouge profond. Elle avait peut-etre les fleurs en sainte horreur mais au moins il aurait essaye.
Il frappa résolument a la porte.

********

Henri et Khalina firent finalement leur entree dans la salle de bal, se donnant chacun le bras. Il y avait deja foule de monde et ils semblaient bien qu’ils fussent un peu en retard… ; il envisagea le groupe de la directrice, un peu plus loin devant eux, et se pencha vers sa cavaliere

Riri – « vous êtes réellement ravissante Khalina, je me sens flatte d’etre a vos cotes. Voulez-vous que nous allions tout de suite presenter nos respects a la directrice ? »

Le bras de Shin autours de ses épaules faisaient sentir à Irina qu'au moins pour la soirée, elle était spéciale, très spéciale, au moins pour Shin. Un magnifique sourire apparu sur ses lèvres. Elle rayonnait d'un éclat presque éblouissant. Ses efforts pour se préparer, se coiffer etc, semblaient récompensés. Les mecs et les nanas autours d'eux se retournaient pour regarder le couple atypique, sans doutes certains étaient jaloux de Shin et certaines filles avaient envie d'étriper Irina pour être avec un beau gosse comme Shin, mais pour ce soir, ils étaient ensembles et comptaient bien en profiter.

Shin - Ils doivent tous être verts de jalousie…

Irina sourit d'un sourire rieur, son cavalier avait eu exactement la même réaction qu'elle. Tous deux se savaient mignons et attirants, ils rayonnaient. Quelle bonne idée de l'avoir invitée. Elle lui répondit tout aussi doucement.

Irina - Oui tu as raison, ils doivent etre verts de jalousie, mais ce soir tu es à moi, la nuit est à nous...

La main de Shin glissa sur son bras jusque dans la sienne. La jeune serpentard se laissa entrainer vers la piste de danse et enlacer. Elle se serra contre Shin, posant la tete sur son épaule et passant ses bras autours de sa taille. La musique pouvait bien ne pas coller à cette danse, elle s'en foutait, comme Shin apparemment, ils étaient ensemble, collés l'un contre l'autre, c'était tout ce qui comptait. Irina avait fermé les yeux pour profiter de cette étreinte, en les rouvrant, elle vit Pawel et Sae ensemble. Grrr mais qu'est-ce qu'il foutait avec une coureuse pareil ? Un regard noir et Irina se reconcentra sur Shin. Ils se balançaient langoureusement au rythme d'une musique que seuls eux entendaient, n'ayant cure de la musique qui passait dans la salle.

Au cours de leur lente de langoureuse progression dans la salle, ils bousculèrent sans faire exprès un couple apparemment. Relevant la tête, Irina reconnu Pawel et Sae, elle leur jeta d'abord un regard surpris, puis malicieux. D'une voix mielleuse, elle leur dit alors.

Irina - Oups, pardonnez nous chers amis. Notre intention n'était aucunement de vous déranger dans votre roucoulage... Ce n'est qu'un malheureux concours de circonstances... Nous étions si... Hum comment dire, En osmoze Shin et moi, que tout avait disparu autour et nous ne vous avions pas vu... J'espère que ça ne vous a pas trop coupé dans votre élan... Mon petit Pawelinou chéri... Ne chauffe pas trop vite sinon tu ne pourras pas tenir.

Irina s'écarta alors un peu de Shin sans le lacher pour donner un petit baiser sur les levres de Pawel avant de retourner se blotir dans les bras de Shin

Irina - Ne fais pas trop de bétises mon chéri...

Elle tourna alors son regard vers Shin et avec un beau sourire, elle lui sussura.

Irina - On y va ? Emmène moi au bout du monde...

Invité

On se demande profiter comment... Viens ici, je vais te montrer. Pour danser c'est facile, il faut se laisser emporter par la musique et ne pas craindre d'avoir l'air ridicule.

Aussi douce que de la soie, Less pris soin de son cavalier. Elle passa derrière lui, posa ses mains sur les hanches et les faisait balancer au rythme de la musique. Quand elle repasse ensuite devant lui, elle lui montre la marche a suivre tranquillement, patiemment, entre deux éclats de rires. En fait, elle l'avait calmé. Le grand gaillard était toujours en compétition avec Kaitz et ce soir il y avait le clou du spectacle. Hiro s'était détendu dans les bras de Less et ils n'arrêtèrent plus maintenant de danser. Celui qui n'aimait pas du tout ça , devenait maintenant une personne dont la principale motivation du jour , était de danser. Ils ne cessèrent de rire tout en se regardant langoureusement dans les yeux. Hiro avait parfois quelques passages tendres en s'approchant de Less pour lui susurrer à l'oreille...

- Si tu savais comme je t'aime toi.... Tu changes ma vie...

De temps à autre , Hiro jetta des regards triomphales vers kaitz avec un sourire dont il ne pouvait cacher la non sincérité....

Si tu savais comme je t'aime toi.... Tu changes ma vie...

