Les reliques de la Mort...mouais pas interessant. PV {NC-17}

Les années ont passées les gens avec, les élèves de Poudlard ne sont plus les même et Poudlard en lui même n’est plus ce qu’il était avant… avant… la guerre entre sorciers. N’aillant pas pris part à la bataille, April avait tout laisser en Angleterre pour se retrouver en Amérique Latine, prés de Cuba, sa ville natale, elle le savait grâce à son dossier qu’elle avait voler à son orphelinat étant plus jeune.
Comme ça, en la regardant on pourrait croire qu’elle a changer, que Insolence est devenue Sagesse en quelques sortes, détrompez vous, on est bien loin de là, des années ont beaux avoir passer April est toujours la même, tout aussi méchante, froide, insociable et insolente surtout.
Revenue en Angleterre depuis à peine deux jours, April était venue trouver un travaille à Poudlard, sans même savoir que Myron travailler ici, c’était son but de le retrouver et de le faire chier comme à l’époque mais elle comptait chercher quand même.

Ce soir là, n’aillant rien à faire et voulant se rappeler un peux toutes ses bêtises passées ici, elle longea l’entrée de la salle commune de Serpentard remontant doucement vers les autres salles commune, passant devant celle des Bouffondor et repartant vers la Bibliothèque.
Il était assez tard, plus de vingt trois heures quand même, mais April n’avait jamais était une couche tôt et même avec le décalage horaire entre Cuba et Londres ça n’avait pratiquement rien fait dans son horloge interne.
April ouvrit a porte de la bibliothèque et la laissa entrouverte en rentrant dedans. Elle fit un rapide tour dans sa tête pour se souvenir de toutes les conneries qu’elle avait fait ici, des gens qu’elle avait envoyer chier parce qu’elle avait pas envie de leurs parler ou des truc dans le genre.

Sur une table, un livre n’était pas rager, franchement, April n’en avait complètement rien à faire mais le livre ne lui était pas inconnue, elle l’avait lue pendant sa scolarité ici, le livre des reliques de la mort, elle le connaissait rapidement mais pas plus, mais pourquoi pas s’y mettre aujourd’hui ?
Une chaise serait bien trop chiante pour elle, c’est pour cela qu’elle s’assit complètement sur la table, détachant ses cheveux qui tombait maintenant bien plus bas qu’il y a des années de cela, ils étaient maintenant en plein milieux de son dos descendant jusque à ses fesses.
April ouvrit le livre, regarda le première page et c’est tout, elle allait faire semblant de lire tien, ça lui permettra de se souvenir mieux de ses multiples conneries ici, et en plus dans le plus grand silence possible… même si elle n’aime pas vraiment ça.


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Il était tard, mais Myron Directeur de Poufsouffle se devait d'être à la hauteur de ses responsabilités. D'ailleurs, il n'était même pas fatigué. Cependant, pile à ce moment-là, il se disait qu'il n'avait pas beaucoup rencontré la Directrice de Poudlard. Tellement occupée qu'on ne la voyait presque jamais, même aux repas du midi et du soir. Il ne parlait pas énormément à ses collègues, il faudrait qu'il remédie à cela. Mais trêve de bavardages, nous retrouvons Myron dans le Hall du rez-de-chaussée en train de faire une ronde. Les élèves avaient l'air d'être particulièrement respectueux du règlement cette année, mais en même temps en se remémorant ses propres années, il se disait qu'en fait, il n'était pas mieux, toujours à foutre la merde avec des amis.

En tout cas, il savait que Poudlard manquait d'une bibliothécaire, et c'était un endroit de plus à surveiller. Il y avait des centaines et des centaines de salles et des kilomètres de couloirs dans ce château. Alors une pièce de plus ou de moins, Myron n'allait pas mourir. Le Professeur de Sortilèges emprunta alors un passage secret le menant directement du rez-de-chaussée au quatrième étage, puis il se dirigea d'un pas lent et silencieux vers la Bibliothèque. Il poussa doucement la porte pour voir si elle était ouverte et oh surprise, elle glissa sur ses gonds presque sans bruit. Il y avait quelqu'un à l'intérieur ! Sans doute un élève...

Myron s'avança silencieusement dans les tréfonds de la Bibliothèque, ou plutôt dans les rangées de milliers de livres sur toutes les formes diverses et variées de la magie, de la plus blanche à la plus noire. Au bout d'un court moment, au lieu de voir un élève en train de lire quelque livre, il vit une jeune femme de profil en train de lire un livre et qu'il reconnut dans la seconde où il vit ses cheveux. April avait l'air d'être complètement dans sa lecture... Une voix qu'il n'avait plus utilisée depuis des années s'éleva alors dans l'obscurité, la voix qu'il avait il y a 10 ans, beaucoup plus fluette que celle de maintenant, mais grave tout de même :

Myron - April... Qu'est-ce que tu fiches ici ? Tu t'es fait le Directeur-Adjoint ou quoi ?

Puis il sortit de l'obscurité pendant qu'elle reconnut tout de suite qui lui parlait. April, c'était plus qu'une amie... Il n'allait changer pour rien sa manière de lui parler, si particulière, quitte à choquer ceux qui l'entouraient.

