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 Franchir le pas ? Deux alternatives.

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MessageSujet: Franchir le pas ? Deux alternatives.   Franchir le pas ? Deux alternatives. EmptyMar 14 Aoû 2007 - 1:48

( Réservé à Sally )

L'imaginaire est éphémère.

« DRINNNNNNNNNG »

Silence. Ce n'était pas un réveil comme les autres. Il n'était pas électrique. Il n'était pas à pile et non branchable. Il fonctionnait par magie, et comme le dirait les Moldus « par le saint esprit ». Néanmoins, étant une sorcière de Sang Pur, Kaitlyn n'y prêtait même plus attention. Il suffisait de renfermer un sortilège dans un objet pour que ce dernier devienne « exceptionnel », un bon trafic à faire chez les Moldus, et si elle avait eut plus de courage, peut être que O'Carley s'y serait investie. Cependant, c'est la petite fille introvertie qui manque trop de confiance en elle. Le vilain petit canard de la famille. Une personne qui ne fera peut être même pas partie de la biographie commune. Il n'y avait que deux personnes qui faisaient attention à elle, et d'après Kaitlyn, cela sortait du miracle. Seth et Sky. Sa soeur jumelle est complètement adulé par toute la famille, tellement qu'elle en oublie sa vie elle même. Vivre pour les autres. Peut être est-ce ça, le désir de Luciole. On désire toujours ce qu'on a pas. Et lorsqu'on connaît la souffrance que peut ressentir l'aînée des deux filles, on s'y résigne vite. Néanmoins, c'est kif kif, les deux sont à plaindre. Peut être une plus que l'autre. Silence. La bleue et argent était toujours enroulée dans ses draps, sa tête bien enfoncée dans son oreiller, et elle ne pouvait se résigner à ne serait-ce qu'entrouvrir les yeux. Elle entendait déjà ses voisines de chambres se lever, bailler, et elle restait encore seule, entre deux rideaux bleus. Quelques minutes passèrent où seuls ses respirations étaient audible, et elle fut lasse d'attendre une minute supplémentaire. Kaitlyn se redressa donc, ses cheveux formaient toujours deux nattes égales, parfaite symétrie, dieu savait comme elle était douée en Maths (bien que depuis qu'elle se trouve à Poudlard, c'est plus trop ça). Elle tira ses rideaux en se dégageait de ses draps couleur cyan, et croisa le regard d'une fille avant de le détourner. O'Carley avait passé cinq ans de sa vie avec ses camarades de chambre, et pourtant, elle ne leur avait jamais adressé aucuns mots. Aucuns, si c'est pour dire. On ne peut pas faire quelqu'un de plus asociale qu'elle.

« On a cours de quoi ce matin Sheffield ? »
« Sortilège. Tu retiendras jamais ton emplois du temps ou quoi ? »

Et les rires s'enchaînaient en pagailles. A chaque fois qu'elle les entendait, Kaitlyn éprouvait un besoin imminent de voir son grand frère, néanmoins, elle ne pouvait le déranger pour des choses aussi futile. Elle le savait. Se faire des amis était la plus plausible des solutions. Mais comment faire ? Elle qui avait (pratiquement) tout appris dans les bouquins, existait-il un dénommé « Le guide de l'amitié » ? Certainement, et peut être devrait-elle se rendre à la bibliothèque pour se renseigner. Rien qu'à cette idée, la Serdaigle était honteuse, mais n'oublions pas non plus qu'elle incarne la naïveté en personne, et que, bien que tout ça soit des baratin, elle croira mot pour mot de ce que raconte cet ouvrage (si du moins il existe). Mais ce n'était pas vraiment le moment adéquat. Elle attendit que toute les filles soient parties pour sortir du lit intégralement. Elle se dénuda. Loin de cette glace qui hantait sa vie. Elle ne supportait pas son corps. Si semblable à celui de sa soeur, et pourtant, tellement horrible. Contrairement à sa soeur jumelle, la bleue et argent faisait tout pour être la plus laide du monde. Toujours avec ses nattes, ses lunettes de vue, etc. Elle ne prend pas le temps de prendre soin d'elle. Et puis de toute façon, elle le fait pour se « cacher » car elle se trouve immonde, alors que si on cherchait en profondeur, on y verrait une jolie fille, juste un peu trop timide et renfermée. Kaitlyn se mordilla la langue et ne tarda pas une minute supplémentaire, elle enfila son uniforme immédiatement, affichant les couleurs des Serdaigles, put se dirigea vers sa table de chevet. Elle mit ses lunettes en place, sa frange effilée sur le haut des yeux, et c'était paraît. Elle quitta son dortoir et se fit discrète jusqu'à la Grande Salle.

