{ Appartement Morohtar }

Invité

Leîla travaillais toujours dur même durant les dernière minutes ayant bien décider de faire un peu plus d'heure que d'habitude, elle voyais ses yeux se fermer tout seul et elle fatiguais de plus en plus vite le froid la saisissant de part les entrailles... Elle ce fit un peu allumer par le patron mais resta froide trop fatigué pour être en plus aimable

- Leîla si tu ne te montres pas un peu plus entousiasme jte mets à la porte...
"Je suis pas payer pour être aimable..."
-Oui ben heum bon ouvre moi un peu ce tee scheart tu es une serveuse, tu fais trop coincé...

Presque choquer que son propre patron lui demande de s'exiber ainsi aux clients elle alla, par simple et pour unique but de provocation aller enfiler un giler fermer jusqu'aux cou capuche retrousser... Ce qui lui vallut les soupires lasse de son patron presque habitué du caratère entété de Leîla... Elle finit son sevice plus tard que d'habitude et partit en direction de son ancienne maison voir si quelqu'un était venue à sa place... Elle arriva devant la grande batisse, la lune éclairant joliment son visage fatigué... Elle vit alors de la lumière dans son ancienne appartement... Apparament quelqu'un d'autre allait devoir subir l'horrible Madame Kinbocker, mettant de jazz à la tomber de la nuit et ralant derriere son vieux chat Jagouar... Drole de nom pour un vieux chat gros et moue ne levant pas son énorme derrière du canapé... Ou du moins c'était la seule vision que Leîla avait eu de l'appartement de cette bonne vieille femme...

Leîla détourna son chemin donna quelques piece à un vieille homme et finalement ce revit à l'instant ou elle cherchais encore un appartmenet faisant du porte à porte et prise de pitier fonca dans un magasins et ramena pour le viel homme une couvertures et de quoi subvenir à ses besoin un certain temps... Malgrés tout elle ne lui accorda aucun sourire aucune paroles atigué et énerver par son patron prette à mordre si l'on commencais à l'énerver... Elle rentra donc chez Jared, appuya doucement sur la porte mal fermer et vit son logeur sur le canapé en train de lire en buvant du café... Cette vision ne la mis pas plus de bonne humeur et elle lanca plus froide qu'elle aurait voulut...

"Jt'avait dit de pas m'attendre..."

Elle enleva son gilet l'accrocha à un bout de bois sortit du mur et ce jetta près de la cheminer les cheveux un peu mouiller par la pluie aux dehort... Elle soupira restant silencieuse fatigué n'ayant aucune envie de parler et aucune envie de revoir son maudit patron... Elle l'insultait mentalement de tout les noms d'oiseaux qu'elle puisse connaitre, l'air suceptible et irrité...

Invité

Jared quant à lui, paraissait plus occupé que jamais. Le livre qu’il lisait l’emplissait d’une satisfaction silencieuse, car il en apprenait de plus en plus sur la médecine par les plantes. Le désoeuvrement le poussait perpétuellement à se retrancher dans le travail, et cela ne lui déplaisait pas malgré tout. Cependant, il ne put qu’être piqué à vif lorsque Leïla entra comme une furie et le blâma de l’avoir « attendue ». Levant les yeux de son livre, il fixa la jeune femme sans chaleur, et s’enfonça plus profondément dans son canapé…

Depuis quand dois-je obéir à qui que ce soit ? Ce livre est passionnant, et tu devrais commencer à comprendre que je ne dors presque pas…

Regrettant légèrement le ton péremptoire qu’il venait d’employer, Jared baissa les yeux sur son livre, l’air grincheux. Il ne voyait pas l’intérêt de continuer une telle discussion, et n’avouerait jamais qu’il n’avait pas anticipé une telle réaction de la part de Leïla. Il l’avait sousestimée… Comme souvent… Elle faisait preuve d’un tempérament lunatique au possible, et même lui n’arrivait pas à cerner la moindre bribe de sa personnalité. Il soupira et émit un rictus d’amusement. Jusqu’à nouvel ordre, elle était son invitée, malgré tout… Il ne pouvait pas se comporter avec elle comme il se comportait avec le reste du monde. Le challenge était de taille, réussir à bannir la méchanceté qu’il cultivait depuis des années… Riant de lui même, il se leva du canapé et se posta face à Leïla, un air faussement désinvolte sur le visage…

Maintenant, si Madame est prête à abandonner sa mauvaise humeur, je peux tenter d’en faire de même… A moins que ce soit là votre manière de me signifier votre départ imminent ? …

