Lettre D'adieu

Invité

Il était tôt ce jour là. La plupart des élèves dormaient encore, et un silence un peu effrayant régnait dans Poudlard. Anne avait décidé de se lever tot , pour ce rendre à la volière avant les cours. Cela fesait dix bonnes minute qu'elle était réveillé, elle flémardait encore doucement dans son lit. Elle ne voulait pas bouger, elle se sentait bien au chaud dans son lit contre sa couette. Elle jeta un coup à sa colotaire, elle dormait paisiblement. Anne l'envia, Cloe avait beaucoup de chance. Pourtant elle devait malgrés tout se lever, elle devait envoyer une lettre d'urgence. Elle soupira pour se donner du courage. Puis tout doucement, elle poussa ses couverture, et s'assit sur son lit. Elle enfila ses petite pantoufles jaunes, et se dirigea silencieusement vers l'armoire pour s'habiller. Elle attrapa sa robe de sorcière. Et l'enfila rapidement, elle ne devait pas trainer. Car elle devait encore se rendre à la grande salle pour rédiger sa lettre. Elle brossa négligeament ses cheveux, et s'assit sur le lit pour enfiler ses chaussure. Enfin prète, elle attrappa ses affaires de cour, et descendit précipitament les escalier

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Seulement quelque élèvent étaient présent dans la grande. Ils étaient tous venus déjeuner. La plupart n'étaient pas encore habiller, et se trouvaient en pyjama. Anne était la seule à etre là pour écrire. Peu lui importait, elle n'avait pas faim. Elle s'installa à la table des gryffondor. Elle sortit un morceau de parchemin joliment décoré, et sa plume. Elle resta là pendant cinq bonne minute, à essayer de trouver de l'iinspiration. Comme rien ne venait elle décida de relire la lettre, à laquelle elle répondait. Délicatement, elle sortit de sa poche une morceau de papier légèrement froissé, et taché de goutte d'eau. Normal, elle avaitpleuré au dessus de celle-ci. Elle la déplia et la relue, bien qu'elle la connaissait par coeur.

Chére Anne

Je t'écris cette lettre, a mon grand regret, pour te dire que tu ne doit plus m'attendre . Je tiens toujour énormement à toi, et je ne t'oubliré jamais, tu sera toujour dans mon coeur. Cependant je me devais de te dire, que je suis tombée amoureux d'Amanda, ta soeur. J'image que cela te fait beaucoup de mal de lire cela, pourtant je ne peut pas faire comme si de rien n'était. Je ne l'es pas voulu, mais Amanda et moi ,au début nous nous sommes consolé de ton départ, puis on est tombé amoureux. Tu es loin de moi, et notre amour ne pas survivre comme cela. Je ne t'oubliré jamais. J'espère que tu arrive à me pardonner de te faire souffrir.

Affectueusement, Marc

Anne replia la lettre, et la remit soigneusement dans sa poche puis elle se mit à écrire.

Chère Marc,

Je ne te cache que j'ai était trés peiné en lisant ta lettre. J'ai encore du mal à comprendre, pourquoi tu me fait autant de peine. A vrai dire, je n'en veut pas à Amanda, elle est ma soeur et je l'aime. Mais toi et moi n'avons aucun lien de parenté et, je crois qu'il est préférable que l'ont ne se parlent plus pour l'instant. Je suis conciente que tu n'est tombé volontairement amoureux d'elle, mais je n'es pour l'instant aucune envie de te revoir. Peut-etre changere-je d'avis plus tart, je ne sais pas mais je l'espère. Car nous avons vécu une histoire d'amour exatraordinaire que je n'oubliré jamais. La seule chose qui me console un peu, s'est de savoir qu'Amanda et toi etes heureux. Je suis désolé de réagir ainsi, mais il me faudra du temp pour accepté cette trahison. Car s'en ai bien une à mes yeux.

Affectueusement Anne.

Anne était satisfaite de sa lettre, elle la plia, ressembla ses affaires et se dirigea vers la volière.

