En plein millieu de la foule(PV Julia)

Matabeavait treminé sa retenue. Il était tot, ce matin. Il ne savait trop que faire, alors il decida d'aller en cours, ce qui, actuellement, était plus que rare. Il assistait un petit cours par semaine, et restait le reste du temps a trainer en flanant.

Actuellement, il pensait à Serdaigle. Plus precisément a la miss Rowena. Cette demoiselle était une grande sorcière, travailleuse. Il pensa a elle comme d'une deese protectrice, qu'il avait surement énérvé, car il avait de nombreux problèmes.

Alors on le bouscula. Il lutta interieurement pour ne pas mettre une droite a ce garçon qui ne s'était pas excuser. Matabe s'assit ensuite, et s'alluma un cigarette, ce qui était de plus en plu rare.

Il s'assit sur les marche, heureux d'exister. C'était une sensation qu'il avait souvent, quand il était sobre. Mais il ne l'appreciait pas. Lui meme, se trouvant imparfait, il se haissait. Peut etre quelqu'un, un jour, serait de son monde...


HJ: desolé pour cette M***e^^, je serait plus inspiré quand tu aura posté!!

HJ : c’est pas grave du tous je fais pas mieux ! ^^

Julia s’était levée tôt ce matin-là, comme tous les matins, elle était de ces gens qui pensaient que la journée appartenait à ceux qui se levaient de bonne heure, et mieux vaut de bonne humeur.

Elle s’était alors habillée en vitesse, assez chaudement, toujours vêtu de noir et de bleu sombre, au couleurs de sa maison dont elle était si fière, et avait descendu les multitudes d’escaliers et couloirs qui menaient jusqu'à la grande salle.
Elle maudissait souvent le fait que la salle commune des serdaigles se trouvait tout en haut de la plus haute tour, mais en même temps elle aimait tellement regarder l’admirable vue par la fenêtre de sa chambre qu’elle évitait ce genre de sombres pensées.

Elle avait donc pris un bon petit-déjeuner, toute seule, il était tôt et peu de gens se trouvaient dans la grande salle à cette heure-ci.
Elle observait attentivement le plafond de la grande salle, qu’elle n’avait jamais cessé d’admirer, peut-être qu’un jour elle s’y serait habitué, mais depuis trois ans qu’elle était là elle ne se lassait jamais de ce spectacle.
Surtout l’hiver, les flocons de neige s’était si joli.
Elle sourit alors, le regard levé vers le plafond puis se décida enfin à partir.
Elle traversa l’allée centrale de la grande salle d’un pas assuré, et resserra son écharpe autour de son coup.

Elle n’allait sûrement pas tarder à aller en cour, mais comme elle avait encore du temps devant elle, elle décida d’aller s’installer dans le hall, comme cela elle serait sure de pouvoir interpeller une de ses amies pour aller en cour ensemble.

Il y avait beaucoup de monde et dans le hall, et les gens faisaient des vas et vient sans arrêt, cette agitation lui faisait un peu tourner la tête, mais elle s’avança directement vers les marches du hall, et s’assit sur le bord, afin de ne gêner personne.
Les pierres de marbre étaient vraiment froides, mais sa chaleur humaine la réchaufferait bien vite. Elle ouvrit un bouquin sur les potions oubliées de la magie noire et plongea dans les multiples formules et recettes, d’un assez haut niveau.

Elle était si absorbée par son livre qu’elle ne vit même pas qu’un garçon s’était assis à côté d’elle.
Mais quelque instant plus tard de la fumée lui picota les narines, étonné elle releva enfin la tête de son livre et regarda avec surprise un garçon de serdaigle assit à coté d’elle, en train de fumer tranquillement une cigarette.
Elle avait horreur de ce genre de comportement, les gens de nos jours fumaient de plus en plus jeune, ce garçon devait avoir à peine 13 ans, mais c’était surtout qu’ils ne se souciait pas de savoir si cela dérangeait les autres ou non.

Un peu irritée de cette attitude, elle prit d’un geste vif la cigarette de la bouche du garçon et l’écrasa sur le marbre froid d’un geste catégorique. Elle lui lança un regard noir mais tranquille, avant de se replonger dans son livre sans un mot.

Matabe se sentit irrité quand il napparçut une demoiselle qui ne le remarqua meme pas en s'asseyant a ses coté. Elle était bien etrange. bien belle aussi, d'ailleurs^^. Elle semblait passionné par un livre, un roman peut etre, policier dans ce cas. Car seul un policier pouvait interressé une Serdaigle en faisant marcher sa cervelle.