Pathétique, il était pathétique. Il venait de se laisser submerger par un ressentiment inutile et stupide. Elle ne pardonnerait pas cette nouvelle provocation, et Jared ne pouvait pas s’empêcher de ressentir une satisfaction profonde mêlée d’une haine millénaire de lui même. Que ferait il si elle partait ? Il resterait stupidement debout dans la pièce, et sa conscience le torturerait. Pourquoi ? Pourquoi n’arrivait il pas à se détâcher totalement de la société ? Pourquoi se souciait il un minimum de paraître plus qu’une enveloppe agressive ? Il était en totale contradiction intérieure, et il allait falloir qu’il choisisse… Sans quoi il ne resterait pas saint d’esprit durant longtemps…
Sortant subitement de sa rêverie, il regarda à nouveau Leïla et s’affala sur son canapé. Il posa les mains sur sa tête et ferma les yeux. Il n’en pouvait plus… Le manque de sommeil, le regard destructeur de personnes irrespectueuses, et sa propre incapacité à différencier les gens intéressants et sincères des autres…

*Qu’elle parte !* , se dit il intérieurement. Qu’il retrouve sa contemplation solitaire… Qu’il oublie qu’il avait eu un infime espoir d'amitié durant quelques jours…

Invité

Leîla se sentit un peu mal face à la réponse de Jared et se sentit infiniment coupable de son arrivé des plus désagréable, il faisait tant pour elle et elle lui devait bien un minimum de simpathie, elle s'assaya à côté de lui sur le canapé non loin du fauteuil ou siégeait Jared, elle resta silencieuse les mains sur les genoux l'air profondément désoler et coupable... Elle s'en voulais et même si elle aurait aimé se trouver une excuse cela lui était impossible... Elle leva légèrement les yeux et à sa dernièere remarque son estomac fit un noeux dans son ventre... Leîla avait beau être de mauvaise humeur cela lui fît un grand coup dans le ventre... Trop sucébtile? Surement, mais elle n'avait absolument aucune envie que cela se sache... Elle respira un grand coup toujours muette finalement elle se leva et partit dans la salle de bain ou elle refermit soignesement la porte derrière elle, elle se posa la tête contre le mur fermit les yeux et se fût l'instant ou elle repris sa respiration... *Pourquoi suis-je si stupide?* elle se sentait lamentable, au lieu d'être reconnaissante envert Jared elle ce comportait affreusement avec lui... Et elle comprenais beaucoup mieux ses réaction et sa distence inévitable envert elle ...

Leîla enfila son gilet que le matin même elle avait laisser dans la salle de bain, elle glissa ses pieds dans ses chaussures et pris son sac à main, elle l'avait déranger bien trop longtemps pour pouvoir abusé ainsi de sa gentillesse... Elle ne savait pas être aimable et elle en payais les frais tout simplement... Elle sortit de la salle de bain essuya du revert de la main ses yeux iévitablement rougies laissant une faible trainer noir de mascara sur le côté de ses yeux que en passant devant le miroir brisé elle essuya précipitamment, une fois arriver devant Jared elle se planta devant lui le regard pencher vert le sol clignant frénétiquement pour ne pas fondre comme un carré en sucre sous la pluie, et murmura simplement n'osant toujours pas lever le regard vert lui

<< Je suis désoler de causer tant d'ennuie, je me permet déjà de venir coabiter avec toi... Et je ne veux pas que ma mauvaise humeur te touche ... Je suis désoler d'être comme sa, je m'en veux... >>

Elle repris un instant sa respiration et continua

<< Je... Je vais sortir ne t'inquiète pas, je te remercie pour tout se que tu as fait pour moi, il fait nuit je vais trouver un hotel ou dormir et je verrai demain ou loger pas cher... Je suis encore desoler mais je te suis infiniment reconnaissante... J'éspère que tu pourras me pardonner... >>

Elle ne comptais pas le revoir ne voulant pas encore faire du mal... Elle ne savait que faire sa... Elle baissa le regard et repassa dans la salle de bain elle pris un bout de rideau dechirrer qu'elle glissa dans sa poche... Pouvait-on dire qu'elle prenais sa comme souvenir? Un peu... Elle revint ensuite dans le salon dans le couloir, et à ses risques et perils elle preferq fqire l'aveu qu'elle savait qu'il était loup garous...

