MÉFAITS ACCOMPLIS™
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

 

 chaire de sang dansant...

Aller en bas 
AuteurMessage
Sirinyli
Invité




chaire de sang dansant... Empty
MessageSujet: chaire de sang dansant...   chaire de sang dansant... EmptyJeu 27 Juil 2006 - 3:56

Chaire de sang dansant


Sur le rebord de cette villa, une jeune fille laissait ses cheveux volés au grès de se chatouillement matinale. La sueur de cette vie d’un atmosphère de trente degrés, dans les moments les plus froid. La fillette regardait au loin la vie qui sautais au grès de la famine et surtout de la blancheur de cette verdure que la mer par ses humeurs cachées sous cette passivité. L’enfant avait un sourire platonique et des yeux au couleur de ses fonds marin que personne ne pourrait avoir en cachets. Car ceux-ci était mille fois plus délirant à la vue que de ne plus savoir comment de piqûre le junkie savait injecté. Ses joues avait rougis par cette dernière brise venu de la mer qui se déferlait au pieds du bâtiment ou elle était suspendu à une vingtaine de mètre… La fillette laissait son esprit au grès du son des vagues, et pensait. Elle pensait beaucoup pour une si jeune enfant.

Les vents avaient changés dans sa vie, la nouvelle façon de voir le lendemain et la façon d’accomplir correctement son passé. Les vieux jours de ses parents avait sonné au cloche de cette chapèle. La douceur de se bruit lui avait arraché une ou deux larmes au passage de mille baiser et paroles creuse dispensable. Cette semaine horrible qu’elle avait enfin trouver le courage de la finir en une robe blanche et ample, mais que ses nouvelles formes lui donnait gracieuseté.

Elle regardait ses mains, qu’elle les mit sur ses hanches, son ventre passant ses doigts fins sur ce trou incongrue qui était sont nombrils, relevant toujours cette finesse transmisse par sa mère, pour tomber sur une poitrine simple qui n’avait pas encore touché la majorité et elle s’arrêta à son cou pour faire le tour de ses doigts et appuyer quelques peu pour prendre goût au manque de souffle que ceci lui donnait. Pas qu’elle n’aime plus la vie, mais la jeunesse se veut de tout connaître immédiatement et non la reporter à demain, et puis n’est ce pas la un de ses vieux dictons que nos ancêtre en seraient fière de nous entendre à le divulguer avec douceur de notre bouche mielleuse. Elle mit deux doigts sur ses lèvres pulpeuse qu’elle entrouvrit et ferma les yeux. Elle imprégna comme tout le reste ses mains de cette chaleur, de cette rigidité, de cette douceur, de ce faux sourire…
Ses pensée allait à l’homme qui allait foulé le premier cet havre de paix qu’elle dégusterait à son tour ceux de son amant.

Un bruit d’écrou rouillée se fit entendre, qu’elle sursauta et vit la bonne qui avait mille misère avec les hauteurs, demander requête qu’elle regagne la demeure familiale. La jeune écervelé se leva et se mit à un pied sur se rebord, elle élança ses mains vers l’avant, et fit une pirouette qui était le coup pour que la bonne en perde connaissance tout en restant les ongles coincées dans le bois.

La jeune enfant à la découverte de sensation forte partie vers l’arbre et s’y accrocha par une branche rigide et circula sur celle-ci pour aller se réfugier ou cette femme qui l’obligeait au tache qu’elle se devait d’accomplir pour être femme en devenir, ne la trouverait jamais. Cette cachette secrète que nul ne savait, car personne de nos jours porte attention au simple et petite chose.


----------------------------------- 1 ------------------------------------

L’enfant pensait, elle pensait énormément, d’après son défunt père, elle pensait trop pour une jeune femme. Que cette maladie devait se traitée avec la danse. Comment vouloir détruire un être créatif quand tu l’envoie au près de d’autres…

Cela fessait plus de neuf ans que ses cours au développement d’une vie fantastique de danse frivole, mais qui restait bien sainte au près du pasteur pour des fillettes de cette age. L’année de la mort, elle tomberais au mains d’un autre prof qui se préoccupait des filles plus vieille celle qui serais la pendant les fêtes régionale. Celle qui couperait le souffle à tout homme présent de les voir se déhanché et dévoiler quelque peu leur peau sous cette robe de soie, soutenue de mille jupon tout aussi éclatant de couleur.

Après plusieurs fugue, que la dame de surveillance est perdue mille fois l’esprit en voyant l’enfant sur le toit, que la jeune fille, Andrianna, partie cette année encore faire bouger son corps en s’ayant pratiquer quelque peu pendant les temps froid qui avait toucher les cotes Brésilienne.

