Pavillon de Lareless Mainella

Dans un recoin de Pré-Au-Lard, se trouve un lac entouré de quelques chalets de sorciers. Un seul d'entre eux est habité à l'anné . Dernier vestige du mariage de Lareless et de Lucius.

Dehors, c'est un boisé tout ce qu'il y a de plus normal, avec ses fougères odorantes poussant au pied des chênes qui voisinent avec les bouleaux et les pins dans un joyeux désordre. Les sous bois sont remplis de buissons fruitiers qui donnent à l'automne une débauche de fruits sauvages, attirant les cerfs et les ours qui gambadent librement dans les bois, agissant ainsi mieux que le meilleur des sorts de protection. Des oiseaux pépient gaiement, se répondant de l,un à l'autre tout l'été.

Au détour d'un petit sentier de terre douteux, vous apercevez enfin le pavillon, se découpant délicieusement sur le bord du lac en une vue digne des contes de chasses du siècle dernier. Le pavillon, octogonal, comporte deux étages et a une fenêtre à chaque face. Des rosiers sauvages grimpent sans retenue le long de ses murs, les recouvrant d'un épais tapis vert piquant et piqueté de sublimes fleurs rouges et blanches

En faisant le tour, vous pouvez voir un petit jardin qui devait être sublime. Maintenant, il est rempli de mauvaises herbes. Cependant, même ainsi, il garde un charme fier comme s'il savait que ce n'était que temporaire.

Le porche en avant aurait bien besoin d'un coup de peinture, mais il apparait aussi que le manque de soin est plutôt récent. Quiconque habite là ne doit pas être capable de s'en occuper que depuis tout récemment. La porte s'ouvre cependant facilement et sans grincer.

A L'intérieur, c'est simple et bien tenu. Un mur de pierre sert de soutien au milieu, au centre de ce mur, une cheminée à deux faces dispense sa chaleur. A gauche, une pile de bois prorpement rangé, a gauche un antique poêle a bois. Un ensemble decuisine aussi vieux, en bois foncé patiné par les générations successives de postérieurs s'yétant posé. Les huits fenêtres sont tenturées de voiles blancs immaculés volant sous la brise fraiche et odorante de cet endroit. En regardant par terre, on peu voir qu'au centre c'est en pierre et qu'autour c'est un magnifique plancher de chêne étincelant. De l'autre côté du petit mur, une bibliothèque bien remplie et un vieux divan douillet servent pour tout seul ameublement. Les murs sont en chênes, du même bois que le plancher.

en regardant au fond completement du pavillon, on peut voit un escalier en colimacon de fer forgé qui monte au deuxième.

Le deuxième étage a une cheminée a deux faces aussi au centre de la pièce qui est divisée en deux. a droite, une porte menant à la salle de bain avec toute commodités, a gauche, un grand lit tenturé de voilages jaunes, d'orangés et rouges pour protéger l'occupant des moustiques. les fenetres sont tenturées d'oranges flamboyants qui ajoutent une note joyeuses au murs et au plancher de bois foncé. Une grande commode ainsi qu'une armoire accueille les vêtements.

La salle de bain est neutre et dépouillée, carrelée de gris clair et de blanc, excessivement propre. Les serviettes immaculées sont sur une tablette à portée.

Octobre 1983

Lareless, avec ses antédiluvients jeans déchirés, son foulard couvrant sa lourde tignasse et une vieille chemise de Lucius attachée devant de facon à découvrir le nombril fait son ménage d'automne.

Laver et cirer les parquets, se demander si le vieux divan serait bon à jeter pour en fin de compte foutre une planche sous les coussins pour le faire durer encore un peu. Briquer le poêle, laver et repasser les rideaux, faire le ménage de la cave à potion....

Pour le moment, elle en est là, à se battre avec d'innombrables toiles d'araignées. La journée de cette fin de semaine est claire et fraîche. toutes les fenêtres sont ouvertes, transportant l'odeur des dernières fleurs d'automne.

Lareless a toujours été une femme physique. Pour son métier, une bonne forme physique est primordiale. Et elle aime les travaux manuels. Elle pense justement à s'acheter une de ces motos moldues pour faire de la mécanique. Son dos le lui permet maintenant.

Bonjour Mme Mainella, Voudriez vous un coup de main afin de finir ce travail d'elfe de maison ?

Surprise, elle passe près de tomber de son escabeau. Mais en pivotant la tête, elle apercoit Hiro Shima. Elle le gratifie d'un chaleureux sourire.

