Une dangereuse escapade [PV Rel :wub: ]

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Le train roulait vite a présent, et il était de puis en plus loin de la gare de londres. Le paysage défilait rapidement sous les yeux d’une jeune femme adossée contre la vitre. Celle ci pensait, tout en regardant les champs de vache, de tournesol, ou d’autre chose. Elle avait peu de choses avec elle, juste un sac a dos vite préparé, et sa baguette magique, mais elle semblait sure d’elle… du moins pour l’instant.

Elle était partie la veille, après avoir reçue une lettre d’un auror concernant une veille maison de campagne au nord de l’Angleterre dans le village de St Abb's Head Berwick, demandant l’autorisation de s’y rendre, après avoir eu la confirmation qu’a l’intérieur été cacher un indices exceptionnel concernant Nathan shakespeare. Elle avait bien sur refuser… il ne fallait absolument pas qu’un auror le trouve. Elle s’était donc proposée pour y aller. Seule. Et c’était ça sa plus grande crainte. Elle était toute seule pour visiter une maison sûrement truffer de pièges et de créatures maléfique pour protégé son trésor… Mais elle était seule dans ce jeux la de toute façon. Nathan avait confiance en elle, et elle avait confiance en lui. Tous les auror, elle n’était sure de rien. Personne ne devait être au courant…

Elle arriva a la gare de New castle, la grande villa la plus proche. Le quai était désert. Au moins, il n’y aurait pas de preuves de son arrivée ici… Elle mit la capuche de sa cape pour ne pas être reconnue, et fila. Vous vous demandez peut être pourquoi elle avait prit le train au lieu de transplaner d’ailleurs… simplement que pour aller dans cette maison, elle avait pu parler avec un ou deux moldu qui avait du coup insisté pour venir la chercher a la gare pour l’emmener dans leur p’tit blede… Lunaëlle en était ravie… Elle descendit les escaliers et se retrouva nez a nez avec deux… choses. Elle aurait ou dire personne, mais non. Chose correspondait mieux. Elle étaient vêtue de ce qu’ils appelaient « salopette », et se souvint avoir lu dans son manuel d’étude des moldu que ce genre de personne pouvaient être appelé « paysans ».. Chouette… >_<. Elle les regarda, tout en retenant cette air de dégoût qui lui brûlait les lèvres… puis articula.

« Bonjour… je suis venu pour voir la maison, c’est moi que vous avez eu au…Télé – phô - neuh »

Sa voix était sombre, presque mystérieuse, bien qu’elle eu longuement hésiter sur le nom de leur appareil de communication. Mais cela ne sembla pas déranger les deux énergumène qui gloussèrent péniblement en lui demandant pourquoi elle portait des vêtement si ridicule. Elle faillit leur répondre que les leur l’étaient bien plus, mais décida d’ignorer. Et dit d’un voix qui se voulait calme, mais qui était plutôt…sèche.

« Où est votre voiture ? j’aimerai m’y rendre le plus vite possible s’il vous plait.."

Quand elle apprit qu’il fallaient y aller en tracteur, elle faillit perdre son calme… mais la raison pour laquelle elle était venue la remit sur le droit chemin, et elle supporta de se faire traîner par un vieux tracteur qui sentait le bourrin et qui la remuait de gauche a droite et de haut un bas a longueur de temps… Elle espérait que Nathan lui serait reconnaissante… Ce fut que quarante cinq minute plus tard, avec des courbature partout, qu’ils purent enfin descendre et que la jeune femme put enfin contempler avec soulagement la vieille demeure inhabité.

Ce fut avec des sueur froide dans le dos, que les deux grotesque moldu lui demandèrent si elle voulait être accompagnée. Car il faut savoir que pour tout les habitant des environ, cette maison était hanté par les nombreux fantômes des anciens propriétaire et blablabla et blablabla… Tout le baratin habituelle. Lunaëlle n’y prêtât pas attention, et le confirma a leur grand soulagement, qu’elle irait seule, et que ce n’était même pas la peine de se donner la peine (lol) de venir la saluer pour son départ. Ils acquiescèrent, tout en effectuant un gloussement de soulagement et partirent. Enfin. Elle était enfin libre de ses mouvements… et la mission pouvait vraiment commencer.

Elle s’avança lentement, prête a entendre le moindre bruit suspect, mais pour l’instant, seul le bruit de ses pas dans l’herbe rompait le silence. Elle était de plus en plus près de la bâtisse, et elle sentait un étrange pressentiment, comme pour lui dire de ne pas s’approcher. Mais elle s’en fiche complètement… Alex l’avait mise en garde. Arrivée devant la porte, elle ne prit même pas le temps de toqué puisqu’il n’y avait personne et rentra tel un cambrioleur, sans le moindre bruit.

La pièce était dans un état de saleté indescriptible et il n’y avait aucun meubles. Les toiles d’araignée semblait avoir envahi tout l’espace…m’enfin si il n’ y avait eu que les araignée… mais l’ombre qu’elle venait de voir n’en avait rien d’une… et celle qui était juste sur sa gauche non plus… Elle fit un pas de plus vers l’avant, tous les sens en alerte. Soudain, elle sentit comme une main gluantes et froides s’emparer de sa cheville droite. Prise de court, elle poussa un cri strident, sortit sa baguette et cria :

« Stupéfix !»

C’était peut être un sort de base, mais néanmoins efficace. Car immédiatement, la chose se durcit et elle pu libérer sa cheville. Mais elle ne savait toujours ça se que sa pouvait être… et avait l’impression que cette maison était plein de créature dont elle devait se méfier… Elle sortie en courant, une idée lui étant venue a l’esprit.

Une fois dehors, elle s’éloigna un peu, et alla s’installer a la lisière de la propriété, qui était la même que celle d’une grande foret, sortie une plume et un parchemin de son sac a dos et commença a écrire de son écriture souple et fine.

Cher Monsieur Sanca Haroche,

Je suis en cette instant a coté d’un petit village nommé St Abb's Head Berwick, dans le parc d’une vielle maison des alentours, pour des raisons que je ne peut écrire dans une lettre. Mon but est d’explorer cette maison, mais, et c’est la que je souhaiterai solliciter vos services, de nombreuse créature dont je n’ai pas pu identifier les espèces s’y trouve, et vous êtes la personne la plus renseigné sur ce sujet que je connaisse. Si vous pouviez venir le plus rapidement possible, j’en serai ravit. Le ministère seras bien sur au courant de cette intervention et déversera une modeste somme dans votre coffre si vous accepter.

Veuillez accepter, monsieur, mes sincères salutations, en espérant vous voir dés demain.

Lunaëlle na Sanca,
Directrice des aurors.

Cela fait, elle l’enroula soigneusement, siffla Shiina, sa chouette brune qui n’était jamais bien loin d’elle, et lui attacha a la pâte. L’animal lui mordilla amicalement le doigt de son petit bec jaune, hulula longuement a la lune qui commençait doucement a apparaître, et la regarda d’un air interrogateur, pour demander a sa maîtresse quel était le destinataire.

« Aurel Raphaël Sanca Haroche, A poudlard. Maintenant vole ma belle, vole plus vite que tu n’as jamais voler, le chemin est long. »

Elle était maintenant seule.. Elle espérait vivement que le professeur arrive dés le lentement, car même la perspective de passer la nuit ici ne la réjouissait gère, mais a quoi bon gémir, il n’y avait personne pour l’entendre, et de toute façon, elle était entièrement responsable de ses actes. Elle sortit son sandwich, et commença a le mordiller sans appétit. Essayez de manger quand vous avez sans cesse l’impression d’avoir des yeux qui vous fixe dans le dos d’un air affamé… ce n’est pas facile. Cependant, elle était courageuse. Sa baguette était la, elle ne risquait rien, elle eut vite finit de manger. Et il faisait entièrement nuit a présent…

La lune n’était pas tout a fait ronde, tant mieux. Il y avait largement assez de créature pour ne pas avoir a rajouter les loups garou. Le ciel, quand a lui, était bleu, bleu marine, et un léger vent soufflait sur les feuilles des arbres, dans un bruit semblable a celui d’un fantôme. Mais c’était de loin le moins effrayant. Les fantômes ne sont pas méchant de toute façon… Le pire, c’était cette petite lampe devant la maison qui s’allumait, seule, régulièrement, a différent intervalle. Rien de plus stressant quand vous essayer de dormir, blottit tel un chat dans un duvet quand vous n’avez pas eu la place de mettre une tente dans votre sac a dos. Cependant, la journée avait été fatigante, et la jeune fille ne tarda pas a s’endormir, en boule, la baguette serrée dans sa main jusqu'à en avoir la marque.

