Yesterday - [Libre]

Invité

Inspiration – « Yesterday, all my troubles seems so far away »

Gregory ferma les yeux, son MP3 allumé. C’était vrai ! Yesterday. Le temps du bonheur n’était pas si loin, en fait. Kim n’avait pas disparu il y avait tant de temps que cela, quelques mois tout au plus. Il sourit, en pensant à elle, et fut heureux de constater que maintenant la plaie n’était plus douloureuse. Le souvenir de sa sœur le rendait heureux et non plus désespéré. I’m happy, now.

Il dévala une volée d’escaliers, aussi agile et silencieux qu’un félin, et parvint à la volière en quelques instants. Des deux côtés de la pièce, de longues barres supportaient hiboux et chouettes, qui piaillaient en battant des ailes. De la nourriture était dispersée de tous côtés ; la pièce était dans un désordre inimaginable, tandis que l’adolescent apparaissait, coiffé, propre, étranger en ce lieu. Cependant, il paraissait s’y être accoutumé. S’appuyant contre la table, au milieu de la volière, il s’installa sur une chaise nettoyée au préalable, et commença à écrire une lettre à ses parents. Le visage pensif, il laissait aller sa plume, contenant quelques éclats, quelques émotions. Il se sentait de plus en plus distant de ses parents, eux qui condamnaient son art depuis toujours, et n'avait plus envie de partager ses sensations avec eux. Aussi, il taisait ses souvenirs de Kim, et écrivait quelques lignes parce qu'il sentait que c'était son devoir. Il était certes en colère contre eux, surtout d'avoir mené sa soeur à s'échapper, mais il comprenait leur inquiétude et leur prétendue bienveillance. Il ne voulait pas les angoisser, et inscrivit toujours des lignes de bonheur, des marques de tendresse.

Inspiration – « Me voilà à Poudlard depuis quelques jours. Tout se passe pour le mieux. J’ai retrouvé mon dortoir, et mes amis avec joie, et ai fait quelques rencontres intéressantes. Mes premiers cours se sont très bien passés : les professeurs sont toujours aussi excellents. J’espère que vous allez bien. »

Il signa, et inscrivit sur l’enveloppe cachetée : « Londres ». Il donna alors la lettre à son hibou noir, qui comprit sa requête et s’élança dans le ciel. Avec un soupir, il s’adossa alors contre le mur. Dans le couloir, des pas précipités résonnaient : quelqu’un courait. Alerté, il se releva aussi, attendant que quelqu’un apparaisse devant la porte. Alors ?

Invité

Hélène était dans la salle commune de Gryffondor, assise seule sur une table sur laquel était posé un parchemin et de l'encre. Hélène, la plume à la main, voulait écrire une lettre à Ted. La nouvelle année venait de commencer et elle voulait le tenir au courant car elle et Nado étaient bien arrivés. Nado était du genre trop indépendant et ce n'était pas lui qui écrirait à son père. Hélène prenait donc le soin de lui envoyer des nouvelles le plus souvent possible. C'était normal, cet homme l'avait acceuillit alors qu'elle était était perdu mentalement, il l'avait élevé avec beaucoup d'amour. Pourtant rien ne l'y avait obligé, ce n'était que son oncle mais c'était la seule famille qu'Hélène connaissait et c'était vers elle qu'elle c'était dirigé après sa fugue. Ted avait toujours pris soin de cacher la vérité à tout son entourage, il avait donc dit qu'Hélène n'avait jamais connut ses parents qui étaient morts peu après sa naissance et qu'il l'avait recceuillit. En fait elle n'était arrivée chez lui qu'à ses neuf ans mais il c'était débrouillé pour ne pas faire surgir la vérité. Hélène lui devait beaucoup et c'était pour cela qu'elle lui écrivait souvent. Elle commença donc sa lettre:

Cher oncle Ted,

Nous somme arrivés comme prévus à Poudlard et
nous avons retrouvé tous nos amis.
La rentrée c'est très bien passé pour Nado comme pour moi
et nous somme tous les deux très contents.
Les cours ont débutés mais ils ne sont, heureusement, pas trop dur.
Les professeurs nous rabache sans arrêt qu'il faut beaucoup travailler
parce que nous avons les B.U.S.E à la fins de l'année
mais cela ne nous empêche pas de nous amuser quand même
sans oublier le travail pour autant ne t'inquiète pas pour cela
tu nous connais, nous somme sérieux même si Nado l'est un peu moins;
il trouve cela ennuyant.
Tout le monde trouve les cours ennuyant
et ça ne changera jamais mais quand il faut y aller et ben on y va.
J'espère que tu ne t'ennuis pas trop à la maison,
ça doit te faire bien vide sans nous.
Je te laisse donc à tes occupation et
t'embrasse bien fort,

Hélène.

Voilà, la lettre finit, Hélène la mit dans une enveloppe puis ferma celle-ci. Elle se leva et sortit de la salle commune pour se diriger à la volière et empreinter un hiboux de l'école car elle n'en avait pas. Elle pensait à s'en acheter un car cela revenait cher à chaque fois de poster une lettre et avoir un hiboux ou une chouette à soit ne devait être pas si mal que ça. Elle monta les escaliers qui menait à la volière. Déjà de dehors on pouvait sentir la nourriture et les extrements des hiboux et Hélène fit une grimace, cela lui rappelait l'odeur des fermes moldus. Elle entrit et se dirigea vers le premier hiboux qu'elle vit. C'est à ce moment qu'elle apperçut qu'il y avait déjà quelqu'un dans la salle. Il était installé une des tables qui avaient été installé pour pouvoir écrire les lettres sur place mais Hélène n'écrivait jamais ses lettres ici car les tables n'étaient jamais nettoyé. Elle regarda le garçon et lui dit:

"Salut..."

C'était après tout la moindre des choses de dire bonjour. Elle ne le connaissait pas, elle avait du le croiser une ou deux fois dans les couloirs mais il y avait tellement d'élèves qu'elle ne s'en souvenait pas, il devait être en sixième ou septième année. En tout cas il n'était pas à Gryffondor parce que la plupart du temps les élèves des maisons se connaissaient entre eux. La maison dans laquel est un élève c'est comme sa deuxième famille c'est normal qu'ils se connaissent entre eux. Le garçon n'était pas très grand mais c'était peut être le fait qu'il soit assis qui fasse illusion d'optique. Il avait les cheuveux blond foncé et mi-long, assez long pour un garçon en tout cas. Il avait un petit visage et des yeux pénétrant. Après avoir observé le garçon pendant quelques secondes, elle se concentra sur le hibou et commença à lui attacher la lettre aux pattes.

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