Une rencontre... ( libre)

Une jeune femme était entrain de se maquiller le visage. Le monde des moldues l’aidaient à gagner un certain montant d’argent, et ses fins de semaine étaient plutôt bien payées pour une survis en fonction d’achats de vêtements. Le reste, sa tante et son oncle, le fessait très bien, mais elle voulait une certaine indépendance.

Comme je le disait, elle se mettait d’une crème blanche et épaisse sur son visage, pour le rendre blanc et intacte. Une poudre pour mettre se teint plus laiteux et fragile. Ses cheveux était détaché pour une meilleur visibilité de sa danse qu’elle devra effectuer sur la scène qui l’appelait. Elle avait revêtu une petit kimono qui rendrais la pièce magnifique, et avec tout le sens de cette reprise japonaise.

Elle se leva de son siège, et fit une couette grossière sur son dessus de sa tête. Elle l’enroula d’un ruban rouge bourgogne, tout comme son amie serré.

Sa robe lui serrais au niveau des hanches, et un certain e souplesse dans le tissu au niveau de cuisses, et de la taille. La petit robe était en première épaisseur un linge de coton blanc, qui était par dessus des petits pantalons trois quart qui cachait au cas ou c’est mouvement serrais brusque. Le tissu principale, était de soie noir, avec des motif de dragon fin bourgogne, et des étoiles crèmes autour.

Elle eu une longue cape noir, sur sons dos qui fessait une traîne énormément longue. Elle attendait devant un écran de tissu aussi noir, mais moins coûteux et soyeux. Elle respira grandement fessant partir son stresse interne, qui grandissait à vue d’œil. La musique commença, des morceaux de bois qui se fracassait, avec un bruit de flûte fruité en arrière plans.

Elle avança son premier pied qui était monté sur un talons haut, même énormément haut. Les rideaux s’élevait, qu’une lumière de blanc, se mis sur son visage consterné par la placidité. Le reste de la salle était noir nuit, et personne ne pouvait décelé âme qui vive au près d’eux. Tout les se pesèrent sur son corps, sur ses pas, sur son souffle…

Elle ouvrit un parapluie qui la fit se cacher de la neige qui tombait artificiellement. Elle cherchait l’âme qu’elle aimait, elle le chercha, mais ne le vit pas.

La musique s’arrêta, et après une seconde de non musique, une autre au rythme épuisé, commença. Elle avait baissé son parapluie, pendant la secondes, mais quand la musique avait repris que la neige avait pris place sur sa chevelure. Elle releva le parapluie, et la neige tomba mollement. Quand la musique avait repris, elle laissait tomber son parapluie, et puis le remontant, avec des gens dru et sans pitié pour trancher sa tristesse grandissante. Sa cape se fit retiré, par une personne caché au dehors de la scène, laissant son libre choix de ses mouvements.

Elle sauta par terre dans un saut minime et gracieux, laissant ses sandales non loin au milieu de la salle. Elle se mit recula vers l’arrière, tout en brandissant son parapluie de haut en bas, puis le laissa sur la stage, continuant sa danse effréné. Elle courut avec des petits pas, jusqu’à l,avant, puis revenant, son visage avait pris un sentiment de peur et de tristesse è la fois.

Les personnes dans la salle retenaient leur souffle voyant la souffrance de la belle au cheveux noir et visage blanc.
Elle se cachait la figure, toujours en reculant et avançant, elle perdu pieds, et s’effondra de tout son long sur l’estrade enneigé. Les cheveux recouvrant par en avant, elle se releva tranquillement mettant ses pieds sous son corps.
Tout en remontant, elle mis ses mains croisé sur son ventre, et tout en remontant que avec la force de son bassin, le croisa pour se recourber au complet, la tête en arrière, et les mains demandant grâce de se faire libéré. Ses cheveux coulait au grés du vent artificielle, représentant son âme qui sortait d’elle pour une deuxième vie meilleure sûrement.

