Insomnie, douce mère de la folie

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Froid. Et pourtant…il ne faisait pas si froid la journée mais ici maintenant, c’était intolérable, un frisson de plus parcourre les membres de la belle vietnamienne. Elle n’aurait pas dû s’enfuir de son dortoir évidemment, mais cela lui manquait tellement, le fait qu’elle ne puisse pas sentir son soleil à elle. Au Japon, là bas, il était quelle heure ? Et au Vietnam ? Ses parents dormaient-ils ? Au final, qu’est qu’elle venait faire là ?

Ses cheveux d’un rose flash étaient collés à son visage, le vent qui se baladait dans les couloirs, elle était seule, perdue, le Vietnam était si loin, elle aurait dû prendre l’habitude mais Peut-être que là bas ils étaient réveillés… Combien de temps y avait-il de différence entre les deux pays ? Ses vêtement, sa robe courte s’arrêtant plus hauts que les genoux et dévoilant ses hautes chaussettes blanches rayés de noir gonflés par la tonne de froufrous qui lui servait de jupons la collaient aussi, Elle ressemblait à un serveuse d’un autre temps, à une bonne de la renaissance mais rien qu’à voir son statut et son nez se retroussant à case du froid –ce qui l’empêchait de couler- Pourquoi à cette heure si faisait- il toujours aussi froid. Pourquoi n’arrivait-elle pas à dormir ?

Laissant ses pensées vagabonder librement dans sa petit tête blonde , euh rose , elle fila sans s’en rendre compte vers le haut du château, marchant sans faire attention, parcourant une à une les différentes marches de différents couloirs. Elle n’arrivait plus à dormir. En Sursaut, elle s’était réveillée cette nuit, la chaleur, le froid, cette douce clarté qui filait juste à hauteur de son visage la recouvrant d’un voile blanc, la lune, grande cachottière, venait de la réveillée, silencieusement, tout comme le dortoir tout juste ponctué par les gémissements incertains de ses camarades de chambres. Et maintenant, elle avait beau essayer de se rendormir, cela lui était impossible, alors elle s’était levée et sans prendre de douche chose bien inhabituelle –elle avait peur de se faire prendre- Elle parcourue la chambre des yeux, cherchant à savoir si oui où non Yoshino sa préfête dormait, remarquant que c’était le cas, elle s’était levée et dans le silence le plus complet c’était habillée. Pourquoi c’était telle réveillée ? Insomnie, douce mère de la folie. La prendrait-elle bientôt cette fille aux allures méchantes qu’était la folie ? Où l’était elle déjà ? Elle se demanda comment la salle commune en cachot pouvait bien laissée passer la lune mais ce souvint, les semi fenêtre à personnalisée, laissant traîner le décor que l’on souhaitait où presque. C’était Magique, C’était Poudlard !

Elle balaya la salle commune son regard se perdant dans le noir total, Seul sa vitrine laissant voir le fond engloutis du lac promettait de rare scintillement. Mais personne n’était debout, elle passa sa main sur la grosse table noire en bois, si lourde mais si belle, caressant le bois du bout des doigts, elle se demanda combien de personne avait effectuées ce geste anodin. Elle quitta sa contemplation des ténèbres et se dirige vers le tableau, la sorcière du marais grincheuse de son réveil si matinal ne lui adressa qu’un faible reproche avant d’ouvrir le tableau se rendormant ensuite. Elle ne lui prêta même pas un regard, s’affairant déjà dans ses pensées dont vous avez déjà pris connaissance.

Elle était assise, entre deux pierres les pieds dans le vide. Mais son visage n’était pas tournée vers le sol magnifique, dehors, avec se vent rabattant ses cheveux, ils avaient beaux essayer, seuls les étoiles l’intéressaient. Ses deux mains, posés tout prés de son arrière train, plat lui permettait d’avoir son dos légèrement penchés, comme une éclipse au milieu d’une plage de touriste, sauf qu’ici il n’y avait personne, il n’y avait pas d’éclipse , il n’y avait au final que le vent et le silence.

