A la recherche de quelqu'un [ Libre ]

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La hall d’entrée… Drôle d’endroit pour une personne qui n’aimait pas la foule. Même si la petit vingtaine d’élèves de toutes maisons ne faisaient rien de bien spécial pour effrayer le monde. Collés contre les murs ou bien en plein milieu du chemin, ils parlaient tous de bon cœur ou s’engueulaient comme des enfants de 5ans. Rien ne semblait les déranger ou bien attirer leur attention. Ils étaient tous dans leur petite bulle de conversation avec des amis. La grande porte qui donnait sur l’extérieur s’ouvrait de temps en temps, laissant passé des personnes assez pressée pour se rendre dans des endroits qui étaient inconnus aux gens.

La porte s’ouvrit une nouvelle fois, faisant entrevoir un garçon qui marchait la tête baissée. Le capuchon sur la tête, il ne pensa pas à l’enlever quand il fut sous un toit plus que protecteur pour empêcher la pluie de tomber à l’intérieur du château. Il fit quelques pas vers le centre de la pièce puis, il tourna sur lui même pour observer les lieux, comme il le faisait quand il s’ennuyait. La pièce n’avait pas changé d’un poil depuis son dernier passage qui datait de quelques heures. La plafond était toujours aussi haut au dessus des têtes et les bougies accrochées aux murs n’étaient pas éteintes. Juste leur taille avait un peu baisser sous la fonte de la cire. D’autre encore étaient toutes nouvelles preuve que certains de ces bâtons de cire avaient finit leurs courses folle vers la voie de l’illumination.

La garçon assez jeune leva sa tête vers le plafond, faisant tomber au passage sa capuche en arrière. Ses cheveux noirs étaient maintenant visibles et l’on pouvait voir qu’ils étaient mouillés sûrement à cause de la pluie. Cela leurs donnait un reflet plus brillant que d’habitude et quelques mèches rebelles étaient maintenant collées contre le front de l’élève. Il ralla quand il sentit l’humidité sur son front. Il avait horreur de ne pas se sentir sec. Cela lui rappelait ce dont il avait le plus horreur : l’humidité. Cela ne tuait pas un homme, certes, mais cela grattait énormément quand on ne se dépêchait pas de les séchés.

Il déposa ses yeux noirs sur une fille qui lui faisait dos. Elle semblait bien s’amuser. Pendant un moment, il aurait voulu allez lui parler pour s’amuser un peu juste avant de lui faire un mauvais coup. Mais l’acte qu’il venait de faire il y a peu de temps ne lui donnait pas vraiment envie de recommencer. Qu’avait-il fait, c’est sûrement ce que vous pensez. Et bien, il a juste été faire un tour du côté du lac. Le bas de son pantalon montrait effectivement qu’il avait été dans un lieu mouillé. Pas dans une des nombreuse flaques qu’il y avait dehors, mais dans une étendue d’eau plus grande. En se souvenant de ce qu’il avait fait, il sourit. Cet être plus que sadique avait en effet fait un mauvais coup, plus que très bas.

Il reporta son attention sur la jeune fille qui semblait avoir prit la poudre d’escampette sans qu’il ne s’en rende compte. Soudain frustré d’avoir perdu sa « proie », il se mit à marcher vers la grande salle. Mais il se retint, ce disant qu’il la verrait sûrement une autre fois. Il se retourna alors, faisant dos à la porte qui menait vers la grande salle, scrutant du regard les élève quand il vit quelqu’un tomber devant lui. Il se dit que c’était la chance de la journée. Il se précipita donc, comme tout bon gentleman vers la personne qui venait de faire tomber ses livre, en même temps qu’elle. Il ramassa les bouquin, tendant la main à la personne devant elle en lui adressant un sourire franc.

« Rien de cassé ? »

Nathalie était tranquillement assise dans la Salle Commune de Gryffondor, sur un fauteuil pour essayer d'économiser le plus de force possible pour ne pas être forcée de manger quelque chose car elle ne s'en sentait toujours pas capable malgré ce que l'infirmier lui avait dit, qu'elle aurait pu avoir quelque chose de bien plus grave qu'un malaise et même qu'il en était étonné qu'elle n'ait eut qu'un simple malaise, ca aurait pu être plus grave et la façon dont il l'avait dit à Nathalie, sa voix était ferme et douce en même temps, comme pour persuader Nathalie de manger quelque chose ce qui était tout à fait normal vu que c'était son métier de veiller au bien être des élèves de Poudlard qui étaient mal en point. Et Nathalie devait sûrement être la première patiente de ce genre qu'il reçoit à l'infirmerie ce qui était plutôt rassurant car ce n'était pas bon de faire ce que Nathalie faisait même si elle le savait, elle n'en pouvait rien. Elle n'arrivait plus à manger normalement et donc elle ne mangeait plus depuis bien longtemps, enfin si elle mangeait mais la même quantité qu'un bébé ou une souris. Elle ne savait vraiment pas ce qu'elle pouvait faire.

