Un sombre voyageur ( Libre pour qui veu venir )

8h du soir..

Cela fessait plusieurs années que Malhorn n’avait pas pu se promener librement dans les rues sombres de l’allée des embrumes. Emmitoufler dans une large cape de voyage de couleur noir, un capuchon épais plongeait sur sont visage un voile noir cachant les très de sa figure pour pas que personne ne puisse le reconnaître dans la rue, son visage se retrouvant sur la plupart des affiches de recherche. Sa démarche saccadée, souvenir de son extraction douloureuse d’Azkaban, ne lui permettait pas d’avancer à une grande vitesse, cane en main pour l’aider à soutenir sa jambe qui n’avait pas encore fini de guérir après se l’avoir brutalement casser, mutilation obligatoire qui lui avait servi de clef de secours, pour se sortir de sa cage. Ce n’était pas son inexpérience en la métrise de la magie qui l’avait empêcher de rétablir cette partie de son anatomie, mais le temps que ce lui avait prit pour retrouver une baguette magique et la force mentale de retrouver dans ses pensées biaiser par les détraqueurs les incantations pour réparer son tibia.

Ses articulations commençaient à lui chauffé la pluie froide de ce mois de décembre lui coulant sur les mains. Bien heureusement sont corps était couvrit en cas et le risque de tomber malade n’était pas très grand. C’était bien certes la dernière chose qu’il voulait qu’il lui arrive déjà assez faible, s’il devait affronter un auror à nouveau, il ne pourrait sans doute pas sens sortir aussi bien que les fois précédente, ou il ne souffrait pas de mal nutrition et d’autre manque compenser par la fureur de son âme blesser de s’avoir fait capturer lorsqu’il pensait son plan parfait quelque année au paravent.

Malhorn s’était arrêter un instant sous le porche d’une boutique a première vue fermer depuis longtemps, le temps de se réchauffer et de frotter l’une contre l’autre les paumes de ses mains qui commençait à prendre une teinte bleutée. A ses souvenirs une auberge désaffecter logeait quelque part dans cette allée, loin dans une ruelle les seuls souvenirs de l’affiche en lettre de flamme, le titre de cet endroit souiller par le temps, le nom ne lui revenant pas. Il s’avait au fond de lui quand cet endroit sa présence serait accepter et que personne ne lui poserait de question sur son identité. Il pourrait y passer la nuit attendant que la pluie cesse de tomber sur le pavée de la rue.

Comme pousser par ce nouvel espoir Malhorn sortie de son antre plaçant avec précaution le rebord de sa cape autour de ses poings. Il devait retrouver la ruelle ou était loger cet emplacement.. Peut-être croiserait-il quelqu’un d’assez aimable et insouciant pour lui indiquer le chemin sans lui demander un du ou d’autre question qui l’obligerait à devenir méchant et a usé de la magie pour se débarrasser d’une âme clémente mais trop curieuse.

Invité

Ce qu'elle faisait dans l'allée des Embrumes ? C'était un de ses endroits préférés, celui où elle avait rencontré le père de son enfant la toute première fois, un endroit chargé de souvenirs heureux. Elle y revenait souvent pour diverses emplettes de toute première nécessité ou tout simplement pour repérer les visages des sorciers dits "mages noirs". On ne savait jamais, ça pouvait toujours servir. Il faisait toujours sombre dans l'allée des Embrumes, et quel que soit le temps il y avait toujours un fin brouillard sur le sol. Emmitouflée dans sa longue cape noire, sa préférée, le capuchon légèrement rabattu sur le visage mais ne dissimulant toutefois pas ses traits : après tout qui avait-elle à craindre ? Elle était la compagne de l'homme le plus dangereux du pays et du côté des sorcières les plus douées depuis les cinq derniers siècles.

Ce n'était sans doute pas une heure pour décider d'acheter les plantes dont elle avait besoin, mais c'était encore là qu'elle était le plus en mesure de le faire. Les cours de botanique, la direction de sa maison, et ce fouineur de Rocstone qui semblait prendre un malin plaisir à lui mettre des batons dans les roues depuis l'incident dans le bureau de la jeune femme, tout cela ne lui laissait pas beaucoup de répit. Elle tourna dans l'une des venelles attenantes à l'allée principale et entra dans une boutique glauque, sa poussée de la porte provoquant un grelot ridicule et au son émaillé. Le botaniste l'attendait... Abel, ainsi qu'on le nommait. Il travaillait aussi au ministère si ses informations étaient exactes mais une même passion des plantes les rapprochaient tous deux. Sauf que Khâl', elle, en avait fait son métier.

Elle acheta sans mot dire les plantes magiques et rares dont elle avait besoin, pour sa réserve personnelle. Peut-etre que si elle parvenait à les mener à maturation elle pourrait en extraire le venin aux propriétés si étendues qu'il ne pourrait se montrer que fort utile... Quelques gallions d'or changèrent de main sur le comptoir mat d'Abel et la jeune femme repartit, un sachet sous sa cape, dissimulé au cas où l'un des membres du CUAM viendrait à se promener par ici. Elle prit un autre chemin pour retourner à Poudlard, mieux valait ne pas trop se montrer dans l'Allée des Embrumes si l'on voulait rester discret. La venelle empruntée n'était plus fréquentée car toutes ses boutiques avaient été fermées suite à une descente des sorciers de la Brigade Magique. Les devantures étaient vides et les hauvents pendaient lamentablement. Un porche décrépi offrait un coin d'ombre salutaire que personne n'utilisait jamais. Sauf ce soir là...

