Les portes du soir...

hj : Voici un RP pour relancer l'histoire d'aphrodite. Peut répondre qui veut, que ce soit pour lui faire arriver quelque chose de bien ou pas... Futurs amis ou ennemis, a vos claviers je vous attends ^^

Samedi 5 Mars 1983

Silence. En cette nuit tout était calme, trop calme peut-être. C'était un samedi soir, ou plutôt dimanche matin, et pourtant il n'y avait personne dans les rues. Des rues sombres, au pavé irrégulier, balayées par une brise froide, tel était le décor de cet endroit. Clac clac clac... Le bruit de talons cognant contre les pavés marque le rythme du temps qui s'égraine, ce sont les talons des botes d'Aphrodite. La jeune femme avait travaillé toute la soirée au bar du Wizfun, il y avait eu une belle fête, une fête de mariage. Les gens ont dansé, chanté, bu jusqu'au bout de la nuit. La jeune barmaid en avait aussi profité, voir des gens s'amuser ainsi lui mettait du baume au coeur. Ils l'avaient même fait participer en dansant avec le marié et ses témoins. Elle les enviait surtout, eux qui avient l'air tellement heureux, et elle qui toute sa vie avait rêvé d'un beau mariage entouré de tout ceux qu'elle aime..

Mais voilà... Celui qu'elle aimait par dessus tout, Kaitz, ne semblait pas très enclin à se marier, et tous ceux qu'elle aime ont disparu... Sa soeur jumelle adorée Antigone a disparu avec son mari et sa fille depuis bien longtemps maintenant, l'ayant cherché un bon moment, Aphrodite avait maintenant perdu l'espoir de la retrouver un jour. Quant à Satine, sa cousine, elle avait été tuée lors d'un combat d'après ce qu'on lui avait dit. Pour ce qui est des amis, à part les personnes avec qui elle travaillait au bar, la jeune femme ne connaissait pas grand monde.

Bien qu'elle avait besoin de se sentir aimée, entourée et d'avoir le sentiment d'être spéciale pour quelqu'un, Aphrodite était surtout une grande timide qui n'osait pas aller vers les autres de peur de les déranger... C'est comme ça qu'elle passait de longues soirées seules à espérer que Kaitz vienne la voir, ou que des amis viennent lui tenir compagnie... Mais souvent elle restait seule chez elle, seule avec ses sentiments, ses doutes et ses peurs... Elle refoulait cette solitude et ce qu'elle ressentait pour parraitre agréable, douce, gentille, rayonnante auprès de tout le momnde, mais quand revenait le soir et sa solitude, souvent elle pleurait, quand personne ne pouvait la voir...

Malgré tout ça, depuis qu'elle avait abandonné son travail de journaliste pour devenir barmaid, elle s'était épanouie. Cette façon de cotoyer les gens, de s'amuser avec eux, de montrer ce qu'elle savait faire et ce qu'elle vallait était pour elle la meilleure des thérapies, m^me si elle avait encore un très long chemin à faire. Elle s'ouvrait peu à peu au monde et aux autres, même si elle n'avait pas encore réussi à se faire d'amis, elle savait qu'un jour elle y arriverait.

Cette soirée de mariage l'avait rendu toute guillerette et c'est le sourire aux lêvres qu'elle marchait dans les rues sombres et venteuses. Elle était habillée avec un pentalon de cuir noir et ces bottes à talons aiguille ainsi qu'avec un petit haut plutôt sexy, ce qu'on pourrait appeler son costume de barmaid. Avant de faire ce travail, jamais elle n'aurait imaginer s'habiller ainsi, à part pour les soirées costumées, mais maintenant elle ne se sentait plus mal à l'aise dans ce genre de fringues. Ce soir un grand manteau blanc recouvrait sa tenue et descendait jusqu'à ses pieds, ne laissant dépasser que le bas de ses bottes. Le vent faisait voler ses cheveux, une sorte d'aura de pureté semblait l'entourer.