Se matin la, la femme de chambre ne put devancer la jeune fille, car la joie et l’excitation de retourner au près d’amie chère et de la vantardise du nouveau professeur l’avait rendu extrêmement nerveuse. C’est de cette nervosité que l’envie d’aller au cabinait l’avait laisser réveillé toute la nuit durante. Elle avait prit une orange et savait précipité vers les jardins ou elle pratiquait ses anciens pas de danse qui l’avait promus d’être en tête du groupe, mais cela n’avait pas toujours été comme ceci. L’ancien professeur avait été très exigeant, et elle avait peur au début de cet homme à la voix présente comme son père. Elle ne voyait jamais son père, sauf si elle avait fait faute à l’école ou avait disparut trop longtemps des yeux de la vieille femme. Le professeur lui, elle ne pouvait pas le manquer, il était toujours avec elle. Il était la pour leur dire qu’il bougeait tout et non seulement le torse ou sinon que leur pas n’était nullement gracieux comme des paons, mais plutôt de celui des éléphants. Andrianna se souvenait que sa meilleur amie Maria, qui avait un mal fou, par la faute de sa trop grande gourmandise avait été suspendue un ans au par avant de la danse, et que si elle voulait revenir, elle se devait de perdre beaucoup et de pratiquer énormément. C’est aussi de cette nervosité qui lui piquait l’estomac et son simple appétit de n’avoir rien prit et d’avoir cette pierre au creux du ventre.

Elle avait arrêté de danser, quand la bonne cria son nom, de la fenêtre de sa chambre. L’enfant lui cria sa destination, et la bonne lui répondit d’un :

-Et bien alors vas vite, tu es extrêmement en retard…

Elle était gâtée, car les cours était donnée non loin de la demeure familiale, et elle était très contente de ne pas faire comme les autres et se réveiller deux heures avant pour se rendre à pieds. Même si les bourses des parents de ses jeunes filles était moindre, le professeur avait demandé cette exercice pour une meilleur forme physique. En arrivant tout près, elle vie les jupes au couleur du levée du jour au loin, qui avec émerveillement, arrivait en synchronisme avec le soleil, dieu du jour. Andria, elle venait de la mer avec sa grande robe qui lui arrivait au cheville de couleur de ses yeux fond marins. Son haut d’un blanc de broue des vagues qui se fracasse à sa demeure quand la marré se lève.


----------------------------------------- 2 -----------------------

Elle attendait ses amies sur le coté de la porte, et les filles se mirent à s’embrasser amicalement, sachant aussi la perte des parents d’Andria, elles lui donnèrent de sincères condoléances. Se fut en entrant dans la classe la dernière avec une des jeunes filles. Elles avait un bras dessus et l’autre dessous, quand elles entendirent les gloussements des premiers qui venait de percevoir l’homme qui allait leur donner la gracieuseté du vent. Il avait une jeune femme, même qui avait l’air plutôt de leur âge. Elle était d’un habit blanc acres, et parlait avec le professeur qui lui souri de ses dents blanches et que la jeune fille en rougie. Sa lui prit quelques instant et quelques chuchotements pour que Andrianna reconnaisse cette amie chère. Elle cria le nom de Maria qui se retourna enfin vers la classe et le professeur qui les accueillit avec un autre sourire tout aussi charmant. Andria se jeta dans les bras de la jeune fille qui avait plus que perdu quelque livres, elle était complètement changé. Ses parents avait pris un professeur pour les temps froid et un diététique pour qu’elle soit reprise dans la petite troupe de ses huit jeunes fillettes.

Le professeur nomma les jeunes femmes en devenir, et leur donna un surnom au cour de la journée qui fut plutôt simple et relaxante. Maria fut la rosée matinale, et Andrianna, le lotus bleu. Les autres aussi avait été tout aussi ébahie par les paroles de se nouveau maîtres de danse. La plupart des filles quand le professeur les approchaient, elles se mettaient à glousser et sourire de toute leur dent.

Il leur expliqua qu’il n’était pas l’ancien professeur, mais la nouveau, qu’elles n’étaient ses anciennes petite filles qu’on prenait que pour émerveiller les vieilles dames et les parents d’autrui, mais des femmes, celle que demain forgeront la danse par de nouvelle culture qu’il avait visité et avait fait un mélange avec leurs danses traditionnelles.

Les filles étaient très énervé de commencer cette apprentissage, mais il leur demanda les premières semaine une danse solo qu’elle devait inventer de tout pièce, qu’elles pouvaient prendre des pas et autres d’ancienne chorégraphie, mais pas la totalité.

