Destination ~ Cambridge [PV][A]

Oscar lui fait un signe de tête, puis pointe les toilettes. S'éclipsant quelques secondes pour évacuer le peu qu'il a bu, il se lave ensuite consiencieusement les mains, observant par la glace toute les allées et venues.

Une fois qu'il a terminé, cela ne lui a pas pris plus de 3 minutes, il ressort, se dirige vers sa compagne de voyage. Justement, la voilà en train d'embrasser à pleine bouche son voisin de tabouret. Hilare, il s'accoude au bar et la regarde essayer ce qu'elle essaie.

Il devine très bien ce qu'elle cherche à faire. D'un air particulièrement provocant et ingénu, elle quitte le tabouret tandis que l'autre genre de prédateur la regarde bouche bée, de la bave lui coulant sur le coin de la bouche. Il roule des yeux au plafond. Décidement, elle ne semble pas savoir ce qu'elle veut.

Quand le jeune homme vient pour se lever, Oscar est devant lui. Il se penche à l'oreille de l'homme et lui murmure un simple mot qui refroidit celui-ci tout de suite. Sur une tape réconfortante sur l'épaule, il va reprendre les deux manteaux au vestiaire et la rejoint sur le pas de la porte. Elle ne semble pas avoir conscience qu'elle a froid.

Tenez.

D'un geste sûr, il lui remet son manteau, le boutonne convenablement avant de remettre le sien. Facilement et sans en avoir l'air, se faisant, il l'accule au mur a côté du portique.

Le langage corporel de l'homme change. Il plaque ses deux mains sur la brique de chaque côté de la tête de la jeune femme, s'approche d'elle, la réchauffe. Le regard gris se fait doux, velours, légèrement jaloux.

Alors... Je suis décu... Ai-je tant perdu de mon charme pour que vous succombiez à un jeune rival? Dites moi au moin qui embrasse...

Le mieux

Les lèvres d'Oscar se posent délicatement sur les lèvres de Topaze. Il l'embrasse comme ce qu'il est, un homme d'expérience. Il est tout à son baiser, semblant goûter et déguster les lèvres offertes comme s'ils seraient des rayons de miel.

La vision d'Oscar se brouille un moment... Il sait ce qu'il veut, mais ne se permet rien d'autre que ce baiser. Promesse physique qu'il s'arrêtera où elle le désirera, et qu'il ne cherchera pas à aller plus loin. Mais qu'il n'admet pas que ce qui lui a été refusé soit offert à un autre.

Les lèvres se séparent, mine de rien, Oscar la prend par le bras, délicatement mais fermement pour ne pas qu'elle tombe. Il lui dit, un sourire mystérieux aux lèvres.

Prenez votre temp pour votre verdict chère amie... En attendant, allons voir ce que la ville a d'autre à nous offrir. La nuit est jeune...

L'inconnu l'a subjuguée avec ces yeux d'un gris perçant. Il la regardait de telle façon qu'elle se sentait toute petite et vulnérable. Il était un mâle, un vrai. Il ne lui a rien demandé, elle ne lui a rien demandé. Elle ne sait même pas son nom au fait. Ça été en même temps terriblement flou et terriblement clair entre eux. Pas de lendemain. N'empêche qu'elle aurait aimé revoir sa belle gueule. Et son corps marqué de cicatrices. Son imagination débordante le voit déjà comme un ancien militaire. Il avait l'allure en tout cas. Elle soupire en tripotant les étalages pour les remettre en ordre. Il lui a redonné le papier qu'elle lui avait remis avant de sortir. C'était clair.

- Hé Lucie, tu rêve? C'était si génial que ça ? Je te savais habituée mais là tu m'étonne... tu sais que tu a accroché un morceau plutôt mignon ?
- Mwais.. pas mal...

Lucie lui raconte par le menu ce qui c'est passé. Elle peut bien le lui dire. Après tout, sa consoeur est déjà assez gentille de lui servir de couverture depuis le début de ses escapades en cabines.

