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| If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. | |
| | Auteur | Message |
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Adam Hat Invité
| Sujet: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. Dim 3 Déc 2006 - 0:38 | |
| PlayerIdentité :
- Prénom et nom : Adam Hathaway Fil de Brad Hathaway.
- Date de naissance : 18 Juillet 1956.
- Sexe : Masculin.
Physique : Lors d’une interview journalistique : « Jamais mes yeux ne s’étaient posés sur un homme aussi beau : son corps musclé mais sans excès, sinon « ce n’est vraiment pas sexy » exhibait toute une vie de dévotion à la gym dans les cols roulés à fines côtes et des pantalons de cuir moulants. Ses yeux bleus pétillants dévoraient chaque cœur, à presque ne plus savoir, ou se mettre. » […] Je me suis retournée. Un Bonhomme qui devait mesurer bien Un mètre quatre-vingt-dix, avec une peau bronzée et de longs cheveux noirs. Il y avait quatre-vingt kilos de chair répartis sur ce … , et une telle masse de muscles qu’elle semblait sur le point de faire exploser sa combinaison-pantalon ! Tout d’une pièce, moulante sur les cuisses, ceinturée à la taille. Le type arborait aussi, dans un tee-shirt à fines côtes tendus sur les biceps proéminents et ses pectoraux parfaitement dessinés et, pour compléter l’ensemble, des chaussures de combat noires.
- Cheveux :
Ses cheveux longs sont lisse, il aime bien ses cheveux, il c’est toujours dit que même quelqu’un d’horrible serait toujours plus beau avec de beaux cheveux. Il se les coupe régulièrement, et magiquement. Il ne s’applique jamais de lotion particulière.
- Yeux / regard :
De beaux yeux bleus pétillants dévorent le regard de chacune des femmes qui pose son regard sur lui. Il n’a pas de regard cruel, ou bon, il est normale, rit et sourit…
- Visage / expression et couleur de peau :
Il a un beau visage, naturel mais beau. Il prend soin de lui mais ne s’étale pas de crème ou autre produit pouvant arranger sa peau. Il se rase tous les jours, et sa peau légèrement matte, lui permet d’être toujours beau et ce quelque soit l’époque.
- Taille :
Il mesure plus d’un mètre quatre-vingt-dix. Il n’est pas exceptionnellement grand, beaucoup de jeune de son âge atteigne facilement les un mètre quatre-vingt-dix.
- Corpulence :
Un corps musclé sans excès. Il pèse environ quatre-vingt kilos tout mouillé.
- Signe particulier :
Si vous avez un jour la chance de le voir torse-nu (enfin je ne sais pas si c’est une chance) il a une petite cicatrice sur la hanche droite. Elle est presque insignifiante, mais elle ne lui rappel que mauvais souvenir. Petite mais très profonde, un verre est tombé de ses mains, il voulu le rattraper mais tombant lui aussi, un bout de verre lui rentra dans la peau. Et même avec des soins magiques intensifs, la marque n’a jamais vraiment disparu.
Caractère :
- Qualités :
Il ne possède pas de grande qualité, il essaye au plus souvent d’être sincère. Il pense souvent aux autres et n’a pas d’idées cauchemardesques. Il profite de la vie, la vie au jour le jour, et puis « ça ne sert à rien de regarder en arrière » … Il agit selon lui, ses envi, ses gouts. Il a un bon esprit d’équipe. Et comme il le dit souvent : « Je pense donc je suis »
- Défauts :
Il peut être agaçant quelques fois, se prendre trop au sérieux, lui vaudrait un retour à la réalité. Il est rare de le voir énerver mais quand il l’est, il n’hésite pas à pourrir le moral des autres, et hélas le fait inconsciemment… Il peut s’avérer un peu moqueur mais n’allant pas jusqu’au blessant.
- Ce qu’il aime et ses passions :
Il n’a pas de passion particulière, hormis l’écriture et la mode. Il aime le chocolat, l’odeur de la mer, voir le soleil se coucher sur la plage avalé par la ligne d’horizon. Il aime le café, il a goutté à de très bon café en France, et il n’est pas rare de le voir avec un Café en main d’ailleurs. Il aime fumer, même si celle-ci peut le tuer. Il n’est pas rare de le voir, tout autant dans les bars londoniens avec quelques de ses amis, comme dans les soirées mondaines.
- Ce qu’il déteste et ses phobies :
Par-dessous tout le marché, il déteste les Tapette. Et croyez moi, il se retient pour ne pas leur envoyer son poing, ce n’est pas de la discrimination ou du racisme, c’est plus fort que lui … On tous bien quelque chose que l’on déteste et bien lui dans ce qui est « matérielle » c’est les cimetières, il déteste l’odeur, ces gens, cette ambiance, chacun sont truc ...
- Tic :
On a beau chercher, l’on n’a jamais vu l’ombre d’un tic sur lui… En plus ça saute partout (ahahaha)
Histoire :
- Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Originaire des Etats-Unis, mais de Nationalité Londonienne depuis des années maintenant, fils d’un père et d’une mère sorcier.
