Qui s'y frotte s'y pique ! (Pv William) Terminé

Arya était tranquilement affalé dans un fauteuil de la salle commune, lorsqu'elle entendit un bruit caractéristique provenant de son dortoir. Immédiatement, elle jeta un regard a ses camarades pour vérifier si quequ'un avait remarqué quelque chose. Bien, personne ne tiquait. Elle se leva, s'excusant auprès de ses amis, et prit la direction de sa chambre. Elle savait avant même d'entrer ce qu'elle allait y trouver, et en poussant sa porte, elle vit immédiatement qu'elle ne s'était pas trompée. Sur son lit se tenait une chouette d'un noir de geais. C'était celle de son frère, et elle avait a sa patte une lettre et un petit paquet. Un large sourire s'élargit sur ses lèvres. Il y avait pensé. Certes avec quelques jours de retard, mais ce n'était pas grave. Elle savait qu'il n'avait pas beaucoup de emps pour lui, du fait de ses obligations. Elle s'aprétait a ouvrir la lettre, lorsque ses camardes de chambres la rejoignirent. Elle cacha immédiatement la lettre dans une de ses poches, ne voulant pas partager ce moment. Elle se leva pour sortir, mais une de ses camarades lui demandât:

Tu vas ou Arya ?

La vipère: Faire un tour.

Je peut t'accompagner ?

La vipère: J'ai pas besoin de chaperon.

Elle lui jeta un regard qui voulait tout dire, et pressat le pas, sans aresser la parole a personne.

Arrivé aux abbords du lac, elle se posa dans un coin a l'abris des regards, et déchirat l'envellope, déposant le paquet sur ses genoux.



C'était court, elle tait un peu déçut, car elle aurait aimé avoir de ses nouvelles, mais elle savait qu'elle n'avait pas son mot a dire. Elle se jeta sur le paquet qu'elle déchirat sans ménagement. Ele découvrit une petite boite, dans laquelle se trouvait une chaine avec un petit pendentif en forme de coeur. Elle y découvrit un petit loquet Elle ouvrit le coeur, et y découvrit une photo d'elle et de son frère d'un côté, et de l'autre était gravé: "A ma soeur que j'aime par dessus tout." Un large sourire s'affichat sur son visage, et elle l'attachat autour de son cou. Elle entendit alors des bruits de pas approcher. Elle vit apparaître le visage d'un beau jeune homme qu'elleconaissait plus que bien. En tems normal, elle aurait été ravi, de le voir pour pouvoir s'amuser un peu, mais elle n'était pas d'humeur. Elle s'adressat alors a lui d'un ton froid.

La vipère: On peut jamais être tranquille ici ?

Euh laisse moi réfléchir.... NON

William. Pourquoi fallait il qu'il vienne ici maintenant ? Se moquant totalement que la jeune fille n'avait pas besoin de sa présence, il s'assit a ses côtés. elle poussât un soupir d'exaspération.

Alors tu fesais quoi ? Laisser moi devenez dit-il en fesant mine de réfléchir. Tu penser a moi bien sur. Dit-il sur un air arrogant et sûr de lui.

Non mais quel toupet ! Il avait donc l'impression qu'il n'esxistait que lui sur terre. Elle se rapellait déjà leur première rencontre. Il était déjà aussi imbu de lui même, mais allait savoir pourquoi, il lui avait plu. Comment pouvait on résister a ses beaux yeux, et se sourire ravageur. ils avait passé une soirée très agréable la dernière fois qu'ils s'étaient retrouvé ensemble, mais ça s'était arrêté là, comme toujours. Arya n'avait d'amour a donner a personne d'autre que son frère, c'était la raison pour laquelle elle ne s'attachait jamais aux autres hommes. Pourtant, cette soirée, là, il s'était montré sous un autre jour. Il était beaucoup plus doux qu'a l'accoutumé, et cela lui avait fait bizarre. Que cachait donc cette carapasse ?

La vipère: Tu est tellement narcissique William, tu ne changeras jamais. J'ai d'autre chose a faire que penser a toi a longueur de temps.

Elle lui adressât un ourire des plus fau cul. Elle aurait aimé percer se mystère, mais elle savait que le jeunne homme n'était pas un tendre. Il avait des idées bien arrêtée qu'elle n'appréciait pas. Non mais il croyait quoi ? Il espérait la refaire tomber dans ses bras ? ca n'était jamais arrivé avec ses autres conquètes, et ce n'était certe pas avec lui qu'elle récidiverais l'expériance. mais comment résister a se charme envoutant. Arya chassât ces idées de sa têtes, cachant ses sentiments derrière des parloes aussi froide que de la glace.

