DCFM: Peter

La porte s'ouvre devant vous, Lareless, à côté d'elle, ne dit pas un mot, vous invitant simplement d'un geste de la main à entrer, Un corridor obscur se perd dans les ténèbres devant vous. Une torche, à gauche, sur son socle, est la seule source de lumière. Vous pouvez voir les petites traces par terre d'une multitude de rats avec les crottes qui vont avec, ainsi que la trace de quelque chose de plus gros et de non-identifié.

Une fois que vous avez passé la porte, celle-ci se referme avec un grincement sinistre. Plus question de faire marche arrière.

Ce qu'il y a ici, vous l'apporterez.

Invité

Peter venait de se lever. Son cours de Défense Contre les Forces du Mal allait commencer dans une vingtaine de minutes. Il était assez heureux de s’y rendre car ce cours ci était l’un de ses favoris ou du moins jusqu’à présent.
Le jeune homme se rendit déjeuner en vitesse. Là il salua quelques amis à lui. Après avoir engloutit quelques tranches de pain, le jeune homme se dirigea avec son sac de cours vers le premier étage. Dans son sac il avait simplement pris avec lui un cahier de cours, sa plume et de l’encre ainsi que sa baguette magique. Les escaliers n’avaient pas l’air capricieux aujourd’hui et heureusement pour Peter. Il ne se voyait pas en hauteur trimbalé dans tous les sens par ces satanées choses. Au premier étage, il pressa le pas pour s’engouffrer dans le couloir, il voulait s’éloigner de la balustrade pour ne pas à avoir à faire face à la hauteur séparant le rez-de-chaussée au premier.

Le couloir menant à la salle de cours était assez bien éclairé. Peter trouva étrange d’être le premier élève présent. Tout à coup la prote s’ouvrit devant lui. La professeur Mainella semblait faire signe à Peter de s’avancer. Un corridor obscur se présentait devant lui. A peine eut-il mis les deux pieds à l’intérieur que la porte se referma derrière lui. Au fond de lui, Peter n’était pas des plus rassurés. Le regard du jeune homme se tourna vers la torche. Ensuite, il regarda son professeur.

Pet ‘ : Bien le bonjour M'dame Mainella. Où sont les autres s’il vous plait ?

Peter se tut et attendit de voir un simple mouvement de lèvres du professeur. Bizarrement, il se disait qu’aujourd’hui le cours allait lui paraître long et très compliqué. Pas de problème Peter se sentait prêt.

Dans le fond du corridor, à droite m. Petrelli.

Lui répond Less calmement, ses yeux d'émeraudes luisants étrangements, fiévreusement pourrait il dire, sous la lueur de la torche. Elle el laisse aller, la poussière crissant sous ses pas. Au bout ducorridor, à la droite indiquée, il y a une porte. Lorsqu'il la traversera, elle se refermera et s'effacera derrière lui.

Peter est sur une corniche d'a peine un mêtre sur deux. Devant lui, c'est le vide sidéral de l'espace... comment fait il pour respirer? Un mystère.

Il y a une autre corniche, une 40aine de mêtres devant lui, avec une porte ouverte... Mais entre les deux il y a le vide.

Invité

Less’ : Dans le fond du corridor, à droite m. Petrelli.

Peter s’exécute et s’avance dans le couloir. Les lieux semblaient ne plus avoir été nettoyés depuis bien longtemps. Le jeune Petrelli le savait car la poussière émettait un bruit sous ses pieds, comme lorsque l’on marche dans la neige. Ses pas s’accélèrent. Arrivé devant la porte, il la pousse et l’ouvre. Devant lui tout est noir. Le jeune homme s’avance et traverse la porte qui se referme net derrière lui. D’un coup sa vue lui joue un tour : tout autour de lui s’éclaire légèrement. Là il se rend compte qu’il est sur une corniche perchée au dessus du vide. Elle n’est pas super large et le jeune homme pourrait basculer dans n’importe quel sens. Ses jambes commencent à trembler. Le stress l’envahit déjà. Il vit sa plus grande peur.
Le jeune homme ferma doucement ses yeux comme pour se relaxer. Doucement, le jeune homme s’abaisse pour s’assoir sur la corniche et avoir un meilleur appui. Il était certain qu’après il mettrait du temps à se relever mais assis il en risquerait pas de basculer avec ses jambes qui tremblent.

