Chez Julen WINCHESTER - Espagne

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FLASH BACK
JUILLET 1983

~ Beriz : Merci Andréa, je te revaudrais cela
~ Andréa : Entre amis, c’est normal

Une petite tape sur l’épaule, un sourire qui semblait en dire long sur le lien qui unissait les deux jeunes garçons et le jeune Winchester reprit. Il ne pouvait pas risquer de voir son plan échouer et, la confiance qu’il portait à Andréa était assez limité mais il lui était utile alors autant en profiter.
~ Beriz : Et tes parents ?
~ Andréa : Ils travaillent toute la journée et e font même pas attention à moi
~ Beriz : Et ta sœur ?
~ Andréa : Elle est partie en vacances avec la famille de son petit copain.

Bon tout, semblait bon. Andréa semblait vraiment prêt à tout pour aider le jeune Serpentard et cela le confortait dans l’idée que tout allait bien se passer. Un dernier remerciement, un dernier sourire, une dernière promesse de lui écrire et Beriz attrapa sa valise et se hissa dans le train. De la fenêtre de son compartiment, il salua Andréa et lorsque le train sortit de la gare, il murmura pour lui-même
~ Beriz : Enfin débarrasser de ce pot de colle. A moi la liberté.

Calé dans son siège, le jeune homme fut tranquille tout le voyage. Il avait tellement hâte d’arriver.

Fin du FLASH BACK

Depuis une semaine déjà, Beriz était en Espagne et partageait le petit appartement de son frère. Il semblait avoir quitté son arrogance et semblait tellement heureux de partager quelques moments avec Julen. L’important était de ne pas perdre de vue sa couverture et d’avoir souvent des nouvelles d’Andréa afin de veiller à ce que tout se passait bien. Mais tout cela était bien huilé. C’était le seconde fois qu’il mentait à ses parents pour retrouver celui qu’il détestait tous. Sans aucune raison valable selon le plus jeune des Winchester.
~ Beriz : Je sors
~ Julen : Sois rentré pour dîner
~ Beriz : T’inquiète, je vais juste faire un tour sur la plage.

Sous ce soleil magnifique, Beriz avait l’impression d’être libre. Ces vacances lui faisaient toujours le plus grand bien avant de retourner au bagne. Mais il n’avait pas le choix. Perdu dans ses pensées, le jeune garçon ne vit pas arriver une voiture et celle-ci le heurta de plein fouet. Inconscient sur la chaussée, il semblait vraiment mal en point.

Invité

Quelques jours de vacance au soleil... Elle y avait été obligée par sa hiérarchie et avait été envoyée en Espagne d'autorité... parce qu'il paraît qu'elle était bien trop pâle en ce moment et qu'elle avait l'air de plus en plus épuisée... mais elle ne comprennait pas, elle n'avait fait aucune erreur rien... et elle prenait ces vacances forcées pour une punition dont elle ne voyait pas la moindre raison valable. Se balladant dans la rue, elle soupira... une nouvelle fois depuis qu'elle était dehors. Elle avait finit par se persuader qu'il fallait qu'elle profite de ces quelques jours pour visiter le pays... Au moins. Pour rendre le séjour réellement agréable, il ne lui manquait qu'Aurel... Mais il ne pouvait pas la rejoindre ou du moins pas encore... Elle soupira de nouveau.

Et puis... Elle avait la vague impression qu'elle s'était perdue dans cette ville... Elle aurait du regarder où elle allait. Elle plissa le nez en cherchant un endroit d'où elle allait pouvoir tansplanner en paix et en toute "légalité"... Elle allait pour entrer dans une ruelle sombre lorsque le bruit d'un freinage, d'un choc puis d'une accélération se fit entendre. Ni une ni deux, elle se retourna suffisamment vite pour voir la voiture qui partait à toute allure. Inconsciemment, elle nota mentalement le numéro de plaque juste avant de s'intéresser à ce que la voiture avait heurté. Par Melin... un gosse. Un gosse qui était entouré par de plus en plus de personnes qui ne semblaient pas bouger le petit doigt. Elle accouru, bousculant les uns et les autres. Elle s'attira des protestations plus ou moins polies ce à quoi elle répondit d'une voix glaciale.

Maddi -Dégagez, je suis médecin...

