DCFM: Sen'Zir

La porte s'ouvre devant vous, Lareless, à côté d'elle, ne dit pas un mot, vous invitant simplement d'un geste de la main à entrer, Un corridor obscur se perd dans les ténèbres devant vous. Une torche, à gauche, sur son socle, est la seule source de lumière. Vous pouvez voir les petites traces par terre d'une multitude de rats avec les crottes qui vont avec, ainsi que la trace de quelque chose de plus gros et de non-identifié.

Une fois que vous avez passé la porte, celle-ci se referme avec un grincement sinistre. Plus question de faire marche arrière.

Ce qu'il y a ici, vous l'apporterez.

Au cachot n°2??? Mais qu'est ce qu'elle pouvait bien leur y faire faire??? Sen'zir avait lu cela sur le panneau d'affichage non loin de la porte du bureau de la prof de DCFM. Qu'est ce qu'elle lui cassait les couilles avec ces airs de duchmol... Elle lui sortait part les yeux. C'était tout simplement physique et hierarchiquement incroyable pathétique le fait qu'elle soit à la tête de la maison des gryffondors. Honte à eux.

Seul avec sa baguette dans l'une de ses poches de sa robe de sorcier, où était éplinglé les deux insignes qu'il arborait fièrement et qui resplenidissait, Sen'zir marchait tranquillement dans les cachots. Il fut decçu en voyant qu'il était à l'heure. Puis, le fait de la voir... Sen'zir poussa un soupir ostentatoire.

- Sen'zir - Qu'est ce on fait ici?

Dit il d'une manière traînante.

Qu'est ce on fait ici?

Lareless ne tique pas, se contente de regarde Sen'Zir d'un air parfaitement neutre.

Elle décide de dévier légèrement de son discours habituel.

Vous ferez ce que vous déciderez de faire monsieur Galatea. Personne ne saura jamais rien de ce qui s'est passé ici. A part vous et moi... Restera a savoir comment vous agirez. Si vous aurez du courage.

Elle marque une pause. Lui, il a besoin d'un coup de pied au cul. Elle ajoute toujours imperturbable. Lui donnant un indice.

C'est vrai que des centaures, c'est un peu violent comme exercice. Mais ils ont gentiment acceptés de m'aider sur ce coup là.

- Lareless - Vous ferez ce que vous déciderez de faire monsieur Galatea. Personne ne saura jamais rien de ce qui s'est passé ici. A part vous et moi... Restera a savoir comment vous agirez. Si vous aurez du courage.
- Sen'zir - Waaa... C'est super...

On dirait Ella, mais en version arrogant. Enfin, Sen'zir s'en fichait royalement de ce qu'elle pouvait penser. Qu'elle fasse son cours, qu'elle enseigne ce que Sen'zir avait besoin de son savoir, pas de l'aimer ni de l'embrasser.

- Less - C'est vrai que des centaures, c'est un peu violent comme exercice. Mais ils ont gentiment acceptés de m'aider sur ce coup là.

Un lueur de défis traversa le regard de l'égyptien. Néanmoins, il n'était pas tranquille. C'était quand même des êtres à moitié des équidés... M'enfin, après tout une fois déjà, il les avait... Comment diable était elle au courant???? KAITZ!!!! Il ne sait pas tenir sa langue!!! Remarque, il avait fallut avertir Mikomi, donc... Vu qu'elle adorait fouinné, elle avait du le savoir comme ça... Ou peut être qu'elle ne le savait pas et qu'elle avait voulu l'impressionner. Même si intérieurement, il n'était pas tranquille, il conserva cette air arrogant et il répéta:

- Sen'zir - Waaa... Bon, on commence? Plus vite, c'est fait, moins, je vous vois...

Et le respect dans tout ça???

j'enlève 5 points à Serpentard pour votre arrogance monsieur Galatea... Et comptez vous chanceux que ca ne soit pas davantage...

Lui répond elle d'un ton moqueur. Elle en a vu de spire que lui et si le retrait des points ne fonctionne pas, il reste toujours le creusage de trnchées qui met du plomb dans la tête et dans les muscles.

Elle pointe le corridor obscur de la main.

Vous commencez quand vous voulez. Prenez le corridor. Au bout il y a une porte. Je ne vous souhaiterai pas bonne chance, ca serait vous insulter n,est ce pas?

