Bah quoi ? C’était une envie pressante. – PV

DRING !!! Bruit du réveil. BAM ! Deuxième bruit de réveil lorsqu'il se prend un coup de poing. SCRACK ! Troisième et dernier bruit pour signaler que le réveil était out et qu'il lui faudrait le réparer. Chaque matin, depuis près de deux semaines, Dakota devait se lever de son putain de lit, qui de plus, était pas de ce qu'il y avait de plus confortable. Mais bon, pour ce qu'il y faisait, à part dormir, Dakota ne trouvait pas nécessaire d'avoir un lit douillet. Au moins, ainsi, il se sentait obligé de se lever pour aller en cours.

Son père n'aurait pas à lui repprocher de s'être emporté à son égard si il n'allait pas en cours, car normalement, Dakota n'aurait pas du poursuivre ses études à Londres, mais à Mexico. Le fait qu'il soit l'une des cibles d'Heinrish à cause d'une idée folle de Faust, mais qui n'était pas sans conséquence comme l'avait souligné Swane à Marguerita, Dakota avait donc décidé de les continuer en Angleterre, contre le grès de Miguel. Dakota s'imaginait mal raté son année scolaire après avoir foutu la merde entre son père et sa grand mère.

- Putain... Déja.

Oui, ce n'était pas un lève tôt. D'ailleurs, son cours sur les sortilèges, il allait sûrement le rater. 9h 50. Dix minutes pour se préparer ? Gros fuck pour les sortilèges. Toute façon, il excellait dans ce domaine. Miguel n'arrivait pas à comprendre cela. Quand il avait vu la note des ASPICs de son fils, il avait été choqué par sa foutu note de Métamorphose, mais il avait eut un air de suffisance et de fierté plus qu'élevé lorsqu'il avait vut la note de DCFM. Son fils marchait sur ses traces, et il en était fièr.

- Allez, Dakota, on se bouge.

Se levant tout en soupirant comme un dément, les yeux petits par la fatigue, il se leva de son lit tout en remettant son caleçon en place (XD !! Fallait la touche comique ! Faut dire que dans la nuit, à force de bouger, ca devient génant après ! PTDR !!!!), il s'amena à son armoir, puis ouvrant la porte, il sortit une chemise blanche avec le blason d'Oxwarts, et un pantalon noir très classe. Une fois lavé et vêtu, Dakota sortit à 10h 20. Il avait donc, raté le début du cours, mais cela n'allait pas l'empêcher d'aller faire un petit tour au toilette. Faut dire que le pipi du matin, si on le fait pas... Ok, je sors. Chui dans mon quart d'heure stupide.

Poussant la porte, il vit une jeune femme dans les toilettes des garçons. Au début, il n'y fit pas gaffe, ce n'est que lorsqu'il était au piçautoire et qu'il était entrain d'uriner et qu'il avait levé le regard vers la personne qu'il constata que c'était Serena. Il eut un sourire appréciateur. Fallait dire qu'il n'y avait rien à jeté dans ce petit lot. Dakota pencha légèrement sa tête vers l'arrière pour admirer la partie postérieur de la miss.

- Quoi ? T’as jamais vu une fille dans les toilettes des garçons ?
- Si, mais pas des si jolies.
- Bah alors, je te fais peur ou quoi Dakota ? T’as donné ta langue au chat ?
- Non, mais j'aimerais te la prêter.

Il finit de pisser, faisant tomber LA goutte que bien des hommes faisaient sur la cuvette au détriment de leur femme ou de leur mère (les détails croustillants ), il rentra son matos sans aucune pudeur réelle. Passant devant la miss, il se mouilla les mains, puis se mettant du savon pour se les laver car je ne vois pas d'autres utilités, Dakota, regardant dans le miroir tout en se frottant les mains, demanda.

- Alors, la miss ? T'as rentré à Oxwarts ? Cool ?

Il se passa les mains sous le jet pour en enlever la mousse, puis, il les mit sous le sécheur magique.

- Quoi ? T’as jamais vu une fille dans les toilettes des garçons ?
- Si, mais pas des si jolies.
- Bah alors, je te fais peur ou quoi Dakota ? T’as donné ta langue au chat ?
- Non, mais j'aimerais te la prêter.
- Si ça ne tenait qu’à moi…

Le garçon paraissait quelque peu sans gênes. Non, il pissait devant elle, remballait ce qu’il avait a remballé, mais sans aucune pudeur. Ben mon vieux. Non pas qu’elle soit choquée, non elle en avait vu d’autres. Mais bon, heureusement qu’ils se connaissaient. Tout le monde n’aurait pas apprécié, la… Vue. Puis, lorsqu’il se lava les mains, il lui demanda si elle avait passée une bonne rentrée. Un sourire s’afficha sur les lèvres de Serena. Elle s’appuya sur une porte des toilettes, en espérant que personne n’était dedans, car si cette personne sortait, Serena tomberait dessus.

- Très bonne. Devine avec qui je suis dans la chambre… Yuki. Et la tienne ?

