Valenna Pemal [Serdaigle]

Identité :

• Prénom et nom : Valenna Pemal
  
• Date de naissance : 5 décembre 1963
  
• Sexe : Féminin
  
• Année d'étude : Dernière année.
  

Physique :

• Cheveux : Valenna prend beaucoup soin de ses très longs cheveux bruns, ondulés, qu'elle avait teint pendant de nombreuses années en une joyeuse couleur rouge. Maintenant qu'ils ont de nouveau une couleure naturelle, on peut observer toutes les nuances de tons qu'ils dégagent, et on peut observer leur mouvement grâcieux et si beau. Elle veille à les démêler souvent, et les noue dès que possible, pour ne pas avoir à les brosser à longueur de journée. Cependant, elle aime les détacher à la lueur du jour, pour que le soleil se reflète sur leurs longs plis soyeux.
  
  
• Yeux / regard : Très bleus à sa naissance, ils ont viré au gris au fil des semaines, puis sont restés d'un bleu-gris, qui parfois même vire au vert, selon la lueur, et l'endroit dans lequel elle se trouve. Ils sont pétillants quand l'humeur de Valenna est joyeuse, mais ont la larme facile lorsque les moments sont douloureux, ou tristes. Exprimant beaucoup, ils sont un grand attout de la jeune femme, étant donné qu'ils sont profondément beaux, et qu'ils attirent le regard des autres.
  
  
• Visage / expression et couleur de peau : Valenna a un long visage, de forme plutôt ovale, d'une couleur joliment mate. Sa peau est lisse, et non pas granulée, et douce à caresser. Les yeux bleus de la jeune femme sont placés au-dessus d'un nez plutôt long et droit, mais qui comporte étrangement une légère bosse sur son arète. Ses traits sont plutôt fins, et très grâcieux, et une aura de douceur émane de ce visage sage qui fait penser à celui d'un ange. La bouche de Valenna est mince, et ses lèvres sont rouges, et toujours brillantes. Elle a parfois tendance à passer sa langue dessus, surtout en hiver, quand de légères craquelures apparaissent sur sa lèvre inférieure. Enfin, ses oreilles, très légèrement décollées, sont toujours recouvertes par ses cheveux, qui encadrent joliment son beau visage.
  
  Sa voix est douce, et claire. Très juste lorsqu'il s'agit de chanter, elle fait encore partie des nombreux attouts de Valenna, qui prend beaucoup de plaisir à s'accompagner d'elle lorsqu'elle joue de la guitare.
  
  
• Taille - Corpulence : De taille plutôt courante, elle est néanmoins un tout petit peu plus grande que certaines de ses amies, mais souvent plus petit que ses amis garçons, qui l'impressionnent toujours par leur taille grandiloquente. De silhouette longue et fine, elle plaît beaucoup. Ses formes sont développés, mais plus petites que celles de beaucoup d'élèves. Cependant, Valenna considère cela comme un atout plutôt que comme un désaventage : être fine, c'est toujours bien !
  
  
• Signe particulier : Elle a une cicatrice sur l'épaule gauche, due à une dispute très violente entre ses parents, lorsqu'elle était beaucoup plus petite.
  
  Ses mains sont longues, et ses doigts très habiles autant pour le piano que pour la guitare, ses deux instruments fétiches.
  
  

Caractère :

• Qualités : Valenna est très attentive, et ne cherche pas à se plaindre de la douleur, qui fait partie d'elle, maintenant et pour toujours. Très ouverte, elle remplit toujours ses promesses, coute que coute, pour montrer l'affection qu'elle ressent pour quelqu'un. Elle est très déterminée, et quand elle a pris une décision, c'est souvent une décision réfléchie. Enthousiaste, elle sait se montrer joyeux, malgré ses moments d'absence et de tristesse.
  
  
• Défauts : Parfois, Valenna est trop directe : en allant vers les gens, elle les perturbe, ou les braque contre elle. Pourtant, elle tente juste de s'ouvrir le plus possible aux nouvelles rencontres, et à de nouvelles amitiés. Quelques fois, elle est trop déterminée pour des choses qui ne peuvent lui faire que du mal, et il faut des personnes très proches pour qu'elle en soie dissuadée. Très sensible, elle la larme facile.
  
