Agression dans la Pénombre

Bien que l'obscurité lui cacha la plupart des réactions d'Istari, la jeune femme n'eut aucune peine à deviner l'effet qu'avait eut sa déclaration sur Istari. Pendant qu'il frissonnait, elle fit glisser sa main de ses cheveux à la ligne de sa machoire. Elle fut déçue de ne pouvoir sentir la fine peau de son compagnon sous ses doigts. Elle allait lui demander de s'écarter le temps qu'elle soigne au moins l'une de ses mains -au diable le risque que son corps ne puisse plus se soigner lui même- quand il l'embrassa à nouveau.

La jeune femme ne pu s'empêcher de soupirer de satisfaction tandis que son corps se pressait instinctivement contre celui de son compagnon dont elle avait, tant bien que mal, commencé à caresser le dos. Un frisson la parcouru tandis qu'elle lui rendait son baiser avec un étrange mélange de tendresse, de douceur et de quelque chose de plus... sauvage et indéfinissable. Néanmoins, elle prenait garde à rester mesurée, ne voulant pas gêner Istari et ainsi, mettre fin à ces minutes que la jeune femme savourait pleinement en dépit du fait qu'elle ne pouvait pas faire tout ce qu'elle voulait avec ses mains.

Iranoe ne fit pas vraiment attention quand Istari lui caressa les cheveux. Par contre, un violent frisson la parcouru quand elle sentit une main parcourir son corps avant d'aller s'enfouir sous ses vêtements afin de recommencer. Elle ne tenta pas de réprimer les réactions de son corps, comprennant que c'était ce qu'Istari voulait: que son corps réagisse tandis qu'il l'effleurait avec tendresse. Cependant, la jeune femme finit par être agacée de ne pas pouvoir rendre la pareille à son compagnon. Elle finit finit par interrompre leur baiser avec délicatesse avant de murmurer au creu de l'oreille de son compagnon.

-Istari... tu pourrais me soigner les mains comme tu l'as fait la première fois?

Invité

Il fallut quelques secondes à Is' pour réaliser qu'Iranoe avait formulé une question, le priant de bien vouloir réappliquer son sortilège de soins, qu'il avait pratiqué un peu auparavant, dans cette rue sombre de l'Allée des Embrumes.

"Je ne pense pas que ca soit une bonne idée princesse... et ce pour deux raisons..."

Il approcha alors sa bouche de l'oreille d'Ira, en mordillant l'extrémité avec délisse.

"De un..., ça banalise l'acte de mutilation. C'est une mauvaise chose, la douleur et la patience sont de bonnes enseignantes... J'imagine que ca t'évitera de nouvelles actions similaires, un jour, où du moins y contribuera de quelques manières que ce soit."

Istari effleura un instant la poitrine d'Iranoe avec l'extrémité de ses doigts, qui parcouraient toujours de part en part la silouhette de son corps de déesse.

"Ensuite... comme je l'ai déjà dit, ca rendrait ton organisme paresseux à la longue."

Il soupira, puis retira ses mains, basculant à nouveau aux côtés de la descendante Sayuri.

De Menessi tendit néanmoins un bras qui alla se placer derrière la nuque de sa princesse, alors que sa main émergeait au niveau de l'épaule de la jeune femme. Is' caressait quelques'unes de ses mêches du bout des doigts.

"Tu ne pense pas?"

Soupira le brun, en jetant un regard de braise à sa bien-aimée.

Un sourire amusé se dessina sur les lèvres de la jeune femme tandis qu'elle constatait qu'il fallait quelques instants à Istari pour répondre à sa question. Néanmoins, son sourire ne tarda pas à devenir une moue boudeuse quand elle entendit les premiers mots de la réponse négative de son compagnon. Elle émit un grognement pour maifester son désaccord mais celui ci se transforma rapidement en un râle tandis qu'il mordillait le lobe de son oreille avant de faire passer une main sur sa poitrine. La carresse était légère mais terriblement sensuelle. Iranoe frémit, tout en écoutant la réponse d'Istari. Lorsque celui ci s'éloigna, elle soupira avant de lui répondre.

