Fringale Nocturne [PV]

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Anne se réveilla en pleine nuit. Son ventre gargouillait. Ses derniers temps, plus sa grossesse avançait plus, les fringales se rapprochaient. Par chance, personne ne pouvait voir son ventre arrondie. Chad avait beau lui dire qu’il trouvait cela adorable, la jeune rouge et or n’était pas du même avis, et avait du mal à se trouvait belle ses derniers temps. Mais malgré ça, la jeune sorcière était obligé de satisfaire ses envies.

Il était tard et ce n’était pas le moment de descendre aux cuisines. Pourtant elle était certaine qu’elle n’arriverait pas à se rendormire, si elle ne calmait pas sa faim. Jetant un regard circulaire dans sa chambre, elles s’aperçut que ses compagnes de chambre dormaient encore. Sur la pointe des pieds, elle se dirigea vers la porte. Soleil, ronronna aux pieds de sa maîtresse. Anne le caressa rapidement avant de rejoindre les cuisines. Par chance Lareless était au courant de sa grossesse, et elle pourrait donc être honnête envers elle, quand à la raison de cette escapade nocturne.

Les cuisines étaient déserte. Normal pour une heure aussi tardive. Anne espéra qu’elle ne rencontrerai aucun Elfe de Maison. Elle n’avait rien contre eux, mais l’idée d’en voir un alors qu’elle commettait une infraction ne lui convenait guère.

La jeune sorcière s’apprêtait à fouiller les placards lorsqu’elle entendit un bruit. Par malchance, quelqu’un approchait.

Tout était calme. Asphodèle savait que c’était le moment pour tenter sa petite sortie habituelle. Poudlard avait sombré dans un profond sommeil. Même Azazel ronronnait doucement, signe qu’il se sentait assez en sûreté pour fermer son œil unique, ce qui n’arrivait jamais à moins que l’animal soit assuré que personne ne risquer d’approcher. Asphodèle se glissa hors du lit à pas de velours.

La nuit était le moment préféré de la jeune sorcière. Plus besoin de dissimuler ce qu’elle était sous un masque. Il n’y avait plus qu’elle et la fraîcheur revigorante de la nuit. Quelques étoiles et la lune. Mais avant de pouvoir se détendre tranquillement au bord du lac, il fallait se frayer un chemin dans le dédales des couloirs de l’école, en suivant les passages les plus dérobés, les moins fréquentés possible. Pas question de se faire prendre par un préfet ou autre.

Asphodèle n’avait pas eut de mal à établir une carte détaillée de Poudlard à son usage exclusif. Les Livres de la Bibliothèque et en particulier ceux de la Réserve étaient de véritables mines d’or qui ajoutés à quelque missions de reconnaissance permettaient de se balader en toute sécurité ou presque dans l’école. Elle avait fait pareil pour Durmstrang et BeauBaton.

Un petit bruit attira son attention dans le couloir, là tout près. Il y avait quelqu’un. Quelqu’un qui traficotait quelque chose. La curiosité était trop forte, et le plaisir de surprendre quelqu’un en train d’enfreindre le règlement encore plus insoutenable.

Asphodèle se dissimula dans l’obscurité. Elle n’avait pas l’intention de dénoncer la personne sur qui elle tomberait, après tout ça ne la regarder pas ce que les autres faisait mais elle était partagée entre la craindre d’être elle même surprise et l’envie de voir quelqu’un exprimer ce qu’elle ressentirait si elle l’était. L’effet de surprise était le plus important. Elle entendait les elfes s’activer mais il y avait une autre présence dans les cuisines.
Asphodèle poussa prudemment la porte…

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Le nouvel arrivant était une fille. Il s’agissait de toute évidence d’une Serpentarde. Anne avait une impression de déjà vu. C’était elles déjà vu ? Peut-être… Mais à Poudlard ? La jeune septième année chercha dans sa mémoire .La nouvelle venue était métisse et avait les cheveux blanc. Ce descriptif peut courant ne passait donc pas in aperçut.

* S’ayez j’me souviens *

A BeauBaton, elle avait déjà vu cette fille à BeauBaton. Anne aurait volontiers voulut discuter avec elle, mais de toute évidence ce n’était pas le moment adéquate. Ni l’une ni autre, ne devaient se trouvez ici à une heure pareille. La Serpentarde allait-elle la dénonçait ? En tout cas, cette réaction serait digne de cette maison.