Passant à proximité, elle vit un homme, d'age plutot jeune, en sortir. Les pans de sa cape ne laissaient pas voir son visage, comme la plupart de ceux qui se promenaient dans cet endroit. Une canne dans la main et une patte trainante apparemment... Elle ne sursauta pas et ne dit rien mais il avait piqué sa curiosité. Elle ralentit le pas en fixant les plis du tissu de sa cape, sans mot dire. Puis, sans avoir rien ajouté, elle détourna le regard et poursuivit sa route.

Les yeux pencher vers le sol, s’était le son des pas frappant à répétition les dalles de pierre de la petite rue qui avait alerté le regard suspect de Malhorn. Il n’avait pas remarqué au paravent la fine silhouette de la jeune femme qui avançait face à lui. Continuant à pénétré la rivière glacer pluvieuse qui lui tombait sur le crane, d’un pas désemparer sa Jambe le crispant d’une grande douleur a chaque fois que la pression de son corps forçait les muscle de celle-ci à ce serrer autour de ses ossements réparer à la hâte. Il huma l’air reniflant les mélanges d’odeur qui s’émanait de la jeune femme.. Des plantes au caractéristique venimeuses, leur odeur était fortement perceptible malgré la pluie qui dégageait sa propre senteur désagréable. Le souvenir lui revenue d’une boutique procurant ces sortes de plantes peu recommandables d’après ses propres sentiments, face au poison qu’elles pouvaient procurer si on s’avait bien les préparés. Tout le long de ses études à Poudlard Malhorn avait étudié studieusement les cours de potion, ceux de botanique à ses yeux étaient beaucoup moins importants, une erreur qu’il apprit à ce reprocher avec les années entendant parler des multitudes facette qu’elle pouvait procurer.

Puis l’envi de s’adresser à la femme se fit sentir lorsqu’elle lui jeta un mince regard qui ne dura qu’un instant. Le loup en lui s’était réveiller mais l’envi d’un nouveau assassina ne lui venait étrangement pas, comme si sa conscience lui dictait que s’attaquer à cette femme serait une grave erreur de sa part. Se laissant bercer par les paroles qui voltigeait en son esprit tordu, Malhorn s’arrêta net un instant se retournant vers la femme qui continuait à première vue son chemin d’un pas qui lui semblait presser chose normal avec le temps qui y régnait. Il s’accota plaçant avec force sont poids principalement sur le morceau de bois qui aidait à son handicape et poussa une mince toux non pas pour alerter la jeune femme, mais tout simplement pour éclaircir sa voie qui avait ce temps frais était devenue rauque presque sauvage. Rouvrant sa bouche l’étirant un instant après, pour être sur que le froid n’empêcherais pas l’articulation de ses paroles d’être perceptible, il cassa la symphonie des gouttelettes qui tombait venant marteler les flaques d’eau accumuler par l'intempérie et dit tout simplement..

-Malhorn – Excuser moi.. Madame ?

Malhorn releva quelque peu son capuchon qui dégoulinait devant ses yeux laissant son regard grisâtre perceptible a la faible lumière de l’endroit. Fixant la brume sur le sol pour regarder si la jeune femme s’arrêterait une envie de la prendre par le bras lui traversa l'esprit mais il y résistât. « Souviens-toi Malhorn » se répétait-il dans le plus creux de son esprit comme pour retrouver une facette de sa personnalité disparue.. Les nombreuses années qu’il avait passé à Azkaban l’avaient rendue quelque peu sauvage avec les gens qu’il l’entourait, lui qui tout comme sa jambe ne s’était pas remit complètement de son passage en cet endroit démente. Mais les souvenirs lui revenait et il ne devait pas agir comme bon lui semblait les règles de politesse s’adressant à sa personne autant qu’au autre. Et puis la peur pénétra son esprit.. Et ci cette jeune femme le reconnaissait ? Venait-il de commettre une seconde erreur ? Les prochaine réaction de la jeune femme, en serais décisif…

Invité

Elle entendit un raclement de voix qui laissait présumer de futures paroles et une voix rauque mais suave retentit dans la venelle déserte, les dernières notes se répercutant contre les pierres froides en un écho plaintif :

Malhorn – Excusez-moi.. Madame ?

Khâlina s'arrêta net mais ne répondit pas tout de suite. Elle dissimula davantage son paquet sous sa cape mais elle ne songea même pas à sortir sa baguette : mieux valait ne pas le menacer directement, ça se trouve il ne voulait que lui demander l'heure ou un autre renseignement. Elle fit volte-face, le visage détendu et serein et observa le jeune homme qui relevait légèrement son capuchon. Par politesse, la jeune femme fit de même et rabattit complètement son capuchon sur ses épaules.

Khâlina - Oui ?

Elle leva le regard vers lui et le détailla, ayant toujours été une excellente physionomiste. Elle n'oubliait jamais un visage sitôt qu'elle l'avait vu. Et elle reconnut aussitôt le jeune homme qui se trouvait devant elle. Son nom ne lui revenait pas, mais son visage placardé sur tous les murs du Chemin de Traverse n'avait pu lui échapper. Avec un fiancé comme le sien, regarder les affiches offrant des récompenses pour la capture de tel ou tel criminel était devenu monnaie courante et elle avait vu apparaitre un nouvel homme en fuite aux côtés de Halewyn Coeurd'Acier et de Heinrish Mustang, son futur mari. Elle était sûre que c'était cet homme, mais elle ne dit rien. Mieux valait ne pas prendre de risques : si sa bobine était sur toutes les affiches de Londres il y avait surement une raison. Elle se força à sourire de manière naturelle et ajouta d'une voix calme :

Khâlina - Je peux vous aider peut-être ?

