Chambre de Paul Arbir (employé)

Invité

CHAMBRE 02 PREMIER ETAGE

La chambre

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Le coin dalle de bain

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Sujet: Re: Chambre de Paul Arbir (employé) Mar 21 Nov 2006 - 17:51

*** Arrivée de Paul dans la chambre ***

Voir l'arrivée de Paul dans l'Auberge

Roxane lui ayant donné les clés de la chambre, Paul gravit les marches de l'escalier jusqu'au premier étage. Puis il chercha la porte de sa chambre, le numéro 2 lui avait-elle dit. Mais il ne la trouva pas. Se demandant d'abord s'il avait bien compris, il y regarda de plus près une deuxième fois. Et comprit l'erreur. Le chiffre deux de la porte s'était renversé pour former finalement un cinq. Paul vérifia qu'il s'agissait bien de sa chambre en y insérant la clé. Le verrou cédant facilement à l'intrusion de l'objet, il s'agissait donc bien de la pièce numéro deux. Paul sortit sa baguette, et, la pointant sur le chiffre doré qui pendouillait sur la seule vis restante, il prononça le sortilège "REPARO". Le cinq devint un deux. Le sorcier sourit.

~ Première tâche accomplie ! ~

Puis il entra. Il fut surpris par la décoration de la chambre, qui tranchait radicalement avec celle du rez-de-chaussée. Mais elle ne lui déplaisait pas. Il appréciait la chaleur, l'originalité et l'exotisme qui s'en dégageait.

Il commença à ranger ses quelques affaires. Après quoi, l'armoire semblait encore bien vide, mais Paul aurait tout le temps de le remplir au fur et à mesure de ses achats. Il se dirigea ensuite vers la salle de bain.

~ Hum... Superbe ! ~

Paul jeta un oeil au miroir et eut un choc, celui de la réalité. Le sorcier endeuillé et vagabond ne s'était pas regardé dans une glace depuis des lunes. S'il en avait eu l'occasion, il aurait fait attention à mieux s'entretenir. Il faisait peur à voir.

~ Une douche... C'est urgent ! ~

Le sorcier abandonna ses vêtements sales et se glissa sous la douche. L'eau chaude jaillit du robinet et Paul laissa s'échapper un gémissement de plaisir quand il sentit son contact sur la peau. Il chercha le savon. Il l'avait laissé près du lavabo.

ACCIO savon !

Puis il put se laver, ce qui lui prit un peu de temps étant donné qu'il ne l'avait pas fait depuis longtemps. Après quoi il sortit et prit une serviette. Commença alors le long rasage. Travailler sur une barbe de plusieurs semaines n'était pas chose aisée. Mais peu à peu, poils après poils, Paul retrouva son vrai visage. Quand il eut fini, il se regarda longuement dans la glace. Il sentit les larmes monter en lui, dans un sentiment confus de soulagement et de peine. Se voir ainsi lui rappelait celui qu'il était le jour où sa femme et son fils ont été tués par un Mangemort, et en même temps, il était heureux de se retrouver et ne plus être cette personne étrangère à lui-même.

Refoulant ses larmes, il s'apprêta à se rhabiller, mais eut un mouvement de recul en voyant l'état de ses habits.

RECURVITE !

En deux temps trois mouvements, les vêtements du sorcier retrouvèrent leur éclat d'origine. La chemise, au large col se fermant avec un lacet, d'un blanc immaculé, la veste d'un profond bleu-nuit, parsemé, semblait-il, de vraies étoiles brillant en fonction de la lumière, et son pantalon noir comme de l'encre avec une rayure bleu sur chaque côté. Les revêtant, Paul se regarda de nouveau dans la glace et fut satisfait. Il mit enfin ses bottes en cuir noir. Il se promit tout de même de s'acheter des vêtements plus simples pour être à l'aise lors des tâches manuelles qu'il effectuerait dans l'auberge.

Après quoi, il redescendit au rez-de-chaussée où l'attendait Roxane pour prendre le thé.

