Un jour heureux, jamais...

Tout était si calme ici. Pas un seul bruit agressant. Dans tout les cas pas autant que dans les corridors pendant l’heure de pointe. On pouvait entendre le croassement des grenouilles et l’eau du ruisseau s’écouler tranquillement. Un vrai havre de paix. Sirinylie eu un regard vers la forêt, celle ou tout le monde avait si peur d’y entrer, d’y enfreindre la loi. Quand elle regardait au travers des branches, elle voyait mal ce qui était de si terrifiant et si dangereux. Cet endroit avait l’air aussi calme que celui ou elle était perchée.

« Et dire que cette forêt est interdite!? C’est à ce qui a bien pus être agressé pour qu’on nous l’interdît maintenant. »

Elle balaya la branche d’où elle était perchée de ses cheveux court et hirsute. Elle les avait coupées en se nouveau genre suite à ses pertes de mémoire. Elle prenait un mal en plaisir de les emmêler de plus en plus pour voir qu’elle genre de tête affreuse cela pourrait donner grâce au reflet de son image sur cette glace d’eau. Elle pouffa d’un rire fade en se regardant tout en le laissant devenir de plus en plus comme un soupir long et triste.

« Pourquoi dois-je toujours être triste!? Mon âme ne veut plus me voir rire. Il veut garder tout mes sourires pour lui seule. Un vrai égoïste de première clase. Que dois-je faire pour être heureuse à nouveau. Qui dois-je vénérer? »

Elle avait depuis quelques temps de ses réflexions les plus inattendus. Quand elle y repensait, elle en avait un rire rauque et méchant, puis le calme revenait et ses yeux se fermait sur la beauté de cette nuit froide.

Un petite brise avait prit naissance au dessus des flots et enveloppait par la suite tout le parc. Les branches de l’arbre ou Nylie était suspendu, se mirent à frémir de joie et elle, elle ferma les yeux, mit ses mains sur ceux-ci et ouvrit les yeux. La lumière tamisé, les feuilles bougeant, c’étais un fabuleux paysage à voir. Nylie entendit des pas, mais ne s’en inquiéta pas. Elle savait qu’elle n’avait pas encore mis aucune zizanie entre des personnes de cette petite communauté appelé les élèves de Poudlard. Ses pas s’arrêtèrent puis prirent un temps à parler.

- Je vois que les Serdaigles poussent dans les arbres et parlent tous seuls. On les dit ensuite plus intelligents que les autres, parlons préjugés …

Les branches craquèrent sous le petit poids de la jeune fille qui montait. La phrase qu’elle venait de dire souffla une curiosité à Nylie, mais l’effort physique de regarder cette nouvelle intruse dans ses pensées la fit se résigner.

- Sirinylie Delaguna, non?

-Ouais, et toi tu es?

Nylie mit sa main droite sur sa hanche et la gauche se tenant à l’arbre. Le temps refroidissait de plus en plus et les frissons des branches se faisaient plus fréquents. Si les feuilles pourraient pousser des cris, cela aurait fait un sacré tapage.

-Tu sais parler tout seule en première vue c’est être dingue, mais si on écoute bien les questions ou ce que cette personne dit, cela peut être vue comme une très forte marque d’intelligence. Tu es plutôt petite pour ta façon de pensé et jugé, quel âge as-tu? Ou si tu ne veux pas dire ton âge, dis-moi l’année de ta scolarité!?

Nylie avait besoin de voir la lune, de la voir devenir de plus en plus visible. Elle se leva sur sa haute branche et tassa les branches qui cachaient le spectacle. Une jolie demi-lune lui souriait gaiement.

-Aimes-tu la lune ou le soleil? Moi j’aime la lune, car même si elle est deuxième suite au soleil car elle prend sa lumière et sa forme de lui, elle est comme une grosse étoile qui est toujours visible même quand il a trop de lumière dans les villes. Et la lune ne nous tuera jamais, ce que le soleil peut faire à long terme. Oublie ce que je dis, je ne suis plus moi-même depuis mon arrivé dans cette école…

Nylie laissa les branches mortes de cet arbre et se remit en la même position qu’au tout début.

La Serdaigle âgée était bien contente de voir que les jeunes de cette même maison n’étaient pas si futile que ceux qu’elle avait rencontré en de certain moment. Par exemple, les garçons qui peuplaient la moitié de ses clases. Soit ils étaient vraiment intelligents et nul ne pourrait les faire dévier de leur vouloir d’apprendre et de performer dans leur étude, ou ceux qui ne font que lancer des bouts de papier sur les bureaux des filles pour avoir un rancart avec elle. Elle trouvait ça tellement incohérent. N’était-on pas à l’école pour apprendre et aussi à rencontrer de nouvelle personne, mais sans plus vouloir montrer notre maturité sexuel en valeur de l’attirance homme et femme.

