Crache Limaces / Flavem Corpus [Besoin d'une infirmière STP]

Invité

[ HJ : se RP est la suite de " Réaction Innatendue " ici ]

William était aux anges, enfin il l’aurait été sans le sortilège d’Asphodèle. Il avait ENFIN réussi à énervé la jeune fille et à lui faire ressentir des émotions. C’est vrai quoi il en avait marre de Miss-Glaçons qui faisait la même tronche en toute circonstance. Bon certes, il n’était pas non plus du genre à montrer ce qu’il ressentait mais lui c’était différent c’était un homme un vrai. La Serpentard semblait vraiment au comble de l’exaspération, si elle avait eut un regard de braise William se serrait sûrement transformé en un tas de cendre.

Asphodèle ne prit même pas la peine de lui parler, dommage il avait encore de tas de phrase cinglante à lui dire. Il se laissa traînait par le col, comme un vulgaire gamin. Malheureusement pour lui il n’était en états de se défaire de l’emprise du Poussin Jaune, étant donné les limaces qui sortait encore et toujours de sa bouche. D’ailleurs il venait juste de s’habituer au goût. Par Malchance, aucune limace ne se faufila sur Asphodèle.

Il se demandait bien où est-ce qu’elle pouvait l’emmener. Dans sa chambre peut-être ? Hum il n’était contre ce système de réconciliation. Il fût déçue d’atterrir à l’infirmerie. De plus qu’il savait que le crache limace n’avait pas de contre sort.

- Hey Poussinette, toi qui est aussi douée en sort tu devrai savoir qu’il…. Cracha de limace…. n’y as pas de contre sort.

Bien sûr il se douter bien que s’ils étaient venu là, c’était avant tout pour le dénoncer et pour qu’elle puisse enfin retrouver sa couleur de cheveux naturel. C’est étrange ais en fin de compte William trouvait que cette couleur e Cheveux lui allait bien, enfin c’était un peu trop flashy, mais il l’imaginait bien en blonde façon Rosenbeurk ! Le jeune hommes s’apprêtait à recevoir ce dont il avait mérité.

Attendez ! Non en fait il ne l’avez pas mérité, c’était pas de sa faute à lui si Asphodèle était désirable ? Se n’était pas non plus de sa faute si cette gourde avait la baguette facile, autant lui avait le baiser facile ? Non mais quand même il ne fallait pas oublier que c’était elle qui avait commencé. Il regarda Petit-Canard-En-Sucre avec un regard de dégoût, qui voulait tout dire, il n’aimait pas les balances.

* Vas-y fait toi plaisir, balance cet idiot de William qui osait de faire sortir de tes gonds. Tout ça, parce qu’elle ne reconnaîtra jamais qu’elle voulait elle-aussi m’embrassait *

Leur entrée fit sursauter Mme Sanchez qui ouvrit des yeux ronds en les voyant entrer.Elle leur demanda bien sûr ce qui s’était passé.

Elle vit le regard qu’il lui lança. Il ne s’attendait tout de même pas à ce qu’elle le supplie de lui rendre son apparence ou à ce qu’elle lui fasse des excuses. Après tout c’était de sa faute tout ça. S’il n’avait pas essayer de lui lécher le visage !

‘On s’est un peu disputé avec des Gryffondors et ça a mal tourné voilà tout.’

C’était d’autant plus crédible que Lareless avait vu qu’elle et William avait eut une petite conversation houleuse en bas de sa fenêtre. Et puis il n’était pas question de raconter à qui que ce soit comment William Slayers avait bien faillit la prendre dans ses filets. Il ne manquerait plus que ça. Qu’elle tombe amoureuse. Et d’un coureur de surcroît. Qui ne se rappellerait même pas de son prénom une fois qu’il aurait eut ce qu’il voulait. Elle ne voulait pas figurer sur la liste des ses innombrables conquêtes.

Elle regarda le vert et argent. La nausée commençait à lui passer mais elle lui avait fait monter le rouge au joues ce qui n’était pas pour déplaire à Asphodèle qui se hâta de chasser cette pensée loin d’elle. Il crachait des limaces. Quoi de plus dégoûtant.

