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| La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) | |
| | Auteur | Message |
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Anthony Invité
| Sujet: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Ven 11 Mai 2007 - 2:37 | |
| HJ N'ayez pas peur de la longueur XD M'en tape si vous faites 10 lignes Ralalalala, la vie le rendrait fou! Un temps à redécourir le coin, un autre à se prendre un entretiens d'embauche pour etre -HaHa!- Professeur, un autre pour entendre dire des sottises, et encore un pour en dire! Rien d'important n'était à venir pour Von Hesse, si ce n'était qu'une rencontre avec tel ou tel personne. Que du tralala pour ne rien vouloir dire. Peut-être aurait-on besoin de lui sous peu pour tel ou tel truc d'envergure... ou non. C'était donc pour s'aéré les idées qu'Anthony s'était rapidement vêtu de sa cape pour passer d'un pas rapide à l'extérieur de son modeste logis foireux. Un pas ou deux plus tard, il avait transplaner, et était dans une ruelle sombre. Les rues de l'allée des Embrumes l'avait toujours laissé de marbre. Étrange non? Peut-etre que ses idées démentiels étaient trops folle pour réaliser l'endroit ou il était. Jetant son regard vide sur deux personnes qui marchaient tous deux de façon exaspérantes qui venait vers lui, il émit un petit rictus, en penchant sa tete d'un coté puis de l'autre. Ils semblaient si jeunes!! Des élèves?!
C'est le pas sec et tendu, que vint Anthony qui, de sa voix grave et soufflée, dit à la première jeune personne égarée dans les rues et qui semblait être absente de toute lucidité:-Que de jeunes ages pour boire… Les jeunes femmes, de nos jours, perdent toute, o.O ..Étincelles de lucidité lorsqu'elles boivent… ILLUSION! Toutes les femmes sont sottes, bourrée ou non. il était ironique en tout sens, n'arrêtant pas de gesticuler ici et là pour illustrer ses paroles. Cette fille devait etre bourrée d'alcool. Justement, ça sentait à plein nez. Il lui donnait environ les 17 ans. Si elle savait quel genre de personne qui trainaient... Outre cette dernière, il y avait aussi un drole de mec en larme qui venait dans leurs direction, cherchant à passer pour s'en aller. Mais peut-etre Anthony n'était-il pas assez voyant, car il lui fonça meme dessus. Se retournant vers le nouveau venu qui venait juste de lui foncer dedans, il lui dit, haussant les sourcils et prenant un air outragé:-Et même les hommes, aussi petits soient-ils, sont rendus au stade de pleurnichard. Où le monde va-t-il? ILLUSION! Il ne va décidemment nulle part. Qu'elle sorte d'adultes ferez vous d'ici quelques années? Que des conneries.Bien entendu, le garçon devait etre adulte… Ou p't'ete pas. Mais ce qu'il voyait ne révélait en rien de cette forme adulte. Parfois, il se disait que pour avoir l'appelation d'adulte, il faudrait penser à dire qu'il lui faut la trentaine et non le dix huit ans trempé. Anthony était maintenant adossé à un mur que la ruelle lui offrait, ses longs habits violets, noirs et blancs lui donnant des airs de clown satanique. Avec son chapeau haut de forme posé droit sur sa tête, ses cheveux, dans un désordre fou, qui étaient parfaitements stables dans leurs postures peu orthodoxes laissait présager un effet de magie. Un sourire… Large et non inspirant s'était gravé sur les lèvres de Von Hesse, celui-ci plissant les yeux une fois de plus vers ce qui lui semblait etre des gens qui ne devraient pas vivre. Il finit finalement par leurs dire simplement de sa voix doucereuse et murmurative:-Je vous laisse de bonne foie dix secondes pour partir de ma vue, sales insectes, sans quoi votre peau ne vaudra pas mieux que d'être mon tapis d'entré… Maintenant qu'il perdait un peu de son sourire, Anthony dit une dernière chose, un peu plus sèche que plus tôt:-Qu'est-ce que vous fichez encore ici? Se passant un doigt sur ses lèvres sèches, il les regarda filer, sans broncher. Erff… Von Hesse aimait bien s'amuser avec les esprits des gens, de par ses illusions, mais tabasser des jeunes à moitié plus conscient ne lui donnait pas trop le goût d'assumer ses meurtres. Comme si il se rabaisserait à … ÇA. D'un geste sec, il fouilla dans sa poche et en fit sortir une cigarette. Il se la mit dans la bouche, l'allumant au passage avec l'aide d'une alumette, en posant uniquement ses doigts sur le bout, pour ensuite en prendre une bonne inspiration. Et dire qu'il serait le professeur de certains gamins comme ça... Tss, faudrait toujours que ce soient pas de ces crasses de pleurnichard ou de ces filles sans dignités. Bref, il les transformerait, ces élèves-là. Ils auraient simplement la chance d'apprendre non pas l'étude des moldus, mais aussi la galanterie, une sagesse et peut-etre une once de savoir vivre, pour finalement leur montrer comment perdre possession de leurs moyens était nocif. Surement que dans le cadre de son premier cours il ferait boire un élève pour ensuite faire la morale sur la vie de moldu, et leur dire qu'en société magique c'était le meme truc: Fallait pas perdre de vue sa lucidité. Une petite leçon toute simple qui les sauveraient peut-etre.