Les personnes de la salle se remirent debout, tout en claquant brutalement dans leurs mains. Ils avaient tous soif de voir la jeune femme se relever, mais elle restait couché la tête dans le vide.
Cette jeune femme pleurait, pleurait la peine de ne pas être celle qu’elle jouait, mais elle se reprit, et se releva, puis salua grandement ses spectateurs. Elle ne reçu pas de fleur, comme le théâtre demandait, mais quand elle fut dans sa loge, une explosion de parfum et de couleur éclairait toute sa loge et les filles s’avouant d’admirations à la femme.

Elle se démaquilla après avoir embrasser toute les personnes qui lui vantais toute la douleur qui avait passé dans leur tripe au même instant qu’elle. Elle n’avait pas entendu, mais toute la salle avait lancé un gros et fort point d,.exclamation, quand elle avait tombé. Un Oh! Qui avait répercuté sur toute la salle. Elle avait le visage propre, et une autre robe qui était beaucoup plus évasée en son bas. Une robe blanche, au corset serré très fort, et des paillette sur le bas et remontant pour une qui détenait un arbre dans son tissu soyeux. Elle mit un sac à mains sous son épaule droite, et les mains libre. Elle marchait dans les rue de Londres, quand elle put enfin embarquer dans la Magicobus. Elle s’assit près de l’entrée sachant que celui-ci n’allait pas trop loin pour la rendre à sa destination.
Elle ferma les yeux et laissa son esprit au grès de se qu’elle aimait. Le dehors était beau et ensoleillé, les nuages qui ressemblait a des cheveux volait mollement dans le ciel, en se déplaçant rapidement. Le soleil avait tapé sur Londres une chaleur apaisante depuis tout ses jours de septembre qui était si froid habituellement. Se regain de beau temps, avait mis en la jeune actrice, une énergie active et sans fin. Même à l’école, ses notes avaient augmentées par se beau temps. Une note joyeuse depuis tout se renouvellement de cauchemars tyrannidés.

Elle avait une mains sur la barre de fer, quand le jeune homme cria à tu tête, l’arrivé au chemin de traverse. Elle descendit, qu’un homme la suivait. Elle mit sa mains sur son sac, et allait rentrer dans la taverne, quand elle fut interloqué par l’homme.

Elle se retourna brusquement, fessant face à l’homme. Ses cheveux avaient pris le vent et son visage croisa celui de l’homme. Elle le regardait d’un air froid et intense, attendant se qu’il lui voulait.

En sortant du magicobus, elle avait finalement senti sa présence. Évidemment, elle se retourne sèchement, le regard fier, voulant adopter un air qui n'exprime aucune peur. Une auréole de cheveux sombres se soulève et le soleil donne une lueur de braise au sombre regard. Elle n'a rien dit, mais ses yeux en disent assez. Sans perdre de temps, Kaitz tire de sa redingote une rose d'un rouge intense. Il lui tend, sourire en coin, puis s'explique.

- J'ai voulu vous l'offrir après votre performance, mais il y avait tant de monde et vous aviez l'air si prise que je n'ai pas osé vous déranger. Et puis, j'ai craint qu'elle passe inaperçue à travers toutes les autres.

Évidemment, ça c'expliquait pas tout. Ça n'expliquait pas pourquoi il l'avait suivi depuis le théâtre, ni pourquoi il ne l'avait pas interpellé avant maintenant. Et d'ailleurs, c'était sans importance.

- C'était une magnifique prestation, Miss Delaguna. J'ai rarement vu un tel réalisme dans une prestation si douloureuse.

Il hoche gravement la tête, l'air d'un fin connaisseur en la matière. Le regard de Kaitz parcours l'espace autour de Sirinylie, détaille l'entrée de la taverne, puis revient se prendre dans son regard.

- Puis-je vous offrir un verre ? Ou deux, ou trois ?

Un sourire brillant illumine le visage de chérubin de Kaitz.