Elle sentait qu’elle allait le mettre en pétard. Mais elle continua.

- Et j’ai vu ton fils. Très mignon. Je vois que tu ne fais pas les choses à moitié…

Pauvre petit. Ses parents étaient très jeunes, et ils étaient déjà séparés. Mais peut-être cette situation ne durerai-t-elle pas ? Alors elle reprit, plus sérieusement cette fois.

- Ca va, ils ne te manquent pas trop tous les deux… ? J’espère que tu pourras voir ton fils autant de fois que tu le souhaiteras…

Serena avait dit ça avec un ton de compassion, bien qu’elle n’ait jamais vécue ce genre de situation. Ses relations amoureuse n’avaient durées tout au plus deux semaines. Pas de quoi être tombée vraiment amoureuse du garçon…

- Si ça ne tenait qu’à moi…
- Tu me la mangerais ?

Grand sourire de la part de l'EX_ Serpentard. Ce dernier se sécha les mains sous le séchoir magique automatique, et la chaleur qui s'en échappée, était très agréable. Elle lui rappelait la chaleur que répandait les rayons du soleil sur sa peau lorsqu'il se balladait en compagnie de son cousin et de son frère dans les rues d'Acapulco avec une petite attitude bien jemelapète. Enfin, bon. Que des bons souvenirs. Il se retourna pour faire face à Serena qui venait de s'appuyer sur l'une des portes des toilettes, et il s'asseya sur le lavabo. Cette dernière enchaîna dans la conversation.

- Très bonne. Devine avec qui je suis dans la chambre… Yuki. Et la tienne ?
- Chui avec Parker.

Il n'avait pas relevé le fait qu'elle soit dans la même chambre que Yuki. C'était un sujet délicat pour le jeune Almadovar. Parler de son EX_ qu'il aimait toujours à en mourir, le rendait mal à l'aise, car même si il avait fait confiance à Matthew sur ce que ce dernier lui avait balancé à propos de Yuki, il ne pouvait s'empêcher d'avoir un coin de son coeur qui ne cessait de la défendre ardemment. Il avait cillé le regard ce qui ne se passait que rarement, car Dakota, de nature très fière, ne coupait jamais le regard qu'il plongeait dans celui d'une autre personne. C'était impoli puis ça faisait tellement faux jetons. Une chose que Dakota ne supportait pas. Néanmoins, Serena semblait vouloir parler de la Miss Harada. Dakota sentait ses tripes se tordre dans son abdomen. Y en a, il s'en serait prit une dans la tête rien qu'en énnonçant le nom de la belle Harada.

- Et j’ai vu ton fils. Très mignon. Je vois que tu ne fais pas les choses à moitié…
- Tu t'attendais à quoi d'un beau gosse comme moi ? Normal qu'il arrache. Quand on voit qu'il a en père... Y a des femmes qui tueraient pour avoir un marmot comme j'ai fais avec... Avec elle. James, c'est... C'est l'élite.

Tristesse, fierté, arrogance, nostalgie. Ca résumait bien le regard de Dakota lorsqu'il avait renoué la connexion visuelle avec Serena. Un pâle sourire sur ses lèvres, Almadovar se gratouilla la joue avec un regard plongeant. Elle reprit.

- Ca va, ils ne te manquent pas trop tous les deux… ? J’espère que tu pourras voir ton fils autant de fois que tu le souhaiteras…

Autant s'ouvrir... Après tout, Serena était une fille sympa. Qu'elle rapporte ce qu'il disait à quelqu'un, et il lui arrachait sa tignasse blonde. Elle n'avait pas besoin que Dakota lui demande de ne rien dire. Lorsqu'elle croisa le regard de Dakota, elle devait s'en douter, et ne rien dire ou rapporter par principe de confiance.

- Bah... Dire non, ça serait mentir. James, j'y tiens énormément, et elle ne m'empêchera pas de le voir, sinon, elle va le sentir passer, je peux te le garantir. Elle a le gamin, car on n'était pas marié, sinon, j'en aurais demandé la garde... Mais vu qu'il porte son nom... Même si je l'ai reconnu... Aux yeux de la loi, c'est un Harada. Et vu le gouvernement présent (Les mangemorts ont le ministère à cette époque là), je ne pense pas qu'il me laisserait obtenir la garde de mon fils, sachant que les Almadovar ne sont ps réputé pour être méchant.

Il croisa ses bras tout en secouant la tête avec dénégation. A cause de ce connard de Mustang, il ne pouvait plus faire grand chose. Swane souhaitait à tout prix le conservait en vie, et Enzo et Miguel faisaient tout dans cette optique. Dakota soupira d'un air las, puis, il reprit son sourire habituelle et il lui demanda.

- Alors ? Tes vacances ?

Histoire de changer de sujet.

- Si ça ne tenait qu’à moi…
- Tu me la mangerais ?
- C’était si évident que ça ?