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Une désagréble odeur de fiente régnait dans la volière. De nombreux hibou regardé Anne, avec des yeux rond, intriguait et curieux. Elle chercha des yeux, hivoire son hibou. Elle ne fut pas suprise de le retrouver dans un coin en train de dormir. Hivoire était le plus paresseux des hibou, il ne prenait même pas la peine d'emmener son courrier à Anne. Elle s'approcha de lui et le caressa doucement pour le réveiller. Prés de lui, elle apperçut un colis. Elle le regarda plus attentivement, et s'aperçut qu'il lui était adressé. La présence de se paquet ici, était surement dus à la paresse d'Hivoire. Anne soupira décidement cet hibou n'était qu'un incapable. Mais elle y était attaché et c'est pour cela qu'elle le gardait. Elle ouvrit le paquet, et découvrir avec bonheur des berthie crochue. C'était sa gourmandise favorite. Anne sortit sa lettre de sa poche etl'accroch à hivoire, il se laissa faire, il était tout endormi. D'ailleur il ne semblait pas avoir envie de s'envoler. Anne le poussa violament. Elle était quelque peu brutal, mais elle y était obligé ou la lettre ne partiré jamais. Elle regardait Hivoire s'envolé quand tout à coup, un élève apparut....

Invité

"Boum !"

Un grand fracas retentit dans le Dortoir des Serdaigles, quand, sans le vouloir - bien entendu - Valenna tomba de son lit, sur le parquet bien ciré par les Elfes de Maison, dans un bruit terrible qui fit sursauter ses Colocataires. Elle grogna de douleur, et ne tenta même pas de se relever, tandis que ses amies se penchaient pour voir ce qui se passait, puis éclatait de rire à la vue de la scène, qu'elles comprirent sans difficulté. Valenna soupira, levant les yeux au ciel, et demanda de l'aide à ses amies, leur reprochant leur passivité devant sa situation "désespérée" - ce sont ses mots. Ainsi, ses colocataires redoublèrent de rire, et lui tendirent des mains blanches et encore fatiguées, qui la soulevèrent sveltement. Toutes debout, en robe de chambre, elles s'observèrent avec des sourires amusés, pendant que Valenna se frottait le bas du dos, où l'impact avait été le plus violent ; mais en somme, elle n'avait vraiment mal nulle part, donc tout allait pour le mieux.

"Ca va, Valenna? demanda tout de même une de ses colocataires."

La Jolie Brune releva la tête, avec un sourire amical et hocha de la tête, pour la rassurer, avant de se diriger la première vers l'Armoire en bois, où elle prit de quoi s'habiller. Il était encore très tôt, mais aucune des Colocataires ne souhaitaient plus dormir, et elles lui firent un signe de la main quand elle sortit ainsi du Dortoir, pour aller dans la Salle de Bains. Là, elle actionna la Douche, et un Jet d'eau brûlante coula sur son dos tandis qu'elle murmurait comme pour elle-même des insemnités sur sa maladresse chétive. Puis elle s'étira ainsi sous la Douche qui lui faisait un bien infini, avant de se sécher avec une serviette d'un bleu pâle, que sa grand-mère lui avait envoyé en apprenant qu'elle avait répartie chez les Serdaigles, ce à quoi elle s'attendait, à vrai dire. Valenna frissonna quelques instants - humide dans la Salle de Bains glacée - et s'habilla rapidement, avant de jeter un coup d'oeil dans le miroir. Elle avait mis une jupe plutôt courte noire, ainsi qu'un débardeur rouge ; ce qui était très étonnant, puisque l'on était en hiver, mais à vrai dire, elle ne se souciait très peu des saisons, car elle n'était pas frileuse, et était certaine que l'originalité de ses vêtements feraient tourner certaines têtes. Ca l'amusait toujours, quand les yeux se dirigeaient vers elle, non pas par coquetterie, mais par analyse de la situation : il suffisait d'être un peu différente pour qu'on te regarde.