Elle regardait toujours le jeune homme, qui avait l’air beaucoup plus mature physiquement qu’elle, trouvant ses cheveux bouclé d’une beauté et attirance sans égard. Elle mis pieds devant, voulant se rapprocher de lui. Il prit la paroles, et elle laissa couler ses mots, comme la douce rivière qui ne reproche aucunement se manque de talc. Elle se mordit les lèvres et abaissa les yeux quand il lui donna la fleur et la vantardise de sa prestation spectaculaire. Il avait l’air ensuite curieux des yeux, mais pas à son égard, mais plutôt sur la taverne qui se trouvait derrière elle. Elle n’avait pas dit mots attendant encore et toujours le bon comportement d’un gentleman. Elle rebaissa les yeux voyant qu’il ne se présentait pas, tout le monde savait son nom, mais ceci n’était point réciproque.

-Désoler de vous couper la paroles, mais votre nom m’est gère inconnue. L’inconnue est sensiblement existant, mais je me dois au moins d’apprendre de qui parviennent ses compliments sans égale. Pour ma prise de temps, je le suis certes, et je vous en veux point, ceci est certainement la meilleur idée qu’un fan est fait. Votre fleur ne m’est pas sans égal, toute chose se doit d’être choyé, et elle en feras de ce sentiment de bienveillance que vous me porter une rose dans mon cœur qui explose pour se dévoiler. Je suis aise de voir que vous apprécier les bonne chose, même s’il sont moldue, mais je n’aurais jamais parié de voir un homme comme vous assister à cette prestance.

Elle attendait qu’il lui dise son nom, et ne donnant pas sa mains pour une poignée qui aurais pu la froisser, elle se pencha pour une révérence simple et douce.

-Le verre serais bien autrement vue comme une façon de me faire votre, mais j’accepte sachant que j’ai encore quelques heures devant moi qui ne demande qu’à être tué.

Elle n’avait pas fait de sourire ou même une expression sur son visage qui démontrait toujours la placidité sans égale. Une âme si tordu, le dehors se devait être transparent. Elle entra dans la taverne, suivi du jeune homme, elle s’assit à une table éloigné des oreilles trop curieuses, et prit le temps d’enlever sa cape et de la rejeter sur le dossier, puis de s’asseoir sur cette artifice copier des moldues.

Elle a raison, il ne s'est pas présenté. Quel gentleman fait-il parfois... piètre dans certaines situations. Il sourit lorsqu'elle s'incline légèrement. Actrice jusqu'au bout, ça ne lui déplaît pas. Il s'incline respectueusement à son tour et lui prend la main vantde la porter à ses lèvres dnas un galant baise-main.

- Veuillez pardonner ma négligeance. Je suis Harkaitz Rocstone.

Il entre dans la taverne à sa suite, et s'assoit devant elle. Son sourire en coin flotte toujours sur son visage. Dommage qu'elle ne sourit pas aussi. Un sourire sur son visage doit avoir un effet lumineux sur sa beauté sombre. Ce n'est pas plus mal, mais quand même...

- Il ne faut pas minimiser la puissance d'un art, tout moldu soit-il. Peut-être que mon éducation y est pour quelque chose, j'ai passé mon enfance à Inverness à vivre avec des moldus, je n'ai donc aucune aversion à leur égard, au contraire.

Il lui sourit de plus belle, montrant ainsi qu'il accorde une noblesse toute particulière à son talent, même si originairement, les moldus s'en font maître.

- Que désirez-vous boire ? demande-t-il en adressant un petit signe incitatif à la serveuse.

Dans la taverne, en se temps de la journée, une brutal boum de bruit retentit au oreille fragile de la douce femme, qui ferma les yeux, et les ouvrit. Même si elle était bête de scène et toujours dans un brouhaha, celui-ci, n’était pas caché par son stresse qui lui battait dans les oreilles habituellement. De jeune enfant criait à tue tête après leur mère qui plaignait que l’homme de la maison vienne à son aide. L’homme avait les joue rougis et le sourire facile pendant que sa femme, plutôt bien nourrie. Essayait de faire remonter les enfants dans leur chambres. Elle reposa son regard sur le jeune homme, quand il s’assit au devant d’elle. Un autre sourire perlait sur ses lèvres chaudes et humides. Ses petites choses lui apportait une certain envie, mais étant restreindre, elle n’irait jamais au devant de se sentiments translucide. Elle se crossait la jambes droite sur sa gauche, étalant sa robe sur les coté et remontant à sa chevelure, pour la faire danser.

