TOC TOC TOC !!qui est là?....LA MORT!!!!!!

L'entré avait été fracassante. Mais le 6eme étage était tellement bas que l'effet de surprise serait à son comble. Alors que les mangemorts commençaient à courir fou de rage et n'en pouvant plus d'attendre, Eleanor transplana près d'Heinrish dans un éclair noir. Ils se regardèrent un instant afin de se donné leur accord mutuel pour le grand départ. Elea tourna la tête et regarda Alekseï, cheyen,les Russes, et quelques mangemorts Anglais. Son équipe était au complet et n'attendait plus que son signal pour y allé.

Elle se tourna vers eux. Elle n'avait pas l'intention de faire un discourt, elle même n'avait qu'une hâte....Tuer.

-Bavez!!....Hurlez........!!!mais torturéééé!!!!

Les Russes émirent des grognements.Ils partirent tous en directions du 6eme étages, tuant au passage les passant et les employés essayant désespérément de fuir. la peur se lisait sur leur visage et Elea en prit un plaisir et une énergie dé mesurable. L'excitation était déjà à son comble. Et le voyage jusqu'au département des transport se passa dans les cris et la douleur des sorciers. Les Russes rageaient de plaisir. dans l'ascenseur Elle resta avec Alekseï et cheyen. Les russes avaient prit le deuxième. l'ambiance était tranquille. Elea prit sa dague d'une main et sa baguette de l'autre. Le silence n'était pas pesant, il était apaisant. Un calme avant la tempête dans une ambiance musicale de moldu qui accompagnait l'appareil. Musique énerva Alekseï qui explosa le petit appareil sur la paroi qui permettait de l'entendre. Le silence se perça alors d'un fou rire entre eux trois. Rire qui stoppa dès que la porte s'ouvrit. D'un oeil elle les regarda tout les deux.Petit sourire aux lèvres, en guise de bonne chance.

-Pas de quartier, aucun survivants. on se retrouve en pleins centre dans le plus grand bureau.

Dernier regard et elle fonce. Les russes étaient déjà à l'actions,une fumé avait envahit l'étage. des cris se faisaient entendre. D'autres mangemorts devraient pas tardé à les rejoindre. Elea se mit au boulo.

Mourir...... mourir de maladie ou par accident, ce n'est jamais glorieux. Cela fait mauvais genre sur la fiche de déces d'un légiste. "Mort pendant qu'il réparait son toit" s'apparante plus à "cet imbécile n'^était même pas foutu de tenir sur une echelle!" Cela n'a absolument rien d'héroique. C'est plus risible qu'autre chose. Avoir passé une vie tranquille pour que la dernière pensée que l'on ait de vous est que décidement vous n'étiez pas doué pour le bricolage et que vous auriez mieux fait de préférer le plancher des vaches.... Tsss pathétique. Cheyen Sandovar, appellé aussi "la belette", se plaisait à penser qu'il mourrait dans le feu d'un combat sanglant et acharné pour défendre ce en quoi il croit. Mourir pour ses idéaux est plus classe que mourir en remplacant une tuile.

Après avoir transplané au ministère, aussitot suivit d'une horde de sorciers hurlants, il laissa ses camarades russes s'occuper du départ. Ils en avaient bien besoin et Cheyen sentait leur envie de sang à des kilomètres grace à son flair bestial. Il resta dans l'ascenseur avec Aleksei et Elea et appercut le petit sourire sadique de celle ci avant qu'elle ne parte réhausser son quota de victimes. La nuit s'annoncait sanglante à souhait. Bien sur, Cheyen n'en avait rien à foutre de combien de vies allaient être gaspillées et songeait encore moins à se rassasier de la mort. Il laissait cela aux loups garous.

"Ok! Que ce en quoi vous croyez vous garde!"

Vieux réflexe... l'Irlande était un pays catholique fervant après tout! Ses yeux chocolats luirent de sa lueur animale et il sortit de l'ascenseur. Il courut à foulées régulières. Ses footings nocturnes payaient bien à en voir sa carrure athlétique. Il était tout en noir et se confondait avec les pierres des couloirs peu éclairés. Département des transports magiques... terrain de chasse. Cheyen laissa les instinct d'animal carnivore qu'il avait en lui prendre le controle de ses sens et de son cerveau entier. car oui, la belette sous ses airs de gentil animal doux est un carnivore, un prédateur!

Dans un bureau, piégés sans échappatoires, un groupe de sorciers empottés avaient l'air effrayés. Tremblez vous faites bien. L'un d'eux, un lourdeau maladroit, tenta un petit sortilège. Il n'eut malheureusement pas le temps de terminer la formule. Une dague souple avaient fusés et trouvé leurs cible dans la gorge, sectionnant net la trachée. Sortant une sorte de petit "katana", le sabre japonnais, Cheyen anéantit le reste du groupe en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "Par Merlin". Il récupéra la dague et continua son avancée.

(j'arrete là mon poste... j'en garde un peu pour plus tard )

Ses hommes étaient comme une meute de pittbulls enragés et affamés. Ils tuaient les hommes et les femmes sans poser de question. Ils s'amusaient.