- Lieu d'habitation :
Je vivais avec deux colocataires, Shanti et Kendra. A mon arrivé à Londres, je vivais sur le canapé d’une amie, Lily, une amie d’enfance, sorcière. Ayant un intérêt particulier à me déloger de son canapé, elle a expédié des e-mails à tous les gens qu’elle connaissait. Un étudiant de son séminaire de doctorat à Oxford là aiguillée sur l’un de ses potes dont le patron connaissait deux filles qui recherchaient un colocataire. Je les appelées sur le champ, et l’une des deux, Shanti, une fille adorable, m’a expliqué que son amie Kendra et elles avaient une pièce à sous-louer dans leur appartement dans Londres même. La chambre en question était minuscule, mais il y avait une fenêtre, un placard et même un mur en briques apparentes. Le tout pour 800 £ par mois. J’ai demandé si l’appartement comportait une salle de bains et une cuisine. C’était le cas, en revanche, il n’y avait ni lave-vaisselle, ni baignoire, ni ascenseur … et pas question d’utilisé la magie avec des Moldus. Mais on ne peut d’attendre à vivre dans le luxe la première fois qu’on quitte le cocon familial. C’était une affaire conclue. Shanti et Kendra étaient deux Indiennes gentilles et paisibles, qui sortaient tout juste de la fac, bossaient dans des banques d’investissement et avant des horaires de dingues. Le premier jour, je n’ai pas réussi à les distinguer l’une de l’autre, et il allait être ainsi jusqu’au dernier jour de notre cohabitation, mais peu importait : j’avais trouvé un toit. Après trois nuits passées dans mon nouveau logis, j’avais toujours l’impression d’être un étranger échoué dans un milieu inconnu. Ma chambre était vraiment très très petite. D’après min estimation au jugé de ses dimensions, cette pièce offrait une superficie tout à fait normale pour une chambre : j’en avais donc conclu que je pouvais m’acheter un lit de 160, une commode, et peut être même un ou deux chevets. Lily et moi avons emprunté la voiture de son petit ami pour faire une virée chez Ikea, la Macque de tout étudiant qui s’installe m’avait t’elle dit ; j’ai craqué sur un très joli lit en bois à peine teinté et un tapis dans les tons noirs-chocolats. J’ai acheté la couette la plus dodue qu’ils avaient en rayon et une housse avec un motif de chocolat lui aussi, Ikea devait être à cette époque là à fond dans sa « période Chocolat ». Pas plus que la mode à cette époque, la décoration d’intérieur n’était pas moins point fort. Lily m’a convaincu d’acheter une de ces lampes chinoises en papier de riz à poser sur la table de chevet, et j’ai complété l’ensemble en choisissant quelques photos en noir et blanc déjà encadrée pour atténuer le côté brut des briques rouges apparentes. Elégant, cool, zen. L’ensemble idéal pour ma première installation d’adulte dans la Grosse Pomme.
- Localisation géographique : Londres, centre.
- Style d'habitation : Appartement, en cohabitation.
Dernière édition par le Mar 12 Déc 2006 - 18:13, édité 7 fois |
| | | Adam Hat Invité
| Sujet: Re: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. Dim 3 Déc 2006 - 0:40 | |
| - Enfance:
Si l’on regarde de loin, on peut dire que j’ais eu, une enfance normale. Mes deux parents vivants, 5 frères et sœurs, 1 grand parent pour chaque famille, des amis … Tout d’abord, je vous souhaite la bienvenue dans le monde de la richesse, de l’avarice et de l’éducation parfaite. Ma mère, une femme autoritaire, qui m’apprit à vivre dans deux mondes. Je l’en remercie pour cela maintenant, mais tout ce qu’elle faisait été prémédité. Alors n’allons pas trop vite. Elle m’apprit toutes règles élémentaires, et me punissais continuellement, pour chaque bêtise ridicule que je pouvais faire, mais je continuais … Mon père a été assez absent pendant mon enfance, et je dois bien le dire c’est peut être la meilleur chose qui me soit arrivé, il ne faisait rien, et il était si lent et paisible qu’il m’aurait vite lassé de la vie. Lui ne faisait rien et profitait de l’argent et de la vie. Je ne sais toujours pas comment ma mère et lui ont il put avoir quelque chose en commun un jour. Enfin ce n’était pas si terrible, et puis je ne me plaints pas. Mais je n’attendais que de sortir de cette maison, moi et mes frères et sœurs, vivions dans ce monde sévère de l’anarchisme. Il vouvoie sa mère car elle l’a toujours fait ainsi.
- Scolarité à Poudlard ou autre école de magie :
Comme prémédité, ses années à Poudlard on été les plus belles qu’il a connut. La magie qu’il a appris, étudier, et appliquer, lui a permis d’avoir tout ses diplômes. Il ne les a pas eut haut la main, mais ils les as eut. Les amis, les rencontres, et puis Poudlard ont été pour lui l’univers de ça jeunesse préféré. C’était un Gryffondor, la ligné de son père était Gryffondor, tandis que la ligné de sa mère était principalement Serdaigle. Tous étaient allés à Poudlard. J’étais aussi, car addict de tout sport, un joueur attaquant, de Gryffondor. J’étais bon dans ce jeu, et c’est surement ce qui m’a aidé à devenir plus populaire au sein de Poudlard. Je ne me suis presque jamais soucié de quoi faire après Poudlard, J’étais bien pour le moment et c’est ce qui m’importait. Masi c’est à partir de ma sixième année, que mes gouts et choix se développait, j’écrivais beaucoup et l’idée depuis que j’étais entré à Poudlard d’écrire un jour dans Le Chicaneur ne m’était pas indifférente.