Elle rêva cette nuit la. Elle rêva qu’elle était poursuivit par une ombre immense, qui tenté de la manger, alors qu’elle parcourait la maison, qui était d’ailleurs vert pomme, ayant oubliée sa baguette dans on duvet. L’ombre ouvrit la bouche, car oui, elle en avait une, et commença a lui arracher un bras. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle ne sentit rien et celui ci repoussa aussitôt. Le monstre essaya avec sa jambe, même résultat. Il se résigna donc a la manger d’un seul coup. Elle la souleva, la porta a sa bouche. Elle tomba, tomba, tomba.. la chute lui sembla durer des heures, comme s’il n’y avait pas eu de fonds. Mais quand elle arriva sur celui ci..

Elle ouvrit les yeux. Soudainement. Piouff… Ce n’était qu’un mauvais rêve… mais malheureusement elle ne pouvait pas en dire autant de la minable situation dans laquelle elle se trouvait… Toujours la, dans son champs… Mais bon. Elle ne perdait absolument pas espoir. Elle savait qu’elle avait toute ses chance (une fois Aurel arrivé…) de réussir a s’emparer de ce précieux indices… Elle était forte. C’était tout de même elle la directrice des auror. Elle s’étira longuement comme si de rien n’était, et déjeuna d’une modeste pomme qu’elle avait gardée de maigre repas d’hier, et se leva. Le soleil, lui ne l’était pas encore. Tout du moins, pas entièrement.

Elle marcha un peu, pour oublier sa faim, et pour passer le temps. Selon ces calcul, si Aurel y mettait du sien, elle ne devait pas tarder. Mais ne sait on jamais…avec les homme. Ca la rendait malade de devoir faire appelle a quelqu’un, ne de pas pouvoir se débrouiller seule… Mais en même temps, elle ne pouvait pas risquer sa peau, ils deviendrais quoi ces petits auror hein ? un craquement, de branche pensa t’elle, la sortit de ses rêverie. Une ombre semblait vouloir sortir de la foret. Etait ce lui ? ou encore une abominable créature ?... Elle pointa sa baguette, au cas ou. Juste au cas ou.

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[J'espère q'il te plaira ^^ ]

Aujourd’hui, les cours étaient réellement terminés. Les examens venaient de tous être corrigés. Aurel y avait passé sa matinée pour pouvoir rendre tout ce tas de paperasse vers midi. Des bonnes notes comme de mauvaises notes avaient été disturbées. Certains élèves n’avaient bien entendus pas étudiés car ils répondaient des choses farfelues qui ne seraient jamais passé par la tête du jeune homme.
Arrivé dans la salle des professeurs il put rapidement se rendre compte que la pièce était vide. Il n’y avait que deux ou trois torches allumées pour éclairer les lieux. Ca sentait la fin de l’année dû au faite qu’il faisait extrêmement clame. En s’avançant dans la pièce, il chercha du regard la table citée par la directrice. Cette table était justement éclairée par une torche. Devant la table il se rendit rapidement compte qu’il ne manquait plus que les copies de son cours.

La seule chose que le jeune homme attendait était de pouvoir rentrer chez lui en Italie. Une grosse année qu’il n’y était plus retourné dû au fait qu’il travaillait à Poudlard. Sa valise n’était toujours pas prête ou du moins elle n’était prête qu’à moitié.
Dans les couloirs de l’école, Aurel croisait des groupes d’élèves tous aussi heureux les uns les autres que les cours sont maintenant terminés pour deux mois. Le jeune professeur aussi était heureux de pouvoir souffler quelques temps. Il y avait tout de même des avantages dans le métier de professeur : ils ont autant de vacances que les élèves. En même temps qu’il remontait les escaliers de l’école, il réfléchissait déjà à ce qu’il allait faire en étant dans sa chambre. Ca c’était vite élucidé : faire sa valise pour ensuite se coucher. Aurel n’avait pas dormi de la nuit et il n’avait pu faire la grâce matinée pour finir de corriger les examens.

Arrivé dans sa chambre, il verrouilla la porte derrière lui. Il ne voulait pas être dérangé dans son élan. Reposant sa veste de costard sur le porte manteau, il adressa un large sourire à sa chambre qui n’était pas réellement une chambre vu le bordel qui y traînait. Il aurait bien voulu retrousser ses manches mais vu qu’il avait un t-shirt cela aurait été assez dur.
Il allait d’abord s’attaquer par trier les vêtements sales avec les propres. Après il viderait son armoire pour ensuite remplir sa valise. Il garderait à part les vêtements qu’il porterait ce soir pour quitter l’école. Oui Aurel avait décidé de quitter l’école avant le repas de fin d’année. Il avait d’ailleurs prévenu la directrice de son absence.
Après avoir effectué les douze travaux d’Hercule, Aurel attrapa sa guitare. Celle-ci était posée contre son armoire. Après avoir réglé correctement sa guitare acoustique, il sortit le médiator qui reposait dans sa poche gauche. Il cherchait toujours la mélodie qui conviendrait à une chanson. Une chanson qu’il avait nommée « La plante sauvage ». Cette chanson racontait l’histoire d’un couple. C’était une histoire d’amour très très foireuse.

Après maintes et maintes essais de recherche il trouva enfin un début de mélodie. Peut-être qu’en rentrant chez lui il trouverait la suite. Il espérait car cette chanson ferait partie de son tout premier album. Aurel avait décidé d’arrêter sa carrière de professeur l’an prochain. Il n’enseignera plus que durant un an pour ensuite essayer de se lancer dans le monde de la musique. Actuellement la musique n’était qu’une passion pour le jeune homme mais il aurait aimé en faire son métier.

La guitare déposée sur la table, il pouvait enfin aller se reposer. Avant de fermer ses lourdes paupières qui ressemblaient à des parachutes, il jeta un regard à sa montre. Celle-ci indiquait 16h06. Il avait donc mis temps de temps pour faire sa valise et composer deux ou trois petits morceaux.
Ses paupières devinrent lourdes, il sentit ensuite une chaleur envahirent son corps… Ca y est il dormait. Il avait été envoyé dans un autre monde, celui de la rêverie et des choses imaginaires (XD). Pour le moment Aurel ne rêvait de rien jusqu’au moment où tout se matérialisa. Lui était au milieu d’une clairière, sa baguette à la main. Il voyait une maison… une vieille demeure qui avait d’ailleurs l‘aire abandonnée. Puis d’un coup des créatures surgissaient pour s’attaquer à Aurel. Une chimère… oui dans le tas il y avait une chimère. Il essaya plusieurs sortilèges qui ne firent aucun effet sur elle. Et d’un coup elle bondissait sur lui en avançant d’un coup sec sa tête vers le visage d’Aurel.

Au même moment Aurel refaisait surface. Il était dans son lit, il avait pris appui sur ses coudes. Il était 18h49…Il comprit rapidement qu’il avait été réveillé par un bruit sec. Il ne voyait rien car sa chambre était plongée dans le noir. Attrapant sa baguette qui était posée sur sa table de nuit il prononça la formule « Lumos ». Une fine et douce lumière s’alluma au bout de la baguette du jeune homme. La pièce était à présent éclairée. Après avoir balayé la pièce du regard il ne repéra aucune anomalie. Pourtant le bruit était toujours présent. Mes à présent qu’il avait les esprits légèrement plus clairs il se rendit vite compte que cela venait de sa fenêtre. S’y avançant il remarqua rapidement une ombre qui virevoltait. S’approchant de sa fenêtre il distingua un petit hibou. Tout en ouvrant la vitre il regarda la hibou pénétrer dans la pièce. Il semblait épuisé de ce long périple. Se dirigeant vers la chaise sur laquelle le hibou s’était posé, il remarqua rapidement une lettre accrochée à sa patte. Le premier réflexe d’Aurel était de voir qui en était l’expéditeur. Et celle-ci venait de la directrice des aurors. Miss Na Sanca. Ce qui avait toujours frappé Aurel avec cette jeune femme était le faite qu’elle porte presque le même nom de famille que lui mais ce n’est qu’un détail.
Il lut la lettre d’une voix légèrement aigue mais à la fois légèrement rauque :

- Cher Monsieur Sanca Haroche,
Je suis en cette instant a coté d’un petit village nommé St Abb's Head Berwick, dans le parc d’une vielle maison des alentours, pour des raisons que je ne peut écrire dans une lettre. Mon but est d’explorer cette maison, mais, et c’est la que je souhaiterai solliciter vos services, de nombreuse créature dont je n’ai pas pu identifier les espèces s’y trouve, et vous êtes la personne la plus renseigné sur ce sujet que je connaisse. Si vous pouviez venir le plus rapidement possible, j’en serai ravit. Le ministère seras bien sur au courant de cette intervention et déversera une modeste somme dans votre coffre si vous accepter.
Veuillez accepter, monsieur, mes sincères salutations, en espérant vous voir dès demain.