-Non, je ne pense pas.

La jeune femme laissa un blanc avant de se redresser et, dans un geste aussi rapide que souple, elle se mit à califourchon sur les hanches de son compagnon. Elle se pencha sur lui, fit glisser ses lèvres sur la peau douce du cou de celui ci avant d'ajouter.

-Mais je comprends ce que tu veux dire... Sauf que je doute que tu trouves agréable le fait que je te caresse et qu'au lieu d'avoir mes mains, tu as des bandages somme toute... assez rapeux...

Elle eut un rire amusé, sensuel, avant de terminer.

-A moins que tu veuilles que je ne te rende rien...

Invité

Is' perçut à peine le négation d'Iranoe... Un instant d'après, il était déjà pris au dépourvu par son innitative, délicieusement surprenante.

Le corps du jeune frémit lorsqu'il sentit la merveilleuse caresse des lèvres de sa petite amie dans son cou. Il ne put réprimer un sourir accompagné d'une légère plainte. Istari se maitrisa suffisament pour prêter une oreille au propos qu'énonça ensuite Ira'. Elle revenait à la charge avec les bandages, usant d'arguments forts habiles qui le plaçaient dans une situation délicate. Son petit rire marqua le glas de l'offenseive verbale, lorsque l'instant d'après, la sorcière déclara qu'elle pouvait aussi très bien ne "rien lui rendre". Brillante stratégie.

Is' s'apprétait à rétorquer quelquechose, lorsqu'enfin il réalisa que discuter ne servirait à rien en la circonstance. Il enfuit discrètement une main dans la poche de son vêtement qui voyait reposé en son sein la baguette ministérielle. Cette dernière jaillit, alors que Miss Sayuri se penchait sur sa personne.

"Hey hey hey... "

Le bout de bois s'était dressé entre les deux silouhettes, séparant chacun des amants.

"Il va falloir collaborer si tu veux que je réhitère l'acte magique de soins. Dans une telle position, j'aurais du mal à faire du bon travail..."

Il attrapa délicatement l'une des mains d'Iranoe, la caressait avec douceur, sans trop appuyer pour ne pas susciter de douleur. Il sussura les mots magiques, la pâle lueur, ô combien attirante, refit son apparition, effaçant les blessures, gommant la douleur et la chaire à vif. Le sortilège fut répété une deuxième fois sur le second membre de la compagne d'Istari. Le résultat s'avéra aussi brillant que la première fois. Les blessures s'étaient volatilisées, véritablement.

"Il nous reste encore ces affreux bandages..."

Sans même voir la baguette de son compagnon, Iranoe savait qu'elle avait gagné. Ce n'était pas une "victoire" au sens propre du terme, c'était juste une victoire dans le sens qu'elle avait su argumenter dans le bon sens afin de faire comprendre à son compagnon quelques petites choses qui ne se poseraient plus ensuite. Lorsqu'il brandit la baguette entre eux, la jeune femme eut un léger grognement pour ce bout de bois qui l'empêchait de faire ce dont elle avait envie. Mais en même temps, c'était ce bout de bois qui allait la libérer des bandages qui l'empêchaient de savourer la peau d'Istari sous ses paumes. A moitié distraite par la proximité de son compagnon, la jeune femme mit quelques instants à comprendre ce qu'il voulait d'elle.

Avant de se décaler pour lui permettre de se relever, elle murmura à son tour.

-Avoue que c'est parce que tu es troublé que tu veux que je m'éloigne un peu...

Elle lui fit un sourire à la fois sensuel et amusé tandis qu'il attrapait ses mains l'une après l'autre afin de les soigner. Quelques instants plus tard, la jeune femme fut heureuse de sentir ses mains bouger normalement. Certes, elles lui avaient fait mal mais la douleur avait été sa compagne pendant pas mal de temps durant son adolescence. Elle avait donc reprit, avec une rapidité déconcetante, l'habitude d'avoir mal sans le montrer. Lorsqu'Istari remarqua qu'il restait encore les bandages. Elle lui fit un sourire amusé avant d'enlever une partie du bandage d'une seule main. L'instant d'après, elle se penchait sur Istari et passait délicatement sa langue sur sa lèvre inférieure. Elle recommenca jusqu'à ce qu'elle n'ait plus les mains bandées.