  
• Ce qu’il aime et ses passions : En matière de goûts, Valenna est assez particulière, mais très ouverte aux nouveautés. La nourriture épicée ne lui pose aucun problème, étant donné ses origines mexicaines, et elle raffole des cuisines orientales. Ayant été sous-alimentée pendant un certain temps, elle profite maintenant de tout ce qu’elle mange avec un plaisir à chaque fois renouvelé. Elle n’a pas vraiment de plats favoris, mais a un péché mignon : la pomme verte coupée en fines tranches…
  
  Valenna décide non pas de s’adapter à la mode, mais d’adapter la mode à ses goûts. Alors, elle a un style très particulier, très difficilement analysable : ses habits et leur couleur varient toujours en fonction de son humeur, et parfois du temps. Elle oublie très souvent ses vêtements quelque part, et doit retourner les chercher, se faisant traiter d’étourdie par tous ses proches – elle accueille d’ailleurs ce commentaire avec le plus grand des sourires ! –
  
  Valenna a un goût prononcé pour le travail. Elle est très curieuse, et aime à se lancer des défis, pour parvenir au meilleur de ce qu’elle peut faire. La Métamorphose, les Potions, les Sortilèges, sont ses matières préférées, mais elle s’adonne aussi avec plaisir à la Défense Contre les Forces du Mal et aux Soins des Créatures Magiques. Si les autres matières ne sont pas parmi ses préférées, c'est qu'elle n'a jamais eu le loisir de vraiment les expérimenter.
  
  Valenna lit beaucoup, s’instruit quand elle le peut, et dévore autant des romans que des « documentaires » sur les Mangemorts, les Sorciers dans le Monde, ou bien même sur son environnement – comme Poudlard ! N’ayant pas vraiment de préférences, elle lit parfois ce qui lui tombe sous la main.
  
  Valenna est très attirée par l'art : elle joue du piano, et de la guitare, régulièrement, et très bien. Elle n'a jamais pris de cours, mais a l'oreille absolue, ce qui est rare, et qu'elle considère comme un cadeau du ciel. Valenna se prête aussi beaucoup au chant, car elle a une voix qui s'adapte à beaucoup de types de chants, et au dessin, car elle aime beaucoup voir son crayon défiler sur les feuilles.
  
  Enfin, Valenna raffole des promenades, que ce soit dans la ville ou dans la campagne, de jour ou de nuit, dans la foule ou sans personne, seule ou accompagnée, etc. Souvent, elle s'arrête quelque part, pour lire, ou pour ses autres passions, et ainsi, découvre de nouveaux horizons avec plaisir.
  
  Enfin, elle voit un monde utopique comme un monde où la souffrance existe, même la plus extrême, mais où les joies peuvent être communiquées plus facilement. Elle cherche un monde où tous les contrastes peuvent être exprimés, où la honte et la gêne ne dévorent pas les pulsions spontanées, et où l’art est plus mis en avant dans une société, qui, à ses yeux, se dégrade peu à peu. Elle espère qu’un jour une certaine paix règnera, même si elle pense que la joie ultime naît seulement lorsqu’on a connu la souffrance et la douleur.
  
  
• Ce qu’il déteste et ses phobies : D'abord, Valenna déteste les gens antipathiques, et froids dès le premier abord. Si elle aime beaucoup le cynisme et l'ironie, les mots cassants, et les regards noirs ne sont pas de son goût. Petite, elle a vécu des horreurs mémorables, qu'elle n'a pas envie de recommencer. Malgré cela, elle n'a pas de "classe" de personnes qu'elle aime, ou pas. Ce qu'elle déteste... c'est vague ! Elle est en fait assez assez ouverte à la vie, mais s'il y a une personne qu'elle haït plus que tout, c'est son père.
  