S'ils savaient à quel point Alekseï les aimait dans leur bestialité. Lui aussi s'amusait mais de façon plus théâtrale, moins sauvage. Chaque kedavra lancé était précédé d'une figure chorégraphique : un coup par derrière le dos, entre les jambes, la baguette à l'envers, en s'applatissant, en bondissant, ... C'était puéril bien sûr, mais après tout, qui se soucierait de sa tenue alors que tout le monde était si occupé, l'un à satisfaire son envie de meutre, l'autre à survivre ?

Il était également très amusé de voir la tête des gens former ce mélange de surprise, d'interrogation et de peur. Voir Ronald Reagan te lancer un kedavra, cela avait effectivement de quoi surprendre. Alekseï adorait jouer avec la métamorphose.

Si bien qu'il prit le temps de torturer une jeune et jolie secrétaire... Bien jeune d'ailleurs... Probablement une stagiaire, pour l'été. Il la bloqua dans un coin et lui lança un sortilège d'Endoloris. A chaque fois que celle-ci se retournait, entre deux élans de douleurs, elle voyait la tête du mangemort se changer successivement en celle d'une araignée, d'un serpent, d'une créature visqueuse à la barbe de tentacules, et même d'un poulet. Quand il fut satisfait, sa victime était tout repliée sur elle-même, hoquetant sous les sanglots, les yeux si hagards qu'ils semblaient sortir de leur orbite.

Alekseï éclata d'un rire machiavélique et le fit partager à Elea.

Voilà comment donner à vie chez quelqu'un la phobie des araignées, des serpents, des fruits de mer et des volailles !

Dans un élan de courage désespérée, sa victime se releva et sortit sa baguette tout en criant comme une furie.

Citation :

Espèce de m.......

Alekseï fut le plus rapide.

Levicorpus.

Son jouet humain se retrouva en l'air, les pieds en haut, la tête en bas, ce qui la mit dans l'inconvenante situation de révéler ce qui se cachait sous sa jupe : rien d'autre que sa toison naturelle.

Catin, souffla Alekseï entre ses dents, qui n'abjectait rien de plus que ces femelles sans honneur, qui écartaient les cuisses au premier venu par pur intérêt.

A l'image d'un chef d'orchestre, le mangemort agita sa baguette dans tous les sens, ce qui ballotter dans tous les sens la jeune femme qui se cognait aux murs du couloir. Le plus douloureux n'était pas le choc ou le sang qui giclait, mais le bruit des os qui se fracturaient à chaque collision. Quand elle ne cria plus, le visage en sang, les membres brisés et probablement la colonne vertébrale en mille morceaux, Alekseï rompit le sort et sa victime retomba sur le sol dans un bruit de chair flasque et d'os désarticulés.

Le mangemort fit un mouvement circulaire avec sa nuque, comme pour évacuer une douleur dans le cou, hérissa un coin de ses lèvres formant ainsi un sourire méprisant, puis reprit le massacre. Cette femme lui avait fait prendre du retard. Elea en était déjà à 48.

Avada kedvra ! 31... Avada kedavra ! 32... Avada kedavra ! 33...

Ca ne compte pas, lui dit Elea, c'était un Elfe de maison.

Bon d'accord, 32 et demi alors.

Alekseï et Elea formaient un couple sanguinaire on ne peut plus terrifiant tellement ils avaient l'air de s'en amuser... Cela en devenait même monstrueux.

PNJ DORN CARTER (Mangemort)

Elle ne s'amusait pas. Elle, elle bossait. Elle avait beau être réputé hystérique, elle n'était pas là pour s'amuser. On lui avait donné des ordres et elle allait obéir. Prendre le Ministère. C'était ça les ordres. Pas de quartiers certes, mais elle n'avait pas reçu l'ordre de s'amuser.

Dorn Carter n'avait aucun rang au sein des Mangemort, à part qu'elle était à chaque fois, qu'elle était réputé hystérique, mais elle faisait du bon boulot... et elle n'avait pas la langue dans sa poche.

- Avada Kedavra 32 et demi ?

Et elle éclate de rire avant de coller son poing dans la figure d'un employé de bureau. Elle s'approche d'Alekseï, éjecte un autre employé du ministère plus loins dans une pile de bureaux puis envoie une claque arrière la tête d'Alexeï.

- C'est une prise du ministère, pas le jeu de celui qui en tue le plus. J'ai hâte de vous voir, tois les deux, avec aucun employé à votre service quand vous serez maîtres de ce département. Impossible d'en profité, trop de boulot. C'est un pays qu'on aura à faire rouler. Pauvre crétin, termine-t-elle en retournant à ses moutons.

C'était pas faux comme image, car elle rassemblait plusieurs employés dans un coin.

Off / Dorn Carter, un PNJ, ok...

Alors qu'Alekseï s'acharnait sur les fonctionnaires, il reçut une claque derrière la tête. Il pensa d'abord à un objet que l'on lui aurait jeté, pour le blesser, mais il s'agissait en réalité d'une Mangemorte qui avait l'audace de lui faire la morale.

Comment oses-tu ! Sais-tu qui ... ?

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase. L'un de ses disciples avait jeté un sortilège de mort à celle qui avait osé porter la main sur son maître.

Imbécile ! Elle était à moi !