Elle décida alors d'aller faire un tour, marre d'être toujours dans la Salle Commune de Gryffondor alors qu'elle ne savait plus faire quoi que ce soit dans cette Salle Commune si calme pour le moment. Elle ne savait pas ce qu'elle allait faire et elle décida donc d'aller dans le parc ou essayer une fois de plus, de manger quelque chose à la Grande Salle même si elle connaissaît déjà le résultat, elle n'arrivait pas à prendre quoi que ce soit et elle sortirait de la Grande Salle comme elle y était venue, sans se faire voir et sans que quelqu'un lui parle. Emme prit quand même ses livres de cours au cas où elle arriverait à étudier avec l'énergie qu'elle avait. Elle avait prit son livre de méthamorphose et un autre livre pour pouvoit lire ainsi qu'un bloc de feuille et un crayon et aussi une gomme pour pouvoir dessiner si elle allait aller dehors. Elle déscendit de la Salle Commune, remarquant que le temps n'était pas trop favorable à une sortie dehors, elle ne retourna pas en arrière et elle continua son chemin sans s'arrêter avec ses affaires et en souriant à quelques élèves plus jeunes qu'elle qui lui souriait bien qu'elle ne les connaissaît pas. C'était toujours un plaisir de voir autant d'élève qui pouvait être gentil et aimable quelques fois. C'était vraiment bien, malgré certains élèves qui ne pouvaient s'empêcher de se moquer d'elle, quelques Serpentards qui la voyait et lui faisait des croches-pieds pour qu'elle tombe et comme elle était une Gryffondor, ca lui pas mal de fois en une journée bien qu'elle se retenait toujours et qu'elle ne tombait que rarement.

Nathalie se dirigea alors vers la Grande Salle comme elle avait prévu de le faire en espérant pouvoir manger un peu mais bien sûr, elle savait qu'elle n'y arriverait pas. Le sol était fort mouillé parce que plein d'élèves étaient rentrés en vitesse à cause de la pluie qui tombait depuis quelques minutes à présent. Nathalie se dirigea alors vers la porte de la Grande Salle pour pouvoir y entrer et trouver un endroit tranquille pour pouvoir dessiner ou un peu lire. Mais soudain, elle fut bousculée par quelqu'un et elle tomba en laissant tomber ses livres et son sac, petit mais un sac quand même, dans lequel elle avait mis son plumier qui contenait les affaires dont elle avait besoin pour déssiner et son bloc de feuille, elle avait seulement fait tombé son livre de méthamorphose et encore un autre livre. Quelqu'un l'aida à ramasser ses livres et l'aida ensuite à se relever en lui tendant la main, elle hésita un peu avant de prendre cette main car peut-être que cette personne lui réservait encore une mauvaise surprise. Elle prit quand même la main et elle répondit alors à la personne qui venait de s'adresser à elle en lui demandant si elle allait bien, si elle n'avait rien de casser.
"Non ca va, j'ai déjà eu pire... Merci pour le coup de main..."
Elle lui rendit le sourire qu'il lui avait donné et elle se frotta un peu en frottant un peu plus à un endroit où elle s'était fait un peu mal en tombant mais rien de grave. Elle avait des habits normaux bien qu'elle avait quand même mis sa cape comme c'était le réglement à Poudlard. Le garçon, la personne qui l'avait aidé, lui portait une sorte de cape et il avait les cheveux un peu trempés, signe qu'il avait été dehors alors qu'il pleuvait encore ou alors, il avait été surpris par la pluie.

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Noah observa un moment la jeune fille. Cheveux bruns, yeux bleus… Elle lui rappelait quelqu’un, mais il ne savait plus trop qui. D’un côté, c’était normale puisque il croisait pas mal de monde dans cet école. Et il ne serait pas étonné de l’avoir vu du coin de l’œil à un moment ou un autre dans un des couloirs ou pendant un cours, si elle était bien dans la même année que lui, ce qui ne l’étonnerait pas. En y réfléchissant un peu son physique –à moins qu’elle ai raté une année, en étant obligée de redoublée- Il lui donnait son âge : 14ans. Mais il pouvait se tromper.

Il lui prit la main et l’aida à se relever. Tout en tenant les livres d’une autre main, il la souleva d’un bon, lui faisant maintenant face de très près. Comme il se doutait que la proximité des deux jeunes gens, il se recula en d’un pas facile et essayé. Maintenant, il pouvait mieux voir la jeune fille qui était devant lui. Il était sur et certain qu’il l’avait déjà croisé dans ce bâtiment, il n’y avait plus de doute. Et du coup, il voulait savoir en quelle année elle était. Il laissa cependant sa question en suspend, se disant bien qu’il découvrirait la réponse sous peu. Sur sa tenue, il remarqua la blason rouge et or, digne de la maison des Gryffondor. Il n’eu, étrangement, aucune réaction de dégoût visible sur son visage, ce qui aurait bien pu surprendre les personnes de sa maison.

