Ainsi va la vie... (pv Loris)

La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Sourires, larmes, joie, tristesse, bonheur. Chaque être humain passait par toute sorte de sentiments, d’états, qui le construisent, qui construisent sa vie, sa personnalité, son passé. On est obligé de passer par le malheur pour connaître le bonheur. Toucher le fond, pour donner un coup de pied et remonter à la surface. C’est ce qu’il avait fallu à Loris pour atteindre un tel bonheur, d’une intensité extrême. Chad, Anne, Alec. Il avait déjà été content d’apprendre le mariage de son meilleur ami, heureux d’en être le témoin et aux anges d’avoir été choisi pour être le parrain du petit Alec. Ce petit garçon qui verrait le jour avant la fin de l’année scolaire. Depuis que Chad lui avait proposé ce rôle, il sentait une grande fierté l’envahir mais aussi la peur.

Parrain. Ce n’était pas à prendre à la légère. Il aurait un rôle essentiel pour le petit garçonnet. Education, conseils, il devra toujours être présent pour lui et il savait au fond de lui qu’il en était capable vu qu’il adorait les enfants et surtout avait remercié à plusieurs reprises Chad et Anne pour cet honneur et cette marque de confiance.

Il sortait juste de la salle commune des Gryffondors et avait le sourire aux lèvres. Son malheur à lui était bien loin. Depuis plusieurs mois, il n’avait pas senti la haine, la colère ou la tristesse l’envahir. Il se sentait juste bien et continuait tranquillement son petit bonhomme de chemin dans la vie de Poudlard.

En passant devant la salle sur demande, il remarqua que la porte était ouverte. Il connaissait cette salle depuis sa troisième année où, avec Nolan et Yannis, ils avaient imaginé se retrouvant sur un terrain de foot pour pratiquer leur sport moldu à l’abri des regards. Que des moments de bonheur. Curieux, il s’approcha sans avoir envie de déranger la ou les personnes présentes mais lorsqu’il entendit des sanglots, son caractère prévenant se décida de taper à la porte avant de rentrer.
« Excuse moi, je te dérange pas. Je ne voulais pas être malpoli, la porte était ouverte et je t’ai entendu. Si tu ne veux pas me voir, je peux partir mais si ta besoin de parler, je suis là aussi »
Il ne voulait pas s’imposer mais ne voulait pas la laisser comme cela si elle avait besoin de parler. Il avait la réputation de quelqu’un de très bon conseil, toujours présent pour ceux qui en avait besoin.

Lorsqu’elle se retourna, les yeux rougit, il reconnu Lou Almadovar. La sœur de Dakota Almadovar. Loris ne supportait pas ce type mais sa sœur devait-elle subir l’animosité entre les deux garçons ? Non et si elle avait besoin de lui, il serait là comme pour n’importe qui. Sur le pas de la porte, il attendait.

Le chagrin, la tristesse, Loris avait horreur de voir des lamres sur les visages des gens et encore moins lorsqu'elles provenait d'une aussi jolie jeune fille. Que ce soit une Almadovar, à ce moment-là, il s'en fichait pas mal. Elle semblait tellement malheureuse, qu'il se portait à son secours comme elle l'aurait fait avec n'importe quel autre élève. S'il pouvait l'aider à retrouver juste un peu de sourire, il en serait très heureux. Toujours là pour tous, le grand coeur de Loris s'ouvrait encore une fois au profit de Lou et il ne quitterait la salle que si elle le lui demandait ou lorsque tout irait mieux pour la jeune fille.

Lorsqu'elle se retourna, Loris lui sourit amicalement. Il se doutait que voir l'un des principaux ennemis de son frère lui proposer son aide, avait dû la surprendre et aussi peut être l'inquiéter mais le jeune Gryffondor n'avait aucune idée derrière la tête, aucune idée malhonnête du moins. Quiconque le connait un peu, sait qu'il est toujours prêt à aider les personnes tristes.