<< Et sache que... je ne divulgerais pas ton secret si tel est ton desirs...>>

Invité

Jared n'avait pas boug d'un pouce durant les allées et venues de la jeune femme. prostré, il ne s'avouerait jamais qu'il appréciait de faire ainsi la sourde oreille, de ne pas se voir projeté dans une réalité qu'il haïssait plus que tout. Certes, Leïla s'était emportée sans réfléchir, mais Jared en avait fait de même, comme à son habitude. Qu'y pouvait il ? Strictement rien, et il en était de même pour Leïla. A force de se croire unique au monde, Jared en avait perdu le sens des réalités. Il regrettait amèrement la teneur agressive de ses propos, mais contenir son énervement n'aurait servi qu'à une accumulation des plus dangereuses.
Les propos que la jeune femme lui tint menacèrent de lui faire perdre patience. Il ne s'agissait que d'auto-destruction, à son sens. Son orgueil propre lui interdisait d'avouer ainsi ses erreurs, et il supportait mal le fait de voir une tierce personne ne pas hésiter avant de le faire. Le Mea Culpa résonna dans son esprit, le temps que Leïla retourne une fois de plus à la salle de bain... Il ne se lèverait pas, au risque de le regretter amèrement durant longtemps...
Lorsque la jeune femme revint et lui parla une dernière fois, Jared eut le souffle coupé... Non, il ne pouvait qu'avoir mal entendu... Elle avait parlé de "secret"...
Un éclair de lucidité le frappa soudainement, et il réalisa que la grille n'avait pas été assez bien cachée, qu'il ne pouvait s'agir que de celà. Trop de choses concordaient, il aurait dû se méfier dès le début. Une poussée de haine sauvage le transperça soudainement, au risque ed lui faire perdre le souffle, et Jared se leva brusquement. Il fixa Leïla, de ses yeux emplits d'animosité, et vint se tenir à quelques centimètres à peine d'elle...

N'as tu pas peur ?... Réalises tu que tu tiens entre tes mains mon sauf- conduit vers Azkaban ?!

Il avait presque crié, et réalisa un peu tard qu'il n'aurait pas dû exprimer le fond de ses pensées à la jeune femme. Son impulsivité lui faisait encore défaut, et il fit un effort conséquent pour adoucir ses traits. Il fut pris d'une honte et d'une haine de lui même plus grandes que jamais, et faillit se détourner, sans un seul regard sur Leïla... Il lui semblait perdre l'esprit, comme sur le coup d'une révélation trop marquante pour permettre une maîtrise complète de soi...
Et, enfin, les dernières barrières de son animosité tombèrent, et il attrapa l'une des mains de Leïla, sans voir qu'il s'était mis à trembler...

Il aperçut les restes de mascara qui coulaient le long des joues de la jeune femme, et eut la vision la plus désagréable qui soit. Un enfant, gisant sur un lit de Sainte-Mangouste, priant son guérisseur, Jared, de lui tendre la main, de le prendre dans ses bras, afin d'atténuer sa douleur... Jared avait délibérément refusé, ce jour là, et l'enfant avait pleuré toute la nuit...

Il revint à la réalité si subitement qu'il faillit en perdre l'équilibre. Il ne renouvellerait pas deux fois l'expérience, sa responçabilité était trop grande... Sans lâcher la main de la jeune femme, il articula quelques mots...

Je suis... désolé... Ce n'est pas à moi de te pardonner, mais à toi de me pardonner... Mon secret... N'est désormais plus uniquement le mien... J'ose espérer que tu ne me trahiras pas, car la menace qui pèse sur moi est bien réelle... Je risque la mort, chaque jour...

Un silence de mort reigna par la suite dans la pièce... Jared était incapable de formuler la moindre phrase, et se sentait lessivé, épuisé...

Invité

Comme toujours dans ce genre de scène il se mets à pleuvoir et comme par hasars c'est se qui ce passa... D'énormes gouttes d'eau ou pardon : des flaques d'eau tombèrent du ciel martellant la fenêtre... En cette saison l'on pouvais trouver sa plutôt frustrant mais vut l'ambiance général qui envahissait la piece ou ce tenais Leîla et Jared cela semblis être le dernier de leurs ennuis... Jared semblais nerveux, sa main tremblante vînt vint rechauffer les doigts gelés de Leîla qui ne pretta presque pas d'attention à se geste... Elle avait le regard baisser presque coupable il fût d'abort verbalement agressif puis il devînt plus doux et s'excusa elle ne sût pas de quoi mais elle releva vivement le visage es yeux étincellant plein d'eau et les lèvres tremblante et lanca:

