RP Trois Balais 1

Invité

Caitlin Ellis tira les vieux rideaux qui étaient encore suspendu aux fenêtres du Pub des Trois balais. A certains endroits, il tombaient en lambeaux. La poussière qu’il contenait s’envola, faisant éternuer la jeune femme tandis que les rayons du soleil filtrèrent à travers la fenêtre aux verres sales. Caitlin poussa un soupir. Il lui faudrait plus de temps qu’elle n’avait pensé pour remettre à neuf ce pub. Mais cela lui importait peu. Ce pub était comme une bouée qu’on lui aurait jeté…La seule chose réelle à laquelle elle pouvait se raccrocher, excepté l’enfant qu’elle attendait. Machinalement, Caitlin porta sa main à son ventre. Elle en était à son cinquième mois de grossesse. Sa silhouette commençait à se déformer et son pas se faisait moins léger. Elle avait hâte d’être délivrée mais aussi très peur en songeant que son avenir était incertain. La jeune femme laissa de côté ses sombres pensées. Elle sortit sa baguette qui était rangée dans la ceinture de sa robe de sorcier et se mit à l’œuvre.

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Le Pub des Trois Balais n’avait désormais plus l’allure miteuse qu’il avait lorsque Caitlin l’avait repris. La jeune femme se sentait épuisée mais aussi très satisfaite. Un petit sourire flottait sur ses lèvres. Caitlin couva du regard son travail. Elle se sentait fière. La porte d’entrée du pub des Trois Balais avait été rénovée par un artisan sculpteur sorcier très prisé. Elle était en bois massif de chêne, et son embrasure était sculptée de scène célèbre de la Sorcellerie : la révolte des Gobelins était représentée à droite, la mort de la sorcière Carcérem, célèbre pour avoir vaincu trois géants d’un coup. En entrant dans le pub des Trois Balais, les clients pénétraient dans une atmosphère singulière. La lumière était tamisée, de nombreuses torches brûlaient à intervalles réguliers, et éclairaient les nombreux tableaux du pub. Une musique de fond, le chant des elfes, avait été instaurée. Le pub des Trois Balais pouvait contenir plus d’une trentaine de personnes assises. Les tables étaient rondes et larges, sculptée dans le même bois que la porte d’entrée. Les chaises leur étaient assorties mais recouverte d’un tissu de velours rouge bordeaux. Enfin, un large comptoir était dressé au fond de la salle, c’était en général la place préférée de certains habitués du pub. Derrière ce comptoir, Caitlin se tenait préparant bierraubeurres et autres boissons de qualité. La jeune femme saisit la carte du pub et la parcourut une énième fois du regard afin de vérifier qu’il n’y avait pas d’erreurs.

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Spécialités de la maison : les bierraubeurres

Bierraubeurres simple : 2 gallions.
Bierraubeurres aromatisée : 5 gallions
Pêche, Pomme, Banane, Kiwi, Fraise, Mirabelle, Betterave, Litchi
Cannelle, Menthe poivrée, Piment doux ou extra-fort, Gingembre

Les boissons non alcoolisées

Café serré aux éclats de noisettes : 2 gallions
Sirop de soda à la cerise avec une boule de glace avec ombrelle : 5 gallions
Jus d’œillet : 2 gallions.

Les boissons alcoolisées

Eau pêchée à la mer : 3 gallions
Whisky pur feu : 6 gallions
Rhum Groseille

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Caitlin, satisfaite, referma la carte du pub. Elle songea encore à l’étage du pub où elle avait aménagé son appartement. Mais l’étage était beaucoup trop grand pour elle seule et son futur enfant. Il restait trois petites pièces libres en mauvais état. Caitlin avait pris la décision de les aménager et de les transformer en chambres d’hôtes.

Les trois petites chambres étaient sur le même modèle. Elles contenaient un lit simple recouvert d’une housse de patchwork rouge sang, un petit bureau en chêne sur lequel reposait une lanterne et une petite commode à trois tiroirs. Le sol était fait d’un parquet ciré et les murs étaient recouverts d’une tapisserie aux motifs entrelacés beiges.

Pour informer ses clients de la création de ces chambres d’hôtes, Caitlin afficha au rez-de-chaussée un panneau d’information.

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Location de chambres à la nuitée

Une nuit : 10 gallions
Une semaine : 25 gallions

Petit déjeuner en plus : 5 gallions/jour.

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Caitlin saisit une petite pancarte qui se trouvait derrière le comptoir. Elle était faite en bois clair sur lequel était gravé recto verso : Open/Close. La jeune femme accrocha la pancarte du côté « Open » à la lourde porte du pub des Trois Balais. Caitlin se dirigea derrière son comptoir. Il ne lui restait plus qu’à attendre ses clients.