- On rentre ?
- Oui, je finirai demain...

Comme les deux bonnes copines qu'elles sont, elles ferment boutique et se dirigent vers le bloc qui les abrite toute deux.




Elles sont deux. Deux femmes qui se baladent seules dans la rue. Pour un prédateur, n'est-ce pas une chance inouïe ? Deux pour le prix d'une ! Quoique peut-être ce prédateur se contenterait-il d'une seule. Il ne fallait pas être trop gourmand, ça pouvait mal tourner, sinon. Et la proie était déjà déterminée. Elle avait été spécialement choisie quelques heures auparavant.

Elles bavardaient avec entrain. C'était presque dommage de s'imposer entre deux éclats de rire, mais le temps était compté. Fallait d'abord éloigner la proie rejetée du processus. Rien de plus facile.

Un subtile froissement de tissus et une brusque présence fait se retourner les deux femmes. La cible pousse un bref cri de peur tandis que l'autre reçoit une solide droite sur la joue. Sous la force du coup, elle recule, les mains sur le visage et s'écroule sur le sol, sonnée. La cible tente de crier... et je dis bien tente de crier.

- Silencio

La pauvre Lucie n'arrive plus à émettre un seul son et la forme encapuchonnée se jette brusquement sur elle.

Sa amie et collègue, au sol, crie, mais elle n'a pas le temps de bouger qu'elle assiste, impuissante, à la disparition de Lucie et de la silhouette dans un claquement sec. Elle ne pourra apprendre à la police, si ce n'est la voix rauque qui a prononcé un mot et son amie disparaître.

Lucie se sent brusquement poussée vers le sol. Elle percute le sol avec violence, sans émettre le moindre son. Elle en est incapable. Elle essaie de se relever, mais elle reçoit un puissant coup de pied dans les côtes. Le souffle coupé, elle retombe sur le sol. Le temps qu'elle reprenne son souffle lui semblent une éternité. La silhouette la dévisage, elle le sait, mais elle ne bouge pas. Elle tente de voir où elle est... elle entend la bruit de la circulation, mais ne voit pas les lumières. Elle ne voit que le sol et le ciel. Et un bruit constant... comme un bourdonnement incessant... comme de la ventilation... oui, c'est le son de la ventilation...

Se rendant compte qu'elle a retrouvé une respiration presque normale, la silhouette se jette à nouveau sur elle et Lucie se retrouve brusquement debout. Elle n'a même pas le temps de prendre son équilibre qu'elle est entraînée par une poigne solide vers un petit muret... au delà de ce muret... la rue... plusieurs mètres plus bas... elle est sur un toit ! Et il va la pousser ! Non, il ne la pousse pas, il la retient... fermement.

- Je ne te laisserai pas tomber, promis. Pas maintenant.

Pétrifiée par la peur et le vertige, elle sent à peine la fine lame traverser l'épaisseur feutré de son manteau. Mais elle sent très bien la douleur qui suit. Son visage se crispe d'horreur et elle tente de s'éloigner, mais elle est fermement retenue. Le second coup la frappe en pleine poitrine, le revers lui lacère du menton à l'arcade sourcilière, lui déchirant la lèvre, ratant de près l'oeil droit. Lucie voudrait crier, elle voudrait hurler sa terreur et sa douleur, mais elle en est incapable. Et comment pourrait-on venir à son secours si elle n'arrive même pas à hurler ? Elle va mourir, elle le sait. Elle sent son propre sang couler sur sa joue, la chaleur poisseuse à la poitrine et au flanc et la douleur... horrible douleur.

Un inquiétant ricanement parvient à ses oreilles malgré la sirène infernale qui hurle de douleur dans sa tête. Un autre coup dans le dos et sa respiration devient un feu ardent. Elle se sent défaillir, ses genoux vont flancher. Mais elle ne tombe pas, le prédateur la retient. Il l'agrippe solidement et la tire vers le muret... encore une fois elle voit le vide devant elle.