Invité

De quelques gestes plus maladroits que de coutûme, Istari parvint à aider Iranoe à se débarasser des derniers lambaux de bandages qui recouvraient ses mains fines, délicates, mais capables en bien des circonstances d'une fermeté déconcertante.

Le garçon savoura à leur justes valeurs les échanges amoureux qu'Iranoe et lui se vouaient l'un à l'autre. Ils s'embrassèrent à maintes reprises, renouvelant la méthode afin de chaque fois provoqué davantage encore les sens de l'autre. Le comte introduisit ses deux mains à la hauteur des hanches de sa compagne, puis la fit basculer sur le côté, réadoptant une position plus agressive. De là, il alla plaquer l'extrémité de ses lèvres dans la peau du cou de la demoiselle, passant plusieurs fois sa langue sur cette dernière, suscottant le derme pâle durant de longues minutes.

Ensuite, le magicien remonta lentement jusqu'au visage d'Iranoe, pour scellées une fois de plus leur deux bouches. A présent, ils étaient complètement allongés l'un sur l'autre, Is' occupant le dessus, Ira' le dessous.

De Menessi souriait sans retenu... A un moment donné, il déclara d'une voix légèrement brisé:

- Tu sais princesse... à la base, ne sommes-nous pas restés ici, dans cette auberge miteuse, avec la ferme intention de nous reposer?! Je suis en train de t'entrainer à faire l'inverse... j'ai honte...

Une fois ses mains libres, Iranoe savoura la sensation de la peau puis des cheveux de son compagnon au bout de ses doigts, sur ses paumes... Elle soupira doucement, profitant et appréçiant à leur juste valeur les caresses d'Istari et celles qu'elle lui donnait. Lorsqu'il la fit basculer, elle eut un léger cri avant de rire, amusée. Elle le laissa s'amuser avec la peau de son cou tandis qu'elle en faisait de même avec ses cheveux, les emêlant avec une certaine malice.

Quand il lui parla, elle eut un rire amusé et sensuel avant de lui répondre.

-Tu te repproches quoi exactement? L'auberge ou bien le fait que tu m'entraînes autre part que dans un repos relativement bien mérité?

Elle retira une main de la chevelure de son compagnon et fit glisser le bout de ses doigts le long de sa ligne de machoîre avant de caresser ses lèvres. Elle se redressa afin de déposer un rapide baiser sur ses lèvres avant d'ajouter.

-Je te laisse décider. Soit on continue, soit tu me prends dans tes bras et on se repose...

Invité

"Il faut suivre la voie des sages, et à défaut, se référer à sa propre sagesse. Ores, la deuxième option est incontestablement la plus rangée... Je pense qu'elle est préférable à la première, dans certaines mesures auxquelles j'accorde plus grande importance qu'à d'autre. Nous devrions peut-être dormir..."

Son regard reflétait toujours une ardeur qui ne s'emparait de lui qu'en de trop rares circonstances. Istari se laissa choir à côté de la jeune femme, passa un bras sous sa nuque, et pressa Iranoe contre son corps d'homme, savourant sa présence à ses côtés.

"Merci... "

Istari ne put s'empêcher d'avoir une pensée pour les hommes de Sayuri-père. Qu'était-il advenu d'eux, qu'en avaient fait les aurors?! Quel curieux caprice du destin que d'avoir fait en sorte qu'en ce jour, Iranoe et Istari se rapprochent de la sorte. Pourquoi avoir placé sous l'acte de la violence celui de leur Amour?

Un diseur de bonne aventure y aurait-il vu un présage? Le très jeune comte laissa de côté ses quelques délibérations, avant de s'adresser à celle qu'il chérissait plus que tout.