Après avoir rouvert lentement les yeux, le jeune homme voit apparaître devant lui une autre corniche avec une porte qui est ouverte. Il n’y a qu’un unique inconvénient : un espace d’une quarantaine de mètres le sépare de là.
Le jeune homme avait énormément de mal à réfléchir. Des visions d’horreurs se dessinaient dans sa tête. Petrelli chercha à se calmer mais pas moyen. Penser lui était difficile, très compliqué…

[J'espère que c'est bon pour le début. Je te laisse poursuivre ^^]

il y a un truc étrange sur le rebord de la corniche, unt ruc d'ombre, aps trop clair, pas trop sombre. Quand on essaie de le fixer, il semble se dérober au regard, donnnant un fichu mal de tête.

Less passe par la porte ouverte, de l'autre côté du vide. Elle s'engage sur quelque chose qu'il n,est pas capable de voir à cette distance. Elle avance, un pied devant l'autre, comme sur un filin, mais aussi détendue que si elle traverserait la grande salle.

Elle s'arrête au milieu du chemin, croise les bras et l'attend, semblant suspendue dans ce vide.

Invité

Le regard de Peter se promenait sur la corniche comme pour essayer de trouver quelque chose de rassurant. Quelque chose le frappa sur le rebord. Quelque chose d’ombreux, ni trop sombre, ni trop clair était apparu. Le jeune Petrelli tenta de fixer cette zone là. Après quelques secondes il se rendit compte que sa tête lui était devenue douloureuse.
Changeant son regard de direction, Peter remarqua que le professeur de Défense Contre les Forces du Mal était apparue de l’autre côté. Elle se mit à avancer dans le vide mais ne chuta point. Elle semblait à l’aise et traversait les lieux sans problème. Le jeune Serdaigle se posait des questions. Bizarrement il commençait à se calmer. Son esprit n’était plus braqué sur le vide. En réalité son esprit commençait à devenir vide lui-même.

Peter se résolut à se relever pour s’avancer vers le pont d’ombre qui était apparu quelques instants auparavant. Il remit une mèche de cheveux en place et tenta d’avancer son pied. Malheureusement, il se rendit compte qu’il n’y avait que du vide à cet endroit là. Le fait de ne pas avoir eu d’appui le fit glisser et celui-ci manqua de tomber. Par chance il se rattrapa.
Ce petit moment de panique l’avait essoufflé. Il regardait en direction de son professeur, il cherchait une réponse dans son regard émeraude. Quelque chose au fond de lui disait que ce point ombreux allait lui servir à passer.

Pet’ : J’aurai beau vous regarder, ce n’est pas comme ça que j’aurai une réponse.

Peter le savait que le professeur le laisserait se débrouiller jusqu’au bout. Il ferma les yeux… Une mélodie résonnait dans sa tête lui permettant de devenir légèrement plus zen. Il savait que ce point d’ombre était stratégique. Il devait se calmer et peut-être que cela lui permettrait de s’avancer sur un fil invisible.

Elle le regarde se démerder, sans aucune expression, son uniforme foncé d'auror se fondant avec L'environnement, la tranformant presque en tête lévitante.

J’aurai beau vous regarder, ce n’est pas comme ça que j’aurai une réponse.

Un grand sourire éclaire la sombre figure tandis que les yeux émeraudes pétillent... de fierté? Oui c'est bien ca. Elle a un geste, l'invitant à venir la rejoindre.

Invité

Ses yeux étaient clos. Peter essayait de se concentrer et de faire abstraction du vide autour de lui. Son esprit se vidait. Au fond de lui, il savait que la seule façon de combattre sa peur était de ne faire qu’un avec lui. Tout ce qu’il fallait c’était vider son esprit, essayer de devenir lui-même le vide. D’ailleurs cela semblait marcher. La mélodie qu’il avait en tête l’aidait.
Ses yeux se rouvrirent et le jeune homme ne vit plus de vide. Devant lui s’étendait une sorte de grande étendue d’herbes, c’était le parc de Poudlard. Le professeur Mainella l’attendait à quelques mètres de lui. Peter se leva et se dirigea tout droit, en restant bien face à sa professeur. Pour lui le vide avait disparu, autour de lui il n’y avait qu’une étendue d’herbe.