A part si cette intruse était une fureteuse, elle n’avait elle aussi rien à faire dans les cuisines à cette heure tardive. Anne décida tout d’abord de lui parler pour savoir si elle était avec ou contre elle. La jeune sorcière cherchait dans sa mémoire le nom de la jeune fille aux cheveux blancs.

- Asphodèle ? Je ne me trompe pas ? C’est bien ça ton prénom ?

Anne avait pour vague souvenir une rencontre furtive à son renvoi de BeauBaton. Peut-être s’étaient elles croiser dans les dortoirs, à son départ de la prestigieuse école Française ? Le ventre de la jeune rouge et or gargouilla de nouveau. Si la Serpentarde n’était pas là, elle aurait déjà était à la recherche d’éventuelle nourriture. Pressée de savoir si l’intruse comptait rester, Anne reprit.

- Et qu’est ce que tu fais là ?

La sorcière espéra ne pas avoir à faire à une espionne de la directrice, des fureteuses en clair.

La porte s’ouvrit. Asphodèle se tenait droite, silencieuse. Elle ne laissait rien passer de ce qu’elle pensait. Une jeune fille à la robe rouge et or la regardait.

Une Gryffondor. Anne Rosenberg. Renvoyée de BeauBâton pour avoir mis le feu à une salle de potion. Asphodèle se le rappelait parfaitement.
Les deux jeunes sorcières restèrent un moment à se considérer.
Asphodèle ne parlerait pas la première.

‘Asphodèle Mandragora Gillian Black Saint Ange Nospheratov précisément. Nous nous sommes croisées à BeauBâton.’

ASphodèle savait très bien quel genre de relations pouvait entretenir une Serpentard avec une Gryffondor. Elle devait garder la situation à son avantage. La Gryffondor continuait de la dévisager. C’était assez étrange mais cette situation ne mettait pas Asphodèle mal à l’aise comme elle s’y était attendu. Il faut savoir que la spontanéité n’était pas son fort aussi était elle beaucoup dans l’anticipation.

Le fait de voir un visage un tant soit peu familier lui était agréable. Cela ne devait pas lui être arrivé depuis au moins deux ans et jusque là elle avait toujours été satisfaite d’être entourée d’inconnus. Elle esquissa une espèce de sourire amical puis se ravisa très vite parce qu’elle se prit à penser à l’air que ça pouvait bien lui donner de faire ça.

‘J’ai entendu du bruit.’, commença –t-elle puis finalement elle résolut de jouer la transparence, ‘ aucune de nous deux ne devrait être ici à cette heure. Je ne sais pas ce que tu as à faire dans les cuisines en plein milieu de la nuit… ça m’est égal en fait. J’espère que tu ne fait pas partie de ces hypocrites de fureteuses qui sont à la botte de Tenshi ?

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Anne ne put s’empêcher de sourire en entendant la jeune Serpentard réciter son nom. Celui-ci était tellement long qu’il fallait au moins trois siècles avant de l’apprendre par cœur. Intérieurement Anne décida d’appeler la jeune fille Asphodèle Nospheratov, car ce fut les deux seuls noms qu’elle retenue. Asphodèle ne semblait pas très guillerette ni très expressive. A vrai dire, elle paraissait tout simplement froide et peu sympathique. Normal, pour une Serpentard. Mais après tout, il ne fallait pas se fier aux apparences.

Soudain, quelque chose de ressemblant avec une grimace apparut sur le visage de la jeune vert et argent . A la réflexion il s’agissait peut-être d’un sourire forcé. Enfin bref, rien ne disposé la Gryffondor et Asphodèle à devenir d’ excellente amis. Mais parfois le destin est bien étrange et n’écoute que lui.

<< j’ai entendu du bruit >>

Anne leva un sourcil, cette phrase sonnait faux. A moins qu’Asphodèle soit venu réprimander ou punir la cause de se désagrément sonore.

.<< Je ne sais pas ce que tu as a faire dans les cuisines en plein milieu de la nuit… ça m’est égal en fait. J’espère que tu ne fais pas partie de ces hypocrites de fureteuses qui sont à la botte de Tenshi ? >>

Anne se sentait déjà soulager. La jeune vert et argent ne faisait pas partit des Fureteuses. Cela ne voulait pas non plus dire que la jeune fille aux cheveux blanc n’allait pas la dénoncer. Mais d’après le caractère de la Serpentard, elle ne semblait pas du genre à se mêler des affaires des autres.

- Non rassure toi . Moi même j’apprécie guère de fréquenter ce genre d’élèves.

