DCFM: Chad

La porte s'ouvre devant vous, Lareless, à côté d'elle, ne dit pas un mot, vous invitant simplement d'un geste de la main à entrer, Un corridor obscur se perd dans les ténèbres devant vous. Une torche, à gauche, sur son socle, est la seule source de lumière. Vous pouvez voir les petites traces par terre d'une multitude de rats avec les crottes qui vont avec, ainsi que la trace de quelque chose de plus gros et de non-identifié.

Une fois que vous avez passé la porte, celle-ci se referme avec un grincement sinistre. Plus question de faire marche arrière.

Ce qu'il y a ici, vous l'apporterez.

Chad suivait Mlle Mainella pour atteindre l'endroit ou aurait lieu la pratique de défense contre les forces du mal. Il se demande bien ce qui va pouvoir l'attendre dans cette épreuve, mais après tout, n'as t il pas déjà démontré que peu de chose pourrait l'arrêter et l'empêcher d'atteindre son but. Coute que coute, il remplirait sa mission, comme a son habitude, sans que rien ni personne ne puisse l'en empêcher.

Ils arrivèrent tous deux devant une porte, qui s'ouvrit immédiatement devant eux. Lareless arborait un visage impassible et mystérieux. Elle lui fit un geste de la main l'invitant a entrer dans la pièce. Il obtempéra immédiatement, et remarqa tout de suite qu'il s'agissait d'un corridor obscur, dont il n'arrivait pas a voir le fond, mais resta sur le pas de la porte. Cette ambiance, ne le mettait pas très a l'aise, il ne savait pas pourquoi, mais il avait une sorte de mauvais préssentiment concernant ce qu'il allait trouver ici, ou même devoir affronter.

Sur la gauche, se trouvait une torche qui éclairait faiblement l'endroit, au sol, d'nnombrable crottes de rats, étalées en tous sens, et des traces qu'il n'arrivait pas a indentifier d'ici. Il allait faire son premiers pas dans la salle, mais par précaution, il se tourna vers Less et lui demanda:

Euh, que doit-je faire? Trouver quelque chose de spécial, affronter des monstres, ou tout autre chose.? Je veut bien être téméraire, mais je ne veut pas partir dans l'inconnu, il me faut tout de même avoir une mission, si on peut l'appeler ainsi.

Son sentiment de malaise grandissait, mais pourtant, il ne flancherait pas, rien ne pouvait l'arrêter ou le faire plier, c'était dans sa nature. Il n'avait même pas peur de la mort, et se moquait totalement d'être blésser. Il attrapa sa baguette, et attendit une réponse deson professeur.

Less a soudainement l'air triste. Elle baisse la tête, joue avec son gant comme si elel serait mal à l'aise.

Vous... POur vous...

Elle s'éclaircit la gorge.

Il est arrivé quelque chose à votre compagne pendant l'exercice. Ce N'était jamais arrivé. L'infirmière est avec votre compagne, mais on ne peut pas la déplacer.

Le regard se pose sur Chad, vert clair, vert brume, vert triste. Elle laisse tomber les conventions.

Chad.. Anne se meure.

Less pleure, la peur de Chad est la meme que la sienne, quoique a un niveau reduit. Une peur que personne ne peut rien y changer.

Elle tapote le mur derri'ere elle et ouvre le chemin. Dans le petit salon, Anne git devant le foyer, un grand bout de bois lui transpercant l'abdomen. L'infirmiere Sanchez s'active, couverte de sang, administre potion sur potion pour prolonger la vie chez la griffondor.

Less laisse passer Chad, reste dans l'ombre et observe.

Chad regardait partout aux alentours, cherchant une aide, et lorsqu'il se retourna vers Lareless, il vit qu'elle pleurait aussi. Il compris enfin l'ampleur du désastre. Anne devait vraiment alléer mal. Il avait tenté de se rassurer, de se dire que ce ne devait pas être si grâve, les gens ayant tendance a amplfier la gravitée des choses, mais les larmes de Less ne trompaient pas, il y avait vraiment qu'elque chose de grâve.

