Sous la pluie

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Ann était tranquillement chez elle, il faisait beau, enfin, pour l'instant. Ann regarda sa pile de vêtements qui devenait de plus en plus importante au fure et à mesure du temps qui s'écoulait. Ann était plutôt contente de ce qu'elle avait de nouveau.

Elle n'avait pas pu dévaliser le magazin où elle était allée, car, il y avait une autre fille qui avait pris une tonne de vêtements, heureusement, Ann y était allée un peu avant, où sinon, elle serait rentrée les mains vide chez elle.

Si les agents de sécurité n'avait pas été là pour la mettre dehors tellement elle se ruait sur les habits, elle mettait tout par terre, s'ils l'avaient laissé continué, le magazins aurait fermé en attendant plusieurs années d'avoir assez d'habits pour remplir à nouveau le magazin en entier.

Ann songea, puis, en voyant que le temps était merveilleux, elle décida de sortir un peu. Elle n'oublia pas bien ^sûr de fermer les portes de sa villa. Elle transplana jusqu'au cimetière.

Quand elle arriva là-bas, elle se mit à marcher. Après quelques minutes, elle décida de s'arrêter là. Elle s'assit sur une tombe. Mais, quelques minutes plus tard, il se mit à pleuvoir. Elle mit sa capuche et, elle courra se réfugier sous un arbre. Elle s'y appuya.

Ann regarda le temps couvers, elle se demandait même s'il n'allait pas y avoir de l'orage. La pluie continuait toujours de tomber. Il y avait personne en attendant vers l'endroit au se trouvait Ann. Elle se demandait si quelqu'un allait venir.

Ann avait les cheveux trempé mais, ses vêtement ne l'étaient pas trop. Mais, heureusement l'arbre en dessous duquel elle s'était réfugiée ne laisser pas passer l'eau. Contrairement à celui d'en face qui avait une tonne de trou entre ses branches toutes fines.

Ann voulait rester là, dans le cimetière, même s'il ne faisait plus un temps ensoleillé. La pluie ne faisait pas de mal ainsi que la fraîcheur qui régnait désormais.

Ann s'assit ensuite sur l'herbe qui n'était pas humide, toujours en dessous de l'arbre. Elle regarda devant elle. Toujours personne à l'horizon. Tout le monde devaient être au chaud chez eux. Certains devant leur feu et d'autre avec leur chocolat chaud.

Ann, continua à observer les alentours. Elle se demandait ce que devait faire désormais son chat. Il détestait la pluie à un point. Il devait sans doute être dans la chambre sous la couette en train de claquer de ses petites dents en espérant que la pluie cesse.

On aurait dis que la pluie allait durer plusieurs minutes, peut-être même plusieurs heures. Ann ne l'espérait pas trop, surtout pour son chat. Elle essayait de se mettre à sa place, celà devait être un cauchemar pour lui.

Ann, en attendant que la pluie cesse au lieu de transplaner chez elle, continua encore à regarder ce qui l'entourait et peut-être de voir une personne arriver vers l'endroit où elle se trouvait depuis toute à l'heure.

Invité

Le cimetière était un endroit assez calme, sombre et vide, lorsque Calypso y allait, mais ceci arrivait très rarement. Elle n’y était allée que 3 fois.

La première lorsqu’elle fut bien trop curieuse, en quatrième année elle souhaitait sortir simplement, aller ailleurs, … s’enfuir, s’évader ? La seule manière pour elle de trouver un peu de solitude, ou même ne plus penser à revenir une seule fois à Poudlard. Pourtant elle y était bien mieux que dans sa famille. Mais elle ne pouvait supporter ceux qui ne cessaient de l’insulter ou de l’humilier. Mais tout cela l'endurcit.
La seconde fois, Calypso, qui n’avait apparemment pas été prise la première fois s’était retrouvée de la même manière que la première fois dans ce même cimetière. En marchant dans la forêt, elle se retrouva innocemment dans ce cimetière, sans même savoir par où elle était passée. Elle avait été punie et retenait la leçon.
Mais cela ne l’empêcha pas d’y retourner une autre fois en sortant de l’hôpital. On aurait pu penser que Calypso s’y était perdue, mais comment se retrouver aussi facilement dans un endroit comme celui-là ? Non elle devait forcément savoir où elle allait. Ce jour là, elle pensait voir la tombe d’un de ses proches, de voir quelque chose qui lui fasse un flash… qui l’aiderait à se situer, à savoir qui elle était etc…
Mais jamais Calypso eut à faire à des mangemorts ou qui que ce soit d’autre dans cet endroit pourtant pas si innocent qu’il en à l’air.