Par ce genre d’élèves Anne sous-entendait les Serpantards. Car la plupart des fureteuses faisaient parti de cette maison. La jeune Rouge s’en voulait un peu d’avoir de tel préjugé, après tout sa mère l’avait élevé dans le respect des autres, et les Serpentard ne devait pas faire exception à la règle.

Mais après tout, Anne avait des raisons de se méfier, car cette maison lui avait déjà donner du fil à retordre. Elle se souvenais notamment de sa langue qui avait gonflé en cinquième année, ou encore plus récemment du champoinage involontaire d’Amanda au jus de Citrouille.
Elle décida toutefois de laisser sa chance à Asphodèle. Elle baissa un peu sa garde et entama une conversation avec elle.

- Si tu me dit pourquoi tu es ici, moi je fais pareil ?

Anne était de nature plutôt sociable et gentille en général. Elle ne voyait donc aucun inconvénient à ce faire une nouvelle amie, si Asphodèle ne l’envoyer pas sur les roses.

Asphodèle la considéra avec méfiance. La Gryffondor baissait facilement sa garde. Etait-elle sincère ou n’était ce qu’une apparence ?’

- ‘Je te l’ai dit : j’ai entendu du bruit. Je me rendait quelque part quand j’ai entendu du bruit alors je suis venue voir.’

Asphodèle dévisagea Anne des pieds à la tête puis s’avança vers le placard de la cuisine sans plus sembler se préoccuper de la sang et or.

- ‘En même temps , il n’y a pas trente six mille choses à faire dans une cuisine n’est-ce pas ?’

Elle lui jeta une pomme et une petite brioche ronde qu’on servait au déjeuner et en prit une pour elle.Elle mangea sa pomme un peu en retrait. C’était précisément le moment où elle ne savait plus quoi ajouter et ou elle sentait que si la Gryffondor n’y mettrait pas du sien cette conversation n’allait pas aller bien loin.

La conversation n’était pas le fort d’Asphodèle et bien qu’elle aurait aimé connaître un peu mieux Anne, elle sentait que cela ne risquait pas d’arriver si elle ne trouvait pas tout de suite le moyen d’échapper au malaise qui s’installe entre deux personnes dès qu’elle ne savent pas quoi se dire .

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<< Je te l’ai dit : j’ai entendu du bruit. >>

Finalement il était fort probable qu’Asphodèle dise vrai. Mais la jeune sorcière avait éveillée la curiosité de Anne. Où est-ce que la sixième année se rendait-elle lorsqu’elle avait entendu du bruit ?

- Et tu allait ou ?

Anne ne voulait pas être indiscrète et se mêler de se qui ne la regarder pas. Mais la curiosité était un de ses défauts. Hors, elle ne voulait pas contrarier la verte et argent, donc elle n’insista pas davantage. Attendant patiemment, qu’Asphodèle lui réponde, si elle lui répondait d’ailleurs. Car Anne avait pu remarquer, que la Serpantarde n’était pas très bavarde.

<< En même temps , il n’y a pas trente six mille choses à faire dans une cuisine n’est-ce pas ?>>

Oui de toute évidence. Anne sourit, la Serpentarde ne poserait visiblement aucune autre question à la Gryffondor. Anne était rassurée, le secret de sa grossesse était pour l’instant loin d’être en danger. La jeune rouge et or, réceptionna en catastrophe la pomme que lui envoya sa compagne de grignotage .

- Ah excellente idée, je meurs de faim.

La blondine croqua à pleine dent dans le fruit. Elle comptait manger au plus vite, afin de vite retourner se coucher sans se faire prendre. Mais une peu compagnie était la bienvenue.

« Ah excellente idée, je meurs de faim. »

- Moi qui croyais qu’il n’y avait que les femmes enceintes pour avoir des fringales au beau milieu de la nuit.’ Commenta Asphodèle d’un ton égal sans se douter de ce qu’elle disait.

Elle regarda un instant Anne dévorer sa pomme et entreprit de s’en retourner. Elle passa la porte des cuisines et s’enfonça dans l’obscurité du couloir prête à savourer enfin un peu de solitude nocturne. Mais elle n’avait pas fait trois pas qu’elle entendit des gens discuter à quelque mètres devant elle. Un sortilège de lumos faisait fuir les ténèbres devant les deux silhouettes trop absorbées par leur conversation pour avoir remarqué quoique ce fut. Des Fureteuses.

- Tu crois que les elfes auront des dragées surprises là en bas ?