- Vie après sa scolarité :
J’avais passé les 18 années précédentes à incarner la magie, et ces plus grandes Histoires. J’avais grandi à Hemel Hempstead dans la région de Londres, et mon existence tout entière se résumait à un cliché : Match de Quidditch, sorties en groupe à Pré-Au-Lard, soirées de beuverie en cachète dans les dortoirs, apprendre et pratiquer magie. On allait en cours en longue robe noir et au couleur de notre maison. Ces quatre années passées à Poudlard, à trainer en Robe de Sorcier, à étudier les Grands mages, Tous les Sorts, à pondre des dissertations outrageusement verbeuses ne m’avaient en rien préparé pour mon tout premier poste, une fois sorti de Poudlard. Je me suis débrouillé pour retarder l’échéance le plus longtemps possible. Pendant les trois mois qui ont suivi l’obtention de mes Diplôme, j’ai économisé sous à sous tout l’argent que je pouvais, et me suis offert un voyage en solitaire. Un mois durant, j’ai sillonné l’Europe en train Moldus ; j’ai passé plus d’heures à la plage que dans les musées et je n’ai guère fait d’efforts pour garder le contact avec mes amis. De retour, des images plein les yeux, je pensais à mon avenir. Mes objectifs n’étaient pas très nobles : je souhaitais intégrer la rédaction d’un magazine. Et tout en sachant que mes chances d’être embauchée au Chicaneur à la sortie de Poudlard étaient maigres, j’étais néanmoins déterminé à écrire pour ce magazine. Ecrire dans Le Chicaneur était le rêve de toute ma vie ; jamais je n’avais envisagé d’autre avenir professionnel. J’avais découvert ce magazine un jour où mes parents évoquaient un article qu’ils venaient de lire.
- Famille :
Ma mère était menue, aux mains fine, féminine et douce. Elle relève rarement la tête pour regarder les gens, lorsqu’elle est occupée. Ses cheveux, teints en blond avec une magie experte, étaient noués en un chignon souple, délibérément décontracté et néanmoins suprêmement chic. Elle ne sourirait pas, mais je ne l’a jugé pas intimidante pour autant ; d’apparence elle semblait même plutôt aimable, et presque fragile. Du coup, l’on se sent assez à l’aise. Mais à ce moment là j’ai remarqué avec qu’elle détermination, mêlée peut être d’un soupçon d’amusement, qu’elle étudiait, son fils, mes efforts pour me montrer poli. Condescendante et mal à l’aise, oui, mais pas particulièrement vache. J’ais trois frères et deux sœurs, l’ainé, Marius avait bientôt 30 ans, il travaillé pour le ministère et était marié à une femme, plus jeune que lui. Ensuite, venait ma sœur, Louisa 29 ans, qui travaille elle aussi au ministère grâce à mon frère, comme standardiste, je crois … Un autre frère, 26 ans, je ne le connais que très peu, il c’est beaucoup éloigné de notre famille, et vit en Egypte avec sa femme et un enfant, il travaille lui pour les fouilles archéologiques. Et moi, 23 ans, ensuite il y a Brian 20 ans et Alice 19 ans. Et enfin mon père, monstre fainéant, lunatique, et vieux.
Baguette :
- Description :
Baguette souple de 20 cm, d’un bois lisse et noir. Elle est toujours très propre, il l’a met très souvent dans l’une de ses poches, ou dans sa robe de sorcier, quand il l’a met.
- Son acquisition :
Obtenu chez Olivander’s lors de son entrée à Poudlard.
Dernière édition par le Dim 3 Déc 2006 - 0:45, édité 3 fois |
| | | Adam Hat Invité
| Sujet: Re: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. Dim 3 Déc 2006 - 0:41 | |
| - Vie de votre personnage désormais:
J’étais arrêté au feu rouge, à l’intersection de la 17e Rue et d’Oxford Street, et avant même qu’il ne passe officiellement au vert, une meute de taxis arrogants s’est élancée à l’assaut du carrefour, de part et d’autre de cet engin de mort miniature que j’essayais de piloter. Appuie sur l’embrayage, lâche l’accélérateur, enclenche le levier de vitesse, lâche l’embrayage. Je psalmodiais ce mantra en boucle dans ma tête, mais parmi cette circulation rugissante, il n’était ni d’un grand réconfort, ni d’aucun secours. Après deux ruades sauvages, la petite voiture s’est décider à avancer d’un bond jusqu’au milieu du carrefour. Mon cœur a fait un looping. Puis, sans crier gare, les secousses se sont stabilisées et l’engin a commencé à prendre de la vitesse. Pas mal de vitesse. Le temps de risquer un bref regard sur le levier pour vérifier que je n’étais bien qu’en seconde, l’arrière d’un taxi est venu s’encadrer en gros plan dans le pare-brise. Je n’avais pas le choix. J’ai écrasé la pédale de frein, avec tant de force que le mouvement a plié et arraché ma chaussure. Merde ! Encor une paire de pompes à 700 £ sacrifiée à ma totale absence de grâce sous la pression. Si je faisais les comptes, c’était ma troisième casse de ce genre dans le mois. Quand le moteur a calé (en freinant pour sauver ma peau, je crois que j’avais oublié d’embrayer), j’ai presque été soulagé d’avoir gagné ce petit répit - qui n’avait rien d’une accalmie, compte tenu de l’ovation de klaxons hargneux et d’insultes qui s’est aussitôt élevée. J’en ai profité pour me déchausser et poser mes Manolo sur le siège passager. J’avais les paumes moites et rien pour les essuyer, sinon le jeans Gucci que le portais - un jeans tellement moulant que mon bassin et mes cuisses étaient totalement engourdis depuis l’instant où je l’avais enfilé (je ne vous parle pas du reste …). Essayer de piloter un cabriolet non automatique à 8400 £ dans les rues de Londres à l’heure du déjeuner tenait vraiment de la course d’obstacles. Il me fallait absolument une cigarette. - Alors, le p’tit mec, y va rester longtemps ici ? a beuglé un chauffeur de taxi. Tu te crois où ? A l’auto-école ? Avaaaance !