Son coeur l'oppressait à chaque fois. Elle entr'aperçut Seth à la table des Serpentard et lui fit un signe de main (qui fut, bien sur, rendu), mais à peine eut-elle le temps d'acquiescer un sourire qu'il tourna la tête. Merde. Elle afficha un air déçue, comme d'habitude, attrapa un bout de pain sur sa table pour se diriger dans le Hall d'entrer. Elle le gardait toujours sur elle. Peut être qu'un jour elle devrait franchir le pas au lieu de se désister. Commencer, ne pas commencer ? Une ou deux, où est l'importance ? Elle sortie dans le parc, juste au pas de la grande porte. Se mordillant les lèvres, elle regardait le ciel tout en tremblant. Des bracelet en mousse (les trucs de sport là, énorme) noirs étaient visible sur ses poignets et n'allaient pas de pair avec son uniforme. Mais il ne fallait pas aller chercher bien loin pour savoir que la mode ne faisait pas partie de son rayon, de plus, ces bracelet avaient quelque chose à cacher. Kaitlyn enfonça sa main dans sa poche pour en sortir un paquet de cigarette. Des Marloboro. Une des marques les plus connus, en même temps. A cette époque, on ne savait que c'était nocif pour la santé, mais ce n'était que la racaille qui en avait une à la bouche. Cependant, pourquoi ne deviendrait-elle pas une racaille, elle aussi ? Changer, juste un peu.

Marlboro. Que faire ? O'Carley fixait le paquet, et ne faisait que ça, tremblante, stressée.
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MessageSujet: Re: Franchir le pas ? Deux alternatives.   Franchir le pas ? Deux alternatives. EmptyMar 14 Aoû 2007 - 13:05



    Espaces vides - Pour quoi vivons-nous ?
    Endroits abandonnés - Je pense que nous connaissons le score
    Sans cesse
    Est-ce que quelqu'un sait ce que nous cherchons ?


Elle vient de s'éveiller. Ses muscles sont las, ses yeux encore inondés de sommeil, et son esprit est embués par les rêves qu'elle a fait. Les images sont floues mais bien vivaces. Son réveil affiche à peine six heures. Elle n'a pas envie de bouger, pas envie de se lever. A quoi ça sert ? Encore une journée qui s'annonce bien mais qui finira mal pour elle. Si une nouvelle catastrophe survient, la provoquera-t-elle ? Elle ne veut pas y penser. Mais comme chaque matin, elle repousse ses couvertures avec ses pieds et se redresse. Le spectacle continue.

    Le spectacle doit continuer
    A l'intérieur mon coeur est en train de se briser
    Mon maquillage est peut-être en train de s'écailler
    Mais mon sourire reste encore


Elle se glisse dans la salle de bain contigue. Elle dérape sur le carrelage humide et se rattrape de justesse. Au passage, son genoux heurte le lavabo dans un bruit sourd. Ca lui fait mal. Elle grimace. L'eau chaude ruisselle le long de son corps. Elle a toujours aimé cette sensation, ce contact. Elle ferme les yeux. Puis la réalité la rappelle brusquement à elle. Elle doit filer vers la serre, les mandragores l'attendent. Elle a eu une mauvaise note à ce cours et a décidé de s'y exercer ce matin même avant de se rendre dans la Grande Salle pour déjeuner. Elle revêt son uniforme noir, enfile sa cravate, son enseigne rouge et or. Elle ramène ses cheveux blonds dans le bas de sa nuque. Son visage se reflète dans la glace. Elle soupir.