Aujourd'hui, il avait fait beau, mais le temps changea très vite. En fin d’après midi, il s’était mis à pleuvoir.
Calypso elle était sortit de chez elle pour aller faire un tour au cimetière, là où elle avait été lorsqu’elle venait juste de sortir de l’hôpital Sainte Mangouste. Peut-être y trouverait-elle quelque chose d’intéressant, en attendant elle n’avait rien d’autre à faire. Mais elle ne voyait même pas le danger qu’elle courait en traversant inconsciemment cet endroit, sans même se soucier de quoi que ce soit.
Elle pouvait tomber sur n’importe qui. Mais la jeune femme n’y avait même pas songé. Elle était juste de passage, elle ne tarderait pas, surtout pas en fin d’après midi, avec ce temps qui commençait à se dégrader. Le cimetière n’arrangeait rien, Il rendait l’air plus glauque et sinistre qu’il ne l’était déjà.

Calypso portait une longue robe noire et une cape avec laquelle elle tentait de se protéger en la soulevant au dessus de sa tête : elle ne passait pas inaperçus bien qu’elle pensait qu’il n’y avait personne, puisque d’après ce qu’elle avait entendu, certaines personnes éviterai cet endroit, car il serait mal fréquenté.

* Je ne vois vraiment pas pourquoi ils pensent pour la plupart que c’est un endroit à la fois dangereux et cachant des secrets … c’est simplement un cimetière… *

- Comme un autre, avait-elle dit, comme si elle voulait se convaincre de ce qu’elle disait était vrai.

Les cheveux de la jeune femme lui tombaient devant le visage, entièrement trempés (tout comme sa cape qui ne lui servait plus à grand-chose) lui donnant un air un peu plus triste qu’elle n’était joyeuse. On aurait pu croire qu’elle pleurait, mais pourquoi donc ? Elle ne pouvait rêver mieux. Un emploi qui lui plaisait, en plus de cela, elle était plus ou moins guérie et elle vivait bien différemment, beaucoup mieux.

Enfin, en pensant à tout cela, Calypso n’avait même pas remarqué la présence de qui que ce soit dans le cimetière. Elle avançait dans les rangées, regardant parfois le nom sur les tombes, comme si elle s’était perdue, ou qu’elle s’attendait à avoir une sorte de … prémonition.

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Ann était toujours sous le grand arbre au centre du cimetière. Il continuait toujours à pleuvoir des cordes. C'était vraiment lassant, mais à un point. Elle regarda ensuite de nouveau le ciel gris pluvieux.

Elle sortit de sous l'arbre et, elle sentit la pluie lui tomber dessus. Sa faisait du bien, cela ne la dérangat pas du tout. Elle aimait beaucoup le temps comme sa.

Désormais, Ann avait des cheveux mouillés. Elle sentit ensuite une présence de loin. Elle ne savait pas cela pouvait-il bien être. Elle fit comme de rien n'était.

Elle grimpa ensuite dans le grand arbre, pour ne pas que l'on remarque sa présence. Elle observa l'ombre au loin qui se dirigeait vers l'endroit où elle se trouvait.

Ann reconnut déjà que c'était une femme, mais, elle ne l'avait jamais vu apparavant. Ann mit ensuite sa cape de mangemort. Et, elle attendit que la jeune femme arrive enfin à l'arbre.

Elle voulait lui faire un effet de surprise. Elle ne savait pas pourquoi elle trainait dans le cimetière quand il faisait un temps pareil. Peut-être qu'elle avait fait comme Ann.