  Ses phobies? Valenna n'en a pas vraiment, bien qu'elle ait certaines peurs, comme les villages pendant la nuit - ça lui rappelle trop son passé. Mais elle s'efforce de s'améliorer, en combattant ces phobies, et autres peurs.
  
  
• Tic : Valenna s'attache et se détache les cheveux à longueur de temps, sans vraiment décider d'une coiffure fixe. De temps en temps, elle tortille une mèche autour de ses doigts, mais c'est rare. Une autre habitude : elle est insomniaque !
  

Histoire :
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[*]Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Elle est née en France mais a des origines mexicaines - de sa mère - et hérite donc d'un "aspect oriental" : peau mate, cheveux bruns, lèvres rouges sang.
[*]Lieu d'habitation :

• Localisation géographique : Angleterre - Près de Londres
  
• Style d'habitation : C'est un immense manoir, qui appartient en fait à son grand-père. Avec jardin et ruisseau, il est très beau, et contient de multiples pièces, très longues à visiter, pour leurs intérêts multiples.
  

[*]Enfance et scolarité avant école de magie : Née à Madrid, le 5 décembre 1989, elle passe le plus clair de son temps avec sa mère. Petite fille plutôt joyeuse, son sourire éclaire souvent son visage mate. L’appartement de ses parents est dans le centre-ville et elle découvre la vie dans les rues pavées de Madrid. L’urbanisme ne lui plaît pas tout de suite, mais elle se cache bien de le montrer à sa mère. Enfant intelligente, à ses quatre ans, elle voit comment le couple se délabre peu à peu, mais ne confie rien à personne. C’est quelques mois après que survient l’incident terrible qui fait s’enfuir sa mère, personne qu’elle chérissait avant tout. Se retrouvant seule avec son père, elle éprouve les pires souffrances, et l’accompagne partout, courant dans des chemins boueux, pour le voir torturer, tuer, ou manipuler, ceux qui avaient osés injurier Celui-Dont-On-Ne-Prononce-Pas-Le-Nom. Son sourire avait disparu, et les années passaient, sans que le cauchemar prît fin.

Une pièce plongée dans l'obscurité. Des bruits à l'extérieur, mais pas un seul rai de lumière à l'intérieur, pas une seule sonorité. La porte s'ouvrit alors, laissant apparaître une immense silhouette au-dehors : le père de Valenna. Et, au loin, dans la chambre fermée à clé, qu'il venait d'ouvrir, une forme chétive qui pleurait, sanglotait sans fin. Des larmes coulaient sans cesse sur son visage, comme elles couleraient en flot d'une fontaine, et elle releva la tête, avec une expression de profonde crainte, vers l'homme intimidant. Celui-ci avança quelque peu.

"Lève-toi immédiatement, ordonna-t-il d'une voix implacable."

Elle ne chercha même pas à répliquer, tant les forces lui manquaient : il ne l'avait pas nourri depuis une semaine, car elle avait crié pendant un de ses meurtres, ce qui l'avait profondément énervé. De nature Mangemort, il détestait cette manière qu'elle avait d'être "gentille", tant il désirait qu'elle lui succédât un jour. Une semaine sans manger, c'était trop pour la fillette de six ans, qui avait vomi de la bile dans la matinée. Elle se leva, tremblante, avec difficulté, et tenta quelques pas.

"Arrête de jouer la comédie. Je t'attends dans la Salle à Manger. Tout de suite."

Valenna grimaça en laissant échapper un sanglot, tandis que son père s'éloignait rapidement. Ses vêtements étaient plus des haillons qu'autre chose, et des cheveux tombaient autour de son visage en une masse désordonée et sale. Les sept derniers jours, il avait mangé devant elle, en se régalant de nombreux plats, sans la laisser toucher à quelque chose. Il veillait juste à la faire boire, pour qu'elle ne mourût pas, car ce n'était en aucun cas son désir. Elle arriva finalement dans la Salle éclairée, et s'assit sur la chaise en face de son père. Au milieu, une table en bois verni.

"Mange, dit-il alors."