Un petit sourire apparut sur les lèvres charnues de la jeune étudiante. Son interlocuteur, après s’être séché les mains, s’assit sur un lavabo, en face d’elle. Le garçon ne répondit pas à propos de son ex copine, il lui dit juste avec qui il était dans sa chambre.

- Chui avec Parker.
- Ca va, y’a pire.

Dakota ne soutint pas son regard. C’était bizarre, d’habitude lui qui était si fière. Elle l’avait sans doute touché. Lorsqu’elle lui parla ensuite de son fils, il n’hésita pas à lui répondre, toujours sur un ton quelque peu arrogant et fière, bien qu’elle sentit qu’il était triste de ce qu’il disait.

- Tu t'attendais à quoi d'un beau gosse comme moi ? Normal qu'il arrache. Quand on voit qu'il a en père... Y a des femmes qui tueraient pour avoir un marmot comme j'ai fais avec... Avec elle. James, c'est... C'est l'élite.
- Nan, c’est vrai, qu’en voyant le père, c’était impossible d’avoir un enfant horrible…

Serena croisa enfin de nouveau les deux iris noirs de l’ex Serpentard. Il semblait vouloir s’ouvrir à elle, mais craignait quelque peu qu’elle ne parle. Sur le coup, Serena se demanda si elle avait vraiment envie de l’écouté. Bon, aller… Elle lui sourit, puis il commença à lui parler de son fils, James.

- Bah... Dire non, ça serait mentir. James, j'y tiens énormément, et elle ne m'empêchera pas de le voir, sinon, elle va le sentir passer, je peux te le garantir. Elle a le gamin, car on n'était pas marié, sinon, j'en aurais demandé la garde... Mais vu qu'il porte son nom... Même si je l'ai reconnu... Aux yeux de la loi, c'est un Harada. Et vu le gouvernement présent, je ne pense pas qu'il me laisserait obtenir la garde de mon fils, sachant que les Almadovar ne sont pas réputé pour être méchant.
- Je pense que Yuki te laissera le voir, elle n’est pas comme ça, enfin, bien que je ne la connaisse pas beaucoup…

Que pouvait-elle dire de plus ? Aucunes idées. Mais si elle le pouvait, elle demanderait à Yuki si elle comptait que Dakota voit son fils, enfin leurs fils. Le garçon la sortit de ses pensées lorsqu’il lui demanda, avec un sourire cette fois, comment s’étaient passées ses vacances. L’étudiante soupira. Qu’avait-elle fait qui puisse, ne serait-ce qu’un instant l’intéresser, et ne pas le faire chier… ? S’intéressait-il au mannequinat ? Parce que s’était ce qu’elle avait fait essentiellement ces dernières vacances.

- J’ai fait un peu de mannequinat, mais surtout, je me suis fait chier. Et tes vacances, Dakie… ?

La jeune femme aimait beaucoup trouver des surnoms à ses amis. Et ceux-ci finissaient souvent en « ie ». Ensuite, Serena se décolla de la porte des toilettes, pour aller en direction d’un miroir, celui qui était près du lavabo où se trouvait Dakota. Puis elle se recoiffa, passant des doigts fins dans ses cheveux blonds.

- Je pense que Yuki te laissera le voir, elle n’est pas comme ça, enfin, bien que je ne la connaisse pas beaucoup…
- Je ne sais pas... Elle est vraiment chiante, quand elle le veut. Enfin, bon. Qui ne tente rien, n'a rien.

Dakota eut un soupir de lassitude des plus intenses. Il en avait eut marre de cette dernière. C'est vrai. Elle l'avait complètement blessé. Matthew lui avait rapporté certaines choses qui lui avait complètement retourner l'estomac. Néanmoins, il avait décidé de ne pas se laisser abattre, et comme à chaque fois, il se retournait vers les femmes pour jouer à chat et à la souris.

- J’ai fait un peu de mannequinat, mais surtout, je me suis fait chier. Et tes vacances, Dakie… ?

Au surnom, il grinça des dents, mais il ne dit rien. Après tout, Saena, sa meilleure amie, ne cessait de l'appeler comme cela, et ça ne le génait pas du tout. Néanmoins... Lorsque cela sortait de la bouche d'une autre personne, ça avait du mal à passer autravers de la gorge où il se passa une main, comme pour éviter de ne rien dire sur le surnom. Néanmoins, elle avait fait dans le mannequinat. Dakota en avait un peu durant la fin juillet lorsque ses soeurs mettaient en avant leur nouvelle tenue qu'elles avaient crée. Convocation des photographes et tout, ce n'était pas du n'importe quoi. Et puis, elles avaient de bonnes relations dans la gazette du sorcier. Ava et Clarence, par exemple qui étaient leurs meilleures amies. Se connaître depuis Poudlard... C'était utile, en faites. D'ailleurs, c'est là bas, qu'il rencontra Landon Whal, un étudiant en Medecine que l'une de ses soeurs avaient croisé sur le chemin de traverse et qui avait totalement craqué sur ce dernier.