De toute manière que savait-elle de l’amour. Cette jeune femme qui n’avait jamais laissé un homme la tromper, la mettre à ses pieds, car elle voyait en l’homme un dédain très pointillé sûrement car son père les avait toujours délaissés. En plus, elle avait ses maudites pertes de mémoire et ses drames qui se produisaient toujours autour d’elle. Ses enlèvements ou ses disparitions mystérieuses produisent peu avant son départ de son ancienne école et son père qui avait fait déménager en vitesse toute la maisonnée. Qu’avait elle fait, pourquoi tout arrivait autour d’elle !?

Nylie se prit la tête et la secoua frénétiquement. Elle voulait secoué sa tête comme un tapis rempli d’acarien. Puis, elle retomba dans son calme habituelle, si redoutable. Elle était très compliqué et très mystérieuse. Ce moment de pensé partit comme un feu qui meurt d’une au son cœur d’un qui s’étouffe par le poids des bûches. Nylie mit sa main sur son visage et ressenti, au fond de sa main, la froideur de son nez qui gelait. Devait elle bouger ou rester là ? Partir ou attendre la venue de sa sœur. Elle regarda la jeune Serdaigle qui discutait avec elle depuis peu, et lui dit :

-Tu devrais rentrer, la nuit va être fraîche et tu n’es pas habillé pour rester au froid avec moi. Et qui sait, le garde-chasse pourrait arriver. Nous ne sommes pas supposés être dehors à cette heure. Va, et si tu vois ma sœur, dis-lui que je l’attends. Ma sœur c’est moi, mais en blonde. Alors ce ne sera pas difficile à trouver.

Nylie se laissa tomber en arrière en faisant un saut plutôt bien réussi et retomba sur ses les pieds. Et comme si de rien n’était, elle se dirigea vers le lac placide et noir non loin de leur arbre. Elle sortit sa baguette magique et fit quelques tours que l’un de ses sorts partit en flèche vers les dortoirs des Serdaigles et plusieurs autre vint à apporter un grand vent des plaines de cette école paisible en cette heure avancée vers l’heure de la nuit. Une brume épaisse vint parsemer le bord du lac cachant des yeux tous les curieux, la Serdaigle aux yeux azuré. Même Nylie qui avait fait lever cette tempête ne voyait plus rien et ressent au creux de sa nuque un long frisson très pénible. Elle l’avait senti. Elle avait été, cette fois, capable de ressentir ce moment d’inconscient qui allait arrivé et s’emparer d’elle. Le vent se mêlait avec elle et ses courts cheveux partaient au vent, sa robe suivait la danse de plus en plus effrénée de ce vent déchaîné et son esprit s’embrumait de penser obscure.

-NANA, NANA, aide moi !

Ses mots de détresse, son âme tout entière les faisaient se répercuter sur les rebords de son esprit troublé. Son esprit tourniquait comme si l’évanouissement allait la prendre, comme si d’un gros bâton de dynamite on lui avait fait sauter sa vraie personnalité. Son visage crispé se changeait en un large sourire de dément. Un sourire pendu de diabolisme jusqu’aux oreilles. Celui dont on voit sur les fous moldues. Ceux dont nul personne ne veut rencontrer.

Des moments lui revenaient.

Sa mère tombe très malade, elle ne peut plus s’occuper des jumelles Delaguna et papa est très heureux de son état. Ils disent qu’il va avoir une nouvelle personne à leur famille et que celle-ci sera enfin leur petit garçon qu’ils attendent depuis si longtemps. Enfin maman est encore enceinte, enfin ou fuck!

Papa part, il doit toujours partir. Je veux lui sauter au cou, aux jambes pour qu’il ne nous laisse pas seule. Il doit veiller sur nous, sur ma sœur jumelle et moi. PAPA RESTE !

Je suis seule, Nana dort à mes côtés, elle a fait un cauchemar. Elle aime bien être prêt de moi en ses moments là et moi j’aime veillé sur son sommeille. Ma sœur je la contemple car c’est comme si je me voyais en elle. Elle est entrain de dormir pour nous deux. Elle prend tout mon sommeil et moi toute son énergie pour veiller sur son sommeil.