Il la regardait avec un sourire franc et désolé pour la chute de la Gryffondor. Il avait bien vu la personne qui avait joué le rôle de du petit engrenage pour que la jeune fille se retrouve au sol. D’ailleurs, cet élève, qui les observait du coin de l’œil, tout en parlant au petit groupe dont il était le principal centre d’intérêt, il se ventait d’avoir réussi un tel exploit pour cette journée. Noah lui adressa un regard noir après s’être juré de lui rendre le monnaie de sa pièce un peu plus tard.

Il regarda les livres de la jeune fille, si elle ne se rendait pas à son cours de métamorphose, elle allait être en retard sauf que elle se dirigeait vers la grande salle. Alors cela l’aurait bien étonné qu’elle ai un cours à cet instant ou dans quelques minutes. Il ne pouvait pas savoir l’heure qu’il était car il avait horreur de vivre en comptant les secondes par finir par ne plus savoir ce qu’il devait faire. Alors, montre et compagnie, il laissait tout cela de côté, même si parfois, il lui arrivait d’arriver en retard à certain endroit. Mais il s’en fichait comme de sa première chemise ( Et vous dire, elle a été perdue peu de temps après qu’il l’ai enfilé à son pied) Et heureusement, rien ne l’avait amené à vouloir s’acheter une montre.

Il reporta son attention sur le jeune fille quand il se rendit compte qu’il avait été absent pendant quelques minuscules secondes, plongé au plus profond de ses pensées. Qu’entendait-elle quand elle disait qu’elle avait déjà vécu pire ? Qu’elle était le souffre douleur de plusieurs personne ou qu’elle vivait ce genre de petites blagues depuis déjà assez de temps. Il ne le saurait sûrement pas, il n’en doutait pas. Cependant, au plus profond de lui même, il avait de la compassion pour elle. Lui aussi avait vécu pas mal de chose étant jeune. Enfin, on ne pouvait pas dire que s’était lui, s’était son « autre » lui voilà tout. En repensant à ses épreuves, il se toucha le bras, se rappelant la nuit qu’il avait vécu en tant qu’être liber. Si on pouvait dire ça…

« Ce n’est rien. Je ne vois pas pourquoi personne ne t’aurai aider »

Il jouait la carte du parfais gentleman, s’effaçant toujours sous une tonne de courtoisie ridicule et compagnie. Il avait déjà joué ce jeu avec le vous. Il avait crut qu’il aurait vomit de ridicule. A dire que chez certaine personne, cela faisait partie de la grande classe… Cela valait peut être mieux de se mettre sous une sac brun pour ne pas que l’on voit son identité. Mais bon, il était obligé si il voulait arriver à ses fins. Et comme il s’amusait toujours autant.

« Si tu veux mon avis, je trouve leur réaction stupide. »

*Mais tellement amusante…*

Il répondait avec un petit temps de décalage infime pour pondre ses réponse très courtoise. Mais dans le temps réel, cela était vraiment inexistant. Toute personne qui ne le connaissait pas pouvait juré qu’il avait été élevé dans une maison assez riche, même si ça n’était pas le cas.

[HJ: Je te promets pas un long RP, pas trop inspirée ce soir...]

Nathalie s'en voulait un peu d'être tombée si facilement, elle devait s'y attendre parce que depuis quatre ans maintenant, elle avait beaucoup eu ce coup-là, un croche-pied pour la faire tomber et elle en avait un peu marre mais elle ne savait rien y faire, à part bien sûr crier après la personne qui lui avait fait ce croche-pied mais à quoi cela lui servirait?... A rien du tout surtout qu'elle était très faible donc crier sur quelqu'un allait la rendre encore plus faible et ce n'est pas ce qu'elle voulait sinon elle aurait encore plus dûr à suivre les cours. Elle regardait ensuite le garçon qui se tenait devant elle, ou plutôt au dessus d'elle et qui lui tendait la main. Il lui rappellait quelque chose mais elle ne savait pas où elle l'avait vu. Elle se demandait bien où elle l'avait vu bien que l'école de Poudlard soit fort grande et par conséquent, elle contenait beaucoup d'élève et tous de visages différents sauf peut-être les jumeaux mais c'était vraiment exceptionnel d'en voir un, il y en avait peut-être deux sur dix personnes. Donc Nathalie ne voyait vraiment pas où elle avait vu ce jeune garçon qui se tenait devant elle, plus haut mais devant elle. Elle remarqua qu'il n'était pas si jeune que ça, il devait avoir plus ou moins le même âge mais elle n'en était pas sûre du tout, c'était juste au premier regard, on pourrait croire qu'il avait le même âge qu'elle.