Less est impressionnée par ses progrès. Elle s'approche de lui, lui entoure le cou pour lui caresser la nuque. Elle se noie dans ces yeux, s'approche plus que les convenances ne le permet. un sourire doux et satisfait aux lèvres.

tu voudrais que je la change plus? dans une heure dans ma chambre... amène à boire

Lareless prend alors congé, prétextant une migraine. Elle en a eu tellement ces derniers temp que c'est fort plausible. La jeune femme s'éclipse doucement,

(a toi de voir si tu vaux que ca se rpée ou pas)

Invité

<< Anne, c'est fini.>>

Effectivement la musique venait de changer. Elle ne s'en était pas rendu compte, ou peut-être ne voulait pas s'en rendre compte... Le fait est que les Gryffondor avaient l'air bête à danser un slow sur une musique entrainante. Anne rougit quelque peu, s'écartant rapidement de Chad et fesant comme de rien n'était. Il plongea alors son regard bleu dans le sien. Elle se sentit fondre. Dans les yeux du jeune homme se reflétait tout l'amour qu'il avait pour elle.

Et cette amour se reflétait comme un coup de poignard pour Anne. Un coup de poignard en plein ventre.... Car elle n'avait pas droit de l'aimer, pour le bien de son enfants. Elle ne put s'empecher de rougir. Puis à tout à coup, Chad l'attrappa par le menton et lui déposa un baiser sur les lèvres.

* non, non, pourquoi tu fait ça ? *

Si baiser était court, mais si agréable. Pourtant Chad n'aurait pas dut car cela était encore plus dur pour Anne. Mais comme à son habitude de ses dernier temp, elle se controla pour pas qu'on voyent ses sentiment.

<< C'est un baiser d'adieu, ne t'inquiète pas. >>

Elle souria, car de toute façon elle ne savait pas quoi dire. Puis elle se laissa entraina par Chad vers le bar.

Invité

Cloé fit un signe de main a Anne qui s'en retourna vers Chad , elle ne comprenait toujours pas la subite envie de Anne de revenir lui parler . Les deux jeunes filles ne s'étaient plus adressées la parole depuis un bout de temps déjà , et Cloé avait du mal à comprendre le pourquoi du comment Anne venais lui reparler d'un seul coup lors de cette soirée. Cette chose la perturba un peu , mais elle sortir bien vite de ses pensées lorsque Nathan lui tendit un verre de jus ,elle lui adressa un de ses plus beau sourire et le remercia.Elle plongea son regard amoureux dans celui de Nathan, elle avait un subite envie de l'embrasser passionnement , tellement il la rendait heureuse , mais elle se retint , elle n'avait jamais été trop à l'aise en public .

~Nathan :" Content de voir que ça c'est arrangé avec ton amie."

Cette phrase laissa Cloé perplexe , tout simplement parce que ça ne c'était pas vraiment arrangé avec son amie , elle ne savait toujours pas pourquoi elle était venue là, d'un seul coup, lui reparler . Cloé était vraiment perdu a ce niveau là . Son amie qui l'avait ignoré , même rembaré a plusieurs reprise venait de lui parler il y a quelque minute comme ci de rien n'était . Surprenant et vraiment incompréhensible pour Cloé . Elle soupire et reporta son attention vers Nathan en lui souriant malgré son incompréhension .

~Cloé:"Et bien , en faite , je ne comprend pas trop pourquoi elle est venu me parler d'un seul coup ... Enfin , c'est bien la première fois qu'elle vient me reparler depuis un bout de temps alors j'ai vraiment du mal a comprendre . elle me rejete ... et là d'un seul coup elle vient vers moi . Je t'avoue Nathan que suis vraiment perdu là ."

Après cela , Cloé posa son verre et enlaca nathan du plus fort qu'elle pouvais , elle avait besoin de réconfort . Elle savait qu'il était là pour elle. Elle entendait le son de la musique mélodieux , qui la bercait un peu . elle se sentait bien là.

Invité

Au grand bal annuel de Poudlard, seuls les membres du personnel et les élèves étaient invités. Parfois quelques VIP mais malheureusement, Heinrish, le cher et tendre de Khâlina n'en faisait pas partie. De toute façon c'était sans doute mieux ainsi vu la présence d'Artemis Fowl au Bal. Il valait mieux ne pas mettre les deux leaders des deux principaux camps en présence. Toujours cette bonne vieille dichotomie du bien et du mal, pensait-elle souvent, mais les mauvais ont une part de bon en eux et inversement... Parfois tout lui semblait vain. Cependant, son allégeance aux Maraudeuses primait sur tout, vraiment tout.