La vipère: Ce que je fait, cela ne te regarde pas, et ça ne te concerne pas chéri. Alors vas voir ailleur si j'y suis.

Elle entreprit alors de ranger sa lettre dans sa poche, pour la mettre a l'abris des regards indiscrét, mais un coup de vent violent la lui arrachât des mains, et elle s'envolât pour attérir sur les genoux du jeune homme.

La vipère: Non !!

Arya sa précipitât sur le petit papier qui avait tant de valeur a ses yeux mais qui était pourtant si peu de chose. Un mot de son frère était plus précieux que tout autre chose sur cette terre.

Tu sait ce n'est pas beau de mentir.

C'était vraiment pas croyable. il n'arrêtait donc jamais. Arya trouvait son comportement détestable, pourtant elle du réprimer un sourire, qui avait faillit apparaître sur son visage. elle savait que quoi qu'elle dise, William n'en démordrais pas, c'était encré en lui, il était persuadé que chaque filles vivant sur terre ne pouvait lui résister. Est-ce qu'elle avait pensé a lui ? Oui, elle ne pouvait pas le nier. mais l'avouer ? Non, elle considèrerait cela comme une défaite. Cela la déstabilisait quelque peu, car a par son frère, elle n'avait jamais apprécié un homme avec plus que de l'amitié. En fait, ce qui lui plaisait chez lui, c'était sa façon de se croire irrésistible, de penser qu'aucune fille ne pouvait lui résister. Mais ce qu'Arya savait, c'est que ce que l'on désire le plus, c'est que l'on as du mal a obtenir. Elle allait donc se laisser désirer.

Pour toute réponse, elle lui adressat un regard équivoque, il comprendrait ce qu'il voudrait. Seulement, il ne savait pas qu'elle n'était pas prête a se livrer a lui. Elle l'avait déjà fait une fois, mais a cette époque là, elle avait été plus faible qu'aujourd'hui. Elle avait crut percevoir une faille dans ce beau jeunne homme, c'était a croire que lorsqu'il se retrouvait dans l'intimité, il n'était pas le même, il abaisaait ses barrières, et c'est ce qui attirait Arya. Connaître celui qui se cachait derrière sa facade.

" Ailleur " ne me semble être un endroit agréable à visiter. Ton " chéri " préfére resté avec Miss-Je-suis-Enervé-j'Ché-pas-Pourquoi.

Arya lui rendit son sourire hypocrite. elle lui avait demandé de partir, mais elle espérait au fond d'elle qu'il resterait, et c'est ce qu'il fit. Bien, elle était ravi, cela prouva que la jeunne fille exercait tout de même un petit pouvoir d'attraction sur lui, peut être infime, il ne devait même pas s'en rendre compte lui même, mais cela lui suffisait pour l'instant. Arya voulait essayer d'aprivoiser ce beau jeune homme, certe ce serait une chose difficile, mais elle était persuadé qu'elle finirait par y arriver.

La vipère: A votre guise, Monsieur-je-me-croit-irrésistible.

Elle lui adressât en retour un de ses sourires. Elle n'aimait pas forcément cette manie qu'il avait de donner des surnoms a rallonge a tout le monde, mais c'était William, il fallait le prendre comme il venait. Lorsqu'elle le vit attraper sa lettre, elle fondit sur ses jambes afin de la récupérer. C'était personnel, et elle savait qu'il n'allait pas la manquer.

Hey Prinprennelle, j'allais pas te la manger ta lettre... le papier c'est indigeste.

La vipère: Quel dommage, tu aurait pu t'étouffer avec, ça aurait été plutôt drôle a voir, j'aurait pu m'exercer pour mon cour de sortilège, ou bien te laisser là agonisant. Une grande perte pour toute les filles de cette école.

Elle soufflait intérieurement, il n'avait pas eu le temps de lire...

Qui est Yon ? Ton psycologue particulier ?