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La Grande Salle était presque vide, et les seuls élèves qui y étaient erraient en pyjama, les yeux rougis et gonflés, et Valenna ne put s'empêcher de sourire d'amusement à leur vue ; alors qu'elle paraissait parfaitement éveillée, bien habillée, le visage frais, prête à bien débuter sa journée. Elle s'installa à la Table des Serdaigles et se servit largement de jus d'orange, buvant chaque gorgée avec délice, car cette saveur fruitée qui passait la désaltérait et la ravissait. Puis, elle mangea un croissant, qu'elle trempait parfois distraitement dans un chocolat chaud qui était apparu à sa simple pensée. Enfin, elle goûta à la délicieuse salade de fruits, et ne put s'empêcher de penser une nouvelle fois aux Elfes de Maison.

*Ce sont décidement de véritables artistes, en matière de cuisine, ces Elfes ! Cette Salade de Fruits est merveilleuse...*

Son sourire s'élargit encore quelque peu, puis elle s'étira sur sa chaise, repue, avant de se lever, pour quitter la Grande Salle. Elle ressentit soudain le besoin d'aller dans la Volière, voir ses animaux, et l'Extérieur d'aussi haut, de si bon matin. Aussi, elle se dirigea vers les escaliers, jetant un regard vers les marches infinies qui s'élevaient devant elle.

**********

La Porte de la Volière s'ouvrit lentement, sans grincer - car elle était souvent huilée par le Concierge de Poudlard - et Valenna pénétra à l'intérieur sans bruit. Une odeur désagréable régnait, et sa première pensée fut d'ouvrir la fenêtre, lorsqu'elle vit que c'était déjà fait. Ses yeux parcoururent quelques instants les hiboux et les chouettes, quand elle se rendit enfin compte qu'il y avait quelqu'un : Anne Rosenberg, qu'elle connaissait de vue et de réputation. Très belle Gryffondor, elle était assidue en cours, et serviable. Intelligente, sympathique. Bref, beaucoup de qualités, et pas encore de défauts connus. Cependant, elle avait l'air profondément triste, et une lueur différente brillait dans ses yeux.

"Bonjour, Anne, dit Valenna d'une voix douce. Quelque chose ne va pas? demanda-t-elle, se rendant compte trop tard que la réponse était évidente. Je peux faire quelque chose pour toi? ajouta-t-elle, avec un regard avenant."

Invité

[ HJ : Merci pour les nombreux compliment fait à mon personnage par Valenna Smile

]

Il s'agissait de Valenna Pemal, une élève de septième année à Serdaigles, qu'elle ne connaissait que de vue. A son grand regret d'ailleur, car la demoiselle semblait aimable et gentille. La Serdaigles était brunes et trés jolie, elle devait surement avoir tout les garçons à ses pieds. Bien que les deux jeunes filles se connaissait à peine, Valenna semblait se souciait du bien etre de la jeune Gryffondor. Elle apréciait cette délicate attention, et fut surprise que la Serdagle connaisser son prénom . En fait sa n'avait rien d'étonnant, de nombreux se connaissait à Poudlard, sans s'etre jamais adréssé la parole. Anne trouvait cela dommage. Valenna lui demanda si elle pouvait faire quelque chose, pour elle. Décidement cette jeune fille était trés gentille.

- Non, sa va merci . Je n'est besion de rien, mais c'est gentil à toi de me le demander. Bon d'accort, il m'a arrivé d'être en meilleure forme, mais sa va s'arranger, avec le temp....

Anne se sentait soulager d'avoir avouer ses quatre vérité à Marc. Elle avait un poid de moin sur la consiance. A présent elle pouvait faire "le deuil " de son couple. Elle aurait aimé pouvoir éffacé d'un seul coup, tout ses souvenir avec Marc. Mais bien sur ce n'était pas si simple. Puis aprés tout elle n'échangeré pour rien au monde , les moments merveilleux passé avec lui. Elle se tourna vers Valenna, pour discuter avec elle, pour essayer de se changer les idées.

- Tu es venu poster une lettre ? Les cours commenceront tout à l'heure, heureuse d'y aller ?

Pas trés original comme question, mais dans ses circonstances, elle n'avait rien trouvé de mieux. Elle espéra ne pas passé pour une écervelé.

