Un bar londonien et enfumé ^^ (RP perpétuel)

Lareless n'aime pas la tournure des événements. A l'air de Kaitz, Mikomi a encore faite des siennes... Quand va-t-il s'paercevoir qu'elle le manipule? Plus il va passer de temp sous sa botte, plus elle aura a ramasser un petit tas de Kaitz à la cuiller quand elle se sera lassée de lui. En amie cependant elle se tait. Ce n'est pas à elle de critiquer les fréquentations de celui-ci.

D'un air expert, elle attire les deux hiboux à elle. Discrètement, elle leur paie ce que les deux hommes ont oublié.

-Waouh je peux toucher? Aie!

Ces hiboux sont dressés pour ma seule main, je te conseille de ne pas les toucher. Ils étaient venus me voir comme à chaque soir.
D'un geste discret mais tendre, elle les renvoie.

Elle est décue un peu, Ahenael semble toute chose lui aussi. Bah, de toute facon, il ne l'aurait certainement pas touchée et ellee st assez bonne joueuse pour ne pas insister. S'il a a revenir, il reviendra. En attendant, elle a a ramasser leurs conneries. Au moin payer le barman avec du fric de moldu avant qu'il n'appelle les vigiles. Elle se relève, la robe noire luisant indécemment sous la lumière de la pise de danse. Prenant ses béquilles, elle se dirige vers le bar et sors un billet de 100 dollars. Ces dernières économies moldues. L'argent prévu pour son épicerie. Heureusement, elle est à Poudlard maintenant.

Ca vas Ahenael, c'est sur mon compte... J'aimerais avoir la monnaie exacte je vous prie. Ne serais-ce que pour avoir la joie de contempler de si beaux yeux...

Elle sourit mystérieusement au barman, détournant son attention et de la monnaie et d'Aphrodite.

Quelque chose de connu fit un effet d'un déclic dans la tête d'Harkaitz lorsqu'elle lui dit son prénom, mais il fut incapable de dire en quoi son impression ne lui était pas méconnue. Son instant de réflexion, un peu ralentie par l'alcool permit au barman d'avoir un instant d'avance sur lui. Mais Kaitz était un compétitif, il n'allait certainement pas se faire damner le pion par un jeune blanc bec, même s'il avait un certain potentiel. Kaitz approuve, les dire du barman, non sans renchérir.

- On dit que les dieux et déesses sont éternels. Je ne serais pas étonné qu'elle soit Vénus en personne. Elle est descendue de son Olympe pour venir éblouir quelques mortels ? Il s'appuie contre le comptoir, le coude sur la surface, le menton dans la main et il fixe Aphrodite sans ciller, le regard brillant. Pourquoi avez-vous croisé ma route, jolie déesse ? Est-ce la volonté des dieux que je ne puisse plus jamais fermer l'oeil ?

De son côté, le jeune barman cherchait désespérément une tirade pour poursuivre, mais il n'en n'eut pas la chance. Au fond, derrière la comptoir, trois bouteilles d'alcool éclatèrent. Il chercher rapidement Mélo du regard, mais elle est visiblement occupée plus loin, elle ne semble même pas avoir entendu. Léo n'a pas le choix, il doit aller nettoyer tout ça. Kaitz admire toujours Aphrodite, il a à peine bouger. Le barman s'excuse et les quitte. Kaitz, lui jette un rapide regard, puis sourit. Il hoche la tête.

- J'avoue, j'ai triché, c'est ma faute, j'ai fait exprès. Est-ce condamnable comme attitude ? Je ne pouvais faire autrement, il tentait d'attirer votre attention et il a presque réussit. Je ne pouvais pas le laisser faire, voyez-vous. Il aurait été incapable de vous portez l'attention que vous méritez. Il bosse, tandis que moi, je suis libre de toutes responsabilités. La preuve, il est parti, et moi je suis toujours là.

À ses mots, deux hiboux firent irruption dans le bar par les fenêtres ouvertes. Du regard, il les suit distraitement du regard. Le premier se pose sur l'épaule de Dilly. Pauvre homme, qu'a-t-il fait pour mérité d'être ainsi interrompu en pleines festivités ? À son mécontentement et à sa grande surprise, le second hibou choisit une piste d'atterrissage plus large, genre le comptoir et s'arrête juste devant lui. Kaitz grimace et l'ignore simplement. Il se détourne et retourne à sa contemplation d'Aphrodite.

- Je crois qu'il est pour vous...
- J'ai bien peur que vous ayez raison. Il esquisse une moue de dégoût, mais n'esquisse aucun geste pour décharger le volatile de sa missive.
- ... vous... vous ne la prenez pas ?
- Je suis occupé, il peut attendre, réplique-t-il sans cesser de la fixer, un sourire aux lèvres.
- Oui, d'accord, j'ai saisit le principe, dit-elle en riant.
- Vous me croyez si je vous dit que j'aurais préféré l'ignorer ?
- Oui, je vous crois, fait-elle en désignant l'oiseau du menton.
- Visiblement, vous m'incitez à faire le contraire de ce que je viens de vous affirmer. Kaitz se redresse et esquisse un geste vers l'oiseau. Celui-ci tend le bec. Vous m'y obligez ? Aphrodite opine du chef, Kaitz grimace. Je devrez me faire pardonner ce manquement à ma parole.
- J'espère bien, réplique-t-elle, le regard brillant

Le sourire de Kaitz devient rayonnant. Elle a décidément un quelque chose qui ne manque pas de lui plaire. Il ne sait pas encore ce que c'est exactement, mais elle le provoque délicieusement. De quoi le charmer.

Il détache la lettre et l'ouvre. Il parcours avec attention tous son contenu, les sourcils froncés, mais un sourire en coin sur les lèvres. Sa lecture terminée, il remet soigneusement la lettre dans l'enveloppe, puis la plie et la range dans la poche arrière de son jeans. Il reporte son regard sur Aphrodite et sent le besoin de s'expliquer.

- Des nouvelles d'une.... bonne amie.

Évidemment, il ne peut s'empêcher de jeter un regard vers Nahel qui a aussi un hibou à ses côtés. Est-ce que ça pourrait être une lettre de Mikomi aussi ? D'ailleurs, celui-ci s'approche et lui fait presque une déclaration d'amour. Ouais, pas de doute, la lettre vient de Mikomi. Mais bon, l'idée dans son ensemble n'est pas bête... ne plus faire de rivalité ouverte... ça pourrait être une possibilité... mais il y aura toujours une rivalité entre eux. Mikomi en était la source. Mais bon, faire un effort, ne pouvait pas nuire. Cependant, c'était difficile à accepter sur le coup, surtout que Dilly venait de parler de « l'amour que nous lui portons » en présence d'une demoiselle qu'il tente de courtiser... même en toute innocence, Dilly arrivait à l'agacer. Ça devait être chimique. Quoique Dilly semble soudainement s'en rendre compte. Il se présente en tant que fauteur de trouble. Kaitz roule des yeux.

- Effectivement, t'as le chic pour me mettre dans une situation délicate... mais bon, j'devrais être habitué depuis le temps... alors, j'en déduis que nous avons eu une lettre de la même. Il sourit bêtement. Je me demande si elle sait pour nous deux, Dilly.

La situation lui semble si risible qu'il est prit d'un rire incontrôlable, puis s'arrête soudain.

- Non, elle ne pouvait pas savoir que nous serions tous les deux... même pour nous ce fut un hasard... c'est un hasard... ou... ou elle te fait suivre mon cher Dilly !

Et là il se remet à rire, encore plus que précédemment. Non, la situation est vraiment cocasse de son point de vu. Il retire sa propre lettre de ses poches et la tend à Dilly.

- Allez, faut que tu saches ce que tu as manqué, ajoute-t-il sur un léger ton de provocation, mais qui semble tout de même amicale.