- Less - j'enlève 5 points à Serpentard pour votre arrogance monsieur Galatea... Et comptez vous chanceux que ca ne soit pas davantage...

Mwé... Et ca se croyait autoritaire? Pff.. Si Sen'zir ne poussa pas le bouchon, c'était bien parce qu'il fallait qu'il se calme un peu sur la perte des points pour sa propre maison. Il avait du en faire perdre une vingtaine depuis le début de l'année. Cela faisait deux semaines. --"

- Less - Vous commencez quand vous voulez. Prenez le corridor. Au bout il y a une porte. Je ne vous souhaiterai pas bonne chance, ca serait vous insulter n,est ce pas?
- Sen'zir, doucement, mais audible - Et ca se croit drôle... Pfff...

Tout en disant, il marcha dans le corridor obscur et s'approcha de la porte. Sortant sa baguette, il ouvrit, la baguette en avant.

Less disparait dans le mur derrière elle.

**************

Une plaine s'étale devant Sen'Zir. Au fond, une forêt sombre et inquiétante et, au delà, les tours reconnaissables de Poudlard

Des petis points argentés évoluent par centaines dans la plaine. Par groupe disséminés, assez près cependant les un des autres pouer que Sen'Zir n'ait pas le choix que de passer au travers pour retourner à l'école.

Au fur et à mesure qu'il s'approche, il peut voir que ce sont des licornes.

L'autre déjangté avait disparut lorsque ce dernier avait ouvert la porte. Il fut énormement surpris de voir ce qui se trouvait derrière la porte. La lumière qui traversa la silhouette de Sen'zir éclaira la moitié du corridor obscur qu'il venait de franchier, laissant de l'ombre, qu'une courte pénombre légère. Sen'zir avança doucement, et avec hésitation. Cette atmosphère n'était vraiment pas normal. Quelque chose clochait... Il lâcha la poignet, et la porte, une fois qu'il fut passé, se referma d'elle même, disparaissant par la même occasion.

Sen'zir sentit son sang se durcir dans son organisme. Putain, qu'est ce qu'il allait faire?? Il jetta des regards de partout, affolé. Restons calme. Qu'elle était tordue c'te garce! Sen'zir ferma les yeux et prit son temps pour respirer. Il les rouvrit. Il se trouvait au milieu de jenesaisquelplaine qui était bordé par une forêt d'allure sombre... Puis les tours de Poudlard... Donc, il avait prit un portoloin? Sen'zir réfléchit. Non, un portoloin cela ne faisait pas cette effet là... Quoique... Après tout, il n'en avait jamais pris... Sen'zir inspira. Il allait falloir qu'il traverse la plaine et la forêt si son résonnement était bon.... La garce!!!

Sen'zir baissa sa baguette, tout en la conservant à une hauteur suceptible d'être prêt au combat à tout moment. Marchant doucement, puis prenant de l'assurance, Sen'zir prit une démarche rapide. Par contre, il se stoppa nette lorsqu'il vit des silhouettes argentés. Qu'était ce? Sen'zir concentra ses yeux vers ces dernières, mais toujours rien de définissable. Il s'approcha, tout en levant la baguette. Misère!

Sen'zir, lorsqu'il vit que c'était des licornes fut prit d'une violente panique qui le stimula et il prit les jambes à son coup pour se diriger à l'endroit d'où il était apparu dans la plaine... Les chevaux... Il avait une de ces peurs... Depuis les persans... Non, ne valait mieux pas relater cette période de sa vie...

Un terrible moment pour Sen'zir... La peur lui prenait le ventre... Ce n'était que des chevaux... Oui, mais... Sen'zir était assi au sol, les mains sur sa tête. Fallait qu'il se calme... Qu'il se calme... PUTAIN MAINELLA JE VAIS TE TUER!!!! C'est ce qui se fit entendre dans toute la plaine... Sen'zir était effrayé... C'était étrange... Pourquoi en avoir peur...

[...]

Un moment de réfléxion... Un moment de peur... Il en avait mal à la tête. Cela devait faire plus de 220 minutes qu'il était assis là. Sen'zir se releva. Il leva la baguette... Quand il faut se sortir du pétrain, il ne faut compter que sur sois... Il le savait... Avec son passé... Ses forces... La musique, le dessin, les tags, les filles, lui, et le Quidditch!! Donc Balai volant oblige...

