Le vignoble Mainella

Ce qui frappe d'abord a l'entrée du domaine ce sont les vignes vénérables qui s'étalent à perte de vue. Des centaines de rangées entretenues scrupuleusements par les employés et dispersée sur différents paliers creusés à même la colline.

Ensuite ce sont les bâtiment, sis en haut justement de la colline. Une grosse genre de grange ou l'ont fait le vin et les alcools dérivés selon la méthode moldue. Les vins sont réputés partout dans le monde.

Ensuite, un antique manoir à trois étages. Bien entretenu, il dégage cependant la simplicité requise pour un tel lieu.

Au premier étage, une vaste salle commune et de vastes cuisines pour les temps ou les emplyés dépassent la centaine. Une cuisine et une salle a manger dite d'hivers pour lorsque les effectifs sont réduits. Un salon simple, aux meubles dépareillés mais confortables.

Au second se trouvent les chambres... Par commodité, une chambre par enfant, puis deux chambres d'invités. C'est le seul luxe auquel le paternel a accédé. Les chambres sont confortables, grandes et décorées selon les goûts de l'occupant.

Il faut spécifier que Les Mainella n'occupent que leur chambre lorsqu'ils sont dans la maison, rarement le salon... Sinon, ils sont a l'extérieur ou dans le bâtiment à vin.

Sous les combles, les quartiers des employés.

Il y a toujours de l'action au vignoble, un va et vient incessant, plein de monde et de visiteurs. Les vignerons sont des gens simples, à la limite du rustres, mais chaleureux et acceuillants.

4 aout 71

Luo.

J'aurais aimée t'écrire avant, mais papà m'a mise en garde à vue. Je ne sais pas ce qui lui a mis en tête que Kaitz m'a débauchée. Je te jure, parfois c'est difficile d'être l'ainée des filles. Il pense faire de moi une nonne ou quoi? Tout ca à cause d'un changement de look. Il n'a consenti à lâcher prise qu'aujourd'hui, quand j'en ai eue assez et que je lui ai offert de passer un examen gynécologique pour prouver ma pureté. Et après une crise mémorable de mamma... Elle est de mon avis et trouve que si il y a eu quelqu'un à blâmer pour mon manque de féminité, ce sont eux.

Si j'ai bien compris, en espionnant la suite de leur dispute, ils n'auraient pas de lecon de morale à me faire sur aucun sujet.

...

Je me relis et ca me fait peur. Moi qui comptais plutôt t'écrire une lettre douce et tendre comme la majorité des filles de mon âge.

Bref, tu me manque Andalou. Les parents s'en vont pour la fin de semaine... Je serai seule au vignoble pour trois jours entier avec Sakara et son fiancé. J'lui ai dit que j'irais camper à la petite rivière pas trop loin du vignoble pour être seule et tranquille. Du vendredi au dimanche donc.

A toi de voir si tu es encore aussi sérieux que lors de cette merveilleuse semaine avec toi. Je t'aime.

Less

La porte s'Ouvre sur une fille blonde comme les blés, au regard de la Méditerranée. Derrière elle, une musique rock endiablée se fait entendre à tue tête.

Oh Luo!

Elle le connais de vue, Sakara étant une année plus jeune que Less et à Serdaigle. Malgré la différence de teint et de couleur, la ressemblance est frappante.

Un jeune homme sombre, parfait archétype de l'italien macho, se profile derrière elle et pose une main possessive sur son épaule. Un moldu de toute apparence.

Tu est venu voir Lareless ? Tu sais, elle n'est pas là et je n'ai pas le droit de te dire qu'elle est sur le bord de la rivière ni que c'est accessible seulement par le sentier balisé descendant dans les bois. Papà serait furieux. Il dit que vous avez mauvaise influence.

Un clin d'oeil complice. Elle a parlé en anglais, son compagnon n'a manifestement rien compris à ce qu'elle a dit.

Je peux t'aider pour quelque chose d'autre peut-être?