-Vous avez passé votre enfance à Inverness, ou est ce que cela se situe? J’ai aussi passé mon jeune temps au près d’une parenté maintenant calme et endormie, dans un monde sans magie jusqu’à mes 9ans. Les souvenirs sont épineux et doux en même temps, mais toute chose à un coté caché.


Une femme arriva vers eux, quand il lui demanda se qu’elle voulait pour boire. Cette femme était belle et plus âgé qu’elle. Elle avait les cheveux d’un rouge vif et des rondeurs plutôt bien placé pour une femme. À coté d’elle, elle n’était qu’un deuxième violons caché dans un armoire. Ceci était bien sa dernière pensée de plaire ou non au jeune homme, plus que la jeune serveuse.

-Je prendrais un whisky pure feu, après une t’elle journée, on a le droit de se donné un peu ravive le corps par une bonne boisson, me suivrez vous dans ma gaieté.

Elle fit un petit sourire en coin dévoilant faiblement se faible artifice à la joyeuse journée qui lui souriait de milles feu au dehors. Elle détacha son regard du corps du jeune homme pour se préoccuper de sa chevelure. Elle tournait sur son index une mèche de cheveux noir jais et la regardait placidement. Elle trouvait se mouvement timide et sexy à sa fois. La façon que ses cheveux prenait une allure plus douce ou dru à chaque vrille donnée sur eux, elle aimait se changement, tout comme le changement de couleur des feuillages.
Elle se mordit la lèvre, et retourna le regard sur le jeune homme, elle était avide de savoir plus de chose sur lui, mais comment ne pas apparaître trop curieuse.

-Pour se jour de rencontre inusité, je me demandait si vous seriez aise à répondre à certain questions et je ferais de même jusqu’à un certain niveau bien sur. Avec ses boissons, nous aurons une plus grande facilité à se dire la vérité. Un certain jeu si sa vous plait.

Ses yeux prirent un tintement de malice et une lueur les éclaira. Un sourire sadique et tortueux fit sont apparitions sur son visage placide. Elle aimait jouer, avait il les même intentions de trop boire et d’en venir à raconter un peu plus de sa vie, elle savait que si elle jouait à sa, elle serais la première à demander grâce, mais cela lui importait.

-Première questions, qu’elle âge avait vous, je dirais un certain avancement sur moi, mais certainement pas plus de la trentaine. Alors en sont milieux de nous deux, un certain vingt et un, mais peut-être plus par votre éloquence touchante. Suis-je prêt du but?

Assis de biais sur sa chaise, il a un bras apuyé sur la table. Il jette un regard circulaire dans la pièce, semblant parfaitement à l'aise avec son environnement. Il reporte son attention sur la jeune actrice et épie le moindre de ses gestes, gardant toujours son sourire.

- Inverness se trouve en Écosse. Mais ce n'était pas vraiment sans magie. On ne m'a jamais caché que j'avais du sang sorcier.

La serveuse, une pétillante femme aux cheveux rouge s'approche. D'un oeil connaisseur, il la détaille des pieds à la tête, affichant son sourire le plus charmeur.

- Évidemment que je vous suivrai. Pour moi ce sera un simple cognac, sans glaçons.

Après avoir passé sa commande, il délaisse bien vite du regard la serveuse pour revenir à Sirinylie. Non pas que la serveuse ne lui plaise pas, mais il avait porté ce soir son dévolu sur la jeune actrice et elle avait accepté son invitation, ce qui lui avait fait fort plaisir.

- Je ne vois aucun inconvénient à répondre à vos questions, si elle restent décentes. Autrement, je me verrai obligé de vous la retourner illico, ajoute-t-il avec un sourire espiègle. J'ai 26 ans bien sonné, mademoiselle Delaguna. Cependant, les conventions m'empêche de vous retourner la question, mais je crois bien que vous n'avez pas encore la vingtaine.

La lueur amusée de son regard observe la jeune actrice. Il aimait bien regarder les femmes. Il était ainsi depuis son plus jeune âge. Les voir rougir légèrement tandis qu'il ne voit qu'elles était ce qu'il trouvait de plus ravissant.