On la laissa passer sans plus rien ajouter. Elle s'agenouilla aux côtés du gamin puis vérifia qu'il était vivant... Normal quoi. Elle plissa le nez avant de réfléchir à toute vitesse tout en s'occupant de lui. Elle laissait faire ses réflexes médicaux tout en se disant qu'elle ne pouvait pas le transporter tant qu'il y avait du monde autour d'elle. Soudain, elle eut une illumination. Elle s'écria.

Maddi -Partez, il est contagieux... appelez une ambulance.

Il eut un mouvement de panique. Elle sourit tandis que les personnes s'enfuyaient sans les voir. Elle profita de ce rideau humain pour tranplanner chez elle. Elle ne connaissait pas les hopitaux espagnols et encore moins l'hopital magique du pays... Et puis... Elle avait accès à tout ce qui pouvait être comme soins... autant en profiter pour le soigner chez elle. Elle réapparu dans son petit appartement, le gosse à ses pieds. Elle n'avait pas osé le soulever. Elle le transporta jusque dans son lit à l'aide d'un sort puis entreprit de l'ausculter avec bien plus de soins qu'elle ne l'avait fait sur la route. Qu'il risque d'être un simple moldu ne l'avait pas paniqué... Elle maîtrisait le sort d'oubli comme tout le reste...

Près de trois heures plus tard, elle se redressait après avoir soigné ce qui méritait de l'être. Elle sourit doucement en observant son patient toujours inconscient. Elle n'avait pas fouillé ses affaires. Elle s'éloigna le temps d'aller préparer quelque chose à manger.

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[HJ : je vais faire beaucoup
de flash back pour ne pas
tout raconter en un bloc]

FLASH BACK
AOUT 1982

Le coeur de Beriz s'accélèra dès que l'hotesse annonça l'entrée en gare du train. Agé de 12 ans, le jeune Winchester était impatient d'arriver mais aussi angoissé. Et si Julen ne ressemblait pas à l'image qu'il s'était onstruite de lui. Et s'il n'avait rien à voir avec le gentil garçon qui lui écrivait depuis plusieurs années. Et si Arya avait raison. Non. Il refusait de le croire. Le train s'arrêta. Le jeune Serpentard se jeta à la vitre essayant d'apercevoir un homme qui pouvait être son frère. Il prit sa valise et sortit sur la quai. La foule empêchait le jeune garçon de voir quoi que ce soit et il sursauta lorsqu'une main se posa sur son épaule. Vivement, il se retourna.

~ Julen : Beriz ?
Il secoua affirmativement la tête et pendant plusieurs minutes, les deux garçons s'observait sans que, ni l'un, ni l'autre ne daignent dire quelque chose. Ils étaient tellement content de se voir enfin mais semblaient habiter par la même angoisse. Julen craignant que ce soit une ruse de Yon pour savoir où il se cachait et pouvoir le tuer.

~ Julen : Allons y
Beiz secoua affirmativement la tête, une nouvelle fois et risqua un petit sourire timide. Sourire que Julen lui rendit immédiatement.
Ce fut qu'une fois arrivé chez l'aîné des Winchester que les langues se délièrent et qu'ils retrouvèrent la même complicité que dans leur lettres. Un amour fraternel était peut-être en train de naître

Fin du FLASH BACK

Un regard vers le véhicule, un cri, un choc et plus rien. Tout cela s'était passé en quelques millièmes de secondes et personne n'avait eu le temps de faire quoi que ce soit. Ce petit corps inerte, allongé sur le goudron semblait si fragile. On aurait pu le comparé à un petit pantin désarticulé. Totalement inconscient, le jeune garçon ne savait pas l'agitation et les commentaires horrifiés des passants qui regardaient la voiture partir sans se soucier du choc mais aucun ne faisait un geste envers le petit garçon.

Quelques heures plus tard, Beriz semblait emergé d'un long voyage. Son visage d'ange pouvait attirer la simpathie de n'importe quelle âme humaine et beaucoup serait resté à observer sa frimousse. Lentement, le jeune garçonnet ouvrit les yeux l'un après l'autre. Peu à peu, il prit conscience des petits bruits quotidiens qui s'agitaient autour de lui. Après avoir totalement repris connaissance, il se redressa. Ses muscles semblaient encore engourdis par les soins donné par cette inconnue et il jeta des regards interrogateurs sur la pièce. Je suis où ? Les question se bousculèrent dans l'esprit de Beriz qui semblait avoir totalement zappé l'accident.

Entendant des bruits provenant d'une autre pièce, il se leva et se postra dans l'encadrement de la porte. Sans rien dire, il observait l'inconnue. Son visage, plus pâlichon que d'habitude, montrait qu'il n'avait encore pas totalement récupéré du choc. Il ne disait rien se contentant d'oberver Maddison.