- Sans dec', tu travailles là dedans ? J'ai mes deux soeurs aînées qui ont une boutique de vêtement qui commence à se faire un nom dans la société huppé sorcière. Si ça te branche, je pourrais toujours en touché deux mots... Ca te fera rencontrer du monde, et puis... Tu toucherais de sous pour les défilés...

Dakota eut un sourire bienveillant, puis, il la regarda s'approchait du lavabo. Dakota se plaça à côté du séchoir magique automatique, tout en conservant la même position. Adossé contre le mur, les bras croisés ainsi que ses jambes. Elle se recoiffait avec d'une certaine façon qui Dakota trouvait très élégante. Automatiquement, son regard descendit le long de l'anatomie de la jeune femme.

- On t'a déjà dit qu't'avait un beau ptit cul ?

Bah, dis donc, Dakota ! On se lâche ?

- … Qui ne tente rien, n'a rien.

Cette phrase lui disait vaguement quelque chose. Elle l’avait souvent entendu. Peut-être ses parents ?! Bref. Elle n’avait pas entendu le début de la phrase. Oups. Mais à en voir la tête qu’il avait, il avait du dire qu’il en avait assez d’elle ou un truc du genre. La jeune femme eut un sourire compatissant.

Il y eut pendant quelques instants un blanc. Serena n’aimait pas les blancs. On aurait dit que le surnom qu’elle venait de trouver à Dakota était la cause de ce blanc. Nan, sérieux ? Il finit par reprendre la parole, annonçant :

- Sans dec', tu travailles là dedans ? J'ai mes deux soeurs aînées qui ont une boutique de vêtement qui commence à se faire un nom dans la société huppé sorcière. Si ça te branche, je pourrais toujours en touché deux mots... Ca te fera rencontrer du monde, et puis... Tu toucherais de sous pour les défilés...
- Ouais, ça pouvait être sympa. Mais pour les sous, t’en fais pas, j’en ai pas besoin. Ca pourrait être amusant. Faudra que tu leurs demandes si elles ont besoin d’aide…

Elle était maintenant en face du miroir, en train de se coiffer. Dakota, était à côté d’elle, près du séchoir automatique magique (vas-y le nom à rallonge xD), et elle sentait qu’il l’observait. Même si cela ne la gênait pas, -non elle avait trop l’habitude- mais elle se demandait cependant pourquoi il l’observait. Elle eut la réponse, quelques secondes après.

- On t'a déjà dit qu't'avait un beau ptit cul ?

Un sourire s’afficha sur les lèvres de l’étudiante. C’était donc ça. Elle passa une dernière fois sa main dans ses cheveux, avant de se tourner vers le garçon.

- Bien sûr, tu crois que les grands créateurs de mode m’emploient pour mon joli petit minois ? Mais merci. Le tiens n’est pas mal non plus, dans son genre.

Et ben ma p’tite… Qu’est-ce qui t’arrive… ?

- Ouais, ça pouvait être sympa. Mais pour les sous, t’en fais pas, j’en ai pas besoin. Ca pourrait être amusant. Faudra que tu leurs demandes si elles ont besoin d’aide…
- Pas de soucis, la miss. Promis, j'enverrais un hibou. T'auras rien à faire pour ça, c'est gratuit.

Il lui fit un clin d'oeil. Mais ce dernier voulait également faire oublier qu'il pouvait rendre un service sans avoir autre chose en retour. Après que l'autre l'est traité de racaille, Dakota s'était longuement demandé pourquoi ce dernier avait il osé l'appeler ainsi. C'était quelque chose qui, au premier abords, ne ressent rien sur le coups, mais qui réfléchira beaucoup par la suite lorsqu'il se retrouvera tout seul. Dakota est quelqu'un qui se remet en question depuis peu et sur conseil de sa grand mère qui le trouvait complètement à côté de la plaque. Il se passa une main sur le bas du visage pour l'enlever et laisser un sourire esquis, destiné à s'amuser.

- Bien sûr, tu crois que les grands créateurs de mode m’emploient pour mon joli petit minois ? Mais merci. Le tiens n’est pas mal non plus, dans son genre.
- Ah, je veux pas savoir, j'm'en tape un peu, tu vois. Je préfère regarder, et je constate quand c'est beau ou pas.

Dakota s'approcha de cette dernière avec un sourire sur ses lèvres. Il ne la touchait pas, mais il voulait s'amuser. Et elle l'accompagnerait. Si elle est d'accord. Dans le cas contraire, il irait en cours. Lui sussurant à l'oreille, Dakota lui dit, toujours ce sourire aux lèvres.

- Puis, il faut dire ce que l'on pense... Ohw... J't'ai pas dis mais... T'es sacrément charmante, tu sais ?

Elle avait interêt d'avoir du répondant. Sinon, Dakota se lasserait vite.

- Pas de soucis, la miss. Promis, j'enverrais un hibou. T'auras rien à faire pour ça, c'est gratuit.