Alekseï secoua la tête avec consternation.

Par Raspoutine ! Maintenant, nous allons nous retrouver avec un incident diplomatique sur les bras !

Il jeta un regard interrogateur à Eleanor. Celle-ci était la plus haute autorité des Mangemorts anglais, après Heinrish. Il secoua la tête, histoire de dire "ne t'occupe pas de ça". Il était vrai de dire que les priorités étaient autres.

Pas de survivants !

C'était l'ordre donné par Eléanor et il allait le suivre. Après tout, ça l'arrangeait bien. C'était comme si, étant au régime, on lui donnait une pizza et qu'on lui disait, "allez, prends une part, tu peux faire un petit encart". Il n'allait pas se faire prier. Il mangerait toute la pizza.

D'un seul coup de baguette, il tua tout le troupeau de fonctionnaire qu'avait rassemblé feu l'hystérique.

C'est encore loin le centre ?

Cheyen louvoyait, ou plutôt il avançait avec une grâce animale entre les bureaux et les chaises, tuant à tour de bras et par volée de coups de poignards, dagues et sabres. Le jeune irlandais n'aimait pas tuer par magie, sauf quand il était vraiment pressé. Mais là.... là il avait quand même du temps devant lui. Il pouvait tout à fait se permettre ses petites frasques. Il était connu pour son amour inconsidéré du bel acier, de l'argent et de tout ce qui brille. Un animal a des instincts basiques, ils sont attirés plus facilement par un objet brillant. La belette ne dérogeait pas à la règle.

Il trancha d'un coup propre et net la gorge pale d'un secrétaire. Le corps du pauvre gamin roux, surement pas plus de la vaingtaine, s'écroula lamentablement sur le sol tandis que son sang coulait doucement sur sa peau d'albatre. Cheyen eut un frisson. il n'aimait pas la violence. Mais il était près à tout pour ses idéaux et quelques morts ne changeraient pas tellement son point de vue. Il regarda la lame de sa dague d'argent et le liquide rougeoyant qui glissait dessus. Il y avait une certaine fascination dans le regard habituellement si froid de l'irish babe.

Il entendit un faible bruit de respiration, un bruit imperceptible pour une oreille normale mais qui était accentuée chez Cheyen par le côté prédateur et bestial de son être. Il ne fit rien, il était serein. Il reconnaissait cette respiration et le bruit chaloupé de ces pas calfeutrés sur le sol de moquette du couloir. Cet homme, cette ordure! Il osait se présenter devant lui? La voix grave du mangemort irlandais s'éleva vers l'homme.

"Conrad? T'étais pas à la justice magique? Ils ont dut avoir du mal à faire passer le fait que ton plus cher collegue soit un mage noir! A moins que ça ne soit ton filleul, fils de ce dernier, qui a fomenté un attentat contre les chefs de départements qui ne soit la cause de ta disgrace. Enfin..... Devenir un vulgaire subalterne du transport alors que tu étais l'un des plus hauts placés du ministère! C'est moche!"

La respiration s'accéléra. Le regard de l'inconnu, un regard vert et clair, se tinta d'un semblant de surprise et d'incompréhension. L'homme semblait agé, la soixantaine bien tapée. Mais à l'instar de son ex meilleur ami Marty Sand var, Conrad Gayor avait l'air noble et vénérable. Le jour et la nuit. Deux meilleurs amis depuis toujours qui choisissent des voies différentes. Les frères de cœur qui se battent à mort comme des chiens! C'est moche oui......! Conrad parla, d'une voix claire bien qu'effrayée. Il savait que Cheyen n'était pas venu là pour discuter alors que des mangemorts saccageaient l'endroit.

"Che.... Cheyen? Mais que.... Pourquoi?"

"Je viens me venger! N'est ce pas évident? Pour un ex juge t'es pas très fin!"

"Che mon petit! Nous pouvons en discuter calmement!"

"Calmement? Tu te fous de moi? T'as discuté calmement avec mon père avant d'ordonner son exécution?"

Cheyen perdit son sang froid. Ce self-control qui était sa marque. Son indifférence polie et détachée. Il se tourna lentement vers le vieillard. Conrad était un excellant sorcier... avait été un très bon sorcier plutôt. Mais les années passées derrière un bureau au ministère avec la paperasse l'avaient diminué Mais quand bien même il aurait été toujours le même sorcier doué.... Cheyen l'était encore bien plus!

L'irlandais tira la dague qu'il avait acheté sur le chemin de traverse. Vieille et vénérable arme en argent. Cheyen regarda le vieil enn-ami de son grand-père et lécha la lame de manière provocante. Ses yeux bruns de braises avaient perdu leur insensibilité et leur froideur. Son regard était brulant et luisait de sauvagerie et de bestialité. Son instinct animal reprenait le dessus. Il eut un sourire de fou et s'approcha lentement de sa victime. La première victime dont il jouirait de commettre le meurtre.