Invité

Le repas était prêt depuis un bon moment déjà mais elle avait prit soin de le tenir au chaud. Elle ne savait pas quand il allait se réveiller mais tenait à ce qu'il puisse manger dans les plus brefs délais. Régulièrement, elle était allée le voir pour s'assurer qu'il allait bien. Finalement, ses vacances en Espagne avaient été courtes... Médecin elle était et médecin elle restait, elle se devait donc au moindre patient qui se présentait à elle... de manière plus ou moins volontaire. Profitant qu'il soit encore endormit, elle envoya un message à Aurel puis joignit l'hopital pour lequel elle travaillait afin de recevoir ce qui lui manquait. Pour la première fois de cette année, elle avait été intraitable et avait mentit à son supérieur: son patient n'était pas transportable, point... Et de toute manière, personne en Angleterre n'aurait pu améliorer son cas.

Une fois la communication coupée, elle retourna s'agiter dans la cuisine. Elle se prépara un thé en attendant soit l'arrivée de l'hibou, soit le réveil de l'adolescent qui était actuellement dans sa chambre. Elle ne s'inquiétait pas pour lui. Le choc avait été rude mais il n'avait rien eut de très très grave. Un miracle, en somme. Elle finit par se retourner, sa tasse à la main et un fin sourire aux lèvres qui se figea lorsqu'elle apperçu l'adolescent dans l'encadrement de la porte. Elle resta immobile une seconde avant de se précipiter vers lui en posant sa tasse sur la table au passage. Parvenue à lui, elle lui toucha le front tout en le tenait fermement mais sans lui faire mal, à l'épaule.

Maddi -Tu es enfin réveillé... Tu devrais retourner au lit, tu sais... A moins que tu veuilles t'asseoir mais si je vois le moindre signe de fatigue, je te reconduis au lit directement sans te laisser le loisir de discuter...

Elle lui sourit, rassurante. Sa seconde main se posa sur l'épaule libre de Bériz, prête à le soutenir en cas de chute. Elle ajouta

Maddi -Tu n'as rien de grave mais il faut que tu te reposes... Tu ne risques rien ici. Je n'ai pas fouillé tes affaires, j'ai pensé que tu préfèrerais me dire ton nom... En ce qui me concerne, je suis Maddisson...

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FLASH BACK
JUILLET 1983 (quelques heures plus tôt)

Beriz se sentait libre. Il n'avait plus ses parents sur le dos. Il n'entendait plus sa soeur lui rabâcher les oreilles avec Yon. yon par-ci, Yon par là. De toute faço, il n'y en avait toujours que pour lui. Il n'avait plus personne pour lui donner des coups à tout bouts de champ et surtout, il avait réussi à se mettre son frère dans la poche.

Julen était tellement heureux de garde run lien concret avec les Winchester qu'il laissait Beriz tout faire et surtout était toujours aux petits soin avec lui comme s'il craignait qu'un jour, il se retourne contre lui, comme ses parents, comme Yon, comme Arya. Julen savait que Beriz avait mieux à faire de retourner du côté des Winchester mais le pauvre n'avait pas autant de jugeotte que le benjamin de la famille et croyez moi, Beriz sait ce qu'il fait, ce qu'il veut. D'ailleurs, lorsqu'il vi t cette voiture arrivé à toute vitesse, il se dit qu'il n'y avait pas de meilleur moyen pour se faire dorloter encore un peu et se faire plaindre par un Julen complètement ermerveillé par ce qu'est devenu Beriz. Attention au démon qui sommeille en lui parce que lui, sera intraitable.

Une respiration, une accélération et le choc. La dernière pensée de Beriz fut heureuse. Il avait réussi son coup. Espérons juste qu'il n'y soit pas aller top fort. Il ne voulait pas mourir juste avoir quelques blessures.

Fin du FLASH BACK

Beriz n'avait pas l'impression d'être si mal en point que cela. A vrai dire, il était même plutôt satisfait de lui même. Il avait réussi son coup et les blessures semblaient superficielles. D'ailleurs, il ne sentait plus rien si ce n'est un peu de fatigue. Mais sur son visage, aucun sourire ne montrait qu'il avait tout planifié. On aurait plutôt dit un petit garçn qui venait juste d'avoir un choc terrible. Il semblait totalement à l'ouest et son regard se perdait facilement dans le vide. La douleur ? Beriz ne la craignait plus. Après avoir reçu bons nombreux de coups de la part de son père, il avait même appris à l'apprécier.