Invité

Valenna scrutait en silence le visage impassible d'Anne, qui ne reflétait pas vraiment d'émotions, et dont seuls les yeux laissaient voir tout ce qu'elle ressentait, et la Serdaigle put y lire que c'était une douleur profonde et pas si spontanée que cela. Ce n'était donc pas une nouvelle qu'elle venait d'apprendre par hibou, comme cela était arrivé un jour à Valenna. Non, c'était quelque chose qu'elle savait, et qu'elle venait d'arranger en quelque sorte, mais qu'il faudrait encore effacer ; Valenna réfléchit et se rendit compte qu'il n'y avait que deux solutions : histoire d'amour ou histoire de famille. Comme il était évident que dans les deux cas c'était personnel, elle ne posa pas de questions, et tourna les yeux vers les Hiboux et les Chouettes qui picoraient des grains, laissés sûrement par le Concierge. Quant à la remarque d'Anne, elle était sage, et fit pencher Valenna vers l'histoire d'amour.

"Sûrement, répondit-elle en hochant de la tête, un sourire amical dessiné sur ses lèvres, le temps arrange beaucoup de maux. C'est une de ses grandes qualités."

Sur ces paroles réfléchies depuis longtemps, et déjà vécues - d'ailleurs - elle se tut, regardant maintenant le plafond de la Volière. Elle n'avait jamais remarqué ces peintures d'oiseaux, et de chouettes ; les mouvements étaient remarquablement bien retracés, et l'effet de profondeur bien rendu. En somme, c'était une belle image qui coordonnait bien avec la pièce et valait le coup d'oeil. Anne se tourna alors vers Valenna, comme rassénérée - probablement ces quelques instants de silence l'avaient permis de reprendre contenance - et commença à discuter, simplement.

"Non, dit-elle en secouant de la tête, aucune lettre à poster. Je venais simplement voir si mes animaux étaient là. J'ai une Chouette, Malinia, et un Oiseau, Lueur."

Elle regarda autour d'elle consciencieusement, détaillant chaque hibou et chaque oiseau, mais elle se disait que ses animaux l'auraient reconnu, et seraient venu s'ils étaient là. Ils étaient donc sortis.

"Mais ils ont du aller à la chasse, ajouta-t-elle en regardant de nouveau Anne. Et, oui, finit-elle par répondre, j'aime beaucoup les Programmes de cette année - surtout avec les Aspics à la fin - et les Professeurs sont très compétents, tu ne trouves pas?"

Invité

Anne observa Valenna, essayant de ne pas penser à Marc. C'était plutôt dur, mais elle espérait que bientot elle y arriverait. Elle était sur que bientot, BeauBaton lui manqueré moins et que Poudlard deviendré sa deuxième maison. Du moin elle l'espérait . Valenna était gentille, elle semblait se souciait des peines de coeur de Anne. La serdaigles avait de très longs cheveux bruns, ondulés. Elle avait un long visage, de forme plutôt ovale, d'une couleur joliment mate et lisse. Elle avait aussi de magnifique yeux bleus-vert, et un visage sage qui fait penser à celui d'un ange, une bouche mince et rouges. La jeune gryffondor fut touché quand elle lui adressa un sourire amical, lui disant que le temp éffacé tout les maux. La cinquième année observa de nouveau les hiboux et les chouettes. Certains s'approchèrent même vers elle. Valenna était venus rendre visite à ses animaux, Malinia et Lueur.

- Moi j'ai un hiboux du nom d'Hivoire, mais il est trés paresseux et fait beaucoup de bétise avec mon courrier.

Elle souria en pensant à Hivoire qui était unique, et tellement mignon. Valenna papréciait apparament aller en cour, cela leur fesait au moin déja un point commun.

- Oui les profoseur sont compétent, j'aime beaucoup Melle McIllian et Meme Liimatainan, ce sont d'exelentes enseignante. Mon cour p
réf
éré est celui de Soins Aux Créatures Magiques. J'ai d'ailleurs moi même élevé un bébé licorne.