<< Jared, je t'en pris fait moi confiance...>>

Elle avait dit sa presque suppliante, et dans son élan, mais aussi pour rajouter un peu d'émotion à cette scène (mdr) elle se jetta dans ses bras, une main aggriper à sa chemise et l'autre serrant sa main... Elle fermis les yeux un instant ce decolla doucement et lanca d'une voix douce, fatigué... tel un murmure

<< Je te fait entièrement confiance, et cela me briserai de savoir que je me suis trompé à ton sujet... Je... Je ne peut pas imaginé que tu soit quelqu'un de méchant, et sache que quoi que 'lon me dise je ne te denoncerai pas, je suis peut-être naive mais pas stupide >>

Elle souria faiblement la main de Jared toujours serrer dans la sienne ... Comme la nuit ou il était partit à sa recherche... Elle avait serrer dans sa main comme si elle avait été naufragé en peline mer et que sa main aurait-été sa boué de sauvetage... Elle soupira, même si Jared ne lui accordai jamais sa confiance elle se promettait que même sous la torture elle ne le deconcerai pas... Elle se sentait comme résponsable de se lourd secret, mais elle avait enfermer celui-ci dans un coffre inaccessible dans les fins fond de son âme... Et elle ce promettait silencieusement de prouver à Jared qu'elle meritait sa confiance...

Invité

Jared fut littéralement pris de court par la réaction de Leîla. Elle lui donnait sa confiance la plus profonde, sans réellement le connaître. Et lui… Il ne se sentait pas capable de faire de même, malgré tout… Il restait muet et statique, comme quelqu’un qui se savait pris entre les mailles d’un filet qu’il était impossible de briser. Il ne pouvait pas faire machine arrière, quoi qu’il arrive. Le destin le liait désormais avec Leîla, d’une manière infime, mais suffisante pour le réduire à un énorme état de panique. Les paroles qu’elle prononça résonnèrent dans son esprit comme un glas… Il ne s’était jamais trouvé dans cette situation, pour le moins inconfortable… Mais ce n’est que lorsqu’elle se jeta sur lui, sans crier gare, qu’il céda complètement à la panique. Il ne supportait pas la proximité avec autrui, d’autant plus que le jour de sa transformation arrivait à grand pas. Il était affaibli, et son teint était plus pâle que jamais. Néanmoins, il ne bougea pas, et se contenta d’émettre un rictus de souffrance silencieuse, durant le temps que prit leur étreinte.
Le conflit intérieur qui l’assaillait depuis toujours le reprit tout à coup. Il ne devait pas se lier avec qui que ce soit, le péril était trop grand. Il n’admettrait jamais que cette auto-flagellation lui permettait de se terrer dans un monde d’illusion qui lui apportait un réconfort certain. Il nageait dans l’utopie et l’incompréhension de lui même la plus totale, et se laissait submerger par une appréhension face à l’inconnu très importante. Mais, pour la première fois, il avait été contraint d’abaisser ses chaînes, et avait éprouvé une mince satisfaction silencieuse. Aussi, lorsque Leîla eut terminé de parler, il resta de marbre, et baissa les yeux, l’air contrit et profondément troublé. Il lui fallut quelques instants avant qu’il ose reprendre la parole. Sa voix s’était faite faible, ponctuée par un remord et une complète contradiction qui lui brouillait jusqu’à la raison…

La méchanceté… Elle n’est pas forcément visible et délibérée. Je ne sais pas contrôler mes pulsions, je n’ai jamais su… Tu fais preuve d’un courage immense… Ou d’un intense masochisme… Sache que je tenterai de me montrer digne de ta confiance… Mais n’en attends pas trop de moi… Je suis très lunatique, malgré l’apparence que j’ai pu te donner… Rien ne me dis que je serai aussi saint d’esprit dans quelques jours…

Il s’arrêta, comme pris par une soudaine nausée. Il se contrôlait de moins en moins avec l’approche de la pleine lune, et le stade de dangerosité allait bientôt être atteint… Refoulant cet état de fait, qui le rendait malade à force d’y penser, le jeune homme lâcha la main de Leîla, et approcha la sienne du visage emplit de larmes de la jeune femme. Il les essuya d’un trait, comme si leur vision le révulsait au plus haut point. Puis, il fixa Leîla, décidé à en finir avec les aveux pathétiques…

Tu as mon amitié, quoi qu’il arrive… Peu de personnes peuvent s’en vanter… Je suis heureux que ta route t’aie amenée ici…

Il jeta un œil soucieux à l’extérieur, où la pluie battante persistait… Il ne pouvait pas l’abandonner maintenant, malgré l’intense gêne qu’il éprouvait…