Nathalie prit la main que lui tendait la jeune homme qui était là et il la souleva d'un seul bond, sans la tirer fort pourtant, elle était très légère donc ca n'avait pas dû être très dûr pour lui de la soulever. Surtout depuis qu'elle mangeait moins, elle espérait tout de même que ca ne se remarque pas sur son visage par une paleur qui pouvait s'y trouver. Surtout pour ses amis qui savaient qu'elle était d'origine espagnole et dés que le jeune garçon lui demanderait son nom et son prénom, il verrait bien qu'elle était un peu pâle pour une jeune fille d'origine espagnole. Elle ne pouvait plus manger quoi que ce soit. Pourtant elle le devait, elle avait peur à présent, surtout depuis ce que lui avait dit l'infirmier, que si elle continuait comme ca, elle risquait quelque chose de bien plus grave que l'évanouissement, que ce qu'elle avait donc eu et qui l'avait amenée directement à l'infirmerie pendant quelques jours.

Elle remarqua aussi le regard du jeune garçon se poser sur la cape qu'elle portait et ensuite sur le blason qu'il y avait sur sa cape. Le blason de Gryffondor. A son grand étonnement, le jeune garçon n'eut aucune réaction et d'habitude, il y a toujours une réaction de dégoût pour les personne qui étaient à Serpentard envers les Gryffondors. Nathalie connaissaît de plus en plus de Serpentards qui n'étaient pas vache avec les Gryffondors ce qui ne lui déplaisait pas du tout, c'était même tout le contraire et elle avait une joie intérieur qui se réveillait en elle. Elle était vraiment contente, peut-être que les Serpentards et les Gryffondors ne seraient pas en train de se battre constamment bien que ce soit peine perdue. Nathalie n'était même pas sûre et certaine qu'il n'était pas comme les autres Serpentards, mis à part qu'il n'avait rien dit sur le fait qu'elle soit à Gryffondor mais elle pouvait aussi se tromper sur sa maison. Mais la façon dont il était habillé montrait qu'il était à Serpentard et non dans une autre maison.

Nathalie vit le sourire que lui jetait le jeune garçon. Il avait l'air franc et désolé. Nathalie lui rendit le sourire mais bien sûr, pas franc et désolé mais il voulait dire que ce n'était rien de toute façon, elle avait un peu l'habitude d'avoir mal même si quand elle tombait, ca lui coûtait beaucoup. Elle avait besoin d'énergie pour se lever et chaque mouvement lui demandait de l'énergie. Elle souffrait un peu plus de chaque fois qu'elle tombait mais ce n'était pas trop grave, elle retournerait à l'infirmerie bien que l'infirmier ne serait pas content du tout de la revoir tout simplement parce que ca voudrait dire que Nathalie n'avait pas fait d'effort pour remédier à la situation concernant le problème de la nourriture.

Nathalie jeta un regard en arrière pour voir celui ou celle qui l'avait poussé et fait tomber. Elle remarqua que le jeune garçon faisait la même chose qu'elle, il avait même lancé un regard noir à une personne et Nathalie devina que c'était cette personne qui l'avait fait tombée. Il porta alors son regard sur les livres de Nathalie, remarquant qu'elle avait un livre de méthamorphose, du moins pour le cours, et il avait l'air de se demander ce qu'elle faisait ici, ou plutôt, ce qu'elle allait faire, si elle se rendait à son cours de méthamorphose ou non. Il avait remarqué qu'elle se rendait dans la Grande Salle et donc il ne s'agissait pas d'aller en cours pour elle mais bien d'aller manger ou tout simplement d'aller à la Grande Salle mais sans manger car elle n'y arriverait pas.

Nathalie avait dit qu'elle avait déjà vécu pire que ce qu'on venait de lui faire. Elle avait peut-être été fort vaste dans ce qu'elle avait dit mais quand elle dit ca, qu'elle avait déjà vécu pire que ca, elle pensait à la mort de ses parents et quand elle s'était évanouie dans les couloirs en ayant une immense chance de tomber sur quelqu'un qui l'avait vu tomber dans ce couloir inconsciente. Elle ne vivait pas ca tous les jours, quelqu'un qui l'embêtait mais elle avait déjà eu de sals coups rien que parce qu'elle était une Gryffondor. Le garçon fit une remarque ou plutôt répondit à ce qu'elle avait dit quelques secondes avant. Pourquoi on ne l'aurait pas aidé?... Tout simplement parce qu'elle faisait partie de la maison de Gryffondor. Elle lui répondit alors.
"He bien on ne m'aurait pas aidé tout simplement parce que je suis à Gryffondor. Et beaucoup de personne ne jugent que par la maison."
Nathalie trouvait qu'il ferait un parfait gentleman si il y avait un métier dans le monde magique qui demandait d'avoir cette facette là, il l'aurait tout de suite, du moins elle pensait ca au premier regard mais elle n'avait pas l'habitude de juger au premier regard. Elle apprenaît d'abord à connaître les gens puis seulement elle se faisait une idée du caractère de la personne. Nathalie trouvait malgré tout que le garçon était un peu trop gentleman pour que ce soit... Vrai. Elle l'écouta alors parler puis elle lui répondit, en sentant qu'il avait une pensée mais Nathalie ne savait pas ce qu'il pouvait penser. Quoi que, il pouvait avoir trouvé ca amusant que quelqu'un tombe par terre, surtout pour un Serpentard. Nathalie lui répondit alors.
"Non ce n'est rien. Ca ne sert à rien de lui en vouloir, il y a des choses bien plus importantes que ca pour lesquelles je ne pardonne pas vraiment, même pas du tout..."
Elle trouvait que c'était un peu bizarre qu'il soit si courtois mais après tout, peut-être que c'était possible qu'il y ait quand même quelques Serpentards qui soient gentil et qui n'ait pas un vrai caractère de Serpentard. Nathalie souriait au jeune garçon qui se tenait devant elle, attendant un réponse ou une quelconque réaction de sa part.