Nylie prit le temps de regarder le jeune homme.
Dans son esprit au mille façon de voir, elle se retrouva dans une arène dans un temps gladiateur et sans pitié.
Elle avait été revêtu d’un costume de cuir brun qui lui faisait comme une brassière en son haut, le bas avec du même cuir et ressemblais au dessous de la jupe qui partait au grès du vent, une culotte qui traversait le milieu de la fesse. Elle avait à la mains un trident et de l’autre un fil à pèche, un grand filet pour de grosse proie.
L’homme au devant d’elle, avait les allure du jeune adulte, une chevelure bouclé, mais attaché à son derrière comme une queue de cheval. Son habit tout autant ancien que le sien se voyait de cuivre noir en une jupe et au dessous plutôt comme un short. Il avait un glaire à la mains droite et un bouclier à la gauche. Il frappa sur le bouclier de son glaire montrant le début du combats.

Elle tournait autour de l’homme montrant son adresse de pieds, l’homme la suivait, mais saurais t’elle le déjouer, surtout après toute ses adresses qu’elle avait et lui ferais voir, se qui comptait pour le nombre de verre d’alcool qu’ils allaient prendre en vrai.

Elle revint sur terre, et sourie de l’âge beaucoup plus avancé que le sien, mais qui ne donnait à l’homme qu’une bonne adresse à comparer à elle. Il présuma son âge en ayant le doute de sa nouvelle majorité. Il avait belle et bien raison, mais il avait laisser son compte rendu beaucoup plus vaste.

-J’ai belle et bien dix-sept ans, mais ceci ne vous gêne en rien, étant adulte et majeur, je suis pleinement coupable de mes gestes et paroles.

Elle renvoya le sourire mesquin de l’homme, donnant à son imaginaire le doute d’une attaque qu’elle avait prodigué en donnant un coup de son épée par la prochaine question qu’elle allait dégainer.

-Vous êtes certes un bien bon homme, mais vaut intention, sont elle sincère à rester avec une limite par la cause de mon âge?

Elle brida un peu plus ses yeux démontrant son incertitude envers l’homme au devant d’elle.

-Avez vous aussi un passe temps comme le mien de jouer la comédie, de danser sinon une autre forme de beauté réalisé par le cerveau de l’homme. Je trouve cette faculté très peu développé envers certains, mais je suis aise de voir que vous avez l’esprit ouvert au beauté des moldues.


Elle se revit dans l’arène le triton à la mains une sueur perlant son front qui sous un soleil torride, laissait les personnes de l’assemblée se divertir de qui seras touché le premier. Elle fit un pas à droite, puis cinq à gauche. Le regard dans celui de l’homme attendant avec garde se qu’il allait faire.


(hj- J'espère que t'aime car moi je l,adore se rp ^^ je suis totallement accro au gladiateur je crois ^^

Son verre à la main, il en prend une petite gorgée, sans quitter des yeux l'actrice devant lui. Il ne répond pas immédiatement, effectant une profonde réflexion. Les indécentes pensées à demi voilées de Syrinlie auraient pu choquer les puritains, mais Kaitz est bien loin de cela. Elle et bien jeune, selon lui et son regard est beaucoup trop provocant pour une jeune fille de son âge, mais il ne laisse paraître aucun signe de ses pensées.

- Mes intentions sont des plus cnvenable, mademoiselle. À savoir prendre un verre avec une talentueuse actrice, qui comme moi, affectionne l'Art de la scène.

Une autre gorgée et il sourit en reposant son verre sur la table. Un autre instant de réflexion, puis il répond.

- Je ne suis pas pratiquant, je suis plutôt admirateur. Je m'y connais, mais qu'en théorie observatrice. Je ne suis jamais monté sur une scène, bien que pour moi, la vie soit une vaste scène. J'admire tout ce qui m'est agréable à l'oeil. Et votre prestation de ce soir me fut très agréable.

Un sourire charmeur et un regard convenablement admiratif s'adressent à la talentueuse actrice. Reprenant son verre en main, il le lève en adresant un clin d'oeil à Syrinlie.