Reste ici cette nuit… Mais demain, je te demanderai de partir…

Il sembla hésiter quelques instants, comme si l’idée des paroles qu’il allait prononcer le terrorisait…

Maintenant que tu sais… Je peux tout t’avouer… La pleine lune approche… A partir de demain… ou après demain, je suis incapable de le prévoir, je vais devenir dangereux… Je ne pourrai pas prendre le risque de t’héberger plus longtemps… Je suis désolé…

Il émit un mince sourire qui se voulait rassurant, et alla reprendre son livre… Il en avait dit bien plus que durant les dernières années de sa vie, et le choc se ferait ressentir durant de longs jours… Il s’affala sur le canapé et sentit les prémices du sommeil lui alourdir les yeux…

Invité

Leîla resta d'un silence que l'on ne lui connaissait pas, incapable de parler, elle ne fit que l'écouter sagement, elle essayais de le comporendre, mais même si l'on est compatissant l'on ne peut pas dire ressentir la souffranc dés autres, mais Leîla d'une certaine manièrel'admirai de rester droit et juste malgrés sa situation, songeant que nombreux d'autre personne se retrouvant dans une situation tel que cel de Jared serait devenu fou... de désespoir, cette pensée la terrorisa, et elle se promis faire en sorte que cela n'atteigne pas Jared, elle se le promettait, et elle metterai tout en oeuvre pour que sa promesse se tienne... Pour du certaine manière honoré le courage du jeune homme qu'elle trouvais particulièrement réspectable, sans dire un mot elle s'installa près de la cheminé et se laissa pensée un cours instant avant même de plonger dans le deluge du sommeil qui l'emporta sur le stress de cette soirée peut commune... Elle ne reva pas, contrèrement à d'habitude, elle s'endormit lourdement la tête dans un coin creux de la cheminé...

Le lendemain matin le soleil perca doucement les nuages encore present, Leîla se reveilla silencieuse elle se glissa dans la salle de bain passa une main dans ses cheveux et se parfuma comme n'importe qui, elle se regarda longuement, elle ressemblais à n'importe qui... Mais elle ne l'était plus, en s'endormant elle avait eu peur que le lourd secret qu'elle portait ne se lise sur son visage et son reflet dans se miroir la rassura quelques peu, l'on ne voyais rien... Elle se souria même si elle avait les yeux rougies par la soirée plutôt longues et gonflées comme deux melons... Elle revînt dans le salon et Jared c'était endormit sur son livre elle posa ses lèvres sur son front d'un maternel qu'elle ne se connaissait pas, elle se sentait presque responsable de son mahleur et même si il était un peu plus vieux qu'elle elle se sentait d'une responsabilité envert lui des plus grande... Elle enfila son manteau pris un post it gribouilla un peu dessus et le colla sur le frigo avant de s'éclipser dehort blottis dans son manteau...

*Jared, je suis partit tôt se matin pour aller travailler,
Je te souhaite une bonne journée, je vais allé habiter chez ma demi soeur dans un manoir le seul de la ville tu le trouvera facilement il n'a pas de fenêtre ne me demande pas pourquoi je n'en sait rien... Viens me voir, ma demi soeur est un peu comme toi elle te comprendra peut-être mieux que moi...

Bises

Leîla*

Elle partit au boulot le coeur lourd mais ne le montra pas elle se sentait un peu fragile et particulièrement suceptible on lui aurait dit que sa robe ne lui allais pas très bien qu'elle fondais en larmes... Le soir même elle fît un petit detour par chez Jared il n'y avait pas de lumière il était partit travailler, elle fût soulager et s'en alla donc vert chez sa soeur qui tout comme Jared lui cachais un lourd secret... Mais elle ne le savait toujours pas... Elle fit quelques pas dans la maison sale lugubre, elle pris un balai se demandant comment celui ci tenais dans une seule partit et ballaya des couches de poussière impressionante... (de la moquette) elle soupira se jetta sur le canapé et sous le bruit qu'il poussa se releva, l'on aurait crue qu'un animal se logeait dans le ventre du canapé...

Invité

Jared ne rêva pas cette nuit là. Les évènements de la vaille l’avaient profondément chamboulé, malgré le sang froid relatif dont il avait fait preuve. Il ne pouvait pas s’empêcher de se sentir pris entre les mailles d’un filet invisible, semblable à une bombe à retardement. Il s’agita dans son sommeil, prononçant des syllables hâchées dont le sens était plus que douteux, se réveillant parfois, en proie à une peur panique qu’il ne pouvait pas contrôler. La nuit fut longue, mais elle passa. Tôt le lendemain matin, épuisé, Jared sombra enfin dans un sommeil réparateur, et n’entendit pas Leîla lorsqu’elle se prépara à partir. Il ne sentit pas non plus ses lèvres lorsqu’elle l’embrassa de manière maternelle, et heureusement. Nul ne sait s’il aurait été capable de bien réagir, face à un tel acte d’affection.