Il attendait maintenant que quelqu'un veuille bien passer un peu par là, question qu'il se désennuit. Il finit par murmurer un sonnore:-CONNERIE! |
| | | Halewyn Coeurd'Acier
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| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Ven 11 Mai 2007 - 19:21 | |
| Sortant d,une petite boutique de seconde Zone, Halewyn est satisfait. Son stock de poison sera renouvelé sous peu. Avec tout ces contrats à remplir, ce n'est pas le moment d'en manquer.
Capuche sur la tête pour cacher sa sale gueule, il se dirige vers Derviche et Beurk. Il veut faire un cadeau mais pas n'importe lequel. Ce faisant, il passe devant un mec qui fume.
CONNERIE!
Helwyn ne marque aucune réaction, mias dans les replis profonds de sa cape, il prépare une potentielle riposte. Ce mec la, il le sent pas au sens propre. | |
| | | Anthony Invité
| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Sam 12 Mai 2007 - 1:26 | |
| Tandis que tout allait bien, ou peut-être même qu'en fin de compte tout allait mal? Restait à savoir comment la tête de Von Hesse fonctionnait, he bien il remarqua le mec qui passait devant lui. Restant un instant silencieux, son regard bleu comme le cristal semblait tout aussi inexpressif, vide d'âme, tandis qu'il suivait la silhouette s'en aller vers un endroit quelconque. Cela ne prit pas une éternité pour qu'un large sourire vienne sur ses lèvres gercées, venant accentuer de nouveau ses traits démentiels. Puis, sombrement, il se mit à rire, seul, ne lâchant pas le moindre du monde la silhouette drapé de vêtements noirs qui le recouvrait de la tête aux pieds. Tiens, il était un peu curieux, car il n'avait rien d'autre à foutre, de savoir l'identité de celui-ci. Il savait bien aussi que son rire pouvait choquer certaines personnes. Il adorait ça! Que les regards se tournent vers lui, qu'il le regarde bien, pour que dans leurs mémoires Anthony Von Hesse puisse être inoubliable!
Puis, en y resongeant, la solitude le narguant plus qu'autre chose, il se dit, alors qu'il finissait sa clope, qu'un peu de conversation ne le dérangerait certainement pas. Il lui lança donc, l'ironie teintant ses propos, ses longues et grandes paroles recelant des sous-entendus et sans but précis sinon de nuire à la populasse:
-Il fait beau ici hein? Le couvert de la nuit, douce brume cachant les activités sans scrupules des gens sans morales…
Toujours en train de ricaner, il jugea l'apparence de cet homme une fois de plus. En fait, il serait roulé de rire que ce soit une femme bâtit comme un homme. Justement, cette pensé lui barra encore plus le visage d'un grand sourire. Sans attendre davantage, son rire s'étant arrêté aussi rapidement qu'il avait commencé, il jeta sa cigarette plus loin et prit son chapeau dans sa main, avant de lui faire une espèce de révérence aux allures plutôt rigolotes. Il jouait… Ho oui, il adorait jouer.
-Anthony Von Hesse, homme qui rode ici et là…
Se redressant de sa silhouette de géant, il sourit encore, laissant planer un léger silence. Il ne lui demandait pas qui il était, ne présentait aucune bonne manière, sans gène... Maintenant, il allait rudement hâte de voir sa réaction… L'indignation, la colère, un fou rire aussi? Il s'en fichait, toutes les situations le rendraient mort de rire. |
| | | Halewyn Coeurd'Acier
Nombre de messages : 1355 Age : 45 Age du Perso : 32 ans Date d'inscription : 09/09/2006
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| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Sam 12 Mai 2007 - 4:29 | |
| Halewyn n'aime pas rester a discuter chiffon. Un gars comme lui ne doit pas rester au même endroit. De toute facon, le connard quie st là est complètement barjo. Oh, Hale est cinglé, mais au moins il reste maître de ses actes.