J’ai du sang sur les mains et un corps à mes côtés. JE NE SUIS PAS LA COUPABLE ! Je viens de me réveiller et il était à côté de moi. Certe, j’avais ses lèvres collées sur les miennes, mais ce n’est pas moi, je le jure. Son sang chaud qui m’abreuvait, mais je ne suis pas folle, non, je sais que ce n’est pas moi. Ma baguette est à mes côtés et elle se prépare à tuer, à tyranniser. Je m’éloigne gravement de ce corps et m’accroupit dans un coin sombre. J’ai peur, tellement peur. Un son émerge du corps inanimé non loin de moi, j’ai peur, je mets mes mains sur mes oreilles. ARRÊTE CE N’EST PAS MOI QUI T’AI TUÉ ! Tout mon corps se balance d’avant en arrière et j’ai peur, tellement peur. Mes yeux nettoient mon visage empreint du sang de ce jeune homme. Mes yeux se fixent sur son visage que je n’avais même pas pris le temps de regarder. C’était lui, lui qui m’avait enlevé l’être le plus cher pour moi, lui qui avait fait tout changer dans la tête de ma réflexion. NONNN, C’EST DE TA FAUTE SI TU NE RESPIRE PLUS, CE N’EST PAS DE LA MIENNE !

Morgane observa distraitement les faits et gestes de son aînée. La lune montait, la température descendait, la nuit venait, le soleil partait. Un index sur un majeur, un pouce sur un auriculaire, deux paumes qui se frôlent sans se toucher dans un ballet de doigts avec pour seule musique le minuscule cliquetit des ongles s'entrochoquent. Morgane eu un sourire rêveur, se laissant partit dans ses pensées et ses reflexion. Une étoile, elle se met à briller, là haut, là bas, droit devant. Nouveau sourire, Morgane ferma un peu les yeux, pour mieux profiter de ce calme absolut et réconfortant. Un nouveau frisson parcourut la jeune Serdaigle lorsqu'un vent frais passa entre les branches de leur arbres. L'aînée secoua sa tête et toucha son nez. Communicatif, comme un baillement, Morgane éternua.

- Tu devrais rentrer, la nuit va être fraîche et tu n’es pas habillé pour rester au froid avec moi. Et qui sait, le garde-chasse pourrait arriver. Nous ne sommes pas supposés être dehors à cette heure. Va, et si tu vois ma sœur, dis-lui que je l’attends. Ma sœur c’est moi, mais en blonde. Alors ce ne sera pas difficile à trouver.

La petite Dalite regarda Sirinylie descendre de son arbre, d'un lest saut de chat que Morgane admira d'un nouveau petit sourire. Elle la suivit des yeux, jusqu'au lac, puis descendit à son tour de l'arbre, avec beaucoup moin de grâce, mais elle descendit. Le ciel est maintenant noir, et un hiboux hulule. Un pouce sur un majeur, un index contre un auriculaire.La jeune fille regarde l'autre, sans pour autant lui obéire.

- Le froid ne me gène pas, et je n'ai pas peur de quoi que puisse dire le garde-chasse. Et ta soeur viendra certainement toute seule si tu l'attends.

Elle s'assit dans l'herbe humide et observa un intant le ciel. Une deuxième étoile, et ce hâlo de lumière froide autour de la lune, tandis qu'une seule mince bande orangée demeure à l'horizon. Depuix la nuit des temps, les couchés de soleil, ou plutôt les levés de nuit comme aime le dire Morgane, sont un spectacle admiré de tous. N'est-il pas coutume pour les jeunes couples, de se ballader sur la plage lorsque que l'astre du jour disparaît laissant la terre à la lune et aux étoiles ? Nouveau sourire. L'aînée lança quelques sort, et mprsque l'un d'eux partit vers la tour des Serdailes, la petite Dalite en conclu que c'était pour appeler sa soeur. Hors, elle fut soudainement surprise par une bourrasque de vent qui fit voler ses cheveux et sa robe, bourrasque continue et de plus en plus forte. Ensuite vint la brûme.

- NANA, NANA, aide moi !

Morgane se leva brusquement et sortit sa baguette à son tour. Se précipitant vers Sirinylie, elle percut son sourire dément et elle pris peur. Ce sourire lui rapellait les quelques souvenirs qu'elle avait de l'inconnu, et elle sentit un mélange d'angoisse et de peur envahir ses entrailles. Cependant, elle continua d'aller vers l'aînée, en marchant cepandent. Ecoute Morgane, écoute les vraies paroles de la détresse.

- PAPA RESTE ! JE NE SUIS PAS LA COUPABLE ! ARRÊTE CE N’EST PAS MOI QUI T’AI TUÉ ! NON, C’EST DE TA FAUTE SI TU NE RESPIRE PLUS, CE N’EST PAS DE LA MIENNE !

La petite Serdaigle arrive aux côté de l'aînée, troublé par ses dires. Elle semble comme en transe. Comme toute douleure communicative, les peurs de Morgane lui reviennent en esprit et sa gorge la brûle, comme si elle voulait pleurer pour l'autre. Elle n'a aucune idée de que faire, et elle essaya la première chose qui lui vint à l'esprit pour sortir l'autre de son espèce d'on n'sait quoi : Une énorme gifle sur la joue gauche.