Elle avait peur d'avoir était trop bavarde. Elle n'était pas du genre à se confier facilement mais aurait aimé en savoir plus sur Valenna. Seulement elle ne savait pas vraiment par ou commençait

- Tu as de la famille ici ?

[ HJ : désolé du retard Smile

]

Invité

Par la fenêtre, on pouvait voir l'Extérieur, où la nature s'éveillait, c'était un beau spectacle, comme toujours : les arbres paraissaient redonner vie aux champs autour d'eux, et la Forêt Interdite s'étendait, immense, comme sans limites. Le soleil montait dans le ciel, de plus en plus haut, comme tiré par les cordes invisibles d'un théâtre de marionettes dont il ne serait que le jouet ; ou peut-être par le chariot glorieux du dieu Apollon. Le ciel était bleu à tout bout de champ, car l'on sortait de l'hiver, et il faisait moins froid que la semaine précédente ; tout s'arrangeait donc, à priori. Valenna passa la main dans ses cheveux, puis sur son visage lisse, et cette vue s'arrêta, sombrant dans une semi-obscurité, avant qu'elle ne reposât les yeux sur Anne, fière Gryffondor, si gentille au premier abord. En silence, elles se décrivaient toutes deux, réfléchissaient chacune au caractère de l'autre, et cela se lisait facilement sur chacun de leur visage ; tout était si déchiffrable. Valenna se demanda quel âge avait Anne, car, subitement, elle venait de l'oublier, si elle était plus jeune, ou si elles avaient le même âge. En pensant à l'âge, elle dériva sur sa sortie de Poudlard à la fin de l'année, et un brouillard envahit ses yeux ; que ferait-elle donc? Elle ne le savait pas encore, et avait du l'avouer à plusieurs reprises à de vieilles connaissances, qui avaient haussé les épaules d'un air résigné. Il fallait qu'elle choisisse.

"Pourtant, répondit Valenna avec un sourire radieux, tu as l'air de l'adorer ! Je n'ai pas eu le temps de le voir, c'est dommage. Hivoire, tu dis? C'est un très beau nom, et je suis sûre que l'on se serait bien entendus..."

Elle lui fit un petit clin d'oeil enthousiasmé, tout en passant la main par sa nuque, puis étirant légèrement ses si longs bras ; ses yeux se posèrent sur ses doigts longs, qui, parfois, prenaient une plume pour écrire, griffoner, dessiner, ou des fois touchaient distraitement une guitare, ou appuyaient sur les mille touches d'un piano. Puis en regardant la volière, elle ne put s'empêcher de penser à cent souvenirs. Quand elle était venue pleurer ici, agenouillée à côté de la fenêtre, à l'époque où elle avait seulement Malinia, qui, d'ailleurs, tentait de la consoler, vainement. Quand elle avait rencontré Arya, avec qui elle était devenue bonne amie, car la Serpentard cachait beaucoup de sympathie derrière le masque de sa maison. Quand elle avait sauté de joie, en apprenant que son grand-père déménagerait jusqu'à côté de Pré-au-Lard. Bref, tant d'émotions.

"Oui, les Professeurs de Métamorphose et de Botanique sont vraiment formidables, surtout que je connais humainement cette dernière, et que c'est une personne adorable en réalité. Mais, tu n'aimes pas Harkaitz Rocstone, Professeur de DFCM? Je trouve que c'est aussi un très bon professeur."

Puis, elle écouta encore la phrase d'Anne, et eut un hoquet d'étonnement, de stupeur, avec un sourire étonné, elle était émerveillée.

"Tu élèves un bébé licorne? répéta-t-elle joyeusement. Ca doit être merveilleux."

Ensuite, la Gryffondor voulut continuer la conversation, et Valenna n'y voyait aucun inconvénient étant donné qu'elle était très sympathique. Cependant, la Serdaigle avait des défauts de respiration, et ne pouvait rester debout immobile très longtemps. Aussi, elle montra une des chaises libres à Anne, et s'assit en face, derrière la petite table de marbre, où l'on pouvait écrire ses lettres.