- Sen'zir - ACCIO BALAI GALATEA!!!

Il attendit.

- Ché pas si le sort marche, vu que c'est toi qui anime...

Lareless apparait, venue d'on ne sait trop où. Elle se découpe, sombre figure dans ce décor enchanteur.

Est elle réelle? est-ce une illusion ou une hallucination de l'esprit enfiévré de Sen'Zir? Difficile à dire. Bref, elle aprle avec la voix de la raison.

Croyez vous vraiment que je vous la laisserait si facile Sen'Zir? Vous me décevez beaucoup en essayant la solution de la facilité. Je croyais les égyptiens plus durs à cuire que ca... Il n'y a que les femmelettes pour avoir peur d'innocentes licornes.

Un balais arrive, est-ce une hallucination? est-il réel? Lareless lève sa baguette

Sectusempra!

Et déchiquette l'engin en milles morceaux. Les prunelles émeraudes jettent un regard en coin à Sen'Zir, le sourire mystérieux de Less narguant le jeune homme.

Un vrombissement familier se fit entendre. Sen'zir était sauvé. C'était le bruit de son balai qui voletait en sa direction, bien qu'il soit à une certaine hauteur. De soulagement, l'égyptien rabaissa sa baguette vers le sol, de façon à ce que le balai entame une descente. C'est à ce moment là que la directrice de Gryffondor refit son apparition.

- Less - Croyez vous vraiment que je vous la laisserait si facile Sen'Zir? Vous me décevez beaucoup en essayant la solution de la facilité. Je croyais les égyptiens plus durs à cuire que ca... Il n'y a que les femmelettes pour avoir peur d'innocentes licornes.

Puis, cette dernière pointa sa baguette vers le balai qui s'approchait de plus en plus du sol, et cette dernière incanta: Sectumsempra. Le sort jaillit pour percuter le balai qui vola en éclat. Le visage de Sen'zir chanega de couleur pour prendre rouge pivoine. La garce... Elle venait de lui éclater son plaisir, mais aussi sa chance de survie dans cette plaine.

- Sen'zir - Sale... garce...

Ok, elle le narguait. Rien n'avait autant de stimulant que cela. Sen'zir détestait être sujet de moquerie. Et ce qu'elle venait de faire, Sen'zir l'avait en travers... Il lui lança un regard noir, puis, il ajouta:

- Sen'zir - Je vais te la passer ta plaine... Pff...

Sen'zir se tourna doucement vers la zone qu'il avait tantôt fuit. Purée... Il inspira profondément après quelques minutes de longues reprises de respiration. Ok, c'est bon. Il se mit à avancer normalement pour éviter que Less ne voit un quelconque trait de faiblesse de la part de l'égyptien. Néanmoins une boule se faisait sentir au creux de l'estomac.

- Tu veux qui se passe quelque chose dans sa traversé de la plaine?

(hj: oui bon, j'ai fait une faute, pas facile de rpéer avec un toutit dans les bras )

Lareless le regarde s'avance dans la plaine. Elle est décue, réellement. Il avance par défi celui là. Mais aurait il eu le courage de le faire si elle ne serait pas intervenue et qu'il n'aurait pas eu de balais?

Elle porte la main à son dos, semble chercher quelque chose, puis disparait.

************

Les licornes ne portent qu'une attention limitée à Sen'Zir. Après tout, ce sont de paisibles ruminant tout ce qu'il y a de plus pacifique. La traversée de la plaine se passe sans encombres. Maintenant, c'est la forêt qu'il faut affronter.

Un hennissement profond se fait entendre, suivit du bruit d'un galop effréné. Un genre de portail noir se fait entrevoir entre els arbres un bref instant. Une monture de cauchemard apparait alors, ses traces de sabots derrière elle étant enflammées. Sa fourrure est des écailles d'un noir marbré de rouge lumineux, sa crinière et sa queue un torrent de flammes qui embrase les arbres derrière elle. Ses yeux ne sont que deux points rouges incandescents. De ses naseaux dilatés sort de la fumée.