La tentative du barman pour marquer des points auprès d'Aphrodite semblait avoir donné à Kaitz l'esprit de compétition et l'envie de fermer le caquet à son jeune rival. Sa réponse sur la déesse Vénus était la simple réponse au compliment du barman mais plus élaborée... Aphrodite le regarda avec un joli sourire et vit du coin de l'oeil le jeune barman dépité face à son adversaire.

"Pourquoi avez-vous croisé ma route, jolie déesse ? Est-ce la volonté des dieux que je ne puisse plus jamais fermer l'oeil ?" dit alors Kaitz, une phrase qui peut faire craqer n'importe qui... Soit il était un pro de la drague, soit il était sincère et il était sous le charme d'Aphrodite. Elle regardait son beau regard brillant et semblait ne pas pouvoir s'en détacher. Elle répondit d'une voix douce, mais assez forte pour qu'il puisse entendre malgré la musique et les bruits ambiants avec un sourire mi innocent ni coquin.

"Je ne sais si ce sont les dieux qui l'ont envoyé, et je ne suis point une déesse, mais si vous ne pouvez fermer les yeux, je pourrai vous aider à passer ses longues heures..."

Se rendant compte de ce qu'elle venait de dire, elle se mit à rougir un peu mais ne pouvant détacher son regard de celui du séducteur. Elle ne faisait même plus attention au jeune barman blasé de s'être fait blousé ainsi par Kaitz, le bruit de verre la fit un peu sursauté et elle regarda Léo aller le ramasser. La phrase prononcée par Kaitz à ce moment là montra que ce qu'Aphrodite pensait était vrai... C'était lui qui avait fait tomber les bouteilles pour éloigner le jeune Léo... Elle rigola en le regardant, un rire joyeux et mélodieux...

"Vous me flattez trop cher Harkaitz, je ne pense pas mériter tant d'attention, même si cela me touche. Et oui vous avez raison, il est parti et vous non..."

Entre temps Dilly se déplaçait dans le bar d'un pas plus que chancelant lorsqu'un hibou int se poser sur son épaule manquant de le faire tomber... Un second hiboux vint se poser juste devant Kaitz qui fit une moue dédaigneuse.

"Je crois qu'il est pour vous..."
"J'ai bien peur que vous ayez raison." Il esquisse une moue de dégoût, mais n'esquisse aucun geste pour décharger le volatile de sa missive.
"... vous... vous ne la prenez pas ?"
"Je suis occupé, il peut attendre" réplique-t-il sans cesser de la fixer, un sourire aux lèvres.
"Oui, d'accord, j'ai saisit le principe" dit-elle en riant.
"Vous me croyez si je vous dit que j'aurais préféré l'ignorer ?"
"Oui, je vous crois" fait-elle en désignant l'oiseau du menton.
"Visiblement, vous m'incitez à faire le contraire de ce que je viens de vous affirmer." Kaitz se redresse et esquisse un geste vers l'oiseau. Celui-ci tend le bec. "Vous m'y obligez ?" Aphrodite opine du chef, Kaitz grimace. "Je devrai me faire pardonner ce manquement à ma parole."
"J'espère bien" réplique-t-elle, le regard brillant.

Le sourire de Kaitz ravissait encore plus Aphrodite. Bien qu'elle n'aimait pas trop les séducteurs qui ne passaient leur temps qu"à draguer toutes les nanas qu'ils croisaient, quelque chose en celui ci l'attirait, un charme spécial, une aura, un charisme... Elle ne savait trop quoi. Elle le regarde lire la lettre avec attention, espérant secrètement que ce ne soit pas une de ses amoureuses qui l'enlèverait à elle.

"Des nouvelles d'une.... bonne amie." précisa-t-il alors à la jeune femme alors que Dilly vint presque s'affaler sur elle.

"Pour l'amour que nous lui portons..." Ainsi ils aimaient la même femme tous les deux... Aphrodite détourna le regard tandis que les deux hommes se parlaient, un voile triste passa dans ses yeux, mais elle essaya de garder sa constence. Le dernier venu se présenta alors comme un empécheur de tourner en rond... apparemment Kaitz était d'accord avec cette définition... Il se mit à rire en parlant cette femme avec Dilly.

Aphrodite se sentit mise à part de cette discution, elle regrettait de l'avoir obligé à lire cette lettre. Elle se retourna vers le bar et regarda les serveurs afférés avec des clients, et Léo avec la mystérieuse sorcière, amie de Kaitz. Elle fit apparaitre un nouveau verre qu'elle but en silence avant de sortir un parchemin. Elle commençat à écrire dessus, elle avait un article à préparer pour le prochain journal... quels potins allaient être à la une cette fois ci ?

Le barman lui ayant rendu sa monnaie et étant dans un rush, Lareless retourne lentement vers la table. Quand Haenahel pa prend et la traine sans cérémonie, titubant, vers la piste de danse.

Lareless est une danseuse hors pair... Sans béquilles. Elle se laisse conduire par Nahel qui semble avoir... oublié son petit problème. Plus que saoul, il semble danser drolement bien pour les moldus, mais la jeune femme sait qu'il est sur le bord de s'écrouler.

Elle se fiche qu'il soit le mec de Mikomi, la jeune femme décide qu'il pourrait fort bien être covnebale s'Il ne tombe pas dans un coma éthylique avant, même s'ils ne baisent pas, son visage au réeveil pourrait être assez cocasse. Car il est certain qu'à la lumière du jour il va la reconnaitre. S'ils le font, elle pourra voir si la légende est à la hauteur de l'homme. Car Ahenael traine une sacrée réputation, même s'il n'arrive pas à a cheville de kaitz. De plus, elle rend service à son ami en lui enlevant l'ex serpentard des pattes

L'odeur d'alcool ne la dérange pas, commencant à en avoir bu quand même pas mal elle aussi.

Elle se lance un sort discrètement, qui fait lever ses pieds à un millimètre du sol. Posant ses béquilles près, elle profite du fait que le poid de son corp ne pèse plus sur sa colonne pour commencer à danser comme seule elle sait le faire. Langoureuse et provocante, elle évolue au rythme de la musique autour d'Ahenael. Elle le touche légèrement, juste là ou il faut pour attiser son ardeur.

Alors... Ahenaêl des projets pour ce soir? murmure t elle doucement et langoureusement juste à l'oreille, le souffle chaud. Elle se colle sur lui de manière suggestive, ses pieds ne touchant le sol qu'à peine.

Elle l'embrasse légèrement dans le cou, juste là ou la veine pulse sous la peau claire.

En parcourant la lettre que Mikomi avait écrit à Dilly, Kaitz ne put s'empêcher d'avoir un sourire plus que satisfait. De son point de vue, il préférait nettement sa lettre à lui que celle de Dilly. Oh bien sûr, elle était plus que parfaite celle de Dilly, mais celle de Kaitz avait un quelque chose de particulier. Kaitz et Mikomi avaient une relation qui n'existait nul part ailleurs. D'ailleurs, aucune des relations de Kaitz n'était banales. Il s'assurait chaque fois d'en faire quelque chose de précieux et d'unique. Et puis, il était visible que Dilly n'était pas du tout susceptible de plaire au père de Mikomi. Cependant, Kaitz avait réussit à allumer une certaine lueur d'intérêt dans le regard du vieil lorsqu'il avait vanté, en exagérant à peine, le prestige des Rocstone. Le charisme de Kaitz pouvait agir sur n'importe qui. Kaitz était bien persuadé qu'il pourrait aller voir Naia et Mikomi quand bon lui semble et démontrer juste assez d'intérêt pour que le père de cette-dernière n'y voit que du feux.