Une étoile passa, filante dans ce ciel déjà trop fortement illuminé, d’ailleurs, au loin on pouvait apercevoir les lumières de Pré au lard, ce village finalement anodins mais pourtant pas comme les autres... Rapide, celle-ci disparut avant même que la jeune fille n’ait pus l’interpeller, mais se souvenant de la couture, elle se décida à faire un vœu, elle réfléchit, longuement, laissant son esprit d’ordinaire si ingénieux se faufilait dans les méandres des chemins ‘choix envisageables’. Puis enfin, après de longue minute d’hésitation, elle trouva enfin et si sa prière, silencieusement. Que son frère et elle puissent remplacer les Gémeaux pour que jamais leur amour ne s’arrête. Fleur bleue ? Dominatrice incomprise, Peureuse du futur ? Le vœu était bien là. Elle jeta un nouveau regard aux étoiles et rompant enfin le silence n’en pouvant plus de cette remarque qui lui brûlait les lèvres, les mots parcoururent ses lèvres et tintèrent, sonnant le glas du silence. Belle affirmation lentement prononcée d’une voix douce et angélique.

« Comme une étendue sous nos doigts »

Parlant en anglais, langue officielle de Poudlard, la jeune fille se surpris elle-même, mais comme elle s’était rendue compte beaucoup plus tôt, parfois les mots et les phrases étaient prises d’un vie propre. Elle approcha son dos et ses mains du bord et contempla le sol regardantvue d’en haut, de si haut, comme les anges, le paysage si magnifique de Poudlard.

[Paroles : Tryo –La première fois]
[Réservé à la madame qui ce reconnaîtra en ‘mémoire’ de nos goûts musicaux communs. Par contre la Salle des Serp' est 'à ma sauce =S']

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{ Voila, Voila. T'adore =) }

Douce nuit qu’étaient celles d’été. Sans doutes trop chaude. Car même dans les plus profonds cachots de Poudlard l’air était étouffant. Invivable. Cela faisait à présent plusieurs heures que la Serpentard attendait patiemment dans son lit que le sommeil parvienne à son esprit. Laissant se reposer ses paupières qui étaient toute deux de plus en plus lourde. Fermant les yeux de façon à trouver plus facilement, la jeune Wilde enfuis sa tête d’adolescente dans le coussin qui lui était destiné. Vert. Aussi vert que ses yeux. Ses iris. Lorsque soudain elle l’entendit. Ce bruit de pas. Il était distinct. Elle l’avait sentit. Quelqu’un s’était levé. Qui était ce ? Laureline attendit plusieurs minutes. Apres avoir entendu le grincement de la porte elle décida de sortir à son tour. Pourquoi se gêner. Alors qu’elle ne comptait plus le nombre de fois qu’elle avait enfreint le règlement de Poudlard. Un sourire malicieux éclairant son visage la Serpentard se leva. Laissant le matelas dénudé, à moitié couvert par les draps défaits. L’adolescente se couvrit d’une cape noire qu’elle utilisait régulièrement, et d’un pas lent et silencieux, elle se dirigea vers la sortie. Sans bruits. Espérant n’avoir réveillé personne. Un doux regard. Elle le dirigea vers la jeune Asiatique. Yoshino. Préfète avec qui elle eut le temps de bavarder après sa répartition. Entendant son inspiration profonde, celle-ci semblait bien endormie. Laureline pouvait donc quitter son dortoir sans craintes. Du moins, même si Yoshino était levée, celle-ci ne ferait rien pour nuire sa maison. La jeune Anglaise en était persuadée. Franchissant la porte avec une discrétion affolante, Akina était à présent loin devant elle. Et la jumelle ne se doutait en aucun cas que c’était cette demoiselle qui était sortie.