Etonnée, Valenna sentit que quelque chose n'allait pas, tout en scrutant son plat, comme à la recherche de poison. Mais il n'y avait que des mets succulents : de la viande, des légumes, des fruits, des boissons en tout genre, un plat délicieux en somme. Elle mangea alors, presque avidement, et sentit son ventre hurler de douleur. Elle comprit alors : manger aussi rapidement après sept jours de jeûne allait la rendre encore plus faible. Après qu'elle eût vomi, elle retourna dans sa cellule en se demandant - pauvre fillette - combien de temps encore durerait son supplice.

Pourtant, son père désespérait de voir à chaque fois une grimace naître sur le visage de Valenna : il espérait que ce serait un sourire de satisfaction qui apparaîtrait. C’est un jour sombre mais plus heureux qu’un autre, pour ce qui s’ensuivit, qu’elle se délivra elle-même de cette horreur :

« "Dépêche toi, Valenna, on est pas arrivés !"

Valenna avait sept ans, et suivait désespérément son père, en pleurant. Celui-ci lui attrapa violemment le poignet et les fit transplaner ensemble. Ils arrivèrent dans un endroit sombre, un village, où tout était éteint et silencieux. La petite fille sentait l'angoisse monter, et elle laissa échapper un sanglot.

"Comment oses-tu pleurer alors que j'accomplis une grande mission en tant que Mangemort? Souillon ! Tais-toi !"

Il fit mine de la frapper, alors elle retint un cri, et se calma, doucement. Côté à côté, ils avancèrent sur un chemin, où un homme tentait de s'enfuir le plus discrètement possible.

"Avada Ke…"

« Non ! Papa ! Je t’en prie… »

Pleurant, Valenna s’agenouilla, et attrapa les jambes de son père, le suppliant de ne pas tuer l’homme, qui déjà, courait pour échapper à la mort. Son père la bouscula, hurla :

« Endoloris »

Pendant que Valenna se tordait par terre de douleur, il se tourna donc, acheva son travail, puis la délivra de la souffrance. »

Le lendemain, il l’amenait chez ses grands-parents. Elle ne se remit jamais vraiment de tout ce qu’il lui avait fait subir, mais la paix du manoir, et la gentillesse de sa grand-mère, l’aida peu à peu à surmonter les cauchemars du passé, qui la hantait encore et toujours. Son grand-père l’éduquait et lui expliquait de temps en temps son travail, et, indirectement, celui de Johnny. Il étudiait beaucoup de cas de Mangemorts mais son fils ne lui était pas encore passé sous le nez, sans quoi il l’aurait probablement jeté en prison. Après la mort de sa femme, il l’aurait plutôt assassiné, prenant lui-même le risque de prendre sa cellule.

[*]Scolarité à Poudlard ou autre école de magie (seulement si vous n'entrez pas en première année) : Valenna, à ses onze ans, ne veut pas aller à Poudlard. Elle n’ira que plus tard, à sa troisième année, quand sa grand-mère l’estimera prête à s’adapter à la société qui l’environnerait jour après jour. Embellissant d’année en année, elle travaille pour un jour se venger de son père. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle sûre que dans les lignes de son destin, ce jour est proche. Alors, elle s’entraîne, s’entraîne, s’entraîne sans fin.

Puis elle entre à Poudlard :

1er Septembre 1976.
Dans une voiture au capot noire, dont le moteur faisait un bruit assourdissant, discutaient un vieil homme, au volant, sa femme, à sa droite, et, derrière, une Jeune Fille. De longs cheveux bruns lui tombaient sur les épaules dénudées à cause de la chaleur, et ses grands yeux bleus contrastaient avec cette couleur, brillant étrangement dans l'obscurité apaisante de l'engin. Devant étaient assis ses grands-parents, qui l'avaient accueilli à sept ans, lorsque son père s'était, comme qui dirait, débarrassée d'elle, las de la voir pleurer à chaque assassinat qu'il commettait. Tous deux avaient un teint pâle, et des rides, qui montraient leur vieillesse croissante ; pourtant, aucun des trois membres de cette famille ne voulait y penser. La mort s'approchait à petits pas, mais on détournait le regard pour ne pas l'observer. La Jeune Fille se nommait Valenna.