- Aucune idée en tout cas je te préviens, on traîne pas trois heure ici. Si Mikomi voyait qu’on dévalisait les cuisines au lieu de faire notre boulot. Tu prends un truc et on y retourne. Je suis sûr qu’on va bien trouver un Gryffondor à se mettre sous la dent cette nuit…

Asphodèle réfléchit cinq secondes. Ça ne serait pas dur de les éloigner maintenant qu’elle savait ce que les Fureteuses redoutaient. Prendre l’apparence de la directrice était peut-être un peu gros, Irina, la préfète de Serpentard devrait suffire à les écarter le temps qu’Asphodèle disparaisse.

- Que faites vous ici ? Je croyais que vous surveilliez l’aile de Gryffondor ?’

‘On a entendu du bruit alors…’

- Je viens de vérifier il n’y avait personne. Retournez à vos postes.’

Les deux filles s’exécutèrent. Asphodèle eut un petit sourire d’autosatisfaction en voyant la facilité avec laquelle elle les avaient évincées. Mais elles ne tarderaient pas à revenir, il ne fallait pas traîner dans le coin.
En moins de deux, la jeune Serpentard était hors de portée des Fureteuses . Asphodèle était épuisé elle ne maitrissait pas encore parfaitement sa méthamorphomagie, et se transformer lui demandait beaucoup d'éffort. Elle se rappela ensuite qu’Anne était restée dans les cuisines. Elle eut un instant d’hésitation.

* Après tout je ne lui doit rien du tout à cette sang et or…* pensa –t-elle mais sa conscience la travaillait.

Elle allait retourner la prévenir mais après chacun son chemin pas question de se faire prendre à cause d’Anne.
Elle courut jusqu’au cuisine et fit sursauter la Gryffondor en ouvrant la porte à la volée.

- Il y a des Fureteuses dans le coin tu devrais pas traîner ici .’

Trop tard les Fureteuses revenaient déjà.

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Anne était en train de croquer tranquillement dans sa pomme quand Asphodèle lança une phrase, donc la rouge et or se serrait volontiers passait..

‘Moi qui croyais qu’il n’y avait que les femmes enceintes pour avoir des fringales au beau milieu de la nuit.’

Anne faillit s’étouffer avec sa pomme, tellement la phrase de la verte et argent l’avait surprise. La septième année était un peu inquiète pour son secret, mais apparemment la fille aux cheveux blanc avait dit cela comme ça sans aucun sous-entendu. En tout cas, Anne était à présent un peu plus méfiante, soucieuse de protéger son secret. La Serpentard sortit alors des cuisines laissant la blonde seule. Anne ne dit rien et ramassa la brioche qui se trouvait par terre, et que a verte et argent lui avait lancé quelque minute plus tôt. Puis tranquillement elle continua son encas nocturne. Mais déjà cinq minute plus tard, la métisse revenait . Anne était surprise et se demanda bien pourquoi.

‘Il y a des Fureteuses dans le coin tu devrais pas traîner ici .’

La jeune sorcière grimaça étant à Gryffondor, elle avait plus à y perdre que Asphodèle. La rouge s’apprêta a partir, lorsqu’elle attendit du bruit, les fureteuses venaient ici.

Sujet: Re: Fringale Nocturne [PV] Jeu 6 Sep 2007 - 10:43

Trop tard. Se faire chopper dans les cuisines avec une saleté de Gryffondor écervelée, il y avait mieux pour son estime de soi. Hors de question. Et puis elle l’avait déjà la solution à son problème avec les Fureteuses. Se fondre dans la masse pour ne pas se faire repérer. Ça aurait sans aucun doute suffit à tirer Asphodèle d’affaire mais il y avait la goinfre et la vert et argent ne pouvait pas se permettre de lui laisser savoir qu’elle était métamorphomage. La bouche d’Asphodèle prit un pli cruel comme elle se retournait vers Anne Rosenberg, toute baguette dehors.

Le sortilège informulé c’était le péché mignon de la Serpentard. En deux temps trois mouvements la Rosenberg se retrouva privée de son sens de l’ouie et réduite à une taille qui aurait fait rigoler un lilliputien ! Asphodèle la Très Grande, se pencha sur ce petit homoncule grotesque qui essayait de s’enfuir et le fourra sans plus de délicatesse dans sa poche.

Voilà. Elle avait le chant libre maintenant.
Bizarre, les Fureteuses ne faisaient pas autant de bruit que tout à l’heure. Etaient-elles embusquées dans l’ombre prêtes à lui tomber dessus. Asphodèle garda sa baguette en main, toujours ce sourire malsain accroché aux lèvres. Non seulement il y avait peu de chance qu’elles s’en prennent à Saena Mayberry, mais en plus Asphodèle savait qu’à moins de tomber sur un professeur ou autre sorcier de classe cinq, il y avait peut de chance qu’elle se trouve de quoi rivaliser avec elle dans les couloirs de Poudlard ! Quand on s’entraîne régulièrement avec un mage noir aguerri on ne craint pas grand chose !