Parcourrant les cachots les yeux fermés. La Serpentard connaissait ceux-ci comme ses poches. Elle les avait visité tellement de fois. Elle ne le comptait même plus. Il faut dire que cinq ans à Poudlard nous permet de découvrir beaucoup de ses cachettes. Même si l’on sait très bien que personne ne pourra toute les connaître en toute une vie. Ce château était bien trop mystérieux pour que de simples élèves – voir des professeurs – puissent ruisseler tous ses secrets. Arrivant donc furtivement dans le Hall d’entrée la jeune adolescente maqua de peu de se faire prendre par le Professeur de Potion. Homme réputé sévère, mais qui avec les Serpentards était beaucoup plus ..Sociable. Beaucoup plus calme selon les élèves fréquentant cette maison. Laureline qui n’eut même pas un frisson monter tranquillement les escaliers qui – pour une fois – étaient calmes et se laissaient faire. On pouvait voir qu’elle avait l’habitude de sortir. Elle en avait eut des retenues. Ce n’était pas le problème. Cela pouvait même parfois l’amuser. Tout dépendais du Professeur sur lequel elle tombait. Et puis, comme dit si bien le Dicton : Qui ne tente rien, N’a Rien. Elle marcha donc furtivement, montant frénétiquement les marches une par une. Elle avait un endroit favoris – comme beaucoup ici – . La tour d’Astronomie. Ciel de nuit étoilée. Elle était à chaque fois comme éblouie. Là bas elle pouvait réfléchir. Tranquille. Sans personne pour la déranger. Mais ceci n’était pas éternel. L’endroit n’était pas décernait qu’à elle. Bien malheureusement.

Arrivée soudaine devant le grand escalier menant à la Tour d’Astronomie, la Serpentard fut étonnée de voir qu’aucun autre Membre du Personnel veillaient dans les étages. Mais ceci était légèrement plus pratique. Elle monta donc jusqu’à atteindre cette trappe. Jolie trappe couleur ébène qu’elle ouvrit pour faire glisser son corps d’adolescente dans l’ouverture. La jeune Anglaise arrivée sous le ciel étoilé elle jeta un regard fasciné sur ces étoiles qu’elle fréquentait souvent. Acquiescent un léger coup de tête elle avançait droit devant elle. Lorsqu’elle l’entendit. Cette voix. Cet accent Anglais mais avec une légère différence prouvant que la personne n’était pas Originaire de ce Pays.

« Comme une étendue sous nos doigts. »

Sourire. Akina. La personne qui avait précéder la jeune Wilde lors de sa sortie Nocturne. Celle-ci un peu vexée que quelqu’un ait prit la place qu’elle occupait toujours elle avançait tout de même vers elle. Levant ses iris verts sur la beauté asiatique. Celle-ci avait les cheveux roses colorés. Contrairement à l’Anglaise qui portait ses cheveux châtains. Sa couleur naturelle. Pourtant elle fuyait tout ce qui était un point de vue génital. Car elle ne voulait pas leur ressembler. A eux. Parents absurdes. Mais ce n’était pas le moment de se morfondre dans de vulgaires pensées. La jeune adolescente avança. Fixa d’un regard intense sa camarade de classe.

* Fatalité * ~ Hum Hum.

Dit-elle comme pour attirer son attention. Tel un toussotement produit par les plus grands comédiens lorsqu’un texte est oublié. Sauf que cette fois ci son contexte était tout autre. Juste l’attention. Quoi que. Cela ne dérangerait pas forcément la Serpentard que d’être ignorée.

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La salle commune. Elle n’avait même pas entendue le bruissement des draps de la jeune fille, elle ne la savait même pas réveillée, le même dortoirs et pourtant, des personnes si différentes. Combien était-elles déjà ? Akina pourtant arrivée depuis le début de l’année n’avait jamais vraiment parlé à ses camarades, elle se comprenait de leurs répondre poliment où de se moquer d’elles sarcastiquement. Au final ce qu’elle savait –et voulait savoir- s’arrêter à leurs noms et à leurs différente capacités magiques, puisqu’elles assister –peut-être pour la seule et unique année- dans les même cours. Oh bien sur parfois une conversation naissait, deux où trois mots échangés concernant le temps, l’humeur d’untel, la difficulté du devoir de potions mais il s’agissait de choses si infimes et si anodines, tellement peu importante que la jeune fille n’en tenait pas compte.