A l'époque ou il était encore jeune, frais et gentil, avec une ndouce haleine pure, les poumons vierge, il s'interressait énormément au grand classique comme Sherlock Holmes. Depuis, il avait appris juger les gens. Elle était apparament reveuse. Elle aimeit travailler, enfin... il y avait grande chance.

Il fallait tout d'abord regarder le regard de la jeune fille. Elle était tres attentive a ce qui pouvait ce passer dans ce bouquin. ENsuite, on pouvait regarder ses belles main toucher son livre avec joie, et.... se diriger vers la bouche de Matabe.

Il n'eut pas le temps d'aller plus loin qu'il comprit que sa clope était dechue. Adieu, pouvait il lui dire, car deja, elle l'avait saisi. Quand elle l'ecrasa, la moindre idée qu'elle tire dedans s'ecroula. Il ,ne la reverait plus.

Il s'imaginait entrain de l'enterer lol. La foule se dissipait peu a peu. EN quelques instant, il n'y avait plus personne. L'immense halkl é-tait vide, gorgée d'une douce lumière. Il adorait ces moments là. Il était seul, seul dans cet immense chateau. Les fantôme le traitait a peu pres comme leur égal, car il flanait sans but toute la journée. Un jour, l'un d'eux lui avait demander pourquoi. Il repondit qu'il n'en savait rien.

Il revint a la raison une fois que l'enterrement fut fini^^. Il regarda la demoiselle avec apréhension. Il lui avais manqué de respect. C'était lui, le fautif. Il ne s'enerva donc pas. Ce q'il n'aurait pas hesiter si il avait a ses coté un garçon...

Excuse moi, je te prie...

Julia était à nouveau plongée dans son livre, ne prêtant pas la moindre attention aux mouvements alentours.
Elle essayait de comprendre les formules complexes et de chercher dans sa mémoire si elle avait déjà utilisé tels ou tels ingrédients.
En réalité elle avait déjà oublié l’incident de la cigarette, et n’avait pas fait cas de ce garçon assit près d’elle.

Soudain elle entendit une voix, une voix qui était plus proche d’elle que les autres.
Elle se rappela alors le garçon à coté d’elle et sans relever les yeux de son livre l’écouta.
Elle ne répondit pas tous de suite, voulant finir ce qu’elle lisait.
Sa phrase terminée elle releva la tête de son livre pour la tourner vers le serdaigle.
Elle lui lança un sourire d’exaspération et leva les yeux au ciel.

« On t’as jamais dit de ne pas déranger les gens quant ils lisent ? »

Elle avait été un peu froide, mais elle ne supportait pas qu’on la dérange en pleine lecture, enfin maintenant qu’elle s’était sortit de son livre, elle ne pourrait plus y rentrer à nouveau aussi bien, surtout avec ce garçon qui la dérangeait sans cesse.

Julia referma alors son livre d’un coup sec, envoyant de la poussière en tous sens, elle toussa et grogna, les livres de la bibliothèque étaient vraiment dans un sale état, on aurait dit qu’ils n’avaient pas été utilisés depuis des lustres.
Au moins chez elle les livres étaient tous en bon état et bien entretenue, elle aimait tant les livres qu’elle y prenait soin comme si c’était la prunelle de ses yeux. Traitant chaque livre avec respect et gratitude, son père se moquait un peu d’elle parfois, mais il comprenait très bien et partageait lui aussi cette passion.
C’était grâce au livre qu’on pouvait savoir plein de choses, ils nous instruisaient et nous donnaient de la liberté.

Elle posa son regard sur le garçon, toujours toussotant, qui venait de s’excuser, et changea alors d’attitude, il avait peut-être la mauvaise habitude de fumer mais au moins il savait reconnaître ses tords.

Essayant d’être poli elle lui dit
« Moi c’est Julia Tyler, 3e année de serdaigle, et toi ? »

Elle le jaugea du regard et se passa machinalement la main dans ses cheveux d’un noir éclatant.
Elle observa le visage du jeune homme, il était blond, les cheveux assez longs, les yeux d’un bleu profond, il avait l’air d’être un gentil garçon, elle ne comprit alors pas pourquoi il fumait…
D’habitude les gens qu’elle connaissait qui fumaient étaient des rebelles, ou des voyous, ou des adultes accros…Lui il ne semblait pas comme ça…et il avait une vrai petite bouille d’ange.

