|+ Loft De César O'connor +|

je n'habite plus chez mes parents maintenant. Je me suis pris un petit appartement tranquille dans un quartier plus simplet...Un peu plus loin par là. J'suis resté tout près pour m'occuper de mes charmantes petites frangines quand j'ai du temps libre mais j'ai préféré quitter le nid vu que mon père n'était pas très d'accord avec mon usage abusif du grille-pain...Il trouvait que je cassais l'ambiance du Manoir avec mes ampoules électriques dans ma chambre. Alors bon...

N'importe quoi. Il a jamais compris ton père. C'est écologique les ampoules au moins. Biodégradable.

Elle a un sourire amusé. En baissant son chandail, il beurre sa camisole blanche d'un lourd trait de rouge à lèvre couleur écarlate. Clopin clopants, ils mettent un bon 10 minutes à se rendre au loft de César. Dix minutes de torture ou elle se demande ou peut bien être passé Hess. Une chance, parce que ca ne lui fait pas porter attention aux habitants de Dublin qui les croisent.

Ala porte, elle regarde le loft somme toute bien décoré, même si le turquoise et le brun n'ont jamais été dans sa palette.

Assied toi, je reviens dans deux minutes, le temps de me refaire une beauté.

S'asseoir? Elle est bien trop inquiète. Avisant soudainement l'odeur de fruits tropicaux jumelé au rouge à làvre attire son attention. Parfait, de quoi s'occuper les mains et l'esprit.

Allant au coin lavage, elle prends un peu de détergwnt en poudre, avant d'aller au lavabo. Enlevant sa camisole, elle se retrouve en soutient gorge (de sport blanc bien sûr) Et commence à essayer de détacher le tissus.

Elle vient à peine de commencer quand César sort, habillé avec son mauvais goût habituel. Ca la fait sourire un peu. Il y a des trucs qui ne changent jamais. Elle se repenche sur son lavage de fortune.

Alors...Comment ça va?

Ca irais mieux si mon chien serait là. Je me fais du soucis, il est tout jeune et n,a aucune expérience. J'espère que ce truc ne lui fera pas trop de mal...

Répond elle aimablement, mais extrêmement nerveuse. Elle frotte 4 fois plus vigoureusement la tache de rouge a levre.

Il va bien j'en suis certain. Élevé par une maîtresse comme toi...


C'est gentil...

Bataillant avec cette satané tache, elle en perd patience. Sortant sa baguette, elle lance le sortilège approprié pour la faire disparaire. Ramenant sa mèche, elle se remet à son lavage, ne voyant pas le changement chez Zar.

Quand il vide de l'eau de la bouilloire, elle fronce les sourcils, n'être pas si inquièete elle en aurait été flattée. Mais Zar reste Zar après tout. Il se détourne et semble bien déterminé à ne pas la regarder. C'est bizzarre, il l'a vu d'innombrables fois en maillot.

César - Et Kaitz...Luo...Ils vont bien?

Elle sort le vêtement blanc et le sèche de la baguette.

Kaitz est toujours aussi insouciant et désinvolte que d'habitude et Luo est retourné chez les gitans. Je n'ai pas eue de nouvelles de Luo depuis plus longtemp que toi encore. Mais c'est ma faute un peu... J,vous ai négligés... depuis la mort de Lucius.

Elle est pleine de remords. Elle renfile la camisole.

Ca va, tu peux regarder sans friser l'apoplexie vieux.

Va vers la fenêtre... Fait le guet pour son chien, à la taille qu'il a , il peut passer pour la Bête.

Elle accepte la tasse avec un hochement de tête et un merci. Réchauffant ses doigts glacés contre la porcelaine, elle retourne à son guet.

Ton chien va réussir à venir te rejoindre jusqu'ici ?


Je ne m'inquiète pas de ses talents de pisteur, il est capable de suivre un élève à la trace dans POudlard.

Dit elle avec un mince sourire. Elle prends une gorgée. Mmm... thé vert à la fleur de cerisier (me donne le gout de m'en faire un justement .... ) Son préféré. Oubliant brièvement ses soucis, elle hume l'odeur avec délice.

César - On peux aller le chercher si tu veux, j'suis en meilleur état pour y aller maintenant.


Elle rouvre les yeux. Se rembrunit.

Tu boite, et il n'est pas prudent d'aller se trimballer en forêt la nuit si cet animal rôde. Les bêtes du Gévaudan sont très rares mais mortelles... Ma tante s'est renseignée au département de soins au créatures magiques. Ils essaie de l'attrapper.

Elle reprend une gorgée.

J'espère... AH! Le voilà!

Elle laisse la tasse sur le bord de la fenêtre et disparait. Quand elle revient, plusieurs minutes plus tard, le grand bleu semble mal en point, mais extrêmement joyeux. La langue pendante, les crocs ensanglantés, il clopine à trois pattes, les traces d'un féroce combat sur son cou, ses flancs. Sa queue a été sectionnée même. L'oeil cuivré est joyeux cependant.

Lareless ne pense pas, se précipite sur le bottin téléphonique.

Il lui faut un vétérinaire!!!!

Hess hocquète et vomit un bout d'oreille au poil rayé. Manifestement, la Bête aussi a trinqué.

Une fois le vétérinaire appelé et en route(elle a insisté disant que le chien est dans un état critique) Elle retourne près de son familier.

Il va falloir lui couper la queue. Moi qui n'ai jamais voulu lui infliger ca...

Elle passe une main prudente sur le pelage sale.

J'espère que ses morsures ne sont pas venimeuse. Et...

Les yeux émeraudes s'agrandissent,

Il va vouloir certainement le mettre en quarantaine a cause de la rage... C'est un vétérinaitre moldu César, il ne peut pas comprendre!

Justement, ca cogne à la porte. Il habite tout près le médecin. César va ouvrir et mène le médecin animalier auprès du molosse.

Je... heu... vous laisse ... Je ne veux pas interrompre votre boulot.

Mais votre bête est ...

Elle l'interromp.

Il est docile, parfaitement calme et soumis. Hess, assis.

Le grand bleu obéit. Pouréviter de rendre tout le monde nerveux, elle va attendre dans le corridor.

Tu sais, ils ne lui feront pas de mal si on le force à rester en quarantaine...Et si tu veux, je peux l'accueillir chez moi le temps qu'il faudra


Je ne suis pas certaine que tes meubles apprécierait eux. Il a été habitué à pouvoir aller et venir comme il veut, non dans une ville moldue.

Elle pose une main sur le bras sans bave de son ami. La reconnaissance brille dans ces prunelles émeraude. Elle apprécie visiblement le geste.

Merci de ton offre... Ca aide.

César - Tout va bien se passer. Il n'a rien de grave .

Lui répète t-il en souriant sereinement. Elle a un sourire et un soupir, s'essuit un coin d'oeil, se redresse et voit enfin l'appart.

Chouette la nouvelle personnalité de ton appart! Si on retrouvais mon thé et que tu me disais ce qui s'est passé dans ta vie depuis ta dernière lettre?

Prenant le thé, elle suit la même direction que César, c'est à dire direction plancher. Elle tourne sa tasse encore chaude tout en écoutant César lui raconter son pan de vie.

Eh ben...Après avoir lancé mon livre...Le directeur du Chicaneur est venu me rendre visite...Il m'a dit qu'il aimait ma façon de penser, d'écrire, de dire les choses comme je le pensais...Et qu'il en avait besoin au journal...Je n'ai pas voulu lui dire oui tout de suite.


Elle hoche la tête. Oui elle a lu son livre bien sur.. Elle n'avait pratiquement que ca à faire pendant sa longue convalescence et réhabilitation. De là à savoir si elle y a compris quelque chose, c'est deux. Mais elle ne l'interromp pas.

César - J'ai réfléchi pendant plusieurs mois dans mon petit logement moisi et en me rendant compte que...Je vivais un peu dans la crasse dirons nous...J'ai décidé d'aller travailler pour lui...Finalement l'emploi s'est avéré génial, je suis assez fier de ce que je fais...Et puis il y a environ 4 mois...On a apprit que le Directeur avait attrapé la Dragoncelle...Il était vieux d'ailleurs alors il n'y a pas résisté longtemps...a peine trois semaines...Il s'est laissé aller, mais avant, il m'a légué son poste. Alors voilà, c'est en gros ce que je fais maintenant.

Elle ne sait pas trop quoi répondre... C'est triste de voir comment le malheur des uns peut être la fortune des autres. Elle prends une gorgée de thé, pour s'apercevoir qu'il n'y en a plus. Il n' a jamais de tasse de thé assez grosse semble t il.

[color:9a8b=mediumseagreen:9a8b]César - Oh...Et j'ai rencontré Muelle y'a quelques temps...

César - Et toi?

Elle hausse un sourcil. Muelle?

Bien, j'ai recommencé à arpenter le tour du monde après le décès de Lucius, j'ai mal évalué un adversaire, il m'a fait disparaitre la colonne, détour par un hopital moldu deux ans de réadaptation. Donc, pour vivre j'ai dû me résigner à aller enseigner à Poudlard. L'année d'apres mon chien a été impériumisé. Selon Kaitz, j'ai ramassé une armoire en pleine gueule, résultat amnésie. Je me suis coltiné un amant moyen et un fiancé nullisime et manipulateur qui a fini démembré... pas par moi jte rassure... dans un container. Ah oui, je sors maintenant avec le pire con de la terre...

Dit elle, pince sans rire, mais une lueur de fierté danse dans ses prunelles émeraudes.

Et Muelle a une peur bleue marine de Hess... Mais dis moi, comment as tu réussis à la revoir? Elle s'est toujours sauvé pantoufles aux fesses en te voyant?...

Disons que le hasard fait des choses étranges parfois...Mais elle ne s'est pas sauvée cette fois...On a discuté. J'était...Content de la voir...

Soudain, elle a un doute... Il hésite. OH, ca veut dire que probablement qu'il ne savait pas pour Muelle. Non mais Kaitz, tu aurais pu lui dire!

Elle se doute que, pour Kaitz, dire la phrase Samuelle Daee est morte, aurais sonné la fin de quelque chose, comme si le dire rendrait le statut définitif. Mais voir César comme ca lui brise le coeur. Il a toujours aimé Samuelle, et elle s'est toujours demandé pourquoi celle ci se sauvais de lui. Il ne mérite pas ca.

Elle renifle, est ce que César sait qu'un jour elles se sont battues pour lui? Less ne tolérant pas l'attitude irrespectueuse de son amie envers son autre ami. Mais bon...

César - Elle a eu envie de me voir un peu peut-être. On est pas restés ensemble longtemps, elle ne s'attendait pas à me voir, alors elle est repartie.

D'un ton rêveur, contemplant le fond de sa tasse.

Poudlard... C'était le bon temp.... Un temp ou ce qu'il pouvais nous arriver de plus grave était un dentesaugmentato et une métamorphose ratée en un truc indéfini et vert...

Elle se redresse, les yeux brillants, elle est heureuse pour César.

Contente que vous vous rapprochiiez enfin.

Un sourire éblouissant. Elle n'a jamais fait de cachette sur sa position au fait de la situation Daee/ O'Connor

[color:443f=#3cb371:443f]Rapprocher c'est un grand mot. On s'est vus, on s'est fait un coucou et elle est repartie. Au moins elle à dit bonjour.

C'est sur que vu comme ca. Ca augure bien pour la suite.

Un sourire empathique, encourageant même.

César[/b] - Et avec Kaitz? Il s'en sort bien d'être en relation ...."stable" ?

Un rire... mi triste mi satisfait.

On n'a jamais rien pu te cacher, à croire que tu es légilimens. Une chance qu'on nous a fait suivre des cours d'occlumencie à l'université. Mais tu me connais trop, suis je un tel livre pour toi?

Lance t elle à la blague. En fait, elle ne l'a pas caché et il n'y en a qu'un qu'elle traite de con. Le reste on déduit.

- J'espère être invité au mariage encore une fois.

Elle s'assombrit, le laisse remplir un peu sa tasse. Qu'elle contemple avec une attention nouvelle.

Je ne crois pas que nous nous mariions César. Ca nous terrorise autant l'un que l'autre et Kaitz est convaincu qu'il ne lui reste qu'un an à vivre... Tu le sais, il l'a toujours dit qu'il ne passera pas la trentaine. Et...

Elle hausse les épaules, se force à sourire. Un sourire triste.

Il prends toujours ses paquets de risques inutiles. Mais bon, c'est pour ca qu'on l'aime et qu'on l'apprécie pas vrai?

Au fait, tu enseignes quoi à Poudlard?

Elle lui est reconnaissante de ce changement de sujet.

L'année passée c'était la DCFM. Mais ils n'ont pas voulu que je continue cette année. Je me coltine donc les sortilèges. Mais la DCFM était pas mal plus intéressant. Je présume que les élèves n'ont pas apprécié mes approches pédagogiques.

Petit rire.

C'est sur que si tu leur balançais des créatures du genre de celle à laquelle on a eu affaire aujourd'hui...Moi aussi j't'aurais retiré le poste...
- ...Non...Finalement peut-être pas. Ça mets de l'action dans une vie.

Rire partagé, moment de complicité. Elle termine sa tasse.


- Il va bien. Il est en train de lui faire des bandages. J'te jure, si ils le mettent en quarantaine, je veux bien vous accueillir lui et toi si tu veux. Ce serait peut-être moins nul pour lui si tu restais aussi non? J'te jure, ça me ferais plaisir que vous restiez.

J'ai terminé, il a affronté un loup il semble.

Annonce le vétérinaire en s'essuyant les mains. Less jette un bref coup d'oeil à César. Il leur raconte qu'en effet, le dit chien devra resté isolé 40 jours et ce, même s'il a été vacciné. Les blessures sont trop graves et de toute facon il veut le revoir a chaque jour pour au moins une semaine. Limiter les sorties au strict nécessaire... Sur les dernières recommandations, il tend une ordonnance pour Hess et s'en va après une vigoureuse poignée de main.

Une fois la porte refermée, Less regarde Zar un moment.

Tu es capable de me voir me promener en dessous sans faire une crise de coeur?

Des heures plus tard...

Un crissement de pneus sur la route annonce l'arrivée imminente du beau brun. Un dernier vrombissement de moteur et la Belle Jaune se tait. Comment flasher avec son char selon Harkaitz Rocstone. Un coup d'oeil vers chez Zar et Kaitz prend es trucs sur le banc passager puis sort de sa voiture. Il verrouille soigneusement la porte, puis la ferme d'un coup de hanche. Il passe à l'avant de la voiture, puis s'arrête près du phare avant. Il revient sur ses pas, glisse la main sur le capot, puis hausse les épaules. Il a cru que c'était éraflé, mais non. Elle est parfaite cette voiture.

En jeans et en blouson de cuir, bouquet de roses dans une main, bouteille de vin et boîte en forme de coeur dans l'autre, il a tout du tombeur quétaine qui vient tenir compagnie à sa dernière conquête. D'ailleurs, le sourire qu'il affiche est aussi explicite que s'il l'avait écrit en toute lettre dans le front. Explicite mais dans ce cas précis c'est très trompeur.

Il frappe à la porte, attend trois secondes exactement et tourne la poignée et entre. Il arrive face à face avec Cesar qui, en bon maître des lieux, venait ouvrir la porte. Kaitz hésite une seconde en voyant Zar en boxer, puis il hausse un sourcil.

- ARGH ! Zar ! Je t'ai déjà dit de ne pas m'ouvrir comme ça !

Et il plante les roses jaunes et la bouteille de vin dans les mains de Cesar et lui plaque un baiser sonore sur la joue. Puis il va directement vers Less et lui donne un rapide baiser.

- Où il est ce pauvre garçon ? Ah ! dit-il en entendant un gémissement venant de pas trop loin.

Il accourt vers le chien qui a reconnu sa voix et le gratte partout. Si le chien avait encore sa queue, il aurait sans doute fait tout un solo de drum, mais là, c'est presque silencieux, sauf ses grognements de satisfactions canine.

- Oh, le pauvre garçon. Qu'est-ce que tu t'es fait encore ! Pauvre monstre bleu. J'te jure que si je coince la sale bête qui t'as fait ça, je lui fait bouffer ses pattes et ses dents. T'es un brave monstre, toi. Oui, tiens, c'est pour toi, mon héros !

Et il ouvre la boîte en forme de coeur. Boîte qui contient une quantité impressionnante de biscuit au miel de sa mère. Il le laisse se délecter du contenu de la boîte. Il peut bien en bouffer autant qu,il en veut, il le mérite bien. Less lui avait expliqué en gros ce qui c'était passé et il s'était dit que Hess méritait bien ça. Il revient vers Less, la laissé pour compte à son arrivée et l'enlace tendrement. Un baiser, plus long cette fois et il fouille dans la poche de son blouson et en tire une unique rose d'un rouge étincelant et la lui offre, sourire ravi.

Au rire amusé de César, Lareless en a un similaire. Elle ne s'en fait plus avec ca. Le baiser rapide la fait rigoler.

Où il est ce pauvre garçon ? Ah ! dit-il en entendant un gémissement venant de pas trop loin. Elle n'a même pas le temp de lui pointer le lit du chien.

Elle sait qu'il l'adore ce grand chien. L'oeil cuivré pétille et un battement de queue silencieux vitesse grand V lui brise le coeur. Kaitz est occupé à le grattouiller partout ou il n'y a pas de bandages.

Il doit être soigné facon moldu, mais j,ai la recette d'une potion repousse queue. Aussitôt que les ingrédients arrivent, je la lui ferai.

- Oh, le pauvre garçon. Qu'est-ce que tu t'es fait encore ! Pauvre monstre bleu. J'te jure que si je coince la sale bête qui t'as fait ça, je lui fait bouffer ses pattes et ses dents. T'es un brave monstre, toi. Oui, tiens, c'est pour toi, mon héros !

Elle vient pour dire non, mais c'est peine perdue, le chien est déjà en train d'engloutir le contenu de la boite, bavant all`grement sur le contenu et Kaitz s'approche, une magnifique rose d'un rouge vibrant dans la main.

Elle prends avec plaisir la rose et le baiser qui lui a été dérobé plus tôt.

Tu sais, ta mère n'aurait pas aimé que tu ne partage pas ses biscu...

Un mouvement derrière Kaitz, un grognement et un claquement de mâchoires. Jetant un regard, l'italienne écarquille des yeux, perdant le fil de sa pensée.

D'un côté d'un biscuit, Hess le tenant délicatement dans son immense gueule bavante. L'autre, César qui grogne comme un fauve, le voulant absolument. Avec un gémissement dépité, le grand bleu le lui laisse, se lèche ses énormes babines avant de replonger dans al boite.

Elle a d'abord un air ahuri, puis totalement dégouté lorsqu'elle voit O'Connor se relever en grignotant avec appétit le biscuit baveux.

Heu... Comme je disais, si tu demandais à ta mère de nous en renvoyer d'autres? Je crois que yen a qui n,en ont pas mangés depuis trop longtemp.

Elle s'appuis la bouche contre l'épaule de Kaitz, fixe César totalement découragée. Ca s'arrange pas son truc depuis qu'il vit seul...

- Tu sais, ta mère n'aurait pas aimé que tu ne partage pas ses biscu...

Lareless est coupée par une réaction de possessivité canine... et une autre humaine. Le chien capitule devant l'insistance de Cesar. Brave bête ce Grand Bleu. Il adresse un regard attendri aux deux bêbêtes, l'une bleue, l'autre violet-mauve carauté verte et noir.

- Ma mère serait ravie, qu'est-ce que tu crois ! réplique Kaitz, hilare. Vraiment, Zar est imbattable.
- Heu... Comme je disais, si tu demandais à ta mère de nous en renvoyer d'autres? Je crois que yen a qui n,en ont pas mangés depuis trop longtemp.
- Je crois bien, oui.
- Content de te revoir Kaitz . Tu es le bienvenu chez moi.
- Content aussi, Zar ! C'est beaucoup mieux comme ça. Beaucoup plus présentable, surtout quand on a de la visite. J'ai moins l'impression que tu m'fais des avances, même si c'est presque impossible de ne pas me faire des avances. Demande à Less. Incapable de se retenir, même en publique.

Il jette un coupe d'oeil rapide à Less, puis s'attarde un moment. Il la détaille puis hoche la tête, une pointe admirative dans le regard.

- Ça va de soi, dit-t-il avec un sourire. Quoique d'un autre côté, avec les roses, on pourrait croire que c'est moi qui fait les avances... mais c'est pas ma faute. j'ai pas eu le choix en fait. Tout à l'heure, chez la fleuriste, je voulais une seule rose rouge. Elle ne voulait pas. Elle a dit qu'elle préférerait sans doute tout un bouquet. J'ai dit d'accord et choisit les jaunes. Elle n'était pas d'accord. J'l'ai même vu pâlir. J'lui ai dit que c'était ça ou rien. Elle a choisit ça... et j'ai fait ajouter la rouge que j'ai retiré du bouquet aussitôt sorti de la boutique. Non mais. Il a un sourire en coin et ajoute. J'ai pas insisté à lui démontrer tout ça, sinon j'allais être en retard.

Lareless lui jette un regard noir. Franchement... Ce n'est pas très hygiénique et ce sale con l'encourage en plus! Il n'y en a pas un pour racheter l'autre.

Biscuit en bouche, les mains dans les pantalons de pijamas, César se relève.

Content de te revoir Kaitz . Tu es le bienvenu chez moi.
- Content aussi, Zar ! C'est beaucoup mieux comme ça. Beaucoup plus présentable, surtout quand on a de la visite. J'ai moins l'impression que tu m'fais des avances, même si c'est presque impossible de ne pas me faire des avances. Demande à Less. Incapable de se retenir, même en publique.

Il jette un coupe d'oeil rapide à Less, puis s'attarde un moment. Il la détaille puis hoche la tête, une pointe admirative dans le regard. Elle a un air féroce, outré. Un petit coup de coude dans les côtes accompagné d'un sale con! Bien senti. Pfft. Quel gamin! Elle ne perd même pas d'énergie
à répliquer.

- Ça va de soi, dit-t-il avec un sourire. Quoique d'un autre côté, avec les roses, on pourrait croire que c'est moi qui fait les avances... mais c'est pas ma faute. j'ai pas eu le choix en fait. Tout à l'heure, chez la fleuriste, je voulais une seule rose rouge. Elle ne voulait pas. Elle a dit qu'elle préférerait sans doute tout un bouquet. J'ai dit d'accord et choisit les jaunes. Elle n'était pas d'accord. J'l'ai même vu pâlir. J'lui ai dit que c'était ça ou rien. Elle a choisit ça... et j'ai fait ajouter la rouge que j'ai retiré du bouquet aussitôt sorti de la boutique. Non mais. Il a un sourire en coin et ajoute. J'ai pas insisté à lui démontrer tout ça, sinon j'allais être en retard.

Bien tant mieux! J'aurais été jalouse...

Dit Less en métapophosant un verre vide en vase de cristal finement taillé. Une gorgée de vin, puis elle va mettre SA rose dans l'eau. Une simple rose la touche plus qu'une douzaines. Kaitz le sait, sinon il aurait pris deux douzaines certainement.

Alors vous avez une chambre à vous deux, elle est même insonorisée. J'ai pensé à tout. Franchement! On sait se tenir César... Tu devrais... Heu non oublie ca. Dit elle, un sourire dans la voix. Vous avez faim ? Elle jette un coup d'oeil perplexe à Kaitz, puis hausse les épaules. De toute facon, César semble bien déterminé à faire son hôte parfait. Tant qu'il ne va pas lui chercher de l'eau en pleine nuit ca va aller. Alors Kaitz...Tu deviens quoi? T'es à Poudlard comme Less? Allant porter SA rose dans sa chambre, elle les laisse seuls un moment. Elle a encore du bagage à défaire et veut se changer pour manger.