Balade pleine de sollitude

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Shyrel s'était levé comme tout les jours, et toujours aussi déprimée. Elle attendait avec impatience le jour ou elle commencerait a travailler, mais pour l'instant, elle n'avait reçut aucune réponse du ministère, et elle commençait a tourner en rond. Cela se passait habituellement comme ça, lorsqu'elle ne se sentait pas bien, elle repensait a l'homme qu'elle avait aimé, et qui était mort il y a un an. Elle ne comprenait toujours pas comment il avait pu mourir d'une affection si normale, mais il fallait pouratnt s'y faire.

Pour se changer les idées, elle décida d'aller faire un tour sur le chemin de traverse, en effet elle avait besoin de chose toute simple, mais le chemin de traverse était un endroit truffé de sorcier, et avec un peu de chance, elle rencontrerait quelqu'un pour lui tenir compagnie. Elle s'arrétat d'abbord acheter quelques parchemin, et des plumes. Et passa un bon moment a la ménagerie magique a regarder les chat se balader dans la boutique. Elle aurait aimé en acheter un, car c'était pour elle une façon d'oublier sa détresse. Elle décida alors de sortir avant de comettre l'irréparable. Elle s'installa un moment dans un petit bar pour y prendre un Whisky pur feu qui lui remonterait le moral, et n'ayant toujours trouvé personne avec qui discuter, elle se leva et franchit la porte.

Elle ne savait pas trop quoi faire, et avant qu'elle ait réagit, elle ressortait de la boutique d'animaux avec un chat dans les bras. Elle marchait tout en l'observant, et lui murmurit des petit mots a l'oreille en lui grattant la tête.

Tu était vraiment trop mignon mon chéri, tu va t'appeller Upsy, et tu sait quoi, je vait t'acheter plein de...

Shyrel avait avancé sans regarder ou elle allait, et venait de bousculer quelqu'un. Elle était vraiment confuse, elle vérifia qu'Upsy n'avait rien de mal, et se tourna vers la personne en lui disant:

Oh je suis vraiment désolée, je ne regardait pas ou j'allait, et je ne vous ait pas vu arriver, je ne vous ait pas fait mal au moins?

Elle attendit un peu inquiète pôur la personne qu'elle lui donne sa réponse. Elle savait a qu'elle réaction s'attendre, car si elle même avait été bousculée par quelqu'un qui était dans sa bulle, elle serait devenue verte de rage.

HJ A qui veut bien Very Happy

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Belle journée. Quelques dizaines d'oiseaux étaient perchées au plus haut de la Tour de la Gazette du Sorcier, sur la terrasse où Valenna travaillait, les yeux froncés : que voulait donc dire cette missive d'Azkaban? Apparemment, il y avait des prisonniers en cavale, et la lettre était signée par la main-même de Peter Parker ; la jeune femme en avait longtemps entendu parler. Elle hocha lentement de la tête, termina sa lecture, puis replia la lettre afin de la remettre dans l'enveloppe cachetée ; puis elle se leva, sentant qu'elle avait besoin de dégourdir ses jambes. Rentrant à l'intérieur du bureau, elle laissa soigneusement la lettre sur ses autres papiers, pour ne pas oublier d'y répondre un peu plus tard, ou de la transmettre à un autre journaliste qui s'en servirait après l'avoir communiqué au Ministère. En effet, la Gazette du Sorcier et le Ministère de la Magie étaient en étroite relation, et cela étouffait un peu Valenna qui n'arrivait pas à trouver la liberté du métier de journaliste dans ce lieu ; elle envisageait d'aller travailler au Chicaneur, mais pour le moment tenait à remettre un peu de vérité dans la Gazette qui se détériorait de semaine en semaine. Les mensonges accumulés ne faisaient même plus naître de réaction chez les lecteurs, habitués maintenant ; la vérité ne faisait plus partie de ces pages autrefois prestigieuses. Avec un soupir, Topaze passa la main dans ses cheveux châtains, avant de passer devant le bureau d'Eleanor Combs, la Directrice.

"Je prends ma pause ! lui lança-t-elle d'une voix claire, avant d'entrer dans l'ascenceur dont les portes se fermèrent doucement."