******

Cheyen sortit du bureau en tirant la porte derrière lui. Il avait retrouvé son air indifférent et détaché. Le couloir était désert mais il entendait les voix. L'accent russe d'Aleksei était facile à identifier. Il avança vers eux. Ils étaient dans un bureau. Il entra et calla son dos contre le mur, croisant les bras, sa dague encore ensanglanté gouttant sur le sol. Son attitude froide était habituelle mais son regard lui luisait d'une lueur nouvelle. Un instinct nouveau et terrible. Il était définitivement passé de l'autre côté de la ligne. Je ne raconterais pas ce qu'il a fait à Conrad Gaynor. Imaginez ce que vous voulez. Mais c'était assez terrible et vicieux pour allumer désormais à jamais la lueur de folie et de bestialité qui avait jusqu'ici épargnée ses yeux chocolats.

(Racontage de life de perso mais ça m'amusait de dire que Cheyen torture quelqu'un pour une fois... ^-^)

Un Crac sonore dans l'atrium et l'Ordre du Phénix apparaît. Tous de blanc vêtu ou presque, il est très difficile pour quiconque de déterminer qui était déjà là ou qui vient d'arriver, puis ils se dispersent tous.

Le ciel d'été croise l'émeraude une dernière fois. Un regard complice et implorant la prudence si peu habituelle à Kaitz. Il lui répond par un clin d'oeil et un sourire, puis s'enfonçant un peu plus dans son capuchon, il prononce la formule pour embrouiller son visage.

Quelques secondes de plus en groupes, question de pallier à une éventuelle attaque. Il inspire profondémment et sent le fourmillement qui lui est si particulier lui chatouiller les creux des reins. Tiens, ça faiait longtemps qu'il ne l'avait pas ressenti.

-J'espère que t'aime courir parce que ça va être du sport, dit-il à l'adresse de Chad à côté de lui. C'est parti !

Un rapide tape d'encouragement sur l'épaule pour lui donner le signal de départ, Kaitz fonce tête baissée vers l'ascenseur le plus proche. Il s'y engouffre et appuie rapidement sur le bouton pour faire monter. La porte se referme derrière Chad qui talonne Kaitz.

Les quelques secondes que met l'ascenseur pour monter les étages leur permet de reprendre leurs souffle un peu.

- Pas trop nerveux ? questionne-t-il quand l'ascenseur fait soudainement un bond et vibre dangereusement. Ok, arrête 6e étage. Continuer en ascenseur, c'est pas sûr. Je préfère croiser des mangemorts que tomber dans le vide enfermé dans un ascenseur. T'en pense ?

En fait, Chad n'a pas trop le choix, puisque Kaitz a déjà appuyé sur le bouton du 6e étage. deux ou trois secondes plus tard, ils entendent le "ding" qui indique qu,ils sont rendus.

- Plisse les yeux, ce sera brillant, prévient-il avant d'agiter sa baguette.

Les portes de l'ascenseur vibrent et souvrent. Premier sort lancé du duo Chad Kaitz.

- LUMOS MAXIMA !

Et une puissante lumière déferle dans la pièce, aveuglant tous ceux qui s'y trouvent, laissant des points blanc et violets dans le champs de vision de ceux qui n'ont pas été prévenu.

Des mangemorts aveuglés, et des employés aussi, Kaitz débute son avancée par une Expulso qui envoie valser un mangemort plus loin et colle une solide droite à un autre qui se remet difficilement de la lumière. Un autre flash en peu de temps pour le bonhomme.

D'ailleurs, Chad peut remarquer que Rocstone économise au maxmum les sorts qu'il lance, préférant assommer d'un coup. Il les ralentit d'un Impedimenta qui fait mouche chaque fois avant de les outrepasser ou les mettre KO.

Kaitz a un but précis, à savoir atteindre le niveau 1 et aller chercher son père. Et possiblement le ministre s'il est avec son père comme il le devait. Donc il n'a aucunement l'intention de tuer qui que ce soit, sauf si il est obligé.

Chad sur les talons, c'est une avancée plutôt aisée jusqu'à maintenant. Il fait abstraction des corps des employés qu'il doit enjamber. Mais quels débiles ces mangemorts. Comment pourront-ils se regarder en face dans un miroir sans penser qu'ils ont brisé autant de vie.

- Tous des malades, marmonne-t-il. PROTEGO !

Ils évitent ainsi tout deux un sort lancé par une cape noire et sitôt le bouclier brisé par le sort opposé, il fonce tête baissée dans l'abdomen du lanceur et le plaque au sol. Un solide coup de poing et il est bon pour le pays de l'inconscience. Kaitz se relève, sur le qui-vive et il pointe une porte.

- Tu fonces tête baissée, j'te couvre. Prépare-toi à lancé un protego sitôt que t'as traversé la porte, au cas où. GO !

Kaitz est à découvert, mais il se relève, baguette à la main, prêt à protéger son compagnon de route.

PNJ CAROL TREMBLAY (Directeur du Départeemnt des transports magiques)

Non, Carol Tramblay n'était ni de la BIM, ni Auror. Même que d'habitude, c'était un brave type, passionné de transports et de moyens de déplacement. Mais Carol Tremblay était aussi un homme sociable qui se plaisait à cotoyer ses subalternes. Il aimait ses employés. Il aimait les gens. Il aimait la compagnie.