Oh, non merci, je termine. Je n'ai pas pu le faire ce printemp. Faites le tour et entrez, la porte est ouverte.

Elle descend de son escabeau. Puis, prend conscience de son apparence. Un bref coup d'oeil dans le miroir, elle enlève le foulard au moins pour être un peu plus présentable. Puis elle va aux devant d'Hiro en s'essuyant les mains sur un linge propre. Il a le temp d'entrer.

Je ne vous attendait pas en fin de semaine à vrai dire.

A vrai dire, je passai dans le coin et je voulais en profiter pour repérer les lieux afin de ne pas chercher et vous ayant vu à la fenêtre, je vous avouerai que je n'ai pu m'empêcher de vous interpeller. Vous n'auriez pas pratiqué de la magie sur moi, madame, tout de même..???.

Amusée, Lareless hausse un sourcil tandis qu'il lui fait un baise-main. Elle ne loupe pas le regard appréciateur qu'il lui lance. Son petit sourire malin effleure le coin de ses lèvres. Elle doit lui avoir tapé dans l'oeil pour qu'il vienne chez elle. Sa voix aux intonations du sud s'élève doucement.

Pardonnez mon accoutrement, Supposons que quand on fait le ménage, ce n'est pas un concours de beauté. Entrez, prenez place dans le salon, je vais faire votre café...Alazza c'est ca? J'ai demandé la recette à la voisine.

Se détournant, elle s'en va dans L'autre moitié du pavillon, sa lourde tresse battant ses reins, dévoilant par intervalles une fine cicatrice lui barrant le dos.

Si Hiro décide de rester dans le salon, sur le manteau de cheminée, il y a deux alliances sous une minuscule cloche de verre avec une photo sous laquelle il est marqué

Lucius Seluj 14 Fevrier 1954 10 mai 1977

Alors qu'il fût accueilli comme il se doit, et après avoir témoigner son affection, hiro, qui avait relevé la tête, vit le petit sourire de less se déssiné légèrement sur le coin de ses lèvres. Il souria à son tour un peu ébloui la beauté de Celles-ci. Découvrant à présent le pavillon que le professeur Mainella était en train d'astiquer, il fût tout étonné de voir qu'il y avait tant à faire et que ce travail ne la rechignait pas ... C'est alors qu'elle ajouta...

Pardonnez mon accoutrement, Supposons que quand on fait le ménage, ce n'est pas un concours de beauté. Entrez, prenez place dans le salon, je vais faire votre café...Alazza c'est ca? J'ai demandé la recette à la voisine.

-Ne vous excusez pas Mme, Vous êtes chez vous et avez le loisir de faire ce que vous avez envie. D'ailleurs votre "accoutrement" ne me gène guère, je préfère 100 fois le naturel. Le Café ...Euh oui enfin c'était une marque Italienne que je vous citai dans mon hibou, d'ailleurs le timbre de votre voix me fait rappelé ce si beau pays que j'ai visité cette été après avoir été en france...

C'est alors que Less s'en allait dans L'autre moitié du pavillon, sa lourde tresse battant ses reins, dévoilant par intervalles une fine cicatrice dans le dos. Il fût surpris de voir cette cicatrice se demandant ce qu'elle avait du endurer pour avoir ça et fût gêner d'avoir mis ses yeux là. Il ne pouvait se résigner à lui demander ce qu'elle avait fait puisqu'il se serait trahi d'avoir osé regarder la chute de reins du professeur de défense contre les forces du mal. Attendant qu'elle revienne, il tourna les yeux vers une minuscule cloche de verre avec une photo sous laquelle il est marqué "Lucius Seluj 14 Fevrier 1954 10 mai 1977" avec deux alliances de poser et parût encore plus gêné que la première fois. Il ne savait plus où se mettre, se demandant quelle mouche l'avait piqué à venir ici. Il voulait pourtant savoir mais n'oserait jamais engager la conversation sur des sujets sûrement douloureux pour la jeune femme et attendit son retour sans savoir quoi lui dire..

La voix de Less se fait entendre derrière Hiro. Mi douce, mi amusée.

Ce sont les seules choses dont je ne me suis jamais résoutes à me débarasser. Je suppose que je vous dois une explication? En une phrase, je suis veuve depuis trois ans. N'ayez pas cet air embarassé, je suis veuve pas morte. j'ai votre café.