Un livre sur les reliques de la mort, mouais, pour ceux qui y croient oui, bon d'accord April y croit, mais elle en a rien à fiche du livre, elle a sa propre histoire, l'histoire des autres elle en a rien à fiche. Fixer se livre était bien intéressant, on pouvant y voire jusque au dernier bonbon qui avait été coller dessus par les élèves super dégueulasse.
Les pages était vieilles et jaune, en même temps quand on voit l'âge de Poudlard ça fait peur, très peur. Mais non en faite c'était chiant, ça faisait lever les bras pour rien et le sang de circuler plus, pis ce silence c'était chiant, mais alors d'une force, April pourrait même se coucher là et faire dodo maintenant.
Pour changer elle tourna la page et regarda ce qui semblait être des runes anciennes, il y avait les écritures anglaise en bas mais en faite elle en avait rien à fiche, c'est bien plus marrant d'essayer de lire quelque chose que on ne sais pas. Un machin bizarre, pi deux, puis c'est chiant.

Les bruits de pas vernirent troubler son silence, enfin de la visite, c'est un peu tard mais c'est toujours de bonne grasse, maiiiiiiis restons plonger dans le livre, ha bah oui ça c'est bien le livre, même si elle en tomberait de sommeil tellement c'est nul à chier. Quand les pas s'arrêtèrent, les yeux vers d'insolence se tourna lentement vers là où ça c'était arrêter, sans bouger la tette évidemment il faut avoir l'air d'une intelotte évidemment.

Myron - April... Qu'est-ce que tu fiches ici ? Tu t'es fait le Directeur-Adjoint ou quoi ?

Insolence : Henri de Hurlevent ? Tu rigole j'espère, qui voudrait de lui ? Non je préfère la directrice elle est plus fraiche.

Grand sourire habituelle by April qui ressemble à une... conne. Elle jette le livre par terre elle s'étale de tout son long sur la table, rien que pour faire chier, juste soutenue par ses bras derrière son dos. La bonne grâce by April.

Insolence : Bah alors mon p'tit Myron t'as bien l'air étonné de me voir ! J'tai manquer peut être ?

Comme à son habitude, April répondit au tac-au-tac. Et comme Myron avait pensé, elle avait immédiatement reconnu qui lui parlait. Cela faisait des années et des années qu'ils ne s'étaient pas revus, à cause de la guerre des sorciers. Et de se revoir comme ça, dans un endroit tellement inattendu. Il avait fallu qu'ils se retrouvèrent dans la plus grande école de magie du monde, dans sa bibliothèque. Mais revenons aux paroles de la très jolie femme :

April - Henri de Hurlevent ? Tu rigole j'espère, qui voudrait de lui ? Non je préfère la directrice elle est plus fraiche.
Myron - T'as toujours le même humour pourri...

Myron se retient de rire à sa remarque. Pour une fois, il voulait rester sérieux avec elle, mais ça allait pas durer. Il arbora simplement un sourire : oui, il était heureux de la revoir. Lui qui était ouvert avec les autres mais qui a fait rarement découvrir son anatomie aux femmes. April était l'une des seules. D'ailleurs, elle arborait un grand sourire, comme si elle était fière de sa connerie, et elle en était fière c'était certain. Elle jeta son livre par terre, apparemment son livre était bien ennuyeux à lire. En revanche, il ne s'attendait pas à la voir s'allonger sur la table, comme pour le tenter de venir la rejoindre. Attends April, ôte-moi d'un doute mais t'es trop rapide. Il ne bougea pas, se contentant de la regarder sous toutes les coutures. Puis elle reprit à nouveau la parole :

April - Bah alors mon p'tit Myron t'as bien l'air étonné de me voir ! J'tai manquer peut être ?
Myron - Tu lis dans mes pensées on dirait. Ouais, j'suis étonné de te voir et ouais, tu m'as énormément manqué pendant toutes ces années.

Puis finalement il la rejoint. Il ne pouvait pas s'empêcher de s'approcher d'elle. Il s'accroupit de manière à ce que son visage soit à la même hauteur que celui d'April puis l'embrassa tendrement puis caressa ses cheveux lisses et bruns, la regardant dans les yeux. Il lui dit en souriant :

Myron - Oui, tu m'as manqué, ça je peux pas dire le contraire.

Myron - T'as toujours le même humour pourri...

Non sans rire elle était trop bonne celle là. April se contenta de lever les yeux vers le ciel, de toute façon elle en avait toujours eut rien à faire de ce que penser les gens d'elle, après tout, elle c'était elle et pas eux. De toute façon Myron était déjà à moiter entrain de suffoquer de rire, ou plutôt entrain de se faire crever à essayer de le faire, après on disait que c'était elle qui avait un humour pourrit, hé bah dis donc. Installée sur ta table, le temps que Myron se remette de sa propre connerie, elle regardait le plafond, simplement, on a beau être l'insolence et aimer les choses simples.
Quand il la reluqua sur toutes les coutures, en quelques se contenta simplement de suivre son regard, comme d'habitude, April était, et le restera toujours une fille qui adore jouer du regard.

April - Bah alors mon p'tit Myron t'as bien l'air étonné de me voir ! J'tai manquer peut être ?
Myron - Tu lis dans mes pensées on dirait. Ouais, j'suis étonné de te voir et ouais, tu m'as énormément manqué pendant toutes ces années.