Ils étaient quoi, à peine 20 cette nuit à travailler au département des Transports. Les autres étaient sagement à la maison, en vacances ou ils avaient probablement dans l'idée de rentrer demain matin. Mais ça ne serait probablement pas le cas.

Pour l'instant, il se retrouvait coincé par une mangemort qui les rassemblait comme un troupeau. Elle s'avait s'y faire la femme, les sorts étaient précis, parfaitement lancés. Burrows aurait aimé en avoir une comme ça. Il entend comme elle l'autre mangemort à l'accent prononcé qui déclare en avoir tué 32. Sale prétentieux, va ! Ils n'étaient même pas 20 sur le département. Et à elle seule, la mangemort en avait rassemblée au moins une dizaine dans un coin.

Il assiste à la mise à mort de la Mangemort. Eh ben, s'ils étaient tous aussi crétins, pas étonnant qu'ils aient besoin de tuer tout le monde. Mais pour l'instant, ils étaient bien trop occupé à se tirailler que de s'occuper d'eux.

- On a notre chance pour s'en sortir, fait Tremblay en agitant sa baguette. En restant ensemble, on a plus de chance. Il estime rapidement qui est avec lui. Les cheminées, vous lancez un massif Protego que vous renouvelez à chaque tombée. Les balais, on leur lance tout ce qui vous passe par la tête et on se déplace vers la sortie. Maintenant !

Et en groupe, parfaite synchronisation, les membres du département des transports magiques s'avancent et une pluie de divers sorts offensifs, lancés de partout assaillent les mangemorts.

- FLAMBIOS !
- PROTEGO !
- DIFFINDO !
- PROTEGO !
- RICTUSEMPRA !
- DENTESAUGMENTO !
- EVANESCO ! (le mangemort atteint se volatilisa et se retrouva sur une île perdue de Papouasie, entouré de chamans Papou qui effectuaient un rituel de sacrifice d'un bouc noir. Il se retrouve en lieux et place du booc, au moment ou le couteau sacrificiel s'abat sur sa gorge. Parmi les mangemorts du ministère, un bouc terifié s'ébat, en abat quelques uns en bêlant.)
- PROTEGO !
- EXPELLIARMUS !
- LASHLABASK !
- PROTEGO !

Et, travail d'équipe oblige, les employés des transports se dirigent vers la sortie.

Assez vite, et même plus vite que prévu, les renforts étaient arrivés. Les Mangemorts qui avaient bénéficié de l'effet de surprise étaient maintenant dépassés en nombre.

La bataille allait maintenant se gagner non plus par la force mais par l'habilité. Avec Alekseï, ces Aurors allaient être servis. Anglais ou Russes, cela revenait du pareil au même : le "Cossack de la Mort" les haïssait tous autant et ne leur pardonnait pas ne serait-ce que l'affront de respirer le même air que lui.

Plusieurs attaques synchronisés leur tombèrent dessus, comme une rafale de sortilèges. Quand un "lumos maxima" fut lancé, aveuglant temporairement les mangemorts, Alekseï eut un réflexe défensif et forma un bouclier autour de son équipe. D'un mouvement de baguette, Alekseï lança un sortilège de lévitation sur tout ce qui les entourait, donnant une apparence zombiesque aux cadavres qui se retrouvaient ainsi debout. Protégés par un épais bouclier de machabés et d'objets divers, les sorts qui s'abattaient sur eux ne les atteignirent pas ou peu.

Celui qui lança un FLAMBIOS ne devait pas avoir l'expérience du terrain. La ligne de pseudo-feu qu'il tira était tout à fait innofensif. Le DIFFINDO qui fut lancé n'eut pour effet que de "déchirer" un cadavre en deux -intéressante mais brève leçon d'anatomie humaine en passant-, dans un bruit des plus dégoûtants. Le RICTUS SEMPRA eut pour victime un pauvre Elfe de maison, qui déjà agonisait lentement et dont la douleur fut accrûe par ces chatouillis qui le harcelèrent.

Citation :

Hi hi Aïe hi aïe hi hi hi ouille

De DENTESAUGMENTO ne manqua pas de produire un effet des plus effrayants sur un cadavre.

Le plus embarrassant fut l'EVANESCO. Qu'il fît disparaître un cadavre, cela était convenu, par contre qu'il fut remplacé par un bouc, cela n'avait pas de sens. Depuis quand ce sortilège intervertissait-il les objets visés ? Quoiqu'il en fut, Elea jeta un sortilège de métamorphose au bouc qui se transforma en adorable petit chaton. Ce dernier, qui ne s'était rendu compte de rien, continuait d'ailleurs à vouloir cogner les Mangemorts. Trognon...

L'EXPELLIARMUS priva de son épée à une armure de chevalier. Quant au pauvre cadavre qui se prit de plein fouet le sortilège de LASHLABASK, sa peau n'était plus très belle à voir après le passage des étincelles brûlantes.

Après cette rafale de sortilèges, pour la plupart ridiculement innofensifs, le calme revint. Elea inspecta rapidement les environs et fit signe aux autres que les fonctionnaires qui les avaient attaqués en groupe étaient partis.

Mais Alekseï en entendait d'autres arriver derrière lui.

Elea, aide moi !