Elle le regarda dans les yeux avant de détourner le regard et de le laisser divaguer à droite et à gauche mais ne quittant pas du coin de l'oeil le jeune homme. Un sourire naquit sur ses lèvres : quelle coincidence tout de même : dix ans plus tôt dans cette meme rue, elle rencontrait le père de son fils, lui aussi évadé d'Azkaban. Les sursauts de l'Histoire sans doute...

Malhorn regarda la femme s’arrêter après peu, il n’aurait pas à utiliser la force cette fois ci et cette nouvelle le réjouissait grandement. Agir comme son instinct de loup lui indiquait n'était pas bonne chose a faire, surtout après cette rapide extraction d’Azkaban et les multitudes recherchent lancer à son égard. Ho non il n'avait pas l’intention de retourner dans cette cages d’argent. Combien de fois avait-il essayer de brisée les barreaux d’arracher ses chaines ou de tout simplement scalper la tête des membres du ministère qui venait le narguer dans sa petite prison…

Sortant de ses rêveries, il observa la jeune femme un long moment, la regardant enlever le tissue qui cachait son doux visage mais ne la reconnue point. C’était la première fois que Malhorn a ses souvenirs croisait la route de cette gente demoiselle. Elle était beaucoup plus jeune que ce qu’il s’était imaginer.. La regardant de haut en bas d’un geste rapide des yeux il remarqua que la jeune femme avait entré l’une de ses mains dans le creux de sa cape.. Avait-elle peur ? Non elle ne le semblait pas.. Mais que cachait-elle donc dans les replis de sa cape.. Peut-être les plantes qu’il avait humer plutôt ? Tant que ce n’était pas sa baguette, Malhorn n’en avait rien à faire au fond de lui..

Khâlina - Oui ?

Elle venait de lui parler mais Malhorn resta muet, oubliant pendant un moment la raison de son interpellation.

Khâlina - Je peux vous aider peut-être ?

Et puis un frison le parcourra lui replaçant les souvenirs en tête.

Malhorn – Oui.. Je suis à la recherche de l’auberge qui était loger quelque part dans les ruelles sombres de cette endroits ! Voyez-vous.. Ma jambe m'empêche d’avancer à grande vitesse et si je ne trouve pas rapidement refuge, je crains que le froid n’aille raison de moi..

Sa voie tremblante se mélangeait à la symphonie naturelle. Un soupçon de pitié la traversant malgré lui. Cela le gênait beaucoup. Il n’aimait pas montrer ses faiblesses mais son corps ne lui laissait plus assez de force ni de précision pour effectuer un simple sort et se réchauffer.

Invité

Malhorn – Oui.. Je suis à la recherche de l’auberge qui était logée quelque part dans les ruelles sombres de cet endroit ! Voyez-vous.. Ma jambe m'empêche d’avancer à grande vitesse et si je ne trouve pas rapidement refuge, je crains que le froid n’ait raison de moi..

La jeune femme esquissa une moue perplexe en faisant mine de réfléchir. Une auberge par ici ? Elle chercha dans ses souvenirs : oui il y avait bien eu une auberge un jour dans cette ruelle, mais elle avait mis la clef sous la porte après qu'on eut découvert qu'elle y vendait du Whisky pur feu de contrebande. Une histoire sans importance mais qui avait suffit pour discréditer l'établissement auprès de ses clients. Khalina observa la jambe du jeune homme : en effet il tirait la patte, c'était le cas de le dire...

Khâlina - L'Auberge dont vous parlez a fermé ses portes il y a quelques années de cela. Ca doit faire un moment que vous ne venez plus dans l'Allée des Embrumes, je me trompe ?

Il semblait vraiment souffrir du froid : depuis combien de temps était-il tapi dans les ombres glacées de ce lieu sinistre ? Elle ne put s'empêcher d'avoir pitié de lui. Il devait être aux abois pour chercher une Auberge sur l'Allée des Embrumes : même les mages noirs ne s'y risquaient pas, tant on vantait l'insalubrité des établissements proposés ici. Elle soupira et proposa d'une voix neutre :

Khâlina - Je vous invite à boire un verre pour vous réchauffer, Monsieur Malhorn ?

Elle jouait avec le feu en l'invitant et en lui signifiant qu'elle l'avait reconnu, mais qu'avait-elle vraiment à craindre ? Elle jeta un coup d'oeil rapide à l'anneau que lui avait donné Heinrish : en cas de problèmes, il débarquerait dans la minute, elle le savait. Prenant confiance en elle, elle regarda Ryan d'un air interrogateur, attendant sa réponse.

Khâlina - L'Auberge dont vous parlez à fermé ses portes il y a quelques années de cela. Ca doit faire un moment que vous ne venez plus dans l'Allée des Embrumes, je me trompe ?