Il ne recula même pas lorsque Maddison s'approcha de lui. Il avait la tête appuyé contre le mur comme s'il allait tombé de fatigue d'un moment à l'autre. Il lui sourit timidement lorsqu'elle lui parla et semblait rassuré. Il semblait totalement shooté et il avait un temps de réaction plutôt limité. Aussi il se passa plusieurs secondes de silence avant qu'enfin, la jeune femme entende le son de la voix de ce gamin de 13 ans qui ne semblait n'en avoir qu'11.
"Beriz. Je m'appelle Beriz."

Il se fichait pas mal qu'elle ait fouillé ou non dans ses affaires mais de savoir qu'il avait affaire à une gentille personne la rassura un peu. Au moins, il n'aurait aucun mal à se faire passer pour un petit garçon traumatisé par ce qu'il venait de lui arrivé.

D'un seul coup, sans prévenir, il s'agita. Comme animé d'une angoisse, il commença à bouger.
"Mon ami, il va s'inquiéter pour moi, je dois absolument le prévenir. Il va s'inquiéter, c'est quelle heure ? Oh non, je vais me faire gronder. Il faut absolument que je rentre immédiatement."

Puis, comme elle était arrivé, son agitation retombe et il fini par tomber par terre de fatigue. Ses paupières semblaient lourdes, son teint toujos aussi pâle, on aurait dit qu'il était vraiment à l'ouest.

Invité

Beriz -"Beriz. Je m'appelle Beriz."

Elle lui sourit, le trouvant mignon. Elle ne lui demanda pas son âge et par acquit de conscience le mena jusqu'à sa chaise et le force à s'asseoir. Elle attrape sa tasse de thé et bois une gorgée en l'observant attentivement. Elle n'a pas l'air d'aller si mal. Elle est plutôt contente d'avoir réussit à le soigner avec le peu de moyen qu'elle avait dans cet appartement. Elle repose sa tasse et va pour lui préparer une assiette quand il s'agite.

Beriz -"Mon ami, il va s'inquiéter pour moi, je dois absolument le prévenir. Il va s'inquiéter, c'est quelle heure ? Oh non, je vais me faire gronder. Il faut absolument que je rentre immédiatement."

Elle se retourne, prête à lui dire de ne pas s'en faire et ne dû le fait qu'il ne tombe pas au sol qu'à ses reflexes. Elle plisse le nez en se maudissant d'avoir été aussi imprudente. Elle le redresse et caresse un instant sa joue avant de le soulever et de le ramener d'office jusqu'au lit. Elle l'y pose délicatement puis s'asseoit à ses côtés. Elle lui demanda.

Maddi -Tu restes ici jusqu'à ce que tu sois capable de tenir sur tes jambes.... Tu veux que je prévienne qui?

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Beriz remarqua tout de suite l'air béhat de la jeune femme prénommée Maddison. Elle ne semblait pas méchante du tout, bien au contraire. Il remarqua bien que son état et son visage d'ange avait conquis le coeur de la jeune infirmière et il ne s'en plaignait pas. Après tout, il aurait pu lui arriver des choses pires que cela après avoir eut son accident. Ce qu'il avait espéré était de ne pas atterir à l'hôpital n'aimant pas les infirmières qui sont plus froides que des glaçons à cause du nombre de patients incalculables à soigner. Là, il était seul et pouvait jouer la comédie à loisir, il était sûr de se faire chouchouter. Mais surtout, il avait hâte que son frère apprenne ce qui enait de lui arriver. A tout les coups, Julen, inquiet, serait heureux qu'il ne soit rien arriver de grave à Beriz et lui permettrait de se croire encore un peu plus le roi pendant la fin de son séjour en Espagne.

Mais avant de penser à cela, il fallait continuer à être aussi mal en point et se faire dorloter un peu. Il esquissa un faible sourire lorsque Maddison le rattrapa et son air presque paniqué lui montra qu'elle n'avait rien vu d'inhabituel. Juste un petit gamin encore tout emoussé par l'accident. Il ne rechigna pas lorsqu'elle le prit dans ses bras et le ramena sur le lit. Ilse contenant d'un air sourire pour lui montrer sa gratitude et lui répondit d'une voix calme mais très faible.
"Il faut prévenir l'ami chez qui je suis. Il va s'inquiéter mais je ne connais pas le numéro de chez lui"
A vrai dire, Beriz n'avait jamais eu besoin de son numéro de télepho vu qu'il n'utilisait que les hiboux mais il ne voulait pas prendre le risque qu'elle trouve étrange cette façon de communiquer. Mais après tout, elle ne devrait pas trouver étrange qu'un si petit garçon ait oublié un numéro.