"Vous allez me manquer, disait-elle, des larmes dans les yeux. Que vais-je faire pendant une année entière sans vous? Vous m'écrirez, n'est-ce pas?"

Son ton dénotait une inquiétude certaine, mais, après ces quelques mots, elle se tut, car elle n'aimait parler pour ne rien dire ; c'était accablant et inutile. Fille réfléchie, elle se mit plutôt à observer par la fenêtre l'extérieur, qui s'étendait ainsi sur des lieux et des lieux, en ruelles parsemées - qui ressemblaient à un labyrinthe immense - et en immeubles sans fin. Elevée dans le manoir isolé de ses grands-parents, elle n'était pas encore habitué à ces exhibitions urbaines, et n'y prenait pas encore vraiment goût.

Bientôt, ils arrivèrent à la gare, et son grand-père gara la voiture, de manière à sortir la grosse valise noire, qui accomagnerait Valenna pendant son voyage. Malinia, sa chouette, était installée sur son épaule, et lui tiendrait compagnie. Sans ciller, elle hululait doucement pour rassurer la Jeune Fille, qui regardait ses grands-parents avec peur, peur de les quitter, si tôt, si tôt. Ceux-ci l'accompagnèrent à l'intérieur, puis sa grand-mère lui raconta qu'elle aussi avait fait le même trajet, mais à onze ans, pour la première année, ce qui était plus courant. En effet, de multiples sorciers couraient partout, et filaient dans le mur, sous les yeux amusés de Valenna, qui se contenta de traverser sobrement, pour passer dans la voie 9 3/4, comme si elle l'avait déjà fait toute sa vie. Après des adieux difficiles, elle sentit sa gorge se nouer, et se hâta de monter dans le train, pour ne pas que sa grand-mère s'inquiétât en voyant son regard embué. Quelques minutes plus tard, la fumée se déclenchait et on partait déjà.

"Bonjour, résonnait une voix dans le train, je suis le maître à bord de ce Poudlard Express. On m'a demandé de vous prévenir que l'Ecole a été capturée, en quelque sorte, par les Maraudeuses, comme elles se font nommer, qui préconisent la magie noire."

Valenna avait alors sursauté, en fermant les yeux douloureseusement : sa grand-mère avait tout fait pour lui éviter Durmstrang, à cause de la magie noire, et voilà qu'elles se faisaient toutes les deux piéger. Et pas moyen d'arrêter le train ! Elle soupira donc, et passa le voyage à regarder le paysage sous ses yeux.

"Veuillez mettre vos uniformes et sortir du train, en laissant vos bagages soigneusement étiquettés. Merci."

Valenna avait enfilé depuis longtemps sa robe noire de sorcière, et sortit sur le quai bondé, où des personnes, de onze à dix-huit ans, parlaient avec animation, comme se connaissant tous ; elle se sentit à part, et son coeur cognait. Bientôt, ce fut la Répartition, et, en apprenant qu'elle était en quatrième année, ce fut nombre de chuchotements dans l'assemblée.

"Alors... dit pensivement le Choixpeau. Je vois beaucoup d'intelligence, certes, mais surtout une maturité impressionnante. Des expériences difficiles. Tu veux faire tes preuves, mais surtout de bonnes études, pour rendre fier tes proches. J'hésite entre Serpentard, si la magie noire t'intéresse, ou Serdaigle. Choisis."

Valenna avait murmuré Serdaigle une seule fois, et le Choixpeau avait crié le nom de la maison, avant qu'enfin, soulagée, elle rejoigne la table qui criait son nom avec joie. Comme si elle était le premier être qu'ils accueillaient. La douceur de l'arrivée.

Son père, fou de rage qu’elle soit entrée dans cette école plutôt qu’à Durmstrang, assassine sa grand-mère, pour son plus grand désespoir : sa « mère adoptive » n’était plus de ce monde… Elle pense à se suicider, mais se rappelle la vengeance et continue à s’entraîner.