Parfait se disait Peter. Il avait réussit à faire abstraction de tout ce qui l’entourait. Mademoiselle Mainella lui avait demandé d’approcher, il posait un pied devant l’autre sans défaillir. Maintenant Peter devait absolument rester concentré. Il ne fallait absolument pas qu’il fasse un faux pas…

Less le regarde faire, le laisse venir vers elle. Une fois qu'il y est, elle se permet enfin de prendre la parole.

Vous n'affrontez pas votre peur... Vous en faite abstraction. Les forces du mal ne s'embarasseront pas de telles nuances. Je reste près de vous monsieur Petrelli. Ouvrez vos yeux et regardez la réalité telle qu'elle est.

Là où se tient Peter, c'est un minuscule ilôt d'Ombre semblant instable. Autour, le vide. Nulle trace des deux corniches vues précédemment.

Invité

Less’ : Vous n'affrontez pas votre peur... Vous en faite abstraction. Les forces du mal ne s'embarasseront pas de telles nuances. Je reste près de vous monsieur Petrelli. Ouvrez vos yeux et regardez la réalité telle qu'elle est.

Peter chercha à se reconnecter à la réalité. Tout redevint vide autour de lui mis à part où il était. Ses jambes se remirent à trembler et Peter faillit défaillir. Tout fut si brusque. Il cherchait à trouver un moyen pour affronter sa peur seulement il n’arrivait déjà plus à réfléchir. Il retourna alors les paroles de Lareless dans sa tête. Voulait-elle que Peter s’avance comme ça au dessus du vide ? Il est certain que là, il affronterait d’une façon sa peur. Peut-être allait-il poser la question. Il se devait d’être certain pour ne pas se tromper.

Pet’ : Si je comprends bien professeur, vous désirez que j’avance comme ça au dessus du vide pour pouvoir passer par dessus ma peur ?

Le jeune Serdaigle espérait que ce serait la bonne solution. Il était très difficile de surmonter sa peur… D’ailleurs maintenant se fut sa main droite qui se mit à trembler. Le stress du vide qui l’entourait l’envahissait. Il allait devoir se dépêcher et surtout essayer à de nouveau se calmer. Il tenta de se remémorer la légère mélodie pour apaiser un petit peu sa peur… Cependant ce coup-ci elle ne fit que très peu d’effet, juste de quoi légèrement le rassurer.

Si je comprends bien professeur, vous désirez que j’avance comme ça au dessus du vide pour pouvoir passer par dessus ma peur ?

Le serdaigle semble sur le bord de chier dans ses shorts si vous me passez l'expression. Less a un petit sourire en coin, bienveillant. Elle tend un mouchoir au garcon.

Pourquoi avoir peur du vide? Ca ne fait pas mal le vide.

L'îlot d'Ombre s'évanouit sous leur pieds. Mais ils ne bougent pas... ne semblent pas bouger en tout cas dans l'éternité étoilée.

Invité

Less’ : Pourquoi avoir peur du vide? Ca ne fait pas mal le vide.

Selon elle oui. D’ailleurs, elle avait étonnement raison : pourquoi avait-il peur du vide ? C’était inexplicable. C’était humain en gros. Le jeune Petrelli ne c’était jamais posé la question, son professeur l’avait donc mené sur la voie.

Pet’ : Vous avez raison professeur… j'aurais du me demander pourquoi est-ce que j'avais peur du vide ?

Peter commençait à prendre conscience et à savoir combattre cette phobie. Alors qu’il baissait les yeux, le jeune homme remarqua que l’îlot d’ombre avait disparu. Des connections se créèrent dans la tête du jeune Serdaigle. Tout n’était que disons psychologique… tout se passait dans la tête et nulle part ailleurs.

Pet’ : Professeur, je n’ai même pas senti que l’îlot d’ombre s’effaçait. Cela signifie que toutes nos craintes ne sont que psychologiques et que tout se déroule dans notre tête ?

Le jeune Petrelli semblait soudain un peu plus calme et rassuré. Seulement, il hésitait à bouger. Il allait le faire, c’était obligatoire, il devait montrer à Mademoiselle Mainella qu’il était capable de surpasser sa phobie. D’ailleurs, c’est ce qu’il fit, il tenta quelques pas devant lui. Les premiers furent hésitants. Quelques secondes plus tard, il semblait commencer à avoir confience.