Les larmes emplissait ses yeux, sa tête tournait, et il vit son professeutr tapoter le mur qui se trouvait dans son dos, qui ouvrit un passage. De l'endroit où il se trouvait, il ne pouvait pas voir grand chose. Less s'écartât pour lui laisser le passage, et il apperçut enfin la salle. C'était un petit salon, dans le fond se trouvait une cheminée. Sur le sol gisait une forme inerte, c'était le corps de Anne, autour d'elle s'afférait l'infirmière. Chad n'arrivait qu'as voir une seule chose. Le sang, il y en avait partout. Sur le sol, sur Anne, et sur la blouse de l'infirmière.

Il suffoquait, et sa vue était troublée par ses larmes. Ses jambes tremblaient, mais il s'avançât a toute vitesse vers Anne. Il essuyât ses larmes, et atrapât sa ain. Les sienne tremblaient, mais il n'arrivait pas a les contrôler. Il fut surpris par la froideur de sa peau.

Anne ma chérie... Tout va rentrer dans l'ordre, je te le promet, tu va voir, je vais tout arranger.. Je t'en supplis... Ne me laisse pas seul... Je t'en pris Anne... Je t'aime... Reste avec moi je t'en pris.

Au fur et a mesure qu'il prononçait ces mots, sa voix se mettait a trembler, et ses larmes recommencèrent a couler. Il savait que le fait de prononcer ces mots ne servait a rien. Il regarda sa blessure, et savait que cela allait être dur de la guérrir, mais il gardait un espoir. Un grand morceaux de bois traversait son abdomen. Le sang imbibait sa robe de sorcier. Qui avait pu lui faire ça? Il sentit la rage monter en lui. Lentement, il se releva et se dirigea vers son professeur.

Qui lui as fait ça? Comment est ce arrivé?

Elle devait le lui dire. De toute façon, si elle ne le fesait pas, il retrouverait le coupable, et n'aurait aucune hésitation. Il le tuerait.

Qui lui as fait ça? Comment est ce arrivé?

Less lève les yeux. Fixe Chad d'un regard vert d'eau.

Ce fut un bête accident. Il y avait deux trappes dans la salle. Je les avait neutralisées et condamnée les issues. Mais la pierre s'est effritée sous son poid. Et elle est tombée. S'il y a un coupable, c'est moi.

Elle lève la tête vers Anne.

On essaie au moins de sauver le bébé... Mais les potions de dissimulations nous compliquent la tâche.

Sous le couvert de l'exercice, elle aimerait que Chad allume. Parce que, de un, la salle a vraiment fait une Anne enceinte et ca c'était pas voulu, et de deux, curieusement, ca correspond à la réalité. Mais elle a juré le secret à Anne.

Less plongea alors son regard dans celui du jeune homme. Il attendait tout tremblant de rage qu'elle prenne la parole.

Ce fut un bête accident.

Un accident?

Il y avait deux trappes dans la salle. Je les avait neutralisées et condamnée les issues. Mais la pierre s'est effritée sous son poid. Et elle est tombée.

Sous son poid ? Mais elle est légère comme une plume !

S'il y a un coupable c'est moi.

Qu...Quoi ?

Elle leva alors la tête vers Anne qui gisait toujours sur le sol. Il était sous le choc, mais il ne s'attendait pas a ce qu'elle allait lui dire.

On essaie au moins de sauver le bébé... Mais les potions de dissimulations nous compliquent la tâche.

Le... Le quoi ? Quelle dissimulation ?

Il s'empressa de retourner vers Anne pour voir ce qu'il en était. l cherchat quelque chose pour faire un peu de lumière, et trouva un interrupteur qu'il allume, et qui éclairat tout la pièce. Il vit alors que Less disait la véritée. Il ne l'avait pas remarqué dans la noirceur de la pièce, mais il apperçut que le ventre de Anne était légèrement arrondit. Mais comment cela était il possible ? Il n'était pas au courant, et pourquoi ne le lui avait elle pas dit ? Ses larmes recommencèrent a couler. Non seulement il risquait de perdre l'amour de sa vie, mais en plus, il venait d'apprendre qu'il risquait de perdre le bébé qu'elle portait dans son ventre. Il posa sa main sur son ventre, et sentit quelque chose qu'il n'avait jamais ressentit auparavant. Il se releva, et se re-dirigea vers Less en empoignant s baguette. Il courut vers elle, et l'attrapat par une épaule, lui pointant sa baguette sur le cou, et hurla:

Vous... C'est vous qui avez fait ça. Vous l'avez tué, et vous avez aussi tué mon enfant.