Elle s'arrête à une dizaine de pas de Sen'Zir avant de se dresser sur se spattes arrières en fouettant l'air de ses pattes avant.

- Pas grave.

Pour Sen'zir, ce fut le pire moment de sa vie, cette traversé... Mais, il était loin de s'imaginer de ce qui allait se passer lorsqu'il pénétrerait dans la forêt interdite. Il ne put s'empecher de penser qu'il serait à couvert dessous. Grossière erreur. L'égyptien ne pouvait s'empecher de traverser la plaine en jettant des regards tout autours de lui, se croisant les bras comme si il avait froid.

Un pas... Deux pas... Il était dans la forêt. Il ne put s'empecher de soupirer d'une certaine façon qui ne pouvait trahir, de sa part, un certain soulagement. Il continua de s'enfoncer dans la forêt, de façon à trouver le chemin qui ménerait vers le château. Dix minutes de marches avant qu'un bruit n'attire son ouïe. Un henissement se fit entendre, lui glaçant le sang. Il recula de quelques pas. Une sorte de sombral mélangé à une sorte de dragon du style d'un magyar à pointe marchait en sa direction. Des traces incandescentes se faisaient apercevoir sur le chemin derrière lui. Sen'zir était tétanisé. Sa crinière, sa queue... Un monstre de feu... Pour un peu, on aurait dit la monture du Ghost rider, un célèbre comics moldus qu'il avait lu lors de son enfance lorsqu'il venait d'arriver en Angleterre.

Il s'arreta à une dizaine de pas. Sen'zir n'avait pas réussi à fuire. Ses yeux étaient rouges et de ses nasaux s'échappaient de la fumée, la même que lorsque quelque chose brûlait... D'un coups, le cheval-hybride se mit sur ses pattes arrières pour les abattre sur Sen'zir. Ce n'est qu'à ce moment là, qu'il put s'esquiver. Survie? Peut être... Certainement même... Heuresement qu'il était bon au Quidditch et que ses réflexes étaient suffisament bon, voir excélant. Sen'zir se roula au sol, puis, il prit les jambes à son coups.

Il s'arreta. Non. Less allait se foutre de sa gueule. Putain... Mais il avait peur... Non. Sen'zir. Ressaisis toi! Il ne faut pas que tu te laisses faire... C'est dans ta tête, c'est dans ta tête... Putain... Il serra un peu plus fort sa baguette magique. Il sortit de derrière l'arbre, et regarda le cheval qui s'approchait, vers lui, comme si il avait toujours su que Sen'zir se trouvait derrirèe cette arbre en particulier. Il déglutissait difficilement. Des sueurs froides s'écoulaient de son front et le long de sa colonne vertébrale. Le cheval continuait de s'approcher...

Il se souvint... Il avait 5 ans... Dans un souk... Marchant furtivement, et doucement pour pouvoir égarer ses mains sur les étalages de façon à piquer de quoi manger pour lui et sa soeur... Des cris... Sen'zir s'était fait repéré.... Il s'était mis à courir... Des hénissements... Sen'zir tourna la tête... Bam! Un persan venait de le percuter violement...

C'était ça... Que ça? Pourquoi? Sen'zir se sentit plus confiant d'un coups... Ce traumatisme lui avait permi d'oublier ce souvenir... Il pointa sa baguette et il défia l'équidé de feu.

- Sen'zir, avec une voix tremblotante - Tu veux ma peau... Je ne me vendrais pas comme ça...

Il lança un sort d'aguamenti.

Un gros, un immense nuage de vapeur entoure soudain Sen'Zir, suivit d'un hennissement de douleur rageur... Pendant un moment infini, le jeune homme est seulement entouré de vapeur.

Quand elle se dissipe, il n'y a plus aucune trace de l'équidé.

Bravo Monsieur Galatea, vous avez de quoi être fier de vous.

Dit une voix reconnaissable entre milles derrière lui. Lareless, sur un splendide pur sang arabe noir et tenant la bride d'un mustang fauve est derrière lui.

Montez, ca sera cent fois plus vite pour retourner à Poudlard. Nous pourrons discuter de votre expérience en chemin... Ca aussi ca fait parti de l'exercice.