Serena haussa un sourcil. De quoi parle-t-il de gratuit ? Là, il fallait avouer, elle était perdue. De toutes façons l’argent chez elle, ce n’était pas ce qui manquait. Il lui fit un rapide clin d’œil auquel elle sourit. Elle l’avait toujours pensé un peu hautain, mais là, elle se prenait une bonne leçon. Comme quoi les apparences étaient vraiment trompeuses. Quand on apprenait à la connaître, il pouvait être vraiment gentil.

Cette fois, c’est la jeune femme qui prit un air hautain. Comment lui parlait-il là ? Il lui disait qu’il se foutait de ce qu’elle racontait ? Pourquoi lui parlait-il dans ce cas ? La jeune femme croisa les bras sur sa poitrine, sans répondre.

Ensuite, avec un sourire qu’elle avait souvent elle-même sur les lèvres, il s’approcha d’elle. Sans aucuns contacts cependant. Il lui susurra à l’oreille, d’un souffle chaud :

- Puis, il faut dire ce que l'on pense... Ohw... J't'ai pas dis mais... T'es sacrément charmante, tu sais ?

Nouveau sourire. Quasiment le même que celui de Dakota. Il voulait s’amuser un peu ? Ils seraient deux à ce jeu-là. Serena adorait jouer, c’était son passe-temps. Elle décroisa les bras, les posa sur le lavabo derrière elle, où elle s’assit avant de reprendre.

- Puisqu’on est aux révélations… Je te trouve vraiment très… Attirant.

C’était tout ? Non, en fait, Dakota s’était un tout, quasi impossible à décrire. Il avait tout aux yeux de Serena. Enfin, tout pour plaire. Mais bon, il devait sûrement encore aimer Yuki, et vice versa. Ensuite, elle était nulle en relations amoureuses. Alors pourquoi ne pas s’amuser un peu ?

La réaction de Serena était on ne peut plus mieux. Dakota eut un sourire de contentement. Elle était partante pour ce petit jeu de séduction. Dakota allait s'éclater. Et puis, c'était toujours un moyen de voir si il était toujours à la hauteur étant donné sa pause de quelques longs et grands moi lorsqu'il s'était remi avec Yuki d'une façon beaucoup plus sérieuse.

- Puisqu’on est aux révélations… Je te trouve vraiment très… Attirant.

Dakota eut un sourire mutin. Il se rapprocha un peu plus de cette dernière lorsqu'elle s'asseya sur le lavabo, lui faisant ainsi face, lui présentant son corps, comme un prix si il gagnerait ce petit jeu. Il ne put que mordre sa lèvre inférieur d'une façon si... Attirante, si craquante. Il s'approcha jusqu'à ce que ses lèvres ne soient qu'à quelques centimètres de celle de Serena, pour lui dire, en reprenant le même ton que précédemment.

- Ohw... Mais qui te dit que je suis intéressé ?

Toujours en croisant son regard. Il lui fit un clin d'oeil de tout ce qu'il y a de plus expressif. Comme si il voulait imposer une certaine complicité.

Lorsqu’elle lui annonça qu’elle le trouvait assez attirant, il sourit. Ensuite, il se rapprocha d’elle. Très près d’elle, même. Si près, qu’elle n’avait qu’à tendre les lèvres pour toucher les siennes. Il lui susurra de nouveau quelque chose. Son souffle chaud la fit frissonner.

- Ohw... Mais qui te dit que je suis intéressé ?

Pardon ? Ah parce qu’il jouait avec elle sans être intéressé ? Son sourcil gauche s’arqua tandis qu’elle répondit d’un ton sec :

- Et ben écoute, pars, je ne te retiens pas…

Fais-toi désirer, ma chérie. Après tout, s’il n’était pas intéressé, tant pis. On ne jouait pas avec elle lorsqu’on voulait. C’était quand et où elle le voulait. Allait-il partir ? La porte n’était qu’à trois mètres. Tant pis si le jeu de séduction s’arrêtait là. Il y en avait tant d’autres avec qui jouer. Pour lui et pour elle, évidemment.

- Et ben écoute, pars, je ne te retiens pas…

Dans le mille. Il l'avait touché, tel un cupidon lâchant sa flèche sur une cible. Dakota était bon viseur, fallait se l'avouer. Un petit sourire à demi-amusé sur les lèvres de Dakota, il approcha son bassin de celui de Serena, puis, il passa ses mains derrière le dos de la belle Serena, les descendant jusqu'au creux des reins de la belle blonde. Dakota eut un air faussement outré par son comportement. Puis, il se recula et il eut un air dégouté de lui même. Néanmoins, ce petit sourire...

- Désolé... Je suis vraiment... Entreprenant. Enfin, ça veut dire au moins que tu es réellement belle... Tu ne m'en veux pas ?

Un air de chat potté, Dakota se rapprocha d'elle, doucement, mais d'une façon si calculé, qu'on lui aurait donné tout ce qu'il voulait. Un petit air d'enfant battu, il la reprit, comme précédemment, et il répéta.

- Tu m'en veux pas, hein ?