April sourit, ça l'amusait, c'était marrant de se demander si il disait ça pour la faire chier ou si c'était réellement vrai, et plus comme elle ce l'était toujours dis depuis qu'elle voulait rentrer en Angleterre, après tout il était peut être marié avec des gosses, ils avaient grandit depuis 1983, plus physiquement que mentalement, mais après tout elle était partie dans rien dire, même si il devait deviner que c'était à cause de la guerre. April restera toujours insolence même avec des années en plus.

Ses yeux verts suivirent toujours autant Myron, le regardant se déplacer prés d'elle après quelques hésitations qu'elle n'avait pas manquer de voir quelques minutes auparavant, elle clignât des yeux une fois assez logement et elle le retrouva devant elle, à sa hauteur, elle le regarda dans les yeux de son air gentille fille insolente mais se laissa faire pour autant, après tout tout le monde avait bien vu l'histoire entre eux il y a de cela au moins 6 ans, et malgré tout cela il semblait que c'était encore hier qu'ils c'étaient vu pour la dernière fois. Ses lèvres se collèrent au siennes mais April ne bougea pas d'un seul centimètre jusque à temps qu'il se détache d'elle pour dire une unique phrase.

Myron - Oui, tu m'as manqué, ça je peux pas dire le contraire.
April - Tu n'est ni marié, tu n'as pas d'enfants ou alors tu es le plus infidèle des hommes qui m'aurait attendu pendant 6 longues années.

Puis elle remit ses cheveux en arrière comme si rien ne venait de se passer, abordant un sourire Aprilien bien connu et simple. Mais dans le font, dieu seul sait combien la chaleur peut faire embuer le cœur de la plus insolente des filles que personne ne connaitra jamais.

Myron vit April sourire. Quel magnifique sourire, et quelle fille... devenue femme maintenant. Il ne l'avait pas vue grandir dans sa tête, comme elle qui ne l'a pas vu grandir non plus. Quoique en cet instant précis, on avait plutôt l'impression que tous deux s'étaient replongés dans leur 20 ans, années formidables et riches en souvenirs. Y'a pas à dire, Ian lui manquait, maintenant qu'il y pensait. Le Grec avait quand même la curieuse impression que la jeune bibliothécaire mettait en doute ses paroles.

C'est pourquoi il y était allé direct avec April, pour lui prouver qu'elle lui avait manqué. Il était prêt à faire n'importe quoi pour lui prouver ça, car c'était la vérité et il avait besoin qu'elle comprenne. Il ne s'était même pas posé la question si elle était en couple avec quelqu'un. mais étant donné qu'elle se laissa faire, il en conclut que non, pour son bonheur ultime. Allait-il commencer une nouvelle vie avec elle ? Il était encore beaucoup trop tôt pour le dire. Après ce baiser qu'il n'attendait vraiment pas, pensant qu'il n'allait jamais la revoir, elle lui dit :

April - Tu n'est ni marié, tu n'as pas d'enfants ou alors tu es le plus infidèle des hommes qui m'aurait attendu pendant 6 longues années.

Il la regarda remettre ses cheveux en arrière comme si de rien n'était. Il ne répliqua pas tout de suite, prenant le temps de la regarder. Elle n'a vraiment pas changé depuis toutes ces années, autant physiquement que mentalement, même si elle avait plus sage qu'auparavant. Enfin, ce n'était qu'une première impression. Mais on dit souvent que la première impression est la meilleure. Est-ce que cela marche avec les sentiments et les femmes ? Peut-être que oui, peut-être que non mais Myron n'en savait rien, et il s'en fichait un peu d'ailleurs. Puis il reprit la parole, avec une réplique qui avait de quoi semer un peu le doute.

Myron - Je ne suis pas Directeur de Poufsouffle pour rien. J'ai le jaune dans mon sang. Pense à la rose...

Ce n'était pas commun chez lui de parler ainsi, mais il y a des moments comme ça ou il est très bon de faire parler son coeur.

Sur sa table, April souriait bêtement, pensant à ce qui avait pu se passer pendant les six années où elle n’avait pas été là, ce qui avait bien pu se passer en Angleterre, pendant que elle, était en Amérique du sud, ce que Myron avait fait, ce que était devenu Ian ou bien Arteus ou bien d’autres. Les avait elle abandonner tous autant qu’il était pour sauver sa propre vie ? Elle-même ne savait plus quoi penser, ce qui aurait bien pu arriver avec Myron si elle n’était pas partie, la vie qu’elle aurait maintenant… peut être même avec lui.

Le temps de sa réplique, April avait bien vu qu’il la regardait sous toutes les coutures, elle n’aimait pas vraiment ça mais elle faisait de son mieux pour qu’elle ne fasse pas d’histoire la dessus, après tout c’était simplement Myron. Puis autre chose qu’elle avait remarqué, c’est qui ne répondait pas tout de suite, réfléchissait t’il ou cachait t’il quelque chose ? Qui sais, de nos jours avec les hommes on ne sais plus rien.

Myron - Je ne suis pas Directeur de Poufsouffle pour rien. J'ai le jaune dans mon sang. Pense à la rose..

April – Ah oui d’accord… cocu… Tu t’es bien lâcher depuis le temps de notre histoire à ce que je vois.

April ne voulait même pas demander qui c’était, elle avait une file de filles plus moches les unes que les autres qui lui défilé dans la tête, certainement celles de l’université si ses souvenirs étaient bons.
Doucement April se tourna face à face vers Myron, elle aussi s’arrangeant pour elle à la même taille que Myron.