Pendant qu'il termine sa lecture, il entend Dilly qui tente de rassurer Miss Aphrodite sur le sens du mot amour. Il hausse un sourcil et dévisage Dilly. Avait-il vraiment tenté de lui épargner quelques difficultés ? Si l'alcool n'avait pas atténué son sens critique, Kaitz aurait sûrement pensé que Dilly lui préparait un perfide. Mais bon, l'alcool aidant, il croit naïvement que Dilly est ben gentil ce soir, même qu,il est presque convaincue que celui-ci lui a fait un clin d'oeil entendu. Il secoue vivement la tête.

- Oh oui, évidemment, de l'amitié... il en grimace presque tant le mot lui paraît faible, que de l'amitié, pour sa fille et elle, affection parfaitement platonique...

Il n'a pas trop l'air convaincu, mais sourit pour donner du poids à son argumentation. Il laisse Dilly partir, mais fronce les sourcils en le voyant accrocher Less. Si jamais il... humpf... enfin, Less était assez vive pour se défendre... mais quand même.. quel salaud ! * *

C'était étrange de voir à quel point les pensées étaient lentes quand on avait abusé d'alcool. Il lui semblait que tout allait si lentement. Ou peut-être était-ce lui qui était lent. Enfin, ce n'était peut-être qu'une impression, mais à voir Aphrodite griffonner sur son parchemin, elle semblait être concentrée depuis un moment. Combien de temps il s'était passé depuis le départ de Dilly ? Il n'en avait vraiment aucune idée.

Il s'appuie sur le comptoir et l'observe écrire. Les yeux mi-clos, il la détaille. Ses yeux parcouraient le parchemin, y cherchant les lettres. La plume valsait, puis s'arrêtait. Elle avait garder le dos droit, seule sa tête était penchée au-dessus du parchemin. Il était parfaitement perpendiculaire à elle, il avait donc devant lui un profil parfait. L'éclairage mouvant du bar et l'alcool aidant, d'étranges amalgames d'effets d'ombre et de lumière rendait cette vue plus que spéciale. Il suit des yeux le contour du profil d'Aphrodite, suivant l'arrête du nez, caressant du regard la courbe des lèvres, puis poursuivant sous le menton, sur la gorge, puis terminant la descente dans l'étoffe délicate de la robe d'Aphrodite. Il esquisse un sourire lorsqu'il se dit que le meilleur point de vu doit être lorsque, pour prendre une respiration, le baiser se termine, lorsqu'il y a un léger recul et profitant du court instant, il a la possibilité de baisser les yeux. Juste voir une fraction de seconde, puis reprendre le baiser pour avoir le plaisir de reprendre sa respiration quelque temps plus tard.

Toujours appuyé contre le comptoir, il l'observe sans bouger, puis il lui semble soudainement que la musique est bien forte. Se déséquilibrant un peu, il glisse sur le comptoir et se retrouve tout près d'Aphrodite, vraiment très près. Il la dévisage encore un moment, puis quitte brusquement le comptoir et s'éloigne, Il ne va pas très loin, pourtant. Une demi-seconde plus tard, elle peut voir sa main se poser sur le comptoir à sa gauche et le sentir tout près de son oreille droite.

- Vous apporter souvent du boulot dans les bars ou vous aller ? Du bout des doigts, il glisse ses doigts sur l'épaule droite d'Aphrodite. Il suit de ses yeux bleus ses doigts qui découvrent la douce peau. J'avais raison, seule une déesse peut me faire si cruellement languir ?

Il était évident qu'elle tentait de garder son calme. Il savait que c'était une bataille difficile qu'elle menait. Il connaissait depuis longtemps l'impact qu'il avait sur les autres. Il était impossible de rester indifférent à Harkaitz Rocstone. Il en profitait parfois, mais jamais aux dépends des autres... ou que très rarement. C'était un don. C'était ce que sa mère disait avant. Il le croyait. Mais on ne devait pas être égoïste avec un don. Il fallait en faire profiter les autres. C'était ce qu'il s'éfforçait à faire depuis toujours. Et avec plaisir.

Kaitz, c'était évident, aimait provoquer les frissons. Pour lui et pour les autres. Que ce soit un doux frisson ou un frisson de terreur, il en aimait l'effet. Celui qui traverse le corps de la déesse terrestre se répercute comme une décharge magique dans le sien. Il se demande s'il devra longtemps attirer son attention, mais elle se retourne presque aussitôt, au grand plaisir de l'homme.

Elle dégage une impression de timide assurance, ce qui ne manque pas de le faire sourire. Elle est prudente, mais se laisse tenter. Tout pour inciter Harkaitz à poursuivre dans cette voie. Kaitz n'était pas harcelant. Il ne retirait que peu de satisfaction lorsque c'était trop facile, mais il n'aimait pas non plus se prendre la tête en vain et en hésitations. Aphrodite avait hésité avec juste assez de résistance pour être un défi, mais se montrait visiblement intéressée. Comment pourrait-il se détourner à ce moment là, malgré la jolie rousse qui vient tout juste de faire son entrée ? Impossible.

Elle avait pivoté sur son tabouret, mais lui n'avait pas bougé. Ils était donc tout près, très près. Lui, il sourit, un sourire gourmand, le regard brillant.

- Puis-je avoir la prétention de croire que votre boulot n'est pas votre inspiration du moment ? Vous n'êtes pas une cruelle déesse, n'est-ce pas ? Vous faites quoi comme boulot ?

Trois questions coups sur coups. Deux technique de drague, la dernière une véritable question. Le regard de l'inquisiteur intéressé, il reste tout près. Non seulement pour garder une proximité qui fait disparaître tout ce qui les entoure, mais surtout pour qu'il puise entendre ce qu'elle lui répondra.

Aphrodite sentait son coeur battre à tout rompre et avait beucoup de mal à parraitre calme et à cacher ses sentiments. Cet homme dégageait un tel magnétisme qu'il était difficile de ne pas tomber sous le charme... Il savait qu'il provoquait ce genre de réaction et en jouait... Comment pouvait-il abuser de son charme si inpunément ? C'était immoral... C'était aussi une torture pour sa victime... Elle s'était retournée trop vite, se retrouvant entre les bras de Kaitz, tout près... si près... elle n'osait plus bouger... Elle avait répondu en tentant de cacher son trouble mais en même temps elle avait levé les yeux vers ceux de l'homme qui était plus grand qu'elle ainsi assise sur le tabouret haut.

Son sourire ne la rendait pas plus à l'aise. Il semblait avoir deviner le trouble de la jeune femme et s'en amuser. Mais était-il sérieux ? Aphrodite l'espérait tellement. Une sonnerie indiqua que la porte du bar s'ouvrit. Mais qui était entré? une femme ? un homme ? Aphrodite ne le su pas, et ne pouvais même pas le voir. L'homme en face d'elle bouchait sa vision, il était tellement prèt et tellement grand qu'elle ne voyait rien d'autre que lui...

Kaitz posa alors trois questions, dont une seule était une vrai question... En entendant les deux premières questions, Aphrodite se mit à rougir, espérant que la lumière tamisée régnant dans le bar cacherait sa réaction. Elle baissa un peu la tete avec un sourire timide. Elle essaya de répondre aux questions tout de même... d'une voix assez basse au début, elle était à peine plus forte que la musique ambiante, Kaitz devrait tendre l'oreille pour l'entendre...

"Heu... Comment avez vous deviné que ce n'était pas mon inspiration du moment ?"

Elle reprit ensuite d'une voix un peu plus enjouée "Si je suis cruelle ^^ Vous n'avez pas idée de ma cruauté ^^... Et je suis journaliste à la Gazette..."

Derrière le bar, le jeune barman Léo appela, essayant de la soustraire à Kaitz...

"Mademoiselle... ne l'écoutez pas... Je le connais il vient tout le temps ici et drague toutes les nanas qui passent... C'est un coureur... il va vous rendre malheureuse... Mademoiselle..."