Malhorn – Effectivement…

L’homme ne s’avait plus quoi faire, le froid aurait il raison de lui ? Non cette idée, il ne la supportait tout simplement pas. Un sorcier t’elle que lui ne pouvait se laisser battre par les simples éléments ! Était ce son coté moldus qui le rendait si faible ? Les questionnements de son enfance resurgissant dans son esprit t’elle un fardeau céleste. Il revoyait la scène ou pour la première fois un jeune Serpentard lui parlait des sang de bourbe. Malhorn tout le restant de sa vie en avait fait sa phobie primaire, la seul chose qui l'affectait réellement et qu’il ne pouvait supporter. Il en était aller jusqu'à en assassiner ses propres parents, ne pouvant accepter de descendre d’une lignée si impure a ses yeux. Et puis.. Il pourrait sens doute trouver refuge a un autre endroit.. L’allée des embrumes étant composer d’une multitude de boutique ferme. Avec un peu de force et une bonne volonté, il pourrait sens doute réussir à arracher les morceaux de bois placarder sur les portes et les fenêtre pour le laisser pénétrer dans la chaleur de l’un de ses bâtiments dépaver. Et puis un soupire, un soupçon de voie se proclamant dans l’air et une proposition surgissant à ses oreilles.

Khâlina - Je vous invite à boire un verre pour vous réchauffer, Monsieur Malhorn ?

Lorsque l’invitation fut enregistrée dans l’esprit chargée de Malhorn une étincelle de réjouissance se fit sentir en son âme, mais les paroles continuèrent et son nom surgie détruisant les quelque lueur d’espoir qui venait de se créer en lui.

Comment ? Comment s’avait-elle son nom ? Il ne lui avait pourtant pas dit. Elle l’avait donc reconnue.. Se retournant machinalement pour regarder derrière lui comme si la présence d’un auror était perceptible, il fut rassurer de voir la rue brumeuse, tranquille aucune silhouette ni présence a l’horizon. Mais la confiance, si on peut appeler ce sentiment comme sa.. Qu’il portait pour cette jeune femme s’était estomper avec ses derniers mots. Elle connaissait son identité et elle venait de le lui prouver ! Mais pourquoi.. ? Qui pouvait-elle bien être ? Nul sorcier ne serait assez stupide pour inviter un être telle que Malhorn a prendre un verre en sachant qui il est vraiment. A moins de posséder de bonne raison de ne pas le craindre. Étais ce un auror ? Trop fier et trop sur d’elle qui avait l’intention de le faire tomber dans une embuscade.. Et l’auberge.. Était-elle vraiment fermer comme elle le proclamait ? Malhorn ne s’avait plus trop quoi penser.

Malhorn – Mais qui êtes vous donc.. Une Auror ? Ou un de ses chiens de membre du phénix ? Bien sur vous ne me le direz point si ses le cas.. naisse pas.. Pourtant même si vous l’êtes vous devriez s’avoir que je pourrais vous tuer avec aise et m’enfuir par la suite sens trop de problème. Ou tout simplement vous tuer ici, cacher votre cadavre dans la brume et attendre qu’un passant vous découvre. En espérant qu’il en alerte les autorités. Mais vous ne me semblez pas stupide.. Il y a une raison pour laquelle vous semblez ne pas me craindre.. Qui êtes-vous ?

Malhorn passa sa main dans l’un des replis de sa cape tapotant du bout des doigts l’intérieur d’une large poche à la recherche de sa baguette. Il n’avait pas l’intention de l’attaquer. De tout façon malgré les menaces qu’il profanait, son corps meurtri lui en ferait perdre le combat. Il la trouva finalement, serrer contre un parchemin, feuille de papier rouler ou son visage apparaissait agiter de toute cotée. Haut bas, un petit écriteau expliquant une vague idée de ses crimes découverts par le ministère.. Sa faculté lors des pleine lune, et d’autre renseignement utile a sa capture.

Il la sortie finalement la serrant fort dans sa main, mais ne la pointa pas vers la jeune femme ne voulant l’effrayer. Le seul message qu’il voulait ainsi lui lancer était que si ses réponses divaguaient et semblait trop irréel, elle en subirait les conséquences.

Invité

HRP - Rapide, mais j'ai pas trop le temps XD

Elle le vit regarder derrière lui avec méfiance : classique, elle aurait sans doute fait pareil. Mieux valait toujours surveiller ses arrières avant de s'attaquer aux avants. Bien sûr, les questions fusèrent aussitôt, comme on pouvait s'y attendre.

Malhorn – Mais qui êtes vous donc.. Une Auror ? Ou un de ses chiens de membres du phénix ? Bien sur vous ne me le direz point si c'est le cas.. n'est-ce pas.. Pourtant même si vous l’êtes vous devriez savoir que je pourrais vous tuer avec aise et m’enfuir par la suite sans trop de problèmes. Ou tout simplement vous tuer ici, cacher votre cadavre dans la brume et attendre qu’un passant vous découvre. En espérant qu’il en alerte les autorités. Mais vous ne me semblez pas stupide.. Il y a une raison pour laquelle vous semblez ne pas me craindre.. Qui êtes-vous ?

Elle eut un sourire en le voyant chercher sa baguette dans les replis de sa cape. Il ne l'attaquerait pas, elle en était sûre, il n'était pas stupide. Pourquoi l'attaquer avant d'avoir la réponse à ses questions...? Et puis leur rencontre était vraiment le fruit d'un hasard, même lui pouvait s'en rendre compte. Il sortit finalement sa baguette mais ne l'en menaça pas. Khâl', quant à elle, ne sortit pas la sienne : elle était nulle en duel, inutile de se montrer provocante.