*Et merde.*

En effet, merde. Pourquoi avait il fallut qu'il lise. C'était beaucoup trop confidentiel. Elle savait que lui parler de Yon, serait l'équivalent de se livrer a lui, de s'ouvrir, chose qu'elle ne voulait surtout pas. Une fois livrée, elle serait une proie beaucoup trop facile a attraper. Cette question l'agaçait, mais a la fois, elle le réjouissait. s'il avait vu marqué Yon, c'était qu'il avait vu marqué je t'aime. Etait ce une simple question banale, ou celle ci cachait une certaine jalousie. Elle ne mettrait pas longtemps a le savoir.

La vipère: Oh, Yon ! C'est celui qui me fait dire que l'on peut trouver 10 fois mieux que toi sur cette terre.

Son regard était dur et froid, mais on pouvat appercevoir comme une étoile dans le fond de son oeil. En effet, Yon était le meilleur, William ne lui arrivait pas a la cheville, et il ne le pourrait jamais. A ses yeux, Jamais aucun homme ne pourrait le surpasser. S'il n'avait pas été son frère, elle lui aurait passé la corde au cou depuis belle lurette. William était tout de même un bon prétendant a cette issue, mais elle ne se l'avourait pas avant un bon moment.

Lorsqu'elle lui donnât un de ces surnoms débile qu'il attribuait a tout le monde, il semblât outré. Ah monsieurs n'aimait pas qu'on lui fasse ce qu'il faisait aux autres, c'était intéressant, Arya tenait une corde sensible du jeune homme, et elle ne s'en priverait pas.

Je ne croit pas irréstible, faut voir la vérité en face, je le suis. Et c'est William chérie, pas Mr Machin-chose.

La vipère: Pff ! D'accord j'arrêtes Monsieurs susceptible... fit elle en plassant sa main devant sa bouche, Oupss, ca m'as échappé, mais ne me donne plus non plus de surnom débile et j'en ferait de même.

Des paroles envoyée en l'air, cela ne servait a rien de lui demander, elle savait qu'il insisterait d'autant plus. Cela risquat même de l'énerver, recevoir un ordre d'une femme ne dvait pas être dans ses habitudes. Il était donc si susceptible que sa. La parfaite description du macho en puissance.

A choisir je préféreré m'étouffer avec ta langue, j'aurai peut-être le plaisir de la mordre.

Une parfaite répartie. Apparemment, ils étaiet fait pour s'entendre. Avec un mouvement de sourcils charmeur, elle se mordillât la lèvre, ce qui signifiait je n'attend que ça, essaye donc. Elle le vit alors s'avancer vers elle, comme s'il allait l'embrasser Elle ne bougeât pas, le laissant faire. Après tout, ce n'était qu'un baiser, rien de bien important. Mais au moment ou leurs lèvres allaient se rencontrer, il se retirât brusquement, la laissant sur sa faim. Il affichait un sourire satisfait sur ses lèvres. Elle le lui ferait regrétter en temps voulut.

Non enfin de compte j'ai mieux à faire, tout les filles de l'école m'attende.

La vipère: Enfoiré !!

Elle le poussât, lui tournât obstinémet le dos, et rangeât la lettre de son frère qu'elle venait de récupérer dans son décolleté, a l'abris des mains balladeuses. Elle était bien décidé a l'ignorer, sa dernière phrase n'étant pas des plus douces pour le jeune homme. Mais il ne s'arrêtât pas la.

Ah ok, donc Yon est une fille ! Dommage que tu soie lesbienne moi qui te trouvait si jolie.

Elle se retournas illico. S'en était trop, il insultait son frère, sa eule raison de vivre. Il allait le lui payer. Elle était cependant flattée de savoir qu'il la trouvait jolie, mais la colère supassé le reste. Elle laissât alors échapper un mot qu'elle aurait préféré garder pour elle.

La vipère: Ne parle pas de mon frère comme ça.

Son regard était noir. Non seulement, elle venait de se dévoiler, mais en plus elle ne supportait pas qu'on parle de son frère ainsi. Il allait le regrétter. C'était le moment de lui faire payer ce qu'il avait fait en faisant semblant de l'embrasser. Elle le plaquât alors violemment au sol, et avant qu'il n'ait eu le temps de faire un seul geste, elle approchât rapidement son visage du sien, et déposât un baisé sur ses lèvres. Ells étaient douces et fraîches comme la rosée du matin^^. Elle écartât son visage de quelques centimètres avant de lui dire:

La vipère: Tu voit, on ne joue pas avec moi, j'obtient toujours ce que je désire. Ca t'apprendras que ce n'ai pas toujours toi qui décide.