Elle lui fait un charmant sourire et lui tend une tasse fumante. Elle change habilement de sujet, elle lui a fait comprendre que oui elle est libre, que non, son veuvage ne constitue pas un obstacle et qu'elle ne veut pas le gêner en parlant sans cesse de Lucius. Il lui a dit de vivre et c'est ce qu'elle fait sans honte ni remord.

Oui, il y a le café Alazzo qui est un grain, mais il y a le café Alazzo recette, c'est un café aromatisé avec une touche de Grappa. Je n'ai jamais raffolée du café, donc je ne m'étais jamais penchée sur les variétées locales. Et l'Alazzo grain, je n,en ai pas trouvé, alors ne reste que la recette.

Pour elle, elle a un grand verre de limonade. Elle s'interromp, pensive...

Je dis n'importe quoi. Alors, racontez moi... vous n'êtes pas passé dans le coin juste pour me voir j'espère!

Elle l'invite à s'asseoir dans le divan somme toute très confortable, puis prend place à côté. Elle ramène ses jambes sous elle, puis regarde Hiro de ses grands yeux émeraudes, attendant la réponse.

A peine son regard fuyant les alliances et ayant déjà compris ce qui s'y était passé, il entendit Lareless revenir. Mais trop tard, elle avait déjà compris que le professeur de sortilèges avait posé ses yeux dessus et lui donnait déjà une explication. Agréablement surpris par sa franchise il l'entendit s'expliquer alors qu'elle n'était même pas obligé de le faire. De plus Hiro n'était qu'un parfait inconnu à ses yeux...Il commencait vraiment a apprécier cette femme de plus en plus. Même s'il était embarassé à entendre qu'elle était veuve...

- Veuillez recevoir mes condoléances et croyez moi si votre coeur avait choisi cet homme pour le meilleur comme pour le pire c'est qu'il méritait votre amour et à ce titre vous lui faites toujours honneur en gardant ces alliances. Personne n'aurait le droit de vous imposer un oubli total. Ce serait un déshonneur à l'image de votre défunt mari et un manque de respect envers vous

Découvrant un café fumant et une odeur subtile et douce, il écouta attentivement son explication sur le café en grain et le Alazzo recette. Elle avait l'air de s'y connaître ce qui maintenant n'étonnait plus ce grand gaillard d'hiroshima. Cette femme ne faisait que lui prouver qu'elle avait une grande culture et pouvait le surprendre tous le temps. Son charmant sourire qui, en l'espace d'un instant risquait de le faire fondre sur place, avait subtilement dévié le sujet en faisant comprendre à Hiroshima que cette jeune femme était libre de pouvoir aimer sans honte ni remord. L'invitant à s'asseoir près d'elle dans le canapé, ses yeux vert ne quittant plus ceux de Hiro elle lui demanda..

Je dis n'importe quoi. Alors, racontez moi... vous n'êtes pas passé dans le coin juste pour me voir j'espère!

- Effectivement non. Depuis notre rencontre à la salle des professeurs je voulais en savoir d'avantage sur vous. Et sans vouloir vous offenser pour notre première rencontre , disons en tête à tête, j'ai un peu plus que de l'estime envers vous.

Hiro avait maintenant dit ce qu'il avait sur le coeur mais ne voulait brusquer les choses aux risques de décevoir. il ne voulait pas paraître odieux après les explications sur Lucius qu'elle lui avait fourni. Mais maintenant qu'il lui avait dit ce qu'il pensait, et surtout ce qu'elle voulait savoir sans détour, il ne pouvait plus faire machine arrière et attendait sa réaction... il posa ses lèvres sur la tasse et but une gorgée de café tout en regardant Less...

Effectivement non. Depuis notre rencontre à la salle des professeurs je voulais en savoir d'avantage sur vous. Et sans vouloir vous offenser pour notre première rencontre , disons en tête à tête, j'ai un peu plus que de l'estime envers vous.

Ca c'était dur de ne pas le voir.

Pense Less en riant doucement. Elle prend une gorgée de sa limonade puis, après un bref moment d'hésitation, se lance, zen. Il y a longtemp qu'elle a fait la paix avec tout ce qui lui est arrivé.

Au départ je n'étais pas formée pour être professeur. Auror a été mon choix de carrière. J'ai voyagé autour du monde avec des amis très chers, puis, j'ai repris mes études et je me suis mariée jeune. Mon mari est mort en devoir, deux ans plus tard, j'ai failli y passer, mais je suis encore là.