Arpil – Faut dire que t’es devenue vieux avec les temps…

Sourire Aprilien.

April avait l'esprit vif, Myron le savait bien. C'était donc tout naturel de la voir réagir au quart de tour après ce que vient de dire Myron. C'était un aveu à demi-mot. Il ne le faisait pas voir mais il était un peu troublé de la revoir après toutes ces années. Apparemment, ça ne la gênait pas le moins du monde, comme si elle était au courant qu'il travaillait ici. Enfin en même temps, il était à un poste à haute responsabilité dans la plus célèbre école de magie de Poudlard et il n'était donc pas très étonnant qu'une grande partie de la population magique soit au courant de ce qui se passe à sa tête, et cela n'a pas dû échapper aux oreilles d'April. Elle répondit donc :

April - Ah oui d’accord… cocu… Tu t’es bien lâcher depuis le temps de notre histoire à ce que je vois.

Il ne répondit pas, mais April avait l'air de s'en ficher complètement. Il aurait pensé qu'elle poserait des questions mais même pas une, elle ne semblait pas vouloir savoir. De toute façon, s'il était marié, il le lui aurait déjà dit et il ne l'aurait pas embrassé aussi subitement. Elle se tourna ensuite vers lui, en se mettant à sa hauteur. Qu'est-ce qu'elle était belle, dans cette semi-obscurité, simplement une bougie les éclairant. il voyait maintenant bien nettement tous les détails de son visage tellement il était près d'elle. Et à ce moment bien précis, il ne voulait plus jamais la laisser partir, il était bien décidé à ce que ce visage reste devant ses yeux. Elle sourit puis dit :

April - Faut dire que t’es devenue vieux avec les temps…
Myron - C'est vrai. Six ans sont passés, il faut dire que ça en fait du temps.

Il caressa doucement son visage avec sa main droite. Sa peau était aussi douce qu'avant, à croire qu'elle n'avait pas vieilli, même pas pris une ride. Ca en devenait presque inquiétant, mais c'était tant mieux surtout pour elle. Il se sentait irrésistiblement attiré vers elle, puis l'embrassa dans le cou en lui caressant doucement le dos. Des petits bisoux tendres. Cela faisait si longtemps qu'il attendait ça. Puis Myron revint vers son visage et l'embrassa, révélant une explosion de sentiments en lui. Il rompit ensuite le baiser puis lui dit enfin :

Myron - Je t'aime April. Je n'ai jamais aimé quelqu'un autant que toi.

A peine April c’était-elle mise à la hauteur de Myron que celui-ci avait entreprit de lui caressait le visage, April n’aillant aucune contrindication contre cela le laissa faire, ça lui rappelait même des souvenirs, des souvenirs heureux même… très heureux. Il y a six années de cela, lors de la première année à l’université d’April un lien c’était former entre eux et ça en avait finie qu’ils étaient sorties ensemble jusque à temps que la guerre éclate, et que April parte dans rien dire à Cuba.
Un bisou dans le cou la réveilla de sa pensée, retournant ses yeux vers Myron, sans même que celui-ci ce fut douter une seconde qu’elle pensait à tout ça, April n’avait pas bouger d’un poile et son regard non plus d’ailleurs, la seule chose qui pouvait avoir changé c’était le font de ses yeux, qui pendant ses quelques secondes, avaient du devenir comme sans vie, après elle ne peu pas savoir si il l’avait vu, après tout c’était que un petit détail.
Pendant ce temps elle se laissait faire et encore une fois lors ce qu’il l’embrassa elle ne dit rien, même si de l’intérieur ça lui faisait quelque chose. En faite Insolence c’était toujours refuser à tout hommes, alors ses dernières années, six plus précisément, autre que pour tirer un coup elle n’avait pas eut d’homme dans sa vie, aucun amoureux, fiancé ou mari, même pas une petit amourette de passage. C’était comme le premier baiser, cette impression de le revivre et que tout son corps ce soulevait une secondes fois, que son cœur se remettait à battre tel un tambour et cette envie de s’enfuire…

Myron - je t'aime April. Je n'ai jamais aimé quelqu'un autant que toi.

Et au bout de six ans que dire ? Se la fermer et faire semblant de ne rien avoir entendue, rester sois même, insolente avec tout le monde et recaler les hommes un par un.
Elle baissa les yeux, les ferma et redescendit de la table. Insolence ce l’était fermer sous le choc on va dire. Sur le coup d’une déclaration tel que celle-ci, elle ne savait plus quoi dire, six ans était passer entre leur dernière rencontre et celle-ci, bien sur elle l’aimait et durant toutes ses années il lui avait manquer, mais comment reprendre six ans sans amour, alors qu’elle l’avait abandonner. Est-ce que ce devait être aujourd’hui, bien peu de temps après son retour en Angleterre qu’elle devait se remettre avec quelqu’un ? Avec Myron en plus, son amour de jeunesse, peut être et surement et même obligatoirement l’homme qu’elle avait le plus aimer.
Le pire dans tout ça c’était qu’elle avait le sourire aux lèvres, elle était heureuse qu’il ai dis ça mais ses yeux montrait un grand appel au secourt.
Son cœur battait un peu trop fort, le stress et les sentiments remontait à la surface, ils remontaient tellement qu’elle se serait jeter sur lui tout de suite. Non, elle préférer partir, prendre la suite une seconde fois. April fit un pas sur le côté, une minute déjà devait s’être écoulé, puis un deuxième pas puis elle préféra commencer à s’éloigner mais elle pouvait pas, son cœur voulait rester là, parce qu’elle savait très bien qu’elle l’aimait d’un amour puissant et que ses six ans n’avait était que comme une semaines de séparation si elle devait dire comment elle l’aimait encore plus que avant, peut être même trop et ça lui faisait peur d’aimer maintenant, à 27 ans.