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Noah trouvait que la jeune fille bougeait assez faiblement, comme si elle avait été tirer du lit très tôt le matin. Lui aussi il faisait cette tête d’enterrement quand il avait été obligé de se défaire de l’étreinte de Morphée pour une raison plus stupide que la précédente. Et à chaque fois, il finissait par rester planté là, laissant la personne qui devait s’occupé de lui en plan. Il avait horreur de devoir faire toute chose qu’il ne voulait pas, donc, s’était une vrai tête de mule quand il n’était pas de bonne humeur. Et il fallait juste dire « bonne chance » pour la personne qui devait s’occupé de lui. Car non seulement, il était désagréable, mais en plus, il faisait tout et n’importe quoi pour mettre des bâtons dans les roues de son ou sa responsable.

Mais bon, il était possible qu’il se trompe, devant la mine blanchâtre de la jeune fille. Mais elle n’était pas plus blanche que sa propre peau. Parfois, on le qualifiait d’albinos en rigolant. Il ne le prenait jamais à la rigolade cette étiquette. Alors, la personne digne de ces stupides surnom se trouvait avec un grand bobo morale ou physique comme récompense de sa trouvaille. Il se pouvait aussi qu’elle soit malade. Mais elle n’en avait pas l’air. Elle devait venir d’un pays où il faisait très froid pour ne pas mettre son nez dehors et ainsi avoir la peau blanche. Il n’avait cependant pas suivit de cours qui parlait des pays du nord, donc, il ne pouvais pas savoir que ce qu’il pensait était juste. Et il aurait bien été étonné de savoir que s’était parce que la jeune fille était malade qu’elle avait cette couleur de peau. Il se serait bien inquiété, mais étant dans l’ignorance total, il se remit à la contemplation des livres de la jeune fille. Habituellement très curieux, il aurait ouvert le livre, pour lire. Mais il se souvint qu’il avait le même quelque part dans sa chambre. Il finirait bien par savoir ce qui se cachait dedans avec un peu de patience. Mais le problème était là, il n’avait pas de patience. Alors cela allait être dur de ne pas se retenir. Il allait quand même essayer, pour repousser ses limites. Il mit les bouquins sous son bras, évitant à la Gryffondor de les porter.

Il se doutait bien que son comportement était étrange pour un Seprentard. Et il y avait de quoi. Mais il n’était pas du genre à dire la vérité à la première personne qu’il croisait. Il devait juste trouver une explication digne de lui. Et elle était déjà toute pondue. Il allait joué la carte de l’enfant qui comprenait la douleur de l’autre personne, lui expliquant brièvement ce qu’il avait vécu étant jeune. Cela aurait pu paraître bizarre pour certain que quelqu’un raconte sa vie aussi vite, sans même s’être présenté ni rien. Il pouvait bien se permettre d’attendre un peu plus longtemps pour préparé son coup. D’ailleurs que quand il s’agissait de jouer à ce jeu, il était très doué. Il lui suffisait d’être très calme. Enfin, aussi calme que ce qu’il était quand il n’y avait rien de spécial en vue.

Il écouta la jeune fille avec toute l’attention qu’il avait même si il regardait le garçon du coin de l’œil très discrètement pour surveillé ce qu’il faisait, en espérant qu’il ne vienne pas par ici. Ce que faisait généralement les personnes de son envergure pour savoir comme allait la personne, en profitant pour l’humilier une fois de plus sans qu’elle ne se rende compte du sal coup qu’il avait préparé. Mais pour le moment, il semblait se tenir à carreau. Il n’avait donc pas de raison de s’inquiété, même si il était toujours sur ses gardes. Il trouvait cela bête que les Serpentards s’en prennent toujours aux Gryffondor. De un, il n’en valait pas tellement la peine car il suffisait de balancer toujours les même répliques bidons pour rigolé pendant quelque minutes, et de deux, il y avait des personnes beaucoup plus intéressante du côté des réactions à venir dans les autres maisons. D’ailleurs, c’est ce qu’il avait fait avant de se rendre à l’intérieur pour savourer intérieurement sa victoire sur la Poufsouffle qu’il avait gentiment ridiculiser près du lac. Si pas dire, complètement dans l’eau. C’était pour ça que le bas de son pantalon était mouillé il qu’il y avait toujours une petite tache d’eau après chaque endroit sec où il passait. D’ailleurs, il se retourna pour voir si les petites taches d’eau étaient toujours présentes. Il en voyait quelques unes, mais la plupart avait disparues, écrasées par les personnes qui passaient par là, ou tout simplement effacé sous des pas des personnes qui passaient par ici à toute vitesse.