Je suis en congée maladie jusqu'à ce que je guérisse totalement, ce qui n'arrivera peut-être jamais. En attendant, enseigner aux jeunes à se défendre est devenu presque une vocation. C'est un très gros résumé de ma vie. Avez vous des questions? Sinon c'est à votre tour de me parler de vous.

Termine t elle en riant ferme. Elle n'a rien ou presque à cacher et ca lui fait du bien de parler, juste parler... Elle ne relève pas ce qu Hiro a dit en lui faisant part de sont plus qu'intérêt envers elle. Si ca lui a échappé, il a le temp de se reprendre, sinon ca fait toujours du bien de se faire chanter la pomme.

Elle prend une autre gorgée de limonade, puis remarque que la tasse d'Hiro est vide.

Encore une tasse?

Je vais donc vous raconter ma vie. Issue d'une famille Anglo-japonaise j'ai vécu avec 4 frères dont l'un est mort.

Attentive, Lareless attend la suite. Si elle savait....

Puis je me suis mis au service de vous savez qui en étant même arrivé jusqu'à son bras droit.

Elle se fige totalement. Le bras droit de ... Elle se demande si il a tué Lucius, elle ne croit pas qu'il s'en vanterait s'il aurait reconnu l'homme sur la photo. Le regard d'émeraude devient opalescent tandis que la mâchoire devient plus carré.

J'ai tué..même mon meilleur ami, qui me le demandait suite à une peine de coeur. Puis je suis parti à azkaban. J'ai eu une fille avec une charmante femme dénommée éléanor. Mais à mon retour alors que je m'étais repenti , c'est elle qui s'est tourné vers les mangemorts.

Repenti? Oh, c'était tellement facile. Mais dans un autre sens, étant en maladie, elle ne représente plus aucun danger pour les mangemorts. Mais elle se demande...

Depuis nous ne sommes plus ensemble mais je vais les voir de temps en temps. Voilà en gors mon histoire. Maintenant je suis prof afin de passer une existance plus sereine...

Elle marque le coup, pense un peu. Tremblant soudainement, elle repose son verre. Le regardant dans les yeux, pour bien lui faire comprendre que derrière ses actes de Mangemorts, ils y a eu maintes personnes blessées, à la vie brisée.

Elle lui dit d'un ton trop doux, un ton qui aurait fait courir Kaitz jusqu'au premier trou venu.

Lucius a été tué par les mangemorts, et moi J,ai failli y passer aussi par leur soins. Vous rappelez vous de nous deux Monsieur Shima?

En même temp, elle voudrait tellement que ce repentir soit sinc`re. Il lui plait beaucoup.

Je suis réellement navré. Je sais tout le mal qu'il ont fait. Mais pour ma part, non je ne connaissais pas votre mari, ni vous même je n'ai pas exercé dans votre secteur. Maintenant je pense pouvoir ressentir votre peine, si vous désirez que je quitte votre maison maintenant. Dites-le moi. Je ne pourrai vous déshonorer...

Lareless réfléchit. On ne peut juger au passé, mais à l'acte. Sinon elle serait aussi pire que Hiro. Elle va donner une chance au coureur, ca sera à lui de ne pas la gâcher. Elle a l'impression qu'il est réellement sincère. Elle espère que son pressentiment s'avérera juste.

La main de Lareless, aux ongles coupés courts, sans aucuns vernis, mais soignés, se pose sur l'épaule de Shima. La jeune femme s'étire, pose un baiser aussi léger que les ailes d'un papillon sur le coin de la bouche du professeur.

Je vous remercie de votre franchise... Je me contenterai de me faire une idée à partir de maintenant.

Elle le regarde, les prunelles de velours émeraude. En elle même, elle prie dieu de faire que ce repentir soit réel. Elle veut faire le pas, mais le faire les yeux ouvert, ca ne lui tente pas d'y laisser encore quelques lambeaux d'oreillettes.