Ainsi, Khal' n'avait pas cherché de cavalier : si Heinrish ne pouvait pas venir, elle ne se rendrait pas au bal ou bien, si sa présence en tant que Directrice de maison y était vraiment nécessaire, elle s'y rendrait seule. Son futur mari n'aurait pas aimé la savoir avec quelqu'un d'autre. Enfin ça, c'était avant que Henri, le nouveau professeur d'Histoire de la Magie ne lui propose d'être sa cavalière. Elle n'avait jamais vraiment eu l'occasion de discuter avec lui, mais elle savait qu'il ne portait pas la Botanique dans son coeur ce qui, en soi, suffisait pour en faire à ses yeux un être inintéressant. Mais elle avait accepté de réviser son jugement en apprenant qu'il était marié. Le fait qu'ils se présentent ensemble au bal ne donnerait donc lieu a aucune rumeur mal fondée, étant donné que Khâlina avait déjà deux enfants à Poudlard.

Le soir du Grand Bal, Khâlina s'était préparée avec soin. Ses longs cheveux sombres relevés en un chignon lâche duquel s'échappait quelques mèches rebelles, venant danser sur son visage. Elle avait opté pour une robe noire, longue et fendue d'un seul côté jusqu'à mi-cuisses. Des talons hauts, un collier et un bracelets de perles rouges ainsi que son alliance. Une rose rouge piquée dans ses cheveux venait trancher avec le reste. Elle entendit frapper à la porte et elle l'ouvrit pour découvrir Henri avec un bouquet de roses rouges. Elle sourit et murmura pour elle-même :

Khâlina - Rosenrot...?

Ca ne pouvait que lui rappeler son bien-aimé Heinrish. Elle ajouta pour son cavalier :

Khâlina - Merci Henri, elles sont magnifiques...

******************************

Ils arrivèrent dans la salle de bal, bras dessus dessous. La fête battait déjà son plein tandis que la Directrice de Serpentard parcourait d'un regard circulaire la Grande Salle redécorée pour l'occasion. Son regard sombre se posa sur Pawel, son jeune frère, qui s'affichait avec Saena, une Serpentard. Au moins il avait eu le bon goût de choisir quelqu'un de sa maison.

Riri – « Vous êtes réellement ravissante Khalina, je me sens flatté d’être à vos côtés. Voulez-vous que nous allions tout de suite présenter nos respects a la directrice ? "

Khalina regarda en direction de Mikomi et elle la vit en compagnie de Kaley, le professeur de vol. Pour en avoir discuté rapidement avec Miki, elle savait qu'ils entretenaient une relation amoureuse mais qu'ils ne pouvaient pas forcément s'afficher comme ils l'auraient voulu. Autant les laisser profiter de ces quelques moments d'intimité sans leur imposer leur présence. Sans s'étendre sur le sujet, Khâlina éluda la question :

Khâlina - Non, laissez. Je suppose que Mikomi n'a pas besoin de ces formalités ce soir.

Avec un sourire, elle le mena vers le buffet, lieu stratégique où l'on pouvait voir tout le monde tout en se restaurant. Elle fut surprise de voir que c'était Aurel qui animait la soirée et elle eut un sourire gêné : après tout Aurel avait été son premier amour, le seul d'ailleurs avant Heinrish...

Khâlina - Servons-nous quelque chose à boire, qu'en pensez-vous ?

Elle ne savait pas trop quoi lui dire... Après tout elle ne savait rien de lui à commencer par ses aspirations...

Invité

Les mains de Sae descendirent le long de son dos et une lueur maligne s'alluma dans le regard bleuté du jeune Serpentard. Saena le surprenait décidément, elle qui semblait aussi fragile qu'une poupée. Elle cachait sans doute bien son jeu, comme ils le cachaient tous. Un sourire rêveur apparut sur ses fines lèvres, sourire qui se fit plus mutin lorsqu'il sentit un doux baiser déposé dans son cou par sa jolie cavalière. Involontairement, il tressaillit à ce contact et rapprocha la jeune fille de lui avec un geste presque tendre, tandis que sa main se perdait dans les cheveux sombres de Sae. Cette dernière déposa un autre baiser, plus haut cette fois et il en déposa un à son tour dans les cheveux de la jeune fille.

Il se laissait emporter par le parfum suave de la jeune fille et s'était presque pris au jeu de la séduction qu'ils avaient tous les deux instaurés lorsqu'un autre couple les bouscula. Par réflexe, Pawel se retourna pour voir qui les avait heurté de la sorte, préparant son regard le plus meurtrier à ceux qui les avaient dérangé. Toujours Sae dans ses bras, son regard glacial s'adoucit sensiblement lorsqu'il reconnut Irina et... Shin. Prononcer son nom, même en pensée, lui laissait comme un goût âcre dans la bouche. Ce type n'avait aucune classe avec son look ringard d'ado prépubère et rebelle. Sans intérêt. Apparemment Irina pensait différemment...

Irina - Oups, pardonnez nous chers amis. Notre intention n'était aucunement de vous déranger dans votre roucoulage... Ce n'est qu'un malheureux concours de circonstances... Nous étions si... Hum comment dire, En osmozse Shin et moi, que tout avait disparu autour et nous ne vous avions pas vu... J'espère que ça ne vous a pas trop coupé dans votre élan... Mon petit Pawelinou chéri... Ne chauffe pas trop vite sinon tu ne pourras pas tenir.