Matabe l'entendit criser a propos de ses excuses. Fallait dire que maintenant, il avait l'habitude. Et il n'arrivait jamais a les rendre sincère. Il essayait de ce lever, quand celle ci se presenta comme Julia Tyler, une fille de son année, et, evidemment, de sa maison. Il se lassa tombé sur les fesses.

Il hesitait a se preseenter a son tour. Peut etre allait il encore la deranger dans un bouquin dont il avait visiblement fait une tres mauvaise, mais tres tres tres mauvaise analyse^^. En effet, quand elle le souleva, il s'apperçut que c'était un bouquin plein de formules.

Elle était donc, comme son autre hypothese le citait, tres bonnes élève. Elle tenta de remmeytre son nez dans le bouquin, et ne reussit evidemment pas. Matabe lui sourit alors, un grand sourire avec des dents miraculeusement blanche, car elle reportaiyt son attention sur lui. Cela lui fit chaud au coeur.

Il ne portait qu'un long et tres large pull blanc et un jean tout dechiré, qui prouvait qu'il n'avait rien à faire des couleur bleus argent de sa maison. Il portait malgré tout un badge de fan de la team de quidditch de sa maison. Il en était d'ailleurs tres fier. De futurs stars, sans doutes, ces jeunes sportif.

Lui était plus porté son les course de balais. C'éytait son grand plaisir, son intense passion, apres l'écoute de la musique a fond pour deranger tout le monde^^. Il adorait decouvrire les surprenante bottes secrete des different concurent, lors des courses internationales.

Moi, c'est Matabe. Troisième année.

Il se demandait pourquoi la jeune demoiselle de son age n'aillait pas en cours, si tout le monde y était deja. Il lui posa donc, en toute franchise, la question.

Tu va pas en cours?

Julia regarda le serdaigle avec un peu plus d’intérêt, elle ne pensait qu’il était en même année qu’elle…
Elle l’observa d’un rapide coup d’œil, sa tenu vestimentaire était un peu négligée, mais son visage d’ange ne lui ferait pas changer d’avis, ce garçon avait l’air adorable, peut-être qu’il était négligé, mais Julia était sure de pouvoir le remettre dans le droit chemin. ^^

Lorsqu’il se présenta, elle lui sourit et aquésa d’un air entendu de la tête.
Elle vit son coup d’œil sur le livre et ne put s’empêcher de le retourner pour ne pas qu’il voit que c’était un livre de potion de magie noire.
Elle n’avait pas honte, bien au contraire, mais elle ne voulait pas le faire fuir et qu’il ai déjà une mauvaise opinion d’elle.
Elle savait bien que beaucoup de gens détestaient la magie noire, et en avaient peur, mais les gens avaient souvent peur de ce qu’il ne connaissait pas, c’est pourquoi Julia voulait tous savoir, tous connaître.

A ses dernières paroles elle regarda tous autour d’elle et affolé remarqua qu’il n’y avait plus personne, les cours devaient sûrement avoir commencé.
Elle était furieuse, à cause de cette petite discution, elle en avait oublié de regarder l’heure !
Elle jeta un regard furieux sur Matabe, bien que ce n’était en rien sa faute et s’exclamât

« Quoi ?! Les cours ont déjà commencé !? Zut je suis en retard ! »

Se maudissant, elle se leva vivement et sans réfléchir commença à partir en courant sa robe volant derrière elle ses livre dans les bras, le visage furieux.
Puis elle s’arretta d’un coup, sans raison apparente, comme si quelqu’un l’avait stupéfixer
* Après tous je suis déjà en retard, et si j’arrive maintenant en cour je vais surement me faire remarquer... *

Durant sa réflexion elle était dos à Matabe, elle tourna alors la tête et le regarda, il ne semblait pas avoir l’intention d’aller en cours…Elle réfléchit un instant, se demandant bien pourquoi il ne semblait pas le moins du monde avoir l’intention d’y aller…
Ses neurones fonctionnaient à la vitesse de la lumière et en quelques secondes lorsqu’elle eut évalué la situation, elle se retourna complètement vers le serdaigle et revint d’un pas assuré s’asseoir près de lui, sans un mot.