April – D’accord, je ne peut rien cacher Silence et grande pause Je t’aime d’un amour innombrable au point que j’en ai peur.

Elle ne c’était même pas retournée pour dire cela, tellement son cœur battait fort et la peur de le regarder était forte, pourtant April aimait jouer du regard, mais pas cette fois apparemment.

April ne réagissait même pas à ce qu'il venait de lui faire. Avait-elle apprécié ? Peut-être que oui, peut-être que non mais il fallait que ça sorte. D'ailleurs, après sa déclaration, elle ne dit rien non plus, mais semblait complètement chamboulée. Avait-il été trop vite ? C'était trop tard à présent, mais c'était délicieusement excitant il fallait le dire. Y aller comme ça après six ans sans se voir, il fallait être légèrement culotté surtout face à une femme de cette trempe. Mais si elle ne l'aimait plus, il allait être très déçu c'était certain, mais c'est la vie. Et la vie promet de belles surprises, et revoir April était l'une de ces surprises, une grande surprise même. Un truc du genre qu'on ne s'y attendait pas.

April descendit de la table, toujours sans rien dire. Myron quant à lui, se leva et s'appuya sur la table en la regardant. Visiblement, elle n'était pas chamboulée mais carrément choquée. Mais elle lui tournait le dos, il ne pouvait pas voir l'expression de son visage. Il n'essaya pas d'imaginer. Peut-être un sourire qui se dessinait sur ses lèvres, peut-être de l'appréhension. Il n'en savait rien. En tout cas, il attendit patiemment qu'elle parle. Myron lui a ouvert son coeur, c'est à elle maintenant, sans lui mettre de pression (enfin, juste un peu...). Tiens, elle avait marché vers l'entrée de la bibliothèque, il venait juste de remarquer ce petit détail. Allait-elle partir ? Non, ne pars pas April. Je serai toujours avec toi, quoi qu'il arrive... Tu n'as pas de raison de partir.

D'ailleurs, au bout de plusieurs dizaines de secondes sans qu'elle ne bouge, elle décida de marcher vers la sortie. Myron allait courir pour la rattraper mais elle ne put même pas faire deux pas. L'amour sans doute l'en empêchait. Elle voulait partir pour ne plus revoir Myron mais elle ne pouvait pas.

April - D'accord, je ne peux rien cacher

Il faillit dire une connerie mais il s'abstint violemment. Ferme ta gueule un peu Myron... Mais bon, il ne pouvait s'empêcher de se dire que sa réponse était bizarre. Mais chut, elle n'avait pas fini de parler. D'ailleurs, même sa voix elle-même était étrange : il y avait un mélange d'excitation et d'appréhension, même de peur on pourrait exagérer. Cela fait-il si peur d'aimer quelqu'un maintenant ?

April - Je t’aime d’un amour innombrable au point que j’en ai peur.

Etant donné qu'elle ne s'était pas retournée pour lui dire cela, Myron a dû batailler ferme pour comprendre ce qu'elle avait dit. Et bien évidemment, la connerie d'avant qu'il allait dire était bien en rapport à cela. En tout cas, Myron avait eu en partie raison : elle avait peur de se remettre avec lui. Bon, c'est sûr qu'il y a été un peu rapidement le Myron mais faut pas lui en vouloir. Dans le genre franc, il était bien dedans, il ne tourne pas, il rentre directement dans le pot la tête la première. Myron croisa ses bras et lui demanda :

Myron - Je fais si peur que cela ? Je sais bien que je deviens vieux mais ne me traites pas de vieux con rabougri aux cheveux blancs, je risque de m'énerver...

Sourire.

Myron - Je fais si peur que cela ? Je sais bien que je deviens vieux mais ne me traites pas de vieux con rabougri aux cheveux blancs, je risque de m'énerver...

Soupire. Ca faisait plus rire April que autre chose, elle se remettait déjà de ses émotions, c’était simplement le fait d’avouer un amour après 6 ans dans amour vrai de sa part.
Mais en tout cas, ce n’était pas la meilleure chose à dire à April, vous la connaissez, tout ce qu’il ne faut pas dire tombe à coup sur dans l’oreille d’une insolente femme.

April – Vieux con, rabougri et aux cheveux blanc !

Lentement ses yeux se retournèrent vers Myron le mettant au défi de répondre à cela. Après toutes ses années elle n’avait pas changé, toujours aussi culottée et malsaine. Elle fit faire demie tour à son corps et fit faire quelques pas en avant à ses pieds, c’étant nettement rapprochée de l’endroit où ils étaient avant.
C’était bien marrant de traiter Myron de cette façon, lui qui avait 31 ans et elle 27, au moins elle, on ne pouvait pas encore lui en dire, elle était encore dans sa vingtaine, donc 4 ans d’écart avec Myron.
Mais l’heure était quand même aux explications, pourquoi avait-elle peur de ressortir une fois de plus avec Myron ? Lui ne le savait pas.