Elle l'observa par les branches qui la cachaient. Elel était bientôt arrivée au grand arbre. Ann attendit encore un peu qu'elle se rapproche encore plus près pour faire son apparition.

Quand la jeune femme arriva ensuite sous le grand arbre où elle se trouvait en hauteur. Elle décida que c'était le bon moment pour se montrer enfin à elle.

Ann mit sa capuche. Puis, elle souta de l'arbre. Elle avait son visage caché. Elle avait un léger sourire démoniaque. Elle vixa la jeune femme. Puis, elle décida de prendre la parole. Et, elle lui dit:

Que fait une jeune femme dehors dans un cimetière avec un temps pareil ?

Ann continua à la vixer tout en attendant que cette dernière réponde enfin à sa question. Soit elle allait s'enfuir en courant, soit elle allait rester donc, n'allait pas avoir peur.

Ann la regarda en attendant de la voir réagir et, elle voulait savoir aussi ce qu'elle allait bien vouloir faire. C'était une question que se posait Ann et; elle avait hate d'avoir la réponse.

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C’était complètement ridicule, elle ne pouvait pas revoir _un moment de sa vie aussi facilement, dans un endroits comme celui-là où elle n’avait jamais passé la plupart de son temps, où elle avait jamais rencontré qui que ce soit. Ce n’était qu’une perte de temps, mais maintenant que la jeune femme était là, sous la pluie, déjà trempée, elle ne pouvait que continuer, et elle se réfugia finalement vers un arbre. Où elle ne vit personne d’ailleurs, elle croyait être seule. Elle enleva sa cape de dessus sa tête qui ne faisait que la tremper plus. Elle l’essora et rejeta à l’arrière quelques mèches qui lui cachaient la vue.

C’est à ce moment là qu’elle fut surprise par l’arrivée d’une femme, qu’elle ne s’attendait pas du tout à voir. Comment lavait-elle reconnu … ? Par son simple sourire … satanique… Mais cela ne l’effraya pas plus qu’autre chose. Elle pensait que ça ne pouvait que être quelqu’un qui souhaitait encore se moquer d’elle ou la ridiculiser, voir même la faire se sentir faible et ne pouvant rien faire pour se défendre. Mais c’était absolument faux, ces dernières années l’avaient complètement changé et elle s’inquiétait bien moins pour si peu, elle savait ce qu’elle valait et ne se laisserait pas faire par quelqu’un qui veut simplement l’humilier.

Mais Calypso ne sentit pas vraiment ça en la jeune femme en face d’elle, bien qu’elle soit Legilimens, elle renonça à l’idée d’entrée dans son esprit. Elle ne voulait pas se faire de mauvaises idées dès le départ sur cette personne, et de nature très sociable et sympathique, elle répondit poliment :

- Bonjour…

Elle sourit du mieux qu’elle peut à la femme, qui se cachait sous sa capuche. Pourquoi donc avait-elle besoin de s’y cacher ? Enfin, Calypso n’essaya pas vraiment de découvrir l’identité de cette personne elle socialité a essoré ses cheveux maintenant qu’elle était sous l’arbre.

- C’est une question que moi-même je me pose.

Calypso aurait bien pu lui poser la question, mais elle ne voulait pas paraître trop curieuse, même si elle se demandait toujours pourquoi elle souriait ainsi et elle ne semblait pas vouloir dévoiler son visage.
Elle ne voulait peut-être pas être entièrement mouillée elle aussi, mais rien que ses cheveux qui sortaient de sa capuche montraient qu’elle l’était déjà et que ça ne l’a protégeait pas plus de la pluie.

La concernant, Calypso n’en dit pas plus. Elle se demandait toujours pas mal de chose à son sujet et ne voulait pas se remettre à pensée à tout cela pour le moment, elle n’avait rien trouvé et elle devait se sécher avant de tomber malade. Elle ne souhaitait pas non plus l’aide de qui que ce soit, pensant qu’elle en avait assez eut et qu’elle se débrouillerait bien seule. Mais elle ne pouvait pas non plus en dire sur elle à quelqu’un qu’elle ne connaissait même pas, de plus qu’elle n’en savait pas beaucoup.