Professeur, je n’ai même pas senti que l’îlot d’ombre s’effaçait. Cela signifie que toutes nos craintes ne sont que psychologiques et que tout se déroule dans notre tête ?

Elle ne répond pas, se contentant de le laisser tirer se spropres conclusions.

Venez.

Dit elle, tournant les talons et s'engageant de nouveau sur le petit pont d'Ombre. Pont qui n'a qu'un pid de largeur. elle se diruge vers la corniche par laquelle elle est venue et s'engouffre dans la pièce.

Parlant de pièce, celle là est semblable à la première. Mais un contexte différent. Deux corniches, une crevasse entre les deux. Une lueur rougeoyante peut se faire voir dans les entrailles de la terre.

Mais ce coup là, il n'y a aucun pont de visible.

Il faut traverser par vos propres moyens.

Invité

Less’ : Venez.

Peter se posait des questions. Le jeune homme suivait son professeur de près. Elle passa par une autre porte que Peter dépassa aussi. La salle dans laquelle ils étaient, ressemblait à la précédente. Seulement, dans la crevasse Peter repérait une lueur, une lumière rouge. Elle clignotait légèrement comme une étoile. Rapidement, le jeune Serdaigle chercha un point de passage possible… Rien. Cela lui fit presque perdre ses moyens mais il ne fit rien paraître et tenta de se reprendre.

Less’ : Il faut traverser par vos propres moyens.

Réfléchit Peter. La solution ne doit pas être loin. Après tout, tu y es arrivé dans l’autre salle. Certes, il y avait le point de passage mais cela servait seulement à le rassurer. La lumière rougeoyante intriguait étonnement le jeune Petrelli. Qu’est ce que cela pouvait-il bien représenter ? La question, il n’allait pas la poser de toute façon il était seul face à son épreuve. Peter n’adressa pas de regards à son professeur, il préférait se débrouiller ou du moins essayer.
Il fallait agir, le jeune homme se dirigea alors vers le bord en tentant de passer par-dessus sa peur. Il posa son pied à plusieurs endroits pour constater que le vide était bel et bien présent. L’astuce devait être liée à cette lueur rouge. Simplement, Peter affronta la réalité en face. Il tenta de se rassurer un peu plus. Etrangement, la lumière semblait commencer à changer de couleur… Était-elle liée à lui ? Changeait-elle de lumière par rapport à la façon de penser de Peter ?

[J’espère avoir une bonne imagination ici]

Une main ferme le chope par le collet alors qu'il allait commettre l'irréparable. Less le tire fermement vers elle. Ce qu'il y a tout en bas a de quoi l'incinérer en une seconde chrono.

Le vide n'est pas dangereux, mais l'atterrissage oui par contre... Pour votre information, nous sommes bien profond sans la terre. N'ayez pas peur du vide, mais apprenez à respecter ce qu'il peut dissimuler.

Elle le relâche, le laisse trouver la solution lui-même. Après tout, il est sorcier nom d'une pipe!

Invité

Peter sentit son cœur faire un bond lorsque son professeur le rattrapa au dernier instant. Heureusement qu’elle était auprès de lui si pas il commettait l’irréparable. Le discours de son professeur n’avança pas réellement Peter. Sa psychologie n’allait pas réellement l’aider à avancer ici. Le jeune homme n’était pourtant pas un homme d’action. Le cerveau de Peter faisait un réel blocage face à la situation. Il avait réussi à se calmer mais le fait de savoir qu’il était entouré de vide l’arrêtait. Le jeune homme décida de s’assoir en tailleur comme pour mieux réfléchir. Ses yeux devinrent clos comme pour chercher une solution mais absolument rien ne lui venait à l’esprit… même pas un sortilège. Rien de rien c’était le vide dans sa tête comme autour de lui.
Soit le jeune Serdaigle trouvait une solution au plus vite, soit il se ramassait en beauté et pour la première fois de sa vie. Ses yeux se rouvrirent et fixèrent quelque chose d’inexistant droit devant lui. Le jeune homme ne bougeait plus, plus aucune réaction. Il tentait de réfléchir, tant bien que mal. Il faisait un réel blocage et pourtant il se devait de réussir cette épreuve ci.