Dans le silence seulement rompu par le bruit du vent et de ses pas, Aphrodite avançait en pensant à son aimé. Kaitz avait été empoisoné et transporté à Saint-Mangouste. Elle avait été souvent le voir et priait pour qu'il se rétablisse vite. Il allait de mieux en mieux et Aphrodite s'en trouvait soulagée, mais on l'avait prévenu la veille qu'il s'était enfui contre l'avis des guérisseurs. Il ne lui avait pas encore donné de nouvelles. Où était-il ? que faisait-il ? Pourquoi ne l'appelait-il pas ? Kaitz lui manquait et malgré l'euphorie de la soirée, elle se sentait triste et seule. Kaitz... C'est fou comme un simple mot pouvait mettre en émoi la jeune femme. Son coeur battait en répétant ce simple nom, il se réchauffait à la simple évocation de celui-ci et se languissait en même temps. Quand reviendra-t-il la voir ? Il avait réussi à la rendre dépendante de lui mais lui ressentait-il ce qu'elle espérait ? Le perdre était pour elle le pire des cauchemards, mais serait-il capable de le percevoir ?

Tant de questions et si peu de réponses... Aphrodite marchait dans ces rues sombres, le regard un peu dans le vide, les cheveux dans le vent. Sans y prendre garre, elle était arrivée dans l'Allée des Embrumes, quartier où il ne fait pas bon se promener. Aphrodite le savait mais comme elle habitait pas loin, elle avait préféré couper par là. Ce n'était pas la première fois qu'elle y passait et elle n'avait jamais eu de problème, elle aurait aussi pu rester dans la chambre qu'elle avait au Wizfun, mais elle avait préféré rentrer chez elle, si Kaitz la contactait, elle voulait être là.

hj : désolée pour ce blablatage intensif ^^' C'est long mais pas forcément génial

Sujet: Re: Les portes du soir... Jeu 20 Sep 2007 - 18:12

hj : reliqua de mon auto réponse... Ti souvenir xD, le RP le plus facile a résumer de tous les temps What a Face

En gros pour résumer le RP :
Wooooouuuffff - Tic, tac, Tic, tac - Miaaaaaaaou - Ding, Dong, Ding, Dong - Clac, clac, clac - Houhouuuuu - AAAAAAAHH - Pfffff - Clac, clac, clac - ...

Sujet: Re: Les portes du soir... Jeu 20 Sep 2007 - 18:50

Nuit de folie, esprit meurtrie, trop longtemps séparer de sa réelle consistance, nuit de passion, ou le sang se glace, la lune fait place, appelle son bourreau. Une âme déchainer parcoure les rues sombre des allées, derrière elle, un son coriace grisant, celui des griffes grattant le sol a répétition. Vitesse, déplacement furtif, elle reste dans l’ombre a l'affût des regards indiscret, chassant trappant une future victime.. L’âme s’arrête renifle l’air fortement, l’odeur de la chair fraiche féminine, câline, la bave dégouline des crocs, s’écrase sur le sol comme de lourde gouttelette, puis les roches revoles, un grattement à nouveau, les griffes recommence à frapper le sol, l’âme traverse les recoins, sautant piétinant autant la rue que les murs, jonglant entre l’ombre et les puis de lumière, laissant qu’une seule vue, un éclat parfois blanc, parfois gris, parfois noir. Dans la pénombre deux étincelle cristalline, jaune or, pupille noir, noir d’ébène profond, sanglant, mortel.

L’âme recherche sa cible, celle-ci intelligente là sentie arriver. Elle cour dans tous les sens essayant de disparaître de s’éclipser.. Mais elle ne cour pas assez vite, elle se perd ne regarde pas ou elle va, le chasseur devenu la proie. Elle fini par aboutir dans un cul de sac, les murs l’entourent, les jappements se font entendre, le chien errant sent l’odeur de la mort approcher. Le câlin essaye bien de grimper au mur, cour et saute, mais rien à faire, il le sait bien au fond de lui, il est coincer, la queue entre les jambes oreille baisser, un grognement tandis que dans l’ombre une forme se trace, les étincelles jaunies apparaisse, un grognement plus puissant sans-suis..

Au loin, qu’un seul bruit résonne à travers les ruelles, celui de douleur, le cri pure d’un chien souffrant.. S’éteignant..

Mais l’âme errante ne fait que commencer, elle vient de gouter au sang, sa rage devient plus coriace, son désir d’attaquer puis puissant. Elle a pu s’amuser, ce pratiquer, grimper sauter, chasser.. Mais le temps est venu d’attaquer quelque chose de plus coriace.. Les griffes martèlent le sol à nouveau, le museau haut dans les airs humant l’air a la recherche d’une odeur.. Elle zigzague aléatoirement dans l’ombre, cherche sa proie.. Traque.. Puis sur son chemin, l’odeur d’une humaine, une victime digne d’être chasser.. Une proie intelligente.. L’âme suis l’odeur, mais prend son temps, elle veut jouer avant de manger, elle veut s’amuser avant de re-gouter au gout du fer.. Vite-fait l’allée des embrumes devient son terrain de chasse, les multiples chemin non plus de sens, toute les routes mènent au même endroit pour elle.. Vers sa futur victime..