Dès demain. Donc cela laissait du temps à Aurel pour se reposer au maximum. Elle avait donc besoin de lui pour avoir des informations sur des créatures magiques. Après tout, à quoi aurait servi le jeune homme si ce n’est que pour cela ? Rallumant rapidement deux bougies pour éclairer sa pièce, il donna un biscuit pour volatile au petit hibou qui était en réalité une chouette. La chouette semblait s’endormir sur la chaise. Il n’aurait qu’à la ramener le lendemain matin à la jeune femme.
Fermant la fenêtre de sa chambre, il rangea dans son sac un petit livre reprenant les créatures magiques. Etonnant qu’il en ait un sur lui mais on ne peut jamais prévoir une panne de mémoire (lool). Il glissa à côté une bouteille d’eau et un sandwich qui devait normalement servir pour son départ de Poudlard.

La nuit sembla longue pour le jeune professeur qui tournait dans sa tête les événements qui pourraient se produire le lendemain. Il tournait de gauche à droite dans son lit. De plus il avait chaud. Il prit sa baguette qui était posée à côté de lui. Murmurant un sortilège, la fenêtre s’entre ouvrit pour laisser pénétrer une légère brise qui soulagea Aurel… A présent il pourrait s’endormir.
A son réveil, il ne lui fallut qu’enfiler ses vêtements. Un pantalon de training, un t-shirt gris sur lequel était inscrit des lettres rosâtres. Et par-dessus il enfila sa veste en cuir. Après avoir laissé monter la chouette sur son épaule et avoir déposé son sac sur l’autre il pouvait enfin sortir de sa chambre. Sa valise et sa guitare quant à elles allaient attendre le soir même pour quitter les lieux.
La seule chose qui déplaisait à Aurel était le fait qu’il allait devoir transplaner. C’était l’une des choses qu’il détestait le plus. C’était surtout la sensation… Maintenant il ne lui restait plus qu’à traverser l’école encore endormie. Il traversa le parc d’un pas rapide. Le soleil n’était pas encore de la partie mais il commençait à se lever. Aujourd’hui, Aurel avait donc été plus matinale que ce magnifique astre.
Alors qu’il avait passé les grilles de l’école il s’avança vers un arbre. Il allait transplaner de là. A présent qu’il était concentré il se représenta le petit village qu’il avait déjà visité. Il ferma les yeux et le transplanage débuta. La chouette sur son épaule et le sac à dos sur l’autre…. Puis d’un coup il rouvrit les yeux et tout autours de lui était devenus noirs. Il était comme dans un trou noir. Durant le moment de transplanage il ressentit une forte pression s’exercer sur son corps ; il avait du mal à respirer, c’était comme si des cercles d’acier lui comprimaient sa poitrine, ses yeux s’enfonçaient dans ses orbites et ses tympans semblaient s’étirer de plus en plus profondément à l’intérieur de son crâne. Puis tout à coup…Il respirait à nouveau normalement.

Il avait transplané à la lisière de la forêt du village. Là au moins les moldus ne le verraient pas. A présent il se remit la lettre de la jeune femme en tête… Une vieille maison… Hum il lui semblait avoir entendu des rumeurs sur une vieille baraque située non loin de là.
Il fallut au jeune marché durant dix voir peut-être quinze minutes. Ensuite il aperçut enfin la si terrible maison. A son grand étonnement c’était la même que dans son rêve… Etrange, très étrange. En s’avançant encore il aperçut l’ombre d’une personne. Ca ne pouvait être que Lunaëlle. Seulement en étant qu’à quelques pas d’elle il fit craquer une branche. La jeune femme pointa sa baguette ou du moins c’est ce que le jeune homme put apercevoir. D’une voix rauque et légèrement aigue il dit à haute voix :

- Si j’étais vous je ne ferais pas cela. Je ne vous serais plus d’aucune utilité après cela.

Sortant de l’ombre, il sentit que la chouette s’envola vers la jeune femme. Tout en s’avançant il reprit la parole :

- Alors ? Que devons nous faire ici ?

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Lunaëlle rabaissa aussitôt sa baguette. C’était bien lui, sa voix n’était pas bien dure a reconnaître, elle n’aurait différenciée entre mille, et l’ayant entendu que très peu. Belle voix soit dit en passant… [ Edit Khal' :Eho, on se calme, il est à MOI ! Twisted Evil

][ EDIT mua : Mais c'est comme la voix de Raphael unsure

] Elle rangea son « bout de bois magique » (pas de répétition xDDD) dans sa poche, et sortit par la même occasion, un sourire. Mais celui ci apparut sur ces lèvres, et non de sa poche. Tout de même… Il s’avança. Elle le regarda. Il, avait mi un vêtement bien plus apparent que le sien (elle avait toujours sa grande cape noire et sa capuche ), mais se n’était pas bien grave, vu que de toute façon, il n’y avait a présent plus personne a l’horizon.

Elle était contente qu’il soit la… Elle n’avait pas eu peur au point de se jeter dans ses bras, mais tout de même. C’était mieux que d’être seule a la merci des monstres… Elle se tourna dans la maison, qui semblait rugir toutes seules, dans elle était remplie de créatures… Puis elle regarda de nouveau l’homme qu’elle n’avait pas vu depuis bien longtemps. Il n’avait pas beaucoup changé depuis la dernière… Elle prit la parole.

« Humm… tout d’abords bonjour et merci d’être venu si vite… Si je suis ici c’est pour euh… Chercher quelque chose qui ce trouve au cœur de cette maison. Je vous dirait peut être tout en temps voulu, maintenant allons y s’il vous voulez bien… »

Elle lui adressa un sourire, rangea vite faire ces affaires dans son sac avec de mettre celui ci sur son dos et avança. Ils partirent d’un pas sure vers la vielle demeure, et arrivèrent vite devant la porte qui grinçait péniblement. Lunaëlle hésita quelque peu, sentant encore cette créature gluante accrochée a elle. Le jeune homme lui, se posait moins de questions. Normal, il ne savait pas… Mais cette chose froide…Brrrr… Ca lui donnait des frissons, elle avait eu l’impression qu’elle allait lui manger la cheville, puis le reste avec. Désagréable sensation. Mais bon, il faillait y retourner de toutes façon alors ^^

Elle fit quelque pas. Rien en vu… malgré cela, tout son corps frissonnait, mais elle n’en dit rien, évidement. Soudain, sortant d’une armoire ou un truc comme ça, une sorte d’ombre, ou de fantôme fin comme un piquet apparut devant eux, et commença a s’enrouler autour de la jambe de la jeune femme qui n’osait même plus bouger, même plus parler tant elle était pétrifiée, dégoûtée… Le jeune homme lui, ne semblait rien voir… Il regardait avec une très grand attention un petit objet circulaire. (deso de faire jouer ton perso…) Elle glissa lentement sa main tremblante dans sa poche, et lança en sort inprononcer, vu qu’elle n’arrivait plus a dire un mot :

¤ Stupéfix ! ¤

Rien… Hum… Elle tenta malgré la peur de chercher quelque chose, mais vous savez, dans ses cas la, il est dur de réfléchir. Surtout que la chose montait de plus en plus… Elle essaya de l’oublier… Plusieurs sorts lui revirent a l’esprit.

