DCFM: Julia

Dans la salle de classe, il y a un mémo:
Rendez-vous aux cachots pour le 2e cours.
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Dans le fin fond des cachots de POudlard, il y a Lareless en robe d'Auror.
(pour l'idée, visualisez les soutanes de prêtres) A col romain, boutonné à l'avant jusqu'à la taille et ensuite laissant les plis tomber, dessous, des pantalons propres, un étui à baguette fixé à la cuisse. Le tout d'un bleu marin soutenu. L'uniforme accentue la sévérité de son visage.
Les cheveux de Less sont noués en un lourd chignon strict. Immobile, elle attend les élèves. Derrière elle, une lourde porte de fer verrouillée

La porte s'ouvre devant vous, Lareless, à côté d'elle, ne dit pas un mot, vous invitant simplement d'un geste de la main à entrer, Un corridor obscur se perd dans les ténèbres devant vous. Une torche, à gauche, sur son socle, est la seule source de lumière. Vous pouvez voir les petites traces par terre d'une multitude de rats avec les crottes qui vont avec, ainsi que la trace de quelque chose de plus gros et de non-identifié.
Une fois que vous avez passé la porte, celle-ci se referme avec un grincement sinistre. Plus question de faire marche arrière.
Ce qu'il y a ici, vous l'apporterez.

Julia avait l'uniforme sur elle. Elle s'était coiffée d'une queue de cheval pour éviter d'avoir ses cheveux en pleine figure. Heureusement que ses cheveux étaient mi-longs comme ça, elle pouvait encore se coiffer comme elle le souhaitait. Le professeur l'invita à entrer. Ce qu'elle fit. Elle avait toutes ses affaires pour ce cours. Elle entra, s'avança de trois pas et... BOUM ! Julia sursauta et se retourna pour voir ce que c'était. Elle lâche u soupir de soulagement en remarquant que ce n'était que la porte qui s'était fermée toute seule.

Elle regarda le professeur le sourir aux lèvres car elle aimait bien les cours de défences contre les forces du mal. Julia attendit calmement que le professeur lui dise quelque chose.

Lareless hausse les sourcils devant le silence de l'élève. Enfin une qui sait économiser sa salive...

Il suffit de traverser le dédales de corridors jusqu'à l'autre bout mademoiselle.


Elle lève un bras, pointant de sa main gantée les profondeurs insondables du cachot. Julia n'y réchappera pas. Une immobilité étouffante, opressante, imprègne l'athmosphère. Plus vite la jeune serdaigle se mettra en marche, plus vite l'épreuve sera passée.

tictictic....

tictictic...

un bruit de pattes... deux quatres huit cents? Dur à dire. Mais ca s'en vient.

Quelque chose lui grimpe sur le dos, ou lui tombe sur le dos, bref, c'est confus. ca l,a l'air d'avoir plus que 4 pattes. Il y a un bruit étrange, comme des mandibules qui claquent dans l'air sombre, juste devant elle.

Mais avec le noir absolu du corridor, ayant éteint sa baguette, tout est suggestif. Pour le moment, il n'y a rien de réel. Ou tout est réel.... Ce qu'on ne voit pas reste t il réel?