Elle avait décidé que puisqu’elle était déjà en retard et qu’elle ne souhaitait pas se faire voir d’un mauvais œil par ses professeurs il valait mieux pour elle qu’elle n’y aille pas et trouve ensuite une bonne explication.
De plus ce garçon ne montrait aucune envie d’aller en cour elle se disait qu’elle pourrait peut-être réussir à mieux comprendre afin d’essayer de le raisonner.
Elle avait donc décidé qu’elle irait au cour suivant, se laissant le temps de parler un peu avec lui et de passer à l’infirmerie pour trouver une raison valable de son absence, et ainsi la justifier à raison, afin de ne pas perdre son image de bonne élève.

Elle revint donc s’asseoir à côté de lui et lui sourit en haussant les épaules
« Quitte à être en retard autant ne pas y aller, j’irai au prochain »

Elle jeta un regard à son bouquin, toujours sous son bras et pensa en essayant de se rassurer que de toute façon elle était bien avancé dans ses cours et qu’elle n’aurait pas de mal à rattraper 2h.

Matabe s'apperçut qu'elle cachait bien mysterieusement ses bouquins. Il decida de reflechir un instant, en organisant une analyse pour savoir sur qu'elle matière la demoiselle travaillais.

Elle le cachait, de toute evidence. C'était une ,matière peu honète. Ca donnait un maximum de fun^^ a la demoiselle. Ce n'était pas, deja, la Defense contre les forces du mal.

Elle travaillais énormément, ce qui retirait l'étude des moldus, le soin au creature magique. Il restait donc la divination, la potion, les sortilège, l'Arithmancie, et l'Histoire de la magie.

Mais en regardant le premier argument, on pouvait decouvrire qu'il ne restait plus que deux matière: La divination et la magie noire. La Divination, c'était une matière ridicule. Il fallait vraiment aimer les proffesseurs de cette matière pour y aller. Et elle donnait un travail mmoyen. Mais pour que la demoiselle soit si stressé a l'idée qu'on voit le livre, il fut sur qu'il s'agissait de la magie noire.

Il vit la demoiselle se pressé pour aller travailler. Il allait rester seul, comme d'habitude. Elle n'allait, visiblement, ne pas rester. C'était on ne peux plus evident.Elle était assidue, et un retard était deja pour elle un blaspheme.

Matabe restait là, pret a remonter les marches ou a rester ici. Il n'en savait rien. Il avait l'embarras du choix. Il y avait tellement de chose a explorer, ici... Ce chateau regorgeait de secret.s, visiblement..

En troius années passée a explorer cette enceinte, jamais Matabe n'en avait vue la fin. Surement n'y avait il pas de plan de l'etablissement tout entier. Et cela le rendait des plus attirant, des plus mysterieux. Tout comme Julia, d'ailleurs...

Quand il la vit revenir, il fut heureux. Et quand il l'entendit son argument, il sentit qu'il pourrait lui faire visiter son monde, sa vie... Mais il n'en était pas la...

Belle matière, que tu as sous le bras. Un beau livre de Magie noire. Ca doit etre peut apprecier par la prefète, mais je te comprend... c'est si... excitant! >J'ai faillit prendre cette matière!

HJ : tu lui dit à Julia que tu as faillit prendre cette matière ou a moi ? Je fais comme si tu l’avais dit à moi, donc Julia ne sais pas.


Julia qui s’était assise à côté de lui n’avait pas fait attention à cacher à nouveau la couverture de son livre, elle le regardait, étonné de son grand sourire, à croire qu’il était heureux qu’elle reste avec lui.

C’est alors que Matabe lui parla avec exclamation.
Gênée, elle plaqua son livre contre sa poitrine pour ne pas qu’il le voit, mais c’était déjà trop tard.

Elle baissa un instant le regard et réfléchit à l’attitude à adopter.
Il ne semblait pas avoir prit peur, ni avoir envie de la questionner, il n’avait peut-être rien contre la magie noire, mais il n’avait pas non plus dit ouvertement son point de vue là-dessus.
Elle choisit donc de rester neutre pour l’instant.