La semaine avait passé Andrianna se rappelait tout les soirs comment de fois le professeur l’avait complimenté et l’avait appelé par son surnom qu’elle adorait. Il lui avait révélé que le lotus bleu était le plus rare en Asie et que celui-ci se promenait sur les mers les plus bleu, tout comme ses yeux, et que c’était pour cette raison que le lotus qui brillait en elle, était bleu. Elle trouva la chose amusante, même touchante. Une enfant de cette âge ne connais pas tout, et cela lui était moindre. Le seule savoir qu’il avait découvert sa beauté en elle, cela lui donnait des ailes.


----------------------------------- 3 -------------------------------


La semaine avait passé, elles avaient toutes bien travaillées, et le grand jour avait sonné au oreilles d’Andria comme le jour bénit de se faire remarquer par le professeur comme sa bonne lui avait dit être le bon moment. Elle se sentait prête, sa chorégraphie était splendide, et gracieux comme le paons, mais docile comme la lionne. Elle s’avait vêtu de cette robe bleu au paillette argenté, celle qu’elle avait mit au grand présentement de sa dernière rencontre avec le public. Elle avait relevé la moitié de ses cheveux brun noir, un papillon pour tenir ceux-ci et l’estomac qui lui avait encore joué un mauvais tour en lui prodiguant une douleur affreuse au creux du ventre. Elle avait marcher tout en pensant fortement.

** Vais-je tomber tout en effectuant un pas de danse, prenais-je pas tout ceci un peu trop en m’habillant de la sorte, comment faire pour perdre cette douleur au creux de mon ventre.**

Une grimace de douleur et la torsion de ses mains autour de celui-ci, et elle arrivait enfin sur le rebord de la petit maison de danse. Elle entra quand elle vit toute ses amies déjà arrivé et prête pour montrer leur solo. Elles avaient toute l’air très bien, aucune douleur ou stresse extérieure. Alors la jeune fille se lâcha le ventre et se bomba le torse d’orgueil. Le professeur se fit long à attendre et s’excusa à la petite troupe du mal qu’il avait eu se matin la avec son automobile.

Les filles fut énuméré par l’ordre alphabétique de leur surnom, et Lotus bleu fut au juste milieu des filles qui allaient se donner en spectacle. Rosée matinale, Maria, allait se donnait en tout dernier, et le professeur avait trouver bien spéciale de montré l’inégalité des termes. La rosé étant la première, même avant le soleil à foulé le sol. C’est après ses explications, qu’Andria chercha des yeux Maria qui se dérobait d’elle depuis le début. Les danses des jeunes filles étaient quelques fois inexacte et certaines ont tombée, même Andrianna, fut perturber par la venue de Maria qui avait ouvert tranquillement la porte et rentrait sans un bruit. Seule la danseuse avait vue l’intrus se glisser parmis la foule comme le félin. Elle avait arrêté ses pas et savait figé sur place en voyant la robe de Maria et la douceur de ses pas pour que nul ne l’entende. Elle du se concentré après un toussotement du maître de danse, pour qu’elle sorte de l’éblouissement et se remette à danser, mais encore la, elle avait perdu quelques peu sa grâce. La musique s’arrêta qu’elle s’avait mit en piquait vers eux les bras tendu vers l’avant et voulant caché sa honte d’avoir arrêter pendant le meilleur moment. Une révérence simple, et elle se dirigea vers sa grande amie qui était tellement mystérieuse à présent.

-Ou étais tu passé? Je pensais que tu n’allais pas venir…

-Je suis sur que tu aurais été beaucoup plus contente que je ne vienne pas, lui dit Maria

La jeune fille qui se voyait à présent épié de son amie se leva et partis un peu plus près du professeur. Andria la vit même baisser les yeux pour regarder le début de ses fesses qui était caché par un short assez ample, de couleur bleu marine. Andrianna ne comprenait plus son amie, et cela la peina énormément. Se fut au tour de Rosé matinal, quand toute la classe et même le professeur ne put retenir leur exclamation de beauté devant cette étrange élégance de cette enfant, qui avant n’était nullement comme ceci. Les mains se fracassèrent, et le professeur se leva pour accueillir la jeune fille d’une poigné de mains et d’un sourire qui en fit des envieuses. Une jalousie se fit naître au creux du cœur d’Andrianna, et elle maudit cette ancienne amie d’avoir perturber ses pas de danse, ce qui aurait bien pu tout autant plaire au professeur que celle de cette enfant.


pas fini, ma seule âme qui vie en moi... L'écriture
Revenir en haut Aller en bas
 
chaire de sang dansant...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Sang et Neige [Key]
» Malaise ...Chute ...Sang
» Entre Lune et Sang [PV]
» De sang froid (Halewyn)
» Douce brise et bouche en sang!

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MÉFAITS ACCOMPLIS™ :: Corbeille :: &&. GALERIES ET CREATIONS-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser