Vos us et coutumes. [PV Serena]

Elias Walsh, était un jeune habitant londonien. Du haut de ces 33 piges, il en faisait peut être 10 de moins. Enfin, il s’était résigné à habiter dans un petit appartement, face au Greenpark. Il s’était toujours très bien habitué au us et coutumes des moldus qui l’entouraient. Il passa la principal de sa matinée à griffonnée sur quelques parchemins des formules complexes pour son travail. Habillé d’un simple caleçon, sans complexe il se baladait dans son appartement au grande bais vitrée. Non ne vous inquiéter pas, ces fenêtres étaient par de larges rideaux de lin écru. Sur une grande table en bois massif de forme carrée qui pouvait accueillir aussi bien 4 que 20 personnes Made in Ikea, il avait allongé de ton son long des fringue. Oui, Elias est quelque peut, ça lui arrive, obsédé par ces diverses « hallways » qu’il peut s’acheter. Hélas, celle-ci n’était plus portable. Trop petit, plus du tout à la mode, et à présent importable. S’il était toujours célibataire ce n’est parce qu’il passait ces journées à travailler ou à chercher cette petite relique familiale, et ancestrale perdu. Mais, c’est que par simple conclusion qu’aucune de ces divines demoiselles qui étaient entrée chez lui, qu’elle soit moldus ou sorcière avait été fidèle à ses sentiments. Cependant, il n’avait pas un cœur très solide. Enfin, il avait arrêté toute recherche un temps soit peu poussé à trouver comme certain dise, l’âme sœur.

Il était vêtu d’un jean G-star, de derbys marron en cuir brossé et d’un pull noir à col en châle. Il était exactement 11h. C’est ce que lui indiqua sa montre. Il passa son regard dans tout l’appartement. Cherchant un paquet rouge au ruban bleu. S’énervant sur lui-même, par faute de ne pas ranger correctement ses affaires, il prit sa baguette et dit « accio paquet ! ». C’est alors, qu’un gros paquet de couleur rouge au ruban bleu et de forme carré, arriva doucement vers Elias en flottant dans les airs. Il avait rendez vous, avec sa filleule Serena. C’était une vielle amie de ses parents. Ils l’avaient connu dés son plus jeune âge. Ses parents adoptifs étant des grands amis à eux-mêmes. Ils ne se voyaient que très peu de fois par ans. Mais il était bien au courant de ce qu’elles faisaient. Il avait toujours gardé un œil sur sa filleule, qui dés son plus jeune âge avait apprécié le gout du risque. Un peu comme son parrain. A présent qu’elle était à l’université. C’était une grande fille. Enfin, il avait toujours eu du mal à admettre son âge. Il prit le cadeau entre ces mains, et claqua la porte d’entré. Il fut alors, présent dans un petit couloir au mur jeune canari. Il fit trois pas, et se retrouva après avoir poussé une autre porte en bois, sur quelques marches qui descendaient dans la rue. Il avait rendez vous dans quelques minutes avec Serena. Le temps était clément pour le mois de Septembre, et Londres grouillaient de touriste en tout genre. Ces cheveux ébouriffés voletaient dans la brise londonienne.

Il ne mit que 10 minutes pour rejoindre un petit restaurant en centre ville. C’était plutôt kitch mais assez luxueux. Il poussa la porte en un cliquetis. Il s’avança vers un serveur, et avec un sourire tendre, celui-ci lui désigna la table réservé. Elias partit s’assoir attendant la venu de sa petite filleule.

Scrr. Scrr. La jeune femme posa sa plume dans son encrier. Elle bailla et s’étira. Ce que c’était fatiguant de travailler ! Serena regarda en direction de son réveil, ce dernier affichait 10h30. Quoi ? Déjà ? Oups ! Elle n’avait pas vu le temps passer lorsqu’elle avait fait ses devoirs. Elle se leva de chaise de bureau rapidement, manquant au passage de se ramasser lamentablement. La blonde ôta son short de pyjama, qu’elle avait gardé depuis qu’elle s’était levée, sauta dans son jean qui était resté sur son lit depuis la veille. Elle partit ensuite en direction de son placard, où elle choisit un haut correct, puis se dirigea vers la salle de bains de sa chambre universitaire. Serena ouvrit de nouveau la porte de cette pièce, -d’où elle sortit coiffée, quelque peu maquillée et même chaussée-, cela cinq minutes après y être entrée. Elle attrapa en vitesse un manteau et un petit paquet sur son bureau, puis elle sortit de la chambre.

