Le Chemin...

Une jeune femme au visage doux et sensuelle passa au coté de plusieurs personnes. Dans cette humeur de gaieté, elle avait requiers quelques petites choses à aller acheter dans se coin du chemin de traverse. La plupart du gent humains n’aimait pas cette endroit blafard.

Une femme au nez crochu l’interpella et lui serras la mains amicalement. La femme la regarda de haut et su qu’elle ne devait rien faire, que de passer son chemin et de faire enfin sont emplette pour repasser au travers de se décors morose et attristant.

Elle rentrait dans un endroit, et trouvait le marchand caché sous soin bureau entrain d’épousseté faussement les articles qui s’y trouvait. Il devait caché un des rares articles au pouvoirs grandiose, mais elle avait elle aussi se petit quelques choses spéciale à acheté.
Elle frappa sur le comptoir, fessant remonter avec un sursaut l’homme absorbé par sa besogne. Elle lui assigna son nom et l’home partie dans l’arrière boutique. Il revenait un miroir dans la mains. Il l’enveloppa dans un papier kraft, et lui donna après que la jeune femme donna le montant pour l’objet et un surplus pour son silence.

Elle sortit de l’endroit quand un homme au allure plus digne que les autres passa à ses coté. Elle aurait bien mordu son index, mais les mains pleine, se tic ne pouvait pas se faire.
Elle pressa le pas, pour arriver à sa hauteur. Elle resta en retraite derrière lui ne voulant commencer la discutions avant d’avoir bien assimilé l’homme à ses devant.

Elle mit ses yeux verts émeraude, et ses cheveux s’allongèrent. Un pas plus pressant, elle le dépassa, et regarda ses actions du coins de l’œil.
Par cette abstinence de regarder devant elle, elle perdit pieds, et allait s’écraser au sol, quand la vieille femme de tantôt, la retenait et regarda l’objet que la femme choyait en ses creux de bras.

Elle remercia la femme, et détournait pour aller au coté du jeune homme s’obligeant de commencer la discutions.

-Bonjours…

Aussi vague que cela pouvais avoir l’air, ceci donnais tout son sens pour cette femme au connaissance grandiose sur le sujet qu’elle aspirait de tout ses port.

Elle trouva sont interlocuteur très renfermé de ne pas commencer la discutions, mais cela ne ferais qu’une meilleur façon de débuter en beauté avec cette homme.

-Je m’appelle Catharina, et vous? Cela pourrait être vue déplacé, mais que faite vous dans cette allée blafarde et mal vue, seul de grand téméraire vienne s’y aventurer.

Elle prenait le pas ne voulant pas perdre sa proie plus que bien trouvé dans se monde de laideur qui se dégageait aux alentour d’eux. La vieille femme regardait toujours la femme et se mit à faire un rire en coin, comme s’y elle savais se que le futur préservait à la jeune femme, mais ceci, elle ne le sauras jamais.
D’autre yeux curieux les suivaient, et des paroles se donnait au oreilles les plus crasseuse, ramenant les yeux sur eux.
Ils fessaient mauvais décors dans celui de la laideur.
Cath mis son capuchon sur sa tête trouvant le temps qui allait bientôt se mettre à pleuvoir.

-Vous devriez vous couvrir, le ciel fait de même.

Sous sa cape, ses cheveux changea pour une teinte de châtain brun, qui était pour se qui allait tomber sur Londres. Même ses yeux se brouillera de gris légèrement mêler à son vert émeraude. Sa robe volait au grès du vent qui savais levé, que la pluie se mit à couler finement sur le bas, et remontant à chacun de ses pas sous celle-ci. La pluie coulait, et il arrivait à l’entre baille de l’entrée ou sortie de cette endroit. Avait elle autre chose à lui dire, avait elle le goût d’avoir une discutions plus élaboré avec cet homme, tout dépendait de lui, que voulait il faire, la trouvait elle assez conviviale^pour continuer leur discutions dans un bistro, ou simplement tout en marchand sous la pluie, il n’avait pas l’air de l’homme qui ose, mais elle était de ses femmes qui va au devant de tout, et elle se tourna vers lui avec un sourire qui lui bridait les yeux et mordit ses lèvres avant toute chose.

-Voudriez vous continuer cette discutons dans un endroit plus sec, ou simplement marcher sous la pluie et attraper un bon rhume?

(hj- désoler de t’avoir fait attendre…)

Cath vit que l’ homme essayait de mettre un brin d’humours à leur discutions, et lui fit un sourire en coin, tout se qui lui restait après ses rire frivole qu’elle avait délaissé au matin. Il avait répété son geste en jetant une capuche noir sur sa tête, juste avant que la première gouttelette tombe au sol.

-Nous devrions aller à un endroit sec et chaud, venez par ici, il a une taverne déjà ouverte.

Elle avait prit les devants de leur discutions, et maintenant de l’endroit ou ils allaient bavarder entre adultes. Elle entrait que de la fumer de cigarette sortait et qu’elle toussota un peu. La senteur lui avait prit en pleine gorge donnant un mal fou à respirer. Elle secoua la mains devant elle, et se dirigea à tâtons vers une table. Elle entrepris d’enlever son capuchon, puis de détacher le bouton qui gardait la cape près d’elle. Elle la fit voler pour la placer sur le dossier de la chaise. Elle avait fait bien soin se rapprocher le plus près possible de la cheminer ou un feu crépitait mollement.
Elle vit une femme qu’elle connaissait, et lui fit un signe de tête pure et simple de politesse. L’autre fit voler ses cheveux derrière, et envoyer un baiser volé à Cath qui le prit avec plaisir. Que de bonté dans de si bonne personne. La femme les regarda du coins de l’œil, et sourit malignement en voyant le jeune laisser la femme l’entortillé comme l’araignée avec ses proies.

-Alors, vous ne voyez pas d’inconvénient de partir la conversation, avec un bon cognac, par la suite débuter sur le sujet de l’entreprise.


Un homme moustachu arriva, et prit la commande, repartant au loin pour préparer les breuvage.

-Alors, ou travaillez vous, moi je suis serveuse au Wizfun, un endroit plutôt sympathique. Plus précisément dans la boite de nuit. Si un jour vous y passer, n’oublier pas de venir me dire un petit coucou.

L’homme revint avec les boissons, et plaça les deux au milieu, elle n’y toucha pas regardant celui que le jeune homme devant elle allait préféré.