La voix mielleuse d'Irina ne laissait aucun doute. Premièrement elle se moquait d'eux, deuxièmement elle tentait sans doute de le mettre en rivalité avec Shin, troisièmement, elle essayait tant bien que mal de l'humilier devant Saena. Les yeux bleux du garçon reprirent leur expression meurtrière tandis qu'il cherchait en lui-même les raisons d'Irina d'agir de la sorte. Il ouvrit la bouche pour riposter :

Paw' - Tu sais, Irina...

Cependant, il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit que la Serpentard l'embrassait furtivement sur les lèvres. Le Birman en resta interloqué et cela se lisait clairement dans son regard et dans l'expression de surprise qu'arborait son visage. Mais qu'est-ce qui lui prenait ? Irina n'avait jamais agi de la sorte avec lui. Le fait qu'il sorte avec d'autres filles ne lui avaient jamais posé de problèmes apparents alors pourquoi jouait-elle à ça maintenant ?

Irina - Ne fais pas trop de bétises mon chéri...

De mieux en mieux... Elle retourna se blottir dans les bras de l'autre asexué pour lui sussurer quelque chose à l'oreille. Se retournant vers Sae avec un regard d'excuse, Pawel haussa les épaules pour lui signifier qu'il ne comprenait pas. D'ordinaire il aurait laissé passé ce genre de choses, mais par respect pour sa cavalière, il se devait au moins de moucher Irina, quitte à ce qu'elle lui en veuille.

Paw' - Ne joue pas à ça avec moi, Irina. Ré-immerge toi dans ton osmose, ta symbiose ou je ne sais quelle autre connerie et fous moi la paix, tu seras adorable.

Sans accorder plus d'attention à ses deux camarades, il sourit à Sae, et l'entraîna plus loin sur la piste de danse.

[HJ : Enfin quelqu'un qui respecte le BG de Sae, merci ^^' ]

La tête posée sur l'épaule du jeune Serpentard, Saena se sentait bien. Il n'avait pas répondu à ses baisers dans le cou comme elle l'aurait souhaité, mais sans doute était-il quelqu'un qui aimait prendre son temps. Elle apprécia d'ailleurs d'autant les attentions du jeune homme envers elle. C'était comme s'il la respectait, ce que peu faisaient. Bien sûr, il ne savait pas qui elle était réellement, mais malgré son vrai visage elle avait parfois besoin qu'on soit tendre avec elle. Mais cet instant de sérénité fut brusquement interrompu par la bousculade de quelqu'un. Pawel s'écarta d'elle, et elle reconnut Irina. Elle fit la moue. Pourquoi fallait-elle qu'elle gâche tout ?

Irina - Oups, pardonnez nous chers amis. Notre intention n'était aucunement de vous déranger dans votre roucoulage... Ce n'est qu'un malheureux concours de circonstances... Nous étions si... Hum comment dire, En osmoze Shin et moi, que tout avait disparu autour et nous ne vous avions pas vu... J'espère que ça ne vous a pas trop coupé dans votre élan... Mon petit Pawelinou chéri... Ne chauffe pas trop vite sinon tu ne pourras pas tenir.

Sae hésita entre l'envie de se faire toute petite et l'envie d'en coller une à cette peste. Qu'elle veuille rendre Pawel jaloux c'était son problème, mais qu'elle ne vienne pas interrompre les gens.

Paw' - Tu sais, Irina...

Il n'eut pas le temps de continuer qu'elle l'embrassa rapidement sur les lèvres, sous l'oeil scandalisé et furieux de Saena.

Irina - Ne fais pas trop de bétises mon chéri...

Elle partit ensuite avec son cavalier. Sae avait d'ailleurs pitié pour lui, il venait de se faire humilier en public, du moins c'est ce qu'elle aurait ressenti en étant à sa place. La sale garce !

Paw' - Ne joue pas à ça avec moi, Irina. Ré-immerge toi dans ton osmose, ta symbiose ou je ne sais quelle autre connerie et fous moi la paix, tu seras adorable.

Il entraîna Sae un peu plus loin, à la grande satisfaction de la jeune fille. Bon débarras. Elle était véritablement hors d'elle, mais tentait de garder son sang froid. Elle ne voulait pas que Pawel la prenne pour une hystérique. Elle lui adressa un sourire gêné.

Sin - Je ne comprends pas ce qui lui a pris...

Elle aurait voulu retourner dans les bras du jeune homme, malheureusement pour elle la musique avait changé pour une chanson plus rythmée. Irina avait véritablement tout gâché. Sae dansait machinalement et regardait le Serpentard d'un air dépité. Il lui semblait à présent qu'il allait être très difficile de retrouver la même ambiance que précédement. Pawel devait encore avoir Irina en tête. Peut-être même était-il amoureux d'elle. La seule chance qu'avait Sae c'était qu'il se serve d'elle pour rendre jaloux Irina, comme elle le faisait elle-même avec Shin. Ce n'était pas très glorieux pour elle, mais depuis quand avait-elle des scrupules à ce niveau-là ? Elle prit les mains du Serpentard et le regarda dans les yeux avec un timide sourire.

Sin - Tu sais Pawel... j'étais bien dans tes bras tout à l'heure...

Elle s'interrompit et baissa les yeux.

Sin - Je voulais te dire... Tu me plais beaucoup, Pawel...

Ce petit jeu pouvait aussi bien se retourner contre elle, parce que s'il avait des scrupules il ne se servirait pas d'une fille comme elle pour en rendre jaloux une autre. Mais au moins, même s'il ne se passai rien, sa réputation était sauve.

Invité

Irina - Oui tu as raison, ils doivent être verts de jalousie, mais ce soir tu es à moi, la nuit est à nous...

Ca lui plaisait au ptit Shin d’entendre ce genre de chose…Il adressa un clin d’œil a Irina…Puisqu’elle le disait …la nuit serait à eux. Shin ne prêtait plus grand attention a autre chose qu’a la jeune femme lorsque soudain ils heurtèrent deux autres élèves…Le jeune s’apprêta a s’excuser mais aussitôt Irina pris la paroles…Elle devait certainement les connaitres…

Irina - Oups, pardonnez nous chers amis. Notre intention n'était aucunement de vous déranger dans votre roucoulage... Ce n'est qu'un malheureux concours de circonstances... Nous étions si... Hum comment dire, En osmoze Shin et moi, que tout avait disparu autour et nous ne vous avions pas vu... J'espère que ça ne vous a pas trop coupé dans votre élan... Mon petit Pawelinou chéri... Ne chauffe pas trop vite sinon tu ne pourras pas tenir.

Paw' - Tu sais, Irina...

Bam…Elle colla un baiser sur les lèvres du jeune homme qui se trouvait en face…Shin fronça les sourcils puis il adressa un regard à la jeune femme qui accompagnais le blondinet…Heureusement pour lui il ne se sentait pas vraiment froissé…Tout ce qu’il voulait c’était prendre du bon temps…les petits détails et manèges des deux autres ne l’intéressait guère...Irina et lui ne c’était jamais promis une quelconque fidélité et au final tout cela l’arrangeais plutôt bien…Il fuyait toujours les relations sérieuse…dans ce cas précis c’était parfais…

Irina - Ne fais pas trop de bétises mon chéri...

Irina revins se blottir contre lui et il l’entoura de ses bras…Le jeune homme d’en face ne semblait pas vraiment se ravir de la situation et c’était une raison de plus pour lui de ne pas s’en faire…Si Irina voulait jouer les pestes c’était son problème.

Paw' - Ne joue pas à ça avec moi, Irina. Ré-immerge toi dans ton osmose, ta symbiose ou je ne sais quelle autre connerie et fous moi la paix, tu seras adorable.

Ils s’éloignèrent aussitôt et Shin ne les retins pas…Y’avais de l’eau dans le gaz ça c’était plus que certains…Il passa sa main dans les cheveux blonds d’Irina et il dit…

Celui la, Il n’a aucun tact avec les femmes…

Aussitôt il approcha son visage de celui de la jeune femme t il posa un baiser doux et humide sur ses lèvres…Au moins il en aurait eu autant voir plus que l’autre bouffon…Il se recula et il adressa un clin d’œil a Irina…Il la serra contre lui et il dit d’une voix douce…

Alors qu’est ce qui se passe au juste entre toi et lui ? Ne me dis pas rien …Je saurai que tu mens…

Il posa un baiser sur son front et il lui sourit…Il prenait grand soin d’ignorer totalement les deux autres qui dansaient plus loin.

Et elle le dévisage encore. Il devrait s'y habituer... ou pas, tout allait dépendre... il hoche la tête et la musique se termine. Elle fait une révérence, qui offre une pas du tout déplaisante vue, différente ce celle sombre habituelle de la robe de sorcier, puis elle l'agrippe par le bras et l'entraîne encore une fois à sa suite. Faudra qu'il lui dise de cesser de faire ça... c'était gênant... mais ça semblait si spontané qu'elle ne devait même pas s'en rendre compte. Faudrait user de tact, mais plus tard.

- T'as faim...?

" Non, pas vraiment " qu'il pense, mais pour il ne sait trop quelle raison, il hoche la tête et saisit ce que Dery lui offre. C'est peut-être le sourire... ou le regard... il n'en sait rien en fait.

- Merci.

Y'avait un petit quelque chose d'hypnotisant dans le regard de Dery... et un autre petit quelque chose de terrifiant. Il prend une bouchée du quart de sandwich et le mâchouille avec application. Il déteste ça en fait, amis il est beaucoup trop poli pour porter un quelconque commentaire.

- ...Linus...Je...

Elle semble hésiter un moment. il hausse les sourcils, L,incitant à poursuivre. Ça semble assez inquiétant d'un coup. Une pointe d'appréhension perce le regard de givre de Sickert.