Une fois dans les rues de Londres, elle chercha un petit restaurant où l’attendait son parrain, Elias Walsh. Il lui fallut bien un quart d’heure pour le trouver. Lorsqu’elle fut devant le restaurant, elle regarda dans ce dernier, grâce à la bais vitrée. Elias était déjà présent. Elle sourit et entra dans le restaurant. Un majordome lui demanda son nom.

- Van Der Woodsen. Mais j’ai rendez-vous avec Monsieur Walsh.

Dit-elle en continuant son chemin. Une fois au niveau de son parrain, elle passa ses deux fines et délicates mains autour du cou de l’homme tout en annonçant :

- Eliiiiias ! Mon parrain adoré !

Serena avait bien insistée sur le « i » dans le prénom du garçon, on ne sait pourquoi. L’ancienne Gryffondor déposa une bise sur chaque joue de son parrain et la lâcha enfin de son emprise pour aller s’asseoir en face de lui. Il y avait un énorme sourire sur ses lèvres. A chaque fois qu’elle voyait son parrain, c’était une journée formidable. Elle l’adorait. Il était comme son frère pour elle -bien qu’elle en ait déjà un-. Ils se connaissaient depuis qu’elle était toute petite, d’ailleurs elle ne se rappelait plus comment ils se connaissaient exactement, mais elle savait que ses parents étaient amis avec les siens.

En s’asseyant il prit soin de posé la cadeau de Serena sur son assiette. C’était juste un petit présent, il ne l’avait pas vu depuis longtemps, et puis c’était en quelque sorte pour la félicité de son entré à l’université. Il n’était jamais venu dans ce restaurant chic. Une grave erreur, il était très conviviale, et les cartes étaient écrites en Français. Il avait toujours adoré cette langue. Il l’a parlait que très peu, mais à chaque fois qu’il avait l’occasion d’un dire un mot ou une phrase, - il trouvait sa si sexy avec ce côté un peu aristocrate – qu’il avait acheter un petit dico moldus, « parlez le Français ».

C’est alors, qu’une jeune femme au cheveux blond et bouclé, entra dans le restaurant. Il l’a reconnut dès le premier regard. Elle avait bien grandit, mais elle était toujours très belle. Il l’a vit se précipité vers lui. Un grand sourire en bouche.

Serena_ « Eliiiiias ! Mon parrain adoré ! » Suivit d’une étreinte et de bises.

Il laissa passer son sourire malicieux, pour la regarder droit dans les yeux. Elle avait exactement les yeux de sa mère. Puis après une seconde de silence entre les deux personnages. Il reprit. C’était un vrai plaisir que de la revoir. Il l’avait toujours connut.

Elias_ « Alors Sé’, comment vas-tu ? Comment ça se passe à l’université ? »

Elias y avait toujours rêver d’y rentrer un jour, enfin c’était quand il était plus jeune. Il aurait adoré faire des études poussé sur la défense contre les forces du mal. Mais il avait préféré faire quelques années sabbatiques, suivit d’un grand retour aux études pour se former à devenir Langues de Plomb. Cependant, durant ces années, ou le glandage aurait du être sa priorité, il avait sut se retrouver après la mort de ces parents adoptifs. Il en avait eu grand besoin. C’est à cet époque, qu’il avait beaucoup dialoguer, par lettre avec la petite Sé’ qui avait 5 année de moins. Elle n’avait que 12 ans, mais elle avait sans aucun doute redonner le sourire à Elias. C’est surement, pourquoi il a toujours entretenu une liaison avec Serena, comme celle d’un frère et d’une sœur. Avec un léger sourire, il montra du doigt, le petit paquet posé sur la serviette de Serena. C’était la bague de sa vrai mère. Qu’il avait chercher pendant de nombreuses années. Grace à son travail, il avait retrouver ces origines. Et plusieurs choses qui malgré sa maturité lui faisait peur. Cette bague, était en absolument magnifique, argent, et émeraude. Seulement, Elias n’avait jamais put l’identifier comme étant exactement une émeraude. Il l’avait retrouver chez Gringotts. Il avait trouver beaucoup d’autres bijoux de famille là bas. Mais celui-ci, il en était convaincu plairai à Sé’. Peut être avait il des vertus magiques, il n’en savait rien.

- Alors Sé’, comment vas-tu ? Comment ça se passe à l’université ?
-Très bien. J’ai retrouvé beaucoup de personnes de Poudlard. Je suis même avec quelqu’un que je connaissais vaguement… Et toi, ton travail, tout ce passe bien ?

Serena resta évasive au sujet de l’université. Ce n’était pas la peine de dire qu’elle s’éclatait comme une folle. Sans vouloir parler des cours, mais plutôt ce qu’elle avait fait un matin, à la place de ceux-ci… Ce n’était pas très catholique et pas très reluisant, d’ailleurs. Sacré Dakota. Cependant, ce petit écart ne se reproduirait pas. Elle se l’était promis. Mais bon après, allez savoir si elle s’y tiendrait…

Elias pointa du doigt un paquet qui était sur son assiette, en face d’elle. Serena s’était doutée que son parrain, pour le peu de fois où ils se voyaient, allait lui offrir quelque chose. Mais le voir, c’était déjà un cadeau formidable. Serena s’apprêta à ouvrir son paquet lorsqu’elle se rappela qu’elle en avait aussi un -bien qu’il soit vraiment petit- pour son parrain. La blonde fouilla dans la poche avant droite de jean et en sortit un tout petit emballage. Dedans se trouvait une clé et une adresse. La clé de sa maison en France et l’adresse de celle-ci. C’était là-bas qu’elle passait le plus clair de son temps lorsqu’elle était en vacances l’été. Elle avait dit à ses parents qu’elle aurait aimé voir plus souvent Elias, et ceux-ci avaient eut la bonne idée de faire un double des clés de la maison pour son parrain. Comme ça, s’il avait des vacances en même temps qu’elle, ils pourraient se voir.

Lorsqu’elle eut donné le paquet à Elias, elle se décida enfin à ouvrir le sien. Le papier était rouge, et le ruban bleu. Après avoir retiré le papier délicatement, elle ouvrit la boîte. A l’intérieur était posé une magnifique bague en argent –le métal qu’elle préférait-, et dessus il y avait une sorte d’émeraude. Pendant plusieurs instants, les yeux de Serena restèrent ronds comme des billes. Etait-ce vraiment pour elle ? Peut-être que Elias s’était trompé de cadeau ? Non. Ce n’était pas son genre. L’étudiante enfila le bijou à son annulaire droit, puis se releva de sa chaise pour aller sauter au cou de son parrain.

- Ooh merci Elias ! Elle est magnifique ! C’est trop gentil !

Serena_ « Très bien. J’ai retrouvé beaucoup de personnes de Poudlard. Je suis même avec quelqu’un que je connaissais vaguement… Et toi, ton travail, tout ce passe bien ? »

Il se doutait, qu’elle n’en dirait pas plus. Il lui fit un discret clin d’œil, et se douta, qu’elle n’avait plus l’âge à respecter des règles de saintes ni touches. D’ailleurs, de ce qu’il puisse se souvenir, il ne l’avait jamais cru sainte ni touche.

Elias Walsh_ « Ca se passe ! Je suppose que tu as entendu parler de la dernière attaque au ministère ? »

Il n’avait pas l’intention de lui faire un résumé de la situation. Mais, il vit dans les yeux de la jeune femme, une certaine méfiance, elle lui acquiesça juste d’un signe de tête. Et il n’en demanda pas plus. C’est alors, qu’elle lui tendit un très petit paquet. Il avait toujours entendu dire, venant d’une femme, que dans ceux-ci se trouvait souvent les plus beaux. Surement en référence à une bague de fiançailles ou autres parures. Il parut tout d’abord surpris – non pas du geste affectif qu’était ce cadeau – mais de ce qu’il y avait à l’intérieur. Mais Serena fut la première à réagir.