Une fois son récit terminé, il espérait profondément ne pas la choquer, ni la brusquer. C'était clairement affiché depuis son hibou qu'il avait une attirance toute particulière au professeur de DCFM. Cepedant il savait pertinament la douleur que pouvait être la sienne de perdre un être cher. Qui plus est, lui même dans l'autre camp à l'époque ne pouvait qu'agraver la situation et faire ressurgir en elle une agressivité qu'il ne connaissait pas. Mais tout en réfléchissant bien, il ne pouvait mentir, ce n'était pas lui qui avait provoquer la mort de son mari puisqu'il avait purger une peine de 5 ans à Azkaban et venait juste d'en sortir. Tout se mélangeait dans sa tête, les secondes qui passaient devait lui semblé une éternité lorsque La main de Lareless, aux ongles coupés courts, se posa sur son épaule. La jeune femme s'étira et posa un baiser aussi léger que les ailes d'un papillon sur le coin de la bouche du professeur Shima... Son coeur se sentit enfin soulagé. Lui le grand gaillard devenu subitement affaibli par l'être féminin...ses yeux trouvèrent réconfort dans ceux de Less. Il la contempla, un léger sourire sur les lèvres qui lui parraissait maintenant aussi sucré que s'il avait goutté une fraise à la chantilly et ne dit plus rien pendant quelques secondes la contemplant. Puis il pris ses deux mains dans les siennes , s'approchant de celle qui venait de lui offrir son premier baiser depuis son retour d'Azkaban et lui dit....

- Merci de ne pas m'avoir jugé sur mon passé. Je sais que tu as tout à apprendre de moi et je pense que nous pourrions nous connaître d'avantage qu'en étant sincère l'un envers l'autre.

Pour la première fois il l'avait tutoyer. Il s'approcha encore un peu plus de la jeune femme, laissant son parfum se dégagé un peu de son torse et de sa chemise légèrement entre-ouverte. il la regarda droit dans les yeux levant jusqu'à son torse ses mains qu'il avait toujours dans les siennes et lui dit...

- je suis perdu vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour en ce moment même; je ne sais plus si je vis, si je respire,si je parle; mais il y a une chose dont je suis sûr c'est que je sais que je t'aime.
Alors qu'ils n'étaient distant que de quelques centimètres, leurs mains joints entre eux, il posa ses lèvres sur celles de Less et l'embrassa... ses yeux lançant des étincelles imaginaires à l'intérieur de son cerveau...

Merci de ne pas m'avoir jugé sur mon passé. Je sais que tu as tout à apprendre de moi et je pense que nous pourrions nous connaître d'avantage qu'en étant sincère l'un envers l'autre.

Quoi répondre à ca? Elle se contente donc de sourire doucement à son tour, se promettant intérieurement de ne pas faillir. Less est une femme loyale, il en faut beaucoup pour qu'elle retire son support à quelqu'un. Sauf si ca heurte ses valeurs morales profondes. Elle soutient le regard d'Hiro tranquillement.

Il s'approche d'elle, lui laissant respirer son odeur. En contrepartie, il peut sentir celle de la jeune femme. Odeur de Lys d'eau. Tout simple et frais. Le regard de Lareless descend sur les grandes mains qui enserrent les sienne.
je suis perdu vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour en ce moment même; je ne sais plus si je vis, si je respire,si je parle; mais il y a une chose dont je suis sûr c'est que je sais que je t'aime.

Elle n'a pas le temp de réfléchir. Il l'embrasse. Bon, il y a Selpanius, mais c'est purement physique et c'était clair entre eux. Hiro a allumé un petit quelque chose en elle, de l'espoir. Espoir qu'enfin ca soit le bon. Elle trouve qu'il est tôt pour parler d'amour durable. Les coups de foudres ont été désastreux pour elle. Tant de désillusions...et à chaque fois un bout de coeur qui est parti. A vrai dire, elle n'a eu que deux coups de foudres dans sa vie, et elle a eu bien du mal à s'en remettre. Mais elle l'aime, là et maintenant ca c'est clair.

Poussant un soupir, elle ferme les yeux, s'abandonnant à la sensation. Habituellement, elle dit ce qu'elle veut d'une relation avant de s'y engager. Mais elle ne veut pas le faire fuir. Elle décide donc d'agir contrairement à son habitude, de laisser couler.

Elle lui rend le baiser avec toute sa passion d'italienne.

J'ai remarqué une cicatrice dans ton dos tout à l"heure. Je suis désolé si ma faiblesse d'homme m'a poussé à regardé par là mais tu as une belle cicatrice dis moi...qui t'as fait ça ?

Elle s'attendait à cette question. Mieux vaut tôt que tard remarque.