- Tu me plais beaucoup.....beaucoup...

Il reste interdit un moment, le regard fixe, le temps que toutes les nuances possible à ces mots juxtaposé à l'hésitation qu'elle eu avant fassent leur chemin dans le cerveau de Linus. Il entrouvre les lèvres et inspire pour répondre, mais la bouche pleine aidant, il manque de s'étouffer. Il toussotte à quelque reprises avant d'avaler conscencieusement. S'étouffer était mauvais pour son coeur, sa mère le lui répétait assez souvent. D'ailleurs, ce genre de commentaire aussi était mauvais pour son coeur. Ou du moins, ça ébranlait.

- Je...

Et il hésite. L'hésitation était mauvaise pour lui. Mais dans ce domaine, y'avait beaucoup plus de théorie que de pratique et jusqu'à maintenant, la pratique avait été de plutôt courte durée et pas nécessairement une réussite... très aristocratique, très mondaine, très décent, loin de la convivialité de Poudlard.

- Vous êtes plaisante aussi.

Il essaie de se convaincre que c'est la meilleure réponse qu'il pouvait donner, mais il n'y arrive pas. Le regard de givre dévisage Dery, un peu plus grand que d'habitude. Il a soudainement perdu son prestige inébranlable, prestige qu,il essaie aussitôt de se réapproprier, mais un doute plane.

Dery l'observe un long momet tandis qu'il s'étouffe avec son sandwich...Il est adorable quand il s'étouffe comme ça...Un sourire en coin tandis qu'il se reprends...Il ne semble pas certain, il bégaye...Elle fronça les sourcils en le regardant...C'était pas bon signe ça!...Elle avait le regard un peu triste, assez déçu...

- Je...

Holà...Alors là c'était assez évident...Il était trop tôt pour lui avoir dit ça, beaucoup trop tôt. Et maintenant il allait avoir peur de la revoir, intimidé?...Merde, elle allait BEAUCOUP trop vite...Elle ferma les yeux au moment ou la réponse arriva:

- Vous êtes plaisante aussi.

Aouch...c'était pas facile comme réponse ça. Elle ricana en passant une main dans ses cheveux...c'était pas si désastreux, c'était seulement amusant de l'entendre essayer de lui répondre quelque chose de bien tandis qu'il n'avait peut-être pas compris le sens de sa phrase...Elle sourit.

- T'es trop mignon Linus...

Dit-elle en passant une main sur sa joue, puis elle s'éloigna vers un banc, un petit sourire en coin, le regardant de sa distance...Il n'était sûrement pas intéressé...

Oh, il sait maintenant que c'était pas la bonne réponse à donner. Mais que quand même, ça ne semblait pas trop l'avoir insulté. Bon, ok, si Linus était doué en temps normal, il avait encore du chemin à faire côté filles...

- T'es trop mignon Linus...

Une caresse sur la joue et elle s'en va. Linus ne la quitte pas des yeux, mais ne la suit tout d'abord pas. Y'avait des trucs à mettre en relation avant. Ok, il avait gaffé, mais pas trop... mais elle préférait aller jouer ailleurs, mais elle le fixait tout de même. Pas facile...

Mais en fait si, c'était facile, il ne pouvait pas laisser les choses ainsi. Fallait qu'il fasse pencher la balance, en bien ou en mal, mais il ne pouvait pas laisser ça dans un tel doute.

Il se débarasse subtilement du reste de sandwich et replace le col de sa chemise et ajuste impeccablement le veston avant d'aplanir les faux plis. Dernière hésitation, question de se donner une dernière chance pour trouver quoi dire, mais ça ne vient pas. Tant pis, il allait improviser.

De son pas lent habituel, mais avec un rien de détermination, il va rejoindre Dery et se poste devant elle, avant de changer d'idée et de s'assoir à côté. Une autre hésitation, puis il enchaîne avec une explication franche... pas vraiment à son avantage, mais pratiqueemnt franche.

- Excusez-moi, Dery, j'ai tendance à répondre ce que je juge le plus vaguement approprié lorsqu'en fait je ne sais trop quoi répondre. Et je me doute que c'était pas vraiment ce que vous vouliez entendre...

Il avait retrouvé son tempéremment flegmatique habituel, mais il y avait toujours ce léger malaise, courageusement contenu, mais Dery pouvait le sentir quelque peu plus nerveux que la normale.

Elle le regarda faire, plus loin, elle était assise sur son banc et sentait même à cette distance le stress de Linus...Un sourire en coin elle le laissait faire, elle le laissait réfléchir, penser...Après tout, il n'avait pas l'air intéressé mais au moins, il semblait vouloir se reprendre...Enfin oui et non puisqu'il avait l'air de tellement hésiter...Puis il finit par approcher, une démarche plus assurée que d'habitude, plus déterminée...Il allait expliquer sa réponse... Mais qu'y avait-il à expliquer dans une phrase comme ça? Dery y voyait clairement quelque chose qui voulait dire: "T'es bien comme personne mais bof..."

Elle ouvrit la bouche pour lui dire qu'il n'avait pas besoin de se justifier mais il prit la parole avant elle...

- Excusez-moi, Dery, j'ai tendance à répondre ce que je juge le plus vaguement approprié lorsqu'en fait je ne sais trop quoi répondre. Et je me doute que c'était pas vraiment ce que vous vouliez entendre...
- Vouloir entendre? Linus, je ne veux pas que tu me répondes seulement ce que j'ai envie d'entendre...Je veux entendre la vérité, ce qui se trouve au fond de toi, pas un mensonge juste pour me faire plaisir.

Elle le regardait alors avec de grands yeux compatissants et tristes...Elle ne voulait pas d'un mensonge...Elle voulait juste qu'il lui dise ce qu'il sentait...

- Et s'il-te-plaît, arrête moi ces vouvoiements, je suis pas assez importante pour ça.

Termina t-elle avec un petit sourire.

- Vouloir entendre? Linus, je ne veux pas que tu me répondes seulement ce que j'ai envie d'entendre...Je veux entendre la vérité, ce qui se trouve au fond de toi, pas un mensonge juste pour me faire plaisir.

Le regard de givre se fait fuyant quelques secondes. Ce qui se trouvait au fond de lui ? Mais pourquoi ? À quel sujet ? Il se sentait perdre le fil de la situation.

- Et s'il-te-plaît, arrête moi ces vouvoiements, je suis pas assez importante pour ça.

Encore une fois, Linus la dévisage, surpris. Elle n'était pas assez important pour être vouvoyée ? Mais qu'est-ce qu'elle voulait dire par là ? En quoi le "vous" imposait-il une hiérarchie d'importance ? Linus vouvoyait tout le monde. Vieux, jeunes, aînés, riches, pauvres, monarques, roi ou fou, il vouvoyait tout le monde.

- Je n'ai jamais tutoyé personne. Le tutoiement implique une intimité que je n'ai trouvé chez personne encore, dit-il d'un ton neutre, presque impassible.

Si la réponse lui avait paru de la plus grande franchise sur le coup, donc la plus adéquate, il lui semble soudain qu'il aurait du se taire. Il se mord la lèvre en lui jetant un regard de biais.

- Mais si vous préférez que je vous tutoie, je le ferai, ajoute-t-il rapidement pour atténuer sa bévue. Nan, mais bravo Linus, c'est du joli. Il tire nerveusement sur son veston, pour faire disparaître les mauvais plis.

- Je n'ai jamais tutoyé personne. Le tutoiement implique une intimité que je n'ai trouvé chez personne encore

Cette phrase lui fit l'effet d'une flèche glacée qui lui perçait le coeur, elle sembla d'ailleurs très visiblement l'avoir blessée. son regard s'était voilé brusquement pendant quelques secondes avant qu'elle reprenne le contrôle de ses sentiments...Le bleu nuit devenu presque gris était revenu lentement, prenant quelques secondes à reprendre sa sombre couleur.

- Mais si vous préférez que je vous tutoie, je le ferai.
- Rien ne t'y forces tu sais...Si tu considère que je ne suis pas assez proche de toi pour me parler comme à une bonne amie, c'est comme tu veux.

Elle souriait mais visiblement elle aurait eu envie de pleurer. Ça se voyait facilement. Elle le regardait pourtant toujours avec ce regard mi triste, mi compatissant.

- Non, je...

Linus se sentait patauger. Plus il parlait, plus il s'enfonçait dans une vase poisseuse et épaisse. Nan, c'était pas ce qu'il voulait dire. Qu'avait-il voulu dire au juste ? Il ne savait plus. En fait si, mais c'était si complexe... il avait des règles strictes à suivre depuis sa naissance, une éducation stricte et implacable. Y'avait jamais eu de place au laisser-aller, ni la possibiliter de marcher hors du chemin dicté par sa mère. Mais expliquer tout ça était complexe et pas vraiment amusant à raconter.

- Je vous ai blessée... je suis navré...

Ok, Linus était habitué aux soirées mondaines, aux danses avec les filles, aux échanges puéril dans les endroits dissimulés, mais le cercle des aristocrates était restreint et les filles et les garçons qu'il connaissait, c'était depuis toujours. Et c'était bien différent de Poudlard. En fait, tout était différent de ce qu'il connaissait à Poudlard. Il devait se l'avouer, la situation présente le dépassait. Comment être franc sans la blesser d'avantage. IL finit par la quitter des yeux et de baisser la tête. Il fronce les sourcils et pince les lèvres, essayant d'avoir les bons mots.

- Vous savez, Dery, je... enfin... je ne suis pas très doué avec l'intimité... mon éducation a toujours fait abstraction de toutes proximités. J'ai eu des cours avec 4 ou 5 autres élèves, la majorité de ceux que j'ai croisé, je les connais depuis toujours et pourtant, j'ai toujours vouvoyé tout le monde. Je ne connais aucune exception. Je vouvoie également mes parents et toutes mes connaissances.