Non, non elle n’avait décidément entendue personne, le tableaux des Serpentards avait pourtant dû gémir, mais elle n’avait entendue personne. Etait-elle sourde ? Où si peu observatrice ? Où tout simplement trop loin… Ses pensées s’axèrent sur cette dernière solution, car après tout n’était elle pas la Princesse du printemps, elle se devait donc d’entendre chaque pas, chaque mots, bien sur il fallait tout de même rester à une longueur bien précise Voila, la raison c’était que la petite fouineuse avait décidé de la prendre chasse et qu’ainsi, sachant pertinemment –sans trop savoir pas quel miracle -où la princesse et à quelle allure se trouvait. Que lui voulait-elle donc ? Etait-elle jalouse au point de vouloir se retrouver seule avec elle ? Aucune idée, Akina ferma les yeux, renfermant plus profondément ses pensées, elle jeta un dernier regard aux sombres par terre d’arbres qui s’allongeait sous ses pieds, un peu plus loin que les briques du château puis répondit à la jeune fille, ne la regardant pas. Gestes certes malpolis mais surtout provoquant. « Toc toc toc »

La suite certaine de son Hum Hum, il lui fallait donc parler en monosyllabes pour qu’elle comprennent ? Akina Se voulait-elle finalement tellement provocatrice ? Cherchait-elle donc un conflit certains avec sa camarade. Aucune idée, elle faisait ça, comme un jeu, elle ne cherchait pas le conflit mais s’il arrivait…Il n’arriverait pas. Elle n’avait pas assez confiances en la jeune fille pour lui laisser le plaisir de dire du mal sur elle-même, où de toucher son si joli visage. Pessimiste ? non bien au contraire, la joie sortant de ses yeux pétillant d’envie était là… Elle voulait jouer oui, simplement jouer.

« Mais qui est là ? »

Evidemment, elle avait reconnue le timbre de sa camarade, c’était si facilement différenciable un timbre de voix de fille et une voix de garçon, pas la voix car au final elle n’avait pas parlée. Enfin, elle n’était pas sure mais elle savait que c’était l’une de ses camarades de Serpentard, Espérant qu’il ne s’agisse pas de Yoshino venue lui faire la morale –ce qui en plus ne servirait à rien sachant que la jeune fille se moquait pertinemment des interdictions- Elle soupira un bon coup puis se tourna Enfin.

Elle détailla rapidement la jeune fille, cheveux bruns dans le vent tout comme elle, cape noire était-elle en tenue de nuit ? Où pas ? Ebène, elle portait une cape couleur ébène ne dévoilant quasiment rien de son corps complètement recouvert, seuls ses bras étaient dénudés. Magnifique, superbe, cette cape était grandiose, elle resta un instant choquée de voir pareil vêtement sur l’une de ses camarades, préférant s’en réserver le luxe, mais la jeune l’avait bien avant elle. Désireuse, la jeune file posa un nouveau regard, elle se leva puis s’assit, trônant dorénavant devant le visage de sa camarade de classe et de dortoirs. Laureline….Laureline Wilde où bien Wolfe enfin, un drôle e nom commençant par un W un prénoms à consonances anglais, que dis-je typiquement anglais ! Un sourire naquit, illuminant son visage d’ange. La comédienne voulut parler mais elle se reprit, dieu seul savait pourquoi, elle ne voulait parler !

[Paroles : Toc toc toc –Zazie]
[ T'adoureuh aussi tite chérie Mais c'est évident ^.^]

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{ Nyah, Voui wub

}

Sourire et Soupirs. La Serpentard fixait le ciel étoilé attendant une réponse au « son » qu’elle avait produit précédemment. Elle réussit à identifier une des nombreuses constellations présentes qu’elle avait put étudier en cours d’Astronomie. Ceux-ci étaient de nature ennuyeuse, mais en dehors ils servaient pourtant beaucoup. Et on pouvait voir les étoiles d’une tout autre façon. Mais au final elles étaient toute aussi ..Brillante. Captivante. Elle les regarda frénétiquement. Un air de mélancolie était visible sur son visage Anglais. Elle pensait. Et elle l’avait oublié. Elle. Akina. Laureline étant bien trop éprise. Par ces pensées infinies. Sourire. Pensées subtiles. Une voix douce vint brisée ce lourd silence. Ramenant la Serpentard à la réalité. La faisant donc sortir de ses songes obscures. Elle s’en sentait soudainement capable. Elle avait comme la force des Etoiles. Les Tuer. Un par un. Sang. Leur Sangs. Son Sang ? Oui. Son propre Sang. Normal, c’était celui de ses parents. Ses géniteurs du moins. Affreux personnages. Stop. Oublions. Laureline se retourne donc, laissant le ciel seul, sans iris pour le regarder pleinement. Projetant son regard sur l’Asiatique de Cinquième année présente à coté d’elle. Sourire. Qui était là ? Elle. La Mort. Jugement dernier.

