Kidnapping!!!!!!!! (1 place libre, 1er post Tetsuo)

La tour de Griffondor. Les nobles, les altiers... Les courageux et blablabla... Personne n'a jamais pensé exploré la tour. Après tout est que Godric aurait pu avoir à cacher?

Ca fait des siècles que rien ne se passe. Mais cette nuit, en ces lieux, il se produira quelque chose. En fait, c'est en train de se produire. Il y a un grincement, puis des voix gutturales qui chuchotent en une langue inconnue. Puis un bruit étrange, quelque chose qui frotte au sol.

Dans les dortoirs des garcons, tout est calme à peine un ronflement et , de temp à autre, un bruissement de draps. De l'autre côté, chez les filles, c'est passablement similaire.

Mais pour Tetsuo, le pauvre garcon, c'est incomprenable. Il n'a pas le temp de rien dire, deux silhouettes griffues aux yeux incandescents le baillonne et le foutent dans un sac. Putain qu'est ce que les autres foutent! Ils dorment? Ben oui c'est la nuit. Mais peut être y a t il quelque enchantement là dessous. Ca doit être son ethnie visible qui a attiré els ravisseurs.

Quoi qu'il en soit, les deux... trucs, redescendent dans la salle commune et repassent par la trappe au plancher.

Seul indice de leur passage, un bout de tapis relevé, qui n'a pas été replacé dans leurs hâte.

Dans le dortoir des garçons, Loris est l'un des premier à se reveiller. Pourquoi de si bonne heure. Il n'a pas cours aujourd'hui et son rendez vous avec Lou n'est qu'en fin de matinée. Tout simplement parce qu'il a fait un cauchemar. Imagine Dakota se pointant à Poudlard pour venir le tuer dans son sommeil, sa vous donnerait envie de vous recoucher cela ? Et ben pour Loris non plus. C'est pourquoi, un peu à contre coeur, il décida de se lever. Sans faire de bruit, il s'habilla, ne remarquant pas l'absence de Tetsuo et il entreprit de descendre dans la salle commune après avoir attrapé un bouquin. Il avait un peu la tête dans le seau et passa par le lavabo avant afin de s'asperger le visage d'eau froide.

Lorsqu'il arriva dans la salle commune, il était parfaitement réveillé avec la simple envie de lire un bon livre. Cela faisait longtemps mais l'envie de lire un bon roman fantastique moldu s'était fait pressante ce matin. Aussi, il s'installa confortablement sur un fauteuil près de la cheminée et commença à lire.

Ce n'est qu'un faible bruit qui le fit sursauter. Un grincement de parquet, un crépitement de la cheminée, un robinet qui coule. Il ne savait pas lequel s'était mais en tout cas, il venait de se redresser pas très confiant. Il se retourna et c'est alors qu'il le remarqua, le morceau de tapis relevé. Rien de bien inquiétant un somme. Un élève turbulent avait du avoir oublié de le remettre en place. En bon préfet qu'il est, Loris se leva et remis le tapis en place. Quelque chose attira son attenion, et il souleva un peu le tapis. Encore, encore, encore. Une trappe. Tiens, en sept années ici, le jeune Gryffondor n'avait pas remarqué cette trappe. Que faire ? La raison lui disait de retourner à son bouquin et la curiosité le poussait à l'ouvrir.

Sans réfléchir plus longtemps, il posa son livre sur la table la plus proche et releva la trappe.

La trappe laisse la place à un escalier pentu, très abrupte. Descendant en spirales dans les profondeurs de la tour et se perdant dans les ténèbres. Il ne semble y avoir aucune lumière.

Des échos lointains vous parviennent. Un bref cri de lutte, un appel au secours ainsi que des grognements et des cliquetis incompréhensibles.

Quelque chose qui racle contre le sol.... Puis, plus rien. Le silence complet et absolu, aussi absolu que les ténèbres. Une sensation de calme oppressant, comme si quelqu'un avait mis un film sur pause.

L'air se fait rare dans vos poumons. Comme si quelqu'un allait le chercher directement dans vos bronches.

Ce noir, cette obsurité presque parfaite permettait à peine de distinguer le petit escalier qui descendait dans le château, peut-être même jusqu'aux sous sols. Lois frissonna. Non, il ne faut pas croire tout ce qu'on raconte. Ce n'est pas parce que le jeune homme fait partie de la maison de Godric Gryffondor qu'il est courageux. Non, ce qu'on raconte dans les bouquins est n'importe quoi et depuis son aventure avec Shaylee, il était hors de question pour le jeune homme de retourner dans les cachots. Affrontés dans une soirée un torrent déchainé, des pseudos elfes pas franchement simpathiques, un dragon endormi mais affamé, le vide. Non, vraiment, cela était terminé pour Loris et il n'allait sûrement pas partir dans l'exploration de ce qu'il y avait sous le plancher de la salle commune.