« L’habit ne fait pas le moine. Ce n’est pas parce que l’on porte le blason d’une des maison qu’elle est la plus mauvaise. Je vois ça comme le raciste moi… »

C’est vrai que la ressemblance était de temps en temps assez frappante car les gens se fichaient bien de savoir ce qu’elle ressentait, du moment qu’elle soufrait et qu’elle était dans tel maison. Et là, c’était toujours les élèves de Gryffondor qui se faisant passé pour les souffre douleur, et les Serpentards comme les méchants. Mais parfois, cela pouvais être aussi la faute d’une autre personne. Les tordus ne sont pas tous chez Serpentard. Et il voyait bien que la jeune fille ne croyait pas trop à son manège. Cela se voyait que le nez en face de la figure. Il allait devoir se faire moins courtois. Mais à la première approche, il faisait toujours ça, vérifiant de ne pas être trop grossier pour faire fuir la personne. Même si dans de rares cas, les manières qu’il utilisaient faisaient fuir une personne. Il se retrouvait à ce moment bluffé de part en part, ne sachant vraiment pas ce qui lui arrivait.

*Tu devrait te regarder dans une glace…*

Il rigola intérieurement, en entendant cette petite voie. C’est vrai qu’elle n’avait pas tord cette conscience, mais lui, il n’en pouvait rien. Il n’avait pas choisit l’endroit où aménagé. Même si il devait le reconnaître, il n’aurait pas su tombé mieux pour le moment. Un petit garçon qui à la vie dur et qui la voie s’épanouir après quelques années de dur labeur. C’était digne d’un histoire d’un best-seller. Son histoire aurait fait la une de toutes les ventes. Il aurait bien voulu se faire des idées sur cela, mais il savait pertinemment que ce n’était pas faux. Le monde d’aujourd’hui n’était plus que fasciné par la douleur et la tristesse. Et Noah aurait bien faillit d’être l’exemple même en entendant la réponse de la jeune fille par rapport aux actes impardonnables. Il du remballé une fois de plus sa curiosité dans une boite pour ne pas l’ouvrire. Ou pas maintenant.

«je suis bien d’accord avec toi. Et je suis aussi bien placé pour le savoir. »

Comme il se doutait bien qu’elle allait être étonné d’entre cela, il se préparait à répondre avant qu’elle ne pose de question, lui évitant ainsi de gaspiller sa salive pour rien.

« Cela peu paraître étrange, je sais. parfois, faire partie de tel où tel maison peu avoir un désavantage. Ce n’est pas parce que une des maison à une étiquette qu’elle est la même pour ceux qui sont dedans. »

Il aurait bien prit l’exemple des praline noir où tu découvre qu’elles sont blanches à l’intérieurs à dire que l’on pensait qu’elles étaient toutes noirs. En pensant à cela, il eu l’eau à la bouche. Du coup, il avait envie de chocolat. Beaucoup de chocolat sous toute les formes pour le manger. Mais ce n’était qu’une envie et non un besoin. Donc, il laissa sa gourmandise rêvé, le temps de se rendre dans sa chambre pour trouver une petite gourmandise à se mettre sous la dent.

Il changea les livre de bras, sentant qu’il commençait à en avoir marre de le tenir du côté droit. Il les prit dans ses mains en les faisant tourné une ou deux fois puis il le remit de l’autre côté. Ces livre titillaient vraiment sa curiosité. Il du néanmoins se résoudre à les remettre sous son bras gauche, reprenant sa discutions avec la jeune fille.

« Au fait, moi c’est Noah, et toi ? »

Il lui tendit sa main en attendant qu’elle la sert tout en se saluant elle même. Du moins, il l’espérait.