Il ne se réveilla que quelques heures plus tard, des cernes autour des yeux et plusieurs courbatures inexpliquées lui faisant prendre la démarche d’un vieil homme. Inexpliquées… Pas vraiment. Elles n’étaient que la marque flagrante qu’il approchait irrévocablement du jour fatidique. C’est sans entrain que le jeune homme partit travailler, trop endormi pour avoir remarqué le post-it que lui avait laissé Leîla. Sa journée fut maussade, et il fit plusieurs erreurs durant ses manipulations, qu’il mit sur le compte de son état physique, bien entendu…
Il fit en sorte de s’éclipser de l’hôpital plus vite que prévu, et entra chez lui, plus fatigué que jamais. Il avait obtenu un congès pour motif de vacances… Ce qui lui laissait le temps de se remettre de sa transformation prochaine. Il ajusta la grille de son appartement, non sans difficultés, et ferma tous les volets, comme il en avait l’habitude, tous les mois…
Et alors, seulement, il trouva le post-it laissé par Leîla. Tout d’abord perplexe quant à son contenu, il abandonna vite tout doute. Ainsi, elle lui était restée attachée jusqu’au bout, et comptait bien le revoir. Cette pensée l’attristat autant qu’elle le réjouit. L’éternel conflit intérieur… Il alla ranger le post-it dans son atelier, ainsi il ne le perdrait pas de vue, dans l’optique d’une nouvelle rencontre…

Puis, faisant preuve d’une molesse qui ne lui était pas coûtumière, il alla s’installer sur son canapé, et n’en bougea pas durant un temps qui s’apparenta à une semaine… Il perdit la notion de réalité et de temps, et perdit quelques kilos, comme chaque fois qu’il subissait sa mutation. Une fois revenu à son état normal, il démontra d’un épuisement à la limite dangereux, et s’empressa de reprendre des forces. Quelques jours plus tard, il allait mieux, et put enfin songer à enlever la grille qui barrait l’entrée de son appartement…

{ Pour les potentiels visiteurs, faites comme si vous arriviez quelques jours plus tard... C'est évident, mais évitons les découvertes fâcheuses }

Invité

[HJ: jvas voir mon parrain mdr] ^^

Saraï sortait de prés au lard, le teint pâle l'air amaigrit... Elle sortait d'une pharmacie, une amie à elle l'avait trainer la bas de force pour sa maigreur qui la rendais presque osseuse, mais cela ne se voyais plus tant que sa cacher derrière de gros vètement en coton épais... Elle fît quelques pas, elle n'avait pas cours aujourd'hui, pour une raison que l'on ne lui avait pas divulguer, et tout les élèves ou du moins la plupart était rentrer chez eux... Saraï elle vagabondais dans les rues froides de prés au lard... Il se mis à pleuvoir et Saraï se mis à courir, l'eau geler lui glacais les eaux déjà bien visible en dessous de sa peau, elle grelottait et finalement arriva dans un petit quartier un peu pomé, elle ne savait plus ou elle était et vu son état physique, la course et la peur elle s'écroula sur le sol dans une petite ruelles mal éclairer, sombre... Humide, elle fermis les yeux mais ne les rouvrit pas inanimé... La pluie lui martellais les côtes, et elle tremblottait dans cette serpillere qui lui servais de vetement...

FLASH BACK
<< Akina... Tu m'achetes un bonbon?>>
<<Non petit monstre>>
Un silence s'impose et la petite Saraï attend elle reflechit avant de tirer le pan de la robe de Akina pour lancer
<<Grande soeur, pourquoi tu ne m'aimes pas?>>
<<Parce que tu es stupide et jolie...>>
Et la Saraï ne comprend pas et s'en fiche, elle est trop jeune pour prendre au serieux les paroles de sa soeur et s'en vas en courrant... En larmes comme toujours...
FIN DU FLASH BACK

Au bout de quelques minutes elle entand une voit ses yeux entrouvre mais les imùages sont trop floues pour qu'elle les comprènent et elle refermes les yeux encore une fois... Elle as froid, et elle à mal, sa tête à du percuter quelques chose de dur et de douloureux...