¤ ARATA ERPENTE !… CONFUNDO !.... DESTRUCTUM !…. EGO UCCUDIO MORTALIS ! ¤

Tous le sorts les plus puissant de destruction ou autre qui lui était venue a l’esprit… Mais aucun ne fut efficace. Surtout qu’il devenait de plus en plus difficile de les lancer, sans ce les lancer a elle même, vue que la créature était déjà au niveau de sa poitrine. Elle chercha de nouveaux sort… mais elle n’eut le temps. La bête s’empara de son cou et elle n’arrivait plus a penser a rien. Elle avait de plus en plus de mal a respirer…

« Rel…Rel… »

Réussit elle juste a prononcer, d’une voix étouffée, avant que la chose ne s’empare de sa bouche, puis de son nez. Elle cessa de respirer… Elle ferma les yeux, comme pour mieux tenir, a demi consciente. Mais elle l’était. Elle gardait son sang froid, et ne voulait pas céder a la panique, ce qui aurait pour effet de lui faire utiliser le peu d’air qui lui rester…Ca lui rappelait quelque chose… Elle s’en souvint. Mais tout d’abords, je vais vous dire un truc… si Lunaëlle paniquait temps a cause de cette créature, c’était tout simplement car elle était claustrophobe… et qu’elle avait une phobie énorme de se sentir retenue, prisonnière, tout ça, depuis un événement de son enfance…

~# Flash Back #~

Lunaëlle était a l’époque une petite fille tout juste âgée de cinq ans. Elle aimait le rose, et les rubans, comme toutes les petite fille de son age. Elle n’avait même pas encore découvert la magie pour tout vous dire, vu que ces parents étaient des moldus. Mais même si c’était de loin sa couleurs préférée, sa vie elle, n’était pas toujours de cette belle couleurs rose. Et se jour ci, avait du être l’un des plus noirs.

Elle venait de rentrer de l’école, main dans la main avec sa maman, le sourire au lèvres. Toutes les deux, elles avaient goûtées d’un bon gâteau au chocolat qu’elles avaient fait ensemble la veille, tout aller bien, jusqu'à se que l’on frappe a la porte, deux heure plus tard. Son père… Ivre a en mourir. Il entra d’un pas chancelant, poussant sa mère au passage, qui ordonna a la petite puce de monter dans sa chambre… ce qu’il ne fit bien sur pas. Les deux adulte se rendirent a la cuisine. Le ton des voix monta de plus en plus, des coups se faisant entendre. Les yeux de la petite fille se remplirent de larmes, elle ne voulait pas cela…

De son petit pas encore un peu maladroit, elle rejoignit la cuisine, sa mère était allongée par terre, elle saignait, et lança a Lunaëlle un regard effrayant, comme pour lui dire de partir. Mais il était déjà trop tard…. Son père, les yeux comme ceux d’un fou, la saisit par le col, la balança contre le mur, en lui lança de grosse injure auxquelles elle ne comprenait pas le sens. Elle se mit a pleurer, a crier, sous les regards suppliant de sa mère. Puis il la prit, lui attacha un corde au cou, pas tellement serrée, mais assez pour qu’elle arrête de crier, et l’enferma dans un sombre placard.

Elle y passa la nuit, tremblant de tous ses membres, la respiration saccadée. Ce n’est que le lendemain matin que sa mère, dans un état a faire peur, vint lui ouvrir la porte en pleurant. Elle se jeta dans ces bras… elles sanglotèrent ainsi de longue minute… La petite fille ne pu jamais l’oublier.

~# Fin du Flash Back ( et fin du Rp xD) #~

[ et vala ^^ un peu moins long quand meme xD ]

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Adressant un regard à la jeune femme qu’il n’avait plus vue depuis quelques années, le jeune homme se gratta le menton. Une chose frappait Aurel : les vêtements qu’elle avait mis avaient dû frapper les moldus du village… Pour les sans pouvoirs, les capes noires à capuches sont souvent comparée à des vêtements de sorciers. Encore faut il que les moldus aient un esprit vif et rapide.
Lunaëlle prit rapidement la parole. Elle semblait parler assez mystérieusement comme pour ne rien dévoiler à Aurel. Il se posait deux, trois questions. A vrai dire le jeune homme ne servirait qu’à identifier des
créatures magiques.

La demeure était sortie tout droit d’un compte pour effrayer les enfants. Extérieurement elle ne faisait pressentir rien de bon. Un toit complètement délabré, à première vue il devait peut-être manquer une bonne vingtaine de tuiles. Une fenêtre sur deux était close… Cet immeuble ne présumait pour finir rien de bon…
Arrivé à hauteur de l’entrée la maison semblait encore plus effrayante. De plus la porte grinçait de quoi glacer le sang. L’intérieur quant à lui était d’autant plus effrayant. Un plancher en bois qui couine dès que l’on pose son pied. Une odeur fétide et de renfermé régnait dans l’atmosphère. Des toiles d’araignées pendaient des plafonds. En levant la tête, le jeune homme remarqua qu’il y avait un trou qui communiquait avec une des pièces de l’étage. Rapidement, le jeune homme tourna le dos à la jeune femme. Un objet l’attirait. Un petit objet circulaire, posé sur une étagère captivait son attention. En faisant attention, Aurel distinguait des créatures magiques. C’était des êtres de l’eau. Ceux-ci jouaient à un jeu bien connu des sirènes. Un genre de volley bal version sous marine. Passant ensuite son regard sur les autres objets il put admirer un ancien livre des animaux fantastiques écrit et rédigé par Norbert Dragonneau plus connu sous le nom de Newt Scamander. Il le prit d’ailleurs en main propre mais celui-ci tomba en poussière. La maison devait être extrêmement vieille pour que les objets tombent en ruines. Il se promit de ne plus toucher à rien. Mais la curiosité est un vilain défaut. Le propriétaire de ce manoir devait être passionné par les animaux magiques. Sur une petite table était déposée un ancien journal nommé : Ménagerie magique. Aurel disposait d’un exemplaire datant de 1903. Cette revue ne paraissait plus depuis 1918. La maison semblait donc extrêmement vieille et pouvait s’effondrer au moindre moment.

Il entendit quelqu’un prononcer son prénom ou du moins l’un de ses surnoms. Se retournant brusquement, il vit la jeune directrice des aurors se faire avaler par une créature noire. Celle-ci ressemblait à une cape. Le jeune professeur ne distinguait à présent plus qu’une partie du visage de Lunaëlle. Il essayait de réfléchir à la créature. Il n’arrivait pas à mettre la main dessus. Sortant sa baguette de sa poche il la pointa sur la bestiole.

- Stupéfix !

Le sort projeté par la baguette d’Aurel fonça sur l’animal mais fut de suite absorbé par celle-ci. Le sortilège n’avait donc fait aucun effet. Il essayait de se rappeler les créatures qui ne craignaient pas les sortilèges. La Chimère et la Manticore était déjà mettre de côté. Bien qu’ils résistent à la plus part des sortilèges ceux-ci n’avaient pas cette apparence là. Décidemment Aurel bloquait. Il devait faire au plus vite… Soudain il eut un flash. Lethifold mais oui pourquoi n’y avait-il pas pensé plus tôt ? Cette créature était un Lethifold. Il essayait de rassembler ses souvenirs sur l’animal. Il savait qu’habituellement elle vivait dans les climats tropicaux et attaque la plus grande partie du temps des gens endormis. Celle-ci semblait affamer que pour attaquer au levé du soleil. Le propriétaire de la battisse devait posséder des créatures magiques. Le Lethifold ne vit pas n’importe où et celui-ci devait appartenir à l’habitant des lieux.
Le jeune homme se souvint d’un coup que le témoignage le plus récent datait de 1782. Il avait été déposé par Flavius Belby qui est d’ailleurs l’un des seuls survivants de cette créature. Il dû affronter l’animal durant des vacances en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Pour survivre à l’attaque l’homme avait utilisé un sortilège dont il était un spécialiste. Le Patronus est le seul sort capable de repousser le Lethifold. Pointant a nouveau sa baguette sur la bestiole il se concentra pour la formule. Cela faisait pas mal d’année qu’il n’avait plus utilisé le sortilège.

- Spero Patronum !