Sen'zir venait d'incanter l'aguamenti. De sa baguette, il sortit un puissant jet d'eau. Ce dernier devait être unfluencé par les sentiments de panique et de stress... L'eau jaillit en direction du cheval et ce dernier se le prit en plein la tête. Une fumée opaque apparut au fur et à mesure que le feu du cheval, s'éteignait. Puis, il ne vit plus rien. Il tourna et retourna la tête autours de lui pour tenter d'y voir quelque chose, mais lorsque le brouillard se dissipa, au bouts d'un certain temps, quand même, le cheval n'était plus présent.

Sen'zir, à nouveau, tourna et retourna la tête, en accompagnant de sa baguette, ses gestes. De tout côté, il n'y avait plus aucune présence du cheval des ténèbres... Il ne put s'empecher de pousser un soupir bien mérité.

- Less - Bravo Monsieur Galatea, vous avez de quoi être fier de vous.

Il ne put s'empecher de faire un sourire à la Prof qu'il détestait temps. Et pour la première fois depuis que Sen'zir cotoyait Less, il n'y avait aucune arrogance. Une sensation d'intense chaleur émanait du garnement. Il ne répondit rien, et baissa la tête, comme un enfant lorsqu'il vient de se faire féliciter. Néanmoins, il regardait les chevaux avec un profond dégout.

- Less - Montez, ca sera cent fois plus vite pour retourner à Poudlard. Nous pourrons discuter de votre expérience en chemin... Ca aussi ca fait parti de l'exercice.
- Sen'zir - Quoi?!? Mais on monte comment???

Il ne put s'empecher d'échapper à un tremblement. Il n'avait plus peur comme avant, mais il en était encore assez peureux.

Lareless lâche la bride du mustang et descend du pur sang arabe.

Restez loin de Ténèbres, vous avez affronté votre peur, mais ce canasson est vicieux.

Par précaution, elle va attacher son cheval un peu plus loin. Elle revient et prend le mustang par la brise et l'emmène devant le Serpentard.

Celui là par contre est d'une douceur incroyable... parfait pour un débutant. Vous avez surmonté votre peur des chevaux, la plus belle récompense que vous pouvez avoir est celle de sentir une de ces bêtes sous vos cuisses...

Elle lui jette un regard en coin. Un sourire encourageant et... fier... Oui, elle est fière du Serpentard. Lareless a beau être la directrice de Griffondor, elle estd 'une impartiale justice.

Vous posez le pid droit dans l'étrier droit et vous vous propulsez en l'air. Servez vous de la force de votre jambe pour ensuite enfourcher votre cheval. Il s'appelle Océan en fait... Voulez vous faire connaissance avant de monter?

- Less - Restez loin de Ténèbres, vous avez affronté votre peur, mais ce canasson est vicieux.
- Sen'zir - Ne vous inquiétez pas, je ne comptais pas le faire...

Sen'zir fit une grimace comique, avant de s'assoire au sol, pour quelques secondes. Sa respiration reprenait sa vitesse normale. Cela ne servait à rien de se presser. Bon, quand même un peu, quoi, mais pas trop. Il avait bien mérité quelques secondes de repos. Combattre ses peurs s’étaient éprouvant tout de même. Puis le temps qu’elle s’occupe des cheveaux…

- Less – Celui là par contre est d'une douceur incroyable... parfait pour un débutant. Vous avez surmonté votre peur des chevaux, la plus belle récompense que vous pouvez avoir est celle de sentir une de ces bêtes sous vos cuisses...

Sen’zir ravala la réplique qu’il lui aurait lancé d’habitude. Peut être pour la première fois, Sen’zir ne sortait pas une raillerie alors qu’il l’aurait pu. Il fit un sourire désespéré, mais il se releva tout de même pour s’approcher du cheval avec une certaine appréhension dans sa façon de marcher et dans son regard.

- Less – Vous posez le pied droit dans l'étrier droit et vous vous propulsez en l'air. Servez vous de la force de votre jambe pour ensuite enfourcher votre cheval. Il s'appelle Océan en fait... Voulez vous faire connaissance avant de monter?
- Sen’zir – Euh… Je vais prendre la dernière option… On fait comment pour faire connaissance ? Je lui paye un verre ?

Ce n’était pas la même arrogance que d’habitude. Là, c’était de l’humour. Déplacé, certes, mais c’était un début. Il ne pourrait ne plus être comme d’habitude avec la Prof de DCFM… Elle l’avait aidé à combattre sa peur, même si ce n’était pas encore acquis.