Invité

Leîla arriva aux côté de Américo qui la suivait à quelques pas derrière elle, ils arrivèrent ainsi tout deux aux trois balais pour allé prendre un petit verre mais aussi vu la nuit qui tombait, manger un peu... Elle se retourna et tira un large sourire à Américo qui l'accompagnais avant de rentrer dans les lieux pour s'installelr à une table, Américo la rejoingit et pris place face à elle, le silence se plomba et Leîla remarqua que vut le monde la serveuse devait avoir beaucoup de travail et qu'ils pourraient donc discute un peu avant de manger... Elle baissa son regard vert les petits paion déjà disposer dans un petit panier en osier et elle en pris un bout qu'elle émieta entre ses doigts petit à petit un peu stresser par cette ambiance très silencieuse...

"Hum... Vous avez des enfants?"

Encore une question génante, qu'es qu'elle venait à demander sa? Peut-être que parce que si il avait des enfants il avait une femme et si il avait une femme...? Non voyons pourquoi Leîla pensait elle à sa... Elle se sentit particulièrement stupide et baissa un peu le regard avant de lancer en un sourire plutôt gener

"Excusez moi j'ai le dons de mettre les gens mal à l'aise avec mes questions génantes..."

elle prefera donc ce taire même si l'éventualité qu'il est une femme lui traversa de nouveau l'ésprit et à vrai dire elle secoua la tête de droit à gauche comme pour se répondre à elle même... puis finalement elle mangea un bout de pain et la serveuse arriva enfin et demanda se qu'ils desirait manger, Leîla lanca un regard interrogateur à Américo et attendit une réaction...

Invité

Américo aurait dû s'y attendre. C'est vrai, quoi? Toutes les Questions qui mettaient un homme dans l'embarras, elle les posait. D'abords l'âge, puis maintenant, une quelconque descendance. Il devait s'attendre à quoi venant de sa part. A tout! Il eut un sourire fugitif puis il prit ça à la rigolade.

- Moi, avoir un enfant? J'ai déjà dû mal à me lever le Matin alors si en plus j'avais ce genre de responsabilité...

Puis il reprit un ton sérieux. Un visage plus adulte, je ne sais pas comment l'expliqué... Bref, si vous voyez tant mieux, sinon bah... Tant pis!

- Non, je n'ai pas trouvé la femme parfaite... Enfin, pour moi...

Américo regarda tout autours de lui. Il s'était assi et il avait fait un signe de tête en guise de bonjour à la gérante des Trois balais. Comme si il était myope, il n'avait pas remarqué qu'elle était enceinte. Ce genre de chose n'est pas évident pour un homme.

- Vous ne me dérangez pas du tout... Et vous? Vous aimeriez avoir des enfants? Fondés une famille, etc... ?

Américo commençait une conversation assez sérieuse. Bah Oui! Ce n'est pas vraiment un sujet de rigolade. Il tournait à présent son anneau autours de son doigt.

Invité

Leîla qui regardait ave cune passion soudaine le bout de ses oreille fut rassurer de voir que Américo n'avait pas pris mal sa curiosité, mais curieusement elle fut rassurer qu'il n'ait pas d'enfent et rajouta par la suite qu'il n'était pas marier, et contre son grés cela lui enlva un poid du coeur... Elle se sentit plutôt gener de penser se genre de choses... Mais quand se fut à son tour d'eêtre questionner elle souria et répondit

"Oui peut-être un jour, mais le prince charmant que j'attend n'as pas l'air de ce manifester..."

elle dit sa phrase et eut l'impression de mentir profondement mais tant pis, elle ne savait pas trop ce qui ce passait mais que pouvait elle bien faire ce jetter sur lka table et lui decoller un baiser sauvage avant de partir tranquillement? Non bien trop dangeureux, elle risauis probablement de se faire mal avec la bougie allumer sur la table... ^^ Puis elle remarqua que Américo tournais et retournais sa bague autour de son doigt elle arqua un sourcil et demanda encore

"Il y a une signification particulière à cette bague?"

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Américo eut un sourire. Alors comme ça il ne s'était pas manifesté? Bien dommage pour cette jeune fille... Elle avait tout pour elle. Belle, calme et une bonne discution. Le seul petit hic... Sa curiosité à tout épreuve. Mais bon, il paraît que par amour, on laisse passer bien des choses...

- Il se manifestera... Tôt ou tard...