"Il est peut être marqué dans le livre où il y a tout les noms."
Il parlait bien évidemment du botin mais ignorait comment on s'en servait. Comment faire pour qu'elle ne découvre pas son nom de famille sans parler des hiboux. Très difficile.
"Est ce que je pourrais avoir un verre de jus d'orange s'il te plait ?"

Invité

Beriz -Il faut prévenir l'ami chez qui je suis. Il va s'inquiéter mais je ne connais pas le numéro de chez lui.

Elle cache son mouvement de contrariété avec brio. Ils sont pas avancés. Elle connaît bien un moyen de trouver la personne chez qui il doit être mais... Mais elle n'est pas censée montrer ce qu'elle sait faire à ce qui peut s'avérer être un moldu... Elle se contente de lui sourire à défaut de lui trouver quelque chose pour le rassurer.

Beriz -"Il est peut être marqué dans le livre où il y a tout les noms.".

Pas con. Elle sourit.

Maddi -L'annuaire...? oh... Oui... Je ne sais pas où il est puisque je n'habite pas ici, mais je vais bien le trouver...

Elle se redresser avant de passer une main sur son front. Rassurée par sa température, elle va pour disparaître dans le salon quand il lui demande un verre de jus d'orange. Elle lui répond d'un mouvement de la tête et referme la porte derrière elle. Elle passe quelques minutes à fouiller l'appartement puis, en désespoir de cause, murmure un sort d'attraction. En moins de temps qu'il ne lui en faut pour le dire, le botin flotte devant elle. Amusée, elle l'attrape puis va chercher le verre du jus d'orange. Elle finit par revenir, le boton coincé sous un bras, le verre dans l'une de ses mains. Elle lui adresse un sourire et lui tend le verre. Elle reprend sa place à ses côtés puis pose l'annuaire sur le lit.

Maddi -Tiens... Désolée pour le temps, j'ai finit par le trouver... Tu veux que j'appele ou tu tiens à le faire?

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Beriz lui sourit timidement et laissa retomber sa tête sur l'oreiller. Savoir qu'elle veillait sur lui semblait le rassurer. Son visage avait perdu son inquiétude et il la regarda sortir avec un sourire de remerciement. dès qu'elle eut qitter la pièce, il se dit qu'il fallait réfléchir et vite. Plusieurs problèmes se posaient à lui et il fallait trouver un moyen de les résoudre le plus vite possible, avant qu'elle nne revienne et continue de s'inquiéter de sa santé.

Bon. Premons les choses avec méthodes. Le jeune Serpentard veut que son frère apprenne de la bouche de Maddison, son accident, son état et ce qu'elle pense de sa santé. Cela aurait sûrement plus d'impact sur son aîné que ce soit une adulte qui dise qu'il allait poas très bien. D'accord. Donc Maddison passera le coup de téléphone. Mais la aussi, un autre problème se pose. Beriz ne veut pas qu'on sache qui il est. Il risque gros en étant venu chez son frère pendant les vacances en sachant ce qu'en pensent ses vieux. Il avait une couverture de béton et il ne devait pas prendre de risques là dessus. Bon alors comment faire ? Chercher lui même le nom dans le livre ? Pourquoi pas mais elle va tuver cela louche. Allez bouge toi, Beriz, trouve une idée lumineuse, comme t'en as toujours.

La porte s'ouvre. Trop tard, va falloir improviser. Elle a le bouquin, le verre de jus d'orange. Mais bien sur. C'est cela. T'es un génie Beriz, un génie. Il commença par prendre le verre de jus d'orange. Il semblait encore faible et il était pale. D'une voix toute timide, il remercia son hôte et porta le verre à ses lèvres. Un fois qu'il avait bu une petite gorgée, il voulu poser le verre encore plein sur la table de chevet mais rata la table.

En quelques secondes, le verre se retrouve par terre.
"Oh mince, je suis vraiment désolé. Je n'ai pas fait exprès. Je suis désolé"
Il semblait vraiment triste et semblait avoir peur que Maddison l'engueule. Le liquide continuait de couler sur la moquette et il fallait éponger rapidement avant de pourir le sol.