"Oui, reprit-elle finalement, mais je ne l'ai rencontré qu'il y a deux soirs, alors je ne sais pas si c'est ce que l'on peut appeler "famille"."

Elle eut un sourire amusé, puis reposa la même question à Anne, avant de remettre une mèche brune derrière ses oreilles.

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Anne trouvait Valenna de plus en plus sympathique. C'était la première Serdaigles avec qui elle discutait autant. Etant de nature plutot timide avec les étrangers, elle ne connaissait pour l'instant que des Gryffondors, et certain Serpantard qui l'avait embeté. Bien qu'elle soit de nature timide, la jeune Gryffondor avait besoin de parler aux gens pour ce sentir existait. Valenna semblait ne pas etre contre, l'envie de la cinquième année de discuter. Elle souria quand elle entendit la Serdaigles lui dit qu' Anne adorait Hivoire.

- Merci, Oui tu as raison, il est loin d'etre parfait, mais je l'adore c'est mon hibou, et je l'accepte même avec ses défauts. A son retour, un autre jour, je te le présenterais.

Anne souria en pensant que l'amour nous empécher parfois de faire des choses raisonnable. Comme par exemple de vendre Hivoire, pour acheter un hibou compétent. Mais cette idée était irréealisable pour elle. Elle écouta ensuite Valenna, lui parler de leurs proffesseur. La Serdaigle connaissait apparament trés bien Meme Liimatainan. Anne en fut ravie, elle aurait elle même aimé mieux connaitre son enseignante. La jeune Gryffondor fut géné quand Valenna lui posa une question sur Mr Rocstone.

- J'aimerai moi aussi connaitre mieux Meme Liimatainan. Euh....Mr Rocstone...et bien..disons qu'il ne m'a pas fait trés bonne impression entant que personne...sinon je ne le connais pas personnellement. Mais je suis sur que c'est un exelent professeur.

Anne n'avait eut qu'un seul cour avec se professeur, mais il lui avait semblé froid et méchant. Anne souria de nouveau, Valenna semblait ravi qu'elle élève un bébé licorne. La jeune Gryffondor ce rapella d'Eponime, qui adorait les Berthie Crochue tout comme elle.

- Oui, elle est merveilleuse. Nous l'avons récueillie à la mort de sa mère, elle est trés gourmande et adore les bonbons. Elle s'appelle Eponime.

Valenna semblait vouloir poursuivre la conversation. Anne en était ravi, cela lui fesait du bien de parler. Etant donnée qu'elle connaissait peu de monde à Poudlard, il était rare qu'elle discute tavec d'autre élèves. Apparament, Valenna venait à peine d'apprendre l'existence de sa famille. Anne trouvait cela étrange.

- Ah bon ? Comment cela se fait-t-il ? Moi toute ma famille se trouve en France, j'ai une soeur jumelle du nom d'Amanda, mais ma cousine étudie ici à Poudlard, Ariel Delcourt.

Elle eut un haut le coeur en pensant à ses proches qui lui manquait énormément.

[ HJ : aucun membre inscrit à M.A. s'appelle Ariel Delcourt se nom est fictif ]