Il avait du mal a maitriser sa voix, sa main tremblait, mais il ne voyait plus sont professeur, il ne voyait que le monstre qui avait causé cet accident.

Vous allez me le payer.

Soudain, il se rendit compte de ce qu'il fesait. Il était en train de menacer un professeur, qui plus est, c'était la directrice de sa maison. Il vit le monstre disparaître pour laisser place a Less. Il recula, trébuchat, et tomba en arrière, secoué de sanglots.

Qu'avez vous fait ? Elle ne méritait pas ça... Et ... Et mon bébé non plus.

Ses pleurs devinrent alors plus intenses, il n'arrivait plus a se contrôler. Il ne pouvait raisonnablement pas tuer son professeur. Elle était responsable, mais ce n'était pas elle qui l'avait poussé sur cette branche. Il lui jeta un regard qui en disait long, emplis de haine. Même s'il ne pouvait rien faire, elle le payerais un jour, et ce jour là, il serrait la pour le lui rapeller.

less pose ses prunelles embuées de larmes dans celles de Chad. Elle lui pose alors deux questions fort simple... Aux premiers abords.

Que donneriez vous pour lui sauver la vie ?

et

Pourquoi toujours avoir besoin de trouver un responsable?

Les bras croisés, elle attend la réponse. Dieu, ces épreuves deviennent de plus en plus difficiles. Elle n'aurait jamais pensé trouver un élève qui partage le même type de peur qu'elle.

Chad essayait tant bien que mal de se calmer, et lorsqu'elle lui adressa la parole, il vit que ses yeux étaient emplis de larmes. Lui tentait de calmer les siennes, Anne n'était pas morte, et tant qu'elle ne le serait pas, il ne perdrait pas espoir. Pourtant, il avait du mal a s'approcher, quelque chose en lui le retenait. Il ne voulait pas gêner l'infirmière qui s'affairait toujours autour de Anne lui administrant des potions dont il ignorait la composition. Less lui posa alors deux questions. La première, elle n'avait pas finit de la prononcer qu'il répondait déjà:

Ma vie. S'il fallait que je meure pour qu'elle vive, je n'hésiterait pas une seconde. Je laisserait quelqu'un m'arracher le coeur pour ne serait ce qu'entendre un dernier mot sortir de sa bouche.

Il resta pensif a cette idée. Et fixant Less plus intensément, il ajouta:

Vous savez, très peu de gens comprennent cette réaction, mais cette fille, c'est la femme de ma vie, le grand amour, on ne le rencontre pas deux fois dans une vie, et c'est elle... C'est a ses côtés que je veut finir mes jours, et puis, maintenant, il y a le... Le bébé... Oui, je n'hésiterait pas a affronter la mort pour qu'ils s'en sortent tout les deux.

La deuxième question, par contre le laissa bouche bée. il ne savait pas vraiment quoi répondre a son professeur. Au bout de quelques minutes de silences, il prit une profonde inspiration avant de parler. Il lui était déjà difficile de rester là a ne rien faire pour tenter de sauver Anne, de toute façon que pouvait il faire de plus que l'infirmière Sanchez, mais il n'aimait pas se dévoiler a ce point, montrer ses faiblesses.

Je... Je ne sait pas vraiment si cela a un rapport, mais j'ai perdu mon père quand j'avais a peu près huit ans, il a été assassiné par un mangemort. Il était auror, et... Enfin, vous devez comprendre, mais je me suis toujours juré qu'un jour je retrouverait son assassin, et que je le tuerait a mon tour, mais... Depuis que j'ai rencontré Anne, j'ai laissé tomber cette idée de vengeance. Je pense que je doit chercher quelqu'un a blâmer pour me... Me sentir mieux.