Invité

Elle n'a pas eut les réflexes de tenter d'attraper le verre qui est désormais explosé sur le sol en train de répandre le jus d'orange. Maddisson observe le liquide se faire absorber par la moquette... Diable... Ca va être galère pour retirer tout ça si elle ne s'aide pas de quelques sorts. D'ailleurs, son premier réflexe est de poser sa main sur la poche qui renferme sa baguette. Mais la voix de l'adolescent l'arrête.

Beriz -"Oh mince, je suis vraiment désolé. Je n'ai pas fait exprès. Je suis désolé"

La main sur sa poche, elle tourne son visage vers lui. Il a l'air triste et semble avoir peur... de quoi? Qu'elle l'engueule parce qu'il a renverser son jus d'orange. Elle sourit et secoue la tête en se levant.

Maddi -Ce n'est rien... C'est juste un verre, du jus d'orange et une tâche... Rien d'irréparable, tu sais...

Elle s'accroupit et ramasse les éclats de verre avant de se redresser et de se diriger vers la porte. Avant de sortir, elle ajoute.

Maddi -Je reviens... ne te lève pas, il y a encore du verre par terre... Cherche ton numéro, si tu veux...

Elle referme la porte du bout de ses doigts libres et se dirige vers la cuisine. Elle jete les bouts de verre puis lui en prépare un autre. Se faisant, l'hibou qu'elle attendait arrive. D'un geste, elle le fait taire, lui donne à manger puis récupère ce qu'il lui a amené. En quelques instants, quelques fioles ornent la table de la cuisine. Elle attrape un autre verre, mélange deux trois gouttes de ci, deux trois gouttes de ça et vide carrément une fiole dans le verre. Le liquide fume mais elle a tôt fait d'ajouter quelque gouttes d'autre chose. Le liquie final a une teinte rose clair et ne sent rien... Elle attrape les deux verres puis revient dans la chambre non sans avoir poser de quoi essuyer le jus d'orange sur l'un de ses bras.

Elle entre dans la chambre sans trop de difficultés - des années d'hopital, ça aide - un sourire aux lèvres. Elle revient près de lui, dépose le verre de jus d'orange sur la table de nuit et lui tend celui qu'elle a concocté quelques minutes plus tôt.

Maddi -Tiens, bois ça... Je ne te garantie pas le goût mais c'est pour ton bien et tu devrais te sentir mieux ensuite... Ca te soulagera.

D'un point de vue moldu, le liquide a un goût tout bonnement bizarre, comme les médicament dégeulasse que l'on donne... Pour quelqu'un qui a l'habitude de boire des potions en cas de maladie, il est clair que c'est un mélange... relativement bon compte tenu de ce que l'on a généralement.

Elle lui sourit puis se met à essuyer le jus d'orange. Trop tard... En désespoir de cause, elle laisse le chiffon sur la tâche.

Maddi - Ne t'inquiète pas pour la tâche, je connais quelques trucs pour les effacer.. Tu as trouvé ton numéro?

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Vous avez dit un petit démon ? Détromper vous, Beriz n'et pas un démon, c'est le démon en personne. Mais comment en vouloir à cette bouille d'ange, à ce petit être si frêle ? Comme il l'avait si prévu dans son plan diabolique, Maddison tomba elle aussi dans le piège et elle tenta un sourire rassurant envers Beriz. Le jeune Serpentard menait la danse, comme souvent et il pouvait prévoir les réactions de son hôte alors qu'il ne la connaissait que depuis quelques minutes. Il avait l'art de deviner le caractère des personnes juste en les voyant quelques secondes. son esprit d'analyse était toujours en éveil et il observait les moindres gestes de Maddison. La main porter à la poche ne lui échappa pas pourtant, il n'aurait pas penser qu'une baguette était caché sous ses vêtements.

Il acquiesca d'une signe de la tête lorsqu'elle lui ordonna de ne pas bouger du lit et qu'il ferait mieux de chercher le numéro. C'est bien ce qu'il comptait faire. Pourquoi tu crois qu'il a balancé son verre par terre ? Pas idiot le Beriz. Bon alors, cherchons parce que Julen va vraiment finir par se faire du souci et il risque de faire n'importe quoi pour retrouver son frère. Winchester, Winchester, Winchester. Là. Julen. Mias il est idiot lui. Pourquoi avait-il fait mettre son nom ici ? Si Yon savait cela, il en rirait de la bêtise de son aîné et cela continuerait de le convaincre que l'abattre est mieux pour l'avenir des Winchester.