Elle reporta son attention sur l’infirmière. L’excuse qu’elle avait sortie avait l’air de passer Pas question en tout cas d’avouer qu’elle et Will s’étaient mutuellement attaqués et sans raison en plus

Mars 1983. Andrea n’avait pas arrêté de travaillé depuis le Bal de Noël. Même pendant le Bal, elle avait dû veiller sur les élèves, elle n’avait pas pu s’empêcher de vérifier que tout allait bien. Depuis le mois de Décembre, Andrea disait plus souvent bonjour à Harkaitz. Finalement, sous ses allures de tombeur, de charmeur, il était assez fragile si on touchait à ses points sensibles bien dissimulés. Andrea était bien pensive ces derniers jours. Elle ne savait pas pourquoi. Sûrement à cause de la lettre de ses proches qu’elle attendait, ils ne leur avaient pas donné de nouvelles depuis qu’elle était partie de chez eux. D’accord, elle avait passé ses vacances en Espagne, avec sa famille mais il y avait quand même déjà quelques mois qui s’étaient écoulés depuis les vacances de Noël. Andrea pensait à plein de choses. Elle avait beau essayer de le cacher, il y avait pas mal de choses qui la préoccupaient. Le seul petit truc qui gâchait tout ? C’est qu’elle gardait tout pour elle. Heureusement qu’elle était forte mentalement et que sa famille était plus importante que toute autre chose, elle aurait craqué depuis longtemps sinon. Non. Elle n’aurait pas craqué. Elle repensait à son rêve. Aider le plus possible, laisser le moins de personnes souffrantes, peu importe l’endroit.

Andrea était assise à son bureau, dans l’Infirmerie. Pour une fois, elle n’était pas trop fatiguée et profita du calme pour penser un peu. Sur son bureau, elle avait pris quelques dossiers et avait commencé à les regarder. Tous les élèves mal en point qui étaient passé dans cette Infirmerie. Tous ces élèves en seulement un an. Et ce, seulement l’année passée, lorsqu’elle n’était pas encore à Poudlard. Artemis ou même les Infirmiers qui avaient pu passer avant lui avaient dû avoir beaucoup de travail. Elle se souvenait de l’impression qu’elle avait lorsque, elle-même, était encore à Poudlard. Que l’Infirmerie était toujours très calme, qu’il n’y avait personne et que l’Infirmier ou l’Infirmière devait bien s’ennuyer, ici, tout seul. Eh bien, ses impressions, son point de vue, avaient complètement changé. Maintenant, elle voyait à quel point son rêve allait être difficile à réaliser. Mais au moins, à la moindre déprime, elle pouvait s’y raccrocher, peut-être qu’elle était un peu naïve pour ça, peut-être qu’elle y croyait trop. Mais, l’Espoir fait vivre, non ? Elle voulait que ses parents, que ses amis, que tous ses proches soient fiers d’elle, alors elle allait faire tout son possible pour réussir.

Soudain, elle sursauta. Deux élèves arrivèrent dans l’Infirmerie, une jeune fille et un jeune garçon. Apparemment, Poufsouffle et Serpentard mais la jeune fille dominait. Non. Andrea regarda un peu mieux l’uniforme de la jeune fille, il y avait le blason de Serpentard cousu dessus et non celui de Poufsouffle. En observant de plus près, elle remarqua que la jeune fille était toute colorée en jaune, elle fit un petit sourire en essayant de le cacher. Quant au garçon, il crachait des limaces. Il n’y avait pas de contre sort pour ça, il allait donc devoir rester ici quelques heures. Andrea s’avança vers les deux élèves – en prenant bien de ne pas se mettre trop près du jeune garçon – et dit.

« Est-ce que je peux savoir pourquoi vous crachez des limaces, et vous, pourquoi vous êtes toute en jaune alors que vous êtes à Serpentard ? »

Petite dispute avec des Gryffondors ? Andrea ne croyait pas un mot de ce qu’avait dit la jeune élève de Serpentard. Elle savait comment était le caractère d’un Gryffondor et vu les regards que s’échangeaient les deux élèves, il était évident que ce n’était pas ça la cause de tout ça. Enfin bref, elle ne fit rien et fit mine de les croire puis se dirigea vers l’arrière de l’Infirmerie où elle pris un seau et elle chercha après une potion. Une fois le tout en sa possession, elle revint vers les deux élèves. Elle tendit le seau au garçon et le verre dans lequel elle avait versé la potion et un peu d’eau à la jeune fille.