La créature grimpe des marches métalliques, son poids fait grincer le métal tandis que ses griffes mitraille les marches. Elle saute haut, très haut s’accroche au rebord d’un toit, puis grimpe au-dessus, à l’aide d’une pulsion de ses pattes arrière, sans trop de difficulté. Ce retrouver en hauteur lui donne une certaine satisfaction, un avantage direct mais surtout, la sensation de supériorité qu’elle adore..

L’âme cour saute d’un toit à l’autre, allaise, le vent frappant son visage, ses yeux plisser pour ne pas être gêner.. Comme un chat équilibre naturelle.. Sa queue se balançant d’un sens puis de l’autre, tournant à grande vitesse pour suivre les routes, elle fini par retrouver celle qu’elle cherche.. Au loin, une femme blanche, pure se promène calmement.. L’âme cris a la lune, bientôt le sang coulera pour toi..

Elle ne peu résister à attendre.. Elle ne peu supporter de rester à distance.. Elle saute du haut du toi, atterrit patte arrière première sur le sol. Dans l’allée un son de tonnerre, comme si un toit venait de s’effondrez. La créature apprécie, elle avance doucement dans une allée parallèle, s'approche de sa victime puis contourne un édifice entre deux murs étroit. S’arrêtant dans l'ombre là où elle ne pourrait être vue.. Sa respiration est forte, elle ne pourra pas garder position longtemps avant de ce faire repérer.. Elle veut donner le coup, le signal de départ.. De l’ombre une pate poilue, griffu, d’une blancheur écarlate sort a toute vitesse, vient lacérer l’avant bras de la jeune femme, puis re-disparait dans la pénombre. La créature senva.. Elle ne veut pas tuer tout de suite.. Elle veut chasser.. Cette tactique ne servant quand alertée la victime.. Grimpant le mur dans l’ombre pour suivre la fuite du haut du ciel.. Seul le bruit de ses griffes est perceptible..

La chasse est commencer..

Sujet: Re: Les portes du soir... Dim 23 Sep 2007 - 23:11

Silence. Le bruit des talons sur le pavé cesse un instant. Aux aguets, la jeune femme semble avoir entendu un bruit. Alerte, elle écoute, ses yeux cherchent dans le noir la provenance du bruit, mais rien... Ce devait être une illusion. Soupir, un petit sourire en coin, la jeune femme en blanc reprend sa marche en se disant qu'il n'y avait rien et qu'elle ne devait pas entendre des bruits là où il n'y en avait pas. Quelques instants plus tard, quelques pas plus loin, les bruits se font encore entendre... des bruits de pas feutrés dans le silence de la nuit. Soudain... C'est l'attaque. Une masse informe, poilue, saute sur Aphrodite, elle semble tomber tout droit du toit d'une petite masure tout près et semblait avoir attendu sa proie un bon moment, tapie dans l'ombre. Un cri déchire la pénombre, la jeune femme recule, effrayée par cette chose informe. Le cœur s'accélère, l'adrénaline monte, Aphrodite s'apprête à fuir...

Le vent glacial de la nuit souffle, chassant les nuages. La Lune, belle, blanche, lumineuse, ronde apparaît. A la lumière de cet astre mirifique, la mystérieuse créature se dévoile alors... Un chat... Aphrodite soupire et rigole, la main sur le cœur.

Aphrodite - Crétin de chat !! Pffff faut je me calme moi...

La peur passée, la jeune femme reprend son chemin, pressant le pas pour sortir au plus vite de l'allée des embrumes, endroit froid, noir, inquiétant. Plus loin des chiens jappent, enfin un signe de vie. Ces jappements perdus dans la nuit sous la lumière argentée de la Lune font de la scène un étrange tableau. La distance est inconnue, mais la direction dans laquelle se trouvent les chiens semble être à la gauche d'Aphrodite. Quelque chose semble les effrayer, après quoi grognent-ils ? Encore un chat ? Probablement. Sourire, la jeune femme en blanc avance toujours, émanant d'un éclat blanc, pur, lumineux sous la lumière de la Lune.