Mais Aphrodite ne l'entendait qu'à peine. Elle tourna la tete vers le jeune barman, mais ne pu se retourner sur son siège étant presque retenue par Kaitz. Elle se retrouva presque la tete sur l'épaule du séducteur qui lui avait prit son coeur. Elle ferma les yeux et eut un sourire rayonnant. Kaitz ne pouvant le voir, elle pouvait laisser entrevoir ce qu'elle ressentait et profiter de ce contact. Elle releva la tete vers lui oubliant presque le barman tout ce qu'il y avait autours d'eux.

"Que faites vous comme travail ?" demanda t-elle avec un sourire pour changer de sujet...

Lareless, commencant à être pompette rit. Elle laisse le sortilège doucement se terminer, reprends ses béquilles. La salle de danse ferait un endroit idéal pour le concours de Patronus.

Elle sourit à Ahenael.

Attends ici, je vais aller demander aux autres s'ils veulent bien.

Elle lui donne un baiser ou les vapeurs de l'alcool s'entremêlent, mais Less n'a pas encore trop bu pour perdre l'équilibre, mais assez pour que son jugement en soit altéré. Une caresse pour garder l'homme en condition. Puis elle s'esquive doucement

En temp normal elle aurait trouvé ca de la dernière bêtise, mais ce soirt, cocktail alcool potion oblige, elle trouve ca hyper marrant. Elle s'approche de son ami, coupant la conversation intime qu'il a avec Aphrodite.

Hé Kaitz, Nahel a eue une hyper idée. Un concours de patronus! Tu embarque?

Elle jette un oeil à Aphrodite.

Vous pouvez aussi.

Entendant un chant d'ivrogne, elle tourne la tête et rigole ferme quand elle voit l'ex serpentard dans une parodie de la danse de frach cancan. Une chance que Linus le tient ferme il tomberait sur le dos.

Faudrait se grouiller avant qu'il ne tombe dans le coma... Je n'ai jamais vu son patronus a lui.

La jeune femme était attirante. Très attirante. Elle se laisse courtiser avec un plaisir certain, au grand plaisir de Kaitz. Il se lassait rapidement de celles qui le faisaient attendre trop longtemps et il ne voyait pas l'intérêt de celles qui se jetaient à son cou. C'est pour cette raison qu'il choisissait toujours avec soin celle qui allait avoir la chance de se voir courtisée. Kaitz flirtait sans honte et sans retenue, mais il ne courtisait pas à la légère. Au premier coup d'oeil, il avait décelé ce quelque chose de particulier qui faisait qu'Aphrodite sortait du lot de femmes présentes ce soir. Exception faite de Less, évidemment. Less resterait à jamais sa perfection, c'était indéniable.

Pour mieux comprendre ce que la belle lui répond, il se rapproche encore de quelques centimètres. C'est ce qu'il aime des bars, la musique forte qui favorise les rapprochement. C'était toujours pratique pour les premiers contacts. Bon, ensuite, fallait trouver de quoi à raconter, sans hurler, mais si ça poussait plus loin que la première soirées ça valait la peine. Aphrodite l'assène de réponses idéales. Avec juste assez de moquerie pour être divertissante, mais avec une franchise tout à fait appréciable à la dernière question. La fin de soirée s'annonçait des plus encourageante, jusqu'à ce que le sale petit barman s'incruste. Non seulement, il s'imposait, mais en plus, il mentait ce petit minable ! Kaitz ne venait pas ici tout le temps ! C'était faux ! Bon, il était venu assez souvent dernièrement, mais de là à dire tout le temps, c'était beaucoup dire ! Et puis, il ne draguait pas toutes les nanas... justes celles qui lui plaisait. Parfois il y en avait plusieurs, mais... quand même... c'était pas tout le temps ! Et puis, que pouvait-il dire à propos du malheur des femmes ? Pffff ! Kaitz n'avait JAMAIS rendu une femme malheureuse ! J-A-M-A-I-S ! Au contraire !

Aphrodite tourne la tête vers le barman. Kaitz en profite pour reculer légèrement la tête et baisser les yeux sur le corsage blanc de la déesse. Un regard appréciateur que le barman ne manque pas de voir. Kaits relève les yeux, un sourire moqueur sur les lèvres, l'air de lui laisser savoir qu'il manque quelque chose. Le barman lui adresse un regard assassin, ce qui amuse franchement le tombeur. Elle se retourne vers lui, tout sourire. À ce moment là, Kaitz sait qu'elle a fait son choix. Et voilà, évincé le barman ! Et puis, il a du boulot, lui, il a pas à trop s'amuser, tandis que Kaitz est là pour ça, s'amuser.

Elle lui retourne la question, à savoir son boulot. C'était quoi en fait son boulot ? L'an dernier, il était professeur, cette année, directeur de Poudlard... avant ? Rien, il n'avait presque jamais travaillé... alors quoi répondre à cette question... c'était une question piège dans son cas. Mais bon, il répondra le plus franchement possible.

- Bah.. vous savez, jusqu'à maintenant, j'ai jamais gardé le même boulot plus d'un an... je suis versatile disons. Il émet un rire niais, riant du double sens de sa propre phrase. Pour le moment, je suis superviseur d'un groupe de jeunes adolescent.

Ah, tiens, ça sonnait bien comme boulot, ça. Mais où était-il allé chercher ça ? Il n'en avait aucune idée, mais il n'aimait pas dire qu'il était à Poudlard. Il avait été franc les premières fois, amis on lui avait souvent jeté un regard étrange ensuite. Il avait pas aimé. Plus tard peut-être il préciserait, mais pour l'instant, c'était pas nécessaire.

- Et si j'vous offrais un autre verre ? Nous n'avons plus rien. Ce serait dommage, la nuit est si jeune, non ?

Quelqu'un d'autres impose sa présence, amis cette fois, il semble ravi. C'est Less. Elle est magnifique dans sa robe... ouais, magnifique ! Elle l'invite à une démonstration de leurs talents de patronus .Souriant, Kaitz hoche vigoureusement la tête. C'était amusant, ça !

- Ah, vous voulez vous faire laver ? J'suis partant ! Ça vous dit Aphrodite de nous montrer ce que vous savez faire comme patronus ?
- Bonne idée ! Je vous suis !
- Ah yeah ! Oh, mais avant... Less, je te présente Aphrodite Kassy Créon. Aphrodite, je vous présente Lareless Mainella. Une très bonne amie à moi.

L'expression « bonne amie » sonne étrange... Less était beaucoup plus qu'une amie... mais c'était difficile à saisir pour quelqu'un d'extérieur à la situation... même pour lui, ça n'était pas si transparent... enfin. Il jette un oeil vers le centre et là, il a la surprise de voir Dilly qui danse, soutenu par Linus qui peine en fait à le retenir. Il éclate de rire.

- Je savais pas que Dilly savait danser ! Le temps de prendre un autre verre, Less, et j'vous rejoint.

Il avise la barmaid, pas la peine de piquer le barman quand Aphrodite a fait son choix, et lui indique deux consommation. Elle hoche la tête, la barmaid a parfaitement comprit. Il s'appuie contre le comptoir en attendant les consommations. Il détaille Aphrodite, les yeux mi-clos, un sourire en coin. Elle et très belle dans sa robe blanche. Il y a énormément de jolies femmes et beaucoup de belles femmes. De très jolies femmes encore plus, mais les très belles se font plus rares. Et celle-là est, à son goût, très belle. Et d'ailleurs, il devrait le lui dire. Son sourire de tombeur s'accentue légèrement, puis il se redresse et avance vers elle. Il approche lentement, pour ne pas l'effaroucher. Sans la quitter des yeux, il glisse encore ses doigts sur son épaule et descend lentement jusqu'à sa main, qu'il prend délicatement.