Invité

HJ : Bienvenue, chère filleule Laughing

Jared n’était pas ressorti de son appartement depuis sa dernière transformation. Affaibli physiquement et intellectuellement, il reprenait des forces, petit à petit. Mais ce jour là, une pluie battante menaçait de métamorphoser son appartement en vasque d’eau, et il avait été obligé d’agir. Arpentant les diverses pièces de long en large, il lançait des sorts de colmatage à tout va. Ereinté, il finit par abandonner tout espoir de préserver en totalité son habitation. Ce n’était que trop flagrant, son toit menaçait de céder sous la pression. Certes, son salaire lui permettait aisément de le faire changer. Mais une flemme millénaire additionnée à un contentement silencieux de sa condition le retenait de le faire. Et s’il se faisait ensevelir sous les décombres de son toit, fort bien, il ne se plaindrait pas de ne pas avoir été prévenu. De toute manière, il n’en aurait certainement pas l’occasion. Jetant un œil à l’extérieur, par une fenêtre depuis longtemps hors d’état de fonctionner, il lui sembla apercevoir une forme, au loin. Elle ne bougeait pas, aussi il pensa qu’il s’agissait d’une simple poubelle, que le vent avait amenée ici. Il s’affaira de nouveau, désintéressé du monde extérieur, comme toujours.

Sa concentration placide fut cependant troublée par des éclats de voix. A l’extérieur, quelque chose d’inhabituel était en train de se dérouler. Connaissant son quartier comme sa poche, il comprit ce qui allait se passer. Un combat entre badaux, caractériel et sans un brin d’intelligence dans la cervelle. Et si un innocent se trouvait parmi eux ? Cela était déjà arrivé par le passé, et personne n’était venu à son aide. Désoeuvré, Jared décida de jeter un œil à l’extérieur, et sortit dans la fraîcheur du jour, ignorant la pluie…
Et ce qu’il vit lui fit avoir un haut le cœur. Ce n’est pas son instinct naturel qui parlait, mais celui du guérisseur, révulsé… Une enfant était allongée sur le sol, visiblement en état de choc, et trois moldus l’entouraient, tel des félins ayant trouvés leur proie. Qu’allaient ils faire ? Rien de fatal, certainement. L’insigne brillante de Poudlard qui se trouvait sur l’uniforme de la jeune fille lui donnait une apparence mystique, pour de simples d’esprit. Jared fut subitement fier des ragaux qu’il avait délibérément divulgué dans le quartier, prétendant que des sorciers venaient en repérage, afin d’établir leur dictature dès que possible… Stupide, mais il savait que ça lui servirait, en cas de découverte fâcheuse, à son sujet.

Taraudé entre l’envie de retourner se terrer dans son appartement et celle de commettre la bonne action de l’année, il décida d’approcher des quatre personnes. Son regard le plus froid fut lancé aux trois hommes qui, supersticieux, sortirent de leurs poches des couteaux, visiblement adaptés à la boucherie. Jared sortit sa baguette, dans un signe caricatural de démence. Il appréciait d’effrayer les simples d’esprit, son esprit belliqueux s’exprimait de la sorte. Les trois hommes ; ébahis et effrayés, hurlèrent de frayeur et prirent la fuite, sans demander leur reste. Cette fois ci, Jared avait dominé la situation sans en venir aux mains… Mais qu’en serait il des prochaines fois ? Il préféra ne pas y penser, et approcha de la jeune fille, proche de l’évanouissement. Sans lui demander son avis, et sans le moindre réconfort, il l’attrapa et la hissa sur ses épaules. Puis, il entra dans son appartement, la posa sur les débris de tissus qui couvraient son canapé, et alla s’enfermer dans son laboratoire. Là, il prépara une décoction qui ferait revenir un taureau des limbes de l’inconscience. Certain de lui, il réapparut dans le salon, et tendit une potion fumante à la jeune fille. Son regard ne tolérait pas le refus, il agissait de la sorte par pûr instinct de guérisseur…