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Les évènements suivant se passèrent alors rapidement. Asphodèle pointa sa baguette sur Anne. La blondinette eût tout à coup des doutes qu’en a l’honnêteté de la vert et argent.. La jeune fille aux cheveux blancs lui parlait de fureteuse et ensuite elle la menaçait. Anne n’était pas bête, et elle comprit facilement qu’Asphodèle était dans le mauvais camp , dans celui des fureteuses. Mais la rouge et or n’eut pas le temps de répondre ou d’agir que déjà elle n’entendait plus rien. Que c’était-il passé? La septième année n’aurait pas su le dire. Mais elle n’était pas très rassurée. Elle pensa à Chad, le jeune homme aurait sûrement été furieux s’il avait su ! En succombant à ses envies nocturnes, Anne avait mis sa vie et celle d’Alec en danger. A présent, les fureteuses allaient la découvrir dans la cuisine et lui demander ce qu’elle faisait là. A tout les coups elle éveillerait les soupçons sur son appartenance à un club de magie blanche. Oh non, elle allait mettre beaucoup de gens en danger à cause d’une stupide faim.

Puis rapidement, Anne rétrécit. Tout était devenu très très grand. Anne sursauta même en voyons une énorme masse blanchâtre qui devait faire trente mètres de haut. En fait, il s’agissait simplement de la brioche. La rouge et or était de plus en plus surprise, et ne comprenait rien à ce qu’il se passait. Elle était effrayé mais curieuse de savoir pourquoi Asphodèle avait fait cela mais elle était surtout inquiète. Elle mit une main sur son ventre pour vérifier l’état de son bébé. Par chance, il semblait allait bien. La verte et argent aurait put le tuer mais Asphodèle ignorait l’existence d’Alec. Heureusement, d’ailleurs car la fureteuse aurait sûrement fait du mal au bébé. Tout se passait trop vite, Anne ne savait plus que pensait, mais une chose était sure elle ne devait pas rester là. La Gryffondor essaya de partir, mais tout autour d’elle était devenu immense et effrayant.

Elle essaya de partir mais elle ne faisait pas le poids face à Asphodèle qui était maintenant géantissisme aux yeux de Anne. La rouge et or ne fi tque quelque pas et aperçut une énorme ombre au dessus-d’elle. Elle avait l’impression que le ciel allait s’écrouler sur elle. De peur et de surprise elle poussa un cri qui ne parvient pas au oreilles de la Serpentard . Puis soudain, elle se sentit saisit par la masse informe, et suspendu dans le vide. S’était très éffrayant, elle était à plusieurs mètre du sol et elle avait très peur de tomber. De plus tout cela se passa très vite, et . Anne avait déjà la tête qui lui tournait. Puis soudain, plus rien ! Anne était plongé dans le noir, et ne distinguait plus rien. Elle prit de grande bouffé d’air pour garder son calme. De toute façon avec une taille pareille, elle ne pouvait rien faire à part attendre !

Sujet: Re: Fringale Nocturne [PV] Jeu 6 Sep 2007 - 13:28

La porte s’ouvrit lentement, presque sournoisement.

Asphodèle eut un grand rire cynique (qui aurait fait peur à plus d’un sûrement) mais c’était plus un rire de soulagement. Elle reprit son apparence et sortit Anne de sa poche.

« Finite incantatem »

Revoilà Anne Rosenberg. La Gryffondor n’a pas l’air ravi, en plus elle est toute décoiffé à cause de son séjour dans la poche d’Asphodèle. On dirait qu’elle sort du lit. !

« Ce n’est que mon chat, Azazel »

Le dit Azazel s’enroula autour des jambes de sa maîtresse et cracha sur la pauvre Gryffondor comme il se retrouvait face à elle. C’était vraiment le chat le plus détestable qu’on puisse imaginer, il vous aurait arracher le visage pour rien du tout ; mais avec Asphodèle c’était presque une peluche.

[color:2159=white:2159]« Pour le coup du sortilège informulé je me suis dit que tu pourrais faire tout foirer. J’ai préféré faire les choses à ma manière. » Ajouta-t-elle alors qu’elle avait déjà passé la porte.

Elle n’allait pas passer la nuit ici aux cuisines avec Anne Rosenberg. Ce serait un comble.

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