Identité :
- Prénom et nom : Émilie Chio Nagase Soeur de Maria Botsh
- Date de naissance : 16 Août 1962
- Sexe : Féminine
Physique :
- Cheveux : D'un noir de jais, mais comme le physique de chacun, le mien changea en un brun doux tanquis que ma soeur se teidait les siens. Dans ses années qu'elle avait perduré à les changer, elle avait atteint ceux de sa petite soeur de cette minutes attendu.
- Yeux / regard : De grands yeux noir en forme d'amande fraiche, elle sait se faire aimer, surtout quand elle sourit et qu'elle ferme les yeux tellement il sont tout petit. Une parfaite copies de sa soeur ainée. Les années lui donnèrent une meilleur perception du monde dans ses yeux attendrit de jeune femme.
- Visage / expression et couleur de peau : Un visage d'un parfait ovale, elle n'a qu'un petit grain de beauté derrière l'oreile gauche qui par sont habitude est cachée de ses long cheveux. La seule chose qui différencie ses deux jeunes femmes.
- Taille : Elle mesure un bon 1 mètre 54cm, de longues jambes éfillé et des doigts tout autant pareille, elle s'apprête au piano plus que sa soeur cadette. Elle est dans le normal des femmes asiatiques, et ne s'en plaint aucunement.
- Corpulence : Elle n,a pas comme sa soeur se corps qu'elle peut délaissé et ne jamais engraissé, elle elle doit se mettre en forme trois ou quatre fois par semaine pour garder une pêche d'enfer, et aime énormément les personnes qui l,entourent pour ses entrainement alors elle se donne à coeur joie dans tout ceci.
- Signe particulier : Elle a un grain de beauté derrière l'oreille gauche.
Caractère :
- Qualités : Émilie n'est pas comme Maria, c'est une fille timide qui n'aime pas se faire trop voir, elle laissait plutôt sa soeur faire les grands pas que quelques fois elle aurais du faire. Elle n'aurais jamais comme elle cette détermination, mais aurais la posibilité de passer d'inaperçue à certaine personne. Elle a une meilleur amie, et c'étais bien assez, déjà qu'être jumelles n'est pas toujours facile, avoir a s'occuper chaque jour d'une amie qui par la suite lui joua dans le dos et dont elle entretenait et entretient toujours une rageuse vengeance contre elle. Elle n'ai pas capable de voir la défaillance des gens en face, elle doit toujours tout écouter se que les personnes ont comme petit tracas et essayer de régler tout ceci. Cette femme est douce et n'est pas capable de faire de mal, elle a bien essayer un jour pour une vengeance libre à elle, mais jamais sont but premier ne fut atteint.
- Défauts : Une ranunière à la mémoire d.éléphant, ne lui demander pas pardon, même si elle vous dit que tout est pardonner, il a sont deuxième elle qui ne peut oublier. Elle n'est pas très bonne en des matières trop poussée, et les matière sujecte à la perception au delà de notre réelle, elle coula la divination et l'arithmencie. Elle a toujours été un peu jalouse de sa soeur aînée qui avait tant de facilité en tout. Elle a comme sa soeur cette manie de rougir de tout et de rien.
- Ce qu’il aime et ses passions : Elle adore le piano, elle s'y donne a coeur joie pour voir au travers de se publique une façon de voir une nouvelle fois vers un futur. Elle trouve la vie trop triste et monotone pour simplement suivre le cour des choses et se dévoile un coté plutôt frivole de se que tout le monde entier en croirais possible. Elle aimait il a bien longtemps faire distractions en se prétendant être Maria et vice versa.
- Ce qu’il déteste et ses phobies : Elle n'aime pas la mort et surtout pas le feu qu'elle délaisse au autres de prendre la poudre de cheminette pour se déplacer. Elle y voit une trop grande force en ceci et que personne au monde ne pourrais jamais contrôler cette élément brûlant la terre en son entraille.
- Tic : Elle se touche le nez quand elle s'ennuit et fait de drôle de mimique avec sa bouche.
Histoire :[list]
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Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Émilie viens d’une famille Japonaise d’une longue descendance de sang moldue, mais personne ne se permis de leur dire qu'elles étaient impure.
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Lieu d'habitation :
- Localisation géographique : Elle habite toujours à Tokyo, mais est bien contente de savoir transplaner pour se retrouver à Londres et aller travailler.
- Style d'habitation : Son loft est grand et espacieux, sa chambre est comme une maisanine au dessus de son salon au couleur orange brulé. Sa chambre est totalement voilé et se referme sur ses fenêtres des rideaux romain de couleur marbre. Sa couette est de cette même couleur, mais son plancher est recouvert d'un bois de cerisier.