Elle posa donc un regard calme sur Matabe et lui sourit

« En quoi tu trouves cela excitant… ? »

Elle supposa de ses paroles que la préfete de serdaigle ne devait pas être du côté de la magie noire, ou du moins ne pas vraiment l’apprécier, mais il ne lui semblait pas que l’étude ou la lecture du côté sombre de la magie soit interdite.
Après tous il y avait même un cours de magie noire auquel elle s’était inscrite, alors elle n’avait pas vraiment de souci à se faire…

Elle repensa alors à son père qui essayait depuis qu’elle était toute petite de lui faire aimer la magie blanche et de détourner son intérêt de la magie noire…Il avait essayé en vain, Julia n’était pas une de ses filles sombres et machiavéliques, elle ne voulait pas faire partie des mangemorts, mais elle s’intéressait à ce coté de la magie simplement pour pouvoir un jour mieux se défendre contre des gens qui l’utilisent et son père ne pourrait pas l’en détourner.
Son père était donc désespéré de ne pas réussir à l’en dissuader, après tout elle le comprenait il était auror…. Et n’apreciait donc pas la magie noire.
Bien que Julia ne pouvait s’imaginer être auror sans connaître la magie noire, pour mieux combattre un adversaire il fallait absolument le comprendre et le connaite, et donc passer par la connaissance de la magie noire.

Elle regarda le hall vide, un peu désespéré de son attitude, de n’être pas aller en cour, elle soupira et demanda à son camarade de serdaigle

« Pourquoi tu ne vas pas en cours toi ? »

Matabe la vit caher son livre. C'était trop tard.Il avait lu, apres avoir decouvert, la nature du bouquin. Il avait l'air dort interressant. Il pratiquait plus de la magie blanche, mais le petit coté nouveau de la magie noire était exaltant.

Il sourit, car il avait apprit qu'a part cette matière, aucune n'avait été rajouté depuis que la siñora Rowena était entrer dans ce vieux castel^^. Un chateau magnifique, soit dit entre nous.

Pourquoi? Car c'est tres... New age... Tres... different.... excentrique... Bref... Sensass'.

Il avait pesé chacun de ses mots, pour dire reelement le detail de sa pensée. Mais le plus important, il ne l'avait pas dit... Le fait de pouvoir faire souffrire, de montrer qu'on existe, de forcer a nous regarder...

Nous regarder au moins une fois... Matabe était dans sa quete étérnel de reconnaiscance... Une recherche étérnel, sans doute. Il était victime d'un profond mal etre, et cette pensée l'irrita bgrandement. Il sortit un petit sachet d'herbe.

En un instant, le petard était roulé. Une douce drogue, qui faisait plané. L'anti deprime, le calmant naturel de Matabe. Il faillit l'allumé a l'aide de son briquet, qui marchait , car evidemment, il n'était pas electrique. MAis il se rappella de sa belle cigarrette qui avait finit au enfers...

Je peux? C'est une cigarrette roulée... S'il te plait...

Il la regarda avec son regard le plus attendrissant. Il avait dit ses mots, pour que la demoiselle ne croit pas ce qu'il était: un Toxicomane Depressifn, depandant, mais independant.

Julia vit avec stupéfaction qu’il ne répondit pas à ses questions, elle le regarda, étonné de ses propos, la magie noire n’avait rien de nouveau, ou d’excentrique… Au contraire elle existait depuis très longtemps.
Seulement elle trouva raisonnable de ne rien dire, de ne pas le reprendre, sinon elle passerait pour la fille ‘je sais tous’ contradictoire.

Elle l’observa alors, il semblait perdu dans ses pensées, d’assez sombres pensées même, en voyant son visage angélique s’assombrir de plus en plus.

Elle ne fut presque pas étonnée de le voir sortir un paquet d’herbe pour s’en rouler une. Mais elle le regardait à présent d’un air sévère, elle n’était pas dupe et savait très bien ce qu’il y avait là-dedans.

Lorsqu’il lui demanda s’il pouvait, elle fit un non catégorique de la tête, elle n’avait aucune envie de le voir fumer, c’était tellement dommage de tomber là-dedans, il y avait tant de choses beaucoup plus importantes.

Elle le regardait dans les yeux d’un air sévère, elle n’avait tous de même pas raté un cour pour être en compagnie d’un ange drogué indépendant !
Elle s’en voulut presque d’être resté, elle se leva alors et se mit debout face à lui avant de lui répondre d’une voix douce mais ferme

« Non je ne veux pas que tu fumes ce truc à côté de moi, et d’ailleurs tu n’as pas répondu à mes questions. »

Elle le jaugea du regard et ajouta, sans faiblir devant sa petite mine suppliante

« Si tu ne vas pas en cour pour fumer c’est bien dommage, et puis sa te sert à quoi d’abord de fumer ça !? »

Le visage de Julia s’était un peu durci mais ces traits restaient beau, même en colère, ses cheveux étaient retombés de derrières ses oreilles et certains lui passait à présent devant les yeux.
Cette fois cependant elle ne les remit pas derrière ses oreilles, ne détachant pas son regard de celui de Matabe, ne relachant pas une seconde son attention.