Pour toute réponse, je lui ai montré mon index résolument tendu, puis je me suis concentrée sur la priorité absolue du moment : faire circuler, séance tenante, de la nicotine dans mes veines. Mes mains étaient de nouveau humides et les allumettes s’obstinaient à glisser par terre les unes après les autres. Au moment précis où je réussissais enfin mon coup, le feu est passé au vert. Cigarette aux lèvres, j’ai recommencé à me débattre avec le subtil enchainement de la conduite non automatisé tout en inspirant et recrachant la fumée au rythme de ma respiration. Ce n’est qu’après avoir parcouru trois blocs entiers que j’ai atteint la vitesse de croisière qui me permettait d’ôter la cigarette d’entre mes lèvres. Mais trop tard : la tige dangereusement longue de cendres s’est effondrée sur mes cuisses. Génial. Mais avant même que j’ai pu m’appesantir là-dessus (en comptant les Manolo, je venais de bousiller 3100 £ de marchandise en moins de trois minutes), mon téléphone s’est mis à piailler. Et comme si, en cet instant-là, ma vie n’était pas pourrie j’jusqu’au trognon, la présentation d’appel sur l’écran confirmé ma pire crainte : c’était Elle. Miranda Hathaway. Ma Mère.
Etant donné que mes pieds (nus) et mes mains (glissantes) étaient déjà occupés par divers impératifs, ouvrir le petit Motorola n’était pas une mince affaire. A peine ai-je réussi que j’ai entendu sa vois flutée : - WwIi-lliII-Aam ! WIIlliaM ! Vous m’entendez ?
Je me suis débarrassé de ma cigarette par la vitre ouverte, et manque de pot elle a failli percuter un coursier à moto ; le type à hurlé quelques insultes sans originalité avant de poursuivre sa route. - Oui, Miranda, je vous entends, ai-je répondu en coinçant le téléphone entre l’oreille et l’épaule. - Ah et bien, heu … Nous t’attendons ! Que fais-tu ! Toutes la famille et là ! Tu me fais Honte !
Dieu merci, le feu suivant a eu l’excellente idée de passer au rouge. La voiture s’est immobilisée dans un hoquet, mais sans rien Hurter, ni personne. Ouf. - Je suis en voiture, Miranda. Je devrais arriver à la maison d’ici quelques minutes.
Sans doute voulait-elle vérifier que tout se passait bien. Oui, l’ai-je rassuré, tout marchait comme sur des roulettes, la voiture et moi allions bientôt arriver, en parfait état l’un et l’autre, et … Mais sans me laisser le temps de terminer ma phrase, Miranda a lâché : - Peu importe. Combien de fois faudra t’il que je vous répète d’utiliser la magie quand vous venez à la maison ! Que votre insolence me fatigue ! J’ai entendu un « clic ». Puis plus rien. J’ai contemplé l’écran du téléphone, perplexe, et j’ai compris que Miranda avait tout simplement raccroché, puisqu’elle m’avait délivré toutes les indications que j’étais en droit d’espérer. C’était toujours pareil. Je me souvenu qu’à Londres, téléphoner au volant est illégal, et franchement, une patrouille de la NYPD à mes trousses était la dernière chose dont j’avais besoin. Je me suis rangé le long d’un couloir de bus et j’ai allumé mes warnings. J’ai même pensé à serrer le frein à main avant de relâcher la pédale du frein moteur. Je n’avais pas conduit de voiture non automatique depuis des années ! La dernière tentative remontait aux années de Poudlard. Miranda m’avait payé une petite voiture, comme elle me pensé incapable de me transplaner, et mes tentatives de conduites n’avaient pas été vraiment concluante. Mais Linda, ma petite amie, n’avait pas daigné considérer ce détail lorsque, une heure et demie plus tôt, elle m’avait appelé. - WiiIliaM! Il faut récupérer ta voiture ! Occupe-toi-en immédiatement. Nous en avons besoin ce midi pour partir chez ta mEE-rE ! Je suis resté comme enraciné quelques instants de plus assis sur ma chaise, devant mon bureau aux dimensions imposantes, mais Linda, qui je pensais de vis avec ma mère, me raccrocha au nez. Mais naturellement, Linda, ai-je pensé en quittant son bureau.