Elias Walsh_ « Ooh merci Elias ! Elle est magnifique ! C’est trop gentil ! »

Il eut à peine le temps de relever la tête, que Sé’ se jeta à son coup. Son sourire charmeur, la laissa muette. Puis, reprenant ses esprits, il réussit à articuler quelques mots.

Elias Walsh_ « Ah, j’étais sûr qu’elle te plairait. Elle vient de ma mère, et dès que je l’ais vu, j’ai pensé à toi. »

Il abaissa la tête, puis prit la clef entre ces mains, et lu le petit papier plié. « France ». Il savait que les parents de Serena, possédait une gigantesque propriété en France. Il eut un sourire, en biais, puis regarda Serena et dit, avant qu’elle n’ait eu le temps de répondre à ce qu’il venait de lui dire précédemment.

Elias Walsh_ « Je n’aurais jamais pensé à ça ! Oh, c’est génial ! Je sens que mes prochaines vacances seront un régale ! Merci, ma puce. »

- Ca se passe ! Je suppose que tu as entendu parler de la dernière attaque au ministère ?
- Heu… Oui, j’en ai entendu parler, mais vaguement…

Serena ne préférait pas s’attarder sur le sujet. Savoir que son parrain travaillait au ministère pendant que ce dernier était attaqué, ça ne l’enchantait pas vraiment… Ensuite, lorsqu’elle remercia le jeune homme de son magnifique cadeau, il lui fit un sourire et parla.

- Ah, j’étais sûr qu’elle te plairait. Elle vient de ma mère, et dès que je l’ais vu, j’ai pensé à toi.

De sa mère ? Et il lui avait donné ? C’était vraiment gentil… Elle voulut répondre quelque chose, mais il ne lui en laissa pas le temps, puisqu’il annonça, après avoir prit la clé dans ses mains, qu’il sentait que ses prochaines vacances seraient un régal et il la remercia. L’étudiante sourit. Elle adorait quand on l’appelait « ma puce », mais encore plus quand c’était son parrain… On ne peut l’expliquer. Elle avait vraiment tissée des liens spéciaux avec son parrain lorsqu’ils s’étaient écrits après la mort des parents adoptifs. Serena alla se rasseoir avant de reprendre la parole en montrant du doigt la clé :

- C’est mes parents qui ont eut l’idée… Je leur ai dit que je ne te voyais pas assez… J’ai hâte qu’on passe les vacances ensemble !

Serena_ « C’est mes parents qui ont eut l’idée… Je leur ai dit que je ne te voyais pas assez… J’ai hâte qu’on passe les vacances ensemble ! »

Il eut à peine le temps de lui faire un grand sourire, qu’une jeune femme au physique longiligne s’approcha de leur table, vêtu d’un tailleur noir parfaitement repassé. Elle tenait dans sa main un petit calepin électronique. Elias lui jeta un regard noir, -renvoyant l’image que la serveuse lui donnait-, elle changea immédiatement de comportement, s’approchant d’eux avec un léger sourire pincé. Il rangea la clef, dans l’une des poches de son jean. Et jeta un dernier coup d’œil au menu. Il avait déjà fait son choix, en attendant Serena qui n’était pas encore arrivé. Arrivant face à Elias, la serveuse s’éclaira la voix. Elias remarqua la minuscule petite plaque en or, où le nom de la serveuse était marqué. « Florence ».

Florence_ « Bonjours, avez-vous fait votre choix mademoiselle ? »

Il était de coutume de demander en premier aux jeunes femmes. Il laissa Serena faire sa commande, et à son tour dit :

Elias Walsh_ « Je prendrais votre spécialité, un canard à l’orange si je ne m’abuse. Avec un bon vin, et apportez nous une bouteille de champagne, s’il vous plait. »

Elle tapota à toute vitesse l’écran tactile de son calepin, et partit vers les cuisines. Le restaurant, était vraiment très chic. L’intérieur était de forme ronde. Tout d’ailleurs, était de forme ronde. Il y avait une petite table centrale, où se trouvait Elias et Serena, puis plusieurs petites tables rondes pour deux personnes autour d’eux. L’endroit était plutôt chaleureux. Les murs étaient de couleur chocolat, et le plafond d’un blanc nacré, d’où se suspendait un gigantesque lustre de cristal. A Droite d’Elias, une petite porte, avec un hublot, c’était là qu’était rentré la serveuse, il y à peine 1 minute. Face à lui, et derrière Serena se trouvait une petite entrée sombre, à votre gauche les toilettes, et face à vous, la porte d’entré. Si de l’extérieur on pouvait avoir l’impression d’être compressé à l’intérieur de ce rond gigantesque, c’était tout à fait différent vu de l’intérieur.