*** Bien des mois plus tard... ***

Suite de "Home, sweet home"

Paul gravit les marches du premier étage et entra dans son petit appartement. Cette douce chambre aux couleurs de l'aurore semblait l'accueillir avec joie après ces quelques jours d'absence. A peine y était-il entré qu'il s'y sentît bien. Roxane avait fait preuve d'un grand talent en décorant cette chambre.

Presque avec tendresse, Paul passa sa main sur quelques meubles. Mais celui qui l'appelait avec le plus de force était le lit. C'est pourquoi le sorcier se laissa complètement tomber sur le matelas. Et à sont tour, le lit sembla l'accueillir avec joie tant il fit rebondir le corps du jeune homme.

Allongé sur le dos, la tête vers le plafond, Paul eut l'idée d'y apporter une nouvelle touche personnelle. Il pointa sa baguette vers le haut, se concentra, et formula un ILLUSIO. Le plafond de plâtre fit alors place à un morceau de ciel étoilé où l'on pouvait aussi voir de flamboyantes galaxies tourner sur elles-mêmes. Paul avait en effet toujours ressentit un attrait certain pour l'astronomie.

Ce spectacle, à la volupté si reposante, ne tarda pas à faire son effet. Les paupières du jeune sorcier s'alourdir jusqu'à bientôt se refermer complètement. Sur le visage du dormeur, un sourire y était dessiné.

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Roxane regardait son client boire tranquillement son verre avant de monter prendre possession de sa chambre. Elle désespérait, elle avait à peine retrouver l'amour qu'on venait lui gâcher sa première soirée de tendresse avec un alcoolique anonyme. Bien qu'elle avait ouvert l'auberge pour tout le monde, se soir elle n'était VRAIMENT pas d'humeur à pitoyer ces clients.

Elle regardait l'escalier comme pour voir s'il revenait la chercher. Mais il devait être bien occupé à se doucher ou à ranger ces affaires. L'attendait elle? Ils n'en avait même pas parler. Elle essuya le dernier verre puis regarda son client toujours assis a mettre plus d'une minute pour monter son verre à sa bouche

"-Bon Monsieur navré mais je nous devons fermer je vous transplane votre verre dans votre chambre ....avec....la bouteille en prime"

"-Ho hibou" (il parlait lennnnteeeementtt de sa voie terne, grasse, a demi endormit)

"-On dit chouette"

"- Ha oui"

L'homme se décida alors a vite monter dans sa chambre, sachant qu'il y retrouverait son verre. Elle se dépêcha de retirer son tablier, de se refaire une beauté dans le reflet du frigo, de remettre son soutient gorge en place () puis monta quatre a quatre les marches qui la menait à son bel amour.
Elle cogna doucement à la porte mais aucun sons ne se fit entendre, pas de "entrer!!" ni de porte qui s'ouvre. Elle re cogne: toujours aucune réaction à la différence que la porte s'était entrouverte. Curieuse elle regarda et le vit allonger sur le lit. Un élan de tendresse lui submergea le coeur. Elle poussa la porte et pénétra dans la chambre. Longtemps elle le regarda sans n'oser bouger de peur de le réveiller. Puis enfin elle se posa à ces coté et caressa son visage du bout des doigts

Paul rêvait... de son pays si loin mais si proche dans son coeur. Il était à Tadoussac et contemplait l'immensité du fleuve Saint-Laurent, si grand que l'on se croirait à s'y méprendre au bord de la mer. Le soleil venait de se lever et un mince brouillard doré recouvrait les flots. Assis sur l'herbe fraiche et humide du matin, il observait un banc de belougas qui eux-même regardaient, d'un oeil curieux, un groupe de touristes moldus pagayant sur des kayaks non loin d'eux. Plus loin, un grand fracas d'eau se fit entendre, comme si quelque chose de très lourd venait de plonger : une baleine à bosse. On pouvait encore apercevoir sa queue disparaitre dans un chaos de vagues blanches.