Sujet: Re: { Appartement Morohtar } Jeu 12 Oct 2006 - 20:27

[Lala attaque enfin hehe

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Jared~~, le guérisseur au grand coeur qui vouait sa vie aux autres~~ soignait la jeune fille qu'il avait trouvé devant sa porte. Elle semblait en mauvais état et elle n'allait pas très fort. Elle ne devait vraiment pas aller très très fort car ~~le beau, grand, fort, parfait, intuitif (l'abus de lèchage de bottes est mauvais pour l'état de santé des langues)~~ Jared n'avait pas remarqué que dans sa chambre, le tas de draps rapeux qui recouvraient son matelas miteux (copyright Jared) étaient entrain de bouger, chose assez bizarre même chez les sorciers. Il bougeait de plus en plus,on voyait même un petit monticule émerger. Cela ressemblait un peu au volcan, pas très longtemps avant l'irruption et l'explosion qui allait généralement avec parce qu'il ne fallait pas oublier qu'il y avait deux types de volcans, non non non, il ne fallait pas oublier parce que sinon on pourrait croire qu'il y avait des grandes explosions à chaques fois alors que c'est pas vraiment le cas il ne faut donc pas mettre de côté le fait qu'il y a deux types de volcans bien différents et pas du tout du tout pareil. Quelque chose émergea enfin du tas de draps, quelque chose qui ressemblait vaguement à une touffe de cheuveux blancs incroyablement emmêlés. C'était plus proche du balais brosse que d'une cheuveulure normale d'une personne normale. La touffe de poils remua plusieurs fois sur elle-même, se tournant vers différentes directions. Finalement, elle retourna sous les couvertures, repassant en mode sous marin.

Une masse informe commença à bouger sous les draps, qui annonçait quelque chose de plus gros qu'une touche de cheuveux. Cette chose rampa un moment entre les draps et le matelas avant de faire un "boum" étouffé pa terre. La masse informe avait entrainée avec elle une partie des draps dans sa chute, ce qui donnait maintenant une boule de linge pas très doux, mais pas odorants pour autant. Quelque chose sembla émerger une nouvelle fois du tas, ce n'était plus une touffe de poils blancs mais une petite main blanche, suivie de près par une tête. Elle appartenait à une petite fille, qui ne devait pas être bien vieille. La figure était toute blanche, la seule trace de couleur venait des yeux bleus, légèrement rougis par le récent sommeil. Elle semblait encoer endormie, complètement dans les vappes et elle se frotte les yeux avec sa main libre. Après un instant de vide et d'immobilité totale ~~qui montrait la concentration et la force mentale~~ la petite pitchoune se servit de sa main pour s'appuyer par terre et se redresser en se débarrassant plus ou moins des draps. Les yeux à moitié fermés, elle se mit pourtant à trotiner avec détermination vers la pièce où était Jared et sa patiente. Elle tenait toujours dans une main un drap qui la suivait derrière. C'est ainsi qu'elle déboula dans la pièce au canapé avec son étrange traine ~~de grande princesse de haute lignée qu'elle était~~. Arrivée vers le mileu de la pièce, le drap se tendit. Il était encore plus ou moins rattaché au lit qu'il bordait normalement et cette résistance soudaine fit tomber la filette sur les fesses. Elle cligna des yeux plusieurs fois avant de tourner la tête en arrière pour voir ce qui clochait avec son drap. Elle se remit debout et elle entreprit de tirer sur le drap pour le dégager. Sa lutte dura plusieurs instants, au bout desquels elle lacha tout et retomba sur les fesses. Le drap était plus résistant que prévu et finalement, la fillette abandonna son combat épique contre le bout de tissu. C'est à ce moment qu'elle remarqua qu'elle n'était pas seule dans la pièce. Elle tourna son regard ensommeilé vers la fille et l'homme. Elle sourit autant qu'elle put en étant à moitié dans les choux et elle dit de la voix la plus enjouée possible:

"Chalut P'pa!"

Ladira Morohtar avait encore une fois montré son habitude d'appeler les garçons plus vieux qu'elle P'pa. Elle n'avait jamais compris que cela ne se faisait pas d'appeler tout le monde P'pa et M'man, surtout que dans certaine situations, cela pouvait être gênant. Par exemple, dans celle-ci, Lala n'avait pas revu son frère depuis un moment, il se pourrait très bien qu'il ne la reconnaisse pas. En plus, elle parraissait encore plus jeune que d'habitude parce qu'inconsciemmment, elle avait un peu rétrécit ~~au lavage~~ en dormant pour avoir moins d'espace à réchauffer vu qu'il ne faisait pas rtès très chaud. Une personne exterière aurait effectivement pu croire qu'il s'agissait de la fille de Jared, mais bon, quand on connaissait Jared, cela faisait un peu surréaliste de se dire qu'il avait une fille, nan? La fillette repartit en trotinant comme elle était venue vers la cuisine. Arrivée à destination, elle monta sur une chaise et elle commença à farfouiller partout le plus naturellement du monde comme si elle habitait ici depuis des années.

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