Enfin, un jour, elle a le courage d’entreprendre le terrible voyage. Passant par le Mexique, elle va voir sa mère, pour lui quémander de l’aide. Celle-ci nie d’abord la connaître, puis secoue la tête, la poussant hors de chez elle, laissant juste échapper :

« Si ton père sait que tu es venu, il me tuera… »

Alors, seule, elle ira en Espagne, et, après de longues semaines de recherche, le retrouvera. Des combats infinis s’ensuivirent, et elle se retrouva à terre, ensanglantée, épuisée, presque morte. Son père rira d’elle, mais ne la tuera pas, s’en allant pour d’autres combats. Alors, exténuée, elle rampera jusqu’à une habitation, où des inconnus la soigneront, avant de la mettre dans un train pour Poudlard, un long train. De retour, elle découvre que sa mère a été assassinée, et la tombe est déplacée dans le cimetière, à côté de celle de sa grand-mère. Après un moment de chagrin, elle décide, plus déterminée que jamais, de profiter de la vie autant qu'elle le peut !\

[*]Options choisies (vous devez en choisir deux parmi Divination, Soins aux Créatures Magiques, Etude des Runes Anciennes, Arithmancie et Etude des Moldus, et si vous êtes en 1ère ou 2e année elles ne seront valables que quand vous entrerez en 3e année) : Etude des Runes Anciennes, Soins aux Créatures Magiques[/list]

• Famille : Le Père
  
  Johnny Pemal est né le 8 septembre 1961, à Madrid, capitale de l’Espagne, qui se remet doucement de la dictature de Franco. Jeune garçon intelligent, mais réservé, il progresse difficilement dans la vie : ses parents ne sont jamais à son écoute, et il est comme le bouc émissaire de son école. Toujours seul, il rumine une vengeance terrible, et s’enfonce dans des pensées atroces. C’est lorsqu’il entrera en dernière année de l’école qu’il aura pour la première fois l’idée de se suicider, mais un homme, dont le capuchon noir recouvrait sombrement le visage, l’aborde en haut de l’immeuble duquel il voulait sauter pour mettre fin à sa triste vie. L’inconnu le console, puis l’écoute, longtemps, patiemment, afin de lui parler, pour qu’il rejoigne son camp. Les discussions suivent, et l’enfant ne reviendra plus jamais chez lui : enrôlé chez les Mangemorts, il commençait son apprentissage. Des années plus tard, à l’anniversaire de ses seize ans, il torture puis tue quelques connaissances de l’école qui l’avaient fait particulièrement souffrir. Heureux de cette force qu’il sent bouillonner en lui, il vit dans l’insouciance, et doit durement se faire rappeler à l’ordre par Celui-Dont-On-Ne-Prononce-Pas-Le-Nom pour se remettre à travailler. La police le retrouve. Catastrophé, il assassine tous les agents, et s’enfuit au Mexique, où il tombera sur une jolie jeune femme : Maria Luisa Lania. Ils tomberont fous amoureux, mais il sera puni par son maître, rentrera en Espagne avec sa femme, et sombrera dans l’alcool. Quand celle-ci mettra au monde un enfant, il deviendra fou d’espoir, et, sous la menace du maître, travaillera pour sauver la vie de l’enfant. Année après année, il espère qu’elle suivra ses pas, mais il se trouve qu’elle est disposée pour le bien. Alors, il violente sa femme, qui s’enfuit au Mexique.
  
  Il vit encore, et œuvre toujours pour le maître. Mangemort jusqu’au bout des doigts, il ne démord plus de sa tâche et hait l’amour qui lui a fait perdre la tête, et l’a tant fait souffrir.
  