- J'espère que vous portez très souvent cette robe. Il lui adresse un autre de ses sourires à faire fondre un glacier, puis enchaîne rapidement. Que diriez-vous si on impressionnait ces amateurs en les prenant par surprise ?

Sans vraiment attendre de réponse, il fait quelques pas vers le centre, mais ne s'approche pas beaucoup. Un mouvement brusque de la main et il prend sa baguette en main. La notion de ce qui est faisable en publique ou non s'est totalement éteinte. Les seules personnes présentes dont il se préoccupe sont sorciers, donc le fait qu'ils sont en ce moment dans un bar moldu ne lui effleure même plus l'esprit. Une légère concentration, un mouvement vif et une formule à peine murmurée. Un éclair blanc surgit du bout de sa baguette, faisant sursauter presque tout le monde. Un nuage argenté est expulsé et prend rapidement la forme caractéristique d'un superbe cheval à la crinière hérissée. Fier, le cheval avance au petit trot en secouant sa crinière de manière qui se veut une menace. La forme équestre argentée avance vers Less, puis se lève sur ses pattes arrières. Les sabots translucides battent l'air, puis retombent vers le sol, sans y toucher. Un coup de tête pour ébouriffer la crinière et le cheval fait demi-tour, semblant toujours parader, cette fois la tête haute.

Kaitz semblait un peu troublé par la question d'Aphrodite... Elle ne pensait pourtant pas avoir posé une question piège... Lorsqu'il répondit elle comprit pourquoi il hésitait, il était versatil... Aphrodite rigola avec lui. Superviseur d'un groupe de jeunes adolescent... Belle formule pour parler de son boulot. L'esprit d'annalyse de la jeune journaliste se réveilla alors et elle réfléchit à ce que pouvais faire ce séducteur. Etant sorcier, superviseur d'adolescents, Rockstone... Elle avait déja entendu ce nom... c'était dans un article parlant de Poudlard et du nouveau directeur de Poufsouffle... Le beau et populaire directeur... Ils ne s'était pas trompé... Il était vraiment populaire... et mignon...

Il lui proposa un verre, c'était une bonne idée, Aphrodite était en train de se déshydrater, surtout avec l'ambiance de chaleur qui régnait avec le corp de ce charmant Kaitz tout près d'elle, si près. Mais quelqu'un rompit le charme, la jeune femme aguicheuse devant laquelle Kaitz bavait. Aphrodite était frustrée de cette interruption, mais ne le laissa pas paraitre et fit contre mauvaise fortune bon coeur lorsqu'il lui proposa de se joindre à eux pour un concours de patronus.

"Ah, vous voulez vous faire laver ? J'suis partant ! Ça vous dit Aphrodite de nous montrer ce que vous savez faire comme patronus ?"
"Bonne idée ! Je vous suis !" répondit-elle avec un sourire
"Ah yeah ! Oh, mais avant... Less, je te présente Aphrodite Kassy Créon. Aphrodite, je vous présente Lareless Mainella. Une très bonne amie à moi."
"Enchantée Miss Mainella... Ravie de vous connaître."

Kaitz se mit alors à rire et Aphrodite suivit son regard... Elle vit alors Dilly danser, si on pouvait appeler ca danser tellement il était bourré, avec un des amis de Kaitz. Elle aussi se mit à rire.

"Le temps de prendre un autre verre, Less, et j'vous rejoint." dit alors Kaitz à son amie.

**Pas trop tot... Allez zou va-t-en et laisse moi profiter un peu** pensa Aphrodite en souriant.

Kaitz commande des boissons à la barmaid. Il s'est éloigné un peu pour aller s'appuyer sur le bar. Il est encore près... mais déja trop loin pour elle. Elle sent qu'il la détaille, elle sent son regard sur elle et un sourire se dessine sur ses levres. Elle tourne la tete pour le regarder... Belle vision... Son sourire... Il la fait craquer... Le sourire d'Aphrodite devint lui aussi plus charmeur alors qu'elle regardait cet homme.

Ca y est... il revient... il s'approche d'elle... Elle allait enfin pouvoir être près de lui encore une fois... Elle le regarde s'approcher, et sent ses doigts sur son épaule. Il a les mains douces, et chaudes. Elle ne quitte pas ses yeux du regard et profite de ce contact de ses doigts qui descendent jusqu'à sa main. Sa main dans la sienne... ce contact lourd de sens... Aphrodite est aux anges... Elle s'était juré de ne pas craquer sur lui... mais il était trop tard, il lui avait volé son coeur. Et ce sourire... Rhaaa la toture pour résister.

Toujours tenant sa main, Kaitz l'emmène vers le centre, à quelques mettres du bar et lance un patronus de toute beauté... un bel étalon... Aphrodite était impressionnée. Elle s'approcha de lui, tenant toujours sa main, et posa l'autre dans le dos de Kaitz... Elle se colla contre lui et lui souffla à l'oreille.

"Beau Patronus... Monsieur le Directeur de Poufsouffle"

Elle lui fit un beau sourire et lacha sa main. Elle était toujours collée contre lui et sortit sa baguette. Elle murmura à son tour "Spero Patronum" et un nuage argenté sortit également de sa baguette. Le nuage prit la forme d'un pégaze et alla paradé comme l'étalon de Kaitz. Les deux équidés argentés se rapprochèrent l'un de l'autre, se touchant presque.

"Nos patronus semblent s'apprécier ^^" dit alors Aphrodite en rigolant.

Quand le patronus de Kaitz fait ses sparages devant Less, la jeune femme ne bouge même pas le petit doigt pour éviter les sabots, elle sait que de toute facon il ne lui fera aucun mal. C'est de la bravade pure et simple.

Le pégase d'Aphrodite apparait, entamant une danse équine avec l'étalon de Kaitz.

Une jument ailée et un étalon membré... Je ne sais pas pourquoi, mais je crois savoir ce qui va se passer.

Elle éclate de rire, ne prêtant pas attentions aux moldus éberlués qui se tiennent sur le rebord de la piste.

mettons un peu de sauvagerie dans le lot.
Elle sort sa baguette.

Spero patronum!

Une panthère immense, fine et racée, jaillie de la baguette. Elle se glisse avec délice entre les pattes de l'étalon, jouant avec lui. Comme de vieilles connaissances.

Les moldus, effrayés par cette apparition, commencent à hurler et à se précipiter vers la sortie. Toujours sous le rire de Lareless.

S'appuyant sur une béquille, elle fait volte face. Les joues rosies par le plaisir et l'alcool elle regarde Aphrodite et Kaitz. Le regard vert semble percer a jour l'âme de la journaliste.

Il y avait chez cette journaliste un quelque chose d'inédit pour lui, quelque chose qu'il n'avait jusqu'à maintenant trouvé nul part ailleurs. Un rien de provocation gardé sous une certaine réserve que l'alcool avait affaiblit. Et elle était très belle. Elle se serre contre lui, d'elle-même, sans qu'il eut à l'attirer plus que de prendre sa main. Une attirance réciproque, une chimie catalytique qui réagissait entre eux.

- Beau Patronus... Monsieur le Directeur de Poufsouffle, lui glisse-t-elle à l'oreille.

Ainsi elle savait ? Comment avait-elle fait ? Oh, elle était journaliste, elle devait être au courant de presque tout ce qui pouvait se passer, donc le nom devait lui être connu. Elle n'en avait rien laissé paraître jusqu'à maintenant, pourtant. La belle journaliste lance le sien, une magnifique jument ailée. Il aurait dû s'étonner de la ressemblance, mais il ne l'est pas vraiment. Si leurs pouvoir positifs s'incarnait dans à peu près la même créature, ils devaient être très près l'un de l'autre. Tous deux semblables, un mélange de force et de grâce, plus aérien chez elle, un peu plus fringant chez lui.

- Nos patronus semblent s'apprécier, rigole Aphrodite.