* Fatalité * ~ Laureline .. Tel est mon nom.

Dit-elle calmement. Remontant légèrement sa Cape couleur Ebène pour que celle-ci recouvre immédiatement les épaules qui venaient de se dénuder à l’instant. Causé par le vent frais et violant qui venait de frapper les deux jeunes « Inconnues ». Car on ne pouvait pas affirmer que celles-ci se connaissaient. Avait-elle déjà échangé quelques mots ? Une simple phrase ? Non. Du moins, pas dans les souvenirs de la jeune Anglaise. Sans doute ceci était-elle trop floue. Mais soit, l’évidence était même. Il ne fallait pas d’avantage développer ce point de vue pour le comprendre. La Serpentard passant sa main droite dans ses cheveux châtains, attrapant une des plus longues mèches. Celle-ci précédemment recouverte de plusieurs fils de laines, qui avaient donnés naissance à une « atebas ». Chose que la jeune adolescente aimait beaucoup se faire. Ayant appris leur existence qu’une année auparavant elle n’avait pas trop eut le temps d’en faire beaucoup. Surtout que cette année elle se devait de passer les B.U.S.E. Bien malheureusement. Elle dut travailler durant de longues après midi pour avoir son niveau théorique actuel. Préférant habituellement la Pratique à celle-ci. Elle était loin d’être comme sa sœur. Une Serdaigle. Mais cela ne changeait en rien l’affection qu’elles avaient toute deux l’une pour l’autre.

Alors que la jeune asiatique regarder la Cape de Laureline. Celle-ci aperçut son intéressement. Elle pouvait voir son regard illuminé à la vue de celle-ci. Que dire à par que c’était la seule chose qu’elle avait d’eux. Mais cet habit. Dès qu’elle les verra. Elle l’étendra sur leur tombe. Aussi noire celle-ci sera. Ebène. Enfuis dans la terre. La vue de cette scène était comme tendre un paquet de chocolat à un Gamin de cinq ans raffolant de sucrerie. Elle était comme pressée. Encore. Comme toute les années. Elle attendait l’été. En gardant une espérance. Celle de les trouver. Et une, beaucoup plus forte. Celle de les tuer. Tous. Un par un. Qu’ils soient toujours deux. Ou qu’ils soient quatre ou cinq, le nombre importait bien peu. Tant qu’ils disparaissaient. Crève, Crève, Crève. Un par un. Languir. Adepte du Sang. Stop. Suffit ! Sors de tes songes belles enfants. Ce n’était pas le moment. Soupir. Regard rabaissé. Elle le dirigea vers la « tête rose » et se tourna. Cherchant une place où s’asseoir. Sa place. Là-bas. Avance furtivement belle enfant. Comme chaque fois. La voila. Juste en fasse de l’asiatique. Elle s’assoie. Doucement. Posant ses fesses sur le sol sec. Regardant droit dans les yeux l’Asiatique qui fixait toujours sa tenue.

* Fatalité * ~ Et toi ? Comment t’appelles tu ?

Dit-elle après de longues minutes de patientes. Comme pour se faire désirer. Comme elle avait appris seule. Normal ils n’étaient pas là. Elle était seulement avec elle. Eux. Insignifiant. Nuls. Ils ne méritaient pas plus que ses parents de les élever. Saleté de vie. Tout faire par sois même. Telle pourrais être sa devise. Donner sa confiance qu’en qui on est sur qui ne la rompra jamais. ..Chloé.