Américo écouta la jeune fille parlait tout en regardant la flamme sur la bougie. Elle était vraiment curieuse. Il se dit qu'il ne connaissait pas plus curieux. Puis il répondit:

- Elle en a une... Et puis, c'est un anneau... Pas une bague...

Américo détestait que l'on appel ça une bague. Non, il fallait appeler ça par son propre nom. Et puis, une bague, c'était pour les femmes pas pour les hommes.

- C'est mon meilleur ami qui me la offert lorsque je suis partit du Japon... Pour éviter de l'oublier.

Invité

Le jeune homme corrigea que cela n'était pas une bague mais un anneau et elle haucha la tête de haut en bas silencieuse, il resta tout de même très bref et elle ne chercha pas à brusquer quoi que se soit et préfera ne pas poser d'autres questions même si cela lui brûlais les lèvres. Elle souria et quand la serveuse arriva commanda comme entrée un grand plat pour deux de petits gateau d'apperitif et de petits biscuits, en attendant que leurs plats principaux pointes le bout de leurs nez...

Le silence s'installa mais cela ne dérangeais pas Leîla qui à présent savait à peu près qui était le jeune homme avec qui elle passerait la soiré vu qu'elle avait finit de poser toutes ses questions, c'était presque une habitude chez elle de poser dés l'entrée de jeux toutes les question qui pour elle peuvent avoir une certaine importance pour pouvoir par la suite elle tranquille et savoir quelles sujets aborder et lesquels évité... Leîla regarda au dehort et remarqua qu'ils n'avaient pas eu tord de rentrer vu qu'il pleuvaient des averse ...

"On n'as pas eu tord de rentré... "

dit-elle en tendant sont index vert la fenêtre... Elle regarda les décorations autour d'elle du très grande beauté tout en enroulant une mèche de ses cheveux blond autour de son index toujours souriante... Elle ne savait pas trop quoi dire pour animé la conversation et préfera attendre que cela soit Américo qui le face, après tout elle avait bien fait des tentatives mais elle ésitait toujours... de peur de dire quelque chose de blessant ou de stupide...

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*Mince...*

Caitlin Ellis venait de laisser tomber le torchon avec lequel elle essuyait tout une panoplie de verres. La future mère leva les yeux au ciel avec exaspération. Elle plaça sa main droite dans le bas de son dos et se penca difficilement vers le sol. Une grimace naquit sur son visage. Son ventre la génait. Elle en était à son sixième mois de grossesse et avait de plus en plus de mal à ses déplacer. Bientôt, il lui faudrait engager quelqu'un pour l'aider au Pub des Trois Balais. La futur mère ramassa le torchon et se redressa lentement en prenant garde à ne pas faire de faux mouvements. Elle poussa un soupir et se remit à essuyer les verres propres lorsque son attention fut attirée par le bruit du battant de la porte d'entrée. Une jeune femme et un jeune homme venait d'arriver. Ils se dirigèrent vers une table en jetant un bref coup d'oeil à Caitlin. Cette dernière sourit. Le pub attirait de nombreuses personnes depuis son ouverture et elle en était ravie. La jeune femme attrapa deux cartes en cuir reliée. Elle les déposa sur un plateau où attendait déjà deux grosses chopes de bierraubeurre. C'était la commande de la table sept. Caitlin Ellis se fraya un chemin à travers les allées. le Pub des Trois Balais était empli d'une cacoponie assourdissante.

"Et voilà ! Deux bierraubeurre !" dit la futur mère en déposant sur la table le contenu du plateau.

Caitlin encaissa les quelques gallions de recette puis tourna les talons et se dirigea vers le couple qui avait pénétré dans le pub quelques minutes auparavant. Elle affichait un grand sourire lorsqu'elle leur tendit les cartes du menu.

"Messieur, Dame, bonjour ! Avez-vous choisit ou vous faut-il encore un peu de temps ?"

Invité

- On n'as pas eu tord de rentré...

Américo fut étonné d'entendre cela. Au début, il ne comprenait pas vraiment pourquoi elle avait dit cela. C'est en regardant par la fenêtre après avoir été alerté par la pluie qui tombé en rafale sur le Village de Pré-au-Lard, que le Jeune Sanchez comprit de quoi il en retrournait. Il reporta son attention sur Leîla puis il ajouta:

- Je crois que tu as raison...

Il eut un légers sourire puis il s'appreta à relancer la conversation lorsqu'il vit la Gérante des Trois Balais qui s'approchait vers eux. Il lui fit un sourire polis. Il s'atarda quelques secondes sur le ventre de la jeune femme.

Pense: Y a pas de doute... Elle est enceinte...

- Messieur, Dame, bonjour ! Avez-vous choisit ou vous faut-il encore un peu de temps ?