Euh… Je vais prendre la dernière option… On fait comment pour faire connaissance ? Je lui paye un verre ?

Elle sourit , puis sort quelque chose d'une manche de sa robe. Un carré de sucre.

Non, ils ne tolèrent pas bien l'alcool, on a déjà essayé jadis... Mais venez ici.

Elle attend qu'il obtempère, lui donnant le temp de se reprendre. ici ce n'est pas le cheval qu'il faut brider, mais l'humain à apprivoiser. Océan L,a très bien compris et hennit doucement.

Lareless lui place le morceau de sucre dans la paume.

Étendez bien les doigts, à la grosseur de bouche que ca l'a, accrocher un index est douloureux... bien... maintenant, tendez lui la friandise. Océan, je te présente Monsieur Galatea. Mosieur Galatea, voici Océan.

La bête fait un pas, englouti le sucre avant de donner un léger coup de tête affectueux sur le torse du jeune Serpentard.

- Less - Non, ils ne tolèrent pas bien l'alcool, on a déjà essayé jadis... Mais venez ici.

Sen'zir eut un ricanement sincère. Puis, il prit le morceau de sucre qu'elle lui tendit, tout en s'avançant vers la directrice de Gryffondor. Dire qu'il ne l'appréciait pas du tout depuis des années. Mais là, il commençait à l'apprécier de plus en plus. Argl!!! Qu'aller dire les autres lorsqu'ils apprendront que Sen'zir allait prendre sa défense sous prétexte qu'elle lui avait aidé à combattre sa phobie des canidés.

- Less - Étendez bien les doigts, à la grosseur de bouche que ca l'a, accrocher un index est douloureux... bien... maintenant, tendez lui la friandise. Océan, je te présente Monsieur Galatea. Mosieur Galatea, voici Océan.

Sen'zir étendit les mains avant d'aller s'approcher du cheval avec parcimonie. Il était réellement intimidé par le cheval. Il lui mit la main sous le museau, et ce dernier lui mangea le sucre dans la main. Au contact, Sen'zir ne put s'empecher de siffler et de retirer la main comme si il prenait une décharge.

- Sen'zir - Mwé... J'te dis pas d'm'appler Sen'zir, hein, mais j'pense qu'on va devenir pote... Tout' façon, on a pas le choix. Alors...

Sen'zir se risqua de lui caressait la tête. A sa grande surprise, le cheval fut content, et se laissa faire, exercant même une pression pour qu'il continue.

- Sen'zir, comme un enfant quand il vienne d'apprendre quelque chose - Et vous avez vu Madame!!! Trop bon!!! Ola! Ajouta t il, lorsque le cheval s'approcha de ce dernier en lui fourant le museau dans le cou.

Lareless regarde l'émerveillement de Sen'Zir d'un air amusé. Elle tapote soudain l'air vide de sa baguette.

Le cours est terminé. Profitons du moment présent voulez vous? Venez, marchons un peu.

Elle donne les rênes d'Océan à Sen'Zir, puis va chercher Ténèbres. Elle prend soin de se mettre entre le jeune homme et le cheval. Elle marche un moment, profitant de cette soirée fraîche le silence se fait, non pas lourd, mais un silence naturel, confortable.

Je vous aime bien Sen'Zir... Je n'ai jamais cru à ses sottises de maison anyway. Votre franchise vous honore et vous ne vous embarassez pas de faux semblants. Je sais cependant que pour votre standing à Serpentard, vous vous devez d'hair tout les griffondors cependant...

Elle continue, calme, zen, un léger sourire sur les lèvres. Elle est simplement bien. Sen'Zir et elle se ressemble beaucoup plus qu'il n'y parait.

Je veux seulement que vous sachiez que ma porte est toujours ouverte si vous avez besoin, que ca soit académique ou personnel.