La cuisine et la salle a manger son cote à cote et son tout aussi de se bois qui donne une centeur particulière. Son frigidaire est d'un noir de jaie comme ses cheveux, et son poêle au gaz en est tout autant.
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Enfance : Émilie avait auparavant une mère douce et attentionné pour ses enfants qui pour elle était des trésors. Elle vivait au Japon dans une petite ville pauvre. Ces habitants devait cultivé à journée longue et travailler à la sueur de leur front pour réussir à survivre. Son père était un bel homme travaillant avec une forte corpulence. Il travaillait lui aussi dans les rizières avec quelques uns des ses collègues.
Elle habitait dans une petite maison de bois qui était tout près d’un moulin à vent qui lui aussi était fait de ce même bois très solide. Cette maison avait que deux pièces et était très petite. Dans une pièce il y avait le salon, la cuisine et les chambres, dans l’autre il y avait où nous rejetons nos selles et notre urine dans un gros pot. Elle n’avait pas l’eau courante chez elles et devait aller à chaque matin près du puit et en récolter quelque chaudière avec sa mère et sa sœur jumelle.
Sa sœur jumelle était identique à elle et était sa complice de tous les jours. C’était plus souvent elle qui dirigeait les deux acolytes. Elles étaient comme les deux doigts de la main et faisaient tout ensemble.
La vie avec la petite famille était bien heureuse malgré la pauvreté. La famille aimait les petits plaisirs de la vie et appréciait chaque jour de soleil ou bien de pluie. Elle trouvait toujours quelque chose de beau dans toutes les choses mauvaises ou bien négatives.
Pourtant un jour vint tout effondre ce petit bonheur familial. Un collègue de travaille à son père était venue au moulin durant un nuit sec d’été. Main à la torche, il avait entré dans le moulin pour y vérifier quelque chose. Quand il ouvrit la grande porte de bois, en une fraction de seconde, le feu s’enflamma sur chacune des poussières de farines qui produisirent une grande explosion. Les villageois furent vite alertés et tous avait pris leur seau d’eau et firent une grande chaîne de la rivière au moulin. Le père d'Émilie avait tenté de sauver le pauvre collègue mais avait péri avec lui.
Attristé par cette nouvelle, la mère d'Émilie s’est pendu après d’avoir laisser ses filles entre les mains d’un service d’adoption. Elles ne surent jamais se qui vraiment lui avait arrivée le secret de cette mort était entéré avec elle.
La première fois que Maria et sa sœur avaient pénétré dans cet établissement délabré mais chaleureux, elles savaient qu’un jour elles seraient séparées. Elles tentèrent de ne pas trop y penser de passer le reste du temps ensemble. Alors depuis ce jour elle faisait toutes ensemble et personne ne pu les séparé jusqu’au jour où…
Maria et sa sœur jumelle jouaient ensemble à la poupée comme toute bonne fille de leur âge. Dans la grande porte d’entrer avait un grand homme bien bâti. À ses côtés se tenait une jeune femme avec une jolie grande robe rouge et noir de soie. Tout deux avait un teint blanchâtre et était très bizarre avec leurs grands yeux et leur gros nez. Leurs cheveux blonds ou bien foncés avec quelque mèche blanche.
L’homme s’avança et fit place à un autre couple qui eu était moins âgée. Ils avaient tout deux une chevelure noir foncé et un petit nez, mais ils n’avaient pas les yeux bridé curieusement toujours aussi grand. Cela semblait bizarre de voir ces gens arriver, ils n’étaient pas normaux.
Le premier couple s’avança vers les deux jeunes filles ainsi que le deuxième couple à leurs pas. Ils parlaient d’une langue étrangère mais par leur visage ils semblaient intéresser par ceux-ci. Peu à peu on pouvait apercevoir que leurs visage se crispèrent et les voix augmenter de décibels. Les jeunes jumelles apeurées partirent en vitesse de la pièce pour se recroqueviller dans une petite chambre.
Elles savaient que le moment était venu qu’elles ne se reverraient peut-être jamais, que le destin était si cruel envers eu. Elle s’enlacèrent et se serrèrent tellement fort que les traces de leur doigt étaient imprégnées dans leur dos. La porte s’ouvrit et le couple le plus jeune entra dans la pièce. Du bas de sa robe bleu imprégné de libellule blanche, elle balayait le sol. Elle observèrent les enfants tremblantes et fit signe à l’homme de s’approcher. Ils discutèrent un moment puis nous sépara. Maria se débattit tant qu’elle le pu. L’homme lui empoigna le bras et la tira vers lui tandis que la femme me tenait. Maria pleurait de toutes les larmes de son corps et me voyait disparaître peu à peu. Elle criait mon nom :
- CHIOOOOOO!!!Et je criais le sien :
- ZHAOOOOOL’homme entraîna ma soeur dans le couloir jusqu’au cabriolet sans lâcher sa poigne du bras de la jeune enfant maintenant enlevée de son monde.