Le mangemort usa une nouvelle fois de son sortilège de lévitation pour rassembler les cadavres et former un mur opaque bouchant le couloir. Eleanor gela le tout d'un coup de baguette. Voilà qui devrait ralentir un peu les renforts et donner un peu de temps aux Mangemorts.

Cheyen, approchez ! Les autres...

Alekseï embrassa d'un seul regard tout ce qui restait de son équipe. Beaucoup avaient péri...

Maintenant, ce n'est plus du chacun pour soi. On forme un bloc et on agit ensemble.

Il chercha du regard le consentement d'Eleanor. Cette dernière approuva ses paroles.

HJ Les PNJ dans ce post ne sont pas a tuer, il ne mourront que par ma propre volontée si je le décide. Merci.

Chad avançait, tête baissé, n’ayant pas encore eu le réflexe de se servir d’un sort. Ce n’est que lorsque Kaitz lançât son premier sortilèges qu’il réalisât sa bêtise. A son tour, il lançât un expulso en direction des mangemort en faisant voler un qui allât s’écraser contre le mur, alors que son acolyte les assommait a coup de poing. Chad remarquât vite sa façon de procéder, préférant les coups aux sortilèges. Nouveau sortilège de Kaitz qui ralentit un instant les mangemort qui arrivait. Chad n’avait pas grand-chose à faire, se déplaçant dans son sillon, évitant les sortilèges grâce a s couverture. Chad évitait de regarder au sol, enjambant les corps déjà tombé, car il savait pertinemment que cela ne le rassurerait pas le moins du monde. Pour l’instant, l’avancée se faisait aisément, il n’avait pas trop de trvail a faire, due a celui fournit par Kaitz.

-Tous des malades, PROTEGO !

Le sortilège du bouclier, déviât un qui leur était destiné, et Kaitz fonçât sur l’assaillant tête la première, tel un rugbyman qui va au contact. Après avoir assommé le mangemort, il lui montre une porte du doigt.

- Tu fonces tête baissée, j'te couvre. Prépare-toi à lancé un protego sitôt que t'as traversé la porte, au cas où. GO !

Chad entendit des cris de l’autre côté de la porte, apparemment la bataille faisait rage a l’intérieur. Chad fonçât tête la première, baguette au poing, faisant exploser la porte avec un sortilège, pas besoin de faire dans la finesse.

Protego !

Le charme du bouclier fait son affaire, car à cet instant, les sortilèges fusèrent du côté venant des membres du département à l’assaut des mangemort, qui s’était constitué un bouclier avec les morts déjà tombé au sol. Les sortilèges frappèrent la barrière de cadavre, pour certain l’effet était assez bizarre. Chad s’écartât, laissant sortir les membres du ministère, alors que les mangemorts se regroupaient à nouveau derrière un rideau de mort, qui semblait s’être solidifié. Chad entendait leur parole venir jusqu’à lui, Kaitz toujours dans son dos.

Maintenant, ce n'est plus du chacun pour soi. On forme un bloc et on agit ensemble.

-" On a tous attendu ce moment!! Il est temps de leur montrer que nous ne sommes uniquement des bruts sans cervelles. Longtemps ils nous ont mit cette image sur le dos, et même si oui nous sommes brut, notre intelligence est d'autant plus grande. Montrons leur de quoi nous sommes capable et par pitié faite les souffrir ....agonisé.....torturez les....achevez les au dernier moment. Laissez en un survivre dans la douleur ...Ainsi il pourra faire office de parole sur notre puissance"

Bien vous voulez rester ensemble, ça causeras votre perte bande d’imbécile. Chad sentit monter en lui quelque chose qu’il n’avait jamais connut auparavant. Un sentiment de puissance, ils pensaient ainsi se protéger, mais Chad savait comment agir. D’un geste de baguette, il jetât un Expulso d’une puissance telle qu’il n’en avait jamais jeté. Celui-ci frappât le mur de mort, et ceux-ci s’écrasèrent sur les mangemorts. Il répétât l’opération rapidement a plusieurs reprise, jusqu’ à ce que les mangemort soient pris dans leur propre piège, écrasés sous un tas de corps durs comme de la pierre, ne pouvant plus agir par un quelconque moyen.

A cet instant, deux femmes passèrent la porte, Chad n’eut pas le temps de réagir qu’elles se lançaient déjà a l’assaut du tas de mort.

PNJ Illiana Parker : Incarcerem.
PNJ Minotis : Avada Kedavra.

Chad tournât son regard vers les deux femmes. Comment cela était il possible ? Elle était là, dans son habit d’auror. Alors elle avait repris du service. Il aurait du s’en douter. Il ne put retenir une exclamation de surprise.

Maman ?

Sa mère tournât son regard vers lui, ne comprenant pas, car il avait bien évidemment modifié son visage. Il lui lançât un regard pour essayer de lui faire comprendre que c’était lui, mais elle ne saisirait certainement pas. Cela lui faisait bizarre, il avait toujours pensé qu’elle avait arrêté son travail, apparemment il s’était trompé. Cela faisait plus de deux ans qu’il ne l’avait pas vu, qu’il ne lui donnait pas de nouvelle, et aujourd’hui, il avait envie de se jeter dans ses bras, de ressentir à nouveau le plaisir de ses bras protecteur autour de son corps. A nouveau, il avait peur pour elle, mais il ne pouvait pas dévoiler son identité sans se vendre lui-même. Il devrait donc se résigner à attendre la fin du combat pour se révéler, a moins qu’il ait le temps de le faire entre deux batailles s’ils se retrouvaient seuls.