Julia qui regardait Matabe sans ciller, écouta sa réponse.
Elle ne sut tous d’abord pas comment prendre ses propos, c’était vexant pour elle, mais en même temps ne le connaissant que depuis dix minutes environ elle ne pouvait pas non plus en faire cas.
Son visage resta neutre un instant, le temps de sa réflexion.

S’il voulait être seul après tous, elle n’était pas obligée de rester, de toute façon elle trouverait certainement autre chose à faire, comme filer à l’infirmerie…
Mais ce garçon lui avait expliqué la raison de son absence en cour, et bien qu’elle ne connaissait pas vraiment elle même cette sensation, car elle trouvait le temps en cours bien rapide, tellement elle absorbait les paroles des professeurs, elle connaissait cette attitude et ne pouvait que la comprendre.

Etre assit toute une journée si on n’est pas intéresser parce qu’il se passe autour de nous doit être vraiment très ennuyeux, et la seule façon de remédier à cela était tous simplement de vouloir apprendre et d’aimer se que l’on apprend.
C’était donc difficile de résoudre ce problème lorsqu’on en a pas envie, et qu’on ne veut pas y mettre du sien.
Il fallait donc que Julia trouve quelque chose à répondre là-dessus, et essayer de voir si Matabe serait près à y mettre du sien, auquel cas elle ne voyait pas vraiment les raisons qu’elle avait eu de ne pas être aller à son premier cour de la journée.

Elle le regardait dans les yeux, toujours en pleine réflexion, même s’il n’y avait que quelques secondes d’écoulées, un silence c’était installé entre eux.
Elle demanda alors d’une voix plus paisible

« Mais tu n’aimes pas ce que l’on apprend en cours… ? La magie tous sa c’est … Excitant…Non ? »

Elle avait essayé de reprendre ses mots, peut-être que cela lui ferait prendre conscience de quelque chose… De ce qu’il ratait lorsqu’il n’était pas en cours…
Et puis s’il n’allait jamais en cour il raterait certainement ses examens et recommencerait son année, il fallait absolument qu’il s’y mette, sinon il resterait toute sa vie à Poudlard, et puisque visiblement il n’aimait pas étudier se serait l’enfer, alors valait mieux s’en sortir au plus vite, quitte à se forcer à étudier…

Julia fronça les sourcils, elle se demandait pourquoi il était à serdaigle…Peut-être avait-il les capacités d’un serdaigle pour le travail mais ne les utilisaient pas… Il y avait forcément un moyen de le remettre sur le droit chemin…
Cependant elle ne dit rien là-dessus, préférant le comprendre mieux et acquérir sa confiance avant de l’ennuyer avec ses conseils, qui pour l’instant ne voulait entendre, c’était certain.

Elle préféra donc répondre sur l’autre point de vue de ses paroles, concernant les fantômes et la solitude.
Julia prit assez mal le fait d’être considéré comme étant tout le monde, et encore plus de l’entendre dire qu’elle était ‘drole’ pourtant elle ne pensait pas avoir une tête de clown, loin de là.

Elle lui lanca alors un petit sourire ironique qui n’envisageait rien de bon…

« Quoi moi je suis tout le monde ? Et je suis ‘drole’ ? Tu trouve… ? »

La jeune serdaigle allait s’énerver si elle ne prenait pas patience, mais heureusement elle savait se contenir, elle garda donc la tête bien sur les épaules, entre rire et colère, attendant toute les explications aussi bien sur les cours que sur ces dernières paroles.

Julia était perplexe devant Matabe, elle ne savait plus que faire…
Il s’était appuyé contre les marches, cela se voyait qu’il n’allait pas bien, peut-être était-il malade, ou bien était-il en manque…A moins que cela ne soit un mal être plus profond…
Cela se voyait dans son regard, dans son attitude, dans sa façon de parler, il n’allait pas bien, peut-être que c’était un garçon déprimé…

Elle posa alors sur lui un regard doux et bienveillant, il n’aimait pas… Il ne s’aimait pas en réalité, voilà en général la raison de ses problèmes, elle le voyait, le sentait, mais n’allait pas le lui dire de cette manière, il fallait être plus délicate…

C’est alors qu’il lui demanda si elle aimait la mort. Elle fut très surprise par sa question et ouvrit de grands yeux. Il se mit alors à rire, mais cela sonnait très faux, cela se voyait qu’il asseyait de rattraper le coup, de faire croire à une plaisanterie.