L'italien dit quelque chose, une question maifestement, juste au ton employé. Elle lui répond doucement tout en ne lâchant pas l'espagnol du regard.

Luo attend que la porte s'ouvre. Il s'accoude contre l'encadrement de celle-ci, les bras croisés. Contre toute attente c'est la soeur de Less qui ouvre la porte. Luo la connaissait un petit peu, elle se prénommait Sakara et était en Sixième année à Serdaigle. Elle était tout aussi belle que Less malgré des différences différences physiques notoires. Un jeune homme appariait derrière elle, il tente un regard désagréable à l'encontre du jeune espagnol, Luo rétorque d'un regard d'ébène flamboyant à faire pâlir une gargouilles.

Il écoute sans broncher les explications de Sakara et sourit légèrement en coin lorsqu'elle lui explique qu'elle n'a pas le droit de dire où est Less tout en lui indiquant clairement où elle se trouve. Elle parle dans un anglais impeccables malgré un accent douteux, remarque l'accent anglais de Luo n'était pas des meilleurs non plus. Mais pour les hommes l'accent méditerranéen amenait un côté sexy incontestable.

Elle avait finit par dire que Luo avait mauvaise influence sur Less selon le père de celle-ci. Luo sourit de plus belle pendant un court instant. Il ne dit rien, son visage redevient neutre et flegmatique. De temps à autre il jette un oeil au gorille qui se trouve derrière elle.

-Je peux t'aider pour quelque chose d'autre peut-être?
-Nan. En revanche lui... tu devrais faire quelque chose pour lui...

Pas un mot de plus, Luo était le roi du mystère et de l'ironie conjointe. C'était bien sûr une critique à l'encontre du type qui se trouvait derrière Sakara. Il sourit une dernière fois à celle-ci en guise de remerciement avant de s'éloigner de la porte. Il suit donc les instructions de Sakara et entre dans le bois, son sac toujours sur une épaule, sa chemise blanche posée sur l'autre. Il avance en suivant le sentier et en tarde pas à entendre l'écoulement d'une rivière. Il arrive enfin au bord de celle-ci. Il regarde à gauche à droite mais ne voit personne. Il décide d'attendre sans bouger, elle le trouvera.

Il n'a pas longtemp à attendre. Less a fait divers détour pour trouver l'endroit idéal pour planter sa tente et ranger son matériel et ses vêtements. Hors du sentier, dans un endroit que personne ne pensera à la chercher là sans organiser une battue.

Un voyage pour amener et monter la tente, un retour... Une brève converse avec des employés curieux. Elle prends des provisions copieuses pour trois jours, subtilise deux bouteilles de vin dans les caves de vieilissement. un reducto fait entrer tout ca dans son panier à pique nique, avec moults couvertures et autres trucs pour son confort personnel.

Ce n'est pas la première fois qu'elle campe sur le bord de la rivière. En redescendant, elle croise encore le même employé moldu. Non mais il tache celui là. Un regard incandescent le déroute quelque peu. Manifestement, la fille du patron veut la paix.

Descendant par le sentier, elle lance la ribambelles de sorts repousse moldus usuelle.

Luo peut la voir arriver, lancant sortilèges sur sortilèges. Elle porte toujours sa lourde tresse, une chemise d'homme d'un blanc immaculé dont les manches ont été coupées et aux deux pans attachés sous les seins, un seul bouton attaché, révélant son ventre plat et sa peau couleur bronze. Des shorts ultracourts (a la mode) révèlent ses longues jambes chaussées de solides bottes de marche.

Luo!

Un rayon de soleil est moins éclatant. Une pure étincelle n'enflamme pas autant que ce sourire ni ce regard. Déposant son panier au sol, elle se jette à son cou, murmure quelque chose de tendre en italien tout en l'embrassant.

-... Content d'être là...

J'espère bien, sinon tu ne serais pas venu.

Elle se plonge dans se noir, s'y mêle et s'y noie... Ce qu'il est beau Luo... Elle se demande comment elle ne s'en est pas rendue compte avant.