- Pour des cieux plus cléments, tu devras avant toucher le sol. Adieu petite colombe, entend-elle dans un murmure, tous près de son oreille, le souffle chaud faisant frissonner la délicate peau de son cou.

La lame lui d'un éclat argenté et rapide comme l'éclair, traverse la délicate gorge de la colombe. À chaque souffle, un flot de sang se répand sur le feutre crème. Un dernier tour sur elle même, la lame se plante une fois de plus, tous près de la colonne vertébrale. Une bonne poussée et c'est le dernier vol de la colombe. Une chute silencieuse, sans un seul son que le froissement du manteau, telle les soyeuses plumes d'un oiseau blanc, puis le craquement sourd lorsque Lucie la colombe touche le sol dans un éclaboussement écarlate.

Le prédateur sous son capuchon se penche au-dessus du muret, pour admirer son oeuvre. La colombe blanche sur le sol, ses membres formant d'étranges angles et courbes avec le corps, le tout auréolé de rouge et d'un parfum funèbre. Un chef-d'oeuvre, quoi. Il y manque pourtant que petit quelque chose.

Une main gantée plonge sous les replis de la cape et une fine baguette y apparaît. Pas un mot ne franchit les lèvres du prédateur, mais un éclair rougeâtre fuse dans la nuit.

Durant à peine une minute, un phénix phosphorescent éclaire le ciel, à peine atténué par les lumières artificielles environnantes.

Un claquement sec se fait entendre, résonnant dans la nuit.

Sourire ! Enfin, Topaze repéra Halewyn. Elle l'accueilla chaleureusement, tandis qu'il lui enfile son manteau, avant de la tenir contre le mur. Le regard océan de la jeune femme se relève dans celui d'ébène et s'y accroche avec un mince sourire. Ses mots l'amusent. Elle a en effet cédé à un rival. Eh bien ! Peut-être était-ce parce que l'homme devant lui était plus dangeureux, et aussi qu'elle allait dormir avec lui. Or, elle n'espérait pas une suite à son histoire. Non, non. Tandis qu'elle entretenait ses pensées, elle remarqua à la dernière seconde le dernier mot d'Halewyn qui se pencha avec le charme d'un séducteur-né. Elle se laissa faire, baisant elle aussi les lèvres de velours qui s'offraient à elle. Soupir. Quand enfin son compagnon se détourna, elle sourit, puis se laissa prendre le bras pour qu'ils aillent visiter la ville.

Ils sortirent donc de la boîte de nuit, se retrouvant dans l'air froid de la soirée. Où iraient-ils, alors? Sauraient-ils se diriger dans une ville nouvelle? Topaze avait le tournis. Cependant, elle gardait le sourire. Beaucoup d'émotions étaient nouvelles pour elle, inexpérimentées. Bâillement. Et soudain... Quoi? Un phénix ! Dans le ciel ! Là, là ! Interloquée, Topaze ouvrit de grands yeux, épuisée mais étonnée. Elle fit un signe de la main à Halewyn et se mit à courir pour s'approcher du sorcier ayant fait ctete marque. Une dizaine de minutes plus tard, elle arrivait dans une ruelle où étaient disposés deux cadavres. Deux femmes. Deux vendeuses de Fashionista. Topaze resta silencieuse, puis se détourna lentement. Horreur.


Toad'Animation : J'en ai tué deux ?

hj: j'ai les yeux gris et je croyais que le corp avait été lancé de l'autre bord de la rue... mais bon on va s'adapter

Oublié Oscar pour un infime instant d'éternité dans la nuit. Immobile, la mâchoire serrée, Halewyn contemple de ses yeux gris le phoenix phorsphorescent.

Du travail d'amateur, mais qui risque bien de duper la majorité des gens. Des jeunes gens s'amassent autour de lui.