Un cri, une plainte, un chien qui souffre et s'éteint... Cri angoissant dans la nuit. Qui a bien pu faire ça ? Sur le qui-vive, Aphrodite augmente son allure, mettre le plus de distance entre elle et ces chiens, entre elle et... cette chose, quoi que ce soit. Elle s'éloigne, toujours plus et au bout d'un moment quand le calme est revenu, elle se calme et reprend son chemin plus calmement. Elle avance tranquillement, la bête a dû partir... Une impression bizarre d'être observée, la jeune femme se retourne, cherche dans le vide ce qui l'observe mais ne trouve rien. Mais pourtant c'est là, elle en est persuadée, quelqu'un l'observe, ou quelque chose... Un hurlement à la Lune, cri froid, angoissant, lugubre... Aphrodite sait bien ce que c'est mais ne veut pas y croire... Elle accélère le pas, ne pas rester là...

Un bruit de tonnerre, Aphrodite s'arrête. Ca venait de devant, pas loin... Bifurquer, prendre une autre rue, il faut s'éloigner... Des bruits de griffes sur les pavés, Aphrodite n'arrive pas à savoir où est partie la créature... Elle s'arrête, écoute, mais ça résonne et elle est cernée. Elle s'arrête, recule, tourne, elle ne sait plus trop de quel côté aller... Une patte poilue, griffue, d’une blancheur éclatante sort a toute vitesse de l'ombre et lui lacère le bras. Un cri dans la nuit, la douleur lui fait regarder son bras, une tache rouge vif apparaît sur l'éclat pur du manteau. La peur prend alors le pas sur la douleur, la peur et le sentiment d'être traquée... Son cœur s'accélère et son pas aussi. Elle se met à courir, Aphrodite ne veut pas mourir cette nuit...

Deux rues qui se croisent, Aphrodite bifurque, elle essaie de semer la créature, mais elle la sait sur ses talons... Clac clac clac, le bruit de talons contre le pavé s'accélère. La fin de l'allée des embrumes est proche, et Aphrodite le sait. Une fois sortie, elle sera peut-être plus en sécurité, mais pour l'instant elle court, elle sent la créature non loin d'elle à la poursuivre, à l'observer. Un pavé plus irrégulier, le pied de la jeune femme bute dedans et elle se retrouve par terre, la blancheur de son manteau, déjà rougie par le sang, prend une couleur de poussière. Vite, se relever... Ce qu'elle fait, mais... Où aller ? Où est la créature ? Elle se relève, tourne sur elle-même, là, par là qu'il faut aller...

Invité

"-ok ta bien comprit petite?"

"- Arrête de m'appeler petite, Ella . Je sais ce qu ej'ai à faire"

"- Avec ce que tu vas nous rammener de la-bas on va leur faire une peur térrible, y aller la nuit est la meilleure des solutions. en plein jour tu es sûr de te faire prendre et par la même occasion moi."

"- Facile à dire, toi tu vas rester bien au chaud dans ton lit"

"- fallais gagner le pari. en attendant prépare toi il est temps que tu y aille. Es tu sûr qu'il y sera?"

"- Plus que sûr c'est mon cousin je sais qu'il y sera. Un malplassay tient toujours sa parole"

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* Le salaud il est pas là*

Daisy était en colère. Elle avait tourner se plan en rond depuis des semaines et cet andouille de cousin n'était pas capable d'être là. Sans lui tout serais foutu. Il devait prendre les clefs de son père, qui tenait une boutiques dans l'allée des embrumes. Elle pourrait alors faire le pleins d'accessoir loufoques et interdits pour concocter des plans contre les serpentard qui les ferait faire dans leur frocs.

Elle était au rendez vous. Alors qu'elle ne devrait pas être ici autant qu'elle ne devait pas être dans la forêt interdite. Pourtant elle y était et cet andouil de cousin lui avait du se faire prendre.Daisy ruminait si il ne venait pas elle lui en ferait voir de toute les couleurs. Elle tourna en rond deux heures après l'heure du rendez-vous.

* C'est clair que maintenant il n'allait pas venir*

Soudain un bruit. Serait ce lui? Mais bizzarement elle ne voyait qu'une ombre Elle se cacha derrière un tonneau. Si elle se faisait prendre bonjour les problemes qu'elle aurait à l'école. Elle vit alors une femme qui courait la peur au ventre. Daisy resta cacher mon dieu elle flippait maintenant, car il était évident que cette femme fuyait quelqu'un ou quelque chose et que le danger n'était pas loin.