Bon l'important était maintenant de faire en sorte que personne ne découvre cette trappe pour ne pas que des imbéciles un peu trop imprudents prenne l'idée d'aller voir ce qu'il y avait surtout les plus jeunes. Lorsi avait remarqué que généralement les plus téméraires sont les premières années. Des inconscients. Il pense que simplement parce que le choixpeau vous a placé dans la maison rouge et or, il vous considère comme courageux et donc que vous pouvez braver le danger. Complètement stupide.

C'est d'ailleurs le bruit des pas d'une jeune fille et son soudain intérêt pour la trappe qui lui fit tourner la tête et il essaya tant bien que mal de cacher ce qu'il avait découvert. Trop tard, elle avait vu la trappe et il vit une lueur inquiétante dans son regard. Et non, ma petite, tu as affaire au préfet des Gryffondors et jamais il ne te laissera entrer la dedans.
"Ce n'est rien, rien du tout."

Il s'apprêtait à refermer le passage secret lorsqu'il entendit des bruits. Il jeta un regard à Jane et s'approcha de la trappe pour mieux entendre et essayer de deviner ce qui se cachait dessous. On dirait une bagarre. Ce pourrait-il qu'un imprudent, avide de découverte soit descendus là-dedans avant que le préfet ne fasse son cauchemar. Sûrement et cela expliquerait le bout de tapis relevé. Il ne voulait pas y aller mais si un élève de sa maison ou même un autre élève était en danger, il n'avait pas le choix et puis, même s'il n'est pas exessivement courageux, il ne rechigne pas à mettre sa vie en danger pour les autres. Il se tourna vers la jeune Gryffondor avec un regard qui se voulait sévère.
"Retourne te coucher immédiatement, tu n'as rien à faire ici. Et ne pense même pas à aller faire un tour la dedans. C'est trop dangereux pour une jeune fille. Allez file sinon je te retire des points"

Il sentit de la deception sur le visage de la jeune fille mais elle avait beau lui faire les yeux doux, il ne cèderait pas et il la regarda partir en direction du dortoir. Il attendit qu'elle disparaisse de sa vue et il ouvrit la trappe pour commencer à descendre et la referma dès qu'il fut passé. Grâce à un sort, il remis le tapis en place et grâce à un lumos, il éclaira le passage. Arrivé en bas de l'escalier en colimaçon, il s'arrêta. Ce silence n'était pas normal et il sentit son coeur s'accélérer. Merde, c'était peut-être pas une très bonne idée mais il devait se sacrifier si quelqu'un avait besoin d'aide. Il continua lentement son chemin, essayant de respirer calmement même s'il commençait à transpirer de peur.

D'un coup, ils se retrouvent dans un gigantesque laboratoire. Le vieux laboratoire de Godric Gryffondor lui même!

Une immense table vermoulue au centre, les persiennes sont fermées. Des livres ouverts ont été laissés là. Au mur, une immense bibliothèque avec des bouquins et des fioles aussi recouvertes d'une immense couche de poussière. Les tentures sont d'un gris sale uniforme, mais vous pouvez voir des taches d'un ancien rouge vif et de doré.

Le cadre a dû être luxueux jadis. Une immense cheminée est au fond, avec des braises encore chaudes....

Des braises encore chaudes? Et le foyer n'a pas de fond! Qu,un trou noir et béant tranchant avec la grisaille.

Au sol, des traces de pas avec la trace de quelque chose de lourd qui a été trainé sur le sol.

Loris n'est pas naïf au point de croire que Jane va retourner se coucher. Mais que voulez vous qu'il fasse ? Qu'il la laisse pénétrer volontairement dans cette trappe était impossible de part son insigne de préfet. Mais refermer l'ouverture sans porter secours à la personne en danger, n'est pas non plus dans le caractère du jeune Loris. Dans ce dileme, il a choisi de faire partir Jane, quitte à la voir rappliquer quelques minutes après derrière lui mais d'entrer dans cette trappe.

Lentement, il descendait les escaliers ayant au préalable lancer un lumos. Il restait prudent, ne sachant pas ce qu'il y avait sous la salle commune des Gryffondors. Il sursauta en entendant un bruit juste au dessus de lui. Il tenta de reprendre une respiration normale et posa une main sur le coeur en remarquant qu'on avait juste réouvert la trappe. La première année n'avait donc pas écouter ses recommandations et il devrait maintenant se la coltiner. Merde, il ne voulait pas la mettre en danger mais doutait qu'elle accepte de retourner dans son lit. Il attendit qu'elle arrive juste au dessus de lui et lui lança d'une voix forte et menaçante.
"Alors c'est comme cela qu'on retourne se coucher"
Il avait surement du la faire sursauter mais c'était le but. Le préfet savait le genre de danger que pouvait refermer le château et cela n'était rien comparer à ce qu'il pouvait les attendre en bas alors autant mettre la jeune fille tout de suite au parfum.