En fait, c'était plus une tentative pour faire oublier le fait qu'elle avait parler de son frère, et elle savait que le fait de lui avoir volé un baisé allait l'énerver au plus haut point. Sur son visage apparut a son tour un sourire satisfait, mais elle ne bougeât pas, et restât penchée au dessus de lui.

La vipère: Pff ! D'accord j'arrêtes Monsieurs susceptible... fit elle en plassant sa main devant sa bouche, Oupss, ca m'as échappé, mais ne me donne plus non plus de surnom débile et j'en ferait de même.

Pff comme s'il allait écouter ce que lui demandait un fille .Un homme un vrai ne se laisse pas dicter sa conduite par une femelle. S'il voulait lui donné des surnom débile, il le ferait et s'était surement elle qui allait lui en empecher.

- Appelle moi comme tu vois j'm'en fiche, tant qu'tu m'appelle, moi sa me vas dit-il sur se ton toujours aussi provocateur.

Lorsqu'il fit semblant de l'embrasser la réaction de la jeune fille le fit jubilé, elle le traita de salaud et lui ne pût s'empecher de rire. Il adoré être victorieux dans se genre de jeu. Elle le poussa alors violamentMiss-Véxé se retourna, elle semblait boudé, tant pour elle. En levant les yeux, il l'aperçut rangeait la lettre dans son décoletté. William se demanda si Miss Frustré cacher autre chose dans son décoletté que de simple bout de papier. Il l'a matta légèrement, aprés tout c'était un homme et c'était un réflexe naturel. Lorsqu'il lui parla de Yon, la Serpentarde semblait trés énervé. Hum, intéréssant il avait trouvé son point faible.

La vipère: Ne parle pas de mon frère comme ça.

Frère ? Ah il savait bien qu'il ne pouvait pas s'agir du petit ami d'Arya, elle n'avait d'yeux que pour lui. Arya regarda le jeune homme d'un regard noir, et lui la regarda toujour en souriant, un sourire trés attirant mais trés agaçant également. Puis soudain, sans que le jeune homme s'y attende, il se retrouva plaquait au sol, avec la petite Provocatrice sur le torse. Et elle l'embrassa, il l'avait oublier qu'elle embrassait aussi bien. Mais il avait horreur de se faire embrasser de force. Le baiser fini, elle se trouvait toujours au dessus de lui. Il mit ses main derrière son cou, comme s'il était sur une plage prés à faire bronzette.

- J'aurai dût me rappeller que tu préféré cette position là, tant qu'tu es sur moi j'préfère encore q'tu gigotte.

William n'aimait pas du tout que Miss-Je-suis-la-Plus-Forte soit sur lui. Certe il aimait être proche d'elle et pouvoir sentir sa respiration sur lui, mais il aurait préféré être dessus. C'était lui l'homme, c'était à lui de dominer.

La vipère: Tu voit, on ne joue pas avec moi, j'obtient toujours ce que je désire. Ca t'apprendras que ce n'ai pas toujours toi qui décide.

Ah ça non, elle se tromper lourdement. William n'était pas un vulgaire objet sexuel.

- Ce que tu désire ? Il ne pût s'empecher de rire. Je te signale que c'est moi qui voulait t'embrasser, c'est moi qui DESIRAIT t'embrassé, et toi comme un idiote tu es tombé dans mon piège, tu t'es fait avoir comme une débutante, c'est moi qui obtien toujours ce que je veux.

Rapidement, il posa ses deux main sur les hanche de la Serpentarde. Cette dernière ne s'y attendait pas, il n'eut donc pas de mal à la faire pivoter en lui agrippant les hanches. La situation était à présent inversé, Arya était au sol et William était sur lui. Il lui maintient les mains au sol pour l'empecher de se relever. Etant un homme et donc plus fort qu'elle et plus lourd, elle était à sa merci et il aurai pût faire ce qu'il voulait d'elle.

Mais il était véxé qu'elle le considère comme une chose et n'avait donc plus envie de jouer. Il l'as regardant en souriant l'oeil pervers pendant qu'elle se débatter sous lui. Puis il se leva et tendit sa main à Arya pour qu'elle se relève. Connaissant le mauvais caractère de Miss-Soumisse, William s'attendait à un refus où un mauvais coup de sa part.