C’est alors, que la porte des cuisines s’ouvrit délicatement, Florence, tenant dans sa main une bouteille de champagne et quelques coupes en Crystal brillantes. Elle les posa près de chaque main droite d’Elias et Serena. Acquiesça d’un signe de tête, et repartit. Elias, regarda joyeusement Serena dans les yeux, et leva son verre.

Elias Walsh_ « Ah nos prochaines vacances ! Et à ta réussite. »

Serena Van Der Woodsen_ « Surtout à nos prochaines vacances ! »

Sur le visage d’Elias se dessinait un grand sourire, de soulagement et d’excitation. Elias bu une bonne gorgée de son champagne, et tout en fixant la petite cuillère placé à sa gauche, il continua :

Elias Walsh_ « Je ne t’ais pas demander comment vont tes parents ? –il leva la tête vers Serena et poursuivit- Et toi, as-tu un petit copain ?

Le sourire, visible dernièrement, avait disparut pour laisser place au regard malicieux et curieux, qu’il savait si bien faire. Rien ne pouvait lui résister. C’était apparemment la même chose pour son père biologique, de ce qu’il avait pu lire dans son journal intime, il avait un caractère de grand curieux. Si vous voyez ce que je veux dire. Elias déplia sa serviette et la posa sur ses genoux. Il reprit la coupe de champagne entre ses doigts, et posa ses lèvres sur celle-ci, les trempant de champagne pétillant. Il était à présent 13h. C’est ce que l’horloge annonça. Autour, d’eux, quelques groupes de jeunes gens s’étaient accumulé sur les petites tables chics du restaurant. Par jeune gens, Elias entendait bien sur, que tous était issu d’un milieu chic, et haut gradée. Il reconnut l’emblème d’une école moldus, c’était un jeune garçon qui l’a portait. Il était grand, vêtu d’un petit pull en coton vert, une cravate verte et jaune et sur son cœur un espèce de bouclier blanc et vert. L’école était à, à peine 5 minutes.

La serveuse poussa alors la porte de la cuisine. Elle avait les cheveux plus ébouriffés qu’aux par avant, et son chignon ne ressemblait plus à rien. Voilà, ce que ça donne de fricoter avec le cuisinier. Elle portait dans chaque main le plat d’Elias et de Serena.

Serena_ « Non, pas de petit copain… Et toi, une copine ? »

Elias _ « Oh, heu… non. » lui répondit-il en essayant de sourire du mieux qu’il le pouvait.

Il avait bien eut des conquêtes, dans ses heures creuses. Mais aucune n’était apte à avoir une liaison « durable » avec Elias. Depuis le temps. Il avait plus de 33 ans, et il était toujours ce « même » célibataire que lorsqu’il n’avait que 16 ans. Bon c’est vrai, je vous l’accorde, il n’est plus le même « homme ». Mais dans le fond, on peut se dire qu’un célibataire est un célibataire. Il la trouvera surement un jour. Pour le moment c’était plus le temps d’une soirée sympa. Pour ne pas tomber dans le vulgaire. Elias, pendant ce temps, déposa délicatement sa serviette sur ses genoux. Il eut juste le temps de voir son assiette se déposer face à lui, et le clin d’œil de Serena.

Serena_ « Bon appétit Elias ! »

Elias_ « Merci ma puce, toi aussi »

Il prit le couvert du milieu, à droite puis à gauche. Et dégusta un morceau de son canard à l’orange dont l’odeur était très appétissante.

Elias_ « Au faite, comment vas ton frère ? Ca fait bien longtemps que je n’ais pas eu de nouvelle de lui ! Oh et tu me feras penser tout à l’heur qu’il faut qu’on aille faire quelques boutiques. »