Sen'zir ne vit pas l'air amusé du professeur de DCFM. Il était tellement occupé avec le cheval, qu'il n'avait pas vu non plus, le mouvement de la baguette de la directrice de Gryffondor. Occupé à esquiver le museau du cheval et à le caresser lorsqu'il se sentait assez courageux, Sen'zir était très occupé avec un sourire sur ses lèvres. Si on lui avait dit qu'il allait réussir à combattre sa phobie, à savoir la raison de cette dernière, mais le pire dans tout ça, ou le bon, le fait qu'il commençait à apprcié la compagnie du professeur Mainella. M'enfin, il n'y a que les idiots qui ne changent pas d'avis. Cela prouvait également, que Sen'zir n'avait pas un mauvais fond.

- Less - Le cours est terminé. Profitons du moment présent voulez vous? Venez, marchons un peu.
- Sen'zir - Déjà ?!? Le cours est passé rapidement... D'accord, je vou suis.

Ajouta t il en prenant la bride d'Ocean que lui tendait Madame Mainella. Il ne put s'emepcher de s'éloigner un peu de cette dernière lorsqu'elle revint avec l'autre équidé. Il n'inspirait pas la confiance, chez Sen'zir. Après tout, c'était un cheval de la même race qu'il l'avait percuté lorsqu'il était beaucoup plus jeune.

- Less - Je vous aime bien Sen'Zir... Je n'ai jamais cru à ses sottises de maison anyway. Votre franchise vous honore et vous ne vous embarassez pas de faux semblants. Je sais cependant que pour votre standing à Serpentard, vous vous devez d'hair tout les griffondors cependant...
- Sen'zir - En même temps, vos élèves nous rendent bien la monnaie, n'est ce pas?

Un sourire éffleure le visage de l'égyptien.

- Less - Je veux seulement que vous sachiez que ma porte est toujours ouverte si vous avez besoin, que ca soit académique ou personnel.
- Sen'zir, surpris agréablement, et surpris par sa stupéfaction agréable - Pourquoi madame? Pourquoi? Après tout, je vous ai fais la misère...

Pourquoi madame? Pourquoi? Après tout, je vous ai fais la misère...

Elle a un petit rire... nostalgique oui c'est ca.

J'ai été étudiante moi aussi. Si je me serais limitée à la rivalité entre maison, je me serais privée de vraies relations enrichissantes. Vous êtes un excellent élève monsieur Galatea... Vous êtes un esprit fort et indépendant. Vous ne laissez personne vous dicter ce que vous devriez être. Ca me rend fière, peu importe ce que vous arborez comme blason ni les misères que vous faites. Au contraire, je vous respecte pour cela.

Ténèbres hennit avec vigueur, puis lui mordille l'épaule. Elle le détourne avec une claque sèche sur le museau.

- Less, après un petit rire nostalgique - J'ai été étudiante moi aussi. Si je me serais limitée à la rivalité entre maison, je me serais privée de vraies relations enrichissantes. Vous êtes un excellent élève monsieur Galatea... Vous êtes un esprit fort et indépendant. Vous ne laissez personne vous dicter ce que vous devriez être. Ca me rend fière, peu importe ce que vous arborez comme blason ni les misères que vous faites. Au contraire, je vous respecte pour cela.

Sen'zir rougit jusqu'à la racine de ses cheveux. Et pourtant, il était légèrement foncé de peau. Un compliment comme celui là... Sen'zir en avait rarement eut et cela lui avait fait du bien d'entendre un tel compliment.

- Sen'zir - Merci...

Il ne savait pas quoi dire à la directrice des Gryffondors. Jamais, il n'aurait pensé qu'un jour comme celui ci arriverait, ca relevait limite du miracle. Mais, c'était agréable.

Less ne relève pas le merci, voulant épargner la sensibilité du jeune homme. Elle regarde ailleur, le temp qu'il reprenne son teint habituel.

En fait, elle pressent que le jeune homme ira loin dans la vie. Avec une volontée comme al sienne, il ne peut en être autrement. Et elle espère réellement qu'il viendra la voir s'il a besoin d'assistance. La directrice de Serpentard ne semblant pas encline à aider ses élèves les plus prometteurs, elle prend le taureau par les cornes. Un élève est un élève, et elle sait reconnaitre du potentiel.

Il se fait tard, en selle!

Elle l'aide à se placer sur Océan, puis enfourche Ténèbres. Ainsi, ils se tapent une charmante balade jusqu'aux écuries du château.

(hj: si tu as autre chose dont tu veux m'entretenir en passant, vas y fort)