555-5873. Il le répéta mentalement plusieurs fois dans sa tête et ferma le bouquin. Il le conaissait par coeur et pas envie de prendre le risque que Maddison apprenne quelque chose de plus que son prénom. Juste à temps avant que la porte de la chambre ne se réouvre. Reste calme, tout se passe bien, continue comme cela. Il prit le verre avec une main mal assurée, comme s'il avait peur de le renverser encore une fois et l'avala d'une traite. Il n'avait jamais bu de médicaments moldu mais trouvait celui là pas dégueulasse, même plutôt bon, un peu comme les potions des sorciers. Il lui tendit le verre vide afin de ne pas refre une connerie et lui répondit
"555-5873. Mon ami s'appelle Julien"

Il avait volontairement modifié le prénom de son frère. Presque inaudible à l'oreille et puis son frère pourrait penser à une simple erreur de prononciation. Et oui, il pense à tout le gamin.

Invité

Beriz -555-5873. Mon ami s'appelle Julien

Un fin sourire orne son visage. Il a bu la potion sans poser de question. Elle respire, c'est la seule chose dont elle avait peur: qu'il ne veuille pas boire. Mais visiblement, bien trop choqué, ou imprudent, ou sûr de lui, il a bu les potions. Elle répète le numéro.

Maddi -Julien au 555-5873 ... Parfait... je vais l'appeler, repose toi...

Elle se lève, attrape le verre de potion vide puis après un dernier coup d'oeil, sort en refermant la porte. Elle regrette quelque peu que l'adolescent ne soit qu'un simple moldu... Il aurait été si simple d'envoyer un hiboux... Enfin... Elle pose le verre dans la cuisine puis retourne au salon afin de téléphoner. Elle bénit sa famille qui lui a permit d'apprendre au moins à se servir d'un téléphone. Elle tapotte le numéro et attend... Une sonnerie, deux sonneries... Trois sonneries. Elle réalise qu'elle ne sait même pas le nom de famille de cet "ami" quand il déccroche enfin. Tant pis... Elle a l'habitude des cas comme ça.

Maddi -Bonjour, je suis Maddisson Sorrow. Je suis bien chez Julien...?

Julen -Bonjour... Je suis Julen. Que puis je pour vous?

Maddi -Voilà. Je vous appelle au sujet de votre ami. Il s'agit de Beriz.

Julen -Beriz? Il va bien?

Maddi -Oui, il va bien, il est juste encore un peu secoué après son accident, mais il va bien.

Julen -Son accident?

Maddi -Il a été percuté par une voiture... Mais je suis médecin, tout va bien, faites moi confiance.

Julen -Votre adresse?

Maddi -36, rue des accacias.

L'autre raccroche. Maddisson soupire en reposant le combiné... La prochaine rencontre promet d'être... passionnante. Elle passe une main dans ses cheveux puis retourne à la chambre.

Maddi -Je ne sais pas si tu es Beriz... mais le jeune homme que j'ai eut au téléphone prénommé Julien... Arrive... Tu vas mieux?

Edit: Et voila Smile

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Beriz la regarda partir un sourire aux lèvres. Il savait très bien comment cela allait se passer par la suite. Son frère était tellement prévisible qu'il lui arrivait d'avoir peur pour lui. Il ne ferait pas le poids face à Yon et se cacher était la meilleure solution mais pas terrible quand même. Un jour, il mourrait tuer par le deuxième garçon WINCHESTER et Beriz ne pourrait rien y faire. Pour l'instant autant profiter de la gentillesse de son frère en espérant qu'il ne lui arrivera rien. Il abeau ne pas avoir de coeur, Briz et Julen ont une relation différente que le jeune garçon ne veut pas perdre, c'est un peu sa bouée de sauvetage pour ne pas sombré dans la solitude et de devenir encore plus calculateur qu'il l'est déjà.

Content de lui, il s'allongea, essayant de jouer encore un peu le petit garçon fatigué pour que son frère morde à l'hameçon comme son infirmière d'un jour. Aucun risque qu'il remarque une qelconque manipulation de la part de l'ange. Déjà qu'il réussissait à tromper ses parents et sa soeur qui étaient beaucoup plus perfides que Julen alors avec l'aîné, c'est presque trop facile mais attention de ne pas faire une erreur.

