[Inspiré pour les grandes lignes de la description d'Angela Jones]
Situé presque en face d'un escalier *enfin, quand il est là...* du cinquième étage, la porte du bureau de monsieur Rocstone est presque toujours ouverte. Close en de rares occasions lorsqu'il est présent, elle sert surtout à prévenir, si elle est fermée, que le professeur n'est pas disponible. Mais ça ne veut pas nécessairement signifier qu'elle esr verrouiller. À vous de tester.
À tout moment, lorsque la porte est ouverte, un élève peut se présenter et il est toujours accueilli chaleureusement, avec chocolat ou sucreries, ou, pour dents moins sucrées, croustilles ou noix variées. Bref, pour une collation en discutant avec le professeur, ou tout simplement en passant, c'est le bon endroit.
Bureau superbement éclairé de la lumière naturelle du jour qui entre par les immenses fenêtres, il arrive parfois que les épais rideaux dorés et noirs soient fermés, du moins aux heures les plus chaudes de la journée. Évidemment, des tableaux représentants les anciens directeurs de Poufsouffle, sans compter celui de la fondatrice, Helga Poufsouffle. Autrement, les murs sont à peu près dénudés.
Sur le bureau d'ébène, des papiers, un charmant désordre, des plumes, de l'encre de diverses couleurs et un joyeux fatras. Rien de trop personnel, outre deux photos de ses deux familles. La première, très solonelle, monsieur et madame Rosctone, devant leur résidence d'Allsigh, dans leurs plus beaux atours. Entre les deux, encerclant amoureusement les épaules de ses parents, Kaitz en blouson de cuir et jeans délavé, tout sourire. Ils sourient tous, le sourire éclatant de M. Rosctone, le sourire lumineux de Mme et la parfaite symbiose des deux, celui de Kaitz. La seconde photo est beaucoup moins solonelle, mais tout aussi pleine de sens pour lui. Un photo de voyage, très animée. Un quatuor en voyage, hilare devant l'appareil photo. À l'extrème droite, le rire silencieux de Nathan, au centre, presque écroulé de rire, bruyants, Kaitz et Less, puis, beaucoup plus devant, un peu flou par la proximité, le visage au sourire tranche de courge de Muelle. C'était en 77, au cours d'un bref voyage à la Baie James *clin d'oeil au quatuor québécois ci-représenté*, Muelle avait prit la photo.
Des fauteuils d'ébène recouverts d'un velours jaune doré semblent plus que confortable. Ils sont disposés un peu partout dans le bureau, trois autour du bureau. Deux face au bureau, dos à la porte, et celui du propriétaire des lieux, face à la porte et aux deux autres fauteuils, de l'autre coté du bureau.