D'un autre côté, il ne pouvait pas vraiment dire qu'il avait des amis... c'était plutôt les enfants des connaissances aristocratique de ses parents, avec qui il s'entendait plutôt bien, mais sans plus. Leur rencontre se résumait habituellement à un étalage de ce qu'ils savaient et de questions politiques et autres graves sujets habituellement réservés aux adultes. C'était rarement le lot des jeunes de son âge.

- D'ailleurs, c'est bien la première fois que je dois me justifier pour quelque chose qui est pour moi aussi machinal que de respirer... je ne suis même pas certain de pouvoir expliquer clairement...

La tête baissée, mais le dos droit, le maintient parfait, il lui jette un regard de biais.

- Non, je...

Dery le sentait comme prisonnier de sa pensée. Ses mots roulant dans son esprit, n'arrivant pas à choisir les bons ni à former des phrases qui ne risqueraient pas de la blesser.

- Je vous ai blessée... je suis navré...

Elle resta surprise un moment...Elle n'était pas si mal en point que ça, oui ça la rendait triste mais ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps, c'était normal que Linus veuille garder une certaine distance. Elle voulut encore une fois ouvrir la bouche pour lui expliquer que c'était normal, qu'elle ne lui en voulait pas mais il reprit...

- Vous savez, Dery, je... enfin... je ne suis pas très doué avec l'intimité... mon éducation a toujours fait abstraction de toutes proximités. J'ai eu des cours avec 4 ou 5 autres élèves, la majorité de ceux que j'ai croisé, je les connais depuis toujours et pourtant, j'ai toujours vouvoyé tout le monde. Je ne connais aucune exception. Je vouvoie également mes parents et toutes mes connaissances.
- ....Wow...C'était assez stricte chez toi...Enfin, ça peux pas être partout pareil. Je trouve que le vouvoiement ça va pour les profs, les personnes âgées...J'veux pas juger ta famille mais...Je trouve que ça éloigne les gens toutes ces manières.

Expliqua t-elle avec une certaine tristesse...sa famille lui manquait un peu finalement maintenant qu'elle en parlait. Elle n'avait pas vu ses parents encore depuis l'été dernier. Mais elle souriait tout de même.

- D'ailleurs, c'est bien la première fois que je dois me justifier pour quelque chose qui est pour moi aussi machinal que de respirer... je ne suis même pas certain de pouvoir expliquer clairement...
- J'suis désolée Linus...Je...Je croyais simplement que tu refusais d'être proche de moi...J'veux pas que tu changes tes habitudes, après tout, c'est comme ça que t'es...Une des choses qui te rends adorable.

Elle ricana en mettant sa main devant sa bouche, puis elle pencha la tête, le regard plein de regrets de l'avoir mal compris...

- Excuse moi....Vraiment.

- J'suis désolée Linus...Je...Je croyais simplement que tu refusais d'être proche de moi...J'veux pas que tu changes tes habitudes, après tout, c'est comme ça que t'es...Une des choses qui te rends adorable.
- Non...

Non... est-ce vrai ? Non, impossible... Linus rougit ? Vous en êtes certains ? Oh... si si ! Y'a une petite rougeur aux joues ! Mais je rêve ! Le glacial Linus savait rougir ! Une première en 14 ans ! Waw ! Si Dery savait ! Il hoche la tête et la relève. Avait-il enfin réussit à lui exprimer clairement ce qu'il voulait dire ? Le bleu de glace prend une teinte un peu plus azur.

- Excuse moi....Vraiment.
- Vous ne pouviez pas savoir, vous n'avez pas à vous excuser. C'est plutôt à moi de le faire, j'ai manqué de tact, je vous ai peinée et ça m'ennuie... j'ai gâché le début de la soirée. Comment puis-je me faire pardonner, Dery ?

Linus relève la tête complétement et regarde Dery. Toujours aucun sourire à l'horizon, bien qu'un peu de rouge soit encore visible. Mais ça, seul un oeil habitué à le voir pourrait le déceler.

Elle ne remarqua heureusement qu'il avait rougi. Elle le regardait avec un petit sourire en coin puis il répondit:

- Vous ne pouviez pas savoir, vous n'avez pas à vous excuser. C'est plutôt à moi de le faire, j'ai manqué de tact, je vous ai peinée et ça m'ennuie... j'ai gâché le début de la soirée. Comment puis-je me faire pardonner, Dery ?

Elle ne put s'en empêcher....C'était trop fort...

- Tu veux faire quelque chose?...Dans ce cas, je veux être la seule que tu tutoieras!

Elle ricana mais elle était sérieuse. Elle voulait avoir l'exclusivité. Elle avait un sourire amusé, un peu comme le visage d'un chat satisfait. Puis elle le regarda dans les yeux, la nuit rencontrant l'azur pâle des yeux de son cavalier.