Sur un ton calme et d’une voix tout à fait normale, elle demanda :

- Pourrais-je savoir à qui je m’adresse ?

Même si la question n’était pas plus qu’une simple question, on entendait facilement que c’était une sorte de forme de politesse que Calypso utilisait pour s’adresser aux inconnus lorsqu’elle souhaitait en savoir plus. On n’aurait pas pu s’attendre à une réponse négative, mais tout dépendait de comment on la comprenait

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Ann continuait à lui sourire démoniaquement, tout en continuant à la regarder. Elle fixa la jeune fille. Puis elle repensa à quand elle était une gryffondor. Rien que d'y penser...ohh....

Elle se trouvait vraiment bête, penser que le monde était parfais, la petite chochotte à deux balles qu'elle était qui voulait la paix dans le monde. Oh les aurors étaient sur le droit chemin.

Mais, maintenant, elle était plus la petite fille débile qui pensait qu'à des choses vraiment minable. Elle avait murit dans ce sens. Et, elle préférait être comme sa que comme elle était avant.

Ann préférait ne ressentir aucun sentiment, elle avait connu assez de malheur à cause de sa, d'un simple fait d'avoir des sentiments. Alors, elle s'en est débarrassée, ils sont enfouit en elle très profondément. Presque impossible de les faire remonter à la surface. Ce qui était mieux.

Elle revient ensuite dans la réalité. La jeune femme lui adressa un bonjour. Mais, Ann ne lui répondit rien. Elle l'avait ignorer. Toujours en train de la fixer en attendant la réponse sa question.

Puis, elle lui répondit, c'était vraiment bête, elle allait quelque part sans même savoir pouquoi. Ann trouvait sa débile. Puis, elle décida enfin à lui répondre:

Oh, que c'est étrange, vous allez quelque part sans même savoir pouquoi.

Puis, elle la vixa de nouveau en attendant la réponse à sa nouvelle question. Elle trouvait cette jeune femme vraiment étrange. Elle continuait encore à la vixer.

Ann leva les yeux en l'air en repensant à la réponse que lui avait dis la jeune femme. Puis, elle la regarda de nouveau dans les yeux. Puis, écouta ce qu'elle lui dit. Elle voulait savoir à qui elle s'adresser.

Cela fit sourire Ann. Elle eut un soupire. Tout en baissant la tête. Puis, elle la releva et, la regarda. Et, elle lui répondit:

A quelqu'un qui ne divulgue pas son identité à la première personne qui passe.

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La réponse qu’avait donné Calypso à la femme ne lui avait apparemment pas vraiment plu, peut-être pensait-elle qu’elle mentait … Enfin, quoiqu’il en soit, Calypso crut comprendre qu’elle se moquait en quelque sorte d’elle, ou quelque chose comme ça. Enfin, elle cherchait à la provoquer ou était simplement déterminée à avoir sa réponse. A quoi elle s’attendait ? A ce que Calypso lui réponde comme si elle était effrayée ou qu’elle était obligée de le faire, sous ses ordres. Non elle n’était pas effrayée, et ce qu’elle avait dit n’était absolument pas bête pour elle. Personne ne pouvait l’insulter de bête. C’est vrai que Calypso avait l’habitude d’exagérer parfois, tant elle était susceptible, elle ne pouvait pas supporter une remarque de ce genre, elle qui était toujours franche et sincère quand elle le pouvait.

Cette fois-ci, Calypso n’essorait plus sa cape, son attention s’était immédiatement reporter sur la femme, qui levait les yeux en l’air. Elle devait avoir l’air ridicule et vraiment paraître étrange face à cette femme qui ne l’était pas moins.

Toujours avec un minimum de respect, Calypso ne chercha pas à en dire plus, à part :

- En effet, c’est étrange, je le suis moi-même.