Sa baguette n’émit qu’un petit jet de fumée qui n’atteignit même pas l’animal. Il devrait se dépêcher où tout était fini pour Lunaëlle. Il lui fallait recommencer l’opération. Après l’avoir fait, un allo de lumière jailli de son morceau de bois magique. Ensuite un animal lumineux se forma. C’était un hippogriffe qui reflétait la passion d’Aurel. L’animal fonça sur le Lethifold qui relâcha de suite sa proie. Le chasseur vola à travers la pièce et ondula prestement hors de la vue d’Aurel.
S’approchant de la jeune femme, Aurel l’aida à se remettre de ses émotions. Dès ce moment là il l’aida à se relever pour lui expliquer quelle était cette créature.

- Vous vous êtes faites attaquer par un Lethifold. En général il n’attaque pas le matin et encore moins une personne éveillée. J’espère que vous aller bien car je ne sais pas par où nous devons aller. Je préfère vous suivre.

Le jeune homme replaça correctement son sac à dos qui glissait. Ensuite il remit sa baguette en poche de façon à ne pas la perdre. Si il la perdait ce serait la catastrophe surtout dans cette maison hantée par des créatures toutes aussi dangereuses les unes que les autres… Cette mission ne faisait que commencer…

Invité

De l’air… Lunaëlle sentit d’un coup une grande quantité d’air rentrer dans ses poumons. Libération ! Elle se sentit revivre. Elle inspiras deux ou trois fois de longue et grande bouchée de cet oxygène vitale, et se remit lentement de ses émotions. Elle essuya ses yeux encore humides de ce souvenir ancien, et se redressa doucement. Elle adressa un sourire incertain au jeune homme, car il faut qui qu’elle était un peu embarrassée de s’être fait avoir ainsi, elle entreprit de se justifiée.

« Merci beaucoup… Il faut dire que j’ai la phobie d’être attachée, enfermée, depuis mon jeune age…alors.. Je pers un peu mes moyens. »

Elle se tut, et détourna la tête. Elle avait intérêt à ne pas se faire avoir une deuxième fois maintenant.. Elle était tout de même sensée être une experte en défense… Mais bon, elle n’était pas une directrice parfaite de toute façon, elle le savait bien, elle était jeune, elle était gamine… et elle l’assumait ! En tout cas, je faite de voir Aurel se débarrasser dut monstre l’avait un peu rassuré, cela voulait dire qu’il s’y connaissait, car elle, elle n’aurait pas eu l’idée d’utiliser un patronus… elle avait du l’apprendre pourtant, mais a l’usure, on en oubli des choses… mais c’était les dernières paroles du jeune homme qui avaient attirés sont attention..

¤ En général il n’attaque pas le matin et encore moins une personne éveillée.¤

Ce qui voulait dire qu’il n’était pas la de son plein grés. Qu’il était fait pour attaquer… et que donc, cette maison était pleine de monstre, et sûrement de pièges fait pour la protéger… Pas étonnant que cette maison soit dite « hanté » après tout… elle l’était réellement d’un certaine façon ! Mais malgré cela, il leur fallait continuer, elle devait trouver cette objet… Bien qu’elle ne sache même pas a quoi il ressemblait… Et comme cette maison été truffée de bibelot, les chances étaient encore plus maigre. Cependant,t elle connaissait assez bien monsieur Shakespeare, pour savoir que se qu’elle cherchait ne serait pas quelque chose de très banale. Peut être un fameux livre, ou une plume… vu sa passion pour l’écriture.

Mais assez penser, il fallait agir a présent. Selon ces réflexions, il leur fallait monter a l’étage, mais quand elle aperçut l’escalier… Il était délabré, totalement délabré, et la jeune femme avait l’impression qu’aux moindre pied dessus, il pouvait s’écroulé… et puis il faut dire que les grognement que l’on entendait venant d’en haut n’amélioré pas les choses. Ils ne pouvaient pas passer par la, c’était évident, ils leur valaient trouver un autre endroit…

« Il faudrait monter en haut… Mais les escaliers sont impraticables. Il faudrait un autre endroit… »

Elle avait dit sa a l’adresse de Aurel, aussi bien que pour elle même, en parcourant le hall du regard… Puis elle laissa le jeune homme la ou il était et se rendit dans le salon. Celui ci était on aussi salle que l’entrée… Mais les meubles étaient encore tous la. Deux vieux canapés, une vielle table, une cheminé poussiéreuse, de nombreux parchemin… Elle en saisit très délicatement un entre ces fines mains, et le déroula avec une extrême prudence. Ils semblait rester entier. Elle le regarda. Jusqu'à quelques dessin, croquis, lettre inconnus… peut être des codes, des indices… Elle en déroula plusieurs comme ça, tous étaient différent, mais parti de la même idée : un plan. Elle les ré enroula, et les glissa dans son sac, on ne sait jamais.

Il y avait aussi beaucoup de livres, a l’émerveillement de la jeune fille. Mais lorsqu’elle voulu prendre « Défense auto personnel de Yann Styvent », un ouvrage de défense contre les force du mal qu’elle ne connaissait pas, ce qui n’était pas peu dire puisqu’elle avait lu tous ceux qu’elle avait ou trouver, celui ci parti en poussière entre ses mains. Elle du donc se contenter de ne faire que lire les titres… Mais dans sa tête, cela voulait dire quelque chose de clair. Si les parchemin, eux étaient encore en états, cela voulait dire qu’ils n’avaient pas été fait il y avait si longtemps… du moins, il y a moins longtemps que les livres… et donc, par la personne qui était venu cacher l’objet, Nathan Shakespeare…

Elle retourna vers son compagnon, en espérant qu’il avait plus trouvé un chemin qu’elle. Car ce salon était bien beau, enfin façon de parler, mais elle n’avait rien trouver pour monter, a moins de prendre la cheminée ce qui, pour Lunaëlle, semblait inconcevable puisqu’il fallait se hisser dans un endroit terriblement étroit… Elle les regarda, et d’un de sa voix plutôt sèche, malgré l’amitié qu’elle avait pour le jeune homme. Ils étaient en mission…

« Tu as trouvé un passage toi ? »

[ desolé c’est plus court =S ]

Invité

[Bah là aussi j'ai pas fait le plus beau de mes RP ^^ La suite ira mieux, faut juste que tout soit parfaitement lancé]

Lunaëlle était donc claustrophobe. Etonnant venant d’une auror. Jamais Aurel n’aurait pensé à cela mais chaque personne à ses propres peurs et phobies. Comme quoi même le plus courageux peuvent être peureux face à quelque chose qui peut leur paraître effrayant…
La directrice des aurors ne tarda pas à lui dire qu’il fallait qu’ils montent en haut. Tournant son regard en direction de l’escalier, Aurel remarqua qu’il n’y avait justement plus d’escalier. La jeune femme le lui fit d’ailleurs remarquer. Il y avait plusieurs solutions mais la plus évidente restait de réparer l’escalier à l’aide d’un simple sortilège. Le sort du Reparo paraît peut-être très simple mais il peut être très efficace.

Lunaëlle étant partie en direction d’une autre pièce, Aurel ressortit sa baguette de sa poche droite. Il allait tout de même essayer de réparer cette cage d’escalier. Après tout qui ne tente rien n’a rien. Son bout de bois magique pointé sur les restes de l’escalier il prononça dans sa tête :

*Reparo*

Une lumière violette jaillit de sa baguette. Celle-ci se dirigea vers les restes de la cage. Malheureusement, Aurel ne s’attendait pas à ce qui allait se dérouler ensuite. Le sortilège rebondit sur les vestiges pour aller faire un trou dans le mur voisin. Un sortilège avait donc été jeté pour empêcher de le reconstruire. Un grand secret devait se cacher là haut et Aurel était impatient de le découvrir…
Ne s’attardant plus dans le hall, Aurel se dirigea vers le couloir de gauche. Il semblait mener aux cuisines. Elles étaient toutes aussi poussiéreuses que le hall d’entrée. Les taques quant à elles étaient brûlées. C’était une installation aux gaz. Le jeune homme continua son avancée dans la pièce. Il ne semblait pas y avoir de créatures ou du moins à première vue. Par contre il entendait des sortes de petits cris. Tous étaient répétitifs. Cela semblait venir d’une porte située au fond de la cuisine. Sa baguette entre les mains, Aurel décida d’aller y jeter un œil. Les bruits étaient légèrement plus forts au plus on s’approchait. La porte était entre ouverte… Poussant la porte de la main il fut surpris de voir un couteau voler dans les airs. Il l’évita de justesse mais il s’en était fallu de peu. Se reculant, il put voir une Goule. La Goule est très laide et ressemble principalement à un petit ogre. Elle ne faisait pas plus de un mètre de hauteur. Mais celle-ci s’avérait dangereuse. Elle lançait toute sorte d’objets sur Aurel qui les évitaient avec justesse. Pointant sa baguette sur la créature il dit :

- Stupéfix !