- Si tu me fait tombé je te pose des question sur Yon . Ok ? [/b]

Appelle moi comme tu veux j'm'en fiche, tant qu'tu m'appelle, moi sa me vas.

Sa provocation ne le laisserait jamais tombé. Il trouvait toujours le mot a dire, et réussissait toujours a renchérir avec facilité. Pour la plupart des personnes, cela devait être un dur travail de réflexion, mais chez lui, cela semblait tout naturel. Seulement, en face de lui, se trouvait Arya. Et il n'était pas au bout de ses peines avec elle. Il était macho, et ne supportait pas de recevoir un ordre d'une femme, mais elle ne le supportait pas venant de la part d'un homme qui n'était pas son frère. Ils étaient là, tout les deux, tellement identiques et différents à la fois. Chacun ne voulant pas se laisser faire par l'autre. Pourtant, il faudrait bien que l'un des deux cède un jour, elle savait que lui ne le ferait pas, et si elle voulait le garder pour elle, il lui faudrait faire des concessions, mais il devrait en faire aussi. Elle le savait au fond de lui, c'était un coeur tendre, mais il fallait creuser profond avant de le trouver, et elle le découvrirait. Pour elle, c'était comme une sorte de mission à accomplir. Une simple mission, qui allait se retourner contre elle, car elle était loin de réaliser quelques sentiments qu'elle éprouverait pour lui deviendraient au fur et a mesure beaucoup plus intense et réels, au point de devenir la femme dont il rêve.

Cependant, nous n'en somme pas encore arrivé là, et pour l'instant, l'épisode du baiser lui restait en travers de la gorge. Non mais pour qui se prenait il, on ne se refuse pas a elle comme il l'avait fait, mais elle obtiendrez ce qu'elle voulait tôt ou tard. Et, ce fut plus tôt que tard. Elle était maintenant penchée sur son torse, son visage tout près de celui du jeune homme, ses yeux ne le quittait pas. Elle avait fait cela pour se venger, mais maintenant qu’elle était là, elle n’arrivait pas détacher son regard du sien.

J'aurai dût me rappeler que tu préféré cette position là, tant qu'tu es sur moi j'préfère encore q'tu gigote.

A ses mots, elle essayât de se reprendre. Que lui arrivait il ? Elle avait le souffle court, et une légère torsion au niveau de l’estomac, comme si elle avait apprécié ce moment, pourtant, elle aurait du détester cela. Mais non, ce ne pouvait être cela, elle n’avait pas mangé ce matin, et elle devait tout simplement se sentir faible. Cependant, elle gardât son expression froide, et réussit à lui démontrer qu’il ne pouvait pas tout diriger. Elle lut immédiatement sur son visage que cela ne lui plaisait pas, mais il se mit aussitôt à rire.

Ce que tu désires ? Je te signale que c'est moi qui voulait t'embrasser, c'est moi qui DESIRAIT t'embrassé, et toi comme un idiote tu es tombé dans mon piège, tu t'es fait avoir comme une débutante, c'est moi qui obtiens toujours ce que je veux.

Non mais quelle idiote. Et elle, sans ouvrir les yeux, elle avait foncé tout droit dans le gouffre. Alors comme ça, il avait désiré l’embrasser, c’était un bon point pour elle, bientôt, il la désirerait tout cours. Elle allait répondre, mais, elle sentit les mains de William se poser sur ses hanches. Frissons. Avec une rapidité implacable, il fit changer la situation. Arya pouvait sentir l’herbe dans son dos, mais elle n’appréciait guerre. Le jeune homme était à son tour sur elle. Elle tentât de se relever, mais celui-ci lui maintenait ses mains au sol. Elle avait beau se débattre, elle ne pouvait bouger. Elle faisait tout de même la moitié de William, et sa force n’en était que diminuée. Arya pris soudain conscience de sa faiblesse. Elle pouvait lire dans ses yeux qu’elle était à sa merci. Son sentiment était partagé entre l’envie et la peur. Il la regardait d’un œil qui en disait long, et un sourire s’élargissait sur son visage. Un sourire malsain. Elle tentât a nouveau de bouger, mais rien n’y faisait. Elle se sentit soudain libéré. Il se relevât, et lui tendit la main, afin de l’aider a se relever. Alors c’était fini, leur petit jeu s’arrêtait là. Elle tentât de reprendre sa respiration, car son souffle cour était revenu, ainsi que la légère torsion au creux du ventre. Pour elle, cela ne signifiait rien, elle préférait donc passer outre.