C'est magnifique.

Paul se tourna vers la voix féminine qui venait de formuler ces mots, et ayant pour traits le doux visage de Roxane. Le sorcier lui sourit, heureux de partager ce moment de pur bonheur avec elle. Il l'entoura de son bras droit et l'invita à se rapprocher d'elle. Leurs têtes tendrement collées l'une à l'autre, ils contemplèrent le spectacle avec un seul voeu à formuler : que le temps s'arrêtât.

Une brise légèrement pimentée d'iode marin leur caressèrent le visage. Mais le contact du vent sur la joue de Paul fit à ce dernier une drôle d'impression. Il était si chaud et semblait se concentrer en de gros points se promenant sur son visage. Cette caresse était bien trop charnelle pour n'être faite que de souffle. Alors Paul se réveilla...

Quand il ouvrit ses yeux, il vit le visage de Roxane qui semblait flotter dans l'infiniment grand de l'espace. Il fallut quelques temps, et quelques ajustements de la rétine aussi, pour qu'il comprît. La jeune femme n'était pas en train de flotter dans l'air mais elle était bien là, penchée au dessus de lui. Et derrière la Sorcière n'était qu'illusion, celle qu'il avait créée quelques minutes plus tôt.

Heureux de ce retour à la réalité qui, finalement, se présentait bien mieux que dans son rêve, Paul fit un sourire à Roxane.

Bonjour, lui dit-il.

Et par un mouvement tendre des bras qui entourèrent la jeune femme, il l'invita à s'allonger auprès de lui.

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Dans son sommeil il souriait, il devait probablement rêvé, et surtout son visage avec prit une expression qu'elle ne le lui connaissait pas, l'apaisement. Elle savait pertinemment que tout deux seraient voués à vivre dans la crainte des représailles sur l'autre. Après leurs passés respectifs il sera rare pour nos deux sorciers de connaitre réellement le calme de la paix. Alors le voir ainsi les traits si lisse et doux, elle ne pouvait que le contempler sans essayer de le réveiller, profitant ainsi du moment de repos qu'elle ressentait à le regarder.

Malheureusement ces caresses on eu le don de le perturber dans son sommeil, il bougea quelques peu et ouvrit un oeil douloureusement sur elle. Après quelques minutes d'atterrissages sur terre, il lui lança un petit bonjour, et l'incita à venir s'allonger près de lui. Se qu'elle fit évidement . Elle s'allongea collant son corps sur le sien de coté. posant sa tête ,alors qu'il étirait son bras pour l'accueillir, sur son épaule. Un sentiment de bien être. Mon dieu elle n'avait pas connu depuis si longtemps un moment ou elle se sentait si bien que dans ces bras. Elle leva sa tête pour voir les yeux de son homme la regarder.

"-Bonjour vous"

Elle poussa sa tête pour lui administrer un beau et doux baiser perdurant dans leur amour

La sentir ainsi près de lui, son corps délicieusement collé au sien, procurait à Paul une intense sensation de bien-être, qui ne devait pas être bien loin du sentiment que pouvait ressentir un enfant dans les bras de sa mère. L'impression de ne plus être seul mais deux, au chaud dans une bulle, invincibles, indivisibles et invisibles au malheur, comme si rien ne pouvait nous arriver.

Et plus les caresses de Paul se faisaient entreprenantes, plus leurs corps se rapprochaient comme s'ils voulaient ne réellement plus faire qu'un. Les battements de son coeur se faisaient plus forts et plus rapides, les respirations plus amples, les mains ne glissaient plus sur la peau mais semblaient vouloir se l'approprier, se l'arracher... La tendresse amoureuse semblait lentement mais surement se muer en une passion animale.

Cet état physique ressemblait un peu à ce que ressentait Paul en se transformant en ours polaire. Mais cette fois, le but n'était pas le même...