April – Je n’ai aimé aucun homme depuis ses six dernières années, je crois qu’avoir peur est naturel. Je t’ai attendu pendant six longues année sans jamais m’en lacée.

Sourire digne d’April. Que devait-elle faire ? Elle n’en avait vraiment aucune idée, elle n’avait jamais étais bien forte en amour, elle n’avait jamais non plus beaucoup chercher à avoir du copain, ce n’était pas ce qui l’intéressait non plus.
D’un pas lent, elle s’approcha de Myron sans le moindre bruit, tendit sa bouche vers son oreilles et parla.

April – Tu m’aimes, alors prouve le moi et fais moi rester.

Bien sûr, April sauta sur l'occasion pour dire des conneries, histoire de détendre un peu l'athmosphère et ça marchait à coup sûr. Cela faisait 6 ans qu'ils ne s'étaient plus revus mais elle n'avait vraiment vraiment pas changé. Elle lui répondit comme il s'en doutait, au tac au tac, sans vraiment trop réfléchir, toujours dans son dos :

April - Vieux con rabougri aux cheveux blancs !

Puis elle se retourna lentement et regarda le Grec dans les yeux, jouant du regard. Myron fit mine de s'énerver avant qu'il se calme et qu'il sourit largement à ce qu'elle venait de dire. Elle avait des réactions toujours aussi prévisibles qu'avant. Myron la connaissait et se doutait bien qu'elle allait réagir comme ça, c'était indéniable. Peut-être que sa part d'adolescence était encore trop présente en elle, mais ça Myron l'avait deviné quand il l'avait vue, ou plutôt lorsqu'elle lui avait adressé la parole pour la première fois depuis plus de 6 ans. Non, elle n'avait pas changé...

Elle se rapprocha lentement vers lui, mais n'osait pas aller plus loin. Elle gardait quand même ses distances. Quand elle prit à nouveau la parole, elle était devenue plus sérieuse, moins April quoi. Elle avait "Insolence" comme surnom. On ne pouvait pas dire qu'elle portait très bien son surnom à ce moment-là. Attention... L'insolente avoue ses sentiments. Petite larmichette à l'oeil ?

April - Je n’ai aimé aucun homme depuis ces six dernières années, je crois qu’avoir peur est naturel. Je t’ai attendu pendant six longues années sans jamais m’en lasser.

Puis elle arbora un sourire. Menteuse. Peut-être un petit peu quand même. April n'est pas du genre à faire voir son cul à n'importe qui, mais elle l'avait sans doute oublié pendant un temps. Elle n'a pas pu rester seule pendant six ans, c'était fortement improbable, étant donné son physique. J'ai bien dit "fortement improbable" car ça a pu arriver, mais Myron en doutait très fortement. Il s'était bien fait plaisir pendant ces six ans, alors pourquoi pas elle ? En attendant, elle s'approcha encore de Myron. Elle s'en approcha au point où leurs corps se touchaient presque puis elle lui dit à voix basse, dans le creux de l'oreille :

April - Tu m’aimes, alors prouve le moi et fais moi rester.
Myron - Pas besoin. Tu sais aussi bien que moi que je t'ai attendu. Tu ne peux pas partir puisque à tes yeux, je suis indispensable. Tu ne voudras plus que je ne sois plus dans ta vie. Tu n'as pas besoin de preuve...

Il regarda ensuite vers le sol pendant quelques secondes. Myron réfléchissait, c'était rare pour être souligné... Puis sans prévenir personne, il l'embrassa avec fougue, cette fois. Tellement de fougue qu'elle dut s'obliger à mettre la tête en arrière de son corps. Non, elle ne devait pas partir, pas encore une fois... Il lui tira ensuite les cheveux sans forcer pour qu'elle lui offre son cou. Il ne se fit pas prier pour l'envahir de baisers.

Myron - Pas besoin. Tu sais aussi bien que moi que je t'ai attendu. Tu ne peux pas partir puisque à tes yeux, je suis indispensable. Tu ne voudras plus que je ne sois plus dans ta vie. Tu n'as pas besoin de preuve...

April - T'as peut être raison, mais t'as peut être tord aussi.

April, c'était April, dans n'importe quelle situation elle rester la même, même si cette fois si c'était le cas de le dire qu'elle c'était " décomposée devant Myron, mais c'était pas non plus facile de se voir deblatter ça en quelques secondes après six ans sans avoir vu la personne, et il faut pas croire, April est quand même comme les autres, c'est pas parce que on porte le surnom " Insolence" que tu vas faire des choses comme les autres, elle respire, mange et pisse exactement comme vous, elle pense, lis, écrit travaille ou étudie comme tout le monde.