Puisqu’elle pensait sûrement qu’elle était bête ou étrange ou ce qu’elle voulait ; Calypso n’avait pas utilisé son don, mais elle pouvait le voir rien qu’à l’attitude de cette femme ; autant le lui confirmer, et ainsi repartir sans histoires, en ignorant totalement cette rencontre.
Pensait-elle que le fait que Caly soit restée face à cet inconnu excluait le fait qu’elle puisse partir lorsqu’elle le souhaitait à présent ?
Calypso ne voyait aucun intérêt à rester plus de temps avec elle qui ne souhaitait même pas lui dire son nom. Elle était étrange elle aussi, à se cacher sous sa cape. Si elle croyait l’effrayer, elle aurait du si prendre autrement, car ça n’avait pas l’air de fonctionner.

Calypso s’était très facilement mise en colère sans pour autant le montrer, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Pourtant elle savait contenir tout cela en elle et rester un minimum poli.
Elle aurait bien voulu rester un peu plus, pour dire enfin à quelqu’un tout ce qui pouvait la mettre dans cet état, ça faisait si longtemps qu’elle se retenait, pourquoi pas tout lâcher maintenant ? Non, son travail avait fait d’elle quelqu’_un qui aidait les gens qui en avaient besoin, et quelqu’un qui les écoutaient et les conseillaient, mais qui les relaxaient pour qu’ils soient bien. C’est tout rien d’autre, elle, ne devait rien, devait écouter et savoir quoi répondre, rien de plus, tout ce qui la concernait ne regardait personne.

Enfin, tout cela pour en venir à ce que Calypso a été profondément outrée, et elle n’avait plus rien à faire dans un cimetière de toute façon.

- De toute façon, je n’ai rien trouvé ici, je n’ai donc plus rien à y faire, d’ailleurs, je n’ai pas pour habitude de parler à la première personne qui passe.

Calypso avait bien réutilisée les derniers mots qu’avait prononcés la femme. Ce n’était pas seulement elle qui « passait » … La femme semblait l’avoir déjà vu puisqu’elle s’était déjà préparée à lui parler.
Enfin, Calypso ne comptait pas perdre plus de temps, surtout pas à la regarder la traité comme quelqu’un d’idiot. Elle mit sa cape sur ses épaules, s’apprêtant ainsi à partir.

Invité

Ann sourit toujours à la jeune fille. elle portait toujours sa cape ainsi que sa capuche. qu'est-ce qu'elle pouvait s'ennuyait. Elle continua à fixer la jeune femme droit dans les yeux.

Ann sut désormais, que cette fois-ci, elle n'aurait pas besoin de sa très chère baguette qui la servait énormément ces temps-ci. C'est vrai, Ann n'aimait pas trop qu'on l'embête.

La jeune femme n'avait pas l'air effrayé, mais, Ann ne fut gère surprise par ce compartement qu'avait la jeune femme. Elle s'était doutée de cela juste en la voyant arrivé perché dans son arbre, celui qui était désormais derrière elle.

La jeune femme lui répondit, toujours poli. Ann se demandait qu'en enfin elle allait se décidé à resortir d'elle ce qu'elle pensait vraiment. C'était comme si, d'une part elle se mentait à elle-même, vu qu'elle ne disait pas ce qu'elle pensait vraiment tout en restant poli envers elle.

Cela la surprenait, elle aurait bien voulu voir un peu de haine resordire d'elle, mais bon, on n'aurait pas dis qu'elle voulait que cela arrive, ce qu'Ann trouvait dommage, cela aurait été amusant de la voir crier sur elle.

Puis, elle faillit partir, mais, Ann la stoppa avant en la bloquant sur place à l'aide d'un sortillège, puis, elle s'approha d'elle sa baguette à la main et, elle lui dit:

Tu ne vas pas déjà partir

Invité

Sur ces derniers mots donc, elle mit sa cape sur ses épaules et fit un pas pour avancer. Mais elle n’eut pas le temps d’en faire plus qu’elle fut bloquée par un sortilège. Calypso regarda la main de la femme, pour voir que c’était elle qui venait de lui lancer un sort. C’est à ce moment que Calypso commença à s’inquiéter… Ce n’était pas non plus n’importe quel inconnu qui vous lançait un sort, même pour vous paralysé… Pour la retenir contre sa volonté.
Que cherchait-elle au juste ?