Il fait beau ici hein? Le couvert de la nuit, douce brume cachant les activités sans scrupules des gens sans morales…
Halewyn ne ralentit même pas. Ne fait que lui jeter un regard de biais sous les ténèbres de sa cape, aucun mouvement hostile, aucun intérêt... Mais le voilà qui lui bloque la route. Hale est grand, mais l'individu le dépasse d'une bonne tête. Il a l'air d'un échalas, mais l'assassin sait qu'il ne faut jamais sous-estimer un fou. Il s'arrête, mais ne dit absolument rien.
Anthony Von Hesse, homme qui rode ici et là…
Halewyn lève le nez, hume sous les replis de sa cape l'odeur de pure démence qui émane de son vis à vis. Il ne cède aucun pouce de terrain. Les prunelles d'acier, sous la capuche, prennent une teinte rouge sang. S'il embarque dans son jeu ca va durer éternellement. Et Le Phoenix Noir est pressé. La dague à la lame noire reste dans son étui, mais il a la main pas trop loin. S'il dit rien, il va probablement le prendre pour muet. Il l'aurait buté d'emblée, mais ils ont vu des membres de la brigade pas trop loin, alors il ne veut pas non plus se faire trop remarquer. | |
| | | Anthony Invité
| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Sam 12 Mai 2007 - 7:24 | |
| HJ Mon message il a tout supprimé –' Honte à moi. Bref, j'ai fait un raccourcit de l'original:
Il le regarde, sans bouger, comme si sa silhouette était immobilisée dans du plâtre, telle qu'une statue de pierre. Mais il était toujours de chair et d'os, son sourire ne changeant toujours pas. Il dévisageait cet homme, et lui aussi, sans aucune gène. Penchant finalement sa tête de coté, preuve qu'il n'était peut-être pas de pierre, son sourire n'avait pas encore diminué. Puis, comme si il venait tout juste de comprendre une chose, même si il faisait strictement exprès, il s'exclama et levant les yeux au ciel:
-arrff je dérange.
Bien entendu, ce n'était absolument pas une question, mais bien une affirmation. Il ne se bougea pas d'un poil, restant à sa position initiale, toujours en souriant. Qu'est-ce que Von Hesse voulait? Pourquoi faisait-il ça? Hum… Il le voulait car il n'avait rien à faire et parce que c'était quelqu'un qui l'inspirait. Bref. Une teinte de curiosité avec une autre teinte d'amusement : C'était le comble. Son comble. Voir comment toutes les sortes de personnes pouvaient réagir devant tel ou tel attitude. C'était un jeu pour lui, la vie. Un jeu qui le ravissait. Un jeu qu'il ne perdait jamais puisque tout résultats le satisfaisait toujours.
Il préféra, par la suite de ses paroles et du silence qui s'était réinstallé, de ne plus parler. Sûrement qu'il ouvrirait la bouche. Ou peut-être, car ses yeux s'étaient inévitablement posé sur ses mains et sur l'expression de son corps, que son interlocuteur peu loquace aurait des envies de bagarre. Mais Anthony, lui… Tout lui convenait. Car cet homme ignorait ce qu'il avait sur lui aussi. C'était le destin qui décidait de tout. Et comme il se le disait toujours: Si il était toujours en vie malgré tout ce qu'il avait fait, c'était que Dieu était d'accord qui fasse ces actes. Et puis, en plus, c'était, à toutes les fois d'une exquise joie, d'une exquise beauté. De par ses yeux clairs, il essayait de pénétrer le tissu de son regard ravageur, le foudroyant presque du regard, meme si c'était plus comme si il le narguait silencieusement. Ra… Connerie… |
| | | Halewyn Coeurd'Acier
Nombre de messages : 1355 Age : 45 Age du Perso : 32 ans Date d'inscription : 09/09/2006
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| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Dim 13 Mai 2007 - 0:11 | |
| Le Phoenix Noir, sans bouger ses prunelles de sang du regard de cristal, note du coin de l'oeil des sorciers pas trop loin. Eh merde... Pas le moment. Il garde sa capuche, mais libère le resre de sa cape qui dévoile pantalon, protège-bras et bottes montantes de cuir noir, ainsi qu'une solide chemise de lin de même couleur, Son visage reste dans le noir, juste les deux prunelles incandescentes de visible.
Il opte alors pour la tactique dite du miroir.Il commenca alors à imiter les mouvements du gus qui lui bloque le chemin. Autant pour le narguer que pour saisir son style de mouvement.