Il la remercia lorsqu'elle accepte son aide et ne montra aucune surprise lorsqu'il lui demanda de fermer la porte. Il ne pensa pas du tout à Dakota mais plutôt au fait que Lou ne voulait pas que d'autre la voit pleurer. Le jeune Gryffondor trouvait cela entièrement normal et respectait son choix. Il s'approcha d'elle et lui tendit un mouchoir propre. Il s'assit à côté d'elle et sa question lui fit effet d'un électrochoc.

La mort. Cela faisait tellement longtemps qu'il ne l'avait pas évoquer et pensait à ce moment là qu'il aurait beaucoup de mal à ne pas montrer son trouble et à répondre à des questions, qu'il continuait de se poser lorsqu'il pensait à son frère. tant pis. Pour elle, il fera un effort et surtout, lorsqu'elle posa son regard bleus sur lui, il sentit un frisson le parcourir.
"C'est ainsi et on ne peut rien y faire. On a toujours l'impression que ce genre de chose n'arrivent qu'à nous. Mais ce qu'on ne sait pas c'est qu'il a tout les jours une personnes qui souffre de la mort d'un proche."

Il parlait plus pour lui que pour la jeune fille et essayait de ne pas le regarder. Elle dégageait une telle detresse qu'il avait envie de la serrer contre lui mais il n'était pas intime avec elle et n'aurait pas oser. Il sentait presqu'une gêne à être à côté d'elle et n'avait jamais ressenti cela en aidant quelqu'un d'autre.

Loris aurait tellement aimé repondre à ses questions, la consoler mais il savait aussi que, dans un moment comme celui-ci, quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse, le sentiment de rage et d'injustice était toujours présent. Durant plusieurs jours même. Jusqu'à ce que, tout seul, ce sentiment disparaisse et qu'une grande tristesse, un grand trou dans le coeur, un grand manque se fasse ressentir. Autant la colère se dissipe avec le temps, la solitude, elle, reste toute la vie et on apprend à vivre avec.

Comment expliquer quelque chose qu'on ne comprend pas soi-même ? Loris se souvient de s'être poser le même genre de question à la mort de son frère et depuis deux ans, il n'a toujours pas trouvé les réponses. Il ressent facilement toute la detresse qui hante Lou et sent un élan de compassion pour cette fille tellement malheureuse. Lorsqu'il la sentit se rapprocher de lui, il devina en elle, le besoin de se faire consoler, le besoin de lâcher toutes les larmes de son coeur et Loris était près à le faire. Pour elle. Comme pour tout le monde. Généreux, le Gryffondor.

Il sentit une boule dans sa gorge mais aussi une sorte de gêne. Dakota. Putain, même là, il le hante. Que faisait-il ? C'était sa soeur ? Si le Serpentard le savait, il aurait des problèmes. Qu'importe. Loris était toujours prêt à mettre sa vie en danger lorsqu'une fille avait besoin de lui et qu'ell soit belle ne gâchait en rien son plaisir de l'avoir dans ses bras.
"Lou."
Son prénom. Pour la première fois. Cela montrait une sorte d'intimité entre les deux qui n'existait finalement pas encore. Il ne savait pas comment lui dire, quoi lui dire. La mort est toujours injuste.
"Cela ne sert à rien de se poser des questions. On ne peut pas y répondre. Même deux ans après tu te posera toujours les mêmes questions. Toujours sans réponses"

Il parlait par expérience et voulait essayer de l'apaiser. Il l'attira un peu plus à lui comme il ferait si c'était Lauren qui était malheureuse mais il ne ressentait pas les mêmes sensations qu'avec sa soeur. Il était soumis à un trouble inconnu pour lui.

Il comprenait sa peine, sa douleur. Il comprenait ce qu'elle pouvait ressentir au fond d'elle même. Celui lui rappelait de mauvais souvenirs mais il ne faut pas qu'elle fasse les mêmes erreurs que lui. elle avait eu la chance de trouver quelqu'un auprès d'elle dans un moment comme celui-ci, elle avait eu la chance de tomber sur Loris qui savait de quoi il parlait, mais surtout elle avait eu le courage de parler alors qu'elle ne connaissait le Gryffondor que de vue. Loris aurait aimé avoir son tempérement, avoir l'occasion de se confier à quelqu'un mais son caractère timide, l'absence de Yannis avait pesé lourd dans la balance. Il avait fait des erreurs. Cette expérience devait lui servir pour aider cette jeune fille qui semblait en avoir tellement besoin.