Nathalie regardait toujours le jeune garçon qui se tenait devant elle et qui tenait ses livres. Il ne les lui avait pas encore rendu mais après tout, ce n'était que des livres et du moment qu'il ne les jetait pas par la fenêtre ou qu'il ne fasse pas quelque chose de la sorte, elle ne voyait pas pourquoi elle serait dérangée qu'il tienne ses livres. Il avait l'air de vouloir absolument voir ce qui était à l'intérieur de ces livres, il était curieux apparemment et Nathalie l'était aussi mais elle avait calmé sa curiosité après ce qu'il lui était arrivé comme mauvaise expérience. Cette expérience, c'était tout simplement le soir où elle était descendue car elle avait entendu un bruit étrange et des voix au salon ou plutôt, en bas de l'escalier, si elle n'était pas allée voir, il ne se serait peut-être rien passé ou au contraire, elle ne serait peut-être plus de ce monde. En repensant à ca, elle retomba automatiquement dans un flash back du soir où ses parents sont morts. Elle ne savait pas résister, c'était déjà trop tard, elle regardait toujours le jeune garçon qui était devant elle mais elle avait l'air un peu plus absente d'esprit.

Flash Back.
Nathalie est dans sa chambre, elle dors paisiblement et est encore toute jeune. Elle se voit encore dans ses draps blanc et soudain, elle entend un bruit. Elle décide alors de descendre, mauvais choix. Elle rampe à plat ventre car elle entend des voix et ce n'est pas la voix de sa mère ou de son père, non, c'était la voix de son Oncle. Elle s'approche encore et encore. Elle arrive au dessus du palier et se fait toute petite pour regarder la scène. Elle voit son père et sa mère, menacés d'une baguette qui est tenue par son Oncle. Ils n'ont pas la leur et sont sans défences, mais ils font face, on dirait qu'ils refusent de dire quelque chose ou qu'ils cachent quelqu'un, mais qui, qui d'autre y a-t-il dans cette maison. Tout simplement Nathalie mais elle est bien trop jeune pour comprendre ça. Elle regarde la scène puis on voit l'Oncle de Nathalie marcher en direction de la porte d'entrée, tenant toujours fermement sa baguette et la pointant vers les parents de Nathalie. Elle se demandait ce qu'il se passait et se sentait un peu plus paniquée, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire, ce qu'elle pouvait faire, la seule chose qu'elle savait, c'était que ses parents étaient en danger, en grand danger. L'Oncle de Nathalie ouvre alors la porte et on voit quelqu'un de masqué entrer. Cette personne fait penser à la mort à des kilomètres à la ronde, Nathalie sait de qui il s'agit, il s'agit de Voldemort en personne. Il dit alors à l'Oncle de Nathalie quelque chose, il lui dit de tuer ses parents, Nathalie se redresse un peu et sa mère la voit mais elle ne réagit pas, elle sait que sa fin est proche et Nathalie lance un regard à sa mère, elle veut descendre mais comment, est-ce que c'est une bonne idée?... La mère de Nathalie la regarde alors, elle lui lance une parole, sa dernière parole ou plutôt, ses dernières paroles ; "Je t'aime, prends soin de toi..."
Nathalie ne sait plus ce qu'elle doit faire, elle voit son père mourir, son Oncle a lancé un Avada Kedavra sur lui, puis, il vise sa mère et reproduit la même chose. Elle crie un peu mais elle se fait remarqué et malgré qu'elle a les yeux pleins de larmes, elle court, court sans s'arrêter.

Nathalie ressort alors de ce flash back et elle porte un main à son visage, elle a les larmes aux yeux mais les essuie rapidement en espérant que le jeune garçon ne remarque rien malgré qu'il avait l'air de se poser des questions, et pas de simples questions. Surtout qu'elle avait pleuré d'un coup, sans prévenir et sans raisons apparentes, il devait sûrement se demander pourquoi elle pleurait et elle lui répondrait si il lui posait la question bien que ce soit personnel mais elle n'avait rien à cacher, à part bien sûr d'échapper à Voldemort et de rester en vie ce qui n'était pas gagné si elle restait comme ca, sans manger quoi que ce soit ou du moins un vrai repas. Elle essayait de rassurer le jeune garçon qui lui lançait, ou du moins il semblait, des regards interrogatifs à Nathalie. Elle voulait lui dire que ca allait, que ce n'était rien de bien grave. Enfin rien de bien grave, si elle avait perdu ses parents mais ca faisait longtemps et même si elle avait une blessure profonde en elle qui était inguérrissable, que pouvait-elle faire pour ca, rien.