Et pourtant, la solution était à portée de main. Un sortilège lui vint à l'esprit. Il avait entendu que l'on pouvait se faire léviter... seulement Peter était stressé de se voir suspendu au dessus du vide. Il prit sa baguette et murmura la formule. Tant bien que mal, il passa par dessus le vide pour se poser à l'endroit demandé par le professeur. Durant sa lévitation, le jeune Serdaigle avait senti son coeur battre à tout rompre... être au dessus du vide lui faisait d'autant plus peur.

Less, par un transplanage, l'attend de l'autre côté. Elle a une posture droite et fière, une lueur de satisfaction dans ses prunelles émeraude.

Elle regarde Peter léviter d'un côté à l'autre du vide. Bien! Il ne devrait plus avoir peur, il est sorcier, il a les capacités à rectifier la situation s'il tombe. Il fallait juste qu'il en prenne conscience.

Lorsqu'il pose le pied sur la corniche, elle lui pose une simple question.

Vos impressions m. Petrelli?

Invité

Peter commençait seulement à réaliser qu’il avait réellement réussi à vaincre sa peur. Les images repassaient dans sa tête. Une seule chose clochait, ses jambes tremblaient toujours. Trop d’émotions. Il allait avoir besoin de s’assoir si pas il défaillait.
Son professeur était debout à côté de lui. Il tourna son regard vers elle, remettant une mèche de cheveux en place. Mademoiselle Mainella prit la parole :

Less’ : Vos impressions m. Petrelli?

Ses impressions ? Le jeune homme allait avoir du mal à s’exprimer ou du moins à dire ce qu’il avait à dire. En tous les cas, il allait remercier Lareless pour l’avoir poussé si loin. Sans elle, il n’aurait peut-être jamais osé faire cela. Peter chercha à former une belle phrase et la récita :

Pet’ : Mes impressions ? Et bien disons que… j’ai peut-être stressé trop rapidement pour quelque chose qui en fin de compte était surmontable. D’ailleurs, je dois vous remercier, sans vous je n’aurais jamais osé faire cela.

Le jeune Petrelli chercha quelque chose sur lequel s’appuyer. Malheureusement il n’y avait rien. Son professeur allait devoir rapidement lui permettre d’aller s’assoir. Ses jambes commençaient à moins trembler mais tout de même, après tant d’émotions il allait avoir besoin de se poser sur une chaise.

Less lui montre la porte.

Prenez les escaliers m. Petrelli, en haut il y a un salon avec boissons et collation. Restaurez-vous, Vous le méritez.

Doucement, elle le guide, puis referme la porte derrière lui. Terminé, un coup de baguette et la salle reprend son apparence... de salle vide. Prenant soin de verrouiller la porte au cas où le Serdaigle serait tenté de revenir, elle transplane ensuite, vers l'épreuve d'un autre élève.

(hj:je te laisse conclure)

Invité

Peter suit du regard la direction indiquée par Lareless. Il n’écouta pas toute la phrase, il en entendit seulement les informations principales, en gros ce qu’il désirait entendre ou du moins ce que son esprit voulait capter. Son professeur le guide jusqu’à la porte pour la refermée derrière lui. Le jeune Serdaigle monta les marches comme lui avait dit Lareless.
A l’étage, il regarda derrière lui : son professeur n’était plus là. Elle était très mystérieuse, c’était peut-être cela que le jeune Serdaigle appréciait chez elle. Dans la pièce où il était, il s’avança vers l’un des fauteuils. Sur une petite table, juste devant lui, était déposé des biscuits et un verre d’eau. Peter avala d’une traite le verre. Les biscuits non plus ne firent pas long feu.

Après s’être reposé quelques minutes, remis de ses émotions, le jeune homme décida enfin de s’en aller. Reprenant son sac, il vérifia son emploi de temps. Dans quinze minutes il avait botanique. Par chance, le jeune Serdaigle était de nouveau en forme et serait prêt à affronter la mauvaise humeur de Khâlina Liimatainen. S’avançant vers la porte de sortie, il poussa celle-ci et prenant soin de la refermer derrière lui. C’est avec lenteur qu’il se dirigeait vers les serres de botanique, après tout il avait encore du temps devant lui.

[Merci pour ce chouette cours/rp Smile

]

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