Le jeune Gryffondor sentit les larmes de detresse de Lou couler le long de son cou et il sentit son coeur se serrer et son corps frissonner. Un contact étrange, une réaction bizarre, il ne controlait pas tout cela mais avait simplement envie pour l'instant qu'elle se sente mieux. Il l'attire un peu plus à lui pour lui faire comprendre qu'il est là pour elle et qu'il ne la jugera pas sur ce qu'elle pourra dire ou faire. Il veut simplement voir un petit sourire sur ses lèvres si attirantes.

Il appréciait lorsqu'on le remerciait lorsqu'il faisait une bonne action mais était toujours aussi modeste sur sa contribution. Il se contenta de lui sourire et de lui répondre d'une voix douce.
"Je serais toujours là si tu as besoin de moi, si tu as envie de parler"

Il semblait agir comme s'ils étaient des amis intimes mais Loris avait l'habitude de toujours tendre la main à celui qui en aurait besoin. Aujourd'hui c'était Lou et demain ? Il était un peu perdu dans la contemplation de son visage maculé de larmes qu'il mit du temps avant de comprendre qu'il devait avoir du sang dans le dos. Il remarqua l'air désolé de Lou et lui répondit en rigolant.
"T'inquiète pas, c'est pas grave, il a toujours la baguette magique"

D'ailleurs, il la sortit et prit la main de la jeune fille. Il prononça le sort de guérison, Episkey, et la plaie de la Serdaigle se referma presque instantanement. Il passa sa main propre sur son visage pour lui essuyer quelques larmes. Les yeux plongés dans les siens.

je vais rep

Etait-ce un élan de gentillesse et de compassion ou une véritable attirance pour braver l'interdit ? En cet instant précis, Loris n'aurait su le dire. D'ailleurs, il ne voyait pas en elle la soeur d'Almadovar. Dakota était bien loin dans ses pensées. Pour l'instant, le jeune Gryffondor n'avait qu'une envie, la prendre encore dans ses bras et lui dire des mots réconfortants pour lui faire oublier la mort d'un proche. Il ne savait toujours pas qui venait de décéder mais il aurait été mal venu de poser des questions. Il se contentait d'essayer de répondre aux siennes de la meilleure des façon et de la tenir près de lui comme pour la protéger.

Il sentait son regard reconnaissant posé sur lui et, modeste comme il est, il préféra baisser les yeux, se contentant d'un faible sourire. Ce n'est que avec le silence presque pessant qu'il releva le regard et il vit le visage de Lou beaucoup plus prêt du sien que quelques secondes auparavant. Il ne s'attendait vraiment pas à ce qu'elle l'embrasse et le temps qu'il réagisse, elle était déjà entrain de s'excuser.

Silence. Et oui, faut lui laisser le temps de réflechir au petit Loris, il était encore dans ses pensées à savoir quoi lui dire pour la réconforter et là, ce bisou. Inattendu. Il faut qu'il se remette de ses emotions. Déjà, que ressentait-il après ce baiser ? Son sourire traduisait nettement ses pensées. Que voulait-elle ? Simplement le remercier pour ce qu'il avait fait et une fois la porte franchi on se reparle plus, le manipuler à la demande de son frère. On sait jamais. si la serdaigle est comme son frère autant s'en méfié mais sa detresse avait semblé bien réelle. Ou alors ressentait-elle le besoin de se sentir protéger par quelqu'un et c'est pour cela qu'elle avait jeter son dévolu sur le premier mec qu'elle croisait ?