Il baissa son visage. Bizarrement, il n'avait eu aucun mal a raconter cela a Less. Peut être avait il oublié au fur et a mesure des années ce sentiment de haine qui venait de ressurgir en lui. Habituellement lorsqu'il parlait de son père, sa voix tremblait, et il finnissait toujours par verser une larme, mais pour l'instant, rien ne pouvait le faire pleurer hormis la vue du corps de Anne.

Je... Je ne sait pas vraiment si cela a un rapport, mais j'ai perdu mon père quand j'avais a peu près huit ans, il a été assassiné par un mangemort. Il était auror, et... Enfin, vous devez comprendre, mais je me suis toujours juré qu'un jour je retrouverait son assassin, et que je le tuerait a mon tour, mais... Depuis que j'ai rencontré Anne, j'ai laissé tomber cette idée de vengeance. Je pense que je doit chercher quelqu'un a blâmer pour me... Me sentir mieux.

Et une fois que vous vous serez vengé... que vous restera t il?

Elle écoute la réponse, puis sort sa baguette et balaie l'air. Elle n'est plus capable de cette épreuve. Après tout c'est une peur contre laquelle on ne peut rien y faire à part l'accepter.

Elle continue à pleurer ouvertement cependant.

Vous avez réussis votre épreuve M. Parker.

Et une fois que vous vous serez vengé... que vous restera t il ?

Chad baissa son regard. Il ne savait vraiment pas quoi lui répondre. Il n'y avait jamais pensé. Il essaya d'y réfléchir un instant, mais ne voyait aucune solution. malgré la vengeance, il savait très bien que sa peine ne le quitterait jamais. Il avait réussit a passer par dessus celle qu'il avait ressentit a la mort de son père, et avait réussit a s'en sortir, mais malgré ce qu'il pouvait faire, il en resterait toujours une part au fond de lui. Pourtant, il ne pouvait se résoudre a ne pas réagir, mais que faire d'autre ? Laisser passer et oublier ? Il en était incapable. Peut être devait il simplement se contenter de vivre avec. Ce devait êre difficile, mais il se devait d'y arriver s'il ne voulait pas devenir un meurtrier a son tour. Il replongea son regard dans celui de Less et dit:

Il ne me resteras rien... a part la peine qui ne s'effaceras jamais, et d'avoir sur la conscience la mort d'une personne, ce qui n'arrangerais rien, vous avez raison. Je... je m'excuse de... de vous avoir menacer.

Chad vit alors Less ballayer l'air avec sa baguette, et lui annoncer qu'il avait réussit son épreuve. Il ne comprenait plus rien a toute cette histoire.

Mon épreuve ? Mais je croyait qu'elle avait été annulé ? Vous... vous voulez dire que tout ceci n'était que pure invention, que ce n'était pas réel ?

C'est la manifestation de la peur la plus profonde en vous. Je vous rassure, votre compagne va bien physiquement. Vous devriez par contre aller lui aprler de votre épreuve ici vu que ca la concerne.

Less repousse sa mèche rebelle du front. Elle semble épuisée. D'un geste absent, elle essuie une larme.

Malheureusement, ce genre de peur ne s'affronte pas. On peut seulement vivre avec en espérant qu'elle ne se réalisera pas. C'est le genre de peur M. Parker, qui offre une très bonne prises aux forces du mal, mais qui fait en même temp notre force. Ne les laissez jamais utiliser cette peur contre vous.

Elle hésite.

Vous pensez peut-être que je ne sais pas de quoi je parle, alors voici la mienne. Je vous demande seulement de garder ca pour vous. Si ca se sait, je saurai d'où ca vient.

Un mouvement de baguette, et ils sont dans une infirmerie. Dans des linceuls ouverts, alignés... Kaitz, Muelle, Lucius, Hiro, Tout les étudiants de Poudlard. Judith, Griffith, Walter... Sa famille... Xoramen.

Elle a une voix triste mais résolue.

Je fait de la prévention, Je travaille à ce que jamais cette peur ne se réalise. Mais en même temp, on ne peut les empêcher de vivre et de prendre des risques.

Elle balaie une troisième fois l'air de sa baguette. Ils reviennent dans le salon.

Questions M. Parker?

C'est la manifestation de la peur la plus profonde en vous. Je vous rassure, votre compagne va bien physiquement. Vous devriez par contre aller lui parler de votre épreuve ici vu que ca la concerne.