« Pour vous, il n’y a pas de remède, tout doit sortir donc vous allez devoir rester ici jusqu’à ce que vous ne crachiez plus de limaces. »

Elle avait dit cela en s’adressant au jeune garçon. Elle se tourna ensuite vers la jeune fille et dit.

« Quant à vous, buvez ça. Et si vous n’avez pas confiance, ne buvez pas la potion. Seulement, le sort ayant si bien fonctionné, je doute que vous ayez retrouvé votre couleur normale d’un seul coup. Dans un ou deux jours, toute couleur jaune aura disparue. »

Invité

Asphodèle : " On s’est un peu disputé avec des Gryffondors et ça a mal tourné voilà tout.’"

Hein ? Pourquoi elle ne le balance pas ? William sourit, il était surpris mais appréciait. Il espérait juste qu'elle ne fesait pas ça par pitié car il était assez grand pour se débrouiller tout seul. Puis de toute façon s'était évident, Poussin D'or fesait ça pour s'éviter à elle même des ennuis, et non pour paraitre agréable aux yeux de Will. A moins que...elle est ENFIN succombé à son charme. Oui, sa s'était envisageable, aprés tout il était irristible. Le jeune homme était rarement venu à l'infirmerie, voir en fait jamais. S'il avait sut que l'infirmière était aussi séduisante, il aurait peut-être fait davantage d'éffort pour se blesser. Les limaces continuèrent à sortir de sa bouche et elle semblait ne jamais vouloir s'arrèter de tomber.

Melle Sanchez : « Pour vous, il n’y a pas de remède, tout doit sortir donc vous allez devoir rester ici jusqu’à ce que vous ne crachiez plus de limaces. »

William regarda Miss Soleil avait un air de " j'te l'avait dit ", un air de superriorité. Mais aprés tout, rester quelque heure en compagnie de la charmante Melle Sanchez n'avait rien de déplaisant. Elle lui avait emmener un seau, et bientot les limaces se déversèrent à l'intérieur.

« Quant à vous, buvez ça. Et si vous n’avez pas confiance, ne buvez pas la potion. Seulement, le sort ayant si bien fonctionné, je doute que vous ayez retrouvé votre couleur normale d’un seul coup. Dans un ou deux jours, toute couleur jaune aura disparue. »

William ne pût s'empecher de rire, il était trés content de lui, il avait avait fait fort sur ce coup. Le crache limaces aurait disparut dans quelque heure alors que le Flavum Corpus allait durer plusieur jour. Le jeune homme imaginait déja le glaçon se promenait en jaune dans les couloirs de Poudlard. Il s'étouffa presque avec une limace a force de rire.

- Poussin d'or Adoré, tu va devoir t'habituer à cette couleur, dit-il sur un air faussement désolé ! Puis il pris un air faussement contrarié. " Saleté de Gryffondor, si je choppe le crétin qui a fait ça, il va passer un sale quard d''heure "

« Quant à vous, buvez ça. Et si vous n’avez pas confiance, ne buvez pas la potion. Seulement, le sort ayant si bien fonctionné, je doute que vous ayez retrouvé votre couleur normale d’un seul coup. Dans un ou deux jours, toute couleur jaune aura disparue. »

Finalement l’infirmière n’avait pas gobé le petit mensonge d’Asphodèle. Tant pis de toute façon c’était fait maintenant.
Quand elle entendit Melle Sanchez lui annoncer que les effets du sorts ne s’estomperait pas avant plusieurs jours elle regarda Will se bidonner.

« S’il croit qu’il a gagné. »

Un petit tour aux toilettes des filles et elle se ferait un beau blond clair histoire que ça fasse pas trop flag. Pas question de garder ce jaune Poufsouffle. Il serait blasé quand il sortirait..
Asphodèle prit la potion de l’infirmière et la remercia vivement lui montrer qu’elle lui accordait toute sa confiance.