    Quoiqu'il arrive je laisse tout ça à la chance
    Un autre chagrin d'amour, une autre romance ratée
    Sans cesse
    Est-ce que quelqu'un sait pour quoi nous vivons ?


Elle descends et se rend à la serre. Son ventre gargouille. Les pots de Mandragores sont là. Beurk que c'est moche. On dirait, une fois qu'ils sont déterrés, des bébés tous frippés. Sally grimace. C'est une image détestable. Elle prends des gants et les enfile. Elle sort son manuel scolaire. Elle a l'impression d'avoir oublier quelque chose mais ne sait pas quoi. Elle glisse la main dans sa poche et en extirpe un rapeltout. Il est rouge. Qu'a-t-elle oublié ? Elle fronce les sourcils puis hausse les épaules. Elle s'empare d'une pelle avec une grande détermination et commence à dépoter la mandragore. La plante pousse un hurlement strident. Un cri aigue, sourd. Elle a la tête qui tourne et ses yeux se ferment. Sa main retombe le long de son corps tandis qu'elle se retrouve affalée sur le sol. Elle a oublié de porter un casque.

    Je devine que j'apprends
    Je dois être plus aguerri désormais
    C'est bientôt la fin pour moi
    Dehors l'aube commence à poindre
    Mais à l'intérieur dans le noir je me languis d'être libre


Des rires éclatent autour d'elle, la tirant du sommeil dans lequel elle se trouve plongée. Elle plisse les yeux, les ouvre. La lumière l'aveugle à ce moment même. Sa vision floue s'éclaircie petit à petit. Au dessus d'elle, des visages sont penchés. Ils affichent des regards rieurs qui semblent amicaux mais leurs sourires mordants disent le contraire. Leurs ricanements montent à ses oreilles. Ils sont hostiles. Sally voudrait continuer à faire sembler d'être évanouie. Mais elle se redresse avec tout son courage de rouge et or. Autour d'elle, les paroles mauvaises fusent. Elle serre les dents et les poings. Elle ramasse ses affaires, son sac, ses livres. Elle est rouge jusqu'aux oreilles. Elle avait pensé être la seule dans la serre à venir aussi tôt. Elle s'était trompée et en faisait maintenant les frais. Les élèves l'escortent jusqu'à la porte de la serre. Leurs quolibets la blessent.

    Le spectacle doit continuer
    J'y ferai face avec une grimace
    Je n'abandonne jamais
    Le spectacle


L'un des élèves l'attrape par le col de sa chemise. Il a un air vraiment mauvais. Elle reste sourde à ce qu'il lui dit. Elle en a tellement l'habitude après tout. Mais les mots ça blesse. Ils entrent petit à petit dans son esprit. Elle les comprends. Elle essaie de se dégager mais n'y parvint pas. Quand l'élève la lâche, elle prends ses jambes à son coups. Mais elle n'entends pas le sortilège formulé dans son dos - LOCOMOTOR MORTIS - Ses jambes sont comme collées entre elles. Elle ne peut plus marcher et tombe, face contre terre. Les rires hilares explosent de plus belles.

    Je tiendrai l'affiche
    Même si ça doit me tuer
    Je dois trouver la volonté de continuer
    Le spectacle doit continuer


"Alors Flemings ! Tu fais moins la maline comme ça ! T'es vraiment désespérante... Tellement bête aussi."

Les rires explosent encore une fois. Sally se redresse. Ses jambes sont toujours immobilisées. Elle glisse sa main à sa poche. Sa baguette n'y est plus.

"C'est ça que tu cherches ? Tu n'aurais pas partir si vite. Tu as oublié ta baguette."