Quelques minutes après, elle était sortie du grand bâtiment aux couleurs grises et blanches, parfois noircies par le temps et les saletés qui s'y étaient collées au fil des mois ; le doux soleil qui filait à travers les nuages fit naître son beau sourire, qui s'élargit à la vue de l'animation dans la rue. Elle avait environ une heure, un peu moins, pour sa pause, mais pouvait prétexter avoir travailler sur un article, et revenir encore plus tard, cela dépendait de ce qu'elle trouvait à l'extérieur, si, intéressée, elle décidait de rester quelque part. Ses yeux parcoururent rapidement la ruelle dans laquelle elle se trouvait, au coin de la grande avenue, vers laquelle elle se dirigea. Là, les magasins et les restaurants ouvraient les uns après les autres, leurs insignes lumineuses appelant le regard des passants. Après avoir tourné, puis tourné encore, elle se retrouva dans une de ses rues préférées : le Chemin de Traverse. Là, les passants et les propriétaires des boutiques étaient toujours radieux et rayonnants de bonheur et d'amabilité ; elle adorait discuter avec eux pendant de longs instants. Mais ce jour-là, tandis qu'elle regardait la vitrine des baguettes magiques, quelqu'un la bouscula, et elle entendit une voix douce mais inquiète s'excuser et lui demandait si elle avait mal. Valenna s'était juste très légèrement cognée contre la vitrine, mais il n'y avait absolument aucun dégât, et elle ne ressentait qu'une courte mais vive douleur dans le poignet, qu'elle examina seulement quelques secondes avant d'être sûre qu'il n'y avait rien d'important.

"Non, répondit-elle en se tournant vers la femme en question, qui tenait un chat dans les bras. Je ne me suis pas fait mal, ne vous inquiétez pas, ajouta-t-elle avec un sourire étincelant. A propos, votre chat est adorable ! Comment s'appelle-t-il?"

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Shyrel était un peu sonnée du choc qu'elle avait provoqué. Son chat n'avait pas bougé d'un pouce, lové au creux de ses bras. Elle fut ravi de voir que la jeune fille n'avait rien, après tout, elle l'avait tout de même projeté contre la vitre, heureusement celle ci était solide, et elle n'osait imaginer ce qui se serait passé si elle s'était cassé. Elle vit la jeune fille jetter un oeil a son poigné, mais elle ne semblait pas être bléssé. Celle ci lui fit remarquer que son chat était mignon et Shyrel lui rendit son sourire.

Oh merci, c'est vrai qu'il est chou, il s'apelle Upsy, et c'est mon nouveau compagnon. Je n'était pas censé acheter un chat aujourd'hui, mais il était vraiment trop mignon.

Shyrel se rendit soudain compte de son impolitesse, car elle ne s'était même pas présentée.

Euh, au fait, je m'apelle Shyrel, et je vous aurait bien sérré la main, mais comme vous le voyait, j'en suis incapable, car mon matou ne semble pas vouloir bouger d'un pouce, il n'as même pas bougé quand je vous ait bousculé.

Shyrel recommançat a le gratter derrière les oreille, et celui ci se mit a ronronner. Il lui semblait déjà avoir rencontré cette jeune fille, certainement au ministère, car il y avait énormément de monde qui y travaillé, et il était possible qu'elles se soient un jour croisée dans l'atrium. Elle l'observa un instant, elle avit des cheveux brun et long, et son sourire était étincellant. Elle ne devait pas avoir beaucoup plus que dix-huit ans, et Shyrel poussé par son habituelle curiositée, lui posa la question.

Il me semble vous avoir déjà croisé, vous travaillait au ministère non? J'ai l'impression de vous avoir déjà croisé la bas.

Il colmmencait a faire légèrement chaud dans cette rue, le soleil atteignant bien tôt son heure de pointe, le ciel était d'un bleue limpide, et quelques oiseaux se faisaient entendre par moment, ce qui faisait drésser les oreilles d'Upsy, qui apparemment en aurait bien croqué un morceau pour le déjeuné. Voulant se faire pardonner de la bousculade provoquée un peu plus tôt, Shyrel proposa alors avec un grand sourire:

Laissait moi vous offrir un verre, pour me pardonner de mon indélicatesse, il commence a faire chaud, et je pense qu'un petit petit remontant me ferait du bien. Ah moins que vous n'ayez d'autres choses a faire, au quel cas je vous propose de vous en offrir un plus tard.