(désolée, court, mais bébé dans les bras) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Dim 13 Mai 2007 - 18:22 | |
| Hj désolée je m'incruste, si ça gène j'efface le message ^^' Un temps maussade ce jour là, et dire que la plupart des élèves étaient à Pré-au-Lard. Autumn quant à elle avait pu se rendre à Londres avec quelques amis, l'avantage de la rentrée des classes étaient que lors des premiers week-end, l'école de Poudlard était un peu moins rigide en ce qui concernait les sorties scolaires, et l'on avait autorisé les sixième années à sortir un week end autre qu'au village d'à côté. Et même sans ça, il fallait avouer que faire partir des fureteuses était un avantage considérable, pour ne pas parler de favoritisme. Bref elle s'était retrouvée avec une bande d'amis, et le petit groupe de cinq s'était cindé en deux histoire de quelques heures. Autumn avec la grande rousse prénommée Ellen, à la beauté qui ne passait pas inaperçue mais au potentiel intellectuel limité, l'avait accompagnée à la banque Gringotts. Les trois autres, Callie, Eliott et Elizabeth, avaient voulu faire les intéressants en allant se promener dans l'allée des embrumes. C'était d'ailleurs là bas qu'il devaient se rejoindre.
Autumn et Ellen sortirent de la banque au bout d'une heure d'âpres négociations avec un gnome acariâtre qui ne voulait pas lui laisser retirer la somme désirée. Les deux jeunes filles tournèrent vers la ruelle menant à l'allée des Embrumes. Pas qu'Autumn avait envie, elle les connaissait à peine les trois autres. Plus des amis d'Ellen et des connaissances aux yeux de la blonde. Mais refusant de laisser son amie y aller seule, Autumn se résigna à la suivre. Ellen - Bon on doit les retrouver pas loin de Devriche et Beurk. Et ça m'étonnerait pas qu'ils soient déjà aussi pleins que des chaudrons, dit-elle dans un rire amusé.
La blonde hocha la tête, les mains dans les poches, elle regardait à moitié fascinée et troublée ces étendues de boutiques de magie noire. Elle poussa un soupir, les bars c'était pas son truc, mieux valait passer des bons moments avec ses amis, mais les vrais, pas des connaissances qui s'amusaient pitoyablement à aller se saouler dans un bar de l'allée des embrumes. Nan la pitié, elle la laissait pour les Gryffondors. Anthony- CONNERIE !Autumn leva la tête, intriguée et interloquée. Son regard cependant restait neutre, mais c'était avec trouble et curiosité qu'elle fixait à présent l'homme à la cigarette. En face de lui, un homme encapuchoné, l'air sur ses gardes. Ellen la prit par le poignet.Ellen - Laisse Autumn. Un malade... Un fou ? Alors s'il en était un, tous les fous devaient être passionants. L'homme à la cigarette, avec son rire en coin, était déroutant, semblait imprévisible, pas rassurant c'était vrai. Et le gars là, en face de lui, avec sa capuche, ne sortant pas un mot. C'était quoi cette allée, un autre monde ? Autumn suivit Ellen, laissant sa curiosité ici avec ces deux hommes, et allèrent retrouver ses amis complètement saouls. Ellen était d'avis avec les trois autres de continuer la tournée des bars, Autumn elle, était fatiguée de cette mascarade adolescente, et décida de faire demi-tour pour rentrer au château. Quelque part la jeune fille devait s'avouer que retomber sur cette étrange scène de tout à l'heure titillait son intérêt et sa curiosité. Autumn fit donc le chemin inverse seule, non sans éviter de croiser le regard des autres sorciers. Puis les deux hommes de tout à l'heure étaient toujours là, dans une position étrange, dans une attitude presque de défit. La jeune fille les observa, le regard fermé, l'oeil avide, planquée dans un coin d'ombre pas assez obscur pour ne pas être vue.