  La Mère
  
  Maria Luisa Lania naît dans une famille Mexicaine plutôt pauvre, première de la longue lignée de frères et sœurs qui suivrait. Suivant une coutume très répandue au Mexique, elle ira vivre chez son oncle et sa tante, sous l’éducation de sa grand-mère, loin de chez ses parents, qui auront encore dix enfants. Son enfance est joyeuse : elle vit dans une ville agréable, et tous ses cousins sont toujours présents pour elle. Malgré tout cela, il lui arrive des moments de désespoir où elle doute : pourquoi ses parents l’ont rejeté elle et pas les autres dix enfants ? Est-elle si désagréable que ça ? N’a-t-elle donc aucune qualité qui la valorise ? Elle pleure beaucoup, et n’a personne à qui vraiment parler de tout cela. Mais un jour, elle croise Johnny et l’amour la bouleverse : elle voit un avenir heureux dans sa tête, et part, laissant tout derrière elle. Elle suit donc son mari en Espagne, et les jours sont plutôt joyeux. Cependant, elle sent que l’homme lui cache des choses, et le regrette terriblement. Mais elle ne peut rien faire. Une grande joie arrive quand elle accouche d’une petite fille, qui lui ressemble plus qu’elle ne ressemble à son père. Au fil des années, ce rapprochement s’accentue aussi par le caractère : elle est d’une bonté naturelle. Un jour, ivre, Johnny s’emporte et, dans un grand discours, révèle à Maria Luisa qu’il est un Mangemort. Horrifiée, elle s’enfuit, et laisse sa fille aux bras de celui-ci, avec la menace de la mort si elle tente un jour de la revoir. Brisée, elle revient vers sa famille, qui l’accueille bien. Les jours s’ensuivent plus heureux, malgré les bas qui parfois succèdent aux hauts, et la vie reste calme jusqu’à une visite de sa fille…
  
  Les Grands-Parents
  
  John Marc Pemal et Mary Angel Pemal sont les grands-parents paternels de Valenna. Personnes très calmes de nature, et pensant toujours aux autres, ils voyagent beaucoup pendant l’enfance de leur fils, et le regrettent après, en voyant ce qu’il est devenu. Personnes très posées, ils s’énerveront pourtant quand celui-ci viendra leur expliquer la doctrine des Mangemorts. Ne pouvant rien faire de plus qu’exprimer à leur fils leur mécontentement, ils le regarderont faire, de loin, sans que lui ne s’en aperçoive. Au détour d’une rue, toujours avec ce même inconnu encapuchonné. John entre plus tard dans le Magenmagot et devient peu à peu célèbre pour son pragmatisme et ses discussions intelligentes. Sa femme est douce et adorable, et quand Valenna viendra, avec tous ses cauchemars dans l’esprit, elle tentera de l’aider. Elle mourra malheureusement des mains de son propre fils, quand Valenna entrera à Poudlard.
  
  La maison où Valenna a passé la fin de son enfance est un immense manoir, dans la campagne, presque isolé, entouré de bois et de champs. Le domaine est grand et beau, la plupart du temps ensoleillé. Les visiteurs sont peu nombreux et Valenna en profite pour découvrir, année après année, les centaines de pièces que contient l’étrange maison : les différentes bibliothèques, les salons, et toutes sortes d’autres endroits. Tout est calme. Paisible. Parfait pour une famille posée.

Baguette :

• Description :
  
  - Bois de saule pleureur.
  - 25,6 cm.
  - Plume de phénix.
  
  
• Son acquisition : Pour ses huit ans, sa grand-mère cherche à lui faire oublier les cauchemars du passé, qui la hantent toutes les nuits, ne lui laissant jamais de répit. Chez Ollivander, elle essaye une baguette, et c'est tout de suite le coup de foudre : un lien se créer entre Valenna et la baguette. C'est alors que commencera l'entraînement, pour elle.

Autre :

• Si vous entrez en septième année, avez-vous le permis de transplaner ? Oui.
  
  
• Quel camp:
  
  Un camp? Valenna ne sait pas vraiment : en ce moment elle est perdue. Elle a toujours cru en le bien, à cause de la haine qu'elle éprouve pour son père Mangemort, mais elle hésite. Changera-t-elle de camp?
  
  
• Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Un rêve? Des ambitions? Vivre.

Désolé , j'ai pas le droit de posté ici je sais Mais bon

Bienvenue Valenna ^^

Bon j'arrete désolé je me retire mais sa fesais longtent que je l'avai pas vu désolé

Bienvenue ^^
Excellente fiche.

SERDAIGLE!