De la chambre de Paul et Roxane s'échappait un grand chant d'allégresse, un ode à l'amour que les oreilles humaines ne pouvaient entendre, mais que chaque particules de Magie dans l'air ressentait et communiquait à sa voisine en vibrant et en dansant.

Cher lecteur ou lectrice qui froncez les sourcils en lisant ces lignes, il existe une règle en Magie : ce n'est pas parce que les yeux ne voient pas que cela n'existe pas. Ce n'est pas parce que le sourd n'entend pas que la musique n'existe pas. Ce n'est pas parce que l'aveugle ne voit pas que les couleurs n'existent pas.

C'est pourquoi, je vous le dis, qu'autour de la chambre des amants se dégageait une magnifique aura magique, comme si toutes les particules entourant ce lieu d'amour dansaient en vagues et s'illuminaient en une somptueuse aurore boréale. Foi de Sorcier, cette nuit-là, il y eut rarement une aussi belle énergie positive dans la Magie.

Invité

Cet homme l'envoutait, elle n'aurait jamais pensée qu'elle revivrait une attirance si forte avec un homme. Jamais elle n'aurait pensée que l'homme érrant il y a quelques mois finirais celui qui la rendrait si heureuse. Leurs caresse les faisaient dansés dans un tourbillon d'amour.

Il la rendait folle. Folle d'amour, folle de désir. Les caresses prenaient un rythmes intenses. Au début un échauffement douces et lentes, timides. Mais une fois la peau chaude de ces douceurs, elle prirent une rapiditées et une assurances. Plus dirigés, plus précises. Plus chaudes. Les respirations grandissaient. Roxane mourait d'envie de connaitre un monde nouveau plein de plaisir corporel avec cet homme.

De petits gémissements venait troublés le silence de la magie de l'amour qui environnait la pièce.

Elle passa sa main sous le haut de Paul elle avait envie du contact peau contre peau.

~ N'être plus qu'un ~

Ce désir finit par obséder l'esprit du jeune homme et il vit bien que Roxane partageait cette même envie. Leurs caresses, leurs baisers, leurs regards ne laissaient planer aucune ambiguïté sur leur appétit charnel réciproque.

Vêtements et sous-vêtements furent rapidement jetés sur le sol. Ce qui s'ensuivit fut un concert de gémissements, rythmés par les mouvements du lit contre le mur, doublés des froissements de la couverture dont le remou irrégulier de ses courbes semblaient figurer une tempête et ses vagues immenses, montantes et descendantes.

Ce spectacle charmant, bien qu'un peu bestial, ne put être admiré que par les quelques araignées qui juchaient sur leur toile au plafond. Mais humains ou non, cela n'avait rien d'extraordinaire ni d'impudique pour elles. L'acte d'amour était écrit dans les Lois de la Nature après tout.

Après une heure et deux ébats passionnés, les jeunes amants, reposé et sereins, leur peau moite de transpiration, se laissèrent aller enfin à s'endormir comme des bien-heureux, l'un contre l'autre.

*** Le lendemain matin ***

Quand Paul et Roxane se réveillèrent, ce ne fut que pour se laisser aller, encore une fois, à leurs désirs charnels. Ce petit exercice physique dès le matin donna ensuite aux jeunes sorciers une énergie formidable pour affronter la journée. Ils prirent un bon petit déjeuner, composé de pancake, de sirop d'érable, de brioche, de jus d'orange, de bacon, ...

Puis ils prirent leurs douches ensemble. Initiative amusante mais dangereusement excitante. Je vous laisse imaginer comment cela se termina. Les carreaux de la salle de bains s'en souviendraient encore longtemps.

Ce fut presque avec regret que les amants se résolurent à se rhabiller et vaquer à leurs occupations professionnelles. Mais ce n'était que partie remise jusqu'à ce soir...

// Je te laisse clore ce RP ou en entamer un nouveau ailleurs. Je crois qu'ici on a fait le tour du sujet lol //

Invité

Tu la cloturer à merveil mon coeur wub

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