J’ai réussi sans autre incident à garer la voiture au parking. Et quelques millièmes de secondes plus tard, je vis arrivé, une femme, au physique parfait, et à l’allure moderne. Elle posa sa main délicatement sur la poigné du passager, et entra dans la voiture. C’était Linda, fille d’une lignée de sorcier bourgeoise, je faisais souvent la comparaison entre elle et ma mère, et à chaque fois je ne trouvais aucune différence. Identique. Je remis le moteur en route, et partis en direction de la demeure Hathaway. Ma maison d’enfance. Comme j’effectuais ce trajet toutes les semaines - voire parfois une fois par jour -, je savais que je disposais très exactement de huit minutes pour souffler, rependre mes esprits et, éventuellement, réfléchir à mon entré. Quand aux chaussures … Leur sort était sans espoir, heureusement que, j’en m’aine, par précaution toujours des affaire de rechange. En fait, le trajet n’a duré que six minutes et demie. Et comme à notre habitude, Linda n’avait pas dit un mot. Ce qui pourtant était rare, car les critiques n’était signe que d’habitude pour elle. La voiture garé devant le Portail, je sortis de la voiture, magnifiquement bien habillée, et comme le voulait la mode, dans un ensemble très près du corps. Je sortis, donc de la voiture, allant ouvrir la porte à Linda, et ouvrit à distance le coffre. Je pris une autre paire de chaussure que j’enfilai rapidement. Je pris quelques secondes, pour regarder si j’étais parfait. Ma musculature digne des plus beaux hommes, se dessinait magnifiquement bien sur mes vêtements. Je fermai le coffre, et passa à coter et Linda, qui attendait mon bras pour avancer. Je sortis ma baguette de ma main gauche, et pointa celle-ci sur le portail, Hathaway’s dis-je en informulé. Et dans un grincement strident, le portail s’ouvrit pour nous laisser passer.
William n’avait jamais été heureux ici, sa mère avait toujours été si strict avec lui, et son père si relax qu’il n’avait jamais sut qu’elle attitude adopté. Sa mère Héritière d’une famille richissime. Mais depuis qu’il était rentré à Poudlard, beaucoup de chose avait changé. L’homme que vous voyez là, marchant modestement, calme mais stressé, au bras d’une jeune femme, qu’il ne connaît pas, n’est pas du tout le William de la vie, disons normale. Poudlard, lui avait ouvert les yeux, sur un monde qu’il ne connaissait que très peu. De ses haut de 26 ans, il avait put acquérir pas mal d’expérience, heureusement pour lui d’ailleurs. Il connaissait à présent beaucoup de chose, mais bien sur, il était loin d’être le savant des grands lieux. Ils arrivèrent, au pas de la porte d’entré, il n’avait pas encor tendis la main pour frapper que celle-ci s’ouvrit. Une vielle femme, aux yeux fripés, ouvrit. Ce n’était pas Miranda, mais une domestique que William avait toujours connu, en cet état d’ailleurs. Mais il l’aimait bien. Il lui fit un grand sourire, et laissa passer Linda. La domestique referma la porte derrière eux, et leur montra d’un geste non chaland, où étaient les autres. Au milieu du couloir un long escalier, de taille imposante s’écartait pour laisser passer les passants. Des tableaux, des meubles, des cadeaux, de magnifique objet rare, tout ceci était parfaitement étalé tout le long du couloir. Une odeur, de romarin, remplit les poumons de William subitement, celle-ci le fit presque toussé, mais il se retint, ils passaient devant la cuisine. Puis passèrent dans un autre petit couloir, qui les mena dans une gigantesque salle à manger.
William connaissait presque chaque salle par cœur, il avait passé des heures quand il était petit à faire des partis de cache-cache sorcier quand il était petit avec le voisin des Hampton. C’était un enfant un peu beta et cossu qui alla à Poufsouffle. Mais William s’amusait toujours beaucoup avec lui. Sur une longue table, une nappe blanche, assortie du plus beau vaisselier de la maison, il regarda sa place toujours identique. Au centre de la table, en face du plus grands de ces frères. Linda, s’avança rapidement vers ça belle-mère préféré tandis que moi je me dirigeais vers mes frères et sœurs. Nos rencontres n’étaient pas fréquentes, mais lorsque celle-ci était possible, chacun profitait pour raconter ça vie. La famille Hathaway n’est pas une famille qui a plus de pouvoir qu’une autre. Nous sommes riches, car nos grands parents, ont fait fortune, sur le dos des gens, enfin du moins c’est ce que j’en pense. Linda, me fit un sourire, mais je me contentais de tourner la tête. Un de mes frères me passa sa main dans le dos, avec un air de dire « bon courage » … Tous autour de moi avait subit un mariage forcé.
Poudlard était le plus beaux et merveilleux endroits que connus William. Il était un bon élève, malgré ça dissipation, et ces plus grands intérêt pour les filles plutôt que pour le professeur … Il avait toujours eut une certaine facilité à magné la magie. Et grâce à sa popularité, au sein de l’équipe de Quidditch ainsi que grâce à son physique avantageux, il ne passa que de bon moment au château. Face à lui se tenait une femme, souriante, mais très snob. C’était l’une de ces sœurs, très gentille mais un peu cucu. A sa droite, un homme, plus grand que lui et dont la chevelure commençait à disparaître, lui tint un sourire, très joyeux. Etrange tout de même, avec deux parents, comme eux, ont aurait put croire que tout ses frères et sœurs seraient, snob, moche, vieux, presque utopique…
Miranda, prit sa longue baguette, et la pointa sur la table. Elle prononça plusieurs choses, incompréhensible, et l’on vit des plats arriver sur table. De sa voix toujours aussi désagréable elle dit à tous : - La table est servie … William venez donc vous asseoir ici ! ma t’elle annoncé.