Khâlina - Auror ? Ordre du Phénix ? Ne vous montrez pas si insultant, je vous prie... Si vous voulez tout savoir, je les ai autant en horreur que vous. Je suis Khâlina Liimatainen, directrice de Serpentard à Poudlard...

Le seul fait qu'on lui ait confié la direction de cette maison précisément ne laissait pas de doute quant à la magie qu'elle préférait. Serpentard était connue dans toute l'Angleterre pour avoir vu passer dans ses rangs les grands mages noirs de notre époque. Cependant, elle ne répondit pas à son autre question : sa raison de ne pas le craindre ? Elle était évidente. Il n'était pas stupide et ne ferait rien d'inconsidéré... Elle sourit à nouveau et réitéra sa demande :

Khalina - Alors ce verre, ça vous tente ?

Khâlina - Auror ? Ordre du Phénix ? Ne vous montrez pas si insultant, je vous prie... Si vous voulez tout savoir, je les ai autant en horreur que vous. Je suis Khâlina Liimatainen, directrice de Serpentard à Poudlard...

Malhorn resta un long moment incertain, repassant en boucle les paroles de la jeune femme. Certes les Serpentards était reconnus pour décompter les plus grand mage noir, mais la seule présence de faire partie de cette maison, n’en fessais pas une pour autant. Cependant ses réflexions s’arrêtèrent sur un autre aspect. S’il était vrai que cette jeune femme en était la directrice, un certes penchant pour la magie obscur devait l’habiter.. De plus, cela expliquerait l’achat des plantes peu recommandable pour leur capacité, qu’elle avait fait ! Un mince sourire sadique se traça sur ses lèvres, voulait-elle le tromper ? Il n’en était plus certain. Et puis qu’avait-il à perdre, même en la présence de sa baguette en main elle n’avait pas réagie.

Malhorn la regarda sourire a nouveau, lacérant son angoisse, qu’avait t’elle en tête ? Serrant sa baguette contre sa paume qui s’était ranimer de couleur avec le stress du moment. Il plaça dans un mouvement fin cacher par la brume ses pieds près a esquiver s’il le fallait une attaque de la part de la jeune femme.

Khalina - Alors ce verre, ça vous tente ?

C’était tout, aucun duel ? rien.. Elle lui relançait malgré ses paroles son invitation comme si elle n’avait rien a faire des précédent dire qu’il lui avait lancer. Et bien.. Cette Khâlina si c’était son véritable nom, était une demoiselle pleine de surprise.. Acquiesçant d’un signe de la tête Malhorn replaça au plus profond de sa poche sa baguette ce r'appuyant sur sa cane et commença à boiter vers la jeune femme pour arriver à sa hauteur.

Malhorn – Ou désirez vous aller ? Si je peu me permettre.. Je ne désirerais pas, vous devez-vous en douter, visiter un lieu trop éclairez. Si vous êtes bien ce que vous prétendez, je suis certain que vous choisirez une endroit digne de la noirceur qui.. « ..habite nos âmes.. »..

Finissant sa phrase, ses lèvres s’étirant en un mince sourire narquois, ses pupilles fixant celle de la jeune femme comme pour lui révéler un secret muet..

Invité

Khalina - Alors ce verre, ça vous tente ?

Elle ne voulait pas se faire insistante mais après tout, il avait l'air de chercher un endroit où se réchauffer et elle lui proosait un verre, alors pourquoi se poser davantage de questions ? Ca partait d'un bon sentiment, si l'on peut appeler ça comme ça... Il eut l'air surpris qu'elle réitère sa demande et elle le comprenait : il venait quand même de menacer de la tuer mais pour la jeune femme ce n'était qu'une stratégie d'intimidation. Comme un chien montre les crocs avant de mordre, ce n'était qu'un avertissement, avertissement qu'elle ne prendrait pas en compte puisqu'elle n'avait pas l'intention de lui jouer la moindre entourloupe. Il finit par acquiescer, ranger sa baguette et s'avancer en claudiquant vers elle.

Malhorn – Où désirez vous aller ? Si je peux me permettre.. Je ne désirerais pas, vous devez-vous en douter, visiter un lieu trop éclaireéSi vous êtes bien ce que vous prétendez, je suis certain que vous choisirez un endroit digne de la noirceur qui.. « ..habite nos âmes.. »..

La jeune femme haussa un sourcil surpris et esquissa une moue perplexe : la noirceur...? On en revenait toujours à la dichotomie du bien et du mal et à la vision manichéenne du monde...? Pour elle, même si on prétendait qu'elle oeuvrait du mauvais côté, elle était persuadée d'agir pour le bien de tous : elle ne soutenait pas les Maraudeuses parce qu'elles usaient de la magie noire, non, elle les soutenait parce qu'elle partageait leurs convictions. La magie noire était une forme noble de magie que les élèves se devaient d'apprendre et les Sangs Mêlés et Sangs de Bourbes n'auraient pas dû avoir leur place à Poudlard. C'était ainsi... Quant aux Mangemorts, elle n'approuvait pas leurs actes, mais elle ne les aurait jamais trahis car l'homme qu'elle aimait en était le chef. Et tous ceux qui se dressaient contre Heinrish devenaient ses ennemis à elle aussi. De son point de vue, elle n'avait rien à se reprocher : elle n'avait jamais tué personne.

Khâlina - La noirceur, dites-vous ? Personnellement, je suis intimement convaincue d'oeuvrer pour le bien de tous. Mon âme n'est pas si noire que vous le pensez...