Aucune idée ne lui vint, ce qui est assez étrange car généralement elle se pose pas mal de questions, mais là, elle n’arrive pas à se faire une idée … Et hors de question d’utiliser son don, elle avait fait une promesse, et elle voulait la tenir.

Mais quelque chose la tracassait, tout ce qui semblait lui arriver lui rappelait certaines choses qu’elle avait déjà vécu. Les mêmes sentiments revenaient. Et pourtant, Calypso était toujours la même.
Mais c’était bien plus compliqué que ça dans sa tête, elle exagérait tout ! On la retenait, et elle ne pouvait accepter cela, car elle avait justement cherché toute sa vie à être libre. Quelques images réapparaissaient parfois en flash devant elle, de son enfance dans sa famille adoptive. C’Est-ce qui la faisait réagir ainsi peut-être …
Enfin, elle devait sûrement devenir folle.

Bien sûr ce n’était qu’une partie d’elle qui était fâché avec le passé, que chaque chose pour elle en faisait plus ou moins parti. Même si elle pensait avoir oublié, il lui était impossible de faire semblant. Une autre partie d’elle s’inquiétait pour elle ou pour la femme en face d’elle. Elle ne la comprenait pas, elle commençait à comprendre qu’elle était bien différente d’une simple femme. Tout cela commença à lui donner des maux de têtes et elle revint petit à petit à la réalité.

Le corps entier de la jeune Calypso était bloqué. Cela produisait une étrange sensation… Elle n’aurait pas su l’expliquer.
Elle sembla chercher à attraper quelque chose avec sa main, qu’elle voulait simplement avancer, en serrant les dents, mais impossible de bouger. Elle commençait déjà à avoir des fourmis dans les jambes, et sa baguette se trouvait dans sa poche. Elle ne savait pas lancer des sortilèges sans en prononcer les formules, elle ne pouvait donc pas ce sortir de là pour le moment. Mais le sortilège ne devrait pas durer éternellement, elle n’avait même pas entendu le lanceur parler.

Voyant qu’elle ne pouvait rien faire, Calypso ne chercha pas à aller plus loin. Elle jeta un mauvais regard à la femme, bien qu’elle ne puisse pas voir ses yeux.
Tout en serrant les dents, comme pour retenir sa colère elle tenta de dire d’une voix calme, étonnamment calme, mais tous les sons ne sortaient pas, elle pensait pourtant qu'elle l'entendrait :

- Et bien, je comptais partir, mais c’est certain que maintenant je ne peux pas.

Que signifiait ce tutoiement ? Jusqu’à maintenant, l’inconnu l’avait vouvoyé, et voilà qu’elle lui adressait la parole comme si elles se connaissaient. Enfin… presque…

- Cela à assez durer, je ne souhaite pas rester une minute de plus, maintenant sortez moi de là…

Il n'y avait pas de s'il vous plaît, mais on pouvait facilement comprendre que Calypso ne souhaitait pas ête polie tout en l'étant quand même.

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Ann sourit et, elle eut un petit rire tout en la regardant figé sur place comme une statue. Elle était plutôt contente d'elle. Au moins, c'était une chose de faite.

Elle le regarda figé. Et, elle tourna autour tout en la regardant, elle était figée avec un pied levé, pas très belle posture, mais bon, ce n'était pas elle qui était figé.

Elle s'assit ensuite par terre tout en regardant le ciel qui devenait de plsu en plus noir de plus en plus que le temps passé. La niut allait bientôt tombé, dans quelques petites heures.

Ann avait tout le temps devant elle. Elle resta encore un peu par terre. Tout en songeant à ce qu'elle pouvait faire subir à la jeune femme. Mais, c'est vrai que là, elle n'avait pas trop d'idée en tête pour l'instant.

Peut-être qu'elle la laisserait figé jusqu'au soir. Mais, cela ne serait pas marrant. Elle aurait pu, euh...la tuer ce qui serait plus simple, mais non, elle n'était pas trop d'humeur à sa.

Bah, en attendant, elle la laisserait figé jusqu'à savoir que faire d'elle. Puis, elle l'écouta quui disait que maintenant, elle ne pouvait plus partir. Après quoi, Ann sourit.