Émilie avait pour elle seule le simple chagrin de peinée sa soeur dont elle ne retrouverait jamais. Des mois se suivirent et se sucédèrent, qu'elle trouvait le temps long dans cette maison d'adoption, c'est à ses douze ans qu'elle fut prise par une vieille femme qui venait de la pars d'un homme qui l'avait vue travaillé au dehors. L'homme ne se dévoilèrent jamais à elle. La seule personne dont elle put voir le visage était la vieille femme et son professeur de piano. Elle entreprit la danse et d'autre instrument.
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Scolarité à Poudlard ou autre école de magie : Elle était dans une petite école du japon dont elle entreprit à apprendre pour l'homme qui l'avait acheté. Elle s'y plaisa d'apprendre la sorcellerie et la beauté du manimant d'arme à ses seize ans. Elle fut élève modèle dans plusieurs cours, mais comme toute bonne personne, elle avait des lacunes. La divination et l'arithmencie prit un coté obscure pour elle et indécelable. Émilie aima plutôt se tourner vers les mathématique et les sortilèges dont elle eu des optimales. Son cour d'histoire de la magie et de matémorphose d'un Effort exeptionelle, l'atronomie, la défence contre les forces du mal et bottanique d'un Acceptable, mais fut déçu de voir cette fatidique note de Désolant dans son cour de soins aux créatures magique. Elle eu une amie qui la dupat et en fut toujours énomément rancunière. C'est à cette derniers année que sa soif de vangeance s'assouvie. De mettre sa plume incorrecte pour passer ses examens et que les professeurs en décella la fourberie.
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Vie après sa scolarité : Elle détient son aspic avec bravo, et se réjouie d'enfin terminer tout se moment de torture affreuse que l'éducation. Elle fit changer son nom pour Émilie Chio Nagase. Elle tenait se nom de famille de cet homme qui se cachait d'elle depuis toujours. Un jour ou le tonerre fit rage, elle prit peur en voyant que le tonerre touchèrent l'arbre devant sa fenêtre et prit feu. Elle prit peur et courut par tout les couloirs. Elle avait garder prêts de son corps cette petite draperie de soie. Elle se prit les pied dedans et tomba tête première et perdit connaissance du moment présent. Une chaleur se fit sur son corps avant sur sa nuque puis sous ses genoux. Elle sentit après son corps reposser sur un lit moelleux. Une chaleur sur son visage, puis un picotement sur mes yeux...
Le matin, ses yeux lui picottait encore, et se réveilla avec se regard flou. Elle vit bièvement une musculature et un visage avec très peu de traits. Le visage se sauva de son regard, et celui d'une vieille femme malade prit place. Une serviette humide sur son front et elle repartit dans un sommeil profond. La peur enfuit et les rêves qui se dessine devant ses yeux. Elle révait de se visage, de cette façon dont l'homme lui avait toucher le visage.
Ses nuits se sudérent qu'elle rêvait de plus en plus de voir son père et un jour ou elle fut presque au bout, il lui demanda poliment de se retourner et d'aller voir la vieille maracle qui lui obligeait de ne jamais poser de question sur lui. Il lui était de dos dans un grand fauteils, et elle l'écouta comme la petit fille timide qu'elle était. Il l'arrêta en lui dissant:
-Tu auras ton loft tout près d'une nouvelle école de piano, alors si tu n'as plus le temps de laisser tes doigts se divertirent, tu auras toujours les oreilles au aguets de cette beauté, que étant jeune tu me ranimait le coeur. Je te suis grès d'avoir changer ton nom pour le mien, mais jamais je n'ai voulut te faire oublier ton passé.La jeune Émilie partit, il venait de lui ouvrire une plaie, non cette vieille plait de la mort de ses parents, mais celle qu'il la repoussait de lui. Elle se mit en sanglot avant même de sortit de la pièce. L'homme ne sut pourquoi ses pleurent, mais ne voulait pas qu'elle soit de plus en plus curieuse en son égart. La vieille femme rentrat de l'autre porte au devant de lui et ne le dévisagea aucunement. le regard vers ses pieds, elle lui réclamait de laissé encore un peu de temps pour l'enfant, mais l'idée de l'homme était déjà toute faite.
C'est comme sa qu'elle prit place toute seule dans se loft dans la musique qui se dévoilait du niveau inférieure. Elle leur fessait honneur en les suivant de son piano qu'elle avait changer électronique plus que se vieux piano dont elle revenait tout les samedi pour donner complainte à son père adoptif.