Le rayon de lumière rouge frappa la Goule de plein fouet. Celle-ci pétrifiée Aurel ne serrait plus embêté. Elle avait d’ailleurs adopté une drôle de position : elle faisait un pied de nez au jeune homme. Elle se croyait peut-être menaçante.
Que pouvait-il bien y avoir derrière cette porte ? Tel était actuellement la question que se posait le jeune professeur. En pénétrant dans la petite pièce il ne pouvait rien n’apercevoir. Il faisait noir et Aurel dut allumer le bout de sa baguette grâce au sort « Lumos ». La petite pièce éclairée, tout semblait plus net. La Goule semblait avoir semé la zizanie sur son passage. Levant la tête vers le plafond il vit une petite corde pendouillée. La curiosité d’Aurel l’obligea à tirer dessus. Une échelle venait de tomber du trou ainsi qu’un amas de poussière qui s’abattit sur Aurel. Le jeune homme tenta tant bien que mal à retirer la poussière.
Apparemment ça devait être une sorte de sortie de secours qui reliait l’étage avec le ré de chaussée. Rebroussant chemin il retourna de là où il était venu. Arrivé dans le hall il n’attendit la jeune femme que durant dix secondes. Tout en regardant le jeune homme elle le questionna pour savoir si il avait trouvé un passage. Bien sûr il en a trouvé un…

- J’en ai trouvé oui… J’ai même eu quelques problèmes avec une Goule. Si tu voulais prendre la peine de me suivre.

Repassant par le même chemin que la première fois, Aurel remarqua que la Goule avant disparu. Il pensa tout haut et sans el vouloir :

- Mais elle a disparu… elle était là il y a encore une minute je l’avais pétrifiée… Cette maison me fout la chaire de poule.

Pour être hantée, la demeure était hantée. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit disparaître une chose au bout d’une minute. Mais comment cela a-t-il pu se produire ? Une énigme qui ne sera peut-être pas résolue sauf si Lunaëlle en a la réponse…
Arrivé dans la petite pièce il montra l’échelle à la jeune femme. Il grimpa avec prudence en espérant qu’aucun échelon ne lâche sous le poids du jeune homme. Mais sa crainte se réalisa. L’un des échelons céda. Aurel se rattrapa avec justesse à l’un des barreaux. Arrivé en haut il tendit sa main à la directrice des aurors pour l’aider à grimper.
A l’étage il faisait encore plus sombre qu’au dessous. Du moins dans le couloir tout était plongé dans l’obscurité. Aurel éclaira les lieux grâce à sa baguette… Certains murs étaient percés de trous tandis que d’autres étaient encore en parfaits états. Au pied des murs délabrés se trouvaient des cadres fracassés… Visiblement les murs intacts n’avaient pas supporté de tableaux…

Invité

Ainsi il avait trouvé un chemin…Chouette. Ils pouvaient ainsi continuer… Elle le suivit jusqu'à la cuisine, bien qu’étonnée qu’il puisse y trouver un escaliers, mais quand elle le vu s’enfoncer dans une pièce du fond, et qu’elle aperçut l’échelle, elle comprit. Bien joué… Il avait vraiment assuré sur ce coup la. Décidément, comparé a elle… Elle n’avait pas servie a grand chose pour l’instant, elle avait juste trouvée quelques mystérieux parchemins…

« Super… Bravo !^^ »

Dit elle, tout en le regardant monter, non sûrement, a cette échelle sûrement la depuis des années… Elle eut un léger sursaut, mais aucun étonnement, lorsqu’un barreau cassa sous le poids du jeune homme. Pas qu’il soit lourd, mais vu l’état de ce bois pourri… Lunaëlle monta a son tour prudemment, et s’aida même de la main d’Aurel pour rejoindre le haut. Une fois qu’elle eut réussit, elle joignit un lumos a celui de son compagnon. Ca seule crainte étant que le sol s’écroule sous leur pied…. Ce qui était probable vu qu’elle avait l’impression que son pied s’enfoncé d’un centimètre a chaque pas.

« Faisons attention ou nous mettons les pieds, je suis moyennement en confiance… »

Ils continuèrent d’avancer dans la poussière et les araignée. Heureusement qu’aucun d’eux n’avait la phobie de ces bêtes la… Ils auraient été bien embêté sinon… Dans cette pièce, il n’y avait pas grand chose. Très peu de meubles, des trous dans le plancher, mais aucun indice pour savoir quelle avait pu être son utilité. Ce qui contraria la jeune fille, vu qu’elle ne pouvait du coup pas trouver la réponse a sa question. Elle avait horreur de ça, elle aimait tout savoir, tout comprendre, tout connaître… Depuis qu’elle était arriver a Poudlard c’était ainsi. Ca devait sûrement venir dut fait que ses parents étaient moldu… elle voulait prouver aux autres que les sang pur n’étaient pas toujours les meilleurs et que n’importe qui pouvait avoir la chance de pratiquer la magie tout en étant un excellent élève.

Mais elle n’eut le temps de penser a autre chose car soudain, a la grande surprise des deux compagnons, c’est un gros craquement qui résonna dans toute la pièce… Le bruit se rapprochait de plus en plus… comme quelque chose qui se fendait… Tout a coup, elle réalisa. Le sol était en train de s’effondrer derrière eux… Elle se mit a courir vers la porte du fond en criant :

« Court ! »

Même si cela était un peu idiot vu que le jeune homme était déjà parti en courant, et se tenait a ses cotés. Jamais elle aurait eu l’impression quelque minute auparavant que la pièce était si longue… Elle avait l’impression qu’elle grandissait au fur et a mesure qu’ils avançaient. Plutôt gênant… ! Quand ils arrivèrent enfin sur un sol plus compact, ne crayant plus que celui ci s’écroule, ils reprirent lentement leur souffle. Surtout la jeune fille. Elle n’avait jamais était très bonne athlète…

Quand ils se redressèrent enfin, et entreprirent de jamais de salle, car de voir du vite juste derrière eux n’avait rien de relaxant, ils stoppèrent rapidement leur pas vif. Une créature gardait la porte… voilà pourquoi le sol était fixe ici… Lunaëlle déglutie. C’était une chimère, ça elle ne savait bien, très bien. Elle avait fait un immense exposée de dix page rien que sur cette créature étrange a la tête de lion, corps de chèvre, et queue de dragon.. Mais une voix de plus, ça présence était voulu… c’était un animal Grec, et de plus, très puissant. La seule chimère vaincue avait été tuer par un puissant sorcier, qui était d’ailleurs mort quelque heure après, d’épuisement. Lunaëlle n’avait pas du tout envie de finir comme lui, et encore moins dans le ventre de ce monstre assoiffé de sang… Elle jeta un regard a Aurel. Qu’allaient t- ils faire ? La battre bien sur… mais ils leur fallait un plan. Ce qui était déjà bien, c’est que tant qu’ils ne s’ approchaient pas de la porte, elle ressemblait a une statue. Mais il était évident qu’elle n’allait pas les laisser passer sans réagir.

« T’a pas un plan miracle ? »

Dans la tête de la jeune fille, les idées valsaient. Elle voulait trouver d’elle même cette fois ci… Elle ne devait pas toujours se reposer sur son compagnon, c’était ça mission en premier lieu… tout de même ! et si elle avait été seule ? La battre la battre… elle n’avait pas de point faible dans ses souvenirs, se qui ne facilité pas la tache… Mais… ce qu’ils voulaient, c’est pouvoir passer, pas forcement ce débarrasser d’elle… Elle eut une idée.

« Mobilicorpus ! »

Cria t’elle, la baguette pointée vers la créature immobile. Celle ci sembla comme se réveillée d’un long rêve… regarda entour d’elle, étonnée, et commença a s’énervée en apercevant qu’elle était a dix centimètre du sol. Mais essayez de soulever, même a l’aide de la magie, une chimère endormie… Alors en colère ! Elle essayait de l’amener vers elle, avec une grande difficulté… C’était trop lourd ! Elle n’allait pas réussir toute seule !