Elle lui adressa un sourire entendu : que la sienne soit de la couleur qu'il veut, ça ne la dérangeait pas. Heinrish aussi avait bien des crimes sur la conscience, ça n'en faisait pas moins quelqu'un de bien... Elle lui fit signe de le suivre et ils s'engagèrent dans une ruelle moins étroite, avant de tourner plusieurs fois, a droite, à gauche, etc... L'Allée des Embrumes pouvait rapidement devenir un labyrinthe pour le novice...

Khâlina - La magie ne peut-elle rien pour votre jambe ? Ou alors est-ce un moyen d'expier vos péchés que de la laisser souffrir ?

Peut-etre qu'elle devrait arrêter de suivre les principes du Bushido et se mettre dans la tête que tout le monde n'avait pas le même code de l'honneur qu'elle, aussi ? Ils arrivèrent finalement devant une échoppe à la porte branlante. A travers les fissures de celle-ci, une lumière jaune et réconfortante filtrait. La taverne ne portait aucun nom. Seul une pancarte tordue sur laquelle était peint un crâne posé sur deux baguettes magiques en signalait l'existence. Comme en réponse à une interrogation muette de son invité, la jeune femme ajouta :

Khalina - C'est un endroit sûr, nous y serons tranquilles.

Elle poussa la porte qui grinça sous son impulsion et entra. Les regards se levèrent à leur entrée mais la plupart semblèrent reconnaitre le visage de la jeune femme et se replongèrent d'emblée dans leurs chopes de bière. Elle alla s'asseoir à la table la plus reculée de la taverne, laissant le coin d'ombre pour Ryan. Un serveur au tablier crasseux apparut d'on ne sait où.

Serveur - Bonsoir ! Ca faisait longtemps qu'on ne vous avait vu par ici, Miss Liimatainen !
Khalina - Vous savez ce que c'est, je suis quelqu'un de très occupée...
Serveur - Bien sûr, bien sûr. Alors, qu'est-ce que je vous sers ?
Khalina - Une double vodka pour moi.

Le type nota sa commande ainsi que celle de Ryan, puis disparut derrière le comptoir. Il revint quelques minutes plus tard, apportant leurs boissons. En posant le verre de Khalina sur la table, il se pencha et lui glissa à l'oreille :

Serveur - Le plus jeune des Mustang, il est bizarre en ce moment. La semaine dernière, il...
Khalina - Vous devriez avoir vos yeux et votre langue un peu plus dans votre poche, jeune homme, ça vous éviterait sans doute des ennuis.

L'autre saisit le message et s'excusant, partit sans rien dire de plus. Mais cela avait fait naitre une ombre sur le visage de la jeune femme : on lui avait déjà dit qu'Artemis Fowl et Troy Mustang entretenait des rapports réguliers. Que faisait le frère du Chef des Mangemorts avec le Chef de l'Ordre...? Il fallait qu'elle lui parle en privé, inutilie d'alerter Heinrish pour l'instant... Elle leva son verre, murmura un vague "A la vôtre !", avant de le descendre cul-sec et de le reposer sur la table avec un bruit mat. Elle n'aimait pas ça...

[HJ : Désoler pour le retard, mais je n’ai pas pu venir avant par cause de problème avec mon internet]

Khâlina - La noirceur, dites-vous ? Personnellement, je suis intimement convaincue d'œuvrer pour le bien de tous. Mon âme n'est pas si noire que vous le pensez...

La regardant sourire, il en fit de même se demandant ce qu’elle voulait exprimer par ses paroles. Il était vrai que tous n’avait pas la même perception du mal que la sienne. Malhorn l’oubliait trop souvent. Les pensée et les façons d’œuvré pouvaient changer pour chaque personne, mais en final tous revenait à faire un choix, un des deux camps, celui qui se rattache le plus a sa personnalité. Se disait il au dont de lui-même.

Pour sa part il était un meurtrier, sans aucune cause politique ou moral le rapportant à faire des choix et à se rattacher à la magie noire, si ce n’est que la destruction et l’abandon de son être au ténèbres. Il en avait basé toute sa vie, une existence a ses yeux parfaite, aussi pure et limpide que la source d’une rivière. Un peu comme les dieux, le choix de qui devait vivre ou non lui appartenait se plaçant sur un pied d’estalle infini. Ho oui Malhorn se voyais en quelque sorte comme l’ange de la mort Moldus. Cette vision de sa personne représenter par un être mystique l’emplissait d’une grande satisfaction.

Mais cela ne restait que des vassalités, des paroles lancer dans son esprit dément et incompris. Même lui ne pouvait annoncer en avoir compris la totalité. Il agissait sous le coup des sentiments plus souvent, sans même chercher à comprendre ou à contrôler ses émotions. Il était esclave en réalité de sa cruauté. Un être brisé qui n’a comme seul espoir de vivre que sa grandeur, illusion qu’il ses créer.

Et puis la femme lui fit signe de la suivre, la suivant du mieux qu’il le pouvait à travers les ruelles étroite et brumeuse tournant de droite a gauche si souvent que l’homme ne pu s’empêcher de se demander à un moment si elle ne s’était perdue.

Khâlina - La magie ne peut-elle rien pour votre jambe ? Ou alors est-ce un moyen d'expier vos péchés que de la laisser souffrir ?

Malhorn - Et bien.. Dison que mais capacité son plus propice a donner la mort qu’a redonner la vie ou tout ce qui s’y rattache, comme guérir une pauvre jambe meurtris. Le temps me manque aussi pour m’en occuper et la température de cette saison n’aide pas vraiment a sa guérison. Pourtant dans quelque jour je suis certain que je pourrai me débarrasser de cette maudite cane qui me donne l’allure d’un vieillard.