Ne t'excuse pas... Un duel lors de l'exercice de mes fonctions et qui a mal tourné... Je me battais contre un mangemort et un autre est arrivé sournoisement et m'a lancé un sortilège qui m'a broyée la colonne. Ils m'ont laissée à crever, mais un moldu m'a trouvée. Emmenée d'urgence à l'hopital. C'est la trace de l,Opération moldue que tu vois là.

Elle prend la main d'Hiro et l'ammène dans le creux de son dos, là où la cicatrice est. Elle la lui fait palper.

J'aime cette cicatrice. Elle me rappelle qu'avec de la volonté, on peut tout vaincre. Les guérisseurs m'avaient dit que je ne remarcheraient pas... Et bientôt, si Dieu le veut, je pourrai reprendre mon métier.

Elle lui sourit, la tresse de Less est entre eux deux. D'humeur câline, la jeune femme lui donne un baiser dans le cou.

Tu reste à souper? J'ai du pain de viande surprise ce soir.

Ils font des choses remarquables ces guérisseurs. Mais toi tu es encore plus ramarquable quant à ta guérison par elle même. C'est ton courage qui t'as permis de te remettre sur Pied. Le courage !!! c'est ce qui manque à ces êtres immondes !! Quand j'étais parmis eux, j'étais peut être le seul à être un homme d'honneur. En effet, je sais ce que veut dire la mort. Je pespectais mes engagements et il n'y avait pas de sournoiserie. [ HJ // avant le combat , on fixait des règles / y'en avait au moins 1 qui était clair. Si l'un mourrait son perso devait quitter le forum // ]
Il essaya de chasser toutes ses idées noires qui lui faisait rappeler son passé lorsque Less pris la main d'Hiro et l'ammèna dans le creux de son dos, là où la cicatrice était. Elle la lui faisait palper et lui dit :

J'aime cette cicatrice. Elle me rappelle qu'avec de la volonté, on peut tout vaincre. Les guérisseurs m'avaient dit que je ne remarcheraient pas... Et bientôt, si Dieu le veut, je pourrai reprendre mon métier.

Il ne fût guère étonné. Cette jeune femme était débordante d'énergie. Malgré son souhait de la protéger, il ne pouvait l'empêcher d'accomplir son devoir. D'ailleurs il se demandait même maintenant si son chemin à lui ne devait pas être comme le sien. Traquer ses anciens camarades de jeu..puis elle lui sourit, la tresse de Less est entre eux deux. D'humeur câline, la jeune femme lui donne un baiser dans le cou.

Tu reste à souper? J'ai du pain de viande surprise ce soir.


- C'est que....enfin...si tu insistes un peu je pourrai te répondre OUI. Bien sûr ma chérie.
Elle d'humeur câline , lui d'humeur taquine, il voulait profiter d'avantage de la situation. Ce qui le fait sourire encore plus, laissant éclater ses dents d'une blancheur irréprochable. Lorsque soudain une idée lui traversa l'esprit et la lui soumetta...
- Dis moi, dès les prochaines vacances scolaires, si je t'emmène faire un tour à la montagne pour profiter un peu de la neige, ça te tente ? tu n'aurais qu'à choisir la destination et je me charge de tout..

hj: seagreen si tu te demande quelle couleur pour mes paroles

Dis moi, dès les prochaines vacances scolaires, si je t'emmène faire un tour à la montagne pour profiter un peu de la neige, ça te tente ? tu n'aurais qu'à choisir la destination et je me charge de tout..

Lareless est éclatante. Manifestement, ca lui plait. Mais elle dit de son léger accent chantant.

Si je choisis la destination, ca ne sera plus une surprise.

Elle prend une mèche de cheveux d'Hiro, puis la tourne autour d'un doigt.

Surprend moi!

Elle lui donne un autre baiser, c'est alors que le feu de la cheminée fait un gros pouf. La face de morse de Griffith apparait parmis les flammes.

Je dérange?

hj // je sais ...j'ai juste qu'à citer ton message pour voir apparître le nom de la couleur ..mais j'ai encore merdé ce matin ...la moitié du message n'était pas encore apparu comme hier //

Lareless est éclatante à l'idée d'aller se changer un peu les idées à la montagne. Manifestement, ca lui plaisait. Mais elle voualit se laisser surprendre par le professeur de sortilège. Celui-ci avait bien une petite idée, dans les Alpes par exemples mais plutôt côté Français ou Italien. A moins qu'une petite escapade aux USA l'intéresserait aussi... ...Il réfléchissait à ce qu'il pourrait bien faire lorsqu'elle pris une mèche de cheveux d'Hiro, puis la tourne autour d'un doigt en lui disant :
Surprend moi!
-OK!! Je vais essayer

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'elle lui donna un autre baiser, c'est alors que le feu de la cheminée fit un gros pouf. La face de morse d'un certain Griffith apparu parmis les flammes. C'est au même moment, alors qu'il entendit maintenant des parôles, qu'hiro s'était précipité hors du canapé se trouvant juste devant lareless pour la protéger, baguette en main pointé sur " la chose " qu'il entendit

Je dérange?