* et voilà le don de me foutre dans les emmerde moi. vivement que je sois rentré, ou je vais me faire tuer par ella moi*

Sujet: Re: Les portes du soir... Dim 7 Oct 2007 - 19:13

Tête haute, le vent puissant du haut des immeubles frappant la bête pourtant stable sur le coin d'un immeuble. Sous son poids, le toit grince, il ne pourra pas rester longtemps en place, les bâtiments ne son pas fait pour contenir une t’elle pression, c’est une des raisons pour laquelle la créature apprécie d’avantage la forêt que la ville.. Coup de malchance qu’elle soit là.. Autant pour elle que pour celle qu’il chasse.

Au loin la femme commence à prendre de la distance, bientôt elle arrivera à un second croisement et il ne peut pas se permettre de la laisser disparaître entre les rues.. Elle n’est pas conne, le fauve voit bien ce qu’elle essaye de faire, sortir du district des allées des embrumes.. Sortir du terrain de chasse.. Mais la partie ne fait que commencer il ne la laisseras pas s’enfuir aussi facilement.

Sur quatre pattes il se redresse, mais reste en hauteur sautant avec agilité de toit en toit, rattrapant aisément la distance qu’il le séparait de sa proie, mais elle décide de couper dans les rues, il la suit la traque, saute d’un immeuble à l'autre ne laissant voir qu’une ombre épaisse passer à toute vitesse sur le chemin de la Femme. La laisser s’épuiser voilà ce qu’il cherche.. Mais sa connaissance des lieux n’es pas assez vaste, elle fini par s’approcher de la sortie.. La créature saute, glisse sur le toit d’un balcon, ses griffes entaillant le bois pour ralentir sa chute et fini dans la rue, juste devant la femme a quelque mètre dans l’ombre des maisons. Autour de lui un épais nuage de fumée et de poussière se crée, seul deux étincelle or rayonne dans cet amas sombre.

Un grognement féroce puis le regard qui se tourne, une seconde humaine, plus jeune plus svelte, et la femme blanche qui cour dans sa direction.. Parfait.. Plus elle son jeune, plus la viande est tendre..

Sujet: Re: Les portes du soir... Ven 2 Nov 2007 - 3:47

hj : Désolée de l'énorme retard, j'ai enfin retrouvé le goût d'écrire, enfin ça sera pas encore forcément très bon ^^' désolée ^^'

Aphrodite se remet à courir dans la direction qu'elle pensait être la sortie de l'Allée des Embrumes. Le coeur battant à tout rompre, mélange de l'essoufflement et de peur. C'est dingue la façon dont on peut se sentir en vie quand la mort rode autours... Dès qu'elle pense avoir distancé la chose, une ombre passe près d'elle, l'ombre de la créature qui saute de toit en toit. Un c<ri dans la nuit, la jeune femme effrayée bifurque encore pour tenter de lui échapper. Des bruits bizarres, effrayants, comme des griffes qui rafflent une surface dure et enfin le bruit de quelque chose qui atterrit juste devant elle, à l'ombre des maisons...

Le coeur de la blanche colombe failli s'arrêter de battre juste devant elle un épais nuage de fumée et de poussière se crée... La chose qui avait créé ce phénomène devait etre imposante... Pétrifiée, Aphrodite regardait le nuage juste devant elle puis lentement elle quitta le quitta des yeux pour trouver un chemin pour s'enfuir. Là par là. Quelques secondes pendant lesquelles son coeur s'était encore emballé un peu plus, la peur au ventre... s'enfuir... La seule chance qu'elle avait... Brusquement elle fait demi tour et s'élance dans la ruelle, ruelle sombre et effrayante. Clac clac clac, les talons de la jeune femme claquaient a un rythme effrené, pourtant elle sentait la chose juste derrière elle à l'épier. Soudain une autre vision, une fille, sans doute encore collégienne, était tapie là, dans l'ombre, derrière un tonneau.

Aphrodite - Hey faut pas rester là !! Viens vite c'est dangereux !!!

hj: voila ^^ encore désolée pour le retard et pour ce rp un peu minable ^^'

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Le topic est il toujours d'actualité ? Si oui je supprimerai mon poste. Sans répose sous une semaine je déplacerais.

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