L'homme à la capuche lui tournait le dos, contrairement au mec étrange qui avait jeté sa cigarette. Les yeux bleus de la jeune fille glissèrent sur ce dernier, et elle le dévisagea, curieuse et appréhensive à la fois. Etait-il fou? Mais en fait, qu'il le soit ou non, elle s'en foutait complètement, seulement cette scène était plus qu'intrigante. Les yeux de l'homme qu'Ellen avait traité de malade se posèrent sur Autumn, qui sortit d'un seul coup de sa léthargie. Ne sachant que dire, ni que faire, elle tourna la tête, sentant son coeur battre un peu plus vite. Partir ? Pour qu'il lui fasse une réflexion ? Ou rester, pour qu'il l'interpelle également ? Puis le gars là, qui ne sortait pas un mot, était-il fou lui aussi ? P*tain, saleté d'embarras qui figeait sur place. Bref sourire alors, sait-on jamais. |
| | | Anthony Invité
| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Ven 18 Mai 2007 - 4:38 | |
| Hj No problemo Il s'amusait. Il penchait toujours sa tête d'un coté, puis de l'autre, un large sourire toujours aussi grand sur son visage. Il trouvait particulièrement marrant de voir cet interlocuteur sans langue qui semblait avoir envie de lui sauter au visage. Ce n'était pas une première et, assez rapidement il remarqua qu'il regardait si il y avait des gens autours. Ha! Si il avait si peur des gens autour, c'était bien son problème. Anthony, lui, s'en fichait bien. Ha ouais, il avait bien ce qui s'appelait un travail, mais sa bonne figure était sans doute la même qu'en se moment: Un large sourire sur sa tronche de déterrée. Il plantait son regard de cristal dans celui, gris, de cet homme qui, lentement, commençait à l'intriguer, riant intérieurement. Il faisait quoi, là? Il essayait de l'imiter? Que d'amusement! Prenant d'une main ferme son paquet de cigarette, il délaissa quelques instants son attention du colosse pour se mettre une nouvelle clope dans la bouche, l'alluma, resserra le tout et, doucement, inspira une longue bouffé qu'il fit ressortir dans le visage du mec encore une fois face à lui. Anthony -- Que du grand air! Pourquoi faisait-il ça? Il aimait donc tant ça etre impoli? Na, il adorait simplement mettre en rogne les gens. Ho et puis, il avait juste à ouvrir la bouche avant. Il s'en fichait bien! Mais, à peine avait-il finit de balancer quelques mots à l'adresse de son interlocuteur ho que trop loquasse, il sentait quelqu'un par derrière. Se retournant quelques instants, ses bras décrivant un espèce de cercle autour de lui, il riva sur ce qui lui semblait être une élève qui le fixait également. Tiens, c'était maintenant une habitude pour les jeunots de venir vagabonder dans les environs? Ha… Passionnant… Son sourire s'était légèrement amoindrit, mais revint très rapidement au galop, lui donnant un air plus psychopathe de profil que plus tôt. N'oubliant tout de même pas l'inconnu de derrière, Von Hesse Haussa ses sourcils et se mit à parler, ce ton de voix qui pourrait être doux, une voix de ténor, si ce n'était que ce cette pointe d'hystérie et de froideur toujours présentes:Anthony -- Gente demoiselle en ces ruelles hostiles, cherches-tu à combler un vide, une curiosité ou un désir de disparaître? Les trois restent décidément confus sous ce faible éclairage. ILLUSION! Pourquoi, faible éclairage ou non, es-tu ici, jeune fille arborant l'écusson du brave Serpentard? Brave ne veux pas dire nécessairement roder dans les rues. Je me trompe? Se tournant vers l'arrière sur un pivot de 180 degré, il sourit de toutes ses dents à ce mec en lui demandant sur la même voix:Anthony -- Monsieur présent est sans doute du même avis. Mais mon petit doigt me chuchote que celui-ci préférerait croire en une envie de disparaître. Na? Peut-être que je me trompe : J'suis humain pareil. CONNERIE! Mais ou est l'humanité en moi? J'lai pas encore trouvée. |
| | | Halewyn Coeurd'Acier
Nombre de messages : 1355 Age : 45 Age du Perso : 32 ans Date d'inscription : 09/09/2006
Qui fait quoi ? Fonction HRP: Joueur Heureux Facultés Spéciales: //
| Sujet: Re: La ruelle fait aussi pitié que les gens qui y sont (Libre!) Ven 18 Mai 2007 - 5:09 | |
| Le Phoenix Noir observe attentivement l'homme. L'arrivée d'Autumn est plus que providentielle. L'autre gus en face de lui est cinglé. Sous sa capuche, les deux prunelles rougeoyantes portent leur attention sur la gamine en même temp qu'Anthony.
Monsieur présent est sans doute du même avis. Mais mon petit doigt me chuchote que celui-ci préférerait croire en une envie de disparaître. Na? Peut-être que je me trompe : J'suis humain pareil. CONNERIE! Mais ou est l'humanité en moi? J'lai pas encore trouvée.
Un sourire diabolique dévoile les dents blanches de l'assassin. La voix abyssale s'élève enfin dans l'air. Toi t'es cinglé... Et ca me plaît. | |
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