Cependant elle ne trouvait pas sa question stupide, la mort c’était un sujet délicat mais plutôt intéressant… Elle n’avait pas trop d’opinion fixe là-dessus, à vrai dire elle ne s’était jamais demandé si elle aimait la mort… Mais c’était un bon sujet de réflexion.
Elle le regarda alors rire un peu jaune, elle se doutait que Matabe allait mal, il devait être de ses gens un peu suicidaire qui se mutilaient et fumaient du n’importe quoi, elle se rendit alors compte qu’il allait plus mal que ce qu’elle ne le pensait au début, son mal être ne s’arrêtait pas à une simple absence en cour.

Julia était toujours debout devant lui, le visage sérieux, mais un tout petit sourire aux lèvres, elle se rassit alors prés de lui et soupira.
Il changea à nouveau de conversation, parlant cette fois du dortoir des filles, un sujet quelconque et inintéressant, elle ne comptait pas vraiment répondre à cela.

C’est alors qu’il lui parla de sa vision des choses, que tout le monde était unique, il avait raison sur ce point ont était tous nique, mais on était pas unique sur un seul point, mais sur l’ensemble de notre personne. Cependant il se trompait, elle n’était pas l’unique personne de serdaigle à étudier la magie noire. La veille au soir, Valenna et elle avaient parlé de cet aspect de la magie, et Julia savait qu’elle n’était pas la seule à la considérer comme aussi importante que la magie blanche.

Puis les mots de Matabe lui revirent en tête, il avait avoué que cela faisait du bien de se confier, de parler à quelqu’un, Julia fut alors contente d’être resté avec lui plutôt que d’aller en cour, peut-être qu’elle pourrait lui être un peu utile.

Elle replaça ses cheveux derrière ses oreilles, sans s’en rendre compte, d’un geste machinal de la main, et regarda son compagnon à la tête d’ange mais au mal être grandissant.

« Oui on est tous unique, mais c’est notre ensemble, c’est un tous qui fait qu’on est unique, parce que par exemple, je ne suis pas la seule serdaigle à aimer la magie noire, tu ‘n’est pas le seul garçon à fumer et à se sentir mal, mais ce sont tous nos choix, qui font que nous somme différents des autres gens, c’est aussi notre vie qui nous à forgé un caractère et une personnalité, c’est en cela que nous sommes différent de toute autre personnes. »

Elle le regardait dans les yeux en parlant, cherchant à voir sa réaction, puis elle continua, mais ne voulant pas trop aborder de sujet délicat elle demanda tous simplement

« Tu habites ou toi en dehors du château… ? Tes parents sont sorciers ? »

Matabe sre sentit tres gener de ce qu'elle avait dit. Il ne se consideraitn pas comme allant mal. Il refusait. Il se devait d'offrir un sourire, un chaleur fictive... Un masque de paix. Il ne savait trop pourquoi, mais ainsi était il.

Enfin... dire qu'il ne se considerait pas comme allant mal, c'était quand il était shooter. Il souhaita ljui faire croire qu'il était dans un grave manque, etr se mis faussement a trembler. Fausement, car quand la vibration est sur trente cm, on peut avoir des doute.

IL allumla son Pur de Beuh. Il tira trois latte tres tres vite, pour ne pas qu'elle le lui retire de la bouche. Il se leva pour que les doux relents de l'herbe n'irrite pas ses douce et vierges narines. Il tournait en rond, rflechissant à quoi repondre. Il tirait desormais a la Joplin, a l'hippy, aussi appellé indiènne, qui constituait a fait une souflette personnelle. EN solitaire. Comme d'habitude.

C'était en faite une sorte de BANG sans alcool ou les main était la bouteille, et ou le join était coincé entre les deux derniers doigt de la main gauche. Cela lui dechirait le poumon a l'expiration, pour une raison quil ne connaiscait pas.

Une fois le petard finit, il retourna s'assoir, posant sa tete sur l'epaule de la jeune fille. Il n'avait pas rouvé de reponses a dire. Il se sentait d'autant plus mal. Il ne savait vraiment pas quoi faire. Il sauta cette relique^^, ^pour pouvoir dire ensuite:

Euh moi? J'habite un tite maison dans la banlieu de Londres. Mon père était un champion sportif, mais moi, je ne suis qu'une merd...