Elle avait remarqué un terrasse de café pas très loin, elle était a l'ombre, et il devait y faire plus frais qu'ici en plein soleil, et puis Upsy commancait a lui peser, et elle l'aurait bien posé deux secondes sur ses jambes, pour reprendre un peu de force.

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Il faisait de plus en plus chaud sur le Chemin de Traverse et les rayons de soleil semblaient s'intensifier de minute en minute ; Valenna portait un débardeur bleu et blanc rayé, lui donnait un air de matelot sur un grand voilier, et un jean, ainsi qu'une paire de Converse, qu'elle avait acheté dans un grand magasin moldu. Sa tenue estivale lui allait à ravir, et ses cheveux détachés tombaient soyeusement sur ses épaules, tandis que ses grands yeux bleus brillaient, mais commençaient à ressentir durement la lumière trop vive du soleil. Aussi, quand l'interlocutrice de Valenna lui proposa d'aller prendre un verre à l'ombre, la jeune journaliste acquiesça de la tête avec emportement, contente que la proposition ait été faite. En effet, elle avait très envie de se désaltérer, et surtout en une si agréable compagnie que semblait former la propriétaire du petit chaton, aux yeux grands et suaves, et au poil apparemment soyeux. Il ronronnait lentement dans les bas de sa nouvelle maîtresse, déjà accomodé par son odeur, déjà comme amoureux de celle qui ne le semblait pas moins envers lui ; c'était une belle relation qui naissait déjà, et Valenna était attendrie devant ce spectacle qui aurait semblé anodin à quelqu'un d'autre.

"C'est une rencontre hasardeuse entre Upsy et toi, mais qui semble pleine de bonheur déjà, et je suis sûre que tout va bien se passer, dit-elle, en profitant pour employer le tutoiement."

Jetant un coup d'oeil à Shyrel, elle s'installa en face d'elle sur une des tables qu'offrait la terrasse à l'ombre, en bois clair verni, et les deux chaises étaient plutôt confortables ; un doux vent s'infiltrait déjà dans les cheveux de Valenna qui se sentait maintenant plus à l'aise. Elle entrouvrit les yeux, profitant du silence et dès qu'elle les ouvrit, de nouveau le bruit et l'animation de la rue réintégra son coeur et elle se sentit simplement heureuse ; de plus sa pause lui laissait bien une heure en compagnie de Shyrel, pour faire connaissance avec cette jolie femme aux intonations douces et aimables.

"Enchantée, Shyrel. Moi, c'est Valenna P. de Crystal, lui dit-elle avec un sourire. Pour expliquer le long nom, il faut dire que la famille adoptive dans laquelle j'ai grandi s'appelait Pemal, d'où l'initiale P., et j'ai récemment découvert mes origines. Je suis fille d'un Comte Irlandais qui se nommait de Crystal."

Quand Shyrel lui parla du Ministère, lui demandant si elle y travaillait, Valenna secoua lentement de la tête, mais distinctement ; si jamais elles s'y étaient croisées, c'était sûrement pendant un des reportages ou une des enquêtes de la jeune femme. En effet, souvent elle devait se rendre sur place pour des interviews, et des recherches personnelles qui complétaient ses articles, les rendant plus satisfaisants aux yeux exigents d'Eleanor.

"Non, finit-elle par dire. Je travaille en fait à la Gazette du Sorcier, mais je vais souvent au Ministère car nous sommes en étroite collaboration."

Valenna n'était pas dupe de tous les mensonges qu'on lui fournissait, et pas dupe du masque de beaucoup des Ministres, des confidences que l'on faisait à voix basse dans les couloirs et dans les bureaux. Elle voyait bien les visages gênés quand elle posait trop de questions, et entendait clairement les tons agacés quand elle se faisait insistante ; elle savait que les mines inquiètes se levaient maintenant dès qu'elle pénétrait dans le Hall du Ministère, car on la surnommait parfois l'Inquisitrice. C'est pour cela qu'elle avait considérablement réduit ses visites au Ministère ses derniers temps mais elle y envisageait d'y retourner, cette fois-ci en amie, pour se faire des connaissances, et gagner la confiance de certains des membres ; cependant, elle ne parla pas de son projet, ayant peur que la femme en face d'elle travaillât auprès des personnes qu'elle tentait de percer. Aussi, elle toussa quelques instants avant de voir la Serveuse approcher, avec un sourire aux lèvres.