Il n'aurait pu le dire mais pas une seule seconde, il avait pensé que Lucrezia ressentait une attirance pour lui et envisageait de recommencer à l'embrasser sauf pour se moquer de lui. Pourtant, il ne voulait pas la blesser en lui demandant le pourquoi. Encore perdu dans ses reflexions, il ne fit pas le deuxième arrivé. Il était plus fougueux, moins timide et cela augmenta les craintes de Loris. Ce baiser était un peu rapide.

Il faut dire que Loris sortait d'une rupture pas très facile avec Sally et semblait un peu déboussolé et avait de plus en plus de mal à comprendre la gente féminine, c'est pourquoi il se posait toutes ses questions. Comme pour la première fois, il n'eut pas le temps de répondre à son baiser mais son regard interrogateur mais pas insatisfait semblait demander autre chose.

Loris n'était pas très doué pour cacher ce qu'il pensait notamment lorsque la personne en face de lui agissait de façon totalement inattendue. La surprise se lisait facilement dans ses yeux, de même que toutes les questions qui se bousculaient dans son esprit. Pourtant, comme elle, quelques instants plus tôt, il en avait eu envie mais il n'aurait pu faire le premier pas. Il avait eu peur qu'elle pense qu'il se servait d'elle pour toucher son frère et maintenant, c'était lui qui pensait que Dakota avait utilisé Lou. T'es vraiment un idiot, mon pauvre Loris.

Il sentait bien que son absence de réaction pouvait être mal perçu mais il avait plus la tête à éclaircir tout cela qu'à empêcher Lou de se sentir gêné. Il voulait qu'elle parle mais jamais il n'aurait pensé que ses mots lui fassent aussi mal et lui fasse comprendre aussi rapidement qu'il avait eu tord de penser à cela mais il devait s'expliquer. Généralement, il faisait confiance aux gens et n'auraient sûrement pas hésiter à répondre à son baiser si elle ne s'appelait pas Lou Almadovar.

Il voulait lui parler, lui dire quelques chose mais ses craintes lui paraissait tellement absurdes et il avait peur qu'elle se braque, ce qu'il ne voulait surtout pas. Ce fut à son tour de baisser les yeux. Il s'envoulait d'avoir douter d'elle parce que sa sincérité s'entendait à sa voix et pourtant, il ne regrettait pas d'avoir émis silencieusement ses craintes. Au moins maintenant, il sait. Maintenant, à son tour de jouer cartes sur tables. D'une voix qui se veut rassurante, il évoque l'homme q'uil déteste le plus au monde.

"Oui, j'ai pensé à ton frère. Tu es une Almadovar et je ne peux pas le nier. Oui, j'ai pensé qu'il avait pu se servir de toi pour me toucher, pour me faire du mal. Tu as raison, je ne te connais pas mais je connais ton frère, je sais de quoi il est capable pour me faire du mal, il l'a déjà fait avec Key et cela ne m'étonnerait pas qu'il veuille recommencer. Ce que je regrette, c'est de douter de toi. Je ne te connais pas, pas suffisamment pour me faire une idée de qui tu es mais une chose est sûre, je ne demande pas mieux que d'apprendre à te connaître. Et je ne regrette pas ce baiser"

Sans se soucier du parchemin qu'elle lui tendait, il lui attrapa doucement la main et l'attira à lui. Tendrement, il posa ses lèvres sur les siennes et profita de ce moment. Lorsqu'il se détacha enfin d'elle, il lui murmura dans l'oreille.
"Pardonne moi d'avoir pensé cela de toi, je suis vraiment un idiot"

Il avait beau essayé de ne pas penser à Dakota, c'était plus fort que lui et Lou aura sûrement du mal à lui faire oublier mais il le dissimulait de la meilleure des façons pour ne pas faire plus de mal à Lou qu'il ne lui en avait déjà fait. Il ne prit pas le parchemin pour respecter sa vie pricée et si elle voulait vraiment lui faire lire, il le ferait pour comprendre sa douleur et en apprendre plus sur cette jeune fille.