-Je suis entièrement à toi pour quelques jours...

Le regard se fait de velours, le sourire en coin rempli d'innocentes promesses. Elle se dégage doucement.

Viens, j'te montre ou on campe... Si tu es assez vite pour me suivre!

Un petit rire et elle va ramasser son panier et sa baguette. Petit chaperon rouge des temps modernes, elle se dirige vers une discrète trouée dans le mur feuillu bordant la rivière.

Elle s'arrête avant de s'y engager, regarde Luo, une lueur taquine, avant de bondir prestement et de disparaitre comme une biche aux abois. Elle connait le terrain comme sa poche, le moindre tronc, la moindre racine.

Après 15 minutes de, on pourrait dire folle poursuite ou elle fait exprès pour toujours être limite hors d'atteinte, ils arrivent.

Une tente moldue est dressée devant un endroit déjà tout préparé pour un feu. Une pile de bois suffisante pour trois jours est empilé un peu plus loin. Un genre de mur naturel, une petite butte, isole l'endroit de la rivière. Rivière qu'on entend vouler paisiblement juste de l'autre côté de la dite butte.

Le soleil tape généreusement dans la clairière. La seule chose qui surpasse son éclat est le sourire de Less.

Tu veux... hemm... déposer tes choses ?

Demande t elle, la voix légèrement enrouée.

Une étreinte qui dure pendant un long moment durant lequel Less plonge son regard dans celui de Luo. Ce regard toujours aussi impénétrable, tout à la fois sans limite et mystérieux, d’ébène et d’intensité, de fougue et de sérénité. Luo ne pouvait s’empêcher de regarder la jeune fille, elle avait toujours été belle mais là elle se mettait d’autant plus en valeur. Le jeune espagnol n’était pas resté indifférent à cette volonté de plaire. Y-avait-il des sentiments derrière tout ça ? Luo ne savait pas ce qu’elle ressentait pour lui. En tout cas pour ce qui est de Luo, le sentiment amoureux était quelque chose qui s’était envolé après une expérience passée qui lui avait coûté cher. Une expérience qui lui avait valut l’exil de sa tribu et un tournant radical dans sa vie.

-Viens, j'te montre ou on campe... Si tu es assez vite pour me suivre!

Elle lui sourit malicieusement, Luo arque un sourcil d’incompréhension. Elle ramasse ses affaires puis se faufilent à travers des buissons avant de s’élancer dans une course folle. Il entend son rire cristallin résonner dans la forêt, de temps en temps elle ralentit pour voir si Luo suit toujours. L’étalon andalou s’était élancé à la poursuite de la biche italienne effarouchée. Toujours tors nu, les buissons lui griffaient le tors mais c’était un jeune homme dur au mal. Il continuait sa course, s’arrêtant de temps à autre, perdu. Ecoutant les bruits de la nature, son sang de gitan le rendait très réceptif à son environnement, puis il repartait.

Cela faisait dix bonnes minutes qu’ils couraient. Luo s’arrêta et un sourire en coin s’afficha sur son visage alors qu’il regardait la cime des arbres. Less était déjà loin, une idée lui vint à l’esprit. Il sortit sa baguette et la pointa au-dessus de lui. Il murmura.

-Ascencio !

De manière soudaine et vive il décolla du sol en ligne droite et ne tarda pas à se retrouver dans les branches des hauts chênes. Sa baguette toujours gardée dans sa main au cas où un incident arriverait et qu’il se retrouverait une quinzaine de mètres plus bas étalé sur le sol. Les vieux chênes ayant de grosses branches, il n’eut aucun mal à sauter d’une à une, de plus il était agile. Après quelques minutes d’escapade dans els branches d’arbre il arriva au-dessus de la clairière et baissa les yeux lorsqu’il entendit.

-Tu veux... hemm... déposer tes choses ?