Américo lança un regard à Leîla. Pour dire la vérité, il n'avait même pas regarder la liste. Néanmois, il n'était pas très difficile et il lui répondit presque instantanément après que la jeune femme qui l'accompagnait lui avait dit ce qu'elle voulait.

- Pour moi, ce sera un Whisky pur feu. Y a t'il moyen d'avoir une carte des spécialités culinaires que vous servez dans l'Auberge?

Il avait un parlé très posé. Utilisant des mots que peu de personne utiliserait en temps normal. Cela ne voulait pas dire qu'il était pédant, nan bien au contraire... Il avait toujours appris que pour être compris de tous le monde, il fallait parler correctement.

[HRP/ Désolé Leîla pour avoir anticiper ton action, mais vu que c'était à moi de répondre et que mon perso est galant, il fallait bien que je trouve quelque chose... Encore désolé!]

Invité

Leîla resta muette lorsque la serveuse leurs demanda ce qu'ils voulaient manger, à vra idire elle n'avait même pas prit le temps de réflechir à ce qu'elle voulait manger... Elle laissa donc Américo choisir et demander une carte, et sa galenterie, la politesse de tous ce qu'il est put dire avec une élégance admirable rendit Leîla plutôt admirative... Elle souria et regarda toujours la pluie tomber au dehort, la musique de fond rendait l'ambliance très agréable et malgrés que les deux jeunes gens ne parlent pas l'ambiance était très chaleureuse et agréable... Mais ce fût Américo qui la tira de ses reveries en lui demandant ce qu'elle à son tour voulait boire, elle regarda vivement la carte poser près du comptoire et pris quelques chose de plus doux de Américo

"Pour moi, cela sera un ruhm groseille s'il vous plait..."

Elle souria chalmeureusement non pas parce qu'elle semblais enceinte mais parce qu'elle lui semblait simpathique et qu'elle lui souhaitait profondément bonne chance pour la suite... Elle souria et retourna son regard vert Américo vut qu'ils ne c'étaient pas adresser la paroles depuis pas mal de temps et elle n'avait pas tellement envie que des tensions s'installe ainsi que la gêne ...

"Si tu n'es jamais allé à prés-au-lard je pourrais te faire visité..."

proposa elle en un sourire, tout en sirottant, un bout de paille dans le coin des lèvres un verre d'eau en attendant que les boissons arrivent... Elle retourna son attention vert les décoration qui franchement était très belle et elle enviait le goût des décoration de la propriétaire... Elle tant qu'as elle avait déjà bien du mal à accorder les couleur pour armonier une piece, alors pour toute une batisse...

Invité

"Très bien...Donc un rhum groseille pour Mademoiselle et la carte des spécialités culinaires de la maison pour Monsieur...Je vous apporte cela tout de suite," conclut Caitlin Ellis en tournant les talons.

La jeune femme s'en fut vers le comptoir. Elle ressentais une extrême lassitude et une douleur aigue dans le bas du ventre. La jeune fille se retint au comptoir et inspira un grand coup. Les yeux clos, l'image de son ancien amour lui revint à l'esprit. Elle la chassa comme s'il s'agissait d'un souvenir gênant...Mais ce n'était pas le cas...Seulement penser à Lui, lui faisait mal, ma torturait et lui broyait le coeur. La jeune femme disparut derrière son comptoir. Elle se baissa et attrappa la carte reliée des spécilités de la maison.

Cailtin saisit également un pichet de rhum groseille. Elle en avait préparé tout plein le matin même. Il disparaissait vite. Caitlin remplit un grand verre, tel une chope de bierre, et le déposa sur un plateau. Elle ajouta également une carafe d'eau et un verre simple pour le jeune homme qui n'avait rien commandé. puis la jeune femme s'en retourna à ses clients. Son dos la tirait aussi, elle était fourbu par la fatigue, heureusement qu'elle devait bientôt accoucher...Mais pendant ce temps, qui s'occuperait du Pub des Trois Balais ? Cette question l'obsédait. Le pub était la seule chose qui lui avait permi de ne pas perdre pieds alors qu'elle se retrouvait seule, sans famille ni amis.

La jeune femme de vingt-deux ans arriva à la table de ses clients. Elle déposa la chope devant la jeune femme puis la carafe et le verre devant le jeune homme. Elle le remplit.

"Et voilà...Tenez, voici la carte, n'hésitez pas à m'appeller lorsque vous aurez choisit !"

