Cheyenne croulait encore sous ses tonnes de devoirs et aurait aimer pouvoir profiter de ses temps libres. Elle faisait ses devoirs avant et après souper, ce qui ne lui laissait que le temps de respirer et parfois, elle devait se coucher très tard. Une nuit, elle avait dut terminer son devoir de magie noire et s’était coucher à deux heures du matin. Le réveil à 6h30 fut plus que pénible. Cheyenne avait hâte aux vacances de Noël. Elle n’allait sûrement pas quitter le château mais resterait pour se reposer. Chez elle, ce serait encore les fêtes avec les amis de son père, tous des mangemorts. Cheyenne n’en pouvait plus de les voir chuchoter dans un coin du salon.
Elle laissa tout les ennuyeux devoirs sur le bureau de travail, dans sa petite chambre et laissa une note à ses colocataires leurs expliquant qu’elle reviendrait très bientôt et qu’elle s’excusait pour ses livres posés un peu partout sur le bureau. La conscience tranquille, la serpentarde quitta sa chambre, puis la salle commune. Cheyenne n’avait pas mangé depuis le matin. Elle n’avait pas eu faim au dîner, ça arrivait parfois, surtout lorsqu’on sortait d’un cour de potion aux odeurs parfois bizarres. Cheyenne monta d’un étage, se retrouvant au rez-de-chaussée. Le grand hall. Elle avait oublié son manteau, n’ayant pas prévu de sortir à l’extérieur. La septième année refit tout son trajet en inverse jusqu’a revenir dans l’immense hall, habillée pour l’extérieur.
La jeune femme trouvait dommage qu’elle n’ait pu voir la nouvelle neige tomber. Elle trouvait beau de voir de gros flocons blancs tomber pour la première fois. C’était signe que Noël approchait. Et là, la neige était déjà parterre. En marchant vers le lac, Cheyenne trouva évident qu’on avait déneigé quelques sentiers. Elle ne voulait pas les quitter. Elle ne portait tout de même pas des bottes d’esquimaux. Marchant en regardant ses pieds, Cheyenne ne vit pas la personne devant elle. Elle entra donc en collision et sous le choc, elle tomba par terre. Elle sentit rapidement le froid de la neige à travers son mince manteau. Elle ne se leva pas, trop sous el choc pour réagir. Malgré tout quelques mots sortirent de sa bouche.
« Je suis désolée... Je ne voulais pas... Je voulais dire... En quelques mots, Cheyenne ne savait que dire et fixait ses pieds comme si elle voulait les faire fondre avec son regard.»
Cheyenne se la ferma finalement mais disait-elle ? Elle avait l’air stupide et l’était un peu. Ses joues finirent par s’empourprer et la jeune fille retenta.
« Je veux dire... Je ne voulais pas vous pousser... Je ne vous avait pas vu... Vraiment navrée... dit Cheyenne. Elle regarda encore ses pieds, trop timide.»
Cheyenne n’avait pas encore regarder l’inconnu(e) et ne savait pas s’il s’était fait mal.