Depuis la jeune enfance de William, Miranda l’avait vouvoyez, il en avait fait de même. De toute façon il n’avait pas le choix. Sa mère tenait à ses habitudes quotidiennes, elle ne devait jamais être troublé, au point même que si celle-ci se passait mal. Une mauvaise humeur pouvait s’installer très rapidement dans la pièce. En faite, Miranda, était une Serpentard, de sang pur, et Mon père, mort depuis plusieurs années étaient Gryffondor. Et lui était un Gryffondor depuis des siècles déjà. William aurait, pensait il aussi été très bien chez les Serpentard, après tout, une maison est une maison, mais encore une fois ne pas se poser trop de question résumerait facilement la réponse.
Etrangement, nous parlons rarement de magie, même si ma mère ne croit qu’en son pouvoir. Je craints qu’il y est beaucoup de chose que l’on me cache.
Dernière édition par le Dim 3 Déc 2006 - 0:44, édité 2 fois |
| | | Adam Hat Invité
| Sujet: Re: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. Dim 3 Déc 2006 - 0:43 | |
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- Situation Familiale:
Officiellement Célibataire, mais possède une petite amie en arrangement de sa mère.
- Métier:
Le jour de mon premier entretien, j’étais à des années lumière de me douter de ce qui m’attendait. La première fois où j’ai pénétré dans les célèbres ascenseurs d’Elias-Clark, notoirement connus pour transporter le nec plus ultra en matière de mode, j’ignorais tout de l’admiration obsessionnelle que les chroniqueurs mondains les mieux introduits de Londres, la bonne société et les médias vouaient aux passagères de ces cabines rutilantes et silencieuses, des femmes d’une perfection artificielle, à la mise et au maquillage impeccables. Jamais je n’avais vu de chevelures blondes aussi chatoyantes, et j’étais loin d’imaginer que ces balayages signés par des grands noms de la coiffure coûtaient 6000 £ par an à entretenir, et que, lorsqu’on était dans la confidence, un seul de coup d’œil au résultat permettait d’identifier le coloriste. Partout, des sacs et des chaussures que je n’avais jamais vus portés par des vraies gens accrochaient mon regard et me criaient Armani ! Versace ! Chanel ! Un ami d’ami, assistant éditorial au magazine Chic m’avait raconté que parfois ces accessoires et leurs créateurs se croisaient dans ces fameux ascenseurs. Muccia, Giorgo ou Donatella pouvaient alors, en d’émouvantes retrouvailles, admirer une fois de plus, « en chaire et en os », leurs escarpins de l’été ou leur sac pochette de la collection Haute Couture printemps. J’ai compris que ma vie était sur le point de changer, mais quant à pouvoir prédire si c’était en mieux … J’avais passé les 18 années précédentes à incarner la magie, et ces plus grandes Histoires. J’avais grandi à Hemel Hempstead dans la région de Londres, et mon existence tout entière se résumait à un cliché : Match de Quidditch, sorties en groupe à Pré-Au-Lard, soirées de beuverie en cachète dans les dortoirs, apprendre et pratiquer magie. On allait en cours en longue robe noir et au couleur de notre maison. Ces quatre années passées à Poudlard, à trainer en Robe de Sorcier, à étudier les Grands mages, Tous les Sorts, à pondre des dissertations outrageusement verbeuses ne m’avaient en rien préparé pour mon tout premier poste, une fois sorti de Poudlard. Je me suis débrouillé pour retarder l’échéance le plus longtemps possible. Pendant les trois mois qui ont suivi l’obtention de mes Diplôme, j’ai économisé sous à sous tout l’argent que je pouvais, et me suis offert un voyage en solitaire. Un mois durant, j’ai sillonné l’Europe en train Moldus ; j’ai passé plus d’heures à la plage que dans les musées et je n’ai guère fait d’efforts pour garder le contact avec mes amis. De retour, des images plein les yeux, je pensais à mon avenir. Mes objectifs n’étaient pas très nobles : je souhaitais intégrer la rédaction d’un magazine. Et tout en sachant que mes chances d’être embauchée au Chicaneur à la sortie de Poudlard étaient maigres, j’étais néanmoins déterminé à écrire pour ce magazine. Ecrire dans Le Chicaneur était le rêve de toute ma vie ; jamais je n’avais envisagé d’autre avenir professionnel. J’avais découvert ce magazine un jour où mes parents évoquaient un article qu’ils venaient de lire. - C’est remarquablement bien écrit, avait dit ma mère. On ne lit plus rien de cette qualité, de nos jours. - Oui, avait renchéri mon père. Ce sont indéniablement les seuls aujourd’hui à publier des articles intelligents. J’avais donc ouvert Le Chicaneur. Et j’avais adoré. J’avais adoré le style tonique et mordant des articles, les caricatures spirituelles et ce sentiment, à la lecture, d’être admis au sein d’un club très exclusif. De ce jour-là, je n’avais loupé aucun numéro, et je connaissais par cœur le nom de chaque rubrique, de chaque éditorialiste, de chaque rédacteur.