PNJ Illiana Parker : Allez dégagez, on s’en occupe.

A l’aide de sa collège, elle maintenait la masse de corps sur les mangemorts, leurs empêchant tout mouvement, lançant un Avada chaque fois qu’un bras dépassait. Ils avaient donc la voit libre vers l’étage suivant. Ce serait long, mais ils parviendrez a leur but, le premier étage. Chad s’engouffrât par l’ouverture, suivit de kaitz, se rendant vers le cinquième étage, la prochaine étape. Un dernier regard a sa mère, qui luttait comme un chef. Il croisât son regard avant de disparaître.

PNJ TRIO CHIMÉRIEN, Dario, Ixtaro et Zorion.

Les rares qui se baladent dans le ministère l'air si détendus. Ils ne se cachent pas, puisqu'ils n'existent nul part. De toute façon, ils sont en grande discussion philisophique sur la mégalomanie mal placée de nos jours.

- Bon, on fait quoi maintenant ?
- Équipe de nettoyage après sinistre, prévient le plus âgé en passant près d'Alexeï.

Le colosse qui les accompagne déstatufie la sorcière et la fait disparaître, tandis que la femme s'occupe de l'autre. La seconde aussi disparaît. Ils sont calmes et silencieux, comme des vautours qui tournent au dessus d'une carcasse.

- Ah, vous avez déjà nettoyé. Un beau département tout propre pour vous deux.
- Il n'y a plus que vous deux, ça vous fera un trèèèès grand bureau... et des dizaines de bureaux vides.
- Bonne chance, 2 pour remplacer 56 personnes... m'enfin, chacun son boulot, vous avez sans doute les capacités... mais bien peu de temps libre dans le futur. Allez, on a du boulot les amis.

Et ils passent la porte et la referment soigneusement. À travers la porte, on entend une exclamation.

- De très mauvaise ménagères, il nettoient leurs truc en foutant tout dans la pièce d'à côté.
- Y'a des vivants là-dedans.
- Ils jettent même ce qui est encore utile.
- Quel gaspillage. Allez, filez-vous deux.
- C'est dégoûtant, proteste Rocstone en tirant Chad des cadavres.

Un raclement sinistre se fait entendre sur la porte qui menait aux escaliers. L'encadrement se fond dans le mur, disparaissant pour ne devenir que la surface même du mur. Si ceux dans la pièce veulent passer par-là... impossible. Impossible aussi de transplanner dans le ministère et les ascenseurs sont hors d'usage. Faudra passer ailleurs... ou rester sur place à prendre possession de leurs nouveaux bureaux.

Pendant ce temps, le petit groupe atteint les étages supérieurs.

Lucean maintenait son fils par l'épaule. Ava ne cessait de toucher le visage de son frère inconscient, mais dont ce dernier continuait de dégouliner de sueur. La malédiction Lycane commençait peu à peu à le prendre, et à chaque seconde, Ava ne pouvait s'empêcher de laisser couler ses larmes. Partagé par le bonheur de retrouver son frère, ce frère qu'elle croyait disparue, mais qui n'avait cessé d'être présent bien qu'elle ne le sache pas... Lucean ne croisait pas le regard de sa fille. Il se sentait honteux. Si il n'avait pas envoyé chié son fils, si ils ne s'étaient pas battu, et si il avait réagi comme un homme, comme un père avec Javis, peut être que jamais il n'aurait été mangemort... Ce qui signifie qu'il n'aurait pas été avec cette marque, et qu'il aurait eut être échappé à cela.

- Avaa... Ava tourna immédiatement son regard vers son fils, tout en plaquant sa baguette contre l'ascenseur pour le bloquer en plein vol. Avaaa... Je suis désolé...
- Parle pas, parle pas, Javis. Garde tes forces...

Mais il avait déjà sombré dans une autre torpeur. Javis était au moins, retourné dans le monde des vivants, sa conscience était retrouvée. Ava réactiva l'ascenceur mais ce fut son père qu'il le réarreta.

- Ecoute, Ava.
- Quoi ?
- Faut que je t'avoues un truc...
- C'est le moment ? Lui demanda t elle, un air renfrogné.
- Oui. Il lui fit signe de venir pour prendre son frère, pour qu'il puisse les défendre lorsque les portes s'ouvriront. Je n'ai jamais été heureux qu'en ce moment.
- Ah, oé ! Ton fils souffre et tes heureux !! T'es vraiment trop con ! Elle se mordit la lèvre inférieure. Non, elle avait franchi une limite qu'elle ne s'était jamais permi, mais qui lui fit un bien fou.
- Peut être, Ava. Mais je l'ai retrouvé. Et ça... Ca, c'est la plus belle chose qui ait pu m'arriver. Je peux mourir en paix, maintenant.