"Tu te rends compte Princesse, demain, j'ai 20 ans, et ce soir, tu m'as offert le plus bon des cadeaux dont je puisse rêver!"

-La voie des sages n'est pas forcément la meilleure, Istari... Il existe des sages qui se sont trompés... un jour.

Elle n'avait pu s'empêcher de le taquiner tout en lui rendant son regard ardent. Elle fit glisser une main avant qu'il ne se laisse tomber à côté d'elle et qu'il l'attire vers lui. La jeune femme se blottit contre son compagnon en soupirant doucement. Elle ferma à demi les yeux, savourant l'étreinte d'Istari qui, malgrè le fait qu'elle ne ressemblait pas à la précédente, était très agréable. Lorsqu'il la remercia, elle ouvrit les yeux et demanda.

-Pourquoi me remercies tu?

Elle ne fit pas de commentaires en sentant Istari perdu dans ses pensées. Mais elle hésita quant au fait de le tirer de là comme la première fois. Elle laissa errer le bout de ses doigts sur son torse avant d'arrêter. Lorsqu'il lui dit que le lendemain c'était son anniversaire, la jeune femme cacha sa surprise. Elle n'était pas au courant et de ce fait, n'avait rien préparé pour lui et lui avaient encore moins acheté quelque chose. Néanmoins, il l'avait intrigué.

-Lequel, Istari?

Invité

Istari ne put retenir un soupir d'aisance... avant d'enfin prendre du recul vis à vis de ses pensées, et de répondre à sa belle.

"Pourquoi je te remercie?... Pour le cadeau... Et quel cadeau?... Ce simple "Je t'aime Istari". "

Le comte arborait un petit sourir espiègle, qui lui convenait à merveille. Suite à ses deux réponses, il n'y eut guère plus de discussions entre eux-deux. Du moins par le biais de la parole.

Ils restèrent allongés l'un contre l'autre, pour finalement sombrer dans un sommeil répérateur et sain.

Curieusement, les rêves d'Istari furent d'une nature plutôt agréable, alors que de coutûme, la date de son anniversaire sonnait le glas de la venue d'incessants cauchemars, tous basés sur les affreux moments de son enfance, ceux qui avaient vu disparaitre de sa vie ses parents, sa condition, tout ce qui faisait de lui ce qu'il était.

Une fois de plus, inconsciemment, Is' se rapprocha d'Iranoe, si ce fut encore possible.

Si Iranoe fut touchée par la réponse d'Istari, elle ne le lui montra pas, préférant le garder pour elle même. Elle laissa un ange passer avant de se redresser légèrement et de glisser quelques mots doux à l'oreille de son compagnon. Elle termina en murmurant avant de déposer un dernier baiser dans son cou.

-Je t'aime, ptit ange...

Elle eut un sourire tendre avant de se blottir un peu plus contre son compagnon. Elle soupira de bien être avant fermer les yeux et de sombrer dans le sommeil. La jeune femme était tellement épuisée qu'elle ne rêva même pas. Durant la nuit, elle se contenta de bouger pour trouver une meilleure position et le fit un certain nombre de fois avant de revenir se caler contre son compagnon auquel elle s'accrocha comme si sa vie en dépendait.

Invité

Matinal, c'est le moins qu'on puisse dire du réveil de De Menessi, qui ouvrit pour la première fois ses paupières à 4h22 minutes, découvrant la chaleureuse présence d'Iranoe, toujours appuyée contre son corps, à l'origine d'une chaleur physique et mentale qu'il n'avait que rarement connu dans sa vie.

Is' caressa quelques mèches éparses de la chevelure de la jeune femme, avant de finalement se dégager de son emprise, pour se hisser hors du lit.

Le plancher de la chambre craqua sous son poids, mais De Menessi prit suffisament garde aux grincements dont il était à l'origine, afin de ne pas entraver le sommeil de la belle. Il se dirigea vers la fenêtre de la chambre d'hôtel, puis l'entre'ouvrit, afin de glisser sa tête à l'extérieur.