Après avoir lancer un regard noir digne d'un méchant préfet, le vrai Loris prit le dessus et il lui sourit. Il devait la mettre en garde mais si elle refusait de remonter, il serait de son devoir de la protéger.
"Ecoute Megan. C'est bien Megan ton prénom ? Ouais, enfin bref, c'est pas important. Tu sais que le château n'est pas aussi sûr qu'on le dit et c'est très dangereux d'aller en bas comme cela. C'est pourquoi, je pense que tu ferais mieux de remonter rapidement et de me laisser règler cela tout seul. Je pense que pour te défendre, tu aura du mal en ne sachant pas lancer un seul sort"

Un grincement horrible. Un cri lointain et un bruit sourd, un truc qui est lourdement déposé. Ce n'est plus le temp de penser, allez vous vous élancer sur les traces de ce qui semble se sauver à toute vitesse? Ou vous laisserez le kidnappé dans les mains de trucs innommables?

Un autre appel à l'aide et un bruit de frottement, de glissement, rendu avec des échos amplifiés par le vide de la place.

L'urgence commence à se faire sentir. Le temp n'est plus à la réflexion mais à l'action chers Griffondors. Les poils de votre nuque se hérissent, la main du danger vous caresse doucement la colonne vertébrale.

Loris aurait presque pu éclater de rire lorsque Jane lui annonça qu'elle savait se défendre. Se défendre contre qui ? Contre un élève un peu trop enquiquinant. Et encore s'il était en deux ou troisième année, elle n'avait aucune chance. Mais, il se retint de le faire pour ne pas la vexer mais aussi parce qu'il avait le même caractère qu'elle lors de son arrivée ici. Intrépide et inconscient mais il se rendait compte qu'heureusement qu'il ne lui était pas arriver une aventure comme celle vécu avec Shaylee l'an passé sinon il aurait laissé sa peua. Il savait donc bien que Jane avait besoin d'être protégé et il ne pouvait déscemment pas la faire remonter sachant qu'elle reviendrait ici dès que le préfét aurait le dos tourné.

Mais elle est complètement folle, pensant-il alors qu'il la regardait descendre les escaliers avec autant d'insouciance. Il lança alors le sortilège informulé de bloque jambes afin de la faire tomber et de lui faire comprendre que si elle n'obéissait pas, elle risquait de gros ennuis. A partir de maintenant, c'est moi qui commande et tu n'as pas le choix. Il s'approcha d'elle l'air menaçant. Mais merde, elle joue à quoi ?

"Premièrement, tu ne fais pas le poids contre moi. Deuxièmement, tu reste derrière moi et t'évite d'attirer l'attention sur toi de cette façon. Troisièmement, tu m'obéis sinon tu risque de gros ennuis et pas seulement avec la directrice parce que là, c'est ce qui pourrait t'arriver de mieux. On n'est pas dans un jeux vidéos et j'ai pas envie d'avoir ta mort sur ma conscience alors je te libère que si tu me promet de rester tranquille et d'écouter mes ordres"

De toute façon, Jasne n'avait pas le choix. soit elle acquiesçait, soit elle devrait rester ici le temps que Loris fasse ce qu'il avait à faire. De la même façon, il lança le sortilège inverse afin de lui rendre l'usage de ses jambes mais son regard en disait long. Loris peut se montrer méchant lorsque quelqu'un ne l'écouta pas surtout lorsqu'il sait qu'il a raison.

Bon, maintenant, on peux commencer à examiner les lieux. Il fit signe à Jane d'aller se mettre vers les escaliers et de l'attendre. Il n'accepterait aucune protestation sinon sa réaction serait immédiate.

Un laboratoire comme Loris n'en avait jamais vu. Il imaginait déjà de vieux sorciers travaillant ici sur des formules afin de vaincre les maraudeuses. Il feuilleta un bouquin laissés ouverts mais son attention fut attirés par quelque chose. Un bruit, un bruit sourd et des cris de détresse. Merde, on avait absolument besoin de lui. Il sent une boule se former dans sa gorge et il sens qu'il n'a plus le choix. Reste le problème de Jane. Un simple signe de la tête et son visage semble s'éclairer. En marche rapide, Loris et Jane quitte le laboratoire pour s'élancer vers ce qui était un appel à l'aide. Qui cela peut-il bien être ?