Un silence, personne ne répond. Less croyait que Luo la suivait. Non, le jeune andalou était plusieurs mètres au-dessus d’elle, il la regardait. Telle une nymphe au milieu d’une clairière. Luo dévorait ce tableau magnifique des yeux. Less tournait en rond, il ne la fit pas attendre plus longtemps. Usant une nouvelle fois de la magie il descendit lentement avec une corde la tête en bas. Il ne tarde pas à se retrouver juste derrière Less et lui murmurent à l’oreille tandis qu’il était toujours à l’envers dans les airs.

-Vous avez perdu quelque chose jeune demoiselle ?

Un fin sourire, un regard qui pétille de mystère, c’est ce qui attend Less quand elle se retournera et qu’elle verra Luo en position du cochon pendu.

Bon, je l'ai perdu.

Est la première réflexion de Less. Pourtant le chemin n'est pas si impraticable après tout. Si ca l'aurait été Rocstone elle aurait compris. Leur ami n'a aucun sens de l'orientation. Mais Luo est gitan bordel de merde.

-Vous avez perdu quelque chose jeune demoiselle ?

Pivotant souplement, elle saute littéralement sur Luo.

Non, plus maintenant.

Elle l'embrasse doucement, ses mains caressent l'andalou. La chaleur grimpe encore si c'est possible. Ca sent l'hormone dans le coin!

Délicat et soudainement hésitant comme baiser. C'est déstabilisant quelqu'un la tête en bas.

Elle se demande si elle devrait. Si elle devrait oser. Elle se sent prête, sais que Luo n'est pas l'homme avec un grand H. Il en a connu avant elle et en connaitra d'autre. Mais tant qu'à faire, aussi bien que ca soit un ami qui lui montre. Il ne la blessera pas. Et madre de dio qu'il est sexy en ce moment précis.

Elle ne sait pas combien de temp ca durera eux deux. Franchement, elle ne sait pas si elle l'aime d'un amour tel que ca devrait être. Elle formule donc ce que Luo pense lui même.

Ca durera le temp que ca durera... Je ne me fais pas d'illusions... Profitons du moment...

Murmure t elle entre deux baisers, les yeux mi clos sur leur vert profond. Elle ne s'est pas rendue compte qu'elle a formulé ceci de facon inaudible, confirmant qu'elle est prête ce coup là.

Il la laisse faire, la laisse se réchauffer au rythme du soleil qui tape sur leur deux corps sombres, éveillant des reflets bronzes chauds sur le corp de l'italienne, des reflets plus dorés sur le corp de l'espagnol. Deux sculptures antiques entrelacées ne seraient pas plus belles. Une ode à la passion.

Elle relâche son étreinte le temp de rire un peu, un rire rauque, chaud et sexy, prémice du fameux rire qu'elle aura plus tard. Quelque chose qui fait réagir n'importe quel mâle..Renverant la tête vers l'arrière, la jeune fille ferme les yeux et s'offre à la caresse des pétales.

Luo prend le visage de Less entre ces deux mains et collent son front au sien. Elle aime quand il la regarde comme ca. Les prunelles d'émeraudes captent et amplifient à l'infini les étoiles du regard de Luo, rendant le regard de Less aussi captivant et changeant que des joyaux inestimables. Les mains baladeuses de l'italienne continuent une exploration tactile somme toute encore assez correcte.

-Eres magnifica muchacha…

Luo passe ses lèvres dans le cou de la jeune fille tout en déboutonnant l’unique bouton de la chemise blanche de celle-ci. Le souffle soudainement court, elle le laisse la débarasser de sa chemise, dévoilant le haut de son bikini blanc. Il passe une main sur les hanches de Less tandis que l’autre fait glisser la chemise en arrière. Au sourire chaleureux de l'espagnol, elle oppose un sourire éclatant, acceuillant et invitant aux excès de l'Italie.

La prenant par les hanches encore étroites, il la soulève et va invetiguer un peu du nez... et des lèvres... Sous le léger tissus blanc qui est somme toute bien rempli. Comme un trésor, il la dépose sur l'herbe aussi verte que ces prunelles intenses, un regard qui transperce le noir des yeux de Luo, d'une facon qui frappe au coeur et au corp. Rempli de promesses...