Elle songea encore à ce qu'elle pouvait bien lui faire. Puis, elle lui demanda de la sortir de là. Ann trouvait qu'il y avait un légé blem dans cette histoire.

Ann pointa sa baguette sur elle et, elle lui ferma la bouche, la jeune femme ne pouvait désormais plus décoller ses lèvres d'entre elle. Ann aurait au moins une personne qui arrêtrait pas de la déranger en moins. Ann songea encore à ceux qu'elle pouvait lui faire.

hj: je t'ai figé, t'es pas sencé pouvoir parler.

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Lorsque Calypso ouvrit la bouche pour dire autre chose, elle ne pu plus rien dire de plus. Elle ne pouvait pas l’ouvrir et prononcer une seule parole. Ceci était très gênant, de plus que la position dans laquelle elle était n’était pas la meilleure. Un pied légèrement levé, le corps en avant, un bras en avant et un autre en arrière. Elle ne pouvait bouger que ses yeux, mais ça lui donnait mal à la tête de devoir à chaque fois les tourner dans tous les sens. Enfin, même si la position n’était pas très confortable, Calypso commençait à s’y faire et ne sentait plus trop ses jambes. Par contre, elle commençait à se refroidir.

Calypso ne comprenait pas trop pourquoi elle se trouvait dans cette position. Enfin bien sûr qu’elle savait comment, mais pourquoi la femme avait-elle agit ainsi et ne voulait pas la laissé partir. Elle n’avait rien à lui offrir, et rien qui lui appartienne, qu’est-ce qu’elle voulait alors ? Et elle ne disait rien, alors c’était normal que Calypso trouve tout cela étrange.

Comment pouvait-elle se sortir de là ? Elle ne pouvait rien faire et n’en avait pas la force. Elle ne savait rien faire… Rien …. Enfin, mis à part lancer quelques sortilèges, le reste lui était inconnu… sauf pour ses dons. Mais elle ne pensa même pas à les utiliser, en fait, elle avait complètement oublié qu’elle les avait.

Elle devrait donc attendre, attendre peut-être que le sortilège ne fasse plus effet ? Si cela était possible, Calypso ne le savait pas. Et à quoi pensait cette femme qui l’avait figée ? Elle commençait déjà à la détester.

Mais le fait de ne pas pouvoir parler la retenait de dire bien es choses, heureusement. Elle ne voulait pas dire tout ce qu’elle pensait, comme elle en avait eu plein le dos de toutes ces années et qu’il faut encore qu’on vienne l’a figer parce qu’elle souhaite partir ! Elle veut partir, qu’elle s’en aille, elle ne voyait pas pourquoi elle serait resté avec cet inconnu qui se croyait déjà tout permis ! Pour qui elle se prenait !

Mais Calypso n’avait pas réfléchit une seconde justement à ce « pour qui elle se prenait ». Elle ne se doutait pas une seule seconde que ce puisse être un Mangemort Mais simplement une farce que quelqu’un aurait voulu lui faire, pour se venger ?
Tout était confus et Calypso ne savait plus quoi penser. Autant qu’elle ne pense plus, si on l’avait mis ainsi pour se moquer ou la faire attendre ainsi dehors, juste par vengeance… elle ne pouvait rien faire et attendre que cela passe.

« Attendre » C’était un mot qui avait du sortir de sa bouche plusieurs fois, un mot qu’elle détestait, qu’on lui répétait … ou bien « avec le temps » … Oui elle n’en pouvait plus d’attendre, mais elle devrait encore une fois rester calme et faire le vide en soi, pour ainsi essayer de ne ressentir aucune colère qui puisse la faire tout lâcher ce qu’elle garde depuis tant d’années. Jamais elle n’en reparlerait maintenant, même si chaque chose, chaque lui donnait envie de le faire, elle devait garder ça pour elle, personne ne devait savoir. Une sorte de secret quelle s’efforcerait d’oublier ? Sûrement…

Invité

Ann songeait toujours à ce qu'elle pouvait bien lui faire subir. Mais, elle n'avait pas trop envis de la tuer pour l'instant. Ann tuait de temps en temps, plus souvent des personnes qui l'énervat énormément. Malheureusement, elle n'avait pas envis de tuer cette jeune femme, en plus, elle ne l'avait pas énervé. Enfin, pas pour l'instant du moins.