Puis, pour s'excuser, enfin, s'excuser... Prenant prétexte comme, Dakota inclina doucement son visage de celui de Serena, et fermant les yeux avec ce petit air de << laisse toi aller, ma belle >>, il embrassa cette dernière, posant ses lèvres sur celle de Serena, avant de relever son visage, il eut un petit sourire, avant de reprendre.

- J'm'excuse.

Il se passa la langue sur ses lèvres, avec un petit air provocateur mais si... Dakota.

Avec un sourire, Dakota rapprocha son corps du siens, posa ses mains et les descendit en bas du dos de la jeune femme. Puis soudainement, toujours avec ce même sourire, il se recula. Serena ne bougea pas. Il annonça :

- Désolé... Je suis vraiment... Entreprenant. Enfin, ça veut dire au moins que tu es réellement belle... Tu ne m'en veux pas ?

Le garçon se répéta après avoir remit ses mains au même endroit.

- Tu m'en veux pas, hein ?

Aucunes réponses. La jeune femme ne regardait même plus son interlocuteur. Elle fut donc à moitié surprise lorsqu’il l’embrassa. A moitié, car elle savait bien qu’il ne la tenait pas par la taille pour lui faire visiter les toilettes. Quoique… Et parce qu’elle ne le regardait pas. Lorsqu’il l’embrassa, la demoiselle posa ses deux délicates mains sur le cou du garçon. Ensuite, Dakota dégagea ses lèvres des siennes.

- J'm'excuse.

Un sourire coquin s’afficha au coin des lèvres de Serena.

- Excuses acceptées.

Dit-elle doucement avant d’embrasser de nouveau Dakota. Putain qu’il embrassait bien. Il fallait l’avouer.

- Excuses acceptées.

Il eut un petit rire qui se dissipa lorsque cette dernière se remit à l'embrasser. Ca, il ne s'y attendait pas vraiment. Dakota aimait bien que ça lui qui fasse ce genre de chose, histoire qu'il puisse bien inculqué dans la tête des demoiselles un peu trop rapide que c'était lui le mâle de la situation et que c'était lui qui géré la chose. Dakota, Phallocrate ? Mais, oui, jusqu'au bout des ongles, il allait son machisme. Et ce, même au bout de ce qui lui servait de neurone la plupart du temps, si vous voyez ce que je veux dire. Comme pour reprendre une phrase de son pote, William : Un homme, un vrai.

Dakota la tourna pour aller la plaquer contre le mur, avec cette animosité si sensuel dont il savait faire preuve. L'embrassant dans le cou avec parcimonie, mais d'une délicatesse à crever n'importe quel coeur de pierre, Dakota croisa à nouveau son regard sur la demoiselle, le regard chaleureux et légèrement coquin. Un regard digne de Dakota que Corso lui avait piqué.

- Alors, on accepte mes excuses... Qu'est ce que tu accepterais d'autres, ma belle ?

Il lui avait parlé à quelques centimètres des lèvres de la blonde et séduisante Serena, avec ce petit sourire si... Dakota. Il passa l'une de ses mains dans le cou de la demoiselle pour échanger un réelle baiser digne de ce nom, liant sa langue avec celle de Serena, l'espace de quelques instants où Dakota était le maître de la situation.

- Alors ? On continue ?

Dit il dans un murmure sensuelle. Il voulait la rendre addict, il allait tout user. C'était lui, le maître de la séduction dans ce bas monde, qui était la next generation adulte.

Le garçon eut l’air surprit lorsqu’elle l’embrassa. Bonne ou mauvaise surprise ? Une fois que leurs lèvres n’étaient plus en contact, l’étudiant la plaqua contre le mur, et l’embrassait si doucement dans le cou que ça la chatouillait. Serena passa ses douces mains sous la chemise du garçon, caressant du bout de ses ongles le dos de ce dernier. Avec un regard qui aurait fait fondre n’importe qui, il annonça :

- Alors, on accepte mes excuses... Qu'est ce que tu accepterais d'autres, ma belle ?

La jeune femme eut un nouveau sourire coquin. Elle répondit :

- Hum… Ca je sais pas. A toi de voir.

Les deux iris couleur océan de la demoiselle fixèrent ceux de Dakota, qui passa une de ses mains chaudes dans son cou avant de l’embrasser, comme jamais auparavant. Tandis que leurs langues étaient occupées à faire des tours et des tours, les mains de la jeune femme caressaient tout le dos du garçon. Sa peau était douce et chaude. Elle paraissait si tendre. Pourquoi ne pas tester la fermeté de celle-ci, en plantant un peu ses ongles ?

- Alors ? On continue ?
- Je sais pas… T’en as envie ?

Quelle question idiote. C’était évident qu’il en avait envie. C’était lui qui avait commencé. Mais bon, elle n’avait rien refusé, non plus. L’étudiante se mordit la lèvre inférieure, comme pour provoquer Dakota.

- Hum… Ca je sais pas. A toi de voir.
- Mais c'est déjà tout vu, Señorita !