Ouaaah t'a vu ca?

Yen a un qui s'amuse avec des feux d'artifices...

Faut que j'essaie de savoir si ca se vend quelque part c trop coooooooooool!

Sans rien dire, il baisse les yeux, Croise les yeux de Topaze qui lui fait signe avant de s'éclipser. Ils savent tout les deux ce qu'il en est.

Il ne fait ni une ni deux, lui emboite le pas, autant par curiosité que d'autre chose. Après une minute, le phoenix disparait du ciel nocturne, mais les deux jeunes gens savent approximativement ou se diriger.

Au détour d'une ruelle, il voit Topaze regarder d'un air étrange deux cadavres... Deux? Non, la poitrine d'une des deux se soulève régulièrement. Il les reconnait sans peine. Se rend compte de toute l'implication de cette mise en scène.

Il réendosse son rôle d'Oscar, s'approche de Topaze et la prend dans ses bras, enfouit son visage dans sa parka pour la réconforter.

A ce moment, une fugace odeur de salon funéraire lui parvient aux narines. Alors tout s'éclaire...

Allons nous en avant que la police moldue rapplique...Je vais...

Il lance un sort informulé pour que la deuxième victime ne crève pas de froid. Quand elle reprendra conscience, le sortilège se dissipera. Doucement, il caresse les cheveux de sa compagne pour la rassurer.

Je vais nous faire transplaner dans notre chambre... D'accord? Il ne faut pas rester ici. Il est peut-être encore là.

Avec un craquement sonore, il la fait transplaner dans la chambre de motel. Doucement, la sentant en état de choc, il se met en frais de lui enlever son manteau et de la coucher pour qu'elle puisse se réchauffer.

Pendant qu'elle est dans la douche, il regarde dehors, scrutant chaque recoin d'ombre. Il reste ainsi une bonne dizaine de minutes avant d'aller enfiler ses boxers et son tee shirt puis de fermer la lumière. Il n'est pas couché cependant. Il retourne à la fenêtre...

Topaze finit par sortir de la salle de bain, retourne dans son lit, il attend un moment. Puis vas la rejoindre. Il ne croit pas qu'elle doive dormir seule.

Une forme se glisse a côté de Topaze, mais sur les draps. Un bras fort l'enserre délicatement. Sans un mot, Oscar la berce doucement. Y a t il besoin de mot?

Le regard gris luit dans la pénombre ambiante. Il ne fait rien, ne dit rien...

Il se contente d'être là. Il ne pense même pas... Ca attendra demain matin.

Désolé...

Finit il par murmurer apres un temp de silence infini.

Si j'avais choisi une autre ville que Cambridge... Vous n'auriez pas vu ca...

Oscar est mal à l'aise. Il se tasse un peu, se rapproche de la jeune femme. Il enfouit son visage dans la chevelure abondante et mouillée de Topaze.

Elle peut voir les épaules d'Oscar tressauter sous l'effet de pleurs silencieux. Manifestement, l'ex barman n'a jamais vu de scène de cette teneur de sa vie. Il l'enserre un peu plus étroitement, autant pour la rassurer elle que lui.

Au travers des rideaux de la chambre, le scintillement du néon du motel jette une légère lueur à la pénombre ambiante.

Halewyn ne dormira surement pas. Mais il feint à merveille. Tourné vers le mur, immobile, il a cependant les deux yeux grand ouvert. Il fixe le mur comme si d'un seul regard, il pouvait le percer.

Cette garce...

A demain

Il ne répond pas, mais se retourne d'un mouvement. Se collant contre le mur, il passe la nuit à fixer la chambre, à la recherche du moindre bruit mouvement ou odeur suspect. Il peut enfin se laisser sortir de son rôle assez longtemp pour analyser la situation froidement.