Ann tourna pendant quelques muntes en rond ne sachant vraiment pas quoi lui faire. Sans doute allait-elle être gentille avec elle. Ann n'aimait pas trop ce mot et, ellen'était pas trop gentille depuis qu'elle avait enfouit ses sentiments au plus profond d'elle. Elle allait être gentille, pour une fois. Mais, elel espérait que cela ne devienne pas une habitude.

Ann observa la jeune femme, elle lui avait laissé les yeux, c'était la seule chose qu'elle n'avait pas figé. Au moins, elle pouvait toujours voir autour 'elle, et, ce qu'on lui faisait subir. Où, qui venait. Ann réfléchit encore quelques minutes. Puis, elle prit sa baguette, qu'elle avait rengé dans sa cape, et, elle prenonça le contre sort.

Maintenant, la jeune femme commançait à se défiger, dans quelques secondes ou minutes, elle pourrait marcher où faire tout ce qu'elle voudrait, comme avant, avant qu'elle la mette dans un état pareil, avant qu'elle la fige. Elle continua à l'observa, elle pouvait désormais bouger ses bras et sa tête, et, quelques minutes plus tard, c'était bon. elle pouvait tout bouger.

Ann l'observa qui était maintenant rétablie. Elle était mieux comme sa. Elle la regarda se sentir mieux après. Elle avait un air de déjà vu pour elle. Ann pensait avoir déjà vu cette femme quelque part, mais, elle ne savait plus où, elle ne s'en souvenait plus. Puis, elle décida de prendre la parole et, elle dit à la jeune femme:

Tu peux partir maintenant.

Invité

Après pas mal de temps, Calypso vit la femme prononcer le cotre sort. Enfin, elle allait pouvoir sortir de cette position et parer comme elle le souhaitait. Ses jambes restèrent paralyser pendant un bon moment, jusqu’à ce qu’elle puisse entièrement bouger.
Cela faisait beaucoup de bien à Calypso, qui s’étira rapidement pour enfin entendre qu’elle pouvait partir.
Mais sa colère revenait, on ne pouvait pas décider de quand elle devait partir ou non, et l’avoir figé ainsi pendant pas mal de temps l’avait bien plus fâchée
Respectueusement, mais en augmentant le ton elle dit :

- Non mais pour qui vous vous prenez ? ! A vous cacher sous cette cape, vous n’osez même pas montrer votre visage ! C’est ainsi que vous vous occupez tous les jours, en errant dans différents endroits espérant figer des personnes ou je ne sais quelle autre plaisanterie, pour quoi que ce soit qui vous déplaise ?

Elle s’était arrêtée, en ayant bien pris soins de prendre sa baguette avant de parler, pour se défendre si la femme venait à la figer une seconde fois. Elle ne tenait pas à reste la nuit ici. Mais elle avait arrêtée aussi pour reprendre tranquillement sa respiration et se calmer, car elle risquait de devenir bien plus grossière, ce qu’elle souhaitait éviter. Car il n’y avait pas seulement le fait de l’avoir figé, mais tout ! Absolument TOUT ! Pourquoi s’en prenait-on à elle ! Elle ne comprenait pas et pourtant avait bien essayé. D’ailleurs elle se mettait dans la tête que c’était une invention tout ce qu’elle pesait, mais à chaque fois elle devait se le convaincre, c’est qu’il y avait bien en peu de vrai la dedans non ?

Mais Calypso revint de suite à ce qu’elle venait de dire, elle ferait mieux de se taire, et de partir maintenant avant qu’elle se retrouve à se disputer avec un inconnu, ce qu’elle voulait également éviter. Elle jeta un regard à la femme, de travers, toujours sa baguette à la main, prête à prononcer une formule. Elle recula de deux ou trois pas pour essayer de voir d’où elle venait.

[HS : Désolée pour le faible RP... >.<]

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