Le regard du brun se perdit dans la voûte céleste, captivé par la nuit étoilée qui supportait l'avènement de son 20 ième anniversaire. Il se sentait grandir, devenir meilleur de jour en jour, atteindre les objectifs qu'ils s'étaient fixé, grignoter petit à petit les échelon d'une longue échelle sensée mené à la puissance.

Le sorcier soupira, libérant un nuage de condensation. Il admira le chemin de Traverse, froid, silencieux... mort. Rien ne troublait l'apparente tranquillité des lieux.

Finalement, Istari renonça à son évadée, songeant qu'il était né à 2h48 du matin. Maintenant, il avait vingt ans. Serait-il digne de cet âge?! Il l'espérait.

Satisfait de son interlude, il rejoignit Iranoe, s'allongea une fois de plus à ses côtés, mais ne dormit plus. Il regarda simplement cet ange noir qui lui faisait face. Tant de beauté incarné dans un être. Il n'en revenait toujours pas.

Aux premières lueurs du jour, Is' se pencha sur sa silouette, plaqua ses lèvres sur son front, et l'embrassa doucement, dans l'espoir de la réveiller de la manière la plus délicate qu'il soit...

"Hey..., princesse?"

Rendue sereine par la présence d'Istari et par ses bras qui l'entouraient, Iranoe avait passé l'une de ses meilleures nuits depuis qu'elle avait arrêté l'école. En effet, depuis ce jour là, elle ne s'était jamais sentie en sécurité malgré les sorts d'une puissance exceptionelle qu'elle avait posé autour de sa maison et la présence de son frère... quand il daignait être là. L'ombre de son père planait toujours sur son sommeil, quoiqu'elle fasse. Et là, il suffisait d'une présence et d'une étreinte pour qu'elle se sente en sécurité.

Aussi, elle avait ouvert un oeil lorsqu'Istari s'était levé au milieu de la nuit. Silencieuse, elle l'avait suivit du regard avant de se rendormir, certaine qu'il ne partirait pas. Lorsqu'il était revenu contre elle, elle avait eut un léger soupire qui paru naturel et elle s'était blottie contre lui avant de replonger dans un sommeil profond, inconsciente du regard de son compagnon sur elle. Lorsque, quelques heures plus tard, il tenta de la reveiller, elle plissa le nez en grognant avant de se blottir un peu plus contre lui.

Invité

"Je suis navré de t'annoncer ça Ira, mais je vais devoir me préparer et transplanner au Ministère, j'ai aujourd'hui comme tout autre jour beaucoup de travail qui m'attend, un labeur que je ne peux en aucun cas laisser de côté, sous peine d'être traité d'irresponsable, et à juste titre."

Il embrassa furtivement la demoiselle, puis quitta sa couche, se dirigeant vers la salle d'eau. Il y fut occupé durant plusieurs minutes, avant de réapparaitre devant sa dame, lavé, frais et dispo, comme de coutûme.

Le garçon lui adressa un sympathique clin d'oeil...

"Repose-toi ici princesse, je peux avertir le Département de la Justice magique que tu es absente pour cause de maladie. Ils comprendront très bien, et ca te laissera un moment pour réfléchir à la disccusion que j'aimerais toujours que nous aillons tout les deux...!"

Il laissa un bref silence s'installer, avant de le rompre, quelques instants après qu'il fût devenu pesant.

"Prends soin de toi, ménage tes forces... et ne te laisse pas faire. Si il y a le moindre problème, contacte moi par quelques astuces que ce soit. Je resterai... à "l'écoute..."!

J'espère que l'affaire des deux assaillants n'aura pas fait trop de remu ménage avec le département de la Justice et les Aurors. Il va falloir que j'accorde en premier lieu toute mon attention sur ce point."

Il sortit sa baguette magique en cerisier, longue et belle, élancée, pleine de promesse.

"Une chose encore... Princesse Ira! Je t'aime ."

Et, dans un souffle, il se soustreya à sa vue.

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