L'une des élèves, une fille de sixième année à serpentard, tenait dans sa main la baguette magique de Sally. Elle était en mauvaise posture.
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MessageSujet: Re: Franchir le pas ? Deux alternatives.   Franchir le pas ? Deux alternatives. EmptyJeu 16 Aoû 2007 - 4:38

( Finalement, plus maladroite que moi ça existe XD. Remarque à part : excellente musique de Queen <3 )


O'Carley fixait toujours le paquet de cigarette. Elle n'arrivait pas à retirer ses yeux du plastique qui l'entourait, du carton qui filtrait ses doigts, et ne pouvait se douter, que dans quelques années sera marqué dessus « FUMER TUE » dans un gros encadré, écriture gras, bien entendus. Si elle avait sut, elle n'en aurait été que plus attiré. Tous jeune en soit fait face à sa crise d'adolescence, un coté désespérant et à la fois tellement perturbateur, tellement.. attirant. On s'y perdait dans les définitions. Kaitlyn était en plein dedans, elle ne pouvait s'en démêler. Vivre, mourir, à quoi bon y réfléchir ? Elle était trop lâche pour choisir et laissait faire le cours des choses pour elle. Silence. La Serdaigle se mordilla la lèvre inférieure, cligna d'un oeil et en dévisageant cette fois-ci le paquet, l'ouvrit légèrement. Elle reporta son regard, une seconde fois et put voir les filtres ocres dépasser. L'attirance. Elle fit défiler ses doigts de pianiste dessus. Le dégoût ou l'envie ? Elle ne savait pas vraiment ce qui la perturbait, peut être était-ce la curiosité ? Elle y avait pourtant déjà goutté, la preuve était qu'il en manquait une sur vingt à l'appel. Silence. Et d'une traite, sans crier garde, elle ouvrit intégralement la boite en carton, son regard était révélateur, accusateur, et d'un impulsivité innée, Kaitlyn en attrapa une au hasard. Tant bien que maladroite, à peine à son contact, elle la relâcha. La cigarette dégringola dans les escaliers et la bleue et argent se contenta de la suivre, se courbant légèrement pour la ramasser. N'étant pas bien grande, ce n'était pas difficile et son dos était loin d'être en aussi piteux états que ceux de ses grands-parents.

« Franchir le pas... »

On pourrait tous croire que c'est simple comme avaler deux gouttes d'eau, mais pas du tout. O'Carley était en instance avec elle même. Le faire, ne pas le faire ? Deux choix totalement opposés mais tous les deux aussi tentant. Elle n'avait jamais eut affaire à des personnes pour la juger, et c'est ainsi qu'elle se juge elle même, se créant presque une seconde personnalité interne. Bien entendus, ne la croyez pas schizophrène, néanmoins, ça ne saurait tarder (il faut croire que toute idées est probable). Dieu soit loué, Kaitlyn semblait décidée, bien que ses doigts tremblaient un peu, elle porta la cigarette à sa bouche, pas très adroite, elle faisait tout n'importe comment, mais n'étant pas très habituée, c'était à peu près normal. Seule inconvénient : le briquet. Elle n'en avait pas. Heureusement qu'elle avait autre chose : sa baguette. Elle ne fonctionnait que par les livres et cette dernières. Et si on prenait en compte qu'elle connaissait tous les sortilèges par coeur, même ceux des années élevés (bien entendus, elle ne les maîtrise pas tous, ce n'est pas une génie), elle savait lequel utiliser. En même temps, ce n'était pas compliqué. Elle ferma les yeux, approcha son baguette et pensa très fort : « Incendio ». Étant donné qu'elle avait sa Marlboro dans la bouche, elle ne pouvait le prononcer clairement et s'était déjà entraînée à ne pas formuler ses sorts. O'Carley put sentir une douce chaleur lui parcourir le visage, put vint une odeur de... cramé ? Merde ! Elle rabaissa sa baguette en ouvrant les yeux.

« Oh la conne. »

Bien que sa clope soit allumée avec succès, ses cheveux avaient eux aussi suivit le cours des choses et avait quelque peu brûlé. Cependant, je vous rassure, ce n'était que quelques mèches de devant superficielle et ça ne changeait rien à son allure banale et habituelle. La Serdaigle retira la clope de sa bouche et soupira. Elle crapotait toujours la première latte. En même temps, elle l'avait fait qu'une fois. Alors si c'était une référence, il fallait être fou. Bref. Elle la reporta à sa bouche, doucement, et aspira une longue bouffée de fumée. Elle sursauta et retira la clope. Puis elle toussa, toussa, comme la dernière fois. Elle ne comprendra donc jamais les fumeurs ? Retenter l'expérience plusieurs fois ne changerait rien ? Allez savoir, elle voulut s'y remettre lorsqu'elle entendit au loin :