Il se mit a tousser doucement, faussement, pour masquer ce qu'il allait dire. Plus il fumait, moins bien cela allait...Contrairement a l'habitude.

Julia ne s’attendait pas du tout à ce que Matabe se lève pour aller fumer.
Elle s’appuya alors le dos au mur, elle était désespérée de ce cas, ne savait plus du tous quoi faire pour lui faire entendre raison.
Elle le regarda alors tourner en rond dans le hall en train de fumer, se disant qu’il ne servait à rien d’intervenir. Pourtant elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il avait absolument besoin de ça…

Il revint alors s’asseoir et posa sa tête sur son épaule, Julia était un peu surprise et étonnée mais elle ne dit rien, elle se contenta de sourire, ce garçon était plutôt mignon, c’était simplement dommage qu’il en soit arrivé là…

Sa réponse ne la surpris pas vraiment, elle commençait à le comprendre un peu plus.
Elle lui sourit et prit un air désespéré en levant les yeux au ciel

« Mais tu dit n’importe quoi ! Tu n’es pas une merde !Et même si je ne te connais pas bien j’en suis persuadé. »

Julia lui sourit puis regarda tout autour d’elle dans le vaste hall désert.
Elle avait envie de bouger un peu, de faire quelque chose d’autre que de rester là à le regarder fumer. Elle se leva alors joyeusement et proposa d’un air enthousiaste

« Tu ne voudrais pas qu’on aille faire un tour ? Visiter le château ou aller dans le parc !? »

Elle pensait que peut-être cela lui aèrerait les neurones, et le ferait un peu arrêter de s’apitoyer sur son sort… Peut-être même qu’ils pourraient trouver un terrain d’entente… ? Peut-être même que Matabe pourrait se sentir bien l’espace d’un instant.
Elle attrapa alors son livre qu’elle avait posé à coté d’elle et le serra contre sa poitrine, prête à partir, elle avait retrouver un peu de motivation.

Puis se rappelant qu’il fallait qu’elle retourne en cour ensuite elle regarda sa montre, et fronça les sourcils, il lui restait encore plus d’une heure, ils avaient le temps.
Elle le regarda alors avec un grand sourire attendant sa réponse, et puis s’il ne voulait elle irait à l’infirmerie puis partirait en cours, ce n’était pas très grave.

Julia regarda étonné Matabe se lever pour aller vers la porte.
On aurait dit que le fait d’aller dans le parc l’avait complètement transformé, d’ailleurs elle ne reconnaissait plus vraiment le Matabe un peu déprimé de quelque instant, à peine, auparavant.

Il avait prononcé de jolies paroles, on aurait dit un poète, peut-être l’était-il après tous… Elle l’imagina bien poète ou artiste, peintre, peut-être avait-il un don, elle lui demanderait en tout cas, mais pas maintenant.

Julia retrouva elle aussi le sourire en le voyant ainsi, revigoré.
Elle se dit qu’elle allait peut-être le découvrir d’une autre façon, un peu plus joyeux, un peu plus poétique, plus ‘vivant’.
Elle le regardait alors dans l’embrasure de la porte, un sourire aux lèvres, ce garçon était spécial.

Elle s’avança alors vers lui, ses paroles la sortant de son observation un peu trop poussé.
Un fois près de lui elle regarda par la l’ouverture de la porte, le ciel c’était un peu éclaircit, et la neige avait fondu au soleil, sauf dans les endroits sombre ou elle s’était changé en glace.
Ce n’était pas encore un paysage printanier mais sa n’allait pas tarder.
Julia n’était pas une grande fervente de la nature mais elle ne la détestait pas non plus, c’était un sujet qui ne lui faisait ni chaud ni froid.

Un vent froid lui parvint elle frissonna de tous son long et referma un peu plus son écharpe autour de son coup.
Ne pensant pas qu’elle ferait un tour dehors aujourd’hui elle n’avait pas pris la peine de prendre sa cape doublée de fourrure qui lui tenait bien chaud par ce temps, elle la regretta un peu.

Elle regarda Matabe et ajouta d’un ton joyeux
« Ben alors on y va !? »
Elle se mit alors à rire, attendant qu’il mette le pied dehors en premier.


HJ : on poste la suite dans le parc ? A toi l’honneur. ^^