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[Pardon du retards…Aucune chanson ne correspond =/ Au passage, j’adore ton message]

Contemplation furtive la jeune fille, presque femme, oui si femme déjà, se trouvant en face d’elle, si longuement, dans le noir, que pouvait-elle bien voir ? Les nuages séparant la lueur de la lune, elle était totalement incapable de voir le visage de la personne parlant, où tout du moins, dans son esprit celui lui était impossible, aussi n’avait pas trop cherché à vérifier si ses spéculations étaient où non véridiques.

« Laureline ?!? Siégerais-tu dans le dortoir des cinquièmes années dans la si noble et si pure maison du serpent ? »

Elle avait bien assisté sur les ‘si’, prouvant l’ironie qu’elle plaçait dans son propos. Oui, elle ne croyait pas à l’idéologie Serpentard = Sang purs et même si les deux mots contenait des S, des a, des n, des p et des r, on était loin du schéma des mots identiques, et l’égalité s’en révélait complètement faussée. Et puis…de tout façon qui pouvait bien avoir le sang plus pur que celui des Athkara ? N’étais-ce pas eux les sangs bleues cambodgiens, totalement non souillés ? Quand à la noblesse, elle se perdait ! Plus aucun Lord ne devait avoir franchis le tableau de la sorcière du marais depuis de nombreuses années, où ceux-ci se trouvait être de faux Lord ne portant de véritable que le mot… En bref, la jeune fille n’y croyait pas non plus !

Atebas. Et bien c'est tout simple, se sont des fils de couleurs (cotons, laine ...) que l'on enroule autour d'une mèche de cheveux plus ou moins longue. On peut changer de couleur au fur et à mesure, croiser les coloris, en rajouter par-dessus d'autres ...On peut aussi y rajoutée des perles, des plumes, et plein d'autres choses !!! En somme, Un truc de hippie se persuadée Akina, sans savoir que dans plusieurs années cela deviendrait une mode inter style…Quelle modernité. Enfin, de toute façon pour se que cela lui importait sur l’instant…-et seul cela comptait à ses yeux !-

Elle releva la tête pendant que la jeune fille se déplaçait, elle pu enfin apercevoir ce visage si longuement observé, et elle pu aussi comprendre son erreur. Elle la connaissait si peu, mais déjà elle la connaissait trop, elle avait de suite remarqués les iris posés sur elle et avait de suite trouvé la parade, la pirouette, si énervante façon de répondre au si énervant regards en biais bien peu discret en définitive de l’asiatique.

« Akina Kamlyn Honda » se présent la jeune fille usant pour une fois sa langue naturelle, de qui pimenter un peu la pirouettes de l’autre jeune fille. Mais les prénoms d’une langue à une autre ne change pas trop, aussi la plaisanterie sur les sons équivalents devaient se trouver juste discrète, et puis Laureline ne savait pas que la jeune fille n’était pas anglaise ? Après tout, elle l’avait bien vu s’immiscer dans son dortoir et dans ses classes non ?

Ne sachant pas à quoi penser la jeune fille, eut attendu un long moment avant que la conversation e reprenne, mais n’en pouvant plus du silence qu’elle laisser peu à peu s’installer, elle reprit à peine quelques minutes après ses dernières paroles « Quand il faut, il faut ! » un simple murmure, c’était tout de même déjà bien ! Elle toussota un peu, silencieusement puis reprit un peu plus sure d’elle tout en rejettent ses cheveux vers l’arrière. « Nous n’avons malheureusement pas eu l’occasion de trop se parler…Autant y remédier non ? Après tout, le hasard peu parfois bien faire les choses et j’ai grande envie de discutions, le silence c’est parfois si pesant ! » Ironie une nouvelle fois, évidemment, elle ne regrettait rien, elle ne regretterait pas, jamais…

Non, elle, elle ne croyait pas à cette fatalité s’abatte sur chacun, elle avait encore l’espoir de pouvoir changer son destin, et même si elle ne le souhaitait pas…elle savait qu’elle le pouvait ! Et si elle avait connu les pensée de la jeune fille, elle aurait soutenue son aversion contre les parents, sa thèse sur l’impossible fatalité, Laureline, comme chacun pouvait être maître de son destin, repousser la fatalité, les tuer…Les tuer !

[Merci ]

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