Invité

Valenna trouvait la compagnie d'Anne charmante, puisque la Gryffondor, de deux ans plus jeune qu'elle, parlait avec une aisance distinguée, et que l'animation avec laquelle elle discourait faisait ressortir son sourire joyeux et ses traits bien dessinés, ainsi que son beau teint de peau. Certains Moldus au langage soutenu l'aurait qualifié de délicieuse compagnie, et c'était à peu près ce que pensait Valenna de cette jeune fille aux mots aisés, et à l'élegance innée. Cependant, un détail troublait la Serdaigle : Anne ne paraissait pas aimer les Serpentards, comme les casant tous dans une catégorie de personnes aux actions perverses et toutes aussi méchantes, alors que c'était une manière de grouper des même défauts des individus si différents. De plus, cette philosophie troublait Valenna, étant donné que Irina était à Serpentard, et ses deux autres soeurs en étaient sorties, sans oublier ses amies : Yoshino, la Préfète de Serpy, Keiko, et Arya, bien qu'Arya sorte du lot. Bref, beaucoup de connaissances elle appartenaient ou avaient appartenu à la glorieuse maison du serpent vert et argent. Pourtant, Valenna tenta de cesser ces pensées, car elle se doutait que Anne comprendrait sa vision des choses rien qu'en croisant son regard ; donc elle chassa ces idées, pour entrer de nouveau dans la conversation. Anne lui assurait qu'elle la présenterait à Hivoire, et Valenna sourit donc, en hochant de la tête, car c'était une nouvelle plutôt agréable, étant donné qu'elle adorait les animaux, et d'autant plus ceux qui donnaient satisfaction, ou affection à leur compagnon (maître en langage commun). Quant à la remarque par rapport à Harkaitz Rocstone, elle fit presque sursauter Valenna.

"Tu trouves que M. Roctone n'est pas une bonne personne, humainement parlant? répéta-t-elle, ébahie. Pour ma part, je trouve que c'est un charmeur / séducteur né, ce qui n'est pas forcément bien, mais il est brillant, et aime pousser ses élèves à bout. Déjà, je pense que c'est la meilleure méthode pédagogique, et ensuite, il faut dire que je ne le connais pas personnellement, avoua-t-elle, avec un brin de regret dans la voix."

Cependant, elle passa la main autour d'une mèche brune, qui lui tombait toujours à côté du visage, la tortillant autour de son majeur, machinalement, sans réellement s'en rendre compte ; ce n'était pas un tic, comme beaucoup d'autres filles, simplement un geste qui l'amusait. Confortablement assise dans sa chaise, elle laissa ses yeux entrouverts, profitant d'un moment de silence et de calme pour se laisser aller. Puis Anne parla de nouveau.

"Les licornes mangent des bonbons? demanda-t-elle avec une surprise à peine contenue. Et comment sa mère a-t-elle été tuée? C'est un acte horrible... affirma-t-elle en frissonnant."

La licorne était à ses yeux, et au regard de beaucoup d'autres, un animal sacré, par sa blancheur si pure, cette couleur étincelante, de jour comme de nuit, par son hennissement si particulier, qui faisait d'elle un ange à la voix chantante, et par son regard, ses yeux d'un bleu azur, si beaux, si beaux. Cependant, Valenna n'envisageait pas vraiment une licorne en captivité, car ce devait être un animal non pas sauvage mais libre, qui peut courir, rire, chanter, comme tout être, mais à l'intelligence décuplée. Magnifique être au pelage blanc.

"Je n'ai connu Irina, et mes deux autres soeurs, répondit-elle, qu'il y a deux soirs, car notre père, volage pendant sa jeunesse, nous a laissés parmi d'autres familles, sauf Jade. Je ne sais pas si tu vois qui c'est, mais elle est connue comme Capitaine de l'Equipe Irlandaise. C'est une très bonne joueuse de Quidditch, d'après ce que j'ai entendu dire. Bref, j'ai été élevée dans une autre famille, et je n'ai appris que la semaine dernière, par une lettre de mon grand-père, ou prénommé grand-père, qu'en fait tout n'avait été que secret et mensonge. J'ai donc vécu une enfance odieuse avec un père Mangemort, puis une adolescence terrible, par la mort successive de ma grand-mère puis de ma mère, et maintenant j'apprends que tout cela n'était qu'irréel. C'est un sentiment très difficile."

Elle baissa la tête, tandis que son coeur cognait douloureusement dans sa poitrine, c'était donc si compliqué même de conter, par des mots aussi simples soient-ils, l'aventure qu'elle avait vécu, petite, puis adolescente, puis jeune. Maintenant, elle s'était comme confiée à Anne, et se rendait compte avec horreur qu'elle ne connaissait presque pas la Gryffondor ; elle releva la tête, mais sans la regarder.

"Et... parvint-elle à dire avec difficulté, pourquoi es-tu séparée de ta famille, et surtout de ta soeur jumelle?"

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