Mais l'heure n'en est pas là. Dans le même regard, elle regardait le même endroit du sol que Myron avait l'air de reluquer comme un con, c'est le cas de le dire.
Mais surprise, il n'avait pas l'air disposé à rester comme ça tout sa vie, il semblait avoir pris la discision de sa vie, celle qu'ils parlaient tout deux depuis au moins une trentaine de minutes.
Soudain, sans crier gars, et sans même que April ai eut le temps de le voir, ça c'est le cas de le dire, Myron lui "sauta dessus" mais April n'essaya même pas de résister, de toute façon ça ne servais à rien puis ce qu'elle le voulait elle aussi, elle fut juste étonnée par la brusquerie du baiser. Mais de toute façon à quoi bon, embrasser c'est comme le vélo, on oublie jamais, enfin ça c'était d'après April.
Le tirage des cheveux n'était pas la tasse de thé d'April, mais après tout c'était Myron, et maintenant et depuis six ans, on pouvait dire qu'il était son homme... comme si il lui avait toujours appartenue malgré la distance de ses dernières années.
April ferma les yeux sous les baiser, se laissant porter par une vague de tendresse. A ce moment là elle était tellement heureuse, tellement bien, qu’elle aurait voulu que rien ne s’arrête et passer sa vie comme ça.
C’était tellement bon, tellement sensuel qu’elle regretter de ne pas y avoir gouté plus souvent… Myron était sa première expérience et pendant toute l’année scolaire ca y avait était… manqué personne n’avait rien à leurs dirent ils étaient tous les deux plus que majeur et c’était une chose de la vie, malgré que Myron et April avait entre eux moins de 4 ans d’écart. Pendant sa longue absence c’était vrai qu’elle y avait gouté avec d’autres hommes, mais c’était simplement pour ça et tant pis si on la prenait pour une couche le premier soir.

April planta ses ongles dans le dos de Myron, griffant comme elle l’avait toujours fais ( au moins elle a des ongles elle XD * sors * )
Elle préféra se tourner de sens et de se mettre vers la table, comme ça se serait elle qui se la prendrait si leurs venaient l’envie de reculer, c’était beaucoup mieux vu eu Myron était bien plus grand que April et que comme d’habitude c’était l’homme qui était sensé dominer les choses.
Elle lui coupa l’accès à son cou pour que cette fois, et la première fois depuis ses six longues années, ce soit elle qui l’embrasse. Elle passa ses mains le long de son cou et l’envie de se rappeler chaque centimètre de son corps là prit, elle passa ses mains sous le haut de Myron pour avoir un contact direct.
En quelques sortes épuisée par cette puissance du baiser, elle posa sa tête au creux de sa nuque, se rendant compte de la discision qu’elle avait prit pendant ses dernières minutes… plus de célibat… mais franchement, elle n’en avait totalement rien à fiche puis ce qu’elle avait trouvé son bonheur.

April – T’as gagner.

April ne força même pas à Myron à arrêter. Comme quoi, elle le voulait vraiment. Elle ne se plaint même pas de lui avoir tiré ses beaux cheveux bruns. Elle est à lui, et il est à elle. Personne ne pouvait la toucher, personne ne pouvait abuser d'elle sauf lui. L'excitation était venue d'un coup, d'un côté comme de l'autre. Myron ne voyait pas sa douce fermer les yeux pour savourer ce moment encore plus intensément, mais lui c'est ce qu'il fit. Il l'attendait depuis tellement longtemps. Il était tellement heureux qu'elle ne l'ait pas oublié, tellement heureux qu'elle l'acceptait à nouveau dans sa vie.

April se venga de la brusquerie du baiser de Myron en le griffant intensément dans le dos. Myron ne put s'empêcher de gémir de douleur et du coup, elle avait forcé à arrêter le baiser. Non, il voulait encore goûter à ses lèvres, il voulait encore goûter à sa langue. A peine avait-il s'était-il dit ça que c'est elle qui prit l'initiative de l'embrasser. Le Grec était vraiment irrésistible on dirait, irrésistible pour la jeune femme. Pendant qu'elle l'embrassait, April passa ses mains sur la peau du torse de Myron. Ses mains étaient si douces et avaient l'air si fragiles... Il allait les chouchouter jusqu'à la fin de sa vie. Puis elle s'arrêta tout en laissant ses mains en dessous des habits du Grec. A la place, elle posa sa tête au creux de sa nuque, comme si elle était déjà épuisée. Pourtant, ça n'allait que commencer.

April - T'as gagné.

Myron se rappela soudain d'une chose... Il sortit sa baguette telle une épée, visa très soigneusement la porte d'entrée de la bibliothèque qui se trouvait au moins à une trentaine de mètres de lui puis souffla :

Myron - Collaporta

Il entendit un bruit de succion. Du premier coup ! Il n'avait pas perdu de sa précision diabolique. Ce n'était pas pour rien qu'il avait fait des études de Sotilèges poussés. Il s'écarta ensuite d'April, alluma sa baguette magique d'un puissant jet de lumière et regarda dans les différentes allées si quelqu'un les espionnait. Heureusement, personne n'était là hormis eux deux. Avant de revenir, il fit de telle sorte à ce qu'April ne le voit pas il visa la jeune femme qui était à peine à 5 mètres de lui et dit d'une voix suffisamment forte pour se faire entendre :

Myron - Cracbadabum !

Le haut d'April se retrouva coupé en deux laissant entrevoir un magnifique soutien-gorge rouge. Par ailleurs, sûrement sous l'effet de surprise, elle s'était retrouvé allongée sur la table. Il s'approcha ensuite très rapidement de la jeune femme et se mit de telle sorte qu'elle ne pouvait pas s'échapper, c'est-à-dire April qui était entre ses jambes. Myron avait un grand sourire aux lèvres et il dit presque en riant :

Myron - Gryffondor jusqu'au bout des seins, n'est-ce pas ?

