DCFM: orlando

La porte s'ouvre devant vous, Lareless, à côté d'elle, ne dit pas un mot, vous invitant simplement d'un geste de la main à entrer, Un corridor obscur se perd dans les ténèbres devant vous. Une torche, à gauche, sur son socle, est la seule source de lumière. Vous pouvez voir les petites traces par terre d'une multitude de rats avec les crottes qui vont avec, ainsi que la trace de quelque chose de plus gros et de non-identifié.

Une fois que vous avez passé la porte, celle-ci se referme avec un grincement sinistre. Plus question de faire marche arrière.

Ce qu'il y a ici, vous l'apporterez.

Est-ce que je dois vraiment aller là dedans...

Lareless ne réagit pas tout de suite. Son frère lui fait honte par cette seule question. Une chance qu'Aurus n'assiste pas à ca. La jeune femme est d'une parfaite justice. Ce n'est pas parce qu'il est son frère qu'il devra s'en sauver.

La voix grave et chaude de Less, aux intonations du sud, est claquante comme le fouet.

Vous n'êtes pas obligé, ca dépend si vous voulez déshonorer votre maison ou non.

Il ne veut déshonorer sa maison s'est claire dans sa tête mais il ne voulait pas vraiment faire se cours et aller dans le labyrinthe... il avait le sentiment atroce qu'il ne devait pas aller là... mais il se résolue et passe la porte

Il avance vers la torche et aussitôt la porte se referme... il se retourne lentement, la porte l'avait surpris mais il n'avais eu presque aucune réaction sauf sa respiration qui avait accélérer un peu...

-décidément... s'est différent la deuxième année... pourquoi il fallait absolument que j'aille un sentiment de culpabilité si j'allais pas au cours...

Orlando donne un coup de pied sur une crotte sécher et fixe le chemin sombre devant lui...

-Qu'est-ce que ma soeur peut bien avoir préparer pour les élèves... j'entends aucun élèves crier ou marcher.... s'est peut-être bon signe... je suis peut-être seul... aaa mais pourquoi je parle comme ça a haute voix... si seulement j'avais un coéquipier...

Orlando décide de commencer à avancer sa main droite dans une de ses poches dans sa robe... Après avoir tourner un coin... il se rend compte qu'il fait vraiment noir... et il a la sensation que le cours ne consiste pas seulement a marcher dans le noir... Il prend sa baguette dans sa poche et la mets devant lui

-Pourquoi encore un cours pratique quand je suis limiter dans mes mouvements... s'est injuste... peu importe... commençons par faire de la lumière

LUMOS!

Le bout de sa baguette se mets à briller suffisamment pour qu'il puisse voir à une courte distance devant lui... et voir les formes un peu plus loin... Étant donner la grande noirceur... lorsque sa baguette se met à briller... il est légèrement éblouit demandant un certain temps a sa vu à se réhabituer...

Il allait pouvoir bientôt voir quelques chose dans le noir... malheureusement il n'avait pas penser qu'il était devenu très visible en même temps.

Au bout, dans une cage, une forme massive... Le bruit d'un halètement se fait entendre, ainsi que celui d'un tapement rythmé.

Au fur et à mesure qu'Orlando avance, la sombre forme se dessine, manifestement c'est un chien, un très gros chien même.

Un aboiement joyeux acceuille le jeune griffondor, suivit d'un gémisssement pitoyable. Le tapement rythmé atteint une vitesse incroyable. C'es Hess, le grand danois bleu de sa soeur. Manifestement, il est enfermé et en piteux état. Quelqu'un la probablement battu.

La voix de sa soeur s'élève dans le corridor. Il peut voir la déception dans le ton de celle-ci.

Vai a lasciarti un cane dettarti il tuo condotto Orlando?
(tu va te laisser un chien te dicter ta conduite Orlando?)

Elle n'est visible nulle part, mais il peut sentir sa présence attentive.

Che è ciò che padre penserebbe di te... Se ne ha dei tanto grosso al vigneto. Sollevati! Non sei un birichino moldu senza difesa!
(Qu'est ce que père penserait de toi... On en a des aussi gros au vignoble. Lève-toi! Tu n'est pas un gamin moldu sans défense!)

Une silhouette fine de bipède se découpe brièvement dans l'ombre tandis que deus émeraudes opalescentes fixent le jeune homme un bref instant avant de se refondre dans l'environnement ambiant. .