- Que souhaitez-vous boire, mesdames? leur demanda-t-elle avec courtoisie.
- Personnellement, j'aimerais un jus d'orange pressé, s'il-vous-plaît, commanda avec un sourire étincelant Valenna. Et toi? ajouta-t-elle à l'intention de Shyrel.

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Shirel fut ravie de voir que sa comparse acceptait sa proposition. Le soleil frappait de plus en plus fort, et avec sa peau blanche de rouquine, elle attrapait facilement des coups de soleil. Oh bien sur comme tout le monde, elle adorait se prélasser au soleil durant des heures, mais ce qu'elle aimait beaucoup moins, c'était de devoir s'appliquer crême sur crême, pour éviter les sensation de brûlure le soir venu. Upsy continuait paisiblement ses ronronement, et le soleil ne le génait apparement pas. Il releva la tête lorsque La jeune fille prononçat son nom, et Shyrel fut surprise de voir qu'il avait si vite compris que se serait le sien.

Oui, c'est vrai que c'est un pur hasard. En fait je l'ai vu dans la boutique, et je suis ressortit sans lui, car je me disait que c'était de la folie que d'acheter un chat. Et un quart d'heure après, je ressortait de la boutique sans même me rendre compte que j'y était entré. A croire que c'est lui qui m'as rappellé.

Shyrel lui fit un large sourire, et la suivie pour s'assoir a la terrasse ombragée. Elle s'assit en face d'elle, et pu enfin ressentir un peu de fraîcheur, la peau de son coup ayant commencer a protester par un si long moment ensoléillé, la brise commencait a soufler, ce qui ne pouvait lui faire que du bien. La jeune fille se présenta comme étant Valenna P. de Crystal. Apparement, celle ci avait découvert ses origines il y a peu de temps, cela avait du être un peu difficile pour elle, et Shyrel préféras ne pas insister sur le sujet.

Oh j'aime bien ton prénom, Valenne, c'est vraiment très joli, je ne l'avait jamais entendu avant, et j'adore les prénom avec un peu d'originalitée, ça change du quotidien.

Lorsque Shyrel lui parla du ministère, Valenna lui expliqua qu'elle travaillait en fait a la gazette du sorcier. C'était certainement lors d'un de ses nombreux allé retour qu'elle l'avait croisé. Shyrel remarqua de nouveau que Valenna devait tout de même être très jeune, et fut surprise de connaître son emploi.

A la gazette du sorcier, tu as l'air pourtant si jeune. Mais je comprend qu'on se soit déjà croisé. Tu doit y être assez souvent, car le ministère impose son drouit de regard sur la gazette, ça doit être un peu énervant parfois. Moi, je n'ai pas a me plaindre, je sort beaucoup du ministère, car je suis monitrice de transplanage, danc entre l'école, et l'extérieur, je me régale.

Shyrel remarquait que le bruit de la rue s'intensifiait au fur et a mesure qu'elles discutaient, il devait être l'heure de la pause pour beaucoup de monde, et chacun venait faire son petit tour, ou se balader. Shyrel apperçut un couple au loin, se balladant main dans la main, la fille était aussi rousse qu'elle, et le garçon avauit des airs de Frédéric. Elle détourna aussitôt le regard, elle détestait être prise au dépourvut, et de penser a lui, surtout en public, car elle n'arrivait pas a se remettre de sa perte. Elle releva la tête, et vit que Valenna était en train de commander sa boisson, avec un peu de chance, cela serait passé innaperçu, et lorsque la serveuse se tourna vers elle, et lui demanda:

Et pour vous, ce sera?

Oh euh... Je vais prendre un verre de votre Hydromel maison s'il vous plait.

Quelques minutes passèrent, et leur verres arrivèrent, la serveuse disposa les verres devant chacune, et déposa l'addition au milieu de la table. Elle l'attrapa aussitôt, et fouilla dans son sac a la recherche de monnaie, elle sortit la somme indiquée sur la note, et la tendit a la serveuse, en lui laissant un petit pourboire.

C'est pour moi, tenez pour vous.

La serveuse la remercia, et repartit a ses affaire. Shyrel sirotat un peu de son hydromel, qui par ailleur était excélent, et reprit la parole.

A part ça, tu as fait tes études ici a Poudlard?

Elle but une nouvelle gorgée, et Upsy sauta de ses genoux, pour essayer de jouer avec un bouchon de bierre au beurre qui trainait sous leur table.

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