Que l'on était bien dans le creux du coup de son homme, on pourrait même s'y endormir des fois tellement on est bien. Malheureusement, aujourd'hui Myron n'avait pas l'air de cet avis là, nous dirions même qu'il avait envie d'autre chose, sans quoi... pourquoi coller la porte de la bibliothèque ?

Myron - Collaporta

April leva les yeux, un sourire amusé sur les lèvres, elle trouvait cela bizarre, bien bizarre mais elle savait très bien ce qu'il avait derrière la tête... un peux la même chose que tout les hommes... et que April à ce moment là en tout cas. Bah après six années de longues distances sans aucune nouvelles l'un de l'autre, ils avaient bien le droit à des retrouvailles digne de se nom.
Lorsque le jeune homme s'éloigna d'elle, ses yeux vers le suivirent, sachant déjà ce qu'il chercher... à savoir... des élèves.
Elle baissa les yeux quelques secondes, regardant ses mains, allez savoir pourquoi, et se retrouva sur la table au moment où elle relevait les yeux, aillant entendu la vois de Myron, pas même une secondes auparavant, formuler une formule magique.

Myron - Cracbadabum !

A bon ? C'était donc ainsi qu'il s'y prenait avec les filles, leurs arracher leurs hauts par une formule magique que on pourrait même dire un peu violente. Ses yeux prirent un regard de pitié en regardant le jeune homme, qui, qui plus est, c'était installer bien tranquillement entre c'est jambe et était entrain de reluquer son soutien gorge.
Amuser par celui ci il sortir à moiter mort de rire.

Myron - Gryffondor jusqu'au bout des seins, n'est-ce pas ?

April - Tu manques cruellement de romantisme dis-donc !

Elle prit son air navré et insolent à la fois, comme si elle préparait un mauvais coup. Elle placé ses bras en arrière en appuie sur la table, regarda Myron doit dans les yeux et batailla pour repasser ses jambes à l'extérieur pour mieux serrer sa proie.
April resta en équilibre sur une seule main, l'autre jouant dangereusement avec un bouton de la chemise de l'homme en face d'elle, puis... sans prévenir tira d'un coup sec de ses deux mains, pour faire sauter le moindre petit boutons présent sur cette chemise.

April - On est quitte maintenant.

Toujours sans prévenir, elle attrapa Myron vers elle pour l'embrasser.

April - Tu manques cruellement de romantisme dis donc !

Myron - Ouais et alors ? Tu aimes ça à ce que je sache non ? Ou Mademoiselle voudrait-elle plus de douceur dans ce monde de brutes ?

April l'avait presque grondé, mais c'était une sorte de colère extrêmement contenue car au plus profond d'elle, elle n'attendait que ça, elle attendait qu'il domine. Lui aussi avait attendu cela pendant six longues années, il n'allait pas laisser passer l'occasion. Quoi de mieux que des retrouvailles de ce genre, érotiques et fusionnelles? On n'aurait pas dit qu'ils venaient de se revoir après une longue absence de plusieurs années, et pourtant c'était vrai mais ne cherchez pas à comprendre : ce sont des retrouvailles à la April et Myron. Difficile de voir des retrouvailles aussi fusionnelles, ça je peux vous le garantir. En attendant, Myron regarda avec amusement les tentatives de sa douce pour reprendre le contrôle de la situation. Qu'y a-t-il April ? Tu ne supportes déjà plus d'être tellement dominée ? Hum... C'est dommage... Il la regarda faire, une main en équilibre posée sur la table, l'autre main jouant avec les boutons de sa chemise blanche puis d'un coup, avec ses deux mains, elle fit sauter tous les boutons de la chemise du Grec, laissant entrevoir un torse quelque peu bronzé étant donné la nature du jeune homme, et quelque peu musclé aussi. Elle répliqua alors :

April - On est quitte maintenant

Myron avait voulu répondre, mais il était tellement irrésistible qu'April l'avait déjà tiré vers elle pour l'embrasser avec passion. Dieu qu'elle embrassait bien ! Pendant que le jeune homme savourait ce baiser d'une force incroyable, il entreprit de faire glisser tout doucement les bretelles du soutien-gorge de la cubaine. Ce n'est pas la peine de vous dire que le contraste est saisissant par rapport à la manière peu habituelle que Myron avait utilisée pour se débarasser de son haut. Mais il faut avouer que cela se faisait très lentement, car Myron était littéralement absorbé par la fusion qui émanait des deux êtres. Sans qu'il ne sache véritablement pourquoi, il était littéralement envahi par les sentiments que cela lui procurait : il y avait de tout : de l'excitation, de l'envie mais aussi de la joie et de la fureur. Ce baiser était le plus intense et le plus douloureux à la fois qu'il n'ait jamais subi depuis qu'il était né. Tous ces sentiments s'entre-mêlaient dans la tête de Myron. Et finalement, tout cela fit que des larmes sortirent des yeux de Myron. Ces larmes qui glissèrent vers les bouches d'April et de Myron. En fait, il s'en rendit compte lorsqu'il sentit que le goût devenait salé. Il interrompit alors le baiser et dit, un peu honteux, un simple mot :

Myron - Désolé

Puis, comme April il y a de cela à peine quelques minutes, c'était à lui de se faire une place dans le cou de sa bien-aimée. Sa bien-aimée qu'il n'allait plus jamais quitter... Comme s'il avait été fatigué d'avoir versé ces quelques larmes, mais ce sont des larmes qui venaient directement du coeur, des larmes de bonheur.