Sur un archipel de souvenir,
une fillette recroquevillé, portait son regard au loin. Le vent chaud du brésil lui prodiguant réconfort de cette inconfortable solitude de femme mit de coté par la jalousie des autres. Cette journée la de ses 16ans, cette été pour être plus précis, elle avait revenue vers ses parents pour un été à revenir au bercail pour d’heureuse nouvelle que sa mère et son père lui avait cachée depuis sa naissances. À son arrivée, il la prirent avec une attention tout particulière, car ses parents étaient venu la chercher à la descente du porte au loin qu’elle avait entrepris comme toute les années, mais l’année qui allait suivre, elle prendrait les cours de transplanage.
Sa plus grande surprise c’est de voir ses voisins et leur fils aînée se présenter à elle et surtout présenter leur héritier à Catharina.
Elle dut assimilé un mariage prés arrangé depuis sa naissance pour tombé dans un gouffre de la souffrance. Elle avait au loin un amoureux qui se devrait d’être déchu.
Elle mit son cœur de glace, et souhaita tout les soirs que l’homme s’étouffe en une fraction de seconde et meurt de suffocations.
Mais c’est la mort de ses parents qui était déjà bien devancée par leur âge qui succomba à l’ange de la mort que Cath invoquait au plus profond de son cœur.
C’est enterrant son père cette été la, que sa mère succomba pendant que Cath était au loin pour son entretien de ses notes et l’évolution magique. Elle pleura la mort de ses parents au loin et écourta son année pour donner un vent frais de renouveau dans sa demeure. Sa mère lui avait écrit une note …
//Ma chère enfant,
c’est avec désespoir d’avoir été moi même été obligée au mariage, que je te donne les derniers vœux que ton père avait fait pour toi. Le mariage se passera deux semaine par la suite de ma mort pour que tu ne sois seule qu’un moment pour rechercher ta cousine et ta tante qui hériteront de la maison si tu n’en veux pas. Je te dirais pas se que tous on voulu me faire croire, mais sache que l’amour n’est que la réaction de deux personnes qui se côtoie régulièrement et qui développe une attirance et la sécurité d’être ensemble.
Les elfes vont sortir ta robe et autre chose pour se jour heureux, et n’oublie pas nous te verront de la haut et seront heureux pour toi…
Ta maman et ton père//
Cath avait déchiré la lettre et l’avait brûlé. Elle était en colère contre sa mère qui avait vue elle aussi sa vie écourté par un amour platonique et l’obligeait à présent de se faire enchaîner à son tour.
La jeune femme se releva les manches et chercha maintes chose pour retrouver sa tante et surtout pour défaire le mariage qui lui torturait ses nuits à présent. C’est en cherchant dans les bas fond des chambre, qu’elle découvre une entrée secrète dans la chambre des maître ou elle avait prit place.
C’était la plus grande pièces de la maison et même ses parents n’avait jamais voulu qu’elle joue dans celle-ci. Maintenant propriétaire de toutes les clés, elle avait put rentrer dans cette endroit clos, et y découvrire une entrée qui menait à un palace de la torture et du sang.
L’endroit parsemé de douleur évoqué par les cordes vocale était parsemé de d’arme de jouissance de la démence, et de la joie de voir un visage se crisper.
Elle retrouva un carnet qui était marqué d’une écriture féminine et qui avait été celé par un sort plutôt difficile, mais si facile à percevoir par Cath qui avait fait plusieurs recherches sur se genre de sortilège, cours préféré de cette métamorphomate. Elle compris très vite que la femme qui avait écrit ses dires si puissant d’amour pour ses victimes était nul autre sa grand-mère, la mère de sont père qui avant de se marié à l’âge de 25ans, pour ne pas passé pour une vieille fille, avait séduit plusieurs hommes au sang chaud et à la peau tout aussi changeante que la langue qu’il dictait pour séduire cette femme au cœur de glace et langue de braise.
Elle savait promit de faire perdurer les faits de son arrière grand-mère elle même, et ceci fit rire la jeune femme d’un rire purement sadique et désinvolte.
Un promesse de faire durer les ouies dire que cette maisons avait apporté, qu’elle sortait la nuit cape sur le dos et sur la tête pour retrouver ceux dont il serait facile de rapporter par amour passagère et leur torturer leur cœur de jeune gens. La seule chose qu’elle ne ferait pas, c’est de les tuer comme les deux autres femmes avaient fait aux pars avant.
C’est en suivant ses traces de pas précaire à la luxure d’une nuit frivole, qu’elle sut que tout les nuits à suivre avant sont mariage qu’elle allait tout faire pour retardé soit multiplier d’homme torturé pour leur cœur trop tendre.
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Maintenant l’âge mur, elle avait fait retarder son mariage déjà depuis 4ans, que l’homme sonnait à sa porte tout les jours pour lui dire son amour interminable pour cette femme, qu’elle feintais sa robe pas encore prête. Il lui avait proposée plusieurs fois de lui donner des elfes de maison pour une aide, trouvant un peut fainéant ceux qu’elle avait déjà. Cath refusait catégoriquement disant qu’elle avait fait trop de retouche pour qu’un elfe au mains crasseuse touche à son oeuvre.
La nuit quand il arrêtait de l’épier, elle sortait en douce de cette habitacle et allait vers les moldues et peut-être des sorciers qui se voyaient tout comme elle attirés par des endroits insolites pour que son prétendant ne sache en aucun cas se qu’elle trafiquait.
C’est en attendant une musique ambiante plutôt rythmé, qu’elle fut accosté. L’homme en question prit sa mains en vole, et la fit enroulé autour de son cou et prit sa cuisse droite. Il remontait celle-ci sur la sienne, qu’elle se laissa glisser sur l’homme comme l’eau. Elle prit son cou de ses deux mains à présent, et ramenait son corps près de lui et se tourna dos à lui. Un pas devant, qu’elle laissa ses poignets derrière. Il les lui prit et la tourna en même temps. Sa robe se mit à voler par se mouvement brusque et si tendre. Son visage se mit à prendre plaisir à cette danse plutôt européenne. Le visage de l’homme au devant d’elle avait lui aussi les traits de l’Europe qu’elle avait côtoyé il y avait certains temps
Ils dansèrent toute la nuit, qu’elle le ramena chez elle et lui prit la mains et les lèvres du portails de la porte par le moment de monter les marches en se rendant dans sa chambre. Elle le jeta sur le lit et lui emprisonna les poignée par ses mains. L’homme de débâtie pas, laissant la femme s’abreuver de sa dévotion d’être la maîtresse. Elle repris sa mains et le dirigea vers la rentrée secrète, qu’ils s’enroulèrent dans l’obscurité pesante de l’endroit….
à suivre...