Nathalie ne remarqua même pas quand le jeune garçon se retourna un peu pour voir quelque chose. Perdue dans ses pensées, elle regardait mais sans réagir, essuyant encore ses larmes qui devait s'arrêter de couler car ca l'épuisait aussi. Elle entendit alors qu'il lui parla, il lui dit quelque chose qui ressemblait fortement à un proverbe moldu et même, c'était un proverbe moldu, elle en doutait au début même si elle connaissaît ce proverbe. "L'habit ne fait pas le moine", combien de fois n'avait-elle pas entendu cette phrase, au début, elle ne la comprenait pas du tout, c'est que quand sa mère lui avait expliqué ce que voulait dire cette phrase qu'elle sû ce que ca voulait dire et depuis, elle n'avait plus oublié cette signification. Elle écouta donc ce que lui dit le jeune garçon en approuvant ce qu'il disait surtout au point de vue que c'était un peu rasciste mais si le Choixpeau a envoyé tel élève dans telle maison, c'est qu'il a le caractère de cette maison, c'est juste que chez certains élèves, le caractère ressortait plus que chez d'autres. Mais il avait raison sur la plupart des points qu'il avait dit. Nathalie lui répondit alors.
"Je suis d'accord avec toi pour ca. Mais il n'y a pas de maison la plus mauvaise, toutes les maisons sont bonnes. Bien sûr, il y a des maisons qui sont réputées mauvaises, mais ce n'est pas vrai, c'est juste que tout le monde les évite ou plutôt l'évite par sa réputation."
Le jeune garçon lui dit alors par rapport à ce qu'elle avait dit sur certaines choses qu'elle ne pardonnaient pas, il avait l'air de vouloir savoir de quoi il s'agissait et elle commenca à savoir qu'il devait être de nature très curieuse et il n'en pouvait sûrement rien. Mais c'était quelque chose de tout simple pour lequel elle ne pardonnait pas. C'était la mort de ses parents, Voldemort qui avait fait tuer ses parents, ca elle ne lui pardonnerait jamais, elle se foutait bien des conséquences, même si elle n'avait plus l'appêtit et qu'elle ne savait pas du tout pourquoi elle ne savait plus manger et peut-être même qu'elle ne voulait plus manger à présent malgré ce que lui avait dit l'infirmier.

Nathalie savait à l'expression du visage du jeune garçon que celui-ci avait deviné qu'elle ne croyait pas trop à ce qu'il faisait, qu'il réservait quelque chose ou qu'il essayait de ne pas la faire fuir mais Nathalie n'allait pas fuir pour ca, elle s'était retrouvée avec une professeur, coincée dans les couloirs sans possibilité de faire demi-tour et elle n'avait pas fuit même si elle en avait eut l'occasion plus d'une fois lorsque la professeur s'était mise sur le côté ou plutôt, s'était adossée au mur comme pour essayer d'intimider Nathalie surtout quand elle avait regardé ses ongles de façon à faire voir qu'elle n'était pas contente du tout. Cette escapade nocturne lui avait d'ailleur coûté une punition : ranger la tour d'astronomie avec la professeur d'astronomie. Elle regrettait d'avoir fait cette sortie, elle aurait dû rester dans son dortoir même si elle serait envoyée à l'infirmerie le lendemain matin, à présent, elle avait été en tord et ca avait sûrement été marqué dans son dossier qu'elle avait fait ca et ce qu'elle avait reçu comme punition. Le jeune garçon lui dit alors ce à quoi elle avait pensé un peu plus tôt. Elle lui répondit alors.
"Toutes les maisons ne sont pas à plaindre, c'est surtout lorsque l'on est à Gryffondor qu'on est un peu mal vu par Serpentard et il y a beaucoup de préjugés. Mais le Choixpeau sait ce qu'il fait lorsqu'il envoit tel élève à telle maison. Chaque élève est dans la bonne maison mais certains élèves font ressortir les traits de caractère qui les ont menés dans cette maison plus que d'autre qui les cache ces traits."
Elle avait dit ce qu'elle pensait, c'était très clair mais il fallait réfléchir un peu pour émettre ca ou il fallait une grande sagesse, sagesse que Nathalie avait un peu acquérit au fil des années passées à Poudlard en regardant autour d'elle et apprenant. Elle regarda le garçon changer les livres qu'elle avait fait tomber de place, il les avait mis sous son bras droit et il les avait changé de place pour les mettre sous le bras gauche en luttant contre sa curiosité, Nathalie était curieuse de savoir combien de temps il tiendrait, elle n'allait rien dire si il les ouvrait, il n'y avait que son livre de métamorphose et encore un autre sans trucs bien interressant dedans, juste un deuxième cahier où elle avait fait un ou deux dessins. Elle l'entendit après un moment lui parler, il se présenta et Nathalie su alors qu'il s'appellait Noah. Il lui demanda comment elle s'appellait elle-même et elle lui répondit en souriant.
"Moi je m'appelle Nathalie, Nathalie Cerrada et je suis en quatrième année... A Gryffondor mais ca, tu le sais déjà..."
Elle serra la main que Noah lui tendait en souriant. C'était rare quand elle souriait sans se forcer comme aujourd'hui en ce moment, d'habitude, chaque fois qu'elle devait sourire, c'était un sourire forcé, tout simplement parce qu'elle se sentait faible mais pour l'instant, ca allait encore. Elle espérait qu'il ne s'étonne pas en entendant son nom de famille, un nom espagnol et elle est fort pâle sans pour autant avoir la tête d'une malade.

Edit Khâlina : + 5 points a chacun de vous deux pour l'effort de RP.

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