Ava leva son regard vers son père. Ce dernier pleurait, et elle sentit son coeur se tordre de douleur. Les lumières de l'ascenseur était réapparut, et elle se sentit monter à nouveau. Elle aurait aimé le prendre dans ses bras, mais il s'occupait de Javis, en le raffraichissant à l'aide de sa baguette. Javis, bien que seul Ava pouvait le voir, avait ouvert légèrement les yeux. Une larme perla sur le coin de son oeil, mais il ne parla pas. Il était touché.

- Attention...
- Oui... Lumus Solem !

La porte de l'ascenseur s'était ouverte. Lucean avait lancé un sortilège extrêmement lumineux qui éclaira violement le couloir. Histoire d'éviter d'être la cible certaine d'enchantement. Là, ils seraient au moins protégé.

- Protego !
- Merci, Papa. Allez, hum...

Elle forca pour soulever son frère, puis, elle avança doucement tandis que son père passa sa main devant Ava pour l'empêcher de lui passer devant. Baguette levé, Lucean était sur le qui-vive. Son passé de policier, qui lui avait affuté particulièrement bien ses réflexes, refaisait surface.

Alors que personne ne s'y attend, dans les couloirs du ministère, on sent un froid nous envahir, une froid glacée... Ce dernier nous prend les poumons, nous rappel de mauvais souvenirs... Les détraqueurs arrivent... Tout le monde le sait, tout le monde le sent, mais personne ne peut rien y faire. Leur démarche glissante nous fait toujours plus ou moins peur et le râle qui s'échappe de leur bouche, du moins ce qui leur en sert, nous prend par les tripes. Aïe... Que se passe t il ? Ils ne manquaient plus que ça. A tous les étages, à tous les lieux du ministère, on entend des hurlements... Le chaos est il tombé sur le ministère. OUI !

- Ils sont sur lui... Sur lui...
- Ok. Elle passa sa main sur les flammes, et elles s'éteignirent d'un geste. Elle releva son regard qui redevint noire, puis, elle regarda Miguel et Marìa. Miguel, va t'habiller !
- No, pero... Tu vas continuer longtemps à me dire ça ? Il saisit sa robe de sorcier, et il embrassa sa femme avant de la revêtir.
- Question d'habitude... Marìa.

La vieille prit son sac noir, puis, elle tendit son bras à son fils qui lui saisit. Ce dernier prit une pincée de poudre de cheminette dans un pot près de la cheminée, puis, la lançant dans les flammes qui prirrent une teinte verte fluo, Miguel prononça le lieu de leur destination, et ils y entrèrent bravement, mais sûrement. Dans la tête de Miguel, alors qu'autours de lui, tout se mélangé, ce dernier avait les pensées bloqués sur une chose. Les esprits avaient parlé à sa mère. Le noir était sur Dakota. Swane les avait mis en garde, il l'avait perçu. Un coup de Faust ? Même Swane n'avait pas pu l'affirmer avec précision.

Les flammes apparurent dans le niveau 6 du ministère. Et comme on aurait pu le deviner, l'état qui régnait dans ces lieux, étaient bien loin de ressembler à la chaleur qu'avait réussi à installer Marìa, dans leur nouvelle habitation dans un cottage près de Little Hangleton. Un cottage qui ne ressemblait bien plus guère à un cottage. Miguel avait eut la folie des grandeurs et décidait de refaire sa maison comme celle qu'il avait au mexique. Donc, en gros, c'était maintenant une zone fortement magique. Marguerita avait guelé. Oh oui ! Jamais de mémoire d'hommes ou d'esprits, on ne l'avait entendu crié. Miguel en rigolait encore au repas de ce midi avec Talia, enfin, il dut s'étouffer dans son verre de vin lorsque la Mama lui lança un regard assassin.

Devant eux, alors qu'ils levèrent chacun leur baguette, Miguel vit trois silhouettes dont l'une salement amoché. Après un rapide coup d'oeil, il les reconnut. Du moins, deux d'entre eux. Le troisième était salement amoché. Miguel ne put s'empêcher de sauter de l'antre de la cheminée pour aller à la rencontre de l'homme qui tenait sa baguette avec assurance, mais sur le visage on y lisait tout, sauf de l'assurance.

- Lucean !
- Miguel ! Qu'est ce que tu fiches ici ?
- J'viens chercher mon fils.

Ava lança un regard douloureux à Miguel, puis à son père. Miguel eut un soupir compatissant. Marguerita s'était approché du Javis, puis, tendant sa main, elle tapota la joue du garçon.

- T'inquiètes pas mon petit... Swane va bientôt te parler... Tu es l'élu. Le loup protecteur. Notre Romulus à nous...
- Ah... Ravie de le savoir...
- Ah ca y est ! Encore un qui fait de l'esprit... Swane est vraiment con des fois... Bon, Miguel, vous prendrez le thé un autre jour. Ils ne mourront pas aujourd'hui à moins que le cheminé n'explose.
- Tu sais pas où... On s'envoie un hibou !
- On vient du deux...
- Ok... Gracias !
- Chambre Javis, Manoir Taylor.

Tandis que les Taylors disparaissaient dans un torrent de flammes vertes, Miguel et Marguerita entrèrent dans l'ascenseur. Rapidement, les portes se refermèrent. Miguel appuya sur le 2.