Il lui sourit à nouveau ne la regardant à peine les yeux fixer sur le pavée de la route pour essayer de déceler à travers la brume épaisse les cailloux ou autre qui pourrait lui faire perdre équilibre.

Et puis il arrivèrent enfin, Malhorn en était très heureux, sa jambe l’élançant gravement, ses muscles frigorifier l'empêchant de faire des gestes rapides. Il regarda autour de lui pour s’imprégner de l'endroit et être sur que personne ne les avait suivi et passa son regard inquisiteur sur la pancarte qui ne portait aucun nom. Incertain de la sécurité de l’endroit Malhorn regarda la femme de dos se demandant s’il devait lui poser plus ample question avant d’y pénétrée.

Khâlina - C'est un endroit sûr, nous y serons tranquilles.

Elle avait répondu à ses questionnements muets. Moins inquiet il la suivi dans la salle regardant de ses yeux ombrés par sa capuche les gens qui levaient le regard sous leur pas. Il la suivi jusqu'au fond de la salle et s’assis dans un coin sombre avec délicatesse plaçant sa jambe allongée d’une façon qui démontrait bien qu’un malaise sens résultait. Tapotant le tissue de sa cape a la recherche de sa baguette il fut rassuré de la sentir bien blottie au près de lui a porter de sa main si les problèmes arrivait.

Un serveur apparu, Malhorn ne réagit pas, il ne le fixa même pas fessant comme si l’homme n’était pas présent.

Serveur - Bonsoir ! Ca faisait longtemps qu'on ne vous avait vu par ici, Miss Liimatainen !
Khâlina - Vous savez ce que c'est, je suis quelqu'un de très occupée...
Serveur - Bien sûr, bien sûr. Alors, qu'est-ce que je vous sers ?
Khâlina - Une double vodka pour moi.

Malhorn – Apporter moi la même chose…

Et puis le serveur parti pour revenir quelque instant plus-tard, se penchant vers Khâlina pour lui glisser un mot à l’oreille.

Serveur – [Chuchotement]
Khâlina - Vous devriez avoir vos yeux et votre langue un peu plus dans votre poche, jeune homme, ça vous éviterait sans doute des ennuis.

Malhorn regarda l’homme droit dans les yeux même si celui-ci ne le fixait pas. Au fond de lui il se demanda bien ce qu’il lui avait glisser à l’oreille vue la réaction de la jeune femme. Lui avait-il lancer un mot a son égard ? Si oui, sa vie s’achevait des ce soir..

Le serveur parti en s’excusant et Malhorn aperçue une ombre passée sur le visage de la demoiselle perdue dans ses pensées. Il ne réagit pas regardant son verre et entendue un faible, « A la vôtre » fixant la femme boire d’un trait son verre. Elle ne semblait pas apprécier l’alcool qu’elle avait choisi.. Malhorn qui n’avait jamais gouter a cette boisson regarda le liquide devant lui avec une mince lueur de dégout dans les yeux. Et il le but de la même façon que la femme, retenant une grimace, perplexe du gout étrange que cette boisson portait.

Il prit un moment de réflexion, reposa le verre qu’il tenait toujours dans es mains sur la surface de la table droit devant lui et sens pour autant regarder Khâlina, il lui souffla à mi-voie.

Malhorn - Que voulait-il ? En désignant du regard le serveur qui était passer à leur table un peu plutôt.

Invité

Malhorn - Que voulait-il ?

La question la sortit de ses pensées plus ou moins brutalement et elle leva la tête vers son invité qui lui désignait le serveur. Elle baissa le regard, observant la table comme si elle avait soudain quelque chose de spécialement intéressant... En même temps, elle réfléchissait : savoir que cet homme était recherché n'était pas une raison pour lui raconter sa vie, on ne savait jamais vraiment qui étaient nos amis ou nos ennemis. Elle se contenta d'autre de hausser les épaules et de lui adresser un sourire rassurant :

Khâl' - Il ne parlait pas de vous, n'ayez crainte... Des futilités sans importance...

Elle fit un signe au serveur qui leur rapporta la même chose : la vodka était peut-être un alcool fort et peu agréable mais elle avait le mérite de réchauffer les membres. Par contre... Khâl' ne tenait pas bien l'alcool et elle aurait peut-etre dû se calmer, mais bon elle avait plutôt froid elle aussi. Et pis, elle avait bien le droit de feter son futur mariage, non ? Pensant à cela, ses yeux se posèrent sur l'anneau à son doigt : Heinrish lui avait dit de ne jamais la quitter, elle ne posait pas de question et elle le faisait. C'était sûrement un anneau magique... Heinrish raffolait de ce genre de trucs... Elle se souvint alors qu'elle n'était pas seule et elle reporta son attention sur Ryan.

Khâl' - Qu'allez-vous faire maintenant ? Vous avez des gens qui peuvent vous aider ou vous allez devoir vous débrouiller seul avec votre jambe ?

Elle s'interrompit le temps de vider à nouveau son verre. Il commençait vraiment à faie chaud dans cette taverne, hein ? Sans réfléchir, elle posa ses plants par terre et se défit de sa cape. En dessous elle portait une robe pourpre corsetée : elle avait toujours été très old-fashion. Avant qu'il puisse dire quoi que ce soit, elle se pencha et ajouta :

Khâl' - En parlant d'ça, si quelqu'un d'l'Allée des Embrumes dis qu'il peut vous soigner, croyez-le pas, c'est d'l'arnaque !

