Perdue, elle était perdue

Invité

Perdue, Une nouvelle fois elle venait de parcourir les rues de Prés au lard recherchant Vainement une nouvelle excentricité à acheter, des vêtements, des bonbons pour son frère, des choses pouvant servir pour ses plans. Rien, il n’y avait rien, et pourtant elle avait cherché, elle avait farfouillée e un peu partout ! Elle ressentait amèrement l’absence de son frère, sans sourire, sans rire, perdue, elle était perdue. Son frère pourtant ne l’avait pas abandonnée, il était elle ne savait trop où, mais certainement pas là où il faudrait, mais en attendant, ç ce moment précis….Perdue, elle était perdue.

Elle rejeta son regard contre l’immense tout en passant devant, de même, elle parcoura avec envie les vitrines de Honeyduke, et tout aussi goulûment, elle se rendit dans la petite boutique de prêt à porter aux créations tout extrêmement moche –Mais un vêtement, reste ce qu’il est : Un vêtements !-Mais son frère n’était pas là. Alors, elle alla jeter un triste coup d’œil rapide vers la ‘poste’ magique sous le caquètement irrespectueux des hiboux, leurs odeurs…Un horreur, elle fila donc vers les Trois balais, faisant tinter la cloche de leur porte d’entrée sous son passage et prenant commande d’une tisane citronnelle/ fruit rouge et herbes à infusions diverses, une pure merveille gastronomique et sans calorie. Mais elle eut beau prendre son temps, buvant la si délicieuse boisson en petite gorgée, jamais son frère ne passa dans le salon de thé si romantique soit-il. Il faut dire que le café n’inspirait chez l’adolescente qu’un sentiment de misère la plus total…C’est vrai, comment pouvait on oser mettre des rideaux rouge et blanc à carreaux et des cœurs en dételles, pour qui ils pouvaient bien nous prendre...Enfin, la qualité des mets et des boissons redorées le blason du si miteux salon de thé, c’était déjà ça de pris.

Elle sortit, la chaleur ni trop chaude ni trop froide l’irradiait d’un sentiment de bonheur, de joie, et cela malgré l’absence de son frère, enfin nous n’allons pas épiloguer une nouvelle fois dessus, je pense sans trop avoir de doutes que vous avez parfaitement compris les sentiments entre les jumeaux ! Elle replaça correctement sa petite ombrelle bleue nuit –pas trop foncé- aux rebords en dentelles noires qu’elle trouvait si mignonne, et déroula ses jambes l’une après l’autre dans un mouvement parfaitement identiques, elle marchait quoi ! Elle évita de se prendre les jambes dans sa jupe pas bien longue mais si gonflées par les différentes couches de jupons qu’elle y avait interposé, tout en essayant de ne pas enlever les trois nœuds, celui dans son dos et celui sur chaque côté de la jupe, enfin de chaque coté niveau jambes de sa robe vu qu’il s’agissait bien d’un robe. Elle vérifia rapidement qu’aucun de ses boutons noires ne s’étaient sauvant partant à la découverte du monde de la terre, mais rien n’était partie, son col montant jusqu’au cas du ou était toujours fermée, tout comme le chapelet de bouton qui fermait son ‘carré dentelle’ qu’elle avait juste en dessous. Rien , Rien n’était parti, la jeune fille restait toujours aussi bien habillées, elle passa rapidement, essayant de rester furtive sans toutefois y arriver, bien que n’étant pas la seule à effectuées ce disgracieux mouvement de mains, une main dans ses cheveux, effleurant ces derniers, elle vérifia que tout était à sa place, mais ses cheveux toujours bouclés avec le plus grand soins pendait en deux couettes hautes, juste soutenus par un élastique noire simple et de son homologue à fleur. Son bandeau, carrée et assez gros s’arrêtant aux oreilles était toujours retenus par le sous bandeau noir qu’elle avait cachée derrière ses cheveux et pour finir. La petite blonde –car elle était aujourd’hui teinte en blonde- ne pu vérifier son maquillage mais elle restait persuadée que son mascara noire lui faisant des cils taille XXL n’avait pas coulé, son rouge à lèvre rouge passion si foncé qu’il en ressemblait presque à du sang, avait toujours la même couleur carmin et pour finir ce portrait, son teint resté toujours le même, puisqu’elle n’avait pour une fois pas appliquée de fond de teint. Elle parcourue l’assemblée qui la regardait avec des yeux énormes ressemblant étrangement à deux calots en verre. Mais d’un sourire mesquin et à la fois coquin, elle passa presque sans les voir. Plus tard elle en rirait peut-être car ceux-ci n’en revenaient pas de ses habits ‘à la moldue’ d’autant plus qu’un magnifique blason vert et argent trôné sur sa poitrine.

Son sac, un lapin rose avec de grands yeux blancs contenait sa robe de sorcier le classique robe de travail noire totalement laide, une affreuseté qu’elle réservé à Poudlard.

[Pour mon loupiot préféré que ze n’aime avec beaucoup de cœurs ^.^ - -]

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