La porte s'ouvre. Maddison. Bon Julen arrive, parfait, restait plus qu'à jouer la comédie un peu.
"Ouais, sa va mieux, j'ai juste encore un peu mal au dos mais je crois que sa va passer. Ce médicament m'a fait du bien. Merci d'avoir appelé Julien pour moi, j'espère q'il était pas trop inquiet"
A peine le temps de dire autre chose que quelqu'un sonna à la porte. Julen s'était transplané, assurément. Quel idiot. Il espérait simplement que tellement inquiète, Maddison ne remarque rien d'anormal. Il la vit quitter la pièce pour accueillir son visiteur. Julen entra en trombe dans la chambre et s'assit sur le lit juste à côté de Briz qui était encore un peu pâlichon.

~ Julen : Beriz, sa va ?
"Oui, sa va ne t'inquiète pas, Maddisson s'est bien occupé de moi"
~ Julen : Qu'est ce qu'il s'est passé ?
"J'ai traversé la route sans regarder s'il y avait des voitures, c'est ma faute et puis, je me suis fait percuté"
~ Julen : Je t'ai dit de faire attention, tu sais que t'aurais pu mourir ?

L'aîné avait haussé le ton et Beriz baissa les yeux comme un fautif et espérait que la jeune femme prendrit sa défense. Il en était persuadé, elle avait tellement un grand coeur, qu'elle ne permettrait pas au jeune garçon encore faible de se faire engueuler. Du moins, il espérait ne pas se tromper.

Invité

Beriz -Ouais, sa va mieux, j'ai juste encore un peu mal au dos mais je crois que sa va passer. Ce médicament m'a fait du bien. Merci d'avoir appelé Julien pour moi, j'espère q'il était pas trop inquiet

Maddisson -Ne t'en fais pas... Je l'ai rassuré autant que possible. Et puis, tu ne risques rien ici... J'suis médecin.

Sourire. Elle va pour ajouter quelque chose d'autre lorsque la sonnette se fait entendre... Si vite... Elle hausse un sourcil en se levant pour aller ouvrir. Plutôt rapide le Julien... Elle ne fait aucune remarque mais c'est beaucoup trop louche pour elle. Enfin.. En bonne hôte, elle préfère ne pas poser de questions... Elle saura bien plus tard... Elle ouvre la porte et un.. sauvage pénétra dans l'appartement et suivit le geste désignant sa chambre qu'elle a eut le réflexe de faire. Hors de question qu'il erre dans l'appartement.

Elle referme la porte puis le suit. Elle entre dans la chambre alors qu'il vient de hausser le son. Elle plissa le nez et fit remarquer en s'approchant.

Maddisson -Calmez vous. C'est pas en l'engueulant qu'il va comprendre quoique ce soit. Vous êtes inquiet, soit. Il n'a rien, je vous l'ai déjà dit... Il aurait du regarder, il a comprit je crois... Vous lui direz ce que vous voulez quand il ira mieux, pas avant.

Julen lui lance un regard noir. Elle hausse les épaules, indifférente.

Julen -Vous n'êtes pas sa mère. Il est sous ma responsabilité.

Maddisson -Je ne le nie pas mais pour le moment, c'est moi son médecin. Je crois qu'actuellement, c'est moi qui sait ce qu'il lui faut non?

Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 07/10/2007

Le mot medecin semblait comme rassuré le jeune garçon et son sourire s'élargit quelque peu. Il allait mieux, cela se voyait sur son visage mais il était toujours aussi pâle, aussi faible. Il faut dire, il jouait son rôle à la perfection. Il le fit encore mieux lorsque Julen commença à s'enerver un peu. Beriz comprenait à quoi cela était dû. Il avait eu peur pour son frère et le jeune homme était content de le voir réagir de cette façon. Son plan avait réussi. Il baissa les yeux comme s'il comprenait qu'il était fautif et ajouta d'une petite voix.
"Je suis désolé, je ferais attention la prochaine fois. J'ai eu tellement peur"

Et sans qu'aun geste n'ai pu prévoir, il s'effondra en larmes dans les bras de son bras. L'aîné, sûrement comme Maddison, prit cela pour le contrecoup de l'accident et tendrement, il le prit dans ses bras.
Julen : Allez on rentre ?
Il secoua affirmativement la tête et se laissa porter par son frère. Julenn remercia Maddison pour ce qu'elle avait fait pour Beriz et ils quittèrent l'appartement. La mission : attendrissement de grand frère avait réussi.

*~*~* RP terminé *~*~*

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