Eblouie par le soleil, elle ferme les yeux, pour les rouvrir lorsque le gitan la surplombe. Elle a un bref instant ou elle se demande si elel fait bien, mais elle se reprend vite. Elle veut que ca soit lui. Il ne lui fera pas de mal... Il la regarde dans les yeux, le noir éclairé et illuminé par l'émeraude.

Habilement, il la décrispe un peu, lui donne envie, le désir... Elle sourit un peu quand elle sent les lanières se défaire. Immobile, elle le laisse contempler ce qu'aucun homme avant lui n'a vu. Elle se sait bien faite et n'a aucune honte de son corp.

Il recommence à l'embrasser. Impatiente, la jeune fille soupire, se cambre, l'enjoignant à aller plus vite en un sens, mais à ne surtout pas la brusquer dans l'autre sens. Un coup de rein, un petit rire.

Pris par surprise, elle inverse les rôles. Se redresse, à califourchons sur Luo, parfaitement consciente de l'effet qu'elle lui fait. Se dérobant à ses mains impatientes, elle défait sa lourde tresse, dévoile le trésor de ses cheveux noir bleuté. La seule femme sur la terre qui peut rivaliser avec l'éclat de ces cheveux est une certaine Daee... De qui elle tiens les trucs d'ailleurs. Mais personne ne peut rivaliser en longueur.

Les lourdes mèches dansent sur le torse musclé et autour d'eux.. Less parait soudainement beaucoup plus jeune, désirable et ingénue avec les cheveux détachés.

Elle se repenche alors sur lui, s'amusant à l'agacer de la langue comme il l'a agacée avec ses lèvres, mais sans rien toucher d'autre.

Elle hume avec délice l'odeur de sa peau chauffée par le soleil, goûte avec délectation sa peau. Elle n'a peut être pas d'expérience Lareless, mais elle apprend vite.

Comme introduction c'est assez plaisant. Le soleil, cette exploration buccale pour ainsi dire, Une chaleur intense nait dans son corp. Dans sa tête, les neurones se déconnectent les unes après les autres, dû à la surcharge de sensations nouvelles.

Luo...

Dit elle une première fois doucement, elle essaie sans grande conviction de reprendre un semblant de contrôle, mais il ne semble pas vraiment vouloir la laisser faire. Il la tient doucement. Haletante, elle décide alors de se laisser faire, se laisse porter par la vague nommée plaisir, surfant sur un tsunami. Une bouche ca peut faire ca? (ok, notez qu'en 83, yavait pas d'éducation sexuelle, ca apprenais encore sur le tas) Elle ne crie pas Less, mais le gémissement qu'elle laisse échapper est cent fois plus expressif.

Délicat, Luo la laisse reprendre son souffle. Les yeux clos, elle a un sourire charmant aux lèvres.

Déjà fini?

Elle tourne la tête vers lui.

Ce n'est pas juste, c'est toujours les filles qui se ramassent nues avant les gars. Lève toi.

Se redressant elle aussi, ses cheveux noirs piquetés de sable faisant un voile pudique autour d'elle, elle se met en frais de déshabiller l'espagnol. Par geste étonnamments précis. Il l'a mise en appétit avec ce hors d'oeuvre. Une panthère est aussi vive de gestes... Une fois le pantalons aux chevilles, elle pose un pied nu dessus pour que Luo puisse finir de s'en débarasser. Ce faisant, elle en profite pour tater ses fesses, ses reins, sa colonne. Mais aucun endroit stratégique. Elle fait son ingénue.

Faisant trois pas, ses cheveux faisant d'elle une vénus des temps modernes, elle le contemple des pieds à la tête.

Joli... T'attends quoi Luo? l'absolution?

Dit elle, faussement innocente. L'éclat de ce regard émeraude ne trompe pas. Chaude invite à finir ce qu'il a commencé