« LOCOMOTOR MORTIS ! »

Ca provoqua un lourd silence autour d'elle. Comme par réflexe, elle regarda ses jambes et vit qu'elles étaient encore à leur place et non collées l'une à l'autre. Une bonne chose. Mais qui avait été donc touché si ce n'était pas elle ? Car il ne faut pas croire, bien que son frère soit à Serpentard, elle se faisait elle même malmener. Regardant autour d'elle, se dirigeant surtout vers les serres, elle vit une bande de serpillières et une jeune fille clouée au sol. Dans ces moments là, Kaitlyn se retrouvait encore confrontée à deux suggestions. Premièrement : s'enfuir. Deuxièmement : l'aider. Que faire ? Car si elle restait ici, sans rien faire, elle n'allait pas vraiment servir à grand chose et pourrait aussi s'accaparer le malheur de cette fille. Allez, lance toi. Kaitlyn porta la cigarette à sa bouche, elle tira une latte, à son grand étonnement elle ne toussa pas bien qu'elle cru avoir une petit nausée, et elle fit un grand pas. Allez savoir pourquoi, le fait d'avoir réussi à fumer lui avait donné un peu d'assurance. Sans lâcher sa clope elle s'avança du groupe. Petit à petit, les visages se dessinait sous ses yeux, elle avait envie de reculer mais à présent qu'eux aussi l'avait vu, baguette sortie, c'était impossible de s'enfuir. Il fallait combattre, chose qu'elle n'avait jamais faites auparavant.

« Oh. La ringarde des O'Carley, tien donc. »
« Expeliarmus ! »

Les baguettes s'envolèrent toutes une par une des mains de leurs adversaires, s'écrasant sur le sol, non loin d'eux, c'était trop hors porté d'atteinte pour elle. Mais il y avait une chose encore qu'elle pouvait faire. Elle elle avait sa baguette, eux : non.

« Accio baguettes ! »

Et elles s'envolèrent toutes sous leurs yeux pour parvenir dans les mains de la Serdaigle. Elle était bien avancée maintenant ? Non, pas du tout. Elle avait beau avoir de nombreuses baguettes, ça ne voulait pas dire pour autant qu'elle allait y gagner quelque chose. Ils étaient nombreux, et vu leur carrure avait pas mal de force. En fait, à bien y réfléchir, c'était perdu d'avance, mais Kaitlyn avait plus d'un tour dans son sac. Du moins, il fallait l'espérer, car sa confiance était au plus bas. Ne pouvant pas tenir toute les baguettes dans une seule main, elle lâcha sa clope au sol qu'elle écrasa sans classe (mais alors, pas du tout). Puis dévisageant ses « ennemis » (pouvait-on les appeler comme ça ? On va dire que oui) pour regarder celle qui se trouvait au sol. Kaitlyn fut parcouru d'un millier de question. Du moins, une ou deux en général. « Comment on enlève ce fichu sortilège déjà ? Peut-on au moins l'enlevait où se retire-t-il tout seul ? Merde, merde... » Silence. Finalement. Elle se trouvait même stupide de s'être posée la question. C'était trop évident.

« Finite Incantem. »

Elle prononça le sort distinctement vers l'adolescente. Peut être qu'à deux elles avaient une chance ? Elle lui tendit les baguettes, peut être que dans le lot il y avait la sienne, allez savoir, elle semblait démunis et de toute façon avait elle aussi beaucoup subit de par ce groupe. Alors les mystères ne prenaient plus.
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MessageSujet: Re: Franchir le pas ? Deux alternatives.   Franchir le pas ? Deux alternatives. EmptyMer 24 Oct 2007 - 19:32

Ce topic est il toujours d'actualité. Si oui je suprimerai mon message. Sans réponse sous une semaine je déplacerai.
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MessageSujet: Re: Franchir le pas ? Deux alternatives.   Franchir le pas ? Deux alternatives. EmptyJeu 1 Nov 2007 - 5:42

Je déplace
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