Chad ne comprenait plus rien. Allors tout ceci n'avait été forgé que par son imagination. Sa propre peur s'était matérialisé devant ses yeux. Il se retourna comme pour se convaincre qu'elle disait bien la vérité. Et en effet, il n'y avait plus de trace de Anne ni de l'infirmière. Il se retourna vers Less, les yeux emplis de larmes, mais cette fois ci, c'était toute la pression qu'il avait ressentit jusqu'à présent qui remontait a la surface.

Alors... Anne va bien, elle n'as rien, tout ceci était faux. Dieu merci.

Chad s'assit un instant, pour prendre le temps de réaliser que tout ce qu'il venait de vivre n'était pas réel, et que Anne était en sécurité. Il écouta ce que Less lui expliqua au sujet de sa peur, mais ne comprenait pas pourquoi elle avait tant pleurer. Peut être que cela l'avait réellement boulversé, si ce n'était pas cela, elle devait être une bonne actrice.
Il la vit hésiter, mais cest alors qu'elle lui expliqua qu'elle savait de quoi elle parlait, et lui confia sa propre peur. En un mouvement de baguette, il se retrouva dans une infirmerie. De nombreuse personnes étaient allongés dans des linceul. Chad fut estomaqué de voir qu'il connaissait beaucoup de ces visages. Il y avait Kaitz, Miss Daee, son professeur préféré M Shima, ainsi que de nombreux élèves qu'il avait déjà vu.

Je fait de la prévention, Je travaille à ce que jamais cette peur ne se réalise. Mais en même temp, on ne peut les empêcher de vivre et de prendre des risques.

Elle balaya une dernière fois l'air a l'aide de sa baguette, et il se retrouva a nouveau dans le corridor.

Questions M. Parker ?

Non mademoiselle. Je veillerais a ce que ma peur ne se réalise jamais, et ferait de mon mieux afin que l'on ne l'utilise pas contre moi. Et n'ayait crainte, je ne parlerais a personne de ce que vous veez de me montrer. Je vous en donne ma parole.

Il ne pouvait que savoir ce que Less avait du ressentir pendant cette épreuve, et comprenait maintenant pourquoi elle avait tant pleuré. Car il avait ressentit la même chose. Il ne se serait jamais douté qu'il avait un point commun avec sa directrice. Il laissa tombé alors la barrière qu'il devait y avoir entre un professeur et son élève, et la prit dans ses bras. Non pas seulement pour la remercier de lui avoir montré et expliqué a quel point sa propre peur pouvait être dangereuse pour lui, mais peut être après une épreuve si difficile, avait elle besoin d'un peu de réconfort pour repartir du bon pied. Il s'écarta alors et lui dit:

Merci mademoiselle.

Quand il la prend dans ses bras, elle se demande d'abord ou il veut en venir. Elle pose une main legere sur son epaule, pas habituee a tant de familarite. Less est une enseignante qui tient a la ligne entre prof/eleve.

Merci mademoiselle.

Il n'y a rien a remercier. Je fais mon devoir d'institutrice c'est tout. Maintenant, courez vers elle, je vous donne un papier la dispensant du prochain cours... Vous avez surement beaucoup de trucs a vous dire.

Elle prend un bout de parchemin et ecrit quelque chose rapidement dessus, puis le tend a l'eleve

hj:je te laisse conclure... ce fut plaisant

Chad sentit la gêne chez Less lorsqu'il la prit dans ses bras. Après tout, elle ne devait pas être habitué a autant de familiarité vennt d'un élève.

Il n'y a rien a remercier. Je fais mon devoir d'institutrice c'est tout. Maintenant, courez vers elle, je vous donne un papier la dispensant du prochain cours... Vous avez surement beaucoup de trucs a vous dire.

Encore merci.

Il attrapat le morceau de papier qu'elle lui tendait, et ne prit pa la peine de le lire. Il sortit en trombe de la classe, et parcourut les couloirs a touteallure afin de pouvoir trouver Anne et la serrer dans ses bras.

HJ Merci beaucoup Less, j'aivraiment apprécié, on devrait faire ca plus souvent.