Il la prit par la taille pour se retourner et la plaquer ainsi contre le mur qui faisait face au miroir des lavabos. Ce qui signifiait que Serena pouvoit voir également l'action de part le miroir. Dakota, un sourire des plus plaisant sur ses lèvres, un regard un brin ténébreux, il faisait face à ce torrent d'émotions qui semblaient s'échouer dans les iris océan de la belle. Des écumes étoilés rendaient le tout légèrement brillant... L'espace de quelques instants, Dakota s'y était plongé pour savourer l'effet qui lui procurer. Prétentieux ? Oh, oui ! Et il aurait tord du contraire !

- Je sais pas… T’en as envie ?
- Cette question ne se pose pas, tendre demoiselle !

Puis, il approcha ses lèvres de celle de Serena, pour les unirent à nouveau et renouait ainsi, ce lien qu'ils avaient précédemment réaliser en s'embrassant. Il s'arreta l'espace de quelques instant, son rythme cardiaque, s'accélérant, pour lui mumurer ses mots.

- Alors, allons y...

La prenant comme précédement, il la plaqua contre la porte de l'un des toilettes de la pièce, et il se mit à l'embrasser avec passion dans le cou, dans un rythme calculé.

- Mais c'est déjà tout vu, Señorita !

Elle sourit de nouveau. La jeune femme adorait quand il parlait à moitié Espagnole. Ce dernier la prit de nouveau par la taille et la colla sur le mur en face des miroirs. Super… Comme ça elle pouvait le mater de devant, et de derrière. Elle sourit à son reflet dans un des miroirs.

- Cette question ne se pose pas, tendre demoiselle !

Ils s’embrassèrent de nouveau. L’étudiante retira ses mains de sous la chemise du garçon et se mit à les passer des les cheveux du garçon. Ceux-ci étaient doux, bien qu’ils aient l’air d’être coupés assez souvent. Dakota décolla ses lèvres sucrées des siennes l’espace de quelques secondes, pour susurrer quelque chose qu’elle ne prit même pas le temps d’écouter. Serena était trop occupée à embrasser le garçon sur tout le visage tandis qu’il s’occupait de son cou.


Autant ne pas se le cacher. Ce fut… Wow ! Bestiale ? Ouais, aller. Les vêtements volèrent dans tous les sens. Avec Dakota, à quoi pouvait-on s’attendre aussi ? Il avait le sang chaud. Et chaud autre part, je dirais…

Deux heures plus tard*, Serena entendit une douce mélodie. Elle ouvrit un œil et découvrit qu’elle était allongée à côté de Dakota, une main sur son torse. C’était quoi cette musique ? Elle la connaissait… C’était Dakota qui avait avalé un portable ou quoi… ? Mais non ! Quelle idiote ! C’était le sien de portable. La jeune femme se releva d’un bon sur ses genoux et se mit à chercher parmi le tas de fringues qui entouraient le lit son portable. Lorsqu’elle réussi enfin à la trouver, son répondeur avait déjà prit l’appel. Et merde, tiens.

Serena regarda un instant Dakota dormir. Il était bien mignon quand il dormait… C’était peut-être le seul moment où il était calme. Et encore. Peut-être que même dans ses rêves il passait de folles… Rencontres dans les toilettes ? Brrr. Elle ne voulait même pas savoir. La demoiselle attrapa son chemisier qu’elle enfila rapidement. Tiens… Elle flottait dedans. Ah, non. C’était la chemise de Dakota. Mais où était la sienne… ? Elle regarda autour d’elle et vit que son haut se trouvait sous Dakota. Tant pis. Il avait bien d’autres habits dans son placard. Et puis, ça ferait un souvenir de leur petite partie de jambes en l’air. Tiens… Quand elle y pensait, le dernier souvenir qu’elle avait, c’était quand ils s’embrassaient alors qu’ils étaient aux toilettes. Double merde, où était-elle ? Elle regarda autour d’elle et vit qu’elle était dans une chambre universitaire. Les couleurs étaient plutôt foncées, ils devaient donc être dans une chambre de garçon. Serena espérait que c’était celle de Dakota. Là, c’aurait été galère sinon. Et puis… Il n’avait pas dit qu’il avait un compagnon de chambre… ? Oh la. Si elle commençait à tout oublier, elle était mal barrée. Ah si ! Chad Parker. Voilààà ! Mais… Il n’était pas venu dans sa chambre ? Han. Et si jamais il était entré et les avaient vu ? Là, ça craignait sérieusement. Bref. Serena, après s’être remise des ses émotions, attrapa ensuite son jean qu’elle enfila, puis elle mit son portable dans sa poche de devant droite. Maintenant, il lui fallait attraper ses ballerines… Où étaient-elles bon sang ? Et triple merde, tiens. Elle vit qu’elles étaient sous Dakota, qui était couché de tout son long dessus. Mais bordel, il le faisait exprès ou quoi ? Serena se rassit alors sur ses genoux, puis elle se pencha du côté gauche de Dakota, –bien évidemment, il s’était couché pile au bon endroit pour qu’elle ne puisse pas les attraper simplement- elle fut même obligé de se pencher carrément sur lui pour les attraper. Une fois qu’elle réussi à les toucher, elle tira doucement sur celles-ci pour ne pas réveiller l’étudiant… Elle eut peur que cette fois il se réveille car il avait poussé un soupir et s’était retourné vers elle. Un sourire crispé s’afficha sur ses lèvres. Elle attrapa alors ses dernières affaires qu’elle mit et partit de la chambre sans un bruit.