Ravi, Kaitz délaisse la parade des deux équidés pour plonger son regard azur dans le regard sombre de la belle.

- Comme moi, il apprécie l'exceptionnelle beauté.

Le sourire de Kaitz s'estompe, mais le regard se fait plus chaud, l'azur devient mers du sud, chaleureuses, invitantes. Une voix lui fait tourner le regard de sa contemplation. Less, qui intègre sa panthère au jeu des deux chevaux. Évidemment, Kaitz ne peut faire autrement que de lancer son étalon à la poursuite de la panthère. Il a vaguement conscience que quelque chose cloche en entendant crier et en étant un peu bousculé, mais il ne s'en soucie guère. Il saisit à peine ce qui se passe autour d'eux.

Une chaise vole et s'écrase de l'autre côté du cercle. Percutant quelques moldus qui fuient et ratant de peu Linus et Dilly. Cherchant d'où ça vient, il voit un moldu, terrifié, en proie à la panique s'attaquer aux patronus. Une autre chaise vole, directement en direction de Less. Kaitz réagit au quart de tour. Soufflée par un jet coloré de sa baguette, la chaise bifurque et s'écrase contre un mur. Voyant la provenant du jet coloré, le moldu s'énerve encore plus et comme il a trouvé la provenance de de ce qui lui fait peur, il attaque d'une autre chaise volante, mais lancée de plus près, avec plus de force. Mais cette fois, Kaitz le voit venir et il réplique avant que la chaise ne quitte les mains du moldus. Un autre jet coloré, lancé avec force percute la chaise au moment où celle-ci quitte la main pour retourner avec puissance vers son expéditeur. La force du sort envoie chaise et homme valser beaucoup plus loin et se perdre sous les tables.

Aujourd'hui c'était Nicolas Marsden qui assurait la surveillance au niveau de l'utilisation de magie par des mineurs, de l'abus de magie et la sorcellerie en présence de moldu. Bref rien de bien passionant. Généralement ce n'était que des gamins qui découvraient leur pouvoirs et il fallait après nettoyer les dégâts et donner une explication par rapport au monde magique à des avortons de sept ans qui ne comprenait pas la moitié de ce qu'on leur expliquait, et encore il ne se passait pas souvent quelque chose. La dernière fois Nicolas était resté toute une nuit seul dans les bureaux du ministère à surveiller ça avec pour seul compagnie un oubliator légèrement à la masse quand il y avait quelque à exécuter. Les rumeurs allaient bon train par rapport à la nomination de William en tant qu'oubliator et la plus probable disait qu'en fait, il était le cousin de la soeur par alliance de la belle-fille du frère d'une femme qui était la veuve d'un homme haut placé, ou quelque chose comme ça. Ca sentait la corruption à pleins nez et une fois de plus, Nicolas allait passer une bonne partie de sa journée en compagnie d'un oubliator incapable qui ne respectait même pas ses ordres quand ils devaient intervenir. Une pure merveille.

Nicolas s'apprêtait à faire un château de carte avec des cartes qui explosaient le château toutes seules quand il y eut une alerte au bureau de la brigade magique. De la magie utilisée en présence de moldus, dans un bar londonnien.

*Bizarre, d'habitude les enfants sorciers ne vont pas dans les bars... Peut-être que... Peut-être que...*

Cela ne pouvait être que ça. La grosse affaire qui couronnée de succès ferait avoir à Nicolas sa promotion. Il pensa un instant à laisser William au ministère pour récolter seul les lauriers mais il se résigna. Si vraiment il avait une parenté avec des gens hauts placés, cela lui apporterait des problèmes plus qu'autre chose de le planter là.

"William! On y va! On a une utilisation de magie dans un bar londonien, prend ta baguette on transplane dans deux minutes!"

"Hein mais... Je n'ais pas finir de lire mon journal moi!"

"Tu prend ta baguette tout de suite et on y va!"

Nicolas avait rugit tellement fort que l'oubliator avait sursauté sur sa chaise. Il pris sa baguette sans discutter davantage, l'air effrayé de voir autant de violence décjainée contre lui. Décidément, les oubliators n'étaient plus ce qu'ils étaient, vivement qu'il ait sa promotion, comme ça il n'aurait plus à travailler avec dce blanc-bec de William. Ils tranplanèrent tous les deux directement dans le bar. Après tout, si on avait déjà utilisé de la magie, ce n'était pas un transplanage de plus qui allait aggraver les affaires. Ce que vit Nicolas dépassa ses rêves les plus foux... Ou plutôt ses cauchemars. Il y avait des moldus qui criaient dans tous les coins et qui s'enfuyaient, des patronus volaient joyeusement dans le bar et certains moldus se retrouvaient avec une queue de cochon ou des moustaches de souris. Des chaises volaient et explosaient dans un feux d'artifice de couleurs. Et à côté de tout cela, des sorciers plus très très frais -même complètement cuits- dansaient joyeusement en envoyant des sorts à droite à gauche.

"Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel..."

Dans toute sa carrière, Nicolas n'avait jamais vu un tel foutoir et elle resta un moment immobile, abasourdi. Il reprit quand même ses esprit au bout de quelques instant et il murmura à William:

"Tu va chercher des renforts tout de suite! Le plus de monde que tu pourra, même le ministre s'il n'y a pas assez d'homme, compris?!"

Pour une fois l'oubliator ne discuta pas un ordre et il partit sans dire un mot, laissant Nicolas dans le pire chaos impliquant des moldus qu'il n'avait jamais vu.

Aphrodite profitait du spectacle féérique qu'apportait les patronus. Une danse majestueuse entre une belle jument ailée et un bel étalon. La chaleur du contact entre la jeune femme et Kaitz aidait à cette ambiance féérique... Sentant le regard de l'homme sur elle, Aphrodite détourna elle aussi le regard de la danse fantomatique des équidés pour se noyer dans les yeux du charmeur.

"Comme moi, il apprécie l'exceptionnelle beauté."

Aphrodite allait répondre mais ses paorles se perdirent avant d'avoir franchi ses levres. Elle se noit dans les yeux troublants de l'homme, les mers du sud l'attirent, elle se sent fondre...

"Kaitz..." un souffle sort enfin de ses levres... le seul mot qu'elle arrive à prononcer... Mais une voix interpelle Kaitz et coupe ce moment unique... toujours la même voix... la voix de la jeune femme en robe sexy...

Déçue, Aphrodite soupire un peu et retourne son regard vers le balet des patronus. La panthère de Less était venue s'ajouter à la danse... puis le loup de Dilly. Beau ballet du plus bel effet... mais qui ne semblait pas plaire aux moldus qui devenaient de plus en plus appeurés et aggressifs... Même Kaitz réagit de plus en plus aggressivement. S'étant un peu éloigné d'elle, il envoit des sort contre les chaises lancées par les moldus... Un de ses sorts est même si puissant qu'il en fait véritablement exploser une... Un des morceaux assez gros fonce alors droit sur Aphrodite, la percutant à l'épaule. Le morceaux ayant été envoyé avec force et étant plutot pointu du fait de la façon dont il a explosé, il provoque sur l'épaule d'Aphrodite une large et assez profonde coupure. La robe blanche de la jeune femme commence à se teinter de rouge, le rouge de son sang. Un cri s'échappe de ses levres...

"Aiiie ..." Elle porte la main à son épaule en tentant d'arreter le sang qui coulait... "Aoucht..."

Elle s'accroupit en rgardant ce qu'il se passe... les larmes aux yeux... Son épaule la lance, elle a mal mais essait de se montrer forte... Elle espère qu'aucun autre projectile ne l'atteindra... Elle s'éloigne peu a peu de la scene pour se protéger...