« Aide moi ! fait comme moi ! On va la mettre dans le trou ! »

Dit elle d’une voix forte et vif a l’adresse d’Aurel, qui avait, lui semblait elle, déjà entreprit cette idée merveilleuse qu’était de lui venir en aide… Mais il devait se dépêcher. Elle n’allait plus tenir très lontemps…

Invité

[J'espère que ça te plaira ^^ j'y ai ptete été un peu fort]

Aurel écoutait ce que la jeune femme disait mais ne répondait rien. Il préférait rester muet sur certains sujets. Il semblait par contre que Lunaëlle avait la même impression que lui. On s’enfonçait presque dans le sol. On aurait pu croire à des sables mouvants.

- Moi de même. Je suis aussi moyennement en confiance.

Après avoir bien avancé dans la pièce. En se retournant Aurel remarqua rapidement que le sol commençait tout doucement à s’effondrer. Accélérant le pas il entendit Lunaëlle de lui dire de courir, ce qu’il fit rapidement. Arrivé sur une surface plus résistante tout deux reprirent leur souffle.
Relevant la tête, le jeune homme aperçu l’animal de ses cauchemars. C’était une chimère. Animal à la tête de lion, corps et chèvre et disposant d’une queue de dragon. Si ses souvenirs étaient bons, la chimère était imbattable. Il n’y avait qu’une seule personne qui ait pu en tuer une bien que cet homme mourut en tombant de son cheval ailé et sa chute était due à l’épuisement. La chimère était aussi le produit difforme du monstre Échidna et de Typhon. Dans les légendes, on dit que c’est le roi de Carie qui en éleva une. Elle terrorisait tous les lieux d’alentour, vomissant des flammes et dévorant tous les êtres humains qui se trouvaient sur son chemin. Il fut sorti de sa pensée par la directrice des aurors. Elle lui demandait si il avait un plan… :

- Et bien si tu as des flèches en plomb dans ton sac n’hésite pas… mais sinon non aucun plan.

Mais à peine eut il fini sa phrase qu’une idée germa dans sa tête. Bien que la chimère n’avait pas de point faible rien ne les empêchait de jeter celle-ci dans le trou creusé par la pièce effondrée. Apparemment la jeune femme avait tout aussi pensé à la même chose. L’animal semblait lourd même très lourd. Aurel devrait l’aider et d’ailleurs Lunaëlle lui demanda de l’aide.

- Mobilicorpus !

Lança t il en visant la créature. La chimère sembla s’élever un peu plus en l’air. A deux elle était déjà lourde mais il fallait faire vite pour la déplacer. Tout en regardant Lunaëlle du coin de l’œil, Aurel suivit le mouvement jusqu’au moment au tout deux rompirent le sortilège. L’animal eut donc la chance de voler durant quelques secondes avant d’atterrir et de se fracasser sur le sol. S’approchant du trou il put la voir essayer de sauter pour remonter à l’étage. Elle faillit s’accrocher au rebord mais le bois lâcha sous le poids de la bête. Heureusement ou bien Lunaëlle et Aurel étaient tous les deux pris au piège. Pointant alors sa baguette sur une poutre cassée il murmura :

- Wingardium Leviosa !

La poutre se suréleva du tas de gravats pour ensuite suivre la direction que le jeune homme lui indiquait. Arrivé bien au dessus de la chimère Aurel lâcha le tout. La poutre tomba sur la tête de l’animal qui de suite tomba à terre sonné. Au moins celle-ci ne pourrait remonter en haut.
Se retournant ensuite vers Lunaëlle il lui adressa un sourire incertain. Il ne restait plus qu’à présent se rendre dans la pièce voisine.
Tout en avançant au côté de la jeune femme, il posa sa main sur la poignée. Bizarrement, la porte était ouverte. C’était trop simple ça… Mais dès que la porte fut ouverte tout deux furent comme aspiré par la porte qui se referma derrière eux. Les deux jeunes gens furent projetés dans un autre lieu complètement désert… L’herbe y était brune, brûlée par les rayons du soleil… La brume régnait ou du moins au niveau du sol. Le professeur de SACM et la directrice des aurors étaient tout deux au sol. En se relevant, le jeune homme aida Lunaëlle à se remettre sur pied. En étant debout, ils purent observer les lieux. C’était une ville en ruine, complètement désertique. Une ville fantôme… Tout deux avaient atterri sur la place centrale de ce village abandonné. Devant eux se trouvait l’hôtel de ville dont le clocher c’était effondré sur la maison voisine.

- Par où commençons nous ?

C’était la seule question qui venait à Aurel. A peine eut il fini sa phrase qu’il y eut comme un rugissement, un cri animal. Il était puissant et avait fait trembler les lieux. Le seul animal étant capable de pousser un cri si puissant était un dragon. Pourvu qu’il n’ait pas à affronter cet animal…
Cette vieille ville faisait penser à un village datant du Moyen Age. La plus grande partie des grands bâtiments étaient faits en pierre tandis que les plus petits bâtiments étaient en une sorte de bois. Certains avaient même pris feu. Et cela était récent… Ca ne pouvait être qu’un village de sorcier. Ce lieu faisait un peu penser à Pré-au-Lard ou du moins certaines parties…

Invité

C’est ainsi qu’a deux, ils réussirent a se débarrasser de la Chimère… Se ne fut bien sur pas facile, mais tout de même moins difficile que ce qu’avait imaginer la jeune fille au début. Mais en même temps, ils ne l’avaient pas tuée… Ils avaient donc intérêt a ce dépêcher. Plus le temps passait, plus la jeune femme pensait qu’elle avait bien fait d’appeler Aurel. Toue seule, elle ne serai pas allée bien loin, de plus, il connaissait beaucoup de chose sur toutes les créatures qu’ils rencontraient, et pour finir, elle n’était pas seule. Car il faut avouer que toute seule, elle serait déjà partie en courant, malgré son courage et sa fierté. Mais évidemment, elle ne lui dit pas tout cela…

A la grande surprise de Lunaëlle, qui ne s’attendait PAS DU TOUT a ça, la porte avait eu l’effet d’une sorte de portoloin. Lorsqu’ils étaient passés a travers, ils avaient étaient emportés, tourbillonnés, mélangés.. Avant d’être rejetés sur un sol d’herbes sèche et jaunâtre, enfouit sous la brume. Ils se relevèrent doucement, et contemplèrent avec stupeur le paysage qui se trouvait devant leur yeux. Un vieux village en ruine, comme si la guerre et le temps avaient décidés de tout détruire, maison après maison, jardin après jardin. Mais le plus étrange dans tout cela, ce qui n’est pas peu dire vu l’étrangeté de la situation, c’est que le village semblait habité. Ou tout du moins, pas désert, car des voix venaient d’un « bar » un peu plus loin. ( Entre guillemet, car si il n’y avait pas toujours une vielle pancarte affichée en haut, je peut vous jurer qu’il était impossible de le deviner. )

La jeune fille s’y avança sans faire attention si oui ou non, son compagnon la suivait, et passa la porte, bien qu’il y eu une grande ouverture sur le coté gauche. A l’intérieur, des gens chantaient dansait, jouait, sans faire attention au fait qu’il manquait un mur et une partie du toit. Comme si pour eux, c’était totalement normal. La première chose que fit Lunaëlle, fut de regarder s’ils étaient oui, ou non des sorciers, et la baguette magique d’un homme qui avait pointée celle ci sur elle, lui fit dire que oui.

« Ne t’inquiète pas, ne bouge pas. »

Bien qu’elle ne fut pas très rassurée et qu’elle eut pour but de s’enfuir, un petit éclair vert entra en elle, et la, tout changea. Les murs réapparurent, tous peint d’un blanc éclatant, le toit devint complet, toute la pièce était a présent neuve et moderne. Incroyable ! Il fallait avouer qu’elle était plutôt surprise. Mais en même temps, plutôt contente : elle allait peut être pouvoir leur poser des questions sur Nathan et donc peut être, savoir ou ils devaient aller.