J’ais donc commencé à posé mes CV, dans le monde moldus, et sorcier. J’ai sillonné la ville en distribuant frénétiquement sur mon chemin des CV dans toutes les rédactions des grands magazines. Je les déposais entre les mains des agents de sécurité, accompagnés d’une lettre de motivation dans laquelle j’expliquais, sans excès d’enthousiasme, que je souhaitais devenir assistant éditorial et acquérir de l’expérience en écriture journalistique. J’étais tellement flapi que je me fichais pas mal de savoir si quelqu’un lirait vraiment ces courriers. Une convocation à un entretien était la dernière chose au monde à laquelle de m’attendais. Et pourtant, incroyable mais vrai, la veille, une personne des sources humaines du groupe Elias-Clark avait appelé : on voulait me rencontrer pour « bavarder ». « Bavarder » était il synonyme d’entretien officiel ? Je n’en savais trop rien, mais je trouvais ça bien moins flippant. J’ai gobé un Advil, j’ai bu une gorgée de soda et j’ai réussi à enfiler un jeans noir et une chemise. Le résultat n’était pas génial, pour être franc, il était même limite hideux, mais dans mon esprit, c’était largement suffisant. Ce n’est pas à mes vêtements qu’ils vont me juger : je me souviens d’avoir penser ça. A l’évidence, j’étais à peine lucide. Le rendez vous était fixé à onze heures. J’étais ponctuel. Ce n’est qu’en découvrant tous ces pseudos clones de Twiggy, ces essaims de filles aux jambes interminables qui attendaient devant les ascenseurs, que j’ai commencé à paniquer. Un mouvement perpétuel animait leurs lèvres et seul le martèlement de leurs talons aiguilles ponctuait leurs cancans. Des commères, ai-je songé. Voilà qui est parfait. J’avais beau avoir un corps de rêve, si on s’habille comme un poltron, on a l’air plus que ridicule face à ces femmes … ou hommes. Quelques instants plus tard, un badge peu flatteur proclamait mon statut de « Visiteur ». Comme je n’allais pas tarder à le découvrir, mais trop tard, les visiteurs familiers des lieux se contenter d’accrocher le badge à leur sac ou, mieux encore, le faisaient immédiatement disparaître ; seuls les ploucs les plus arriérés l’épinglaient bien en vue. J’ai embarqué à bard de l’une de ces badines, et l’ascension à commencé. On est monté, monté, monté, fonçant sans bruit à travers le temps, l’espace et le chic infini à destination… des ressources humaines. Je venais d’arriver à destination. Voilà qui est intéressant, me suis-je dit. Si on confrontait le potentiel de cet environnement professionnel avec une journée ordinaire dans la vie d’un étudiant doté d’un bon esprit de groupe, c’était même plus qu’intéressant. Stimulant ? Mmmm, non, peut être pas jusque là. Accueillant, plaisant, réconfortant ? Non, pas exactement, non plus. Etait ce le genre d’environnement à vous donner envie d’abattre un boulot d’enfer, un grand sourire aux lèvres ? Oh non ! Mais pour qui recherche la vitesse, vénère la minceur, cultive la sophistication et révère tout ce qui est dernier cri en matière de style, Elias-Clark est sans conteste la Mecque. Je commençais à avoir le sentiment de n’être vraiment pas à ma place, et la réceptionniste de la DRH, avec ses bijoux renversants et son maquillage impeccable, ne m’a pas aidée à évacuer cette impression. Elle m’a invité à m’asseoir et à feuilleter, si je le souhaitais, quelques unes de leurs publications. Au lieu de quoi, j’ai fiévreusement essayé de mémoriser les noms de tous les rédacteurs moldus en chef des titres du groupe, comme si je me préparais à passer une interro. Stephen Alexander, de Réaction, Michael Tanner, de Buzz … La femme qui m’a reçue était petite, svelte et s’appelait Sharon. Elle m’a conduite jusqu'à son bureau, une pièce à la déco froide, minimale, et tandis que nous croisions en chemin une brochette de sosies de mannequins aux jambes interminables, elle m’a lancé : - Alors, comme ça, vous chercher à percer dans la presse magazine ? Ce n’est pas le plus simple, vous savez. La compétition est rude, ici, et les postes sont peu nombreux. Et les rares qui sont à pouvoir, eh bien ! Ils ne sont pas exactement bien payés… Si vous voyer ce que je veux dire. Quelques minutes plus tard je signais mon contrat, je travaillais à présent pour Elias-Clark à la rédaction, Rubrique Mode. Chaque jour, j’apprenais mon métier, je me passionnais de plus en plus. Mon salaire ne faisant que d’augmenter, et les privilèges qu’il m’offrait. Mon permit d’apercevoir mon avenir. J’avais le droit à toute les plus belles fringues, des plus grands couturiers, je prenais soin de moi. Un an passa, rapidement, plus deux, et enfin trois. Après trois ans de dur travaille, je démissionnais. Le Monde moldus, me lassait, la magie que je n’utilisais presque plus, disparaissait en moi. Alors que j’étais un bon apprenti et que ce monde me plaisait ! Mon rêve de rentrer à Le Chicaneur était toujours présent, Même si celui-ci ne devait être sur la rédaction de Mode, j’avais décidé d’essayer. Je partis au chemin de traverse, cela faisait bien trois années que je n’étais pas revenus ici, les animations n’avaient pas changés, tous