Je dérange?

Less ne marque aucune réactions autre qu'un infime soupir de dépit. Hiro s'est précipité devant elle pour la protéger, délicate attention s'il en est. Mais il n'y a rien à craindre.

Relaxe Hiro, c'est juste mon boss. Pas Mikomi, mais Griffith.

Elle se plante à côté d'Hiro puis croise les bras, visiblement mécontente. Le regard de Griffith passe sur elle avant qu'un sourire ne soulève son imposante moustache

Merde Griffith, vous aimez ca m'appeler n'importe quand? Pas vous connaitre, je jurerais que vous le faites exprès.

La moustache se soulève encore plus si c'est possible.

En fait, je ne suis pas satisfait de votre bilan trimestriel. Je vous veux tout de suite au ministère pour un bilan approfondi fait par notre guérisseur.

Je suis occupée Griffith.

Ah... ca j'ai vu, mais ce n'est pas négociable. On vous attends d'ici une demi-heure... le temp de vous changer avant de faire une émeute et de dire au revoir à votre ami...

Sur un dernier pouf, Le visage de L'interlocuteur disparait, laissant des flammes agonisantes.

Merde...

Quelle brève apparition !! il fait toujours comme ça ?


Lareless, de mauvaise humeur, fait un petit plateau repas, hors de question de le laisser partir l'estomac vide. Elle a toujours été comme ca. Un nuage de fumée envahi brièvement la pièce, prestement chassé d'un coup de baguette. Elle revient avec le repas d'Hiro. En même temp, elle lui dit.

Lui? Ah il a été particulièrement bavard aujourd'hui. Des fois je me demande s,il ne rêve pas de se rincer l'oeil.

- Ecoute Less. Tout à l'heure tu me parlais de ton désir de reprendre le combat avec les aurors. Tu dois y aller. Sinon tu vas compremettre ta carrière. Et puis tu sais qu'à partir de maintenant que nos chemins se sont croisés. Nos yeux se sont accrochés. Ton sourire est devenu mon soleil. Ta tendresse une grande merveille. Je t'offre dans mes mains, Mille baisers câlins, pour que jamais tu n'en sois privé...[/b]

Elle le laisse faire, gênée et flattée de tant d'attention. Elle lui prend la mâchoire délicatement et relève sa tête.

Mange en vitesse, je vais me changer. Ne t'inquiète pas pour moi, il y a de la bouffe là-bas, mais ca me désolerais que tu aprte l'estomac vide. J'en ai pour une dizaines de minutes.

Elle monte en haut à toute vitesse, met une robe de sorcière sur la porte de L'armoire et saute dans la douche.

hj// elle est dans la douche !!! si l'autre revient pour se rincer l'oeil ..je le tue... //

Hiro n'avait pas eu le temps de placer un mot que son plateau repas était prêt. Il ne pouvait faire autrement que de l'accepter. Celà aurait été un manque de respect de sa part. Cependant il aurait bien voulu l'attendre pour manger et pensait qu'elle même allait partir le ventre vide. De plus d'après ce que l'espèce de phoque qui était entré dans le salon annonçait, ça n'allait pas être une partie de plaisir pour elle. Il se demanda même s'il pouvait l'accompagner. Less parta faire une toilette et il entendit le bruit de l'eau de la douche qui coulait. Il en profita pour grignotter avant qu'elle ne revienne. C'est alors qu'il se mit à crier un peu fort...

- Si tu as besoin de quelqu'un pour te laver le dos, je me propose comme volontaire d'office.

Hiro avait un sourire aux lèvres et savait qu'elle ne l'avait sûrement pas entendu. D'ailleurs elle n'avait pas le temps pour ce genre de plaisanterie et il finissa son plateau qui fût d'aillleurs un excellent repas. Il se leva alors du canapé attendant que less revienne pour lui souhaiter une bonne soirée et bon courage pour sa réunion.