Invité

Américo eut un sourire lorsque Leîla commanda sa boisson. Les Femmes aimaient les choses raffinés et non, les alcools forts. Lui, il n'était pas difficile. Il avait une préférence pour les sensations fortes alors autant prendre quelques choses de fort. Américo regarda la Serveuse et lorsqu'elle lui tendit la carte, il eut un sourire tout en prononçant.

- D'accord, je vous appelerais, Mad... Mademoiselle.

Il ne savait pas si il fallait l'appeler Madame car il n'avait pas vu sur sa main la moindre alliance. Alors c'est pour cela qu'il avait légèrement buté sur son mot. Il prit la carte puis Leîla lui proposa une ballade au Pré-au-Lard, Américo eut un petit rire. Il lui répondit:

- J'ai, je pense, tout comme toi, fais mes études à Poudlard. J'étais à Serpentard, la noble maison. Alors, lors des Weeks-end, je me promenais souvent en ces lieux avec mon pote, Keiji. Et toi? Tu étais dans quel maison?

A son tour, il sirota son Whisky pur feu du bout des lèvres, tout en gardant son regard sur la jeune femme qui était assise en face de lui.

Invité

Jack se tenait tranquillement debout, dans une ruelle sombre, dans l'allée des embrumes. Il adorait cette endroit plutot mal famé mais qui regorgeait de trésors. Evidemment, ce n'était pas l'endroit ou l'on faisait de bonnes rencontres mais Jack y trouvait ce dont il avait besoin la plupart du temps... Mais cette fois-ci, jack n'avait pas envie de s'attarder devant la vitrine de Barjow et Beurk ou à l'auberge des treizes pendues... Non, il avait bien envie de rentrer chez lui. Il commença à sortir de l'allée sombre, et tomba dans le chemin de traverse. Il regarda sa monte, il avait largement le temps de repasser chez lui avant de sortir. Car, c'était son jour de congé aujourd'hui, le travail était de plus en plus rare à Ste Mangouste, il s'était accordé quelques vacances bien mérités. Jack transplana alors vers chez lui. En un instant, il disparut du chemin, plusieurs personnes le regardèrent disparaitre.

Jack arriva juste devant sa porte. Il prit sa clé, et remarqua que devant son paillasson, se tenait une lettre. Etrange, il ne reçevait presque jamais de courrier, et quand il en reçevait, il le faisait déposer dans un endroit bien précis. Il ramassa l'enveloppe, la déchira et en tira une grande lettre. Une lettre du ministère de la magie. Il commença alors à lire... Cette lettre lui indiquait qu'il devait encore 567 gallionsà l'état, pour les nombreux crimes dont il avait hérité de son père. la seule chose que lui avait laissé son paternel, c'était des dettes... Beau cadeau ! Jack rentra chez lui, et déchira immédiatemment la lettre. Il n'avait jamais vraiment aimé le ministère... Les lois et la diplomatie n'était pas ce qu'il préferait. Mais si il reçevait des lettres, c'est que le ministère savait ou il se trouvait. Peut être même lui envoirait-t-on des aurors si il refusait de payer.

QU'importe, il ne s'en souciait pas. Il alla dans la cuisine, et ouvrit le frigo, il était vide. Ce n'était pas de chance, il faudrait aller au restaurant ou dans un bar pour manger. Et Jack avait un peu soif. C'est décidé, il irait se boire un petit coup pour se désaltèrer. Justement, il conaissait un endroit plutot bien : les trois balais, à Pré-AU-Lard. Content de son idée, il sortit et transplana immédiatemment à Pré-Au-Lard. La, il trouva rapidement une enseigne qui indiquait l'auberge. Il entra.

Jack trouva rapidement quelques personnes déja assisses au bar. il se dirigea vers celui-ci et regarda celle qui devait surement ête la directrice de l'établissement. Il enleva son chapeau et le fixa dans les yeux.

Bonjour madame.

Invité

Spécialités de la maison : les bierraubeurres

Bierraubeurres simple : 2 gallions.
Bierraubeurres aromatisée : 5 gallions
Pêche, Pomme, Banane, Kiwi, Fraise, Mirabelle, Betterave, Litchi
Cannelle, Menthe poivrée, Piment doux ou extra-fort, Gingembre

Les boissons non alcoolisées

Café serré aux éclats de noisettes : 2 gallions
Sirop de soda à la cerise avec une boule de glace avec ombrelle : 5 gallions
Jus d’œillet : 2 gallions.

Les boissons alcoolisées

Eau pêchée à la mer : 3 gallions
Whisky pur feu : 6 gallions
Rhum Groseille

Location de chambres à la nuitée

Une nuit : 10 gallions
Une semaine : 25 gallions

Petit déjeuner en plus : 5 gallions/jour.

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