Elle eut un petit rire joyeux. Le changement de ton était sans appel : l'alcool commençait à faire effet... Elle passa une main distraite dans ses cheveux sombres, balayant la salle du regard.

Khal - Fait chaud ici, hein ?

EDIT BENJ: Je surveille. dry

Khâl' - Il ne parlait pas de vous, n'ayez crainte... Des futilités sans importance...

Malhorn, a moitié rassurée regarda le serveur revenir vers leur table avant de comprendre que s’était la femme qui l’avait à nouveau interpeller. Serte, cette boisson avais un gout des plus étrange mais le corps de Malhorn commençait déjà à se réchauffer miraculeusement.

Il regarda le Serveur les servir comme s’il attendait que celui-ci se penche à nouveau vers l’oreille de la jeune femme. Mais il n’en fit rien, n’apprêtant même pas un regard vers eux, ses yeux pencher vers le parquée de bois qui grinçait sous chacun de ses pas. Malhorn agrippa d’un geste vif le verre posé sur la table, humant dans l’air l’odeur de l'alcool se demandant si du sang était un mets servi en ce lieu. Et puis tempi, il n'allait pas commencer à démontré ses mauvaise habitude devant cette jeune inconnue. Il buva d’un trait le liquide, cette fois-ci n’éprouvant pas le besoin de cacher une mou sur son visage.

Khâl' - Qu'allez-vous faire maintenant ? Vous avez des gens qui peuvent vous aider ou vous allez devoir vous débrouiller seul avec votre jambe ?

Khâl' - En parlant d'ça, si quelqu'un d'l'Allée des Embrumes dis qu'il peut vous soigner, croyez-le pas, c'est d'l'arnaque !

Mais pour qui le prenais t’elle ? Oui cela fessait longtemps que Malhorn n’avait pas mit pied dans les allée brumeuse, mais il n’en perdait pas pour autant les souvenirs des personnes peu recommandables qui si promenaient, lui en étant une en particulier. Et puis un rire et un changement de ton abrupte fit comprendre à Malhorn que la femme ne supportait pas très bien l’alcool. Déjà saoule après seulement deux verres ? Intéressant… Peut être pourrait-il en profiter pour lui soustraire des information sur elle qui semblait trop connaitre, de chose sur les opération des mangemorts pour ne pas en être rattacher de proche ou de loin.

Khal - Fait chaud ici, hein ?

Malhorn – Effectivement.. il commence à faire chaud en cette salle.

Malhorn – Mais dites-moi, comment m’avez vous reconnue dans la rue et pourquoi ne semblez-vous pas avoir peur de moi si vous me connaissez si bien.. Si je ne suis pas trop indiscret.. Ce n’est que par simple curiosité..

Malhorn fit signe au serveur de revenir leur porter une nouvelle fois des verres, lançant une bourse bien garnie sur la table précédemment voler à un sorcier prématurément décéder.

Invité

BenJ' a écrit:: EDIT BENJ: Je surveille.

HRP - mdr. Pas besoin de surveiller, tu sais bien que Khâl' fait jamais de betises ! rolleyes

Malhorn – Effectivement.. il commence à faire chaud en cette salle. Mais dites-moi, comment m’avez vous reconnu dans la rue et pourquoi ne semblez-vous pas avoir peur de moi si vous me connaissez si bien.. Si je ne suis pas trop indiscret.. Ce n’est que par simple curiosité..

Khâlina eut un sourire amusé et elle passa une main dans ses cheveux. Le serveur remplissait à nouveau leurs verres, tandis que Ryan jetait sur la table de quoi payer leurs consommations. Elle haussa un sourcil contrarié et réprimanda :

Khalina - Non, j'ai dit que je vous invitais...

Elle fit signe au serveur que c'était elle qui payerait l'addition et celui-ci hocha la tête en signe d'assentiment. Son regard se plongea dans son verre plein mais elle n'y toucha pas : une sonnette d'alarme s'était déclenchée dans son esprit. Mieux valait ne pas trop en dire sans doute, mais elle savait aussi que c'était grâce à l'attaque menée par Heinrish sur Azkaban que Ryan s'en était échappé. S'il avait rejoint les rangs des Mangemorts, il finirait bientôt par savoir la nature des relations qui l'unissaient à leur chef : son futur époux et père parfait de leurs deux enfants. Elle inspira profondément et répliqua d'une voix douce :

Khalina - Non, en effet je ne vous crains pas. Me faire du mal serait une façon très ingrate de remercier celui qui vous a libéré de la cage d'argent dans laquelle vous croupissiez...

Elle capta l'expression qu'arbora Ryan lorsqu'elle lui apprit qu'elle en savait bien plus que n'importe quel sorcier se contentant de lire une simple affiche. Il devait à présent se douter qu'il n'avait pas affaire a n'importe qui...

Khalina - Eh oui, monsieur Malhorn... J'en sais plus que vous ne pensez... Je n'invite pas n'importe quel inconnu à boire un verre, croyez-moi...

Elle sourit à nouveau, d'un air complice, en vidant son verre d'un trait. Ses yeux se portèrent discrètement sur la bague de Heinrish, brillant à son doigt. Les pétales de la rose étaient toujours aussi rouges vives. Heinrish allait donc bien...

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