Mais parmi le spectacle ahurissant qui a lieu, elle voit deux hommes apparaitre à côté de Kaitz... Les autres ne les voient pas, mais Aphrodite se doute qu'il s'agit de personnes appartenant au ministère et chargés de réguler les abus de la magie... Argl... Ils allaient se faire coffrer... L'un des deux a disparu... Sans dout pour aller chercher du renfort... La jeune femme le voit à l'air stupéfait et horrifié de l'homme... Aphrodite se relève et s'élance vers Kaitz, se tenant toujours l'épaule, la robe de plus en plus rouge... Elle fait une grimace lorsqu'elle bouge... Elle arrive auprès de Kaitz et essait de le pousser... Kaitz peut sans peine, sans même retourner la tete, voir la main pleine de sang d'Aphrodite dont elle se sert pour le pousser...

"Il faut partir... Fuyez... Il y a des gens du ministère... Vous allez vous faire arréter... Partez !!!"

Se disant Aphrodite pousse Kaitz vers la sortie, mais elle se prend les pieds dans des débris de chaise et tombe...

Lareless voit l'expression d'Aphrodite quand une écharde grosse comme un pieu lui effleure l'épaule. Le sang tachant la robe blanche est nettement visible.

D'une voix commencant à devenir pâteuse.

Viens Nahelchou... On va aller la soigner. Et après je te ferai dégriser d'une facon que tu te souviendra

D'un geste expert, elle cache sa baguette à sa place habituelle. (je dirai pas ou, si vous la trouvez, alors tant mieux, mais je vous refilerai pas l'indice. ) Prenant Ahenael par la taille, sa béquille de l'autre bord, elle supporte autant le mangemort qu'il la supporte.

Elle s'en va donc d'une démarche titubante aller aider la conquête d'Harkaitz quand un charmant jeune homme lui apparait devant les yeux.

Excusez-moi, vous me barrez le chemin.

Le pivot fait par l'oubliator lui donne le vertige. Celui-ci peut lire, dans le regard de la sorcière aux pupilles dilatées, qu'il y a eu un mélange d'alcool et de potion analgésique. Manifestement, elle n'a plus totalement conscience de ce qu'elle fait.

Un coup de Nahel lui rappelant sa présence finit de la déstabiliser. Diversion parfaite pour Aphrodite et Harkaitz, elle a un haut le coeur qui finit en flaque de vomis puantes en plein sur les pompes de l'oubliator.

Une chance que Nahel la retient, elle devient subitement pâle. Comédie ou vraiment mal de coeur? Je dirais un peu des deux. Elle sait en face de quoi elle se retrouve. Le regard furtif qu'elle lance à son pote juste après avoir vomit, encore penchée en deux, lui fait clairement comprendre de se barrer.

(faut savoir que personne n'a averti Less des effets d'un tel mélange alcool/potion, sinon elle se serait abstenue).

- De rien, Dilly.

Kaitz adresse un sourire entendu à Nahel lorsque celui-ci le remercie de manière fort peu habituelle... entre eux du moins. Il jette un regard vaguement amusé sur la scène, des moldus qui deviennent porteur d'attributs d'animaux. C'est plutôt amusant. Il se souvient qu'à l'école, une fois... il n'a pas le temps de retourner plus loin dans ses souvenirs, il voit du coin de l,oeil une autre chaise voler vers lui. Non mais ils vont finir par l'énerver ces moldus ! La chaise vole en éclat, jetant ses débris un peu partout. Kaitz profite de la brève stupéfaction du moldu pour lui coller une solide droite et de faire reculer d'autres qui s'approchent, la mise mauvaise, d'un éclair doré. Autant l'agressivité monte chez les moldus effrayés, autant celle parfaitement combative de Kaitz monte d'un cran. Il ressent soudain ce frisson d'excitation qui le parcourt chaque fois que ça devient dangereux.

Il est bien prêt à sauter sur le moldu pour lui en foutre une lorsqu'il entend un claquement qui sonne comme un son très connu à son oreille. Quelqu'un vient de transplaner. Il se demande bien d'où sa vient, qui est parti entre eux ? Dilly, il est encore là, même qu'il s'approche avec Less. John aussi il est là, et la très belle journaliste aussi. D'ailleurs, celle-ci se jette soudainement sur lui et le pousse. L'alcool aidant, il ne résiste même pas à la poussée. Elle le prévient que des types du ministère sont là. Poussé par Dite, il remarque sa main tachée de sang, il la prend dans la sienne, et se se met en route vers la sortie. Cependant, il s'arrête lorsqu'elle se prend les pieds et tombe. Il l'aide à se relever et c'est là qu'il remarque que la blanche robe de la très belle Aphrodite est aussi pleine de sang.

- Et merde, qui t'as fait ça !? lance-t-il d'un ton agressif, presque possessif, oubliant du même coup toute notion de vouvoiement. J'vais lui en foutre une solide à celui qui...

Un peu plus loin, il voit Less vomir, puis lui lancer un regard qu'il connaît bien, qui veut dire clairement « tire-toi, j'me débrouillerai » et il sait pafaitement bien que c'est vrai. L'alcool aidant plus ou moins, des tonnes de liens se créent dans la tête de Kaitz. Il y a urgence, il sent toujours cette pointe d'excitation que provoque en lui le danger. N'ayant pas lâché la main d'Aphrodite, il vient pour se précipiter vers l'extérieur lorsqu'il se souvient de Linus et Simon. Pas question de les laisser là, ils vont se faire jeter des sorts d'oubliettes et il n'est pas question que ses meilleurs amis, aussi moldus soient-ils subissent ça.

- J'vais les chercher !

Il n'en dit pas plus, il n'a pas le temps. Il fonce droit vers Linus et Simon, qui se sont retrouvé avec JohnnyPo. Ils n'ont visiblment rien remarqué.

- JonnhyPo. Ya de la brigade, on se tire. V'nez les gars, ça chauffe.
- On s'en va ?
- Oui, vite !
- Mais on a...
- Les flics !
- ARG !

Kaitz empoigne ses deux copains et les pousse devant lui, John avec. Étonnamment, ils se dirigent assez rapidement vers la sortie. Mais brusquement, Kaitz se sent propulsé vers la droite.

- Ah non, encore toi ! Fout moi la paix, merde !

Il reçoit un coup à l'estomac et se plie en deux. C'est encore cet imbécile et tenace de moldu.

- Argl...

Les deux bras enserrant son propre abdomen, Kaitz laisse échapper une flopée de jurons, tout en tentant de reprendre son souffle. Il voit John revenir sur ses pas, baguette à la main. Il n'en attend pas plus et fonce droit sur le moldu et le percute à son tour dans l'estomac. Ils reculent tous les deux et foncent dans un amas de table.

- John, tu les sort d'ici sans te retourner ! Allez ! J'leur ai dit samedi au domaine ! File !

John obéit, fait demi-tour et agrippe les deux moldus et ils passent la porte extérieur. Kaitz en profite pour foutre quelques baffes au moldu et de bien l'écraser contre la table. Il tente de se tirer une fois de plus, mais le moldu n'a visiblement pas dit son dernier mot, il le retient fermement. Kaitz se retourne et tente de se libérer, mais en vain. Il agite sa baguette.

- Tu l'auras voulu sale cr... argl !