Loris qui pensait simplement se justifier correctement avec sa tirade, n'imaginait pas que ce qu'il avait pudire ait pu blesser Lou. Il ne voulait pas cela. Loris n'ai pas quelqu'un qui veut faire du mal et c'est souvent plus par maladresse ou en voulant bien faire qu'il blesse les personnes. Par contre, il savait aussi qu'en embrassant la jeune Serdaigle, il risquait beaucoup. Si Dakota l'apprend, c'est un homme mort. Certes, le jeune Gryffondor sait se défendre mais il aime pas la violence surtout sachant de quoi est capable de faire le Serpentard. Mais Lou mérite qu'on prenne autant de risques pour elle et Loris a envie de lui montrer que son frère n'est pas une barrière pour lui, pour eux même si pour l'instant, le jeune Gryffondor est loin de ressentir de l'amour. De la compassion oui, un faible, mouais, de l'attirance oui mais c'est tout. Il ne demande pas mieux que d'apprendre à la connaître et à ressentir plus de choses pour elle. Il en arrive à regretter qu'elle s'éloigne de lui aussi rapidement. Il aimait la tenir dans ses bras et espére que cela se reproduira et qu'elle ne l'avait pas embrassé, juste comme cela.

En silence, il l'écouta. Presque gêné, il passa une main dans ses cheveux et émit un petit ricanement. Pourtant, ce n'était pas le moment de rire. Ils devaient parler sérieusement d'eux. Elle semblait avoir compris la haine entre son frère et son désormais petit copain. Loris avait encore une faveur à lui demander
"Je ne veux pas que notre histoire devienne un sujet de conflit entre toi et ton frère. Je sais, par les brauits de couloirs que vous êtes très proches et , comme tu le sais, il me hais. Que pensera-t-il quand il saura qu'on est ensemble ? Je peux te demander quelque chose ? Garder le silence sur nous, pour l'instant"

Histoire, nous. Des mots simples mais qui montraient bien ce que Loris voulait. Leur histoire ne s'arrêtera pas à ce petit baiser mais durera. Du moins si Lou le veux. Attentif, il écouta ce qu'elle lui disait et doucement, il se rapprocha d'elle et la prit dans ses bras.
"Tu veux savoir ce que je pense de toi ? C'est que tu as du courage et j'ai fais des erreurs alors que j'étais dans la même situation que toi, j'ai été lâche, j'ai refusé ce qu'il se présentait à moi pour ne pas trahir la mémoire de mon frère et aujourd'hui je le regrette. Je comprend ton chagrin, je le respecte aussi et je me rend compte que tu est beaucoup plus forte que moi. Tu as réussi à reprendre le dessus alors qu'il m'a fallu un an."

Tendrement, il l'embrassa pour appuyer ses propos

Des mots rien que des mots mais qui étaient tellement important aux yeux de Loris. Oui, il avait envie de lui faire confiance, oui il avait envie de prendre des risques pour elle, oui il savait que la réaction du frangin voire même des deux seraient sans pitié mais elle voulait se battre pour tenter de construire quelque chose et lui aussi. Il ne voulait pas se dégonfler à cause de l'autre abruti, il ne voulait pas arrêter de voir Lou à cause de Dakota. Non. Il n'a aucun pouvoir sur sa vie et jamais il n'en aura. A deux, ils y arriveront et rien qu'un sourire fit comprendre à Loris qu'il avait raison et que les baisers de Lou méritaient bien cela, même plus.

Il avait confiance en elle mais elle semblait douté de lui. Non, il ne regrette pas, il ne regrettait pas et Dakota ne pourrait rien faire contre eux, rien du tout.
"Ton frère ne me fait pas peur et je suis prêt à l'affronter si c'est pour te garder prêt de moi."
Un sourire tendre qui ferait craquer n'importe qui mais c'est à la fille Almadovar qu'il s'adresse et dans le silence de la salle sur demande, il l'embrasse enbcore et la serre dans ses bras pour lui prouver qu'il tient à elle et qu'il a un faible pour elle.



*~*~*~* RP TERMINE *~*~*~*