- Poussin d'or Adoré, tu va devoir t'habituer à cette couleur,. " Saleté de Gryffondor, si je choppe le crétin qui a fait ça, il va passer un sale quart d''heure "

Et en plus il se faisait encore remarqué. Non mais pour qui il se prenait ils n’avaient pas gardé les cochons ensemble alors pas la peine de faire comme s’ils étaient un vieux couple.

‘Tu veux jouer à ça on va jouer à ça Will.’ Pensa Asphodèle.

Elle s’approcha de lui avec un air de fausse douceur mêlée d’ inquiétude. Elle lui caressa le visage comme une maman le ferait à son petit lapin.

‘Oh mon poupinou chéri, tu ne vas pas recommencer. Tu as besoin de repos…’ puis elle se tourna vers l’infirmière et faisant mine de parler à voix basse pour que Will n’entende pas alors que c’était exactement ce qu’elle voulait : ‘si vous saviez le soucis qu’il me donne. Il est tellement jaloux ! Il va toujours jouer les héros et à chaque fois il me revient dans des états pas possible… vous prendrez bien soin de lui, n’est ce pas. Ça me rassurerait de savoir que quelqu’un veille sur lui.’

Elle avait pris une voix typique de la femme au foyer moldu qui a épousé un gros plein de soupe tout juste capable de distinguer un paquet de chips d’une canette de bière et avec lui une vie gnangnan et désespérante. Selon sa propre définition de la femme au foyer moldu bien sûr.
Elle s’approcha du lit de Will et posa sa main sur son torse. Les vomissements s’étaient nettement espacés : pas de risque de se faire gerber dessus. Elle se pencha sur le Serpentard et s’approcha très près de son visage, le regarda bien droit dans les yeux, avec une étincelle mutine dans le regard. Puis de sa voix la plus suave :

‘Dit toi que c’est de bonne guerre –MON AMOUR.’

Invité

Arya se dirigeait vers l'infirmerie. Elle avait attrapé froid a cause de cette satanée neige, qui semblait ne jamais vouloir disparaître. Elle avait horeur d'être malade, mais elle n'en pouvait plus. Elle se sentait fiévreuse, et la tête lui tournait. mais elle n'était pas sûre que ce soit la maladie qui donnait cet effet la chez elle. En effet, elle avait passé un peu de temps avec William, et elle avait bien peur que ce soit lui qui lui provoque se symptome. Elle l'avait quitté un peu plus tôt, et ne s'attendait pas en poussant la porte de l'infirmeriea trouver:

La vipère: William.

Et il était accompagné de... Non mais c'est pas vrai ! Elle lui collait toujours aux basques. Lily était une personne qu'elle appréciait, ou du moins qu'elle avait apprécié. Elle avait remarqué que William passait beaucoup de temps avec elle, et il était évident que la jeune fille ne le laissait pas indifférent. Allez savoir pourquoi, Arya détestait cela. De la jalousie ? Non bien sur, c'était impossible, du moins pour elle. Mais la tout de même, elle était penchée sur lui, et lui sussurait du mon amour a l'oreille. arya n'avait qu'une envie, l'envoyer valser a travers la pièce, mais elle se sentait quelque peu fébrile, et fit mine de rien en prononçant ce nom si dous qu'elle détestait tant:

La vipère: Et Asphodèle.

Arya insistât bien sur son prénom. Elle savait que la serpentarde détestait qu'on l'apelle ainsi, mais la provoqcation était le fort d'Arya, et en ce moment, lily ne comptait pas parmis ses amis. Elle était affublé d'une jolie couleur jaune, et sur le visage d'Arya se dessinât un sourire.

La vipère: Ca te va a ravir le jaune, une vrai petite Poufsouffle.

Elle se retournât vers Will, et le vit cracher une limace. Eurk ! Quelle horreur. Arya se demandait bien ce qui avait pu leur arriver, une petite altercation quelquonque. William avait tout simplement du faire des avances a Lily est il aurait reçut son compte. Tant mieux, de toute façon, elle ne voyait pas d'autre raison. Elle jeta tout de même sans le vouloir un regard de reproche a son "ami". De toute façon, il ne lui appartenait pas, il pouvait donc faire ce que bon lui semble, avec qui il voulait, et c'était bien dommage. Arya en avait même oublié la raison de sa venue.

» Besoin d'information ....-PV-
» Besoin d'aide...
» A besoin d'Aurel...