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Le lendemain, Topaze sera réveillée par l'odeur de rôtie et de café. Oscar s'est éclipsé, est revenu avec le nécessaire et un grand thermos de café noir et fort.

Il est assis, tranquille, en train de regarder le mur en sirotant son café. A voir ses cernes, il n'a eu un sommeil réparateur. Et il songe profondément. Avant que Topaze se réveille, Halewyn s'est replongé dans son rôle.

Oscar se rèlève, sombre. Il ne répond pas tout de suite. Il va plutôt ouvrir les rideaux, laissant la lumière éclairer l'intérieur de la chambre.

Il note tout de suite le perroquet bleu au ventre jaune sur le rebord de la fenêtre. Le regard argenté de Hiep croise le regard gris d'Oscar. Ouvrant la fenêtre, l'homme le laisse entrer. Le volatile va se percher sur la table puis tend la patte, une missive rouge accroche l'oeil de l'homme. Il devine qui a envoyé la missive. Il sait aussi pourquoi.

Oscar jette un oeil gêné à Topaze, puis prend la missive. La couleur rouge de l'enveloppe est assez explicite.

Il en ouvre un coin. Celle ci explose alors, ébranlant les murs de la chambre. Une voix rauque, vieille et haute perchée s'en échappe.



OSCAR, C'EST TA MÈRE, TU TE RAMÈNES DIRECTEMENT, T'AS LARGEMENT DÉPASSÉ TES LIMITES ! ÇA FAIT 4 FOIS QUE TON PATRON APPELLE, ILS SONT DANS LA MERDE ! ET T'ES INTROUVABLE

la missive semble prendre une grande inspiration

J'ESPÈRE QUE TU TRAÎNES PAS AVEC CETTE CHIPIE DE PETITE DÉVERGONDÉE ! TU PARLE D'UNE VIE! DORMIR LE JOUR ET COURIR LES JUPONS D'OU TU TRAVAILLE LA NUIT! TU ME FAIS HONTE!!!

TU PARLE D'UNE VIE... TU VEUX ME FAIRE MOURIR!!!! TU PARLE D'UN EXEMPLE A FAIRE À TA SOEUR.

puis la missive explose sur ces derniers mots.

RAMENE TOI ET SI POSSIBLE SANS TOUTE LES PUTES QUE TU AURA RACOLÉ!Il esquisse un sourire amer.

Et bien, je crois que sans attache ne veut pas dire sans mère. Je crois que je dois y aller, l'emplumé que vous voyez est là pour me surveiller jusqu'à ce que j'ai accompli mon devoir de gentil garcon.

Le volatile se redresse et émet un grognement mal huilé. Visiblement, ce devoir ne semble pas lui plaire

Je vais prendre le train de ce matin, si vous voulez profiter de cette journée, ne vous gênez pas, mais si je tarde trop, ma chère mère va se retrouver a moitié morte d'inquiétude à Ste-Mangouste.

Ayant enroulé l'oiseau dans une couverture afin de le garder au chaud et relativement à l'abrit des regards, Oscar garde silence, respectant celui de Topaze. De temp en temp, il échange un coup d,oeil avec le volatile, le gris et l'argent s'affrontant silencieusement. Dieu qu'il le déteste ce perroquet!

A la gare, Le perroquet sous le bras, il l'enserre en une accolade amicale.

Un voyage plein de rebondissement ayant une fin abrupte. Prenez soin de vous mademoiselle.

Il n'ajoute rien, sachant qu'elle ne voudra certainement pas le revoir du reste de ses jours. Ne serais ce que pour ne pas se rappeler de l'événement de la veille. Par courtoisie, le barman s'incline.

Si vous avez besoin, allez au bar du vieux port. Laissez y un message... Ils savent ou me joindre. (hj: ca veut dire mp moi avec le message pour Oscar )

Sur un dernier baise-main qui arrache un cri courroucé de l'emplumé emballé, il lui dit un ultime au revoir avant de se diriger vers la sortie.