Une lourde masse se retrouve soudainement sur ses épaules. Sous la surprise et le poidds et la perte d'équilibre, il est incapable de rester debout. Il s'écroule et perd du même coup sa baguette qui roule plus loin. C'est pas grave, il a connu pire, et ils sont que deux... mais bon, lui, il sait qu'il a trop bu. Encore une fois, il reçoit un coup en plein estomac. Le souffle coupé, il tente de se dégager, ce qu'il réussit plutôt bien, il est même presque debout, lorsque que le premier moldu lui colle un coup de poing en pleine face. Il recule sous le coup, portant ses mains à son visage, il sent le sang affluer de son nez. À travers les larmes involontaires causées par la douleur, il entrevoit un autre mouvement qu'il juge menaçant. Il l'esquive en se redressant un peu, le coup le frappe à l'épaule et bifurque vers la mâchoire, perdant la moitié de sa force. C'est à son tour de recevoir une masse dans le ventre et de percuter violemment une table. Mais lui, il a assez de réaction pour saisir le type par le bas de la chemise et de la relever par-dessus sa tête et de le pousser plus loin. Il passe sa main sous son nez. Merde, il saigne du nez. Il va tacher sa chemise. Avant que le moldu puisse se remettre sur ses pieds et se dépêter de sa chemise, il le pousse une nouvelle fois et balance un coup au second moldu, l'envoyant lui aussi dans les tables.

- Arg ! Saloperie de mer...

Une autre flopée de jurons s'échappe des lèvres de Kaitz tandis qu'il se tient la main dont les os on douloureusement craqué sous le coup.

Kaitz aide la belle à se relever après sa chute et remarque la tache de sang sur sa robe. Apparemment cette vue le fait réagir et le rend agressif...

"Et merde, qui t'as fait ça !? J'vais lui en foutre une solide à celui qui..."

Il ne finit pas sa phrase et part en direction de la sortie avec Aphrodite. Sa cheville lui fait mal et elle retient un petit cri de douleur, elle s'ent probablement foulé la cheville... Rhaaa satané chute... Elle n'a même pas le temps de répondre à Kaitz que celui ci est déja parti pour faire sortir ses amis moldus avec l'aide de l'autre sorcier. John et les moldus sortent sans trop de problème alors que Kaitz est agrippé par des moldus avec qui il avait eu une altercation peu avant. Et voila que commence une bagarre entre Kaitz et deux moldus...

La jeune femme était rerombée à terre, sa cheville lui faisant trop mal pour rester debout... Voyant la bagarre, elle essait tant bien que mal de se relever... Elle y parvient grace a une chaise encore intacte et d'une table. Kaitz semble mal en point, les moldus s'acharnent sur lui... Aphrodite veut aller l'aider mais elle a du mal à marcher...

"Kaiiiitz !!!"

L'homme parvient enfin à se dégager des moldus... mais il semble amoché... Il est chancelant, sans doute l'alcoll aidant, le nez en sang... Il semble si concentré sur sa main qu'il ne voit pas les autres moldus foncer sur lui... Aphrodite ne peut le laisser comme ça... Elle doit l'aider... Prenant appui sur la table elle avance vers lui... mais les moldus sont déja sur lui...

"Kaiiitz Attention !!!" crie-t-elle... mais il ne semble pas réagir assez vite pour les esquiver...

Elle sort alors sa baguette et vise le premier moldus...

"Incarcerem !" et le voila ligoté par des longues branches de plantes sorties de nulle part... Un en moins...

Elle pointe alors sa baguette vers le deuxième...

"Petrificus Totalus" Un autre en moins, ce dernier étant figé...

Les moldus commencèrent à paniquer... Que se passait-il ? Ils virent que s'était Aphrodite qui lancait ses sorts et deux d'entre eux se dirigèrent vers elle...

"STUPEFIX" Cria-t-elle a leur encontre... Elle réussit à les arréter... mais il fallait qu'elle se protège, car les autres venaient déja vers elle.

"Argh non..."

Elle commença à s'éloigner mais sa cheville lui faisait mal...

Nicolas n'était vraiment pas au bon endroit s'il avait voulu prendre un peu de repos et être au calme. Il n'avait même pas le temps de réfléchir ou d'intervenir qu'il y avait déjà une autre infraction à enregistrer dans sa tête. Les patronus pouvaient encore passer s'ils avaient été seuls mais le chaos qui régnait grâce aux sorciers ne signifiait qu'une chose. Ils allaient avoir de sérieux ennnuis, peut-être même qu'ils avaient réussi à enfreindre tous les décrets sur la restrictions de la magie en présence de moldus, une chose qui ne s'était pas produite depuis des années. Le membre de la brigade magique allait enfin se décider à tenter quelque chose quand une euh... charmante dame lui vomi délicatement sur les chaussures.

*Et merde! Elle se croit où? Des chaussures presque neuves! Et puis quoi encore?*

Nicolas était tellement occupé par ses chaussures sales -et non par la pauvre sorcière à complètement malade devant lui, il ne fallait pas rêver non plus- qu'il ne remarqua pas un des sorciers faire sortir trois personnes dont deux moldus. Il était encore en train de pester pour ses pauvres chaussures qui n'avaient rien fait lorsque les renforts arrivèrent enfin. Assez d'homme pour quadriller tout un quartier et ne laisser personne sortir sans avoir subit un sort d'oubliette ou d'avoir été envoyé au ministère de la magie pour rendre des compte. Il était temps parce que les moldus étaient plus effrayés que jamais et ils commençaient à se battre avec un sorcier. Il se prit plusieurs coups (bien fait pour lui, il n'avait qu'à ne pas déclencher un tel foutoir) avant de mettre les moldus KO. Un autre sorcière lança plusieurs sort sur des moldus alors qu'elle-même était blessée. Nicolas se tourna vers les renfort pour donner ses ordres. Quelle délicieuse idée, pour une fois c'était lui qui commandait.

"Bouclez tout le quartier, aucun moldu ne doit sortir du périmètre de sécurité sans avoir subit un sortilège d'oubliette! Retenez aussi les sorciers jusqu'à temps qu'on sache lesquels sont ceux à l'origine de ce remu-ménage! William, Martin et Sophie vous restez ici avec moi pour calmez le jeu ici! Exécussion!"

Les renforts obéïr immédiatement à Nicolas et il ne resta bientôt plus que deux srocier et une sorcière avec lui. En quelques minutes le quartiers fut fermé et les sortilèges d'oubliette commencèrent à pleuvoir, un peu trop tard. En effet, John et les deux moldus avait réussi à passer entre les mailles du filet sans que personne ne s'en doute. Nicolas reporta son attention sur les sorciers dans le bar. Vu qu'il y avait quatre patronus, il devait au moins y avoir quatre sorciers, il sufisait de déterminer lesquels. Déjà pour celle qui venait de lancer deux sorts, il n'y avait pas grand doute. Un seul problème: elle était blessée, il fallait donc être "plus délicat" avec elle. Nicolas envoya Sophie s'en occuper. La jeune sorcière fit apparaître de longues cordes qui ficelèrent la sorcière sans la serrer au niveau de sa blessure, elle la fit ensuite s'assoier sur une chaise avant de lancer deux sorts pour stupéfier sur deux moldus qui voulaient profiter de la faiblesse de la jeune femme pour l'attaquer. Ensuite William se dirigea avec Martin en direction de celui qui n'arrêtait de se faire attaquer par des moldus, c'était sûrement un sorciers sinon on n'essaierais pas comme ça de l'attaquer.

"Ne... Ne faites aucun geste brusque, donnez nous votre baguette et tout se passera bien!"

La voix de William tremblait sans qu'il puisse y faire quelque chose, rendant ses menaces tout sauf convaincantes. Sans le deuxième sorcier, Martin, un homme bien bâti qui atteignait sans trop de problème les deux mètres, on aurait pu rire au nez de William. Il restait encore deux sorciers à identifier. Le regard de Nicolas se posa sur la femme qui venait de lui vomir dessus et son compagnon. C'était si tentant pour venger ses pauvres chaussures... Pour seule preuve il avait le fait que tout deux ne semblaient pas avoir peur des manifestations de magie, mais ils semblaient tellement bourrés qu'ils ne devaient pas avoir peur de grand chose. Nicolas leva quand même sa baguette vers eux avant de dire d'une voix forte:

"Vos baguette s'il-vous-plait ou nous devrons user de la force."

Il semblait déjà plus convaincant que William mais lui il était seul contre deux.