* Dakota est très endurant, à ce qu’il parait.

Son cou... Chaque parcelle de son corps, il descendait doucement, doucement, dégageant le corps de la demoiselle en défaisant rapidement les boutons pour ne laisser rapparaître que son soutif blanc. Embrassant doucement jusqu'à déposer un léger baiser sur le sein de Serena, il reprit le chemin inverse, tout en continuant de la déshabillé. Ce ne fut que lorsqu'il avait retiré sa chemise et le chemisier de la demoiselle, qu'il eut l'idée de l'amener dans sa chambre. Tout au long du chemin, alors qu'ils avaient fait vite pour éviter de rencontrer quiconque bien qu'ils étaient censés être tous en cours, il ne cessait de lui tourner autours la plaquant contre un mur, tel un animal pour l'embrasser avec passion. Mais à chaque fois, elle le repoussait doucement, tout en lui lançant des regards coquin qui ne pouvaient signifier que << Suis moi chérie, on a à discuter >>. Ca le rendait fou, mais il aimait ça. Ouvrant sa porte de chambre d'un coup de baguette magique, il la referma presque aussitôt qu'il fut entrée tout en la poussant à l'intérieur de la chambre.

La dévisageant un moment, le regard en feu croisant les yeux océans de la belle Serena, Dakota se plongea à nouveau à l'intérieur de ses iris bleus en lui réenlevant le chemisier d'un geste brusque qu'elle n'avait qu'en filé à la va-vite pour traverser le couloir. Poussant tout ce qu'il se trouvait sur la table, tandis qu'il commençait à l'y allonger pour l'innonder de cette passion qu'il le traversait furieusement, et ceux, sans parlé de cette passion amoureuse, puisqu'il n'y avait rien, sinon, un jeu entre ses deux étudiants qui se connaissaient bien depuis Poudlard. L'allongeant de tout son long sur la table où Chad, avait mangé, la veille même, il entreprit à lui retirer le pantalon, tandis qu'elle lui défaisait le sien avec une dextérité. En profiant pour lui caresser le bas du ventre, Dakota passa une jambe par dessus la taille de Serena pour la regarder de haut et ainsi la dominer en la regardant ainsi. Ce sentiment de domination, il aimait le ressentir lorsqu'il s'agissait d'un jeu et qu'aucun sentiment ne semblait venir se mettre sur le tapis, ici, la table. Cessant toutes caresses, toutes palpations, il croisa son regard, puis, effleurant ses lèvres avec les siennes, il l'embrassa fougueusement.

Leur corps brûlant de désir, de passion, d'animosité, Serena repoussa Dakota avec une certaine arrogance. Dakota eut un petit sourire. Elle jouait avec lui, et ça, il aimait ça. Elle était joueuse, et c'est ce qui rendait la chose plus amusante, plus... Brûlante. La rattrapant pour l'embrasser, elle le poussa sur le lit qui se trouvait un peu plus. Dakota se mit sur ses coudes, la dévisageant avec un air coquin. D'un signe de tête, il lui dit de venir et cette dernière vint s'assoier sur la taille du jeune homme. Tandis qu'elle lui passait les mains dans les cheveux et qu'elle l'embrassait avec une fougue qui destabiliser quelque peu Dakota, de part le faite que l'espace de cet instant, c'était elle qui soit en position de force, Dakota enleva son pantalon, puis, il la reprit en main histoire de l'allonger son lit et de reprendre la place qu'il lui va de droit. Puis, mettant une main sous le cou de Serena, il se mit à l'embrasser avec plus de délicatesse, tendit que sa main descendait le long du corps de la belle Serena. Il lui enleva le string, doucement, puis, il se mit à l'embrasser doucement dans le cou jusqu'à descendre au nombril de la demoiselle avec passion, il baissa ensuite son caleçon, et... CENSURE !

Il s'endormit quelques instants après, la regardant tout en lui caressant doucement le bras avec sa main gauche, la droite lui maintenait la tête en l'air. Puis déposant un baiser sur l'épaule de la demoiselle, il posa sa tête sur le coussin et s'endormit. Lorsqu'il se réveilla, quelques heures après, Serena était partie. Dakota s'asseya sur le rebord de son lit tout en se passant une main dans les cheveux. Un sourire aux lèvres, il se releva et il ne put s'empêcher de dire, tout en commençant la chose.

- Vaudrait mieux ranger tout ça, avant que Boucle d'or ne voye ce merdier...