Si tu me fait tombé je te pose des question sur Yon . Ok ?

Elle le fixât d’un œil amusé. Comment avait il pu deviner ce qui allait l’attendre. Il semblait vexé, et il paraissait qu’il ne veuille plus s’amuser. Bien, mais elle comptait bien reprendre ce jeu un peu plus tard. En attendant, il était hors de question qu’il lui pose des questions sur Yon. C’était son jardin secret, et il n’avait rien à savoir. Elle le fixait toujours, mais consenti a lui tendre sa main. Dans sa tête revenait les instant torrides qu’ils avaient passés ensemble. Elle secoua sa tête, comme pour chasser cette idée de sa tête, et lui fit un sourire.

La vipère : Essaye, et tu risque de te retrouver a nouveau en position inconfortable pour toi.

Le simple fait qu’il l’aide à la relever, devait flatter son ego, mais elle s’en moquait. Après tout, c’était ce qu’il attendait d’elle, et si elle voulait le percer a nue, il lui faudrait bien agir dans son sens. Elle s’approchât lentement de lui, les yeux fixés sur les siens. Elle avait ce regard intriguant qu’on ne pouvait déchiffrer. Elle se mordit la lèvre, et reculât a nouveau d’un pas.

La vipère : Alors c’est fini, on joue plus ensemble ? C’est dommage, j’appréciait beaucoup ta compagnie.

Arya savait qu'elle n'avait aucune chance s'il réagissait a ses menaces. Il était beaucoup plus fort qu'elle physiquement. mais au niveau magique, cela restait encore a prouver. Elle était très douée, et était sure de pouvoir le battre a la loyale. Mais rien n'y fesait, il semblait s'obstiner a ne rien dire. Lorsqu'elle s'approchât de lui pour le fixer, elle sentit comme un changement chez lui. ce qu'elle voyait dans ses yeux, c'était le William qu'elle avait connu le temps d'une soirée. Mais elle y lisait aussi de la peur.

Tant pis, je ne suis pas une souris et tu n'est pas un chat.

Il ne semblait pas apprécier son regard, et sans un mot, il se retirât, et partit en direction du chateau. Mais a quoi jouait il. Ce type était vraiment compliqué, il ne supportait pas que l'on veuille être plus fort que lui, et quand on rentrait dans son jeu, il aimait encore moins. Elle le fixât s'éloigner, hésitant entre le laisser faire, car après tout, a la base elle avait souhaiter rester seule un moment, et le retenir en le provoquant. C'est alors qu'il se retournât.

Je te l'ai déja dit j'ai des choses à faire.

Non mais quel culot ! N'était ce pas lui qui était venu pour l'emmerder ? Et maintenant, monsieur se la jouait: excuse moi j'suis très occupé." Il n'en fallait pas plus a la vipère pour réagir. Elle le rattrapât et arrivé dans son dos, elle le poussât violemment.

La vipère: Non mais pour qui tu te prend. Si tu avait tant de chose a faire, alors pourquoi t'est venu me saouler.

Elle ne le lachait pas de son regards bleu acier qui a présent exprimaient sa colère. Elle se plaçât face a lui, afin qu'il comprenne bien les mots qu'elle allait lui dire.

La vipère: Tu sait quoi Slayer ? Je sait ce que tu est. Tu n'est qu'un froussard, tu n'as rien d'autre a faire, mais tu t'en vas parce que tu as peur. Peur de quoi ? Que je découvre qui est le vrai William Alex Slayer.

Elle eclatât alors d'un rire cru, sans le moindre ressentiment.

La vipère: Mais si tu savait combien je m'en balance. T'as raison après tout, barre toi, j'ai pas besoin d'un perdant a mes côtés.

Elle le fixât un instant de son regard intense, et se détournât a son tour. Elle savait qu'elle avait visé juste. le Serpentard serait piqué au vif, elle avait visé son ego, et il ne le supporterait pas. il serait obligé de répondre, ou il savait qu'il passerait pour le perdant qu'elle prétendait qu'il été. Et cela, elle le savait il ne l'accepterait jamais. Elle prenait le risque de le voir retourner sa fureur contre elle, mais elle préférait pour l'instant l'avoir énervé a ses côtés, que loin et qu'il admette sa défaite, car il descendrait alors en flêche dans l'estime de la jeune fille.