« Oh… belles illusions, bravo… »

Puis elle s’avança vers le bar, suivit du jeune homme au sourire charmeur, avant de se rentre compte qu’il n'était autre que la barman lui meme. Tant mieux, il était sûrement plus renseigner que les autres. Il posa son coude sur le bar et la regarda d’un air intrigué.

« Qu’est ce qu’une demoiselle comme vous vient faire ici ? »

« Je suis a la recherche de quelqu’un, ou plutôt, de quelque chose, et je pense que vous allez pouvoir m’aider a le trouver… »

Sa voix était plutôt mystérieuse, voir un peu sombre. Ce n’était pas dans ses habitudes, mais justement, en tant que directrice des aurors, elle n’était pas méconnue de tous, et ne voulait absolument pas se faire reconnaître. Elle se pencha ver son oreille, et murmura avec un sourire…

« Que savez vous sur… Nathan Shakespeare. »

A ses mot, le jeune homme se figea, et dit d’une voix presque bredouillante.

« Je ne… je ne peut pas vous le dire mademoiselle.. »

« vous êtes sur ? »

Elle dit ces derniers mots avec un petit sourire charmeur, puis, d’un geste brusque, elle le plaqua contre le mur, et commença a l’embrasser langoureusement tout en passant sa main sur le haut de son torse après avoir défait les deux premiers boutons de sa chemise. Elle avait de la chance, il était plutôt mignon, elle aurait pu tomber sur un vieil alcoolique... Elle glissa sa main sur sa joue, et descendit lentement. Et en un geste adroit, tout en continuant son numéro de charme, elle saisit la baguette magique du jeune homme qui se trouvait dans sa poche droite. Elle continua a l’embrasser encore deux bonne minute, histoire de vérifier qu’il n’avait rien vu venir, puis, se reculant d’un coup, elle pointa sa baguette sur lui. Il jeta sa main dans sa poche droite.. son moment préféré ! Elle le regarda en éclatant d’un petit rire…

« C’est sa que tu cherche ? Joli spécimen…»

Dit elle en observant le bout de bois avec attention, puis elle la glissa dans son sac a dos. Un grand silence régnait dans la salle, personne n’osait faire le moindre bruit… Pourtant, Lunaëlle n’avait pas l’intention de faire du mal a la moindre mouche… Mais personne ne le savait ! Pour eux, elle pouvait aussi bien être un petit ange, q’un mangemort en fuite. Et bizarrement, ils étaient plutôt pour la deuxième solutions, allez savoir pourquoi…

« Maintenant tu va me dire ce que tu sait n’est ce pas ? Car je connaît beaucoup de sortilège, et même si je pense que tu meurt d’envi de les découvrir, le doute que tu veuille que ce soit sur toi, ou sur l’un de tes amis… »

Elle parlais presque en samusant, et lui tira meme gentillment la langue, attendant la réponse du jeune homme, encore en peu sous le choque, comme ce demandant si la personne du langoureux baiser, et celle a la baguette était bien la même, puis il se mit enfin a parler d’une petite voix, pour que seule Lunaëlle puisse l’entendre.

« Il… il est venu ici il n’y a pas longtemps. Il.. il nous a fait promettre de ne le dire a personne et, il est reparti par… Par le puit non plus du village. Personne ne sait comme il a fait ! Il a sauter, comme ça, et personne ne la revu ! »

Pendant qu’il parlait, la jeune fille rabaissa sa baguette, ce qui remit au monsieur un peu de son assurance. Drôle d’histoire… le prochain passage devait donc ce trouver dans le puis.. elle allait allée voir ça.

« Et bien...Merci ! Sachez que je suis dans son camps, sa vous permettra d’avoir la conscience tranquille. »

« merci a vous… Pour le baiser. »

Lunaëlle eut une légère hésitation, puis lui adressa un grand sourire.

« De rien, Il faut savoir se faire comprendre. »

Puis elle lui jeta sa baguette, tourna le dos, et sortie. Dehors, elle retrouva son compagnon de voyage. Qu’avait il fait pendant se temps ? Avait il regarder toute la scène ? Elle eut un léger rire. Elle s’était bien amusée en tout cas ! ça lui avait permit de se relaxer… elle était de bien meilleure humeur à présent ! mais bon, la mission était loin d’être finie…

* Bon et bien… cherchons le puit a présent ! youpi !*

Invité

Alors qu’il suivait Lunaëlle, il s’avança avec elle vers un pub. Du moins en y entrant l’ambiance lui fit penser à cela. Il y avait de la
musique et puis l’alcool était bu à de grandes gorgées une chose qu’Aurel n’aurait jamais su faire. Déjà au bout de deux verres il est à moitié saoul mais ici il ressortirait ivre mort bien qu’il s’y habituerait peut-être…
Il dût se stopper net car il faillit percuter Lunaëlle. Devant eux se tenait un homme brandissant sa baguette. Leur disant de ne pas s’inquiéter Aurel essaya de se détendre. Une lumière verte jaillit alors. Elle eut un effet étrange qui reconstitua les lieux. Les murs démolis reprirent leur place.
Sortant du bar et laissant la directrice des aurors où elle était, le jeune homme se dirigea vers la place centrale. Il n’avait fallu que quelques minutes pour que quelques personnes affluent. L’hôtel de ville quant à lui avait énormément changés grâce au sortilège. Il faisait penser à un château fort datant de l’époque du Moyen Âge. En fait, les lieux faisaient énormément penser à Pré-au-Lard. La seule différence était que les pierres étaient d’une couleur grise mais très foncée.

Tout en s’avançant sur la place, sac à dos à l’épaule, il remarqua que les regards étaient tournés vers lui. Dans les yeux des personnes se lisaient une certaine peur. De quoi ? Ca aurait ne pouvait le savoir et il n’allait pas tarder à le demander aux villageois mais le jeune homme fut interrompu dans son mouvement. Le rugissement strident qu’il avait entendu il y a quelques instants retentit à nouveau. En observant bien les habitants il comprit rapidement ce qui les terrorisaient. S’approchant d’une vieille femme il prononça :

- Excusez moi… Mais, est ce cela qui vous terrifie ?

La vieille femme lui jeta un regard craintif et s’en alla sans répondre au jeune professeur. Cette non réponse n’aidait pas réellement Aurel. Adressant un regard alentour, il remarqua rapidement un homme qui devait peut-être avoir trente cinq voir quarante an maximum. Celui-ci semblait moins apeuré par ce cri… ce rugissement. Peut-être allait-il pouvoir aider Aurel dans sa recherche. Il l’interpella de loin :

- Excusez moi Monsieur. Je voudrais vous poser une question.
- Je vous écoute jeune homme
- Que pourriez vous me dire sur ce rugissement qui semble terroriser la plus grande partie du village ?
- Curieux vous semblez être jeune homme. Ce que je puis vous dire c’est que cette créature est presque imbattable ou du moins si vous ne la connaissez. Mais de plus si vous avez un peu d’intelligence vous pourrez peut-être la battre…

Apparemment, cette personne semblait des plus sérieuses. Il y avait énormément de créatures presque imbattables. Mais celle qui marquait Aurel était peut-être un animal disposant d’écailles et qui est souvent de très grande taille. Il allait d’ailleurs l’étudier avec les sixièmes et septièmes années l’an prochain.

- Veuillez m’excuser mais je pense savoir de quel animal vous parlez même sans avoir donné tant d’indices que ça. D’après le rugissement que j’ai pu entendre je pense que c’est un Dragon. Ai-je raison ?
- Vous me semblez bien calé en créatures magiques. Car d’après les légendes il semblerait qu’une génération de Dragons vit ici depuis des centaines d’années…

Ayant terminé sa phrase, l’homme s’en alla lui aussi comme laissant Aurel là où il était. Mais quelque chose fit tilter Aurel. L’homme avait des yeux rouges très rouges. De plus, ses cheveux étaient blancs tout comme sa peau. C’était un albinos mais ceci n’est qu’un détail.
Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour retourner à la porte du pub. Lunaëlle le rejoignit rapidement. Elle semblait de meilleure humeur.

- Hum Lunaëlle il va falloir attention si nous nous aventurons au dehors du village. Une famille de Dragons vit ici. Il faudra faire très attention…

Il était resté mystérieux sur la fin de ses paroles mais il espérait surtout qu’il n’avait pas fait paniquer la jeune femme…

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