étaient là. De loin, j’aperçus Le Chicaneur, je pressais mon pas, saluant quelques passants que je connaissais. Je vis plusieurs de mes amis travaillés dans certaines boutiques, mais je continuais ma route vers Le Chicaneur. Arrivant, aux fenêtres de celle-ci, je lis, les quelques annonces, accrochés par là … et enfin me décide à rentrer. Là une femme à la coiffure, étrange, et au regard indifférent me fit signe de la tête, et de son index me demanda à ce que je m’approche. Un tout autre accueil, et une toute autre ambiance se présentait à moi. Et quoi que l’on en pense j’avais bien l’intention de la garder. Pas d’ascenseur, pas de moquette reluisante, juste du vieux papier, et de vielle lampe. Je me présentais, donnant mon curriculum vitae, et une copie de chacun de mes diplômes. Je postulais enfin pour un poste. La femme ne disait mot, elle ne répondait point à mes questions, ou ne faisait signe de tête, oui … non ? Oui mais oui pour et non pour ? … Je n’y comprenais pas grand-chose. Puis vint, une autre femme, très belle, très courtoisement habillé, cheveux frisé, un rouge à lèvre noir, et rouge on ne savait pas trop. Je ne l’avais encor jamais rencontré. Je lui fis un sourire un peu troublé, suivit d’un bonjour. - Monsieur, Bonjour, que nous vos votre intervention ? - Je venais déposer ma candidature. - Oh formidable ! Vous voulez devenir journaliste ? Nous cherchons justement, plusieurs personnes. - J’ai donné mon curriculum vitae à votre secrétaire, lui ais-je répondu. Elle me tendit un sourire ravit, les très fines rides d’expression m’on donner approximativement son sage : elle devait avoir dans les 30 ans. Elle prit les quelques feuilles de papiers qui étaient posées très méthodiquement sur le bureau de la secrétaire. Je patientais sans ne rien dire, mais ce silence fut rompu lorsque d’un air intrigué m’interrogea : - Alors comme il est inscrit dans votre CV vous avez travaillé pour Elias Clark ? Vous avez travaillé pour des moldus ? Etrange pour un sorcier, je me demande comment avez-vous pu arriver à y entrer … Sujet intéressant … Avez-vous un article ? Quelque chose qui pourrait m’aider à en savoir plus, sur votre talent … ? - Oui, lui ai-je répondu sans hésitation, je pris de mon sac mis en bandoulière, et sortit un bouquin, c’était le célèbre Vogue. J’ais put avoir accès durant ces trois années de travaux, écrire dans les plus grands et prestigieux magazines portant sur la Mode. Vous trouverez mon article à la page 10, lui dis-je d’un air excité. - Elle ouvrit le magazine à la page 10, là deux grandes photos, d’une jeune femme des plus belles, ainsi que deux articles exprimant la mode de notre époque.
« Chanel Et Gucci, Photos défilés. Deux tendances différentes, qui vous le verrez, seront très proche de vous l’été prochain. Ensemble très près du corps, innovation chez Gucci avec ces chaussures à talon de plus de 15 cm et d’une largeur virevoltante. Tandis que chez Chanel, nous ressortons, les haut talons, fines et précieuse de nos belles années 70’. Que ce soit chez Chanel ou Gucci, la tendance sera courte, Micro-jupe, Shorty, et tee-shirt très moulant ou soutien gorge désabusé. Pour ce qui est de la coiffure laissez vous poussez les cheveux, les plus beaux seront les blonds soleils, et les brunes-noir à franges. Pour les plages, finit les strings, Chanel innove encore avec un maillot deux pièces, noir et blanc, qui enjolivera votre fessier. Côté musique, vous écouterez la BO d’Almost Famous. Seul musique qui vous ressemble sur la route des vacances et sur les plages. La mode ne vous suivra que si vous la suivez.» William Hathaway
L’article n’était pas très grand mais elle le relisait continuellement, je savais que j’étais embaucher, son regard pétillant et enthousiasme se lisait dans ses yeux.
- Avez-vous le permis de transplaner ? Oui, je l’ais eu sans difficulté, mais je n’utilise que très rarement. Préférant tout moyen de locomotion autre.
- Quel camp: Le Bon. Pour moi en tout cas …
- Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Il n’a pas de Grande ambition, il ne veut pas conquérir le monde, ni détruire chaque homme. Faire son travail, et qui c’est, partager à la vie, magique. Surtout en ces temps si sombre où une aide est toujours là bienvenue.
Question subsidiaire :
- Comment avez-vous découvert ce forum ? Par Une Admin.
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| | | Matthew Invité
| Sujet: Re: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. Lun 4 Déc 2006 - 11:17 | |
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| | | Harkaitz Rocstone
Nombre de messages : 1487 Age : 41 Maison : Ex-Poufsouffle Message Perso : I'm the Eternal Light The other one's a duplicate Age du Perso : 29 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. Lun 4 Déc 2006 - 15:23 | |
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| Sujet: